EVASION { PV Gustave }

Laissez moi m'echaper rien qu'une journée. J'en ai déjà marre de Poudlard. Marre de passer pour la petasse de service alors que dans le fond je suis une fille douce comme une peau de bébé. Ne regardez pas que mon apparence, car vous ne verrez en moi que la fille accro au sexe et à elle, à elle et c'est tout. Si seulement vous me connaissiez, peut être que vous verriez que je suis tendre au font de moi et que les personnes qui m'entourent sont aussi importants de ma petite personne. Si seulement vous ne voyez pas que la salope de service en moi, la seductrice d'homme qui se fait sauter un peu partout dans Poudlard.

Enfin, on peu dire ça, mais depuis l'année passée elle c'était un peu calmer. On la voyer de moins en moins avec divers mec, partant vers les toilettes, les dortoires ou un placard à ballais, en faite, depuis la rentrée, on l'avait vu avec aucun mec, sauf ses amis bien sûr. Mademoiselle se serrait elle calmer ? Peut être bien, en tous les cas, elle c'était apperçue d'un manque dans son coeur, l'amour. Ah l'amour aller vous me dire, tous le monde le veux. Mais quand on s'appele Sylia Ansqworth, on ne le connait pas, jamais. Never.

À 13 heurs 30, ce dimanche, Sylia était sortie, sortie à prés au lard, sans rien dire à personne, après tout, elle était lrgement majeur et n'avait d'ordre à recevoir de personne, peronne sauf d'elle même, si son corps lui dit marche, elle marchera, si son âme lui dit saute d'un pont, elle sautera d'un pont, nous sommes les seuls maîtres de notre destins.
Bon, okay, elle était sortie, mais elle ne pouvait quand même pas aller trop loin, le soir même fallait qu'elle soit rentré avant les cours du lendemain, si elle ne voulait pas se prendre encore une heure de retenue sous le fait qu'elle séche les cours.
Pré au lard était pafait. La jeune blonde alla s'assoir à son banc préfrer, juste en face de la maison hurlante, et pensa, pensa à habandonner ses etudes, et à trouver l'amour. Dur dur la vie d'une fille de 18 ans

[ Désolée Emy, mais j'ai pas arriver à bien le finir ^^' Désolée ]

« Bonjour Miss! Qu'est-ce que vous faites là loin de tout ce beau monde de Pré-A-Lard à vous prélasser devant une cabane grinçante sans intérêt ? »

Gros yeux. Lentement, Sylia tourna les yeux, regardant la personne qui c'était assisse à côté d'elle. La jeune femme retint un sourire moquer, un rire même. Alors là elle rêver comme jamais elle n'avait rêvé. Un clochard d'après elle, un clochard ex bouffondor, enfin, d'après le foulard qu'il avait autours du cou.

« Vous êtes du ministère peut être ? Non, alors je ne vois pas en quoi ça vous intéresse ! »

Sylia n'arrêter de pas de se dire qu'elle devait être plus gentille avec tout le monde, mais c'était plus fort qu'elle, dés qu'une personne venait lui faire chier dans n’importe qu'elle situation, elle se mettait sur les nerfs, même si ce n’était pas grave. Reprends-toi Sylia. Souffle. Redevient gentille, calme toi.

« Désolée. Excusez moi, c'est habituelle chez moi. Je viens juste me balader, c'est ici mon endroit préférer, c'est calme et apaisant ici et sa change de Poudlard aussi. »

La jeune blonde, cacha son nez sous son cache nez, après qu'un vent froid ne sois passé. Au longs, ses yeux se posèrent sur la cabane hurlante, dite la cabane la plus hanté de grande Bretagne, mais ça ne lui faisait absolument pas peur, enfin, c'est se qu'elle disait, vous connaissez les serpentards, toujours à vanter alors que au font ce sont de vrais trouillard.

« Et... Puis-je savoir ce que vous, vous êtes venu faire par ici ? D'habitude il n’y a jamais personne ici ! »

Sourire. C'était rare chez Sylia, mais pour une fois qu'elle était gentille et qu'elle souriait fallait mieux en profiter, car on ne sait jamais quand elle va redevenir elle, quand elle va redevenir à la conscience et redevenir la Serpentard de mauvaise humeur perpétuelle qu'elle est à Poudlard.

