Premiers pas dans la salle commune en 81-82

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Après la répartition qui n'était qu'une formalité à laquelle il avais le droit d' assister chaque années. Le fait de voirdes petits nouveaux arrivé ici le rammenné toujours au sentiment de la première fois qu'il avait visité le chateau , cette même fois ou il avait été repartit a Poufsouffle . Et après l'ennuyeux discours que les directrice avait faites à propos des BUSE et de l'aciduités que les 5ème années devraientt portait envers leur travail.

*De toute façons je pense que je n'aurait pas trop de mal cet année encore,*

Ce n'était pas la prétention qui donné ces pensées à Lyam , mais tout simplement le fait que s'est un exelent élèves. Après tout ces évennement Lyam dessendit au sous-sols et rentra dans la salle commune de loin un de ces endroits préferer dans l'école. Il y flottait de bonnes odeur l'athmosphère y était plus qu'agréable les mur couleur jaune argent donné une envie d'être actif cela dis malgrès cet envie Lyam était extenué par le voyage en train pour venir jusqu'a l'école il prit un siège mit les mains ds les poche de sa robe et samusa a fraire tourné sa baguete entre ces doigt et ferma les yeux quelque seconde peut être ferait-il ici de nouvelles rencontres.

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Domaris revenait de la tour d'astronomie où elle était allée méditer quelques heures. Assise là bas, elle avait pris le temps de bien étudier le nouveau livre que la bibliothécaire lui avait gentiment réservé : Divination par le Tarot. Un ouvrage très intéressant... A présent, elle revenait vers la salle commune, plus joyeuse que d'ordinaire, presque heureuse d'avoir appris tant de choses grace à un simple livre. Les longs couloirs sombres des cachots la firent frissonner : décidément, elle ne s'y ferait jamais ! Pourquoi leur salle commune était-elle au sous-sol ? C'était injuste !!! Resserrant autour d'elle sa longue cape sombre brodée du blason des Poufsouffle et ajustant son écharpe de laine jaune, elle essaya de se faire une raison.

Arrivée devant le tableau du Vieux moine qui gardait leur entrée, elle le salua avec respect, allant même jusqu'à lui demander comment il allait. Celui-ci ne se fit pas prier pour répondre d'une voix bourrue :

"Très bien, Miss Morohtar, très bien ! Et vous-même ? Vous m'avez l'air bien guillerette aujourd'hui !"

La jeune fille lui adressa un large sourire et elle répliqua d'un air complice en murmurant à peine :

"Oui ! Je suis particulièrement de bonne humeur aujourd'hui mais chut... C'est un secret !"

Le Vieux moine se fendit d'un clin d'oeil amusé et la laissa entrer dans la salle commune. Quelle joie de retrouver des couleurs chaudes et la douce chaleur du feu dans la cheminée !!! C'est alors qu'elle aperçut un jeune garçon dans un fauteuil et elle sursauta : le fauteuil était tellement gros qu'elle n'avait pas vu le jeune homme dès qu'elle était entrée. Etant donné ses yeux fermés, il y avait peu de chances qu'il ne l'ait vue aussi. Faisant le moins de bruit possible, elle souffla un "Bonjour" à peine audible.

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Cela faisait plus d'un quart d'heure que Lyam était arrivé en salle commune , il se sentait plus que bien dans se confortable fauteuil à la lumière et à la chaleur du feu. Cette belle danse de flamme rouge-orange avait le pouvoir de lui redonnait le morale , qui avait baissé depuis qu'il était de nouveau éloigné de sa famille. Le feu n'était pas du luxe étant donné la fraicheur des cachots en cette rude saison. Entre temps , il avait sortit un livre d'enchantement et sa baguette pour se mettre directement dans le bain de ces études.

*Il est hors de question que je me repose sur mes acquis * se dis-t-il.

