Le Silence parlera-t-il...

Invité

La forêt interdite qui bordait le majestueux château de Poudlard se trouvait être la chose la plus mystérieuse et inexplorée aux yeux de Jamesi dans ce monde pourtant sans vraies questions.De cette forêt se détachait une énorme ombre noire,terrifiante,alarmante...Le vent soufflait doucement dans ce feuillage très touffu,un vent glacé qui tiraillait chaucn des muscles lorsqu'on s'y trouvait exposé.Les buissons semblaient obstrurer le chemin vers la forêt,bloquant le passage à quelqu'un,ou à quelque chose...Des bruits de pas étouffés par de l'herbe molle retentirent alors,comme un gros soupir essayant de ne pas se faire entendre.Une longue et fine silhouette se dessina dans l'herbe,sous les rayons de la lune.Et d'ailleurs en ce soir,quelle belle lune...Enorme prenant une place exorbitante dans le ciel.D'un blanc brilant se rapprochant de l'argenté,ses raysons descendaient avec force sur ce jeune homme aux cheveux en pétard sur sa t^te,des pics se projetant aussi sur l'herbe comme des sommets tranchants.Si on l'aurait vu de face,la seule chose que l'on aurait pu voir serait des yeux d'un vert émeuraude scrutant la nuit,brillant d'une flamme intense pas l'ardeur et l'espoir,la perséverance...

Le jeune homme se nommait Jamesi Magistros,il venait tout droit d'Italie car son capitaine le disait trop embarrassant.Depuis qu'il avait bouclé une grosse affaire à lui tout seul,la négligence du travail dans les bureaux des aurors avait été découverte par la presse,trouvant de partout des aurors affalés à roupiller ou à lire le journal,au lieu d'être selon leur dire en train de s'occuper de l'affaire ayant impliqué une famille dans le meurtre d'une personne haute placée au ministère.Depuis ce jour,il avait été renvoyé en Angleterre pour écarter les ennuis du ministère d'Italie.A cause de cela,il avait dû aussi quitter Aurélie,sa petite amie,qui avait très mal pris la chose et avait brisé leur relation en partant de leur appartement.Démoralisé et le coeur en petits morceaux,il était maintenant ici pour la dernièr chose qu'il aurait à faire:retrouver l'Ordre secret.Cet Ordre serait dirigé par un puissant sorcier et essayerait de faire règner le bien en combattant directement le grand Lord Noir et les 4 infâmes jeunes dames.Ses pensées tourbillonant ainsi dans son esprit tourmenté,il regarda droit devant lui,espérant trouver son bonheur ici...

La seule qu'il vit fut un oiseau noir décollé à une vitesse fulgurante et disparaître dans l'hinabituelle clarté de la nuit,se cachant à travers les arbres touffus.L'herbe s'étalant sous ses pieds sur une bonne vingtaine de mètres,il s'allongea doucement,prenant le temps de réfléchir à sa vie.Sa petite amie l'avait lâché d'un coup,il était ici sans connaître personne.L'Ordre qu'il recherchait se trouvait être le plus dur à dénicher au monde.Les aurors lui avaient confié cette tâche pour stoppé l'ordre.Une fois trouvé,il essayerait de s'y intégrer et servirait d'espion au ministère.Se relevant avec lesteté,il regarda la lune d'un air envoûté,charmé par sa beauté de ce soir.Bizzarement,il avait une envie irrésistible de chanter,de chanter ce qui semblait doux à son coeur.Une chanson moldue semblait tout à fait appropriée.Le chanteur semblait se prénommé "Raphaël",et cette chanson si belle,avec cet air si mélodieux et entraînement allait certainement rendre cette froide nuit en une magnifique soirée.Fermant les yeux,sa bouche s'ouvrit lentement,les paroles coulant sur ses lèvres comme une rivière,sa gorge vibrant doucement et chaudement dans la nuit froide.

Je suis parti d'un bout du monde
J'étais trop grand pour me courber
Parmi les nuages de poussière
Juste au bord de la terre
Et j'ai marché le long des routes
Le ventre à l'air dans le ruisseau
Et même que le vent nous écoute
Et la pluie va tomber bientôt

Ce que j' fais là moi
Je sais pas
Je voulais juste marcher tout droit
Ce que j' fais là moi
Je sais pas
Je pense à toi depuis mille ans

Tellement de nuits sous la paupière
Tellement de forêts abattues
Même sous la mitraille et le fer
Moi je leur ai rien vendu
Et que même dans l'espace Shengen
Ils ont pas voulu de ma peau

Ce que j' fais là moi
Je sais pas
Je voulais juste marcher tout droit
Ce que j' fais là moi
Je sais pas
Je pense à toi depuis mille ans

C'est pas la croix pas la manière
Et puis la terre on y revient
Moi j'ai un orgue de barbarie
Et je vais pourrir leur pays
C'est pas avec la bombe atomique
C'est pas avec le tour de France
Qu'ils me mettront de leur côté
Quand j'aurai fini ma croissance

Ce que j' fais là moi
Je sais pas
Je voulais juste marcher tout droit
Ce que j' fais là moi
Je sais pas
Je pense à toi depuis mille ans

Sa voix diminua petit à petit dans la nuit claire,en ce soir d'été froid comme un hiver banal.Ayant déjà un peu plus chaud,il observa autour de lui.Les paroles tourbillonaient toujours dans les airs,accompagnées de l'air avec lequel elles étaient chantées.Cette si douce mélodie parcourait toute la lisière du bois si craint des élèves,réchauffant l'atmosphère et donnant de la force aux plus démunis,allumant cette petite flamme manquant pour tout réussir avec seulement la volonté.Marchant le long de la lisière,il se demanda si un membre de cet Ordre l'observait.Mais son cerveau fonctionnait avec vigueur depuis quelques heures,ayant déjà tracé un plan de la situation.Si les aurors arrivaient,il n'avait qu'à dire qu'il était de garde.Si un mangemort apparaissait,il le combattrait et le ligoterait pour ensuite le déposer près du château pour revenir attendre.Si un membre de l'Ordre se montrait,il poserait sa baguette en signe de paix,ou plutôt l'enverrai à son adversaire.Si rien ne se passait,il passerait au plan B.Cette envie de chanter le reprenant,il s'assit dans l'herbe et commença une nouvelle chanson toute aussi belle,mais différente cette fois ci,en mémoire à sa petite Aurélie...

Oh oui je t'aime, je t'aime à en crever
... tes pneus pour que tu restes là.