« Pourtant c'était bien Poudlard. Enfin le peu de temps que j'y suis resté c'était cool. Z'êtes dans quelle maison? »

Ah. Mais qu’elle question. La meilleure des maisons, enfin d’après elle, de toute façon tout le monde crois que la maison dont il fait partit est la meilleur. Sourire. Doucement, elle leva ses beaux yeux bleus vers le jeune homme, sourire aux lèvres.

« Serpentard. Contrairement à vous, j’aimerais quitter se trou à rats. »

C’est vrai. C’est chiant de passer encore une septième année à Poudlard. Sylia ce n’est pas le style de fille à aimer les cours, plutôt celle à se balader dans le couloire interdit et faire chier les gens en permanence. Elle le regarda tiré sur son foulard de bouffondor, elle n’avait rien contre lui, juste contre son foulard, la couleur de son foulard.

« Oh je viens parfois méditer ici. Quand l'envie me viens. Les grincements sont relaxants...Et personne ne vous entend quand vous criez là dedans...Vous voulez essayer? »

Gros yeux. Il allait dans se machin ? Il est pourtant hanté. Ses yeux devint paniqué, elle le regarda droit dans les yeux,, quoi, il lui proposser de venir dans se gros machin ? Il était dingue ou quoi ? Courageux et incontient oui.

« Vous êtes dinges, ce gros truc branlant est hanté, j’ai aps envie de me faire bouffer. Mais… j’ai toujours rêvé d’y aller, mais j’avais trop la trouille pour y aller. »

C’est connu ça, ils veulent mais ne font pas, courage zéro. Elle le regarda avec un sourire. Elle était gentille, il semblait gentil bien que son sourire de vendeur d’assurance moldu la dégoûtait plus que tout chez lui.

« Ah. Au faite, je suis Sylia Ainsworth, élève chez Serpentard pour la deuxième année consécutive !! »

Et oui. C’était bel et bien la deuxième année en septième. Ah', on peu pas vous dire combien Sia aimerait se casser de Poudlard.

« Bon alors on y va ? Au pire je me cacherais derriere vous pendant que je prend mes pieds à mon cou. »

Sourire.

« ...Ah? Vous êtes en deuxième...? »

Gros yeux. Quoi ? Non elle est pas en deuxième, elle pas l’air du petite naine quand même. Sylia sait qu’elle est petite en taille, mais de là à croire qu’elle est en deuxième année… faut pas abuser. Ou alors elle c’est mal exprimé, ça lui arrive parfois, quand elle va trop vite à vouloir parler, ou qu’elle pense en même temps.

« Non, je suis pas en deuxième, je suis en deuxième année de septime année, j’ai 18 ans, je ressemble quand même pas à une mioche de 12 ans ? »

Sur le coup ça avait fait sacrement peur à Sylia. Son cœur c’était mit à battre plus fort. Ils approchaient de la cabane hurlante, et son cœur battait encore plus fort, à tous les coups elle allait rebrousser chemin, elle le sentait en sois.

« Appellez moi Zermatt. »

« Vous êtes Allemand ? »

En même temps, elle était pas sencé savoir que c’était son nom de famille. La porte de la maison s’ouvrit, Sia jetait des regard appeurait de partout, à la recherche d’un fantôme, de quelque chose. Ca faisait vraiment peur cette endroit ? Non vraiment ? Oui vraiment. Ah Sylia arrête tes conneries.
C’est assez bien éclaire, mais ca donne la chaire de poule, on a l’impression que quelque chose va nous bondire dessus à tous moment.

« Bah c'est comme vous voulez, y'a pas de problème. Si vous avez si peur, vous devriez peut-être partir maintenant...Avant que Les loups garous ne se mettent à jaillir entre les trous du plancher. »

Hein ? Des loups Garous ? Faut êtres dingues pour parler de ça à Sylia dans une telle situation.

« Il y a des loups Garous ? »

Elle ne réfléchissait même pas que on était en pleine journée. Sa voix se faisait apeurée et méfiante.
Le jeune homme avançait, comme si de rien était, comme si il n’avait pas peur et Sylia restait là. Derrière elle, la porte de la maison claqua et son premier réflexe fut d’attraper la main de la personne la plus proche qu’elle, en conséquence Gustave, et de cacher sa tête contre cette même personne. Bouge plus. Plus le moment elle sert juste le jeune homme contre elle, les yeux fermer comme si elle est sûre qu’elle va mourir dans la minute qui suit.

