Le livre, un reflet, un lac...

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"Un poète a écrit un jour : -Va près d'un lac, penche toi vers l'eau, regarde y ton reflet, il ne sera jamais toi, il sera toujours meilleur que toi-."

C'est ainsi que débute la journée de Lucas, il se lève et se frotte les yeux assis sur son lit, incrédule à l'idée qu'il soit déjà le matin, qu'il a deux heures de libre, et qu'il en n'a même pas profité pour rester dormir un peu plus longtemps. Peu l'importe, il se lève, et sent l'odeur fraiche de la fraise, planer sur son corps au teint légèrement brun. Il s'habille donc, d'un jeans noir, et d'une chemise à carreau beige. Il retrousse ses manches, étale un peu de gel dans ses cheveux... Une nouvelle journée démarre.

"Un écrivain à écrit : -Lorsque tu te lèves, ne te rendort pas, se serait bète de gâcher des instants que tu pourrais déjà faire à l'instant.- Tout comme le prétexte qui dit : -Ne rapporte pas à demain ce que tu peux faire aujourd'hui-."

De l'eau jaillit sur son visage, avec un essui il se le frotte, là il est bien réveillé, d'un geste il prend son sac et un bouquin tombé à terre sur le dos à la page 807. Il le rammasse et le tourne, dessus on peut y voir écrit :-Le livre où tu es le héros...- il n'y a pas de doute, Lucas est un fan de la littérature, mais après tout il n'avait rien d'autre à faire, vérifiant que sa baguette se trouvait à l'arrière poche de son jeans, il sort du dortoir, et dévale les marches à grandes enjambées, sort de la tour des Serdaigle. Là, Lucas marche dans les couloirs, et même s'il ne connait rien à cette école il sait au moins les opérations à effectuées. Lucas était nouveau ici, mais était déjà dans une autre école avant, à une chose près c'était la même chose... A une seule chose oui...

-Aïew !!! mais qu'est-ce que ?!... Et toi là-bas, arrête.

-Tu ne mourras jamais mouarffww...

Le cris du fantôme s'endort dans un éternel silence. La chemise de Lucas est trempée d'encre de couleur noire, celui-ci arque un sourcil et du bout de sa baguette tapote sa chemise qui redeviens comme neuve...

-Alors ça...

Il repart ensuite descend d'autres escaliers et pousse enfin les portes de chênes devant lui, le soleil l'éblouit enfin, il ferme les yeux mais, malgré cela, les rayons de soleil lui brûle quand même... Il se cache le visage des mains et arrive dans une zone d'ombre... -Condoléence...-

Il marche comme ça jusqu'au lac, voit passer des gens, quelques garçons, quelques filles, petites, grandes, petits et grands. Il y à le choix. Continuant sa petite virée vers le parc, il arrive enfin au lac. - Un poète à écrit...- Quelque chose oui, enfin arrivé devant le lac il se penche, voir, et vérifier si ce poète avait raison, soudain il entend du bruit, se retourne, surpris !

Un son venait à ses oreilles. Un bruit agréable. Un rythme plaisant. Qui devenait de plus en plus imposant. Cette musique lui caressait les tympans.
Juste le temps d’une chanson. C’est un moment ou chaque instant est éternel et ou l’éternité ne dure qu’un instant… Gabriella en venait même à danser. Elle se sentait bien et appréciait ce moment. La jeune fille se dandinait inconsciente. Elle ne pensait plus au monde et s’enfermait dans ses pensées. Marmonnant tout doucement la chanson.
Puis, la musique se fracassa et elle sentit une douleur atteindre son dos.

-Gabriella – AAAH !

Elle poussa un cri inquiétant et ouvrit brusquement les yeux.
La musique s’était violemment arrêtée. Elle se trouvait à terre, à côté de son lit. Elle avait tout simplement chuté du lit tout en emportant son réveil avec. Elle posa les yeux dessus. Il était totalement bousillé et n’émettait plus aucun son. Elle avait rêvé éveillée… Elle avait confondu ses rêves avec la réalité. Elle se releva enfin, en attrapant ce réveil. Elle le secoua à plusieurs reprises pour retrouver éventuellement cette belle musique, mais rien ne sortait.