Je n'aime que toi, je t'aime à en pleurer.
Mes yeux ne jurent que par toi.

Et ils s'embuent de trop d'amour,
et quand j'ai bu,ils se font lourds.
Et mes paupières se ferment alors,
et je m'endors à mon malheur.
Mes rêves m'éloignent loin de ton corps,
j'ai peur de perdre ton odeur.
Et même si je te serre très fort,
je ne peux m'empêcher d'avoir peur.
Où est ton corps lorsque tu dors,
Où Est Ton Coeur !

Oh oui je t'aime, je t'aime à en crever
... tes pneus pour que tu restes ici.

Je n'aime que toi, je t'aime à te graver sur moi,
de peur que tu t'enfuies.

Et je n'en ai jamais assez,
je crie ton nom,je le tatoue.
Sur le mollet, derrière le cou.
tu es mon piercing,mon venin.
Je te dessine sur mes seins,
mon corps est comme un mausolée
A ta mémoire, car si tu meurs,
tu vis en dessins sous les pores
De ma peau fine et sur mon coeur,
Sur Mon Coeur !

Oh oui je t'aime, je t'aime comme un diamant
...scintillant d'une amoureuse ardeur.

Je n'aime que toi, mais tu prends l'air méfiant
... pourquoi tu dis que je te fais peur ?

Alors que moi je...
Je t'aime, je t'aime à en crever
... tes pneus, pour pouvoir te garder.

Une fois de plus,toutes ces paroles voletèrent doucement dans la nuit tiède à cause de l'autre chanson.Un phénomène bizarre se passa alors.La première chanson continua de tourner dans les airs,son air envahissant tout.Et l'autre chanson,d'une certaine "Anaïs" faisait de même,cela créant une ambiance totalement hord du temps et du monde.Un petit endroit où le mal ne passerait bienoù seule la chanson vous redonnait l'envie de vivre et de continuer à vous battre pour ne pas sombrer.Debout,les deux chansons virevoletaient autour de lui avec ce petit vent maintenant chaud.Avançant doucement en ayant crut repérer un mouvement un peu plus loin,la chanson le suivit,tout en se répandant et en continuant derrière lui.Qui que ce soit,il eu envie de prendre la personne avec lui et de marcher tranquillement au milieu de l'air.Mais comme il ne sut pas de qui il s'agissait,il posa ses doigts doucement sur sa baguette,et attendit de vor patiemment.

HJ:Je ne veux pas faire de duel dans mon premier post s'il vous plaît hein^^.Une fille de préférence,j'aimerait pas casser le RP please^^.Pour ceux qui me connaissent,ou pas d'ailleurs,même pseudo que PM et même moi derrière l'écran,clair^^ geek

Invité

Un Sourire....Une Etreinte...Un Rêve....

Gail se tenait debout, raide comme un piquet. Il était vêtu tel un moldu, une longue chemise blanche dont les pans flottaient au hasard et un pantalon noir et souple, usé à certains endroits. Ses cheveux châtains, semblables à ceux de sa soeur, voletaient autour de son visage à chacun de ses mouvements. Il se tenait dans la douce lumière auréolée de l'aube. Les mains dans les poches, un sourire narquois mais bienveillant effleurait ses minces lèvres. Les yeux de Gemma Jane brillèrent de mille éclats. Il était là ! A à peine quelques mètres d'elle. Réel, en chair et en os, bien vivant...La jeune fille tendit la main...Un cri...Elle l'appella. Il posa son regard sur elle, fit quelques pas dans sa direction. Elle voulut se jeter dans ses bras...Comme il lui avait manqué...Terriblement manqué...Mais une main la saisit par derrière, la maintenant fermement, l'empêchant de retrouver ce frère perdu..."Gail !" Elle poussa un cri tel un petit animal terrorisé...Gail s'éloignait...L'ombre volait l'aube naissante, sans espoir de renouveau...Des larmes se mirent à couler sur son visage blême...Elle était à bout de force, ne pouvait plus se débattre...Et il s'éloignait...Toujours plus loin...Toujours trop loin...Il ne reviendrait plus la hanter cette nuit.

"Gemma !"

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Gemma Jane ouvrit les yeux. Ses joues étaient humides de larmes. La jeune Gryffondor était allongée dans son lit. Dans son sommeil, elle avait repoussé sa couverture qui découvrait ses jambes nues. La jeune fille se tourna. Les yeux ouverts, elle fixait le plafond sans rien y voir. La chambre était plongée dans l'obscurité et était empli du faible ronflement des camarades de Gemma Jane qui occupait le même dortoir que la jeune fille. La rouge et or passa ses mains sur son visage et poussa un soupir indistinct. Elle glissa ses mains dans ses cheveux châtains ébouriffés puis étendit ses bras en croix avec une lassitude oppressante. La jeune fille tourna la tête vers le lit le plus proche du sien.

"Cynn...Tu dors ?" souffla-t-elle.

Mais Gemma Jane ne reçut aucune réponse de la part de sa camarade. Elle resta ainsi étendue quelques instants puis dû se rendre à l'évidence : elle ne parviendrait pas à se rendormir de si tôt.
Depuis sa rencontre avec un ancien elfe de maison ayant appartenu à sa famille, Gemma Jane ne cessait de rêver de son frère Gail, ce frère aîné qu'elle croyait avoir perdu à l'âge de douze ans, par sa faute. Et maintenant, un folle espoir demeurait : et si Gail vivait toujours ? Et s'il n'était pas mort comme ils l'avaient tous cru ? La jeune fille se mordit la lèvre infèrieure et balaya cette idée de son esprit. Elle s'en voulait de penser cela...Et si c'était encore une déception au bout du compte ?

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Le vent plaqua quelques mèches de ses cheveux sur son visage. Gemma Jane les repoussa du revers de la main. Elle avait revêtu un jean et une tunique sombre. La jeune fille ne connaissait qu'une solution à son insomnie : une ballade tardive sur les rives du lac de Poudlard. On était au mois de mars. Les jours commençaient à rallonger, les températures augmentaient. Mais il faisait encore frais et Gemma Jane frissona. La jeune fille fit quelques pas en direction du lac mais changea brusquement de trajectoire. Quelques chose, était-ce son instinct ou une intuition, lui intimait de se rendre dans la forêt interdite. Elle ne savait ce qu'elle trouverait là bas, mais elle devait s'y rendre. A quelques mètres de là, la juene Gryffondor pénétra dans la forêt interdite. Etrangement, au lieu de lui paraitre hostile et malfaisante, la forêt avait un air étrange..Différent des autres fois où Gemma Jane avait pu s'y rendre. Pourtant elle n'aurait su dire ce qu'y provoqait chez elle ce trouble qui la saisissait au creux du ventre alors que doucement, une voix résonnait dans sa tête, une voix qui chantait des mélodies si connues parmis les moldus. Gemma Jane se laissait inconsciemment guider par le son, allant à la découverte de quelqu'un, d'une situation nouvelle qui ne lui paraissat aucunement dangeureuse. Quelques mètres plus loin, la jeune franchit quelques buisson. Elle s'arrêta net. Une silhouette se tenait dans l'obscurité devant elle. Gemma Jane fronça les sourcils. Un pli soucieux barra son front alors qu'elle portait, enun mouvement imperceptible, la main à sa ceinture.