« Mais non voyons, les Loups-Garous c'est la nuit. Vous n'apprenez pas ça en Défense Contre les Forces du Mal? »

Silence. Sylia avait maintenant honte d’elle. Bien sûr, qu’elle était conne, les loups-garous c’était la nuit. Elle le lâcha rapidement, remettant ses cheveux derrière ses oreilles dans un air mal alaise.

« Heu… Oui je fais partie du groupe de défense contre les forces du mal, mais pour tout dire j’ai une fâcheuse tendance à ne pas y aller. »

Hé oui, Sylia à plutôt la tendance à ne pas aller en cours. Qui sait ce que l’avenir va lui faire faire ?
De ses yeux bleus, elle dut le jeune homme jusque au canapé, canapé qui la dégoûte faut t’il le précisé ?
Après quelques sorts, la banquette à côté de Gustave était propre. Avant de s’asseoir elle regarda quand même de plus prêt. Assisse, elle avait l’impression de sentir les ressort en dessous, mais elle ne disait rien, enfin… pour le moment.
Le jeune homme ouvrit son sac, des petits bruits en sortirent, ce qui provoqua chez Sylia un sursaut, elle ne s’attendait absolument pas à ce style de bruit dans cette vieille cabane. Regardant à côté d’elle, elle reconnue les objets de chez Zonko. Sourire.

« Vous travaillez chez Zonko ? »

On pouvait pas dire que c’était une de ses boutiques favorite, mais c’était toujours bien d’aller la bas, ca faisait rire et les objets étaient très utiles, enfin d’après elle.

« J’adore cette boutique, même si ca fait longtemps que je n’y ai pas mis les pieds. »

Elle attrapa un des truc du jeune homme, pour y regarder de plus prêt.

« Faites attention avec ça...Ça....tache. »

Sourire. Sylia léve un peu plus haut l’objet pour voir ce qui pouvait bien tacher, mais elle ne trouvait rien. Ce ne fut que au moment où elle était prête à lui rendre l’objet bizarre, qu’elle vu qu’il c’était mis en marche. Elle le regarda à nouveau comme si il aller lui sauter en plein visage, fallait mieux qu’elle lui rende le plus rapidement possible, connaissez Sylia, tellement parano qu’elle croit même que ses propres amis essaye de lui voler son image, mais là c’était plutôt qu’elle croyer que le machin aller essayer de la tué.

« Lâchez la! »

Hein, quoi ? Cette fois elle fut prise de panique, elle jeta l’objet rapidement, sans même regarder où il avait atterrie. Tout se qu’elle peu dire avoir senti et vu à se moment là, c’est Gustave l’aillant attraper vers lui et la cachant du machin chose bizarre. Mais, arrivant à passer le bout de son nez quand même, elle put voir se qui sortait de ce truc, des espece de resort gluants vert, rouge et noir.

Quand vint le moment de devoir se lever, Gustave continuer toujours de la cacher, donc, ce fut lui qui se leva en premier, laissant apparaître un dos plein de de zigouigouis vers, rouges et noir, donc un venait à peine de lui tomber sur le font. Pour Sylia, c’était complètement le fou rire totale, pourtant, il lui en avait beaucoup ces temps ci. Restant allongée sur le sol crasseux, tout aussi morte de rire que Gustave, il lui fallut quand quelques bonnes dizaines de secondes pour se calmer.

« Votre machin est génial, quoi que pas encore au point. Quand se serra fini il serra extra.»

Sourire. Elle plonge son regard bleu, dans son regard marron. Toujours allonger sur le sol, par flémardise de se lever.

Doucement, elle se redressa à un peu, jusque à s’asseoir sur le sol grade. Sylia se remettait petit à petit du fou rire, qu’il était bon de ne pas être à Poudlard, avec une personne gentille qui travailler chez Zonko. Finalement elle n’avait plus peur, cette cabane grinçante était sympatique et pas dutout hantée. Sourire. Elle le regarde fouiller dans son sac.

« Tendez moi vos mains, je vous promet que celui là ne tache pas et ne fait pas mal. »

Ses yeux se détachent de ceux du jeune homme pour regarder ses mains fermées, que peut-il donc bien cacher là dedans ? Sylia est curieuse et lui fait confiance, elle tendit ses mains vers lui, ce forçant à regarder autre part pour se faire un effet de surprise à elle-même.