La jeune fille soupira. Elle éteint cette lumière douteuse qui avait vaguement brillé toute la nuit. Puis ouvrit le store de la fenêtre. Le soleil l’éblouie et éclaira son beau visage. Celle-ci passa une main dans ses cheveux et s’admira bêtement dans la glace. Elle regarda par la fenêtre. Le lac scintillait plus que jamais d’une manière extrêmement jolie et gracieuse.

Une bouffée de chaleur l’envahie. Elle enfila un débardeur puis un jean tout juste à sa taille. Puis s’appuya contre sa fenêtre. Le temps ne la retenait pas. En effet, elle avait trois heures devant elle avant d’entamer le premier cours de sa journée.
Celle-ci attrapa son sac, puis sa baguette qu’elle laissa maladroitement dépasser de son sac.
Elle soupira puis décida de sortir de cet endroit étouffant.

Gabriella sortit alors du dortoir des Gryfondor. Elle parcouru les couloirs puis sortit des bâtiments.
La démarche presque royale, celle-ci traversa le parc. Elle profitait de cet air frais et agréable.
Plus aucune musique ne venait apaiser ses petites oreilles. En revanche, une bonne odeur lui vint aux narines. Elle s’enfonça vers le lac, alors que cette odeur envahi son corps tout entier. Elle arrivait au bord du lac. Un jeune garçon se tenait au dessus. A croire qu’il contemplait son reflet. La jeune fille s’avança vers lui, le pas léger afin de masquer sa venue. Elle ne l’avait encore jamais aperçut les années précédentes. Elle s’approchait discrètement de lui, et se pencha en avant afin de voir qu’est ce qu’il regardait dans ce lac. Peut être une de ces étranges créatures qui vivent en au fond.

Faute de s’être trop approchée, celle-ci tomba maladroitement dans le lac, emportant le beau reflet du jeune homme avec elle. Elle poussa un cri étouffé de peur. Elle n’avait même pas le temps d’avoir honte, trop surprise de sa chute, celle-ci se trouvait sous l’eau du lac. Quelle bonne première image devait il avoir d’elle à présent… Cela dit, un proverbe dit « les premières impressions sont souvent trompeuses »…

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Un jour quelqu'un à écrit un proverbe celui-ci disait : -Les premières impressions sont parfois trompeuses.- Cet homme avait raison et pour la peine il se serait peut-être fait tabasser. Lucas lui croyait en était même certain, carun autre proverbe surement inventé disait quand même : -Les gens sont envoyés pour tuer mais, applaudit pour juger sans connaître.- Dommage... Des proverbes, Lucas pouvait en citer toute la journée, ainsi que la vie. Ce serait trop simple que d'en citer, avec tous les livres qu'il lisait.

-hein ?

Lucas se retourne, vraiment surpris du bruit derrière lui, mais lorsqu'il se retourne, plus rien, et puis hop le voilà mouillé de haut en bas pour la deuxième fois de la journée. Il se retourne, impatient de savoir si c'est encore un coup de ce fantôme, mais il ne voit personne, à l'exception, d'une chaussure de fille qui flotte sur l'eau, Lucas essaie malgré l'eau qui est encombrée de saleté d'apercevoir quelque chose en vainc. Ce n'est que lorsqu'il aperçoit, l'eau vibrer, les bulles qui remonte et un cri perçant, qu'il saute, sans réfléchir, c'est alors que tout change, c'est comme si on lui avait comprimé et percé les oreilles et le visage, c'est alors qu'il l'aperçoit, cette ombre qui coule doucement, il bat des pieds, arrive près d'elle et passe le bras de la fille au-dessus du sien, il la remonte à la surface et la pose sur l'herbe, lui à son tour, dos sur terre les yeux regardant le soleil essoufflé...

-Est-ce ... Est-ce que cava ?