"Qui êtes vous ?" demanda-t-elle d'une voix sourde et froide.

Il lui semblait que l'instant de magie qui enveloppait auparavant sa promenade ne se soit évaporée.

Invité

Un buisson bougeait doucement et à intervaux réguliers.Quelqu'un se trouvait derrière apparemment.Sa baguette toujours pointée vers l'endroit,une belle jeune fille se montra,grande et fine,des cheveux roux/bruns lui tombant jusqu'au bas des reins.Des yeux couleur de noisette,la nuit se perdant dedans.Elle portait un jean et un T-Shirt tout simplement,et elle était élève à Poudlard se lon Jamesi,environ entre la 6ème et 7ème année.Une fois sa stupeur passée,il rabaissa sa baguette et la fixa tout simplement.Elle était plutôt jolie,et avait l'air joyeuse et amicale.Mais lorsqu'elle lui parla,il s'agissait d'une voix froide et sourde,une voix trahissant son enveloppe.Mais même si elle parlait sur un ton très déplaisant,Jamesi se contenta de lui faire un petit sourire amical,sachant qu'il ne s'agissait que de crainte,la crainte de l'inconnu.Une fois cela passé,il pourrait discuter tranquillement,si elle l'acceptait bien.Se retournant,elle ne pouvait voir que son dos.Il recommença à marcher avec une lenteur infinie,les paroles tourbillonant dans les airs autour de la jeune fille maintenant.Pour toute réponse,il tourna sa tête pour la regarder en face,ses yeux brillant dans la nuit pourtant claire.

Peu importe qui je suis,tant que tu sais ce que je suis...Je suis un auror en promenade,cela dérangerait-il une dame comme vous ?

Puis il continua de marcher lentement le long de la forêt,si lentement que cela aurait été dur à faire.Les paroles de la chanson commençaient à se dissiper lentement dans la nuit,lui redonnant cet air glacial et terrifiant.Pour confirmer son identité àla jeune fille,il s'arrêta au milieu d'un grand cercle d'herbe fraîche.Il se retourna et tira sa baguette,la tapotant à l'endroit où se trouvait son coeur.Le mot "Auror" brilla doucement,puis juste en dessous,son nom"Jamesi Magistros".Une fois cela fait,pour que la jeune fille n'ait pas peur,il saisit bien en main sa baguette et la lui envoya d'un air amical/sarcastique,pour lui montrer qu'il ne lui voulait aucun mal.Après cela,il s'allongea lentement dans l'herbe,fixan les étoiles avec passion et tristesse.Une parmi tant d'autres brillait un peu plus.Il l'avait bâptisée soeurette.Elle représentait la soeur qu'il n'avait jamais trouvé...Il s'agissait en fait de Vénus,la planète portant le nom de la déesse de l'amour.Fermant les yeux,il profita de la fraîcheur des lieux,le reposant et décontractant ses muscles.Ses traits devinrent encore plus détendus,un petit sourire apparut sur son visage,et il dit d'une voix basse et réchauffante,amicale.

Je ne vais pas te manger tu sais...Profites de cette nuit,il y en a peu petite...

Les nuits de cette sorte étaient rares dans une existence d'humain.Depuis sa naissance,il n'avait eu que deux nuits comme celle ci,où les rayons de la lune perçait la nuit,où le bonheur marquait son territoire.La première fois était le soir où il avait rencontré Amélie.Se promenant dans un parc le soir,une nuit identique,il avait trouvé une magnifique jeune fille en train de faire de la balançoire et de chanter,de chanter des chants antiques italiens qui volaient dans la nuit,envoûtant le jeune homme.Ayant passé la soirée avec elle,ils étaient tombés amoureux l'un de l'autre,et la jeune dame était venue habitée chez lui,expulsée de chez elle le jour même.Mais malgré ce malheur,elle était joyeuse,elle vivait toujours et pouvait encore profiter de la vie,de ses joies et de ses peines.Un oiseau chanta dans la nuit à la lisière de la forêt,et cela sortit le jeune homme de ses songes lointains.La nuit redevenait froide,il était tant de redonner cette magie au temps,de faire de ce moment une chose que personne n'oublierait,que tout le monde garderait en soit.Aspirant un bouffée d'air,il commença à chanter d'une voix douce et juste,ayant fillit devenir chanteur...

Si la paix pouvait embrasser ce monde juste un jour,
Une trêve, une pause pour que l'on sache après quoi on
court.
Sait-on encore c'que signifie l'amour ?
J'ai bien peur que non, Dieu nous le montre tous les jours...
La planète tourne à l'envers, ça m'fait peur,
Voyez vous les flammes de l'enfer frères et soeurs.
Ne lui vendez pas vos âmes.

J'aimerai dire qu'les clés du bonheur s'trouvent pas dans les
billets d'banque.
Voir tous ces gens libérés d'la peur qui les hante
Qui aiment la vie mais celle-ci leur a fait un baiser mortel
Quelques rimes que tu peux comparer aux larmes du soleil
Un jour de paix, tant qu'y'aura des hommes et des femmes qui
s'aiment
Mon coeur c'est pas une télécommande
Nous on veut tous une femme présente, même dans la tourmente
Chacun regagne son domicile, comme les tranchées
Ta couleur de peau peut faire de toi un étranger
Tu trouves ça normal ? Moi j'me sens chez moi n'importe où.
Citoyen du monde avec peu d'moyens mais libre au moins,
Au fond d'moi j'ai du mal à comprendre,
Quand j'vois ces mômes mal vêtus, mal nourris, victimes de
maltraitances,
Vitry, mon cadre de vie rongé par l'trafic d'l'amour au
compte goutte
Comme les aides humanitaires pour l'Afrique
Au coeur d'l'incendie, suffit pas d's'lever du bon pied,
Traverse les flammes courageux et brave comme un pompier.

