Catharina Bellucia

Identité :

• Prénom et nom : Catharina Bellucia
  
• Date de naissance : 1960
  
• Sexe :

Féminin

Physique :

• Cheveux : Elle a les cheveux blond, avec des mèches qui partent au dessous des blonds, pour être fine et caché, elle a aussi des mèches rouges violacées du même style que les autres. Ses cheveux son soit vallonné, soit plat, et sinon elle leurs fait des drèz, et elle met souvent des bijoux dans ceux si.
  
• Yeux / regard : Un bleu inoffensif et tendre, qui cache toute sa vrai personnalité. Elle a habituellement un regard de tendresse et langoureux, mais quand le jeu commence, elle se plaque un air placide et renfrogné.
  
• Visage / expression et couleur de peau : Elle a le teint de la femme Espagnole, et elle aime le soleil et la beauté de la vie simple. Elle essaie toujours d’être à son meilleur, mais qui est parfait.
  
• Taille : Elle mesure 180centimètre, mais ses jambes effilé sont le du de cette grandeur phénoménale.
  
• Corpulence : Elle a de jolie poignée d’amour sur ses hanche de femme mur. Elle a un faible 120lbs, qui la rend énormément attirante.
  
• Signe particulier : Elle a un tatou dans le cou, qui est un lapin gris.

Caractère :

• Qualités : Catharina est une femme simple, qui se contente de simple chose. Elle aime les couchés de soleil, tout comme les levés, elle trouve cette astre une astre de lumière et de regain de vie. Elle aime rire et blaguer entre ami(e), et aime la luxure et la passion violente, si c’est elle qui mène.
  
• Défauts : Elle est violente, quand la passion est trop, elle cache en elle un être sans scrupules et sanguinaire. Son dédain pour la solitude, la mène dans tout endroit qui lui serais prospère pour développer sa méchanceté. Elle déteste les personnes qui n’ont pas la luxure dans les veines et le bon parler aux personnes inconnues.
  
• Ce qu’il aime et ses passions : Elle adore son gros berger allemand, qu’elle laisse dans sa maison, et qui garde bien le domicile familiale. Elle aime marcher et chanter, elle aime les inventions fastidieuse des modlues, et elle adore se projète dans l’inconnue du moment. La vie, qui peut s’arrêter à tous moments.
  
• Ce qu’il déteste et ses phobies : Elle déteste les personnes qui ne font que parler et parler et parler, sans écouter, elle même une auditive, elle déteste que les autres ne pense qu’à leur nombrils. Elle déteste le tutoiement, mais elle s’y résigne, quand le moment lui est obligatoire.
  
• Tic : Elle passa sans arrêt sa langue sur ses lèvres.

[/list]Histoire :

• Origine / Nationalité / Ascendance (sang) : Elle est d’origine Espagnol, et a garder de son faible linguiste régionale. Elle est maintenant une habitante de Londres depuis peu, ayant pris le manoir Belluccia comme demeure à ses 15ans et cinquièmes années d’études à Poudlard.
  
  
• Lieu d'habitation :
  
  
  • Localisation géographique : Londres, au dehors de la vie magique, dans le fin fond des bois. Des sortilèges réserve hallucination au trépassement d’individus de son vaste terrain de campagne.
    
  • Style d'habitation : Un ancien manoir, changer en maison rustique, au yeux des passant et yeux trop fouineur. Mais tout cette magie, ne d’élimine pas sa vrai identité de vaste et somptueux manoir. Un bon deux étages, étaler sur des mètres et des mètres. Ses pièces sont tous aussi somptueuse, et la cuisine, se sépare de la salle à manger énorme, qui donne accès à un fumoir pour homme, qu’elle à changer de salle de thé pour femme mature et autres. Le deuxième étages, est conçus que pour les chambres plus immense les une que les autres, ralliés a une chambre de bains chacune. Celle ou elle demeure, se compose de soie, d’un mauve fushia, et des cousin fushia. Les tableaux dans sa chambre démontre un portrait de femme noble et se montre à leur plus beau atout. Elle les fait partir, quand elle va se coucher, voulant de sa pudeur simple. Les autres tableaux, ne sont que nature morte et sans pouvoirs, sauf l’une d’elle, qui bouge en disant un mot précis et à la perception de la voix de la jeune femme. Celui-ci, débouche sur des souterrain magique…
  
  
  