« Vous allez aimer. »

Elle ne peu s’empêcher de jeter un regard, d’abord vers ses mains fermées, puis vers son ressort vert sur son front. Sourire.

« Allez vite, j’veux voir. »

Exitation. Vite vite, Sylia voulait savoir, elle était impatience. Ses yeux bleus se refermérent alors que son visage exprimé la joie et l'impatence de savoir. Allez vite.

« Ah mais non! Si vous me brusquez vous ne verrez rien! »

Ah’ mais c’était pas de sa faute, Sylia c’était la fille super impatiente qui aime pas que on lui cache des choses, sinon elle croit que vous essayer de la trahir ou de lui faire un coup bas.

« C'est...Génial! »

Vite. Qu’il lui montre, elle était pleine d’excitation, c’était génial d’après lui, ce qui lui faisait complètement réveiller son impatience. Deux autres fois, Sia se sentait exploser, elle commença par se mordre la lévre, d’abord légèrement puis se la mordit à sang. Ah’ puis surprise, le jeune homme ouvrit ses mains.
Grand sourire. La visage de la jeune fille semblait complètement concis, pourtant, jamais un objet ne lui avait fait un tel effet, d’habitude son cœur de Serpentard aurait rit au nez du jeune homme pour lui avait montré un truc aussi ridicule. Mais pas aujourd’hui, une chose bizarre avait prit Sylia, la laissant être aussi douce, gentille que les filles normales de son âge.

« C’est magnifique. On dirait tellement la réalité... un vrai. »

ça semblait tellement fragile aux yeux de la jeune blonde, qu’elle n’osait même pas le toucher plus que le bout des doigts. Doucement, ses yeux se levèrent vers Gustave, le regardant une nouvelle fois droit dans les yeux, ce sourire radieux accrocher à ses lèvre. Elle rit. Puis sa main se leva, douce, tendre, c’était si rare, presque dans une caresse, elle enleva le ressort vert du front du jeune homme. Sourire. La vie est belle parfois.

« C’est magnifique. On dirait tellement la réalité... un vrai. »

« Merci, c'est le premier de la collection. J'en ai trois copies chez moi histoire de les modifier sans perdre l'original...Si vous me promettez de ne pas le montrer avant le lancement officiel, j'vous en fait cadeau... »

Dit-il avec une brillance dans l'oeil, il ferme la main de la jeune fille sur l'oiseau qui dès qu'il se retrouve dans le noir se tait et cesse de bouger. Comme si dans la pénombre il reprenait son apparence de simple objet de collection. Silence dans les grincements de la cabane tandis qu'il la regarde, scrutant dans le bleu des yeux de la blonde...Il se redresse puis lève la tête vers le plafond. La main de la jeune fille s'avance vers lui, il aurait reculé si il l'avait vue venir mais dans un mouvement doux, elle tire avec une certaine force sur le ressort de son front. Il la regarde simplement avec le même sourire.

« J'peux vous faire confiance? »

Quelle question...En fait il ne lui faisait pas vraiment confiance mais avait comme une envie incontrôlable de lui faire un cadeau...

« Merci, c'est le premier de la collection. J'en ai trois copies chez moi histoire de les modifier sans perdre l'original...Si vous me promettez de ne pas le montrer avant le lancement officiel, j'vous en fait cadeau... »

Quoi ? Elle avait bien entendue, quelqu’un lui faire un cadeau ? Ca devait pas être arriver depuis des années et des années, bien sur on compte pas les parents. Ses yeux se baissèrent vers ses propres mains, Sylia semblait complètement stupéfaite quand ses mains se refermèrent sur l’oiseau qui se tu, c’était comme si elle n’avait jamais eut de cadeau.

« J'peux vous faire confiance? »

La question qui tue. D’habitude se serrait bien dure de lui faire confiance, faire confiance à une Serpentard comme Sia, ce sont les pires. Mais il peut lui faire confiance. En elle, elle fit juré son propre cœur de le faire garder confiance en elle. Sylia ne le trahira pas, pourquoi ? Parce qu’il y a quelque chose qui l’empêche, une chose qu’elle ne connaissait pas avant. Amitié, Sympathie, Gentillesse ou peut être même… amour ? Qui sait, elle ne connaît pas cette sensation, elle ne la ressent que très peu vu comment elle est encore émue par ce cadeau.