Il fit pendant quelque temps preuve de concentration pour dechifré son livre mais il ne savait pourquoi il était absorbé par le feu. Lyam était seul dans la salle commune et si quelqu'un le voyais comme sa, faire d'amples gestes avec sa baguettes sans doute il passerait pour un animal de foire. Soudain il entendit le portrait de l'entrée bouger, il rengea donc precipitemment sa baguette dans la même poche où elle était tout a l'heure et fis mine de lire son livre. Il etendit quelqu'un dire "bonjour" tels un murmure c'était une voie douce et melodieuse. Etant donné qu'il était seul dans cette pièce il se retourna et vit une jeune fille qui le regardait il n'y avais plus de doute c'était a lui qu'elle s'adressait , il eu a peine le temps de réaliser , qu'il baygayait déjà géné ...

"Bon... Bonjour , moi c'est ... c'est... Lyam 5ème année et toi ?"

Il ne savait pourquoi mais il avait toujours eu cette timidité maladive au contact des filles.

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Apparemment, elle avait surprise le jeune homme en lui adressant la parole. Elle même se rendit compte de ce que pouvait avoir d'étrange le fait de parler à quelqu'un qu'on ne connaissait pas. D'accord, c'était un Poufsouffle, mais elle ne l'avait jamais vu après tout (normal vue la taille du chateau et la solitude de Domaris) et cela ne se faisait sans doute pas...? Elle fut gênée à son tour en se rendant compte de sa hardiesse et elle rougit légèrement. Il se présenta, bégayant, sans doute intimidé. Elle lui sourit gentiment et fit de même :

"Enchantée, Lyam. Moi c'est Domaris et je suis en 7eme année. Ravie de faire ta connaissance !"

Sans rien ajouter de plus, elle ôta sa longue cape qu'elle suspendit au porte-manteau et elle retira son épaisse écharpe qui était vraiment de trop dans la salle commune. Elle posa son livre sur la table avec précaution avant de se tourner à nouveau vers le jeune homme qui feuilletait un livre. Elle le détailla quelques secondes d'un air songeur : il avait l'air sympathique... Ne voulant pas laisser le silence s'installer trop longtemps, elle ajouta :

"C'est drôle mais je ne t'avais jamais vu ici..."

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*Pourquoi je ne me sent pas bien comme sa en présence de fille !! c'est pas vraix je vais encore tout gacher ... Foutû timidité !*

En effet sont coeur battait la chamane , pour un simple bonjour , son sang se glacé dans ces veines sensation qui était assez paradoxales étant donné qu'il sentait la temperature de plus en plus chaude. Il essaya de ce calmait en se rappellant ce qu'un amis lui avais dis pour se calmer, en évitant d'avoir l'air ridicule il ferma les yeux.

* Pense a une grande clairière vide ... vide... vide ...*

Cette ridicule pensée le faisait plus rire que de lui apportait le calm cela dis lorsqu'il rouvrit les yeux il était calmé.
La fille lui dis que s'était la première fois qu'elle le voyait cependant il se souvain l'avoir croisé l'année dernière mais étant donné qu'il ne se démarquai des autres que par le travail c'était pas étonnant qu'elle ne le connaissait pas et sa ne lui fit pas de peine mais il lui mentit en lui disant

" - Enchanté... Oui ... moi non plus je ne me souviens pas t'avoir déja ... déjà vu ici."

Vu qu'il ne savait pas mentir il lorgna alors le sol se sentant démasquait par Domaris puis il enchaina .

"Et sa te vient souvent d'aborder les gens comme sa ?