Mais il n'attend pas que la fille lui réponde, il fait un geste habituel pour prendre sa baguette mais, sa poche est vide. *Oh non... Je vais me faire arracher les yeux...* Pense il en crispant son visage. Il s'apprête à sauter, à nouveau lorsqu'il se retourne et regarde la jeune fille, c'est la première qu'il la regarde objectivement, elle est jolie, les cheveux bruns clair les yeux noisette, fine et élancée.

-Excuse moi, tu n'aurais pas ta baguette... Magique...

Heureusement, que le proverbe disait de ne pas se fier aux apparences, elle devait le prendre vraiment pour un con, pour avoir perdu sa baguette dans le lac.

-Manquait plus que ça...

Son visage se lève vers un professeur aux airs sévères, Lucas fronce le front et regarde cette fille avec lui...

[désolé c'est un peu court]

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[ Comme promis Lucas ^^' J'espère que ça dérange pas Gabriella =) ! ]

Leyla s'était sans aucun doute levée du pied gauche ce matin. Elle n'avait nullement envie de rester enfermée pourtant ! Elle s'empressa de s'habiller, de prendre ses planches à dessiner ses feuilles et ses crayons, et à claquer la porte du dortoir, et cavala les escaliers quatres à quatres pour se rendre dans le Parc. Le soleil l'éboulit d'un coup. Quelques nuages trottaient dans le ciel, tels des moutons guidés par un berger.
Leyla s'activa.

* Je suis une artiste, alors je n'ai pas de temps à perdre, le temps, c'est précieux *

Il ne fallait pas rater le soleil de neuf heures. Il offrait au lac un reflet splendide. Ni trop fort comme lorsqu'il est au zénith, ni trop léger comme au coucher. Les arbres offraient de l'ombre. Une ombre très solicitée par les dessinateurs comme Leyla : elle pourra s'y réfugier en cas de travail jusqu'à midi ! Une fois arrivée près du lac, elle décida de ne pas se rendre en face, mais de faire le tour de la rive, là où le château de Poudlard est bien mis en évidence.
Leyla marchait au pas de course, encore plus vite que quand elle était pressée, même si là, elle ne l'était pas quoi ! Elle trouva une place, sous un tilleul, assez sympa. Elle posa sa planche sur ses genoux.

* Bon ... Un peu d'imagination ? Non ... Le réel fera l'affaire *

Et elle s'empressa de tracer un joli croquis du lac au premier plac. Elle dessina les rochers environants avec plus ample précision, et se mit à imaginer elle seule l'environnement. Elle dessina deux à trois arbres qui n'étaient pas dans le décor, et ceci pendant 10 bonnes minutes. Elle laissa libre court à son imagination. Elle s'empressa de faire une halte au second plan, puis de lever la tête. Tiens ... Deux personnes étaient apparues ! Un garçon, un Serdaigle que Leyla connaissait, et une fille très jolie dans un jean, tout comme le garçon et Leyla. Cette dernière ne la connaissait pas. Elle eût une idée :

* Et si je les dessinais eux aussi ? *

Elle se tourna pour prendre un nouveau fusain un peu plus foncé pour bien mettre en valeur les personnages. Mais c'est à ce moment là qu'elle entendit un " SPLASH! ". Elle se retourna face aux jeunes gens d'un bloc, mais il n'y avait plus personnes. Des bulles éclataient à la surface. Ils ressortirent peu de 5 secondes après, suffoquant comme des boeufs. Leyla se leva d'un bond, et fit le tour du lac au galop. Elle hurla :

Leyla - « Est-ce que ça va ? »

Un professeur avait fait son apparation de nullepart. Il avait l'air furibond. Pourquoi être fâché alors que les baignades étaient permises dans le lac ? Leyla déduit qu'il était fâché après l'un des deux élèves en particulier. Ou les deux peutêtre. Le garçon réclama une baguette magique, Leyla sortit la sienne, en comtemplant avec le coeur battant la jeune fille de son âge qui était trempée et inerte...

» Reflet sur le lac
» le secret d'un reflet [PV Amanda]
» UN REFLET DANS LE MIROIR (LIBRE premier poste Atreus Calgar)