Si la paix pouvait embrasser ce monde juste un jour,
Une trêve, une pause pour que l'on sache après quoi on
court.
Sait-on encore c'que signifie l'amour ?
J'ai bien peur que non, Dieux nous le montrent tous les
jours...
La planète tourne à l'envers, ça m'fait peur,
Voyez vous les flammes de l'enfer frères et soeurs.
Ne lui vendez pas vos âmes.

Comment rester insensible ?
La violence déborde, changer l'attitude de l'être humain
est-ce possible ?
Comment rester insensible ?
Une vie minable dans un quartier minable mais pour la peine
tant qu'c'est possible.
Blacko:
En tant que rasta man, je mène mon combat
Je l'appelle l'amour mais pour le diable j'ai des coups de
ton-ba.
J'lâcherai pas l'affaire, non je ne baisserai pas les bras
J'y croirai dur comme fer même quand mon coeur s'arrêtera.
Un jour de paix pour nos fils,
Un jour de paix pour nos filles,
Un jour sans que tout parte en vrille,
Un jour sans pleurs, sans haine, sans peur, sans peines
Un jour où tombe Babylone system.

J'suis un être humain comme tout l'monde
J'm'arrête aux choses sensibles,
Tu sais que même avec le temps les plus rebelles
s'assagissent
J'veux voir d'la joie au lieu d'la haine dans les yeux des
gens
J'ai d'la peine quand j'regarde les infos, et vois c'qui
s'passe sur notre continent
J'vis là où les jours s'confondent avec la nuit,
Là où aussi on laisse peu d'chances aux plus démunis,
Aux orphelins qui retrouvent l'amour dans un foyer
secondaire,
Dès leur enfance, bercés par la colère d'un père
Toutes nos valeurs sont écoulées dans les unes.
Une violence urbaine au milieu des nôtres.
Rêve d'une terre sans discriminations, sans conflits,
Tend la main à ceux dans la solitude
Comme ce p'tit paralysé sur un lit, qu'on voit qu'le bonheur
ce second souffle
Y'a des gens qui souffrent, et qui font pas semblant.
Pour tous les pays en guerre, j'agite le drapeau blanc.
Baissez les armes, séchez vos larmes pour un jour de paix
c'est maintenant.

Si la paix pouvait embrasser ce monde juste un jour,
Une trêve, une pause pour que l'on sache après quoi on
court.
Sait-on encore c'que signifie l'amour ?
J'ai bien peur que non, Dieux nous le montrent tous les
jours...
La planète tourne à l'envers, ça m'fait peur,
Voyez vous les flammes de l'enfer frères et soeurs.
Ne lui vendez pas vos âmes.

Comment rester insensible ?
La violence déborde, changer l'attitude de l'être humain
est-ce possible ?
Comment rester insensible ?
Une vie minable dans un quartier minable mais pour la peine
tant qu'c'est possible...

La chanson s'arrêta là,volant de nouveau dans les airs et propageant cette impression de paix.La niut était de nouveau chaude et calme,les étoiles brillant avec force dans le ciel.Toujours allongé dans l'herbe fraîche,Jamesi parla d'une voix calme,mystérieuse.

Combien de temps avons nous ?

Invité

Lîla vagabondait dans la forêt interdite, les mains dans les poches le regard vagabondant d'arbre en arbre, elle s'ennuyais un peu et cela se lisait sur son visage un peu inexpressif, la jeune fille laissait ses cheveux voler aux grés du vents avec quelques mèches lui cachant le visage... Elle en souffla deux trois pour pouvoir voir devant elle et tr`bucha en beauté sur une branche et se retrouva couverte de boue une fois relever... Elle en essuya du mieux qu'elle peu mais l'on voyais toujours un peu de boue coincer dans ses cheveux et sur ses vètement, mais `?a quoi bon essayer de tout enlever la boue commencais déjà à secher...

Elle soupira continuant sa route dans la forêt obscur l'air ailleur, et elle l'était, elle sentit quelques chose de froid... de glacial sur son épaule elle ce retourna brusquement, non ce n'était que sa chouette qui lui apportait un message, joyeuse vu le peut de courrier que l'on lui faisait elle saisit le parchemin enleva le petit cachet rouge cachemire et deroula le long parchemin dont l'odeur évauquais le bois moisit, elle lisa la lettre et devint pâle plus que l'on doit l'être d'une lettre amical du moins...

*Chère petite Leîla,
Je t'écrit cette lettre avec toute la peine que dieu ma donner aujourd'hui...
Ton Pére était malade tu te souvient?
Il ne l'ai plus ou du moins plus tout à fait...
Je tourne autour du pot mais il faut que tu sache...
Leîla ton père est mort
Il est partit au ciel
ne pleure pas, souvient toi il te disait que même eapres la mort vous vous revereriez
Rien est éternel, la mort non plus...
Viens à la maison si tu veux en parler et sache que je t'aime...

Ta maman...

PS: L'enterrement ce deroulera vendredi soir au cimetiere familial...*

Lettre brutal qui échappa aux doigts fins de Leîla pour glisser sur le sol, elle gardea les yeux grand ouvert... perdue dans ce qu'elle considerai comme une abandon de son père... Il aurait du se battre... Il n'avait aucune volonter pour survivre... pour elle... ou alors elle était une mauvaise fille... possilité qu'elle commencais à exploité plus profondement en marchant le coeur serrer mais ne reussisant pas à pleurer... se vider de son chagrin... impossible... Elle se posta contre un arbre observant eux jeune gens lui étant inconnu et à vrai dire en ce moment la cela ne la derangeais pas de rester totalement inconnu face à des gens...

Elle s'approcha d'eux silencieuse comme sa brise dans ses cheveux, elle marcha doucement hésitante et finalement detourna son chemin priant tout les dieux pour qu'ils ne l'aient pas remarquer ce qui étaient à vrai dire très peu probable... Elle soupira et s'accouda à un grand arbre un chêne probablement, elle n'en avait aucune idée elle n'aimais pas les fleurs, juste les rose... noires et blanches que son père lui offrais comme à une petite princesse les jours de fête l'invistant à danser...

hj.sorry rp minable mais j ai toujours du mal a commencer...