Il pris un sourire ironique ésperant qu'elle ne le prenne pas mal

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Do' ne se rendit pas compte du malaise du jeune homme lorsqu'il lui dit ne jamais l'avoir vue. Mais à la remarque suivante, elle baissa le regard, attristée, se mordant la lèvre nerveusement. Ses amis lui avaient souvent reproché d'être trop solitaire et elle avait fait de nombreux efforts pour se lier d'amitié avec certains d'entre eux, mais à présent, la plupart, plus âgés qu'elle, avaient réussi leurs BUSE et avaient quitté l'école. Depuis, elle s'était davantage renfermée sur elle-même et passait sa vie le nez plongé dans ses livres, a étudier la divination avec passion. Mais aujourd'hui, elle était de particulièrement bonne humeur et elle avait voulu se montrer sociable en parlant avec le jeune homme, mais celui-ci semblait le lui reprocher. Car c'est ainsi que Do' l'avait pris : comme un reproche...

Elle leva rapidement les yeux vers lui et les baissa à nouveau. Elle attrappa d'un geste lent son précieux livre, qu'elle serra contre elle avec force, comme si c'était un radeau auquel on s'accrocherait pour survivre. Elle n'osa pas répondre : elle avait bien compris qu'elle le dérangeait et qu'il ne voulait pas lui parler... D'une voix basse, elle murmura :

"Non, c'est la première fois que cela m'arrive... Pardonne-moi de t'avoir dérangé, cela ne se reproduira plus..."

Tristement, elle alla s'asseoir dans un fauteuil plus loin, conservant les yeux baissés, et elle se mit à observer distraitement les motifs brodés dans le tapis de la salle commune.

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En voyant le regard attristé et peiné de la jeune fille , Lyam s'en voulait plus que profondément , il essaya de rattraper ces précedente paroles plus que maladroite en s'excusant , mais a peine eut-il ouvrit la bouche que la jeune fille était déja dos tourné et prenais une autres direction. Il cogita l'espace d'un instant

* Mais quelle idiot !!! C'est pas vraix ... il faut toujours que tout aille de travers avec moi on me reproche souvent d'être solitaire et pour une fois qu'une personne s'ouvre à moi je lui envoie des pics ...*

Mais malgrès ce sentiment de culpabilité omni-présent à cet instant , le sentiment qui dominé chez Lyam était l'incompréension en effet il voulais créer un contact en éssayant de faire rire la jeune fille mais la tentative avais avorté à la suite de cette regrettable méprise.
A ce moment la jeune fille venait de s'assoir , piqué au vif ,son precieux dans ces bras , comme si le tenir contre elle lui apportait un sentiment de réconfort. Géné Lyam décida malgrès tout , de ce levez et de faire ces escuse a Domaris. Il s'approcha d'elle sans faire de bruit , pris un tabouret et le posa a coté du fauteuil ou était assise pensive la jeune fille. Il saisit plus que maladroitement sa main et dis d'une voix paniquée.

"-Je suis désolé c'était de l'ironie ... très mal dosé ne m'en veut pas je suis assez mauvais comme blagueur ne m'en veut pas je voulais pas te vexer ... excuse moi ...."

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Do' était concentrée sur les dessins qui ornaient les tapis de la salle commune lorsqu'elle vit le jeune homme se saisir d'un tabouret et s'asseoir près d'elle. Intriguée, elle leva vers lui des yeux plein d'incompréhension, se demandant ce qu'il pouvait bien vouloir après l'avoir "rembarrée" comme il l'avait fait. Elle sursauta lorsqu'il lui prit la main et elle regarda ce contact de leurs doigts d'un air paniqué. Son coeur se mit à battre plus vite tandis qu'elle se recroquevillait imperceptiblement sur elle-même, comme un animal sauvage apeuré. La voix douce et chaleureuse du jeune garçon finit quand même par la rassurer quelque peu, et elle se calma doucement. Sans retirer sa main de la sienne, elle murmura :

"Non, ce n'est rien... C'est de ma faute, je suis idiote, je n'avais pas compris..."