• Enfance : Jeune et étourdis, elle vivaient avec sa mère veuve depuis bien longtemps, elle était fait d’un homme tué par des sorciers, mais elle ne se dérangea de se manque que par le manque d’affection qu,elle retrouva dans les bras de sa mère surproductrice. Elle avait rentré dans une école primaire de son petit coin de pays de l’Espagne, et elle avait une troupe d’ami plus réputer les un des autres, elle trouvait ses gens si facile, si immature, qu’elle rechercha au près des autres niveaux plus vieux, et se fonda dans un mur du rejet. Une colère noir lui montant à la tête, la fit passer pour une fillette qui aurais besoin d’être soigné. Elle avait fait milles bêtises pour se faire accepté, tout comme le fait de changer d’apparence, pour être aimer dans cette autres accoutrement. Ceux qui ne l’aime pas, elle ne les aimeraient jamais. Elle leur fit plein de coup pendable, et se manège prit fin, quand sa mère la vit prodigué un sortilège d’enfflement sur une jeune fille qui riait auprès d’un jeune homme que la jeune Catharina aimait depuis bien longtemps. Sa mère la gronda sévèrement, et elle ne retourna pas à cette école, et changea de petit village, pour aller à Londres ou sa mère s’installa dans la demeure de ses parents déchu par la mort. Elle s’y plaisait, et élabora ses pouvoirs magique grâce au bon soins de sa mère. Sa mère fut bien surpris en voyant sa fille dormante, qui changeait de couleur de cheveux, quand elle dormait paisiblement. Elle se rappela de ses grand-parents, et la figure souriante de la mère de sa mère lui vint à l’esprit, une matémorphomate.
  
• Scolarité à Poudlard ou autre école de magie : Elle rentra à ses onze ans à Poudlard, école qui avait accueillit ses parents et grand parent, et avait fait d’eux des gens respectable. Elle se vit vite faire une bande d’amie au près de personne de deuxième années. Son cercle d’amie, tout comme ses notes furent prometteuse, et sa deuxième années commençait parfaitement. Elle trouva un ami de cœur, mais il lui fit le plus grand affront en partant pour la délaisser pour la meilleur amie, qui devint ennemis de Cath. Elle leur fit tout les coup possible, et les ennuies par dessus ennuis se multipliait pour se couple. Un jour le jeune homme revint vers elle, mais elle lui laissa la prestance, de se tenir au près d’elle, et dans le noir d’un place dans les cachots, elle lui fit voir qu’on ne devait pas se jouer d’elle. La joie de cette tyrannie, la fit prendre goût, et les autres garçon qui la côtoyait toute ses années vinrent au même supplice. La troisième années fut splendide, avec tout ses garçons qu,elle put mettre à ses pieds et en faire une extase de la tyrannie légère. On était à l’école quand même. En troisième elle coula son histoire de la magie qu’elle ne remit plus jamais le pied dans cette classe. En sixième, son pouvoir de métamorphomage lui fut utiles, elle put séduire encore les jeunes hommes un à un, et les remettre à ses pieds. Son école fut bien drôle, et elle en fut contente de ses note maximale en sortilèges. Se cour était l’un des plus grande fierté de cette jeune femme farouche .^^
  
• Vie après sa scolarité : Elle alla déclarer son métabolisme différent des autres au ministère, et sentit le goût prononcé pour une nouvelle aventure. Sa mère retourner en Espagne, elle avait le manoir à elle, et elle seule. Elle y logea et fit de cette endroit un antre à la luxure et la beauté de son amitié qui fut moindre, auprès de jeune femme et jeune homme qu’elle aimait et il l’aimait bien en retour. Par contre, cet endroit fut que pour elle et ne consentit pas à héberger des personnes de sa connaissance avec elle.
  
• Famille : Son père prénommé Ivan, vécu en Espagne tout sa vie, jusqu’à ses études à Poudlard, et repartit pour y marier ma mère. Un homme d’une carrure faible et à la santé fragile, il fut un mange-mort étant vivant, et fut tuer par un malheureux problème de compte entre aurore et mange-mort.Sa mère prénommé Nolwenn, une femme surproductrice, se fit voir la beauté de la langue, et de la façon distingué que les personnes perdaient au grès des année qui coulait comme l’eau sur le roc. Elle eu l’héritage de ses parents, puis celui de son mari tuer prématurément. Elle en eu assez pour une centaine d’années encore.Cath n’a jamais eu de sœur, et sa famille maintenant si loin, elle ne sait pas si elle à des cousin et cousine caché.
  