Invité

Question délicate et provoquation pour un grand esprit.Voyant que la jeune femme ne répondait pas,il sut tout de suite qu'il ne s'agissait en aucun cas de Silence.Les yeux fermés et profitant de la fraîcheur de la nuit,il se prêta à l'écoute attentive de chaque mouvement de la forêt autour de lui.Une chouette chantait doucement sur l'air qu'il venait de lancer à travers la nuit,les feuilles que le vent faisaient bruisser donnaient une impression de paradis nocturne.Comme la jeune femme devait avoir compris qu'il ne lui ferait aucun mal,il pensa à sa baguette,et celle ci lui revint en main,le bras tendu malgré ses yeux fermés.Il commençait à sentir un présence,quelqu'un se trouvait ici,tout près,marchant lentement.Une personne émotive se trouvait près d'eux et tentait de ne pas se montrer.Toujours les yeux fermés,d'un coup sec et sans prévenir,ils s'ouvrirent avec violence et on put alors voir dans la nuit deux points verts,seulement deux yeux verts pétillants fixant un chêne.Près du chêne une jeune fille presque invisible.Posant sa baguette derrière son oreille,il se leva doucement,et se demanda ce qu'il pouvait faire pour elle,bien qu'elle ne semblât pas consolable...

S'approchant d'elle,il remarqua alors plus loin dans l'herbe une feuille de papier qu'elle avait dût faire tomber sans faire exprès.Il saisit sa baguette et la pointa vers le bout de papier d'un geste lent.Le papier s'envola et vint se poser dans sa main.S'adossant à l'arbre,tout près de la jeune fille,il lut la lettre pour en savoir un peu plus.Elle annonçait la mort,encore et toujours la mort.Qui un jour parviendrait à éviter les flèches du temps,ces flèches mortelles qui tuaient un jour ou l'autre les vieilles personnes.Ayant finit de lire la lettre,il la replia et la tendit à la jeune fille,pour lui rendre gentillement et la mettre en confiance.Ensuite,il fixa droit devant lui,dans ses pensées.Que pouvait-il faire pour aider cette belle jeune fille à ne pas sombre dans le néant obscur,cet univers confiné où les humains noyaient leurs peines.La regardant à présent attentivement,il lui dit d'une voix basse et douce,une voix qui se voulait réconfortante et amicale,pure.

Je suis vraiment désolé pour vous...Essayez de ne pas tomber dans le néant à cause de la tristesse,la vie est faite comme ça.Pensez que de là haut,il ne souhaiterait pas vous voir dans cet état,qu'il veille sur vous d'un endroit où plus rien ne peut lui arriver.

Après avoir finit de parler,il commença alors à marcher lentement,se détachant de l'arbre et observant les alentours dans tous les sens pour trouver des indices à propos de Shakespeare.Rien du tout selon ses yeux pourtant entraînés à cela...Pourtant,l'intuition de Jamesi lui disait que l'homme était passé par là,à un moment ou à un autre,et que malgré ses précautions il avait laissé un minuscule indice.Retournant près de l'arbre,il remarqua alors au pied de celui ci des épineux.Et accrochés à ceux ci un bout de tissu rouge !!Se baissant et le ramassant,il se dit qu'après tous ces efforts,le voilà récompensé...Il l'examina,et vit qu'il s'agissait d'un bout de cape.La cape de Shakespeare,rouge selon la légende.Sortant une petite fiole,il glissa le tissu dedans et eu un petit sourire intérieur.Peut être était-ce un morceau de sa cape,peut être que son envie de trouver Shakespeare lui faisait imaginer des chose...S'adossant de nouveau contre l'arbre,il regarda la jeune fille de plus près.Elle était brune,très belle,avec des yeux bleus selon lui,car il ne pouvait pas bien y voir...Une charmante jeune fille,qui irait bien avec une certaine connaissance.Il ne dit rien,et se contenta de la regarder d'un air amical,réconfortant.Il lui dit d'une voix douce et calme.

Si tu as besoin d'une épaule pour pleurer,ou de quelqu'un,je suis là pour toi,je sais ce que ça fait...

HJ:Pas rave calin

Invité

Une ombre s'approcha d'elle avec des pas leger et lent, elle ne se retourna pas, méfiente et sentit une chaleur dans son dos qui la fit ce retourner en un leger pivotement du visage faisant onduler ses cheveux avec douceur et élégeance... Elle le regarda longuement le laissa parler, mais ses mots glissère sur elle comme sur une coquille... Une bulle... Elle resta muette n'entandant peut-être pas ses paroles mais ne les oubliant pas... Le jeune homme la vouvoyais pourtna tils devaient tout deux avoir aux alentours du même âge... Il dut s'en rendre compte car il continua en lui parlant enfin à la deuxieme personne... Elle souria... Ou du moins essaya sur son visage à present cela ressemblais plus à une grimace cas un sourire mais elle avait essayer pour lui faire plaisir...

Aprés lui avoir présenter son épaule pour pleurer elle le regarda étrangement, elle n'avait en aucun cas envie de pleurer... Les larmes ne viennent-il que par tristesse et non par souffrance... Ou du moins pour elle cela ce passait ainsi ... Elle resta silencieuse ne sachant que repondre aux jeune homme qui d'une certaine manière lui présentais son épaule comme il lui offrait son amitié... Mais Leîla avait toujours été d'une naiveter dangeureuse... Elle resta donc méfiente peut-être à cause de ses mésaventures sur l'amitié ou encore parce qu'elle avait la langue aussi nouer que le coeur...

Elle s'avanca vert le jeune homme posa doucement ses lèvres sur sa joues comme pour le remercier de sa présence et de s'inquiété pour elle et posa sa tête sur son épaules les yeux grand ouvert ne réalisant pas encore totu à fait la mort de son père, ne le connaissant pas elle gardait sa tête sur son épaule mais le reste de son corp bien à l'écart... Elle regardait le ciel sombres de nuiage annoncant l'orage ou la pluie... Mais sous les grands arbres sombres et imposant elle n'avait pas peur d'être touché par les gouttes de pluies... Elle soupira lasse... Une autre jeune fille un peu plus loin restait à l'écart et Leîla en voulut presque à Jamesi d'abandonner la jeune fille à qui elle parlais pour la réconforter...

"Merci... Mais ne la laissez pas... "

laissa elle en la pointant du doigt au loin, elle ne souriait pas et avait dit ses quelques phrases en un murmure fatigué lasse et sanglottant... Leîla avait chuchoter sa si bas qu'elle n'était pas sûre qu'il est entendu... Mais elle trouvais tout de même son gest très gentil... et ce demandais qu'elle force inconnu l'avait poussé à la rejoindre... Elle avait mis à part Jared qui la logeais rarement rencontrer d'homme compréensif et genereux se faisant souvent avoir par sa naiveter... encore cette maudite douceur et état d'ésprit *tout le monde est beau, tout le monde est gentil* qui abbatait Leîla après chaque relation amical ou autre...