De sa main libre, elle posa son livre sur une table basse puis elle prit la main de Lyam avec les deux siennes. Elle la retourna de manière à avoir sa paume en face d'elle, et elle parcourut avec application les lignes de la main du jeune homme. Depuis bien longtemps, Do' utilisait son don pour lire le passé de quelqu'un dans les mains de celui-ic, et elle ne se trompait jamais. Sans rien dire, elle ferma les yeux, parcourant toujours du bout des doigts la paume de Lyam, le souffle plus court et dans un état d'extrême concentration. Au bout de longues minutes, elle rouvrit les yeux, lacha la main du jeune homme et le regarda d'un air de reproche :

"Tu m'as menti, ce n'est pas la première fois que tu me vois..."

Elle détourna les yeux, déçue qu'il ait pu lui mentir...

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Lorsqu'elle lui dis qu'elle était idiote , Lyam eut un petit pincements au coeur , de tout se qu'il pouvait ne pas aimé , parmis toute les chose qu'il détesté sa pire phobie était de voir une fille , à qui il trouvait un air plus qu'intelligent et reflechis , ce rabaisser volontairement mais le pire c'est qu'elle avais a ces yeux .... comme si elle le pensé vraiment , contrairement à toute ces filles qui ne disaient cela rien que pour obtenir les bonnes grâces d'un garçon. Puis veint le moment ou là jeune fille lui dis qu'elle savait qu'il lui avait mentit. Au début il ne savait pas de quoi la fille parlé puis quelque seconde plus tard les paroles qu'il avait pronnoncé juste pour ce donné un genre le trompèrent et permirent a la jeune fille de se recroqueviller sur elle-même. Il sentit alors à se moment là une éxtrême frustration et un légère agacement qu'il ne laissa nullement paraitre sur son visage .
Il dit alors tout bas a peine audiblement en essayant de lui ressaisir sa main d'une voix chaude et suave...

"-Tu n'est pas idiote , loin de là c'est moi qui n'est aucun sens de se qui peux blaisser les gens, sans que ce soit ce que je veuille , désolé d' avoir si peux de tacte. Et c'est vraix , je t'ai mentit , je l'avoue ... je t'ai mentit à propos d'une chose sur laquelle il est inutile de mentir mais j'imaginé que si tu croyais que je t'avais déjà remarqué , tu devinrait à quel point je te trouve jolie."

Il se mit la main devant la bouche et fixa le sol à coté de lui éxtremement gêner d'avoir fais ce compliment très attif , il lacha la main de Domaris et se mit dos a elle, sa tête dans ces mains.

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Domaris fut des plus surprise par les paroles du jeune homme et elle resta à le regarder, étonnée, sans savoir de quelle façon réagir ni quoi lui répondre. Elle aimait sa solitude plus que toute chose au monde ce qui l'avait amenée à fréquenter très peu de gens durant sa scolarité. Elle rosit légèrement et regarda ailleurs, comme distraite par un événement invisible. Ne sachant quoi répondre au jeune homme, elle préféra se taire mais, ce n'est que lorsqu'elle sentit qu'il lui lachait la main qu'elle tourna la tête vers lui. Lyam lui tournait à présent le dos, comme s'il ne voulait plus la voir et, considérant cela comme un rejet, elle en éprouva un pincement au coeur certain.

** Que lui prend-il donc ? Que dois-je faire ?**

Il avait l'air malheureux et elle le ressentait dans son attitude ainsi que dans son silence. Mordillant sa lèvre inférieure avec anxiété, elle se décida à se lever du canapé dans lequel elle avait élu "domicile" pour se diriger vers le jeune Poufsouffle. Posant une main tremblante sur l'épaule du jeune homme et angoissée à l'idée de faire quelque chose quil ne fallait pas, elle s'accroupit près de lui et demanda simplement d'une voix douce :

"Qu'est-ce qui ne va pas ? J'ai dis quelque chose qu'il ne fallait pas ?"

Elle essaya de capter le regard du jeune homme mais celui restait tête baissée, de sorte qu'elle ne put pas voir ses yeux. Attendant une réponse du jeune homme, elle soupira tristement.

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» Dans la salle commune, au coin du feu
» Miko entre dans la salle commune...