« Vous pouvez me faire confiance. »

Emotion. La juene blonde lui sauta dans les bras, posant sa tête dans le cou du jeune homme. * Musique du destin de Lisa quand Lisa pense à David… Okay je sors XD *

« Il est fragile, faites-y attention. »

« … Comme de la prunelle de mes yeux ! »

Oh putain. Oulah. Pourquoi il fait ça devant elle ? Faut être complètement dingue. Sylia sait très bien reconnaître les beaux hommes quand elle en voit et là sous ses yeux bleus, le jeune homme venait d’enlever son haut. Une bouffée de chaleur prit possession de Sylia, ce qui ne fit que accentué se sentiment inconnu qu’elle ressentait depuis quelques longues minutes. Regarde autre part.

« Bon...Eh bien moi, j'ai du travail au magasin...Vous voulez m'accompagner? »

Hein ? Heu quoi… ? La jeune blonde c’était comme endormie quelques secondes. Elle regarda le jeune homme. La blondinette se releva, frottant ses fesses pour ne pas avoir de poussière sur ses vêtements. Elan bizarre. Elle n’avait pas put le retenir, jamais elle n’avait fait ça comme ça, sans même réfléchir, sur une simple envie. Son geste et ses paroles étaient parties sans même qu’elle puise faire gaffe.

« La seule chose dont j’ai envie pour le moment… C’est de vous. »

Impossible de le retenir. Juste Sylia qui avait eut son elan, avait déjà posé ses lèvres contre les siennes, mais c’était dur, il était bien plus grand qu’elle.
Sachant qu’elle ne tenait plus que l’oiseau d’une main, l’animal c’était remit à pialler vu qu’il n’était plus dans le noir.
Je t’en prit ne me rejete pas, c’est si nouveau pour moi.

« La seule chose dont j’ai envie pour le moment… C’est de vous. »

...Hein? Il n'a que le temps de se retourner, un sourcil arqué qu'elle est déjà collée contre lui, les lèvres sur les siennes...Comment ça s'appelle déjà? Ah oui, un baiser...Jamais il n'avait tenu à être approché par la gent féminine. Il s'en fichait en fait...assez pour dire beaucoup. Il n'avait rien demandé! En fait ni même pensé à quelque chose du genre. Il l'avait trouvée gentille mais c'était tout! Il ne savait pas lui que normalement elle pouvait être méchante et sans scrupules à Poudlard. Pour lui elle était une jeune fille de Poudlard avec une année en trop qui était venue perdre un après-midi avec un farceur expérimenté, en l'occurence lui même...

Des tas de choses lui viennent à l'esprit en même temps...Et si elle voulait coucher avec lui? Oh non, il n'était pas...Il n'était pas...Comment dire...Expérimenté dans la chose...? Il n'avait même jamais VU une femme nue! Bon faut pas exagérer...Les magasines ça existe...Mais en vrai peau vraie réelle...Non, jamais. Les yeux grands comme des assiettes, ouverts, il n'était pas tellement grand...Juste assez pour dire qu'il regardait son front plutôt que ses yeux...Quand elle recule, il perds l'équilibre et vacille pendant quelques secondes avant de se reprendre...

Les sourcils élevés (HJ -Demi sourire sourcil élevé...Haha! Allusion pour les connaisseurs de Dollaraclip *Rit toute seule* C'est bon j'arrête. Ahem.) il la regarde...confus, littéralement. Il ne sait aucunement comment réagir à une telle déclaration, une action aussi brusque, aussi...Non mais c'était quoi ça?!...Il ne l'avait pas rejetée...Il avait été surpris...Et très décontenancé.

« Euh... »

Dit-il bêtement sans trop avoir eu conscience de l'avoir dit...Il est littéralement hors d'usage maintenant...Pourquoi?..Jamais personne n'avait fait ça avant...Jamais personne n'avait été un tant soit peu attiré par lui...

hj: nous sommes là par demande.

Pique niquer un mois de novembre... Ca se fait. A Pré au Lard aussi? Ca aurait pu être chez Less, mais il y a beaucoup d,él`ves un peu partout et la jeune femme ne veut pas se faire envahir. Elle tient au status incognito de sa demeure.

Donc, ils marchent dans les sous bois, Hess en bon toutout tenant le panier de pique nique spécial protection contre la bave dans sa gueule, suivant les deux professeurs d'un air guilleret.