Elle laissa le silence s'imposer laissant le jeune homme faire se dont il avait envie gardant sa tête sur son épaule comme rassurer... Elle ne pensait à rien l'ésprit vide l'air absente et dénuder d'éxpression, pale... Elle avait habituellement un caractère joyeux et gai plein de joie de vivre elle respirai la bonne humeur et l'innocence... Mais que dire? Il la rencontrait sous un mauvais jours pas de chance pour lui... Mais il aurait ou du moins elle l'ésperait pour lui l'occasion de la voir "normale"...

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Un cauchemard... Toujours ce même cauchemard... Pourquoi ce cauchemard... Que signifiait il? Allait il se passé quelque chose? Et si oui, Quoi? Jay Davis Dos Santos était quelqu'un qui se posait, depuis peu, beaucoup de question. Sachant très bien que le peu de temps qu'il avait devant lui avant de rejoindre Jamesi était perdu pour pouvoir dormir un peu, il repoussa ses couvertures d'un air las mais déterminé. Des cernes étaient visibles sous ses yeux mais lorsqu'il alla se passer un coup d'eau sur le visage ce fut comme si il pétait la forme. La preuve, c'est ce que ses mouvements étaient plus rapide dirons nous... Il retourna dans sa chambre et il se rhabilla rapidement. Il ne savait pas encore ce qu'ils allaient trouvé mais il y avait eut plusieurs indices... Alors autant y aller maintenant, même si Jay aurait un peu d'avance, ce qui ne fut pas le cas lorsqu'il arriva à la lisière de la forêt interdite et qu'il entendit s'élever de l'obscurité des bois, des voix.

Jay sortit de chez lui et vérouilla l'accès avec quelques enchantements et maléfices si on tentait d'entrée dans la salle d'une quelconque façon. Puis il fit trois tours dans le couloir de l'immeuble et il disparut comme si il n'avait jamais été là avec un petit "paf!". Quelques minutes après sa disparition, une porte s'ouvrit et un petit moldu viellard se fit paercevoir. Il secoua la tête et maugréa quelques mots avant de refermer à double tour la porte de son appartement. Jay apparut dans les contrés de Pré-au-Lard. Une brise se fit sentir sur ses cheveux. Ce soir là, il n'avait pas pris son habituel "chapeau basque" comme on lui avait fait souvent remarqué au bureau. Non, il était simple mais cela mettait en valeur son physique simple et sportif. Il fit quelques pas dans la campagne avant de retransplaner dans la rue principal de Pré-au-Lard. Dos Santos parcourut les quelques kilomètres restant à pied tout en ayant une main dans sa poche de jean où se situait sa baguette.

Il devait être minuit à peu près. La lune était à son zénith et éclairait les pas de Jay dans l'obscurité quasi-opaque avec la lisière de la forêt interdite. Il sortit sa baguette magique de sa poche et l'alluma à la fin d'un mot. Jay s'engouffra dans la forêt avec un petit air amusé qu'il avait lorsqu'il réfléchissait. Des paroles se faisaient entendre à chaque pas foulait dans cette contrée d'arbres, et plus il s'approchait des voix, plus l'intensité de la baguette diminuait. La lumière était quasi éteinte lorsqu'il vit Jam' et deux autres filles. L'une devait être encore élève et l'autre, une sacrée jolie jeune femme. Jay, ne put se retenir de penser que c'était un jolie petit lot lorsqu'il se rappela qu'il n'était pas là pour cela mais pour autre chose...

- Jamesi?

Jay sortit du fourré doucement. Il fit un signe de tête à son collègue du département de la justice magique et il regarda les jeunes femmes avec un sourire qui était sa manière de les saluait. Puis il reporta son attention sur Jamesi et l'interrogea du regard sur la façon dont il allait s'y prendre car avec les deux jeunes femmes, leur tâche se verrait plus difficile étant donné qu'ils ne pourraient s'exprimer tout haut.

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Quelle douce nuit,brisée malgré tout par la tristesse d'une jeune dame si proche de lui,pourtant entièrement inconnue à lui.La douleur,il la connaissait, pour avoir dût assumer tout seul la mort de ses parents,tués par des mangemorts,dans d'atroces souffrances.Si encore ils étaient morts sans douleur,mais cela en était trop.Lorsque Jamesi lui présenta l'épaule,la jeune femme le regarda étrangement.Il eu un petit sourire réconfortant et retourna à sa contemplation des étoiles.Il entendit les bruits de pas de la jeune dame se diriger vers lui et ne broncha pas.Il sentit ses douces lèvres se poser sur sa joue avec douceur,et sentit sa force et son courage se décupler,son ardeur à trouver des indices et à les chercher revenant à son maximum à ce moment précis.Après cela,la jeune demoiselle posa sa tête sur son épaule,et un petit sourire amical éclaira le visage du jeune homme.Elle avait finalement confiance en lui en ce moment.Ne faisant aucun geste de peur de l'offenser ou quoi que ce soit,il regardait un peu partout à la recherche de nouveaux indices sur Shakespeare.Un buisson bougea,lui ne bougea pas.Il se tint prêt à sortir sa baguette,et attendit calmement de voir de quoi il s'agissait là.Un petit sourire amusé et amical apparut en voyant sortir Jay de la touffe d'herbe et un petit rire le secoua légèrement ne le voyant plein d'air...

Regardant ça,il entendit la douce voix de la jeune femme le tirer de son hilarante vision et lui montrer du doigt la jeune élève qui l'avait abordée en cette soirée.Il ne sut que répondre,enfin,il avait déjà une idée de la réponse.La jeune fille là bas semblait assez agressive et cela lui déplaisait assez.Et puis elle était élève,et elle n'avait rien à faire là.Il ne souhaitait pas discuter avec elle et être attrapé par le personnel de Poudlard en pleine mission.Jamesi entendit son nom se faire murmurer par Jay qui voulait apparemment être sûr que c'était lui.Il lui fit un petit clin d'oeil,et lui fit comprendre d'un geste discret de la main de commencer les recherches en essayant de ne pas se faire voir par la jeune fille.En parlant de ça,il ne savait comment faire pour rechercher la chose lui aussi tout en réconfortant la jeune dame.Son coeur lui disait de rester là,et d'aider cette jeune dame à aller mieux.Il aimait sentir sa tête posée contre son épaule,et se décida difficilement à bouger.Celle ci le regarda d'un air intrigué.Il se rapprocha d'elle,et lui murmura près de l'oreille pour que personne d'autre qu'elle ne l'entende.

