Saleté de paperasse!

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H.J/ Des personnes intéréssés peuvent venir dans ce topic comme c'est le ministère je ne mets pas de PV mais ce topic est surtout une rencontre entre Iranoe et moi^^'

Mackye avait reçu peu après sa recente place d'apothicaire, une lettre livré par express par un hibou assez mémorable. En effet la plupart des hiboux se contenter de livrer le colis ou la lettre mais celui-là attendait une lettre en échange. Le plus impressionnant c'est qu'il resta exactement 2 jours sans dormir ni manger ni boire attendant patiemment la lettre que Mackye devait renvoyer. La lettre que cette étrange hibou avait apporté 2 jours auparavant, était une lettre du ministère. Cette lettre lui disait de se rendre dans les plus brefs délais au second niveau de minstère pour un contrôle sur son magasin pour savoir que tout ce qu'il vendait était légal et passait plusieurs examens pour savoir tout sur son passé. Bref c'était un test, qu'effectué le minstère aux gérants de boutiques des tests psychologiques et tout autre pour savoir si ils sont apte à gérer un magasin. Plus le magasin était grand plus le test long et intensif. Mackye ne le disait pas mais pensait que c'était complétement inutile et surtout stupide d'effectuer de tel test. Mais bon il ne dit rien, après tout cela lui changera de vue un peu, resté toujours sur le chemin de traverse 24 heures sur 24 il commençait par connaître tout par coeur et avait besoin de changer d'environ. Son rendez vous s'annoncez à 13h30, il partit de chez lui à 9h et visita un peu Londres entre temps. Mackye s'acheta même des vêtements de moldus et s'en véti, le temps était dégagé il mis ses lunettes de soleil une chemise blance moldu et passa une merveilleuse matinée. Enfin s'annonçait 13 heures, Mackye décida de déjà se rendre au ministère. Il aperçu une cabine téléphonique et attendit, une voix féminine lui demanda ce qu'il venait faire ici, quel était son nom son prénom. Après tout une série de question, elle lui donna par l'intermédiaire de la cabine un badge avec inscrit dessus "Visiteur". La cabine changea et comme les moldus qui appel cela un ascenseur, la cabine descendit. Il vit le niveau 1, niveau consacré au 1er ministre il ne bougea pas et attendit. Quelqu'un monta dans la cabine c'était une femme jeune d'appenrence et il sentait en elle une intelligence insoupsonné. Mackye ne voyait que son dos et ne savait donc dire si elle était une visiteur tout comme lui. L'ascenceur descendit encore et atteint cette fois le niveau 2. Sans parler Mackye descendit et ne pris pas la peine de voir le visage de cette femme. Néammoins elle descendit elle aussi, Mackye sentit les regards sur lui, peut-être aurait-il dû se changer et mettre sa robe de sorcier. Mais qu'importe il se moquait bien des autres il était ici et ceux dans un but précis. Il se dirigea donc vers un comptoir où était assise confortablement une femme assez agée. A en voir son visage méprisant Mackye comprit qu'elle devait le prendre pour un de ses moldus parent d'enfant né de pouvoir magique et non pas un autentique sang pur. Elle avait tort de le regarder comme ça, elle n'était qu'une sang mélée. Mais qu'importe tout cela, Mackye voulait en finir au plus vite. Il regarda donc cette "charmante" secrétaire et lui dit:

" Bonjour j'ai un rendez vous à 13 heures 30 pour effectuer des tests je suis le nouveau gérant de l'apothicaire..."

La femme le regarda d'un air incrédule se disant si elle ne venait pas de révée, Mackye F. Leonetti était le gérant de l'apothicaire et il était un homme des plus influents dans quasiment tout les domaines. Mackye comprit vite qu'elle allait faire la fayot et connaîssait bien se genre de personne. Avant que la secrétaire est pu dire un mot de plus, Mackye avait la tête toute retourné. En effet il venait d'entendre ses mots:

" Merci Mme Sayuri.."