Mais quand l'urgence de la situation se fait sentir, quand l'émeraude devient plus brillant, le bleu plus enfiévré. Quand les lèvres se font plus indiscrètes et les mains baladeuses, il faut trouver une planque. Surtout à la quantité de jeunes se baladant dans les sous bois. Il faut donner l'exemple!

Une chance, la cabane hurlante n'est pas loin. Juste assez pour que l'attente devienne torture. Une promenade en apparence innocente, des regards jetés à gauche et à droite. Une porte qui s'ouvre et une, puis deux personnes et un chien disparaissent.

En bon gros Danois, Hess dépose le panier et s'assied, bavant allègrement. Les deux professeurs c'est autre chose.

Lessse jette littéralement sur Kaitz, s'empare de ses lèvres, des étoiles pleins els yeux et le feu au corp. Le bouson de cuir vole en même temp que la chemise qui s'est fait déboutonnée en un temp record.

Avec un petit rire sexy, elle effleure des lèvres les diverses cicatrices du corp sublime de son amant.

Et oui, un pique-nique. Quel meilleur moyen de se pousser loin de la civilisation et s'isoler un moment tranquille. Y'avait rien de plus propice. En plus, la température était douce. Et bien sûr, la cabane hurlante n'est pas loin. Magnifique ! Merveilleux ! Elle ne pouvait pas mieux tomber.

La porte s'ouvre à le volée et se referme presque aussitôt.

- Assis Hess, dit-il, bien inutilement.

Less lui saute dessus et il la réceptionne avec effusion. Le blouson de cuir, beaucoup trop de tissus et sa chemise beaucoup trop... euh... inutile. Bref, c'est une démonstration passionné dans toute sa splendeur et quand Kaitz en fait parti, c'est vraiment quelque chose.

Ils traversent l'entrée dans une trajectoire presque droite et se dirigent vers la porte du salon. Tant pis pour les premiers vêtements expulsés, ils resteront dehors. Tragique... *ironie*

Encore une fois, la porte s'ouvre à la volée et laisse apparaître une mêlés passionnée. Kaitz tend la main et un brasier instantanné se forme dnas la cheminée. C'est n vérifiant brièvement s'il a raté sa cible ou non qu,il remarque qu'ils ne sont pas seule. Les mains s'arrêtent de glisser sur la peau de Less. Le regard pétillant, un rien de fiévreux, il sourit, rayonnant.

- Oh, salut.

Et il reconnaît Sylia... un élève... et alors ?

Oulah. Quand Syliia est lancée, impossible de l’arrêter. Et surtout pas les tentatives de Gustave, qui désespérément l’aide au contraire. Pauvre garçon, encore un de plus qui vas être choquer en ressortant d’ici. Seth été sa " Victime " la plus choquée de l’année passée. À ce souvenir là, Sylia desera un peu plus l’étreinte, étant plonger dans ses propres conneries. Sourire. La jeune homme avait arrivé à la retard et la tenait maintenant par les épaules. Sourire aux lèvres, elle le regardait droit dans les yeux, désir encore brûlant.

« On se calme jeune fille...»

Attends, il la prenait encore pour une simple jeune fille ? Elle avait largement passer ce stade maintenant.
Brusquement un bruit ce fit dans la cabane hurlante, mettant encore une fois le cœur de Sylia en peur. Mais ce ne fut que quand deux personnes, pas inconnues à Sylia, entrérent dans la piece qu’elle ne prit la desicion de descendre de son perchoire.


« Professeur Rocstone, professeur Mainailla…»

La vert et argent avait l’impression d’être dans un rêve. Oui la pauvre Sylia avait l’impression de rêver. Les yeux passérent sur les deux personnes, laissant un peu Gustave à l’abandon, le regard surprit. Impossible à croire si on ne le voit pas. La directrice de Gryffondor et celui de Poufsouffle, venant pour faire des choses… pas très catholique…dans la cabane hurlante.
Les doigts de la blonde passérent sur son visage, comme pour se dire qu’elle était entrain de rêver, qu’elle aller se reveiller.

« Mon dieu c’est la journée des surprises. »


Voila. Il en fallait pas plus à Sia pour la mettre hors de ses pensées normals. Dans tous ses états. Et dans la peur aussi, faut pas oublier qu’elle était partie de Poudlard, comme ça… toute la journée de ce dimanche…

{ Désolée c'est nul... mais je voulais vous faire quelque chose quand même avant d'aller au lit >< }