J'ai perdu mes deux parents,dans un combat entre sorciers...Je comprends la douleur,la souffrance.Mais cela ne doit pas vous empêcher de vivre.Au contraire,je suis sûr que vôtre père ne voudrait pas vous voir comme ça.

Il lui fit un petit sourire triste et se retourna,fixant les étoiles en étant toujours adossé à l'arbre.Ses pensées se mélangeaient.Il se demandait si chaque étoile pouvait être une personne morte.Cela était une idée de gosse,mais ne l'avait jamais quitté depuis.Maintenant,il était sûr que c'était faux,mais cette hypothèse lui revenait souvent en tête.Tiré de ses rêveries par un bruit,il vit Jay en train d'inspecter les lieux et en fit de même du regard pour l'instant.Allaient-ils trouver quelque chose d'autre que ce malheureux bout de tissu ou rentreraient-ils bredouille et honteux au ministère.Si il devait rentrer les mains vides,il se dit qu'il valait mieux ne pas rentrer du tout.Ses yeux allaient d'un buisson à l'autre,à la recherche de sang,de tissus ou même d'objets laissés tombés quelque part par ici.Comment pourraient-il coincer Shakespeare ?Le meilleur moyen était de penser comme l'ennemi.Sur cette réflexion,il se répéta qu'il cherchait à rejoindre l'Ordre de Shakespeare,pas à le détruire.Peut être le sorcier voulait-il jouer avec eux,leur laisser des indices qu'ils devaient trouver en faisant marcher leur petite cervelle.A cette pensée,un petit sourire vint érafler son visage...

Il se retourna pour regarder si des inscriptions n'avaient pas été laissés sur l'arbre auquel il était adossé.Après tout la probabilité qu'il ai laissé des indices exprès était grande.Et ces indices les mettraient sur des fausses pistes certainement.Toute cette histoire n'était qu'un grand jeu dont Nathan Shakespeare était le maître.Et Jam',Jay et tous les autres n'étaient que des pions sur l'échèquier.A cette pensée il serra les dent set chercha des indices du regard,sans aucun autre mouvement de son corps.Ses yeux allaient et venaient sur le paysage à l'aurée de la forêt.Il était obligé de trouver quelque chose...Et Jay,où en était-il lui....

HJ:Et vilà ^^'

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Leîla silencieuse ne vit pas Jay apparaitre non loin d'elle pourtant, lorsque Jamesi lui murmura quelques paroles à l'oreille elle ne répondit pas, toujours un peu triste, normal non? Mais cela passerai, le temps apaise les souffrances mais ne les effaces pas... Elle s'assaya contre un arbre et vit que Jamesi semblais chercher quelqu'un ou quelques chose avec apparamment beaucoup d'entrain, ele hésita à lui proposer son aide, mais elle se rappella que les homme détéstait demander ou avoir besoin de l'aide d'une femme... Elle soupira trop macho mais bon, elle ne voulais en aucun cas blesser qui que se soit dans sa digniter et de plus elle était trop fatigué pour pouvoir être utile en quoi que se soit, même si elle avait eu une volonter irréprochable... Elle soupira la tête poser contre le creux de l'arbre regardant à travert les feuilles le ciel plutôt sombre... Il allais pleuvoir dans... 3 2 1... il pleuvais... et pas qu'un petit peu des cordes, mais elle était très bien la finalement voyant que l'ambiance aurais put être plus chaleureuse elle lanca d'une voix amusé

<< Le temps idéal pour un pique nique >>

Elle souria et ferma son sac à main à clip, hort de question qu'il soit remplis d'eau... Finalement une fois que ces cheveux furent aussi mouillé que des éponges elle les éssora de la main et les remis en un geste en arrière, l'eau lui degouilnais sur le visage, mais Jamesi restait la imperturbable comme si il n'avait même pas vu la pluie battant sur son frond, il cherchais quelques chose de precis comme l'oiseau cherche un nid, imperturbablement il ne cessait pas, semblant angoisser, et curieux... Leîla resta muette, le regard songeur, elle regarda dans les buisson et vit deux yeux... (c'est Jay... XD) elle saisisa sa baguette la serrant aussi fort dans son poing qu'elle le pouvais, elle tendit discrètement le bout vert l'arbuste et murmura un incedio, la pluie n'empechant pas les flammes de se propager sur tout le buisson celui-ci pris feu, mais apparament la chose dans le buisson était partit depuis longtemps, Leîla le laissa bruler jusqu'as ce qu'il ne laisse plus qu'un petit tas de cendre sur le sol cherchant de quelle tête les deux yeux pouvais bien appartenir ...

<< Hey... Y'as quelqu'un, je le sait j'en suis sure...>>

lanca elle à l'adresse de Jamesi qui lui semblais indifferent, elle pesta, elle détestait que l'on ignore ses dires, il ne semblais pas plus affoler que sa, tant pis elle exterminerai la créature toute seule coute que coute... Elle ce leva et chercha les deux yeux elle regarda derrière un arbre et tomba ... le nez direct dans un tee schert, elle fit une petit grimace et releva la tête, un jeune homme plus grand qu'elle la regardait bizzarement... Leîla faillit hurler et le tapper aussi fort que ses petits poings le lui permettaient mais son sang froid et le fait que cela serait totalement inutile l'en empecha... Elle le regarda un instant et murmura glacial

<<Qui êtes vous?>>

Le regard de l'inconnu était impenétrable, elle le regarda avec toute la froideur dont elle était muni, il les éspionnais? Il tentaient de trouver un moyen de les tuer? de le kidnapper? de les tuer? de les manipuler? plein de questions lui trottait dans la tête et elle se trouva soudainement un peu trop jeune pour être parano... euh

Elle soupira baissa un peu le regard pour le regarder de haut en bas, il était grand, trop musclé pour qu'elle ce mesure à lui physiquement et elle avait laisser tomber sa baguette en lui rentrant dedant... Leîla ne sut pas trop quoi faire, tenter le cou en lui tappant dessus aussi fort qu'elle le pouvais ou s'avouer vaincu? Finalement la fièrter triompha en Leîla elle commenca à lui tapper l'épaule aussi fort qu'elle le pouvais mais elle se rendit bien compte qu'elle ce faisait bien plus mal aux poins qu'elle lui faisait mal à l'épaule... ^^'