Or Mackye savait que ce n'était pas un nom très répandu, la seule personne qu'il connaîssait et qui porte le nom de Sayuri était une de ses anciennes élèves de l'école de magie de Salem. Pour ne pas dire la meilleure de toute, Mackye se souvenait comme si c'était hier de ses cours particuliers qu'il avait donné à Iranoe, des joies lors de l'obtention de ses BUSE et ASPIC et la tristesse de la voir partir. C'était comme sa fille pour lui et si son instinct disait juste cette femme dont il n'avait vu que le dos était très certainement Iranoe! Il chercha du regard où pouvait-elle être à présent, la secrétaire ne comprenant pas ce qu'il se passait lui parlait étant sûr que Mackye réflichissait a ce qu'elle disait mais il n'en écoutait pas un mot. Là non loin de l'ascenseur marchait d'un pas pressé cette femme au dos (lol). Il courut mais n'eu pas besoin de courir plus, elle venait de faire tomber une feuille en marchant mais par malchance elle ne s'en était pas rendu compte. Mackye effectua alors avec sa baguette dans sa poche un "accio" sur la feuille et l'attrapa au vol. Puis avec précipitations il courut mais il était trop tard elle allait entré dans l'ascenceur! Alors Mackye risquant le tout pour le tout, et brandit sa baguette et dit:

" Dispersions" toutes les feuilles de la femme se dispercèrent et là elle fut bien obligé de s'arrêter. Mackye cacha sa baguette et courut vers elle. Il s'arrêta à 10m d'elle et ne disant rien, peut-être c'était-il trompé peut-être que non peu importe, ne voyant toujours que son dos il dit d'une voix grave:

" Puis-je vous donnez un coup de main? "

Iranoe avait ragé une bonne partie de la matinée quand on lui avait demandé de réécrire le résumé du dernier procès. Elle avait fallit massacrer la secrétaire qui était venue avec le mot d'un de ses collègues qui se pensait supérieur parce qu'elle était nouvelle et jeune. Pourtant, elle s'y était mit... Elle avait recopié toute la matinée, sans prendre une pause. Aux alentours de 13 heures, une quarantaine de page étaient entassées sur son bureau. Quand la jeune femme eut un soupire lassé quand elle eut finit de tracer le dernier mot sur l'ultime parchemin. La jeune femme s'étira avec une grâce féline avant de se lever, jeter les brouillons dans la corbeille et de les faire disparaître. Elle soupira en attrapant les parchemins qu'elle avait couverts de son écriture fine durant toute la matinée. Le regard sombre, elle sortit de son bureau. Elle croisa une secrétaire qu'elle foudroya du regard. Elle se dirigea vers l'ascenseur, monta au premier.

D'une voix glacée, elle indiqua à la secrétaire qu'il fallait qu'elle donne les parchemins au ministre afin qu'il les lise. La femme acquiessa, malgé le fait qu'elle soit vexée du ton que la jeune femme avait employé à son encontre. Indifférente, Iranoe lui avait alors sourit narquoisement tandis que la secrétaire s'éloignait. Iranoe attendit patiemment que la femme revienne... Ce qu'elle fit une dizaine de minutes plus tard... chargée d'une liasse de papier. D'une voix mielleuse, elle lui demanda.

-Pouvez vous descendre ces papiers à celui qui vous a envoyé ici? Il faudra qu'il les signe et qu'on les descende aux archives.

Le regard d'Iranoe se fit glacé. Elle prit les papiers sèchement avant de dire en lui tournant le dos.

-Je ne suis pas une secrétaire... Je ne suis pas payée à ça... mais vous si... Si on continue comme ça, vous finirez à la rue...

La femme eut un hoquet, signe qu'elle était choquée. Iranoe lui jeta un regard méprisant avant d'appuyer sur le bouton pour que l'ascenseur s'arrête... ce qu'il fit quelques secondes plus tard. Iranoe plissa le nez quand elle se rendit compte qu'il n'était pas vide. Elle ne jeta pas le moindre regard à la personne qui l'occupait avec elle, se contentant de lui tourner le dos. Enfin, l'ascenseur s'ouvrit sur l'étage -2, la jeune femme sortit et se dirigea instantanément vers le bureau de celui qui lui avait confié son rapport à recopier. Elle lui tendit les feuilles et allait sortir quand il l'arrêta. Sans un mot, il lui tendit une autre liasse de papier sur laquelle il y avait noté "Archives". D'une voix glacée, Iranoe lui fit remarquer.

-Je ne suis pas secrétaire et encore moins votre boniche...

Ce fut alors qu'il eut une parole malheureuse. Il leva son visage vers Iranoe et lui dit d'une voix où l'ironie était clairement perceptible.

-Merci Mme Sayuri...

Iranoe s'approcha alors du bureau, attrapa la fiole d'encre et la versa doucement sur le crâne de l'autre en murmurant d'une voix vénéneuse.