  

Baguette :

• Description : Un bois de saule pleureur, avec un forme de femme sur celle-ci. L’intérieur se compose d’une plume de phénix.
  
• Son acquisition : Ollivanders
  
  

Vie de votre personnage désormais:

• Situation Familiale: Riche et bine aise, elle à un manoir ou elle y habite maintenant seule. Elle n’aurais pas à travailler, si le temps ne serais pas si long.
  
• Métier: À voir
  
• Avez-vous le permis de transplaner ? oui, il y a depuis bientôt trois ans.
  
• Quel camp: celui des méchant, mais ma connaissance pourrais bien être profitable pour le coté bon
  
  

Ses rêves et ambitions pour l’avenir : Elle veut avoir une vie paisible, parsemé de frivolité avec des hommes, tout plein d’hommes à ses pieds ^^

-Nom et prénom : Catharina Belluccia
-Age : 20 ans
-Ancienne maison : Serpentard

-Faculté(s) demandée(s) (préciser l'animal pour l'animagus) : Métamorphomage

-Motivations rédigées (5 lignes complètes minimum, 10 si vous voulez être occlumens ET légilimens) : J’aimerais être Métamorphomage, pour une bonne raison, mon destin imprévisible de femme rebelle qui veut être celle qui détient le plus d’hommes et personnes à ses pieds et d’en faire des pantins. S’ils se sauvent, elle les rattrapera sous un autres aspect. C’est la moindre des choses qu’une femme doit avoir pour faire comme le caméléon et se fondre dans l’univers de la méchanceté et la luxure qui apporte mille appât dans sa toile, comme l’araignée et les moustique ^^. Bien qu’elle veule que se petit pouvoirs soit visible, au milieu du ministère, elle ne le démontera à personne, sauf s’il dort avec elle. Elle à se petit quelques choses, qui s’appelle rêve et qui la rend incontrôlable.

-RP à créer (20 lignes complètes minimum, 30 si vous voulez être occlumens ET légilimens) :

La jeune femme baissa la tête, de la honte de ses mots troublants. Elle se mordit les lèvres de ne pas connaître ses sentiments, et serra les poings de toute cette peine qu’elle décelait dans le monde entier. Elle repensa à des mots entendu la fin de semaine passé, et les chanta à vive voix, sachant que personne n’était à proximité.




Elle se mit à danser sur ses paroles qu,elle répétait ne connaissant pas la suite et trouvait cette partie si tendre, si explicite, et si muette. Ses mouvements doux et brutales, détenait de sa facilité à faire trépasser ses sentiments dans ses gestes.La nuit était glaciale, elle portait une robe ancienne, aux couleur douce, qui était la couleur de la neige nouvellement tombé, une dorure en son bas, et des motif sur son bustier. Les épaulettes bien bombé, et sous cette tenue, un petit porte baguette qui serais bine utile, si une personnes malfaisante se pointerais le bout du nez.

Elle avait les épaules au chaud, et elle émanait une certaine chaleur vitale qui ne lui ressemblais pas. Elle sortit de sa rêverie habituelle, et se mit en marche sur un chemin qui était pas plat, et sa démarche avait un air non sur et bouteuses, elle recherchait quelqu’un pour l’aider à porter fruit sa soif de vengeance et de connaissance, mais qui pourrais l’aidée.

Elle se questionna quelques instant sur se sujet, quand un bruit la fit frissonner, un bruit sourd et discret. Elle pensa sur le chant à une araignée, sinon autre bestiole qui lui fessait frissez la racines des cheveux. Elle se mit à marcher plus vite, jusqu’à un point plus Éclairé de la lune.

Elle s’installa sur une stèle qui ballotta, mais s’enleva immédiatement, et elle tomba. Elle s’installa sur une autre plus stable, et regarda celle qui venait d’éclater en morceau par son seule appuis.

La chercha des yeux la lune, et si intégra. Elle y décelait une peine incomprise, une fabulence t'elle comme celle ou elle se laissait choire. Elle trouvait le moment doux et sans freins pour tout faire arrêter. La seule chose qui lui manquait, c,était d,avoir à tyranniser un homme entre ses mains, entre ses besoins de femme sanguinaire.

Validé et accepté.