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Jay ne savait pas du tout de quoi les deux personnes parlaient. Il était complètement largué sur le sujet mais il ne tenta pas à s'y engager pensant peut être que cela ferait pas assez cool... Après tout, c'était peut être un sujet privé... Jay trouvait bizarre le comportement de Jam' car il semblait heureux... Comment pouvait on être heureux dans des moments pareils???? Jay était, encore une fois, largué sur la question... Il se mit d'ailleurs à penser qu'il était un peu trop larguer depuis qu'il s'était levé tout à l'heure... Le Porto Ricain se dit qu'il aurait du rester coucher... Non, il secoua la tête et retourna à la recherche d'indice mais il fut en quelques sortes interpellé par la jeune femme qui s'était approché de lui. Encore une fois, il était beaucoup trop près d'elle... Et à chaque fois, il était mal à l'aise... Non pas qu'il était gay... Loin de là... Il ne manquait plus que ça quoi... Il y avait déjà l'un de ses frères alors là son père se suicidait....

- Qui suis je? Cela ne vous regarde pas... Par contre, nous avons une connaissance commune qui est cette personne. Pis, j'ai un conseil à vous donner... Ne devenais pas maniaque à la baguette magique parce que vous avez fait à cet arbuste est mauvais... Peut être vous souffrez.. Peut être vous déprimez... Mais perdez vite cette habitude.... Elle pourrait vous nuire...

Il montra Jamesi du doigt puis il reporta son attention sur l'environement. Comment pouvait on trouver des indices sur le sorcier le plus puissant qu'il est jamais existé? Alors que même les maraudeuses auraient du mal à se mesurer à lui... Vraiment quoi... Mais, peut être est ce pour cela, mais Jay trouvait ce personnage fascinant... Pourquoi? Pour son talent à se cacher... pour ses pouvoirs magiques... Pour sa résistance envers les Maraudeuses lors de la prise de Poudlard... Bref, il poursuivit avec la jeune femme.

- Néanmois, je m'appel Jay Davis Dos Santos... Mais Jay suffira... Et vous qu'elle est votre nom? Mrs? Et que faites vous là? Si tard dans la nuit?

Jay n'aimait pas vraiment être dérangé lorsqu'il travaillait car il ne pouvait s'empecher de parler donc, il ne travaillerait pas beaucoup et c'est surtout ce qu'il fallait éviter car c'était une mission de la plus grande importance que de faire des recherches sur le Sorcier Shakespear... Jay s'appuya contre un arbre et il croisa ses bras. Que fallait il faire? Envoyer promener la femme pour qu'il puisse enfin parler avec Jam' sans être déranger? Ou la laisser là, à les empecher d'avancer correctement dans leur enquête...

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Leîla le laissa parler sans grande conviction, elle savait bien qu'il ce passait quelques chose, quelques choses que les deux jeunes gens s'obstinais à lui cacher, elle croisa les bras et répondit par la suite presque froide

<< Déjà d'une ce n'est pas une habitude mais un reflexe, de deux c'est Mademoiselle pas madame, et de trois je m'appelle Leîla ... Leîla Mc Gowan... Sinon en se qui conserne ma présence ici, quoi que cela puisse vous interessez, cela ne vous regarde en aucun cas...>>

Elle avait beau faire une tête de moi que lui cela ne l'empêchais pas d'avoir été très seche, elle avait horreur que l'on la prenne de haut et que l'on la mette à l'écart, elle hésita soit elle restait la et donc les forcaient à divulguer ce qui les mettaient dans ce drole d'état soi elle partait dés maintenant prendre le train pour aller voir l'enterrement de son père... Elle decida finalement après avoir trancher qu'elle partirai, cela ne la regardait pas et cela ne l'interessait pas non plus, elle qui était pourtant d'une curiosité dévorante, fit quelques pas en direction opposer un peu plus profondement dans la forêt, elle n'avait pas envie de se prendre la tête trop de chose la préoccupais, la securité de sa mère, de sa soeur et de Jared... Leîla soupira marchant d'un pas lent n'ayant pas pris la peine de saluer les deux autres jeunes gens.... Une fois qu'elle fût assez engoufré dans la fôret pour ne plus percevoir le moindre rayons de soleil, elle bondit sur un arbre et ... s'endormi...

Flash Back ...

Elle arriva dans la salle de bain de Jared et tomba à la renverse... A cause... d'une grille... Une main sur la bouche elle paniqua, Jared, un loup garou? Impossible, non pas lui... Pourtant malgrés la peur qui eu engourdit tout ses membres elle reussit à y faire fasse, comme si cette grille n'était jamais apparut devant ses yeux... Et finalement elle le compris compatie et decida de tout faire pour ne pas que les autres sache, pour ne pas que l'on le capture... Et chaque jours elle avait peur...

Flash Back...

Elle se reveilla en sursault, alerter par des bruit, elle regarda autour d'elle il ni avait rien pourtant, elle saisisat sa baguette, bien qu'elle n'en n'eut pas besoin pour allumer un feu elle était tout de même prette à ce deffendre coute que coute. Leîla regarda autour d'elle, elle entandait les froissement de feuilles autour d'elle, tournant autour d'elle... Soit la chose marchais vite, soit ils étaient plusieurs... Et Leîla prefera songer à la première options... Elle regarda partout mais rien... Rien que du bruit et finalement lanca d'une fois calme et poser mais claquante

<<Qui est la ?>>

Plus rien les pas cessèrent, mais elle ne baissa pas la gardent toujours perturber par une présence qu'elle redoutait, elle attendit quelques minutes et les pas revinrent plus près cette fois, pourtant elle ne voyait rien ... Etrange, au bout de quelques secondes un ecureuils lui bondit sur les genoux... Elle le regarda et éclata de rire... Voila donc la source de tant de bruit? Pourtant elle savait qu'on l'observait mais ni pretta que peu d'attention observant l'écurueil d'un drole de regard

<< Bah alors petite bête... t'en fait du bruit pour ton gabaris...>>

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[HRP: Salut Leîla! Je ne te réponds pas car je laisse le Temps à Jamesi de faire sa réponse sinon, il sera dépassé par toute la lecture qu'il devra faire mais dans ton rp,à un moment, tu dis qu'il fait soleil alors que dans mon RP et celui de Jam', il y fait nuit... Voilà! J'èspère que tu ne le prends pas mal!]

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[HJ: okai okai, bon bah il fait pas soleil il fait lune XD ]