-Déjà, c'est Miss... Ensuite, c'est la dernière fois que je fais votre sale boulot. La prochaine fois que vous avez quelque chose à faire et que vous venez me voir, je vous promets que vous le regretterez...

-Ce... Ce sont des menaces?

-Non la réalité... Je suis à égalité avec vous, retenez le...

Sans faire attention à l'homme, elle reposa la fiole à présent vide sur le bureau, attrapa la liasse de papier et sortit du bureau avant de se diriger vers l'ascenseur. Agacée, elle ne fit pas attention à la feuille qui s'échappa du paquet. Quand, quelques mètres plus tard, elle sentit toutes les feuilles s'échapper, elle poussa un juron en japonais avant de se baisser pour les rammasser. Soudain, une voix masculine se fit entendre derrière elle. La jeune femme se figea en la reconnaissant... M. Leonetti... Avait elle rêvé? Elle se redressa, serrant les quelques feuilles qu'elle avait rammasé contre elle, avant de se retourner lentement vers la voix. Quand elle fut face à lui, elle resta muette un instant. Elle ne s'était pas trompé... C'était bien lui... L'esquisse d'un sourire hésitant se dessina sur son visage. Elle murmura.

-Mackye? .... Monsieur Leonetti?

Elle laissa un instant passer, durant lequel elle s'interrogeait sur ce qu'elle devait faire. Elle sentait l'envie de se précipiter dans ses bras mais en même temps, il y avait du monde à cet étage... Qu'importe... Un sourire radieux éclaira son visage tandis qu'elle se jetait littéralement dans ses bras. Elle avait laché les papiers qu'elle tenait. Une fois qu'elle fut contre lui, elle se blottit instinctivement contre lui, comme la dernière fois qu'elle l'avait vu... avant de partir de Salem.

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Mackye c'était toujours demandé pourquoi, pourquoi il existait à la fois des personnes excessivement "parfait" et d'autre dont il se demandait s'il existait vraiment une signification. Pour Mackye dès la première fois qu'il avait vu Iranoe qui était élève à l'école de Salem à ce moment il ne put qu'être stupéfait. Il se croyait le seul au monde à être intelligent et beau mais lorsqu'il aperçu cette "jeune" femme il en fut même ému par sa beauté. Le temps passait Mackye et Iranoe avait une relation disons beaucoup plus proche que doivent avoir un élève et un professeur. Mackye cependant n'en profitait pas pour abuser d'elle, la protégeant plutôt comme un père ou plutôt un grand frère. Il comprit cependant qu'Iranoe n'avait pas besoin de lui... Lui professeur de potions il fut bien le seul à remarquer son "don" pour cette matière, un don que Mackye ne possédait même pas. Lui le virtuose des potions, l'enfant surdoué se sentait complétement dépassé par cette élève. Certains professeur, disons beaucoup de professeur n'aurait pas accepté une tel élève corrigeant les fautes des enseignants, mais Mackye considéra cela comme un défi et d'ailleurs si aujourd'hui il est considérait comme l'un des plus grands apoticaires au monde il ne peut cependant oublié qu'Iranoe à un jour trouvé le moyen de lui apprendre quelque chose...
Alors en voyant Iranoe se retournait au son de sa voix il l'a trouvait changeait. Oh elle était tellement belle, ce n'était plus cette fille qu'il lui avait dis au revoir il y a de celà des années, elle avait grandi pas seulement sur le plan physique mais sur d'autre point on pouvait voir de la rage. Mackye avait toujours trouvait de la rage en Iranoe mais lorsqu'il était avec elle elle était "différente". Aussi losqu'elle se retourna Mackye comprit qu'elle ne pouvait donnait sa joie de le revoir devant un si grand public, Iranoe regardait bien trop souvent le regard des autres au goût de Mackye cela était un défaut qu'il n'avait su lui enseigner. Mackye considérait ça comme une faiblesse, il ne détestait pas la faiblesse il était lui même faible mais il détestait que l'on se considère faible. Néammoins Iranoe avait bel eh bien changé et quand il vit qu'elle sauta à son cou, il ne put laisser s'échapper une larme. Une larme qui voulait tout dire pour lui. Il la sera durant une éternité le temps, la vie, les hommes il ne pensait à rien tel était sa joie de retrouvait Iranoe. Il aurait tellement voulu parlait lui dire un mot pour lui exprimer sa joie mais rien ne sortit. Mackye n'avait jamais vraiment pu exprimer ses sentiments librement. Il sentait qu'un boût de son âme perdu depuis la nuit des temps venait lui donné enfin la joie..
Le temps passa, Mackye commença à lâcher Iranoe, il ne savait pas ce qu'elle ressentait et ne savait même pas ce qu'il ressentait lui mais une chose est sûre ce n'était pas autre chose que de la joie. Mackye sortit sa baguette sans même la faire bouger, toute les feuilles qui était tombé se retrouvèrent toute dans sa main classé par ordre très soigneusement. Il sourit voyant le sujet dont parlait les textes écrits mais son sourire s'éffaça aussitôt qu'il était venu lorsqu'il vit que c'était l'écriture d'Iranoe sur ses parchemins il la reconnaissait trop bien pour avoir lu ces devoirs.
" Je ne pensais pas que tu te souviendrais de moi.." Puis lui adressant les parchemins il demanda: " ..je m'attendais encore moins à ce que la plus brillante sorcière qui n'a pas existé depuis plus de 100 ans se retrouve secretaire."
Les doigts de Mackye était couvert de bagues en or et en diamant une possédait un gros rubi rouge sang. Cela ne faisait aucun doute qu'être le nouveau propriétaire de l'Apothicaire du chemin de traverse impliquait d'être fortuné. Mackye ne connaissait pas les parents d'Iranoe mais il eut un souffle d'indignation. Si seulement il avait su!
" Ira, explique moi ce que cela signifie silteplaît.." dit Mackye tout en faisant apparaître un banc et deux menthe à l'eau qui était le péché mignon de Mackye. :p

hrp: voilà plus d'un mois de retard... un record je crois lol je pouvais faire plus long mais non il n'y a pas de mais lol!

Blottie dans les bras de Mackye dont elle savourait pleinement l'étreinte qui lui avait tellement manqué au fil des années qui les avait séparé. Son visage caché au creu du cou de l'homme, elle ne vit pas la larme qui glissa sur sa peau... mais elle n'avait pas besoin de ça pour comprendre qu'il était heureux de la revoir... comme elle était heureuse de le revoir. Elle se souvenait de la dernière fois qu'elle l'avait vu. Leurs adieux avaient été déchirants mais elle s'était donné un point d'honneur à ne pas pleurer devant lui, pour ne pas qu'il souffre plus. Elle avait tenté de lui faire comprendre de ne pas s'en faire pour elle et que malgré les années, elle ne l'oublierait pas.

La jeune femme soupira tandis qu'il la lâchait doucement. Distraite par sa joi de retrouver Mackye, elle ne le vit pas rassembler les parchemins qui étaient au sol et qu'elle avait lâché pour se jeter dans ses bras. D'une voix douce et amusée.

-Comment veux tu que je t'oublies, Mackye? Tu es l'une des personnes les plus importantes pour moi.

Elle le remercia d'un sourire quand il lui tendit les parchemins. Son sourire s'effeça tandis qu'il lui faisait une remarque. Iranoe se mordit la lèvre inférieure sans relever. Elle se contenta de passer une main dans ses cheveux sans oser regarder Mackye. Elle savait ce qu'elle était mais voir que Mackye la pensait être devenue une secrétaire la blessait profondément. Sans un mot, elle se dirigea vers le banc et s'y assit. Elle laissa le silence entre eux. Elle finit par lui répondre.

-Je ne suis pas secrétaire, Mackye. Je suis membre du Magnemagot... même si mes "collègues" s'amusent à croire que parce que je suis nouvelle, je dois leur servir de secrétaire. Je sais que c'est peut être pas à cela que tu t'attendais de ma part. Je sais que j'aurais dû devenir apprentie en potion mais tu vois... J'ai eu quelques imprévus...

La jeune femme soupira. Elle bataillait pour garder son sang froid. Elle finit par demander.

-Tu... Tu ne veux pas qu'on aille dans mon bureau pour continuer, Mackye?

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Il se doutait bien qu'elle l'appréciait mais s'entendre dire qu'il était important par Iranoe avait un effet sur Mackye de reconnaissance, pour lui le plus beau cadeau au monde était l'importance l'aide qu'il pouvait apporter aux perssonnes.

" Je n'avais pas pensé jusque là que.." mais Mackye ne dis plus un mot, se contentant de sourire. Mackye vit qu'Iranoe fut en quelque sorte "blessé" par sa remarque qu'elle était devenu une simple secrétaire. Bien sûr Mackye se doutait bien qu'elle n'en était pas une et ceux il fallait voir sa robe de sorcier, aucune secrétaire n'aurait un salaire assez confortable pour se permettre un tel luxe.

" Membre du Magnemagot? " dit Mackye surpris par la réponse d'Iranoe. Alors comme ça elle avait complètement changé de voix.
* Elle a fait sa route et pris un autre chemin que celui auquel elle méritait..* pensa Mackye

" Ces collègues sont comme ça car ils ne te connaissent pas, s'ils savaient ce dont tu es capable je doute qu'ils soient toujours comme ça avec toi."
" En effet je ne m'attendais pas à ça.." dit Mackye pensif mais très vite il revint à lui et regarda Iranoe, après tout être membre du Magnemagot relevait déjà de la reconnaissance mais Mackye savait qu'Iranoe méritait mieux! Pour lui cela ne faisait aucun doute à son départ de Salem cette fille ira loin plus loin que je ne suis jamais allé! Mais pourtant Iranoe avait choisi la justice. Lui le célèbre apthicaire, globe trotter qui a passait sa vie dans l'aprentissage parraissait avoir la cinquantaine alors qu'il n'avait que 26 ans. On remarqué une grande sagesse en lui, Mackye était ce que les moldus appelé un "philosophe" un homme à la recherche de la sagesse, qui sait qu'il ne sais pas mais qui veut apprendre à connaître un maximum.

" Quelques imprévus?" demanda Mackye

Il remarqua qu'elle semblait sous le coup de ses émotions et il ne voulut en dire plus. Il connaissait trop bien Iranoe pour savoir qu'elle ne supportait pas qu'on la "traite" de secrétaire. Pour elle cela devait être comme une gifle, une gifle que Mackye lui avait donné inconsciemment.

* Je suis désolé * voulait dire Mackye mais rien ne sortie pour lui s'escuser signifiait s'abaisser dire qu'il avait tort or il n'avait rien fait de mal juste poser une simple question, donc pour lui elle n'aurait pas droit à d'escuses lol.

" Naturellement Iranoe, je te suis d'ailleurs.." Mackye regarda la femme qui semblait l'attendre depuis une éternité il lui lança un petit sort de confusion l'oubliant aussitôt mais en même temps marquant un prochain rendez vous avec Mackye..
" ..mon entretien est terminé."

-Oui, évidemment... tu n'y avais pas pensé. Mais comment veux tu que je juge quelqu'un qui a été aussi proche de moi et qui continue à l'être? Un simple jouet? Je t'ai donné cette impression, Mackye? A ton avis, pourquoi je me suis jetée dans tes bras avant de partir de Salem?

La jeune femme lui jeta un regard. Elle ne lui en voulait pas de ne pas avoir pensé qu'il était l'une des personnes les plus importantes pour elle. Elle savait ce qu'elle avait été à Salem: un adolescente très renfermée sur elle même et beaucoup trop soucieuse du regard des autres. Elle n'avait guère changé depuis les deux ans et quelques qui la séparaient de Salem... Elle était toujours aussi renfermée sur elle même mais elle se fichait un peu plus du regard des autres... Elle tenait juste à coeur le fait d'avoir une certaine... "respectabilité" pour ne pas discrédité son poste... Ensuite... Elle s'en fichait.... Et puis, elle n'avait plus aucune gêne à utiliser ce qu'elle avait apprit au fil des ans...

Elle l'écouta lui répondre, un sourire désabusé aux lèvres. Quelques instants plus tard, elle lui répondit.

-Il y en a un qui vient juste de comprendre que je n'étais pas sa secrétaire... Il a... reçu de l'encre.... Ca devrait se calmer...

Elle acquiessa simplement quand il lui demanda les imprévus. Elle ne voulait pas lui en parler ici, il y avait trop de monde et ces "imprévus" était d'ordre beaucoup trop personnel pour qu'elle les énnonce ici. La jeune femme se leva tandis qu'il lançait son sort de confusion. Un fin sourire ironique se dessina sur ses lèvres tandis qu'elle se dirigeait vers la secrétaire et lui disait d'une voix tranchante.

-Ces papiers sont pour le premier étage... Amenez leur, je vous prie.

Sans même attendre de réponse, elle se détourna de la secrétaire et fit signe à Mackye de la suivre.