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| Amber J. Appleby - RAINBOW. Finis. | |
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Invité Invité
| Sujet: Amber J. Appleby - RAINBOW. Finis. Mar 20 Nov 2007 - 16:46 | |
| Rainbow.
HAPPY FACE. « Dans la vie, on a toujours des choix à faire. Et ces choix, la plupart du temps, vous suivront toute votre vie. On a tous à choisir un avenir, le chemin à prendre. Certains ne font pas les bons choix, et tombent bêtement sans avoir la force de se relever. D’autres arrivent au bout du parcours, à l’arrivée, en criant victoire parce qu’ils ont réussis toute leur piètre vie. J’ai tout le temps de savoir quel chemin emprunté, et avec qui le faire. J’ai tout le temps d’apprendre à me connaître, et à découvrir mes rêves, mes envies et les gens en qui je peux avoir confiance ou non. Je suis à un croisement de ma vie où je me dois d’être forte, même après tout ce qui s’est passé. On m’a dit que je devais me focaliser sur mon présent et mon futur, mais je n’arrive toujours pas à fermer la porte de mon enfance. Entre vivre et survivre ? J’ai choisi de vivre, pour le meilleur et pour le pire. Et ça, c’est le choix le plus dur à faire. » CARTE D'IDENTITÉ - Nom :
Appleby, qui est le nom de sa mère. Ce nom est symbolique pour toute la famille car il représente une lignée incontestable de sorciers riches et célèbres en Irlande. Célèbres pour quoi ? Amber ne l’a jamais su et préfère en rester là – il faut dire qu’elle n’a jamais vraiment eut l’occasion de les voir ne serait-ce qu’une fois.
- Prénom :
Amber Jane Lily Seiko, plus connut sous le nom d’Amber. La majorité de ses prénoms viennent de sa mère, quant au petit dernier, c’est son père qui lui a choisit. Etant Japonais, il trouvait qu’il en était obligé, du moins, c’est ce qu’il dit. Mis à part ça, elle se fait appeler Rainbow. Pourquoi ? Ca reste un mystère, et elle compte bien le préserver.
- Poids :
49 Kilogrammes.
- Taille :
Un mètre soixante quatre.
- Yeux :
La jeune femme a des yeux bleus clairs, virant parfois au gris acier. Enfin, tout ça dépend de son humeur et de l’éclairage de la pièce où elle se trouve. « Le regard est le reflet de l’âme ». Cette phrase correspond très bien à l’ex-Serdaigle, même plus qu’on ne le pense ! Elle est du genre à se renfermer sur elle-même, et essaie de plus en plus d’extérioriser ses sentiments à travers ses yeux. Légèrement bridés, de par son père, elle les mets très en valeur et les adore ! D’ailleurs, c’est une des seules choses qu’elle aime chez elle.
- Cheveux :
Ah, Amber et ses cheveux, une grande histoire ! A la base, la jeune demoiselle a des cheveux blonds platine. Mais, durant son adolescence, elle a souvent changé la couleur de ceux-ci, passant ainsi du châtain, au noir, et même à l’auburn. En ce moment, elle les a toujours blonds avec quelques mèches brunes. Ses cheveux lui arrivent environs aux épaules, et forment un dégradé soigné. Ainsi, Amber les laisse souvent détachés, voir en une queue de cheval rabattue sur le côté.
- Date de naissance :
23 Décembre 1965 – Elle a Dix huit ans.
- Sang :
A vrai dire, elle s’en moque un peu de savoir de quel sang elle est issue ! Mais si ça peut vous aidez, elle est d’ascendance sang pur.
- Etat civil :
Célibataire.
- Adresse :
Amber réside à l’Université, théoriquement. Cependant, elle se rend souvent dans la maison qu’a son père, dans les environs de Londres – en tout cas, quand elle en a l’occasion, en dehors des cours et de tout le train-train quotidien.
- Cursus :
DCFM.
- Année d'étude :
Première Année.
- Facultés spéciales répertoriées :
Aucune. BAGUETTE - Bois et composition :
Sa baguette est faite dans un bois provenant d'un pommier et contient un cheveu de Vélane.
- Longueur :
Vingt et un centimètres.
FAMILLE Descendant direct d’une famille japonaise de sang pur. Il a fait ses études là bas, jusqu’à venir en Angleterre pour son travail ; il était, à l’époque, chargé des relations entres les sorciers Japonais et Anglais. C’est ainsi qu’il a rencontré la mère d’Amber. Akimoto est un homme très étrange, mystérieux. Toujours là pour sa fille, il a su aussi faire passer sa famille avant le travail. Depuis la mort de sa femme, June Liliane Appleby, il est distant avec sa fille pour des tas de raisons. Il a sombré dans une solitude infernale, et n’en est toujours pas sortit depuis. La jeune demoiselle ne connaît presque rien de son père, ni de ses ambitions, ni de son passé. La seule chose qu’elle sait, c’est qu’après la mort de sa femme, il a prit ses affaires et est retourné au Japon avec sa fille jusqu’à ce que celle-ci ait Neuf ans. A partir de là, ils sont revenus en Angleterre pour qu’elle puisse aller à Poudlard. Cette école était symbolique pour lui, puisque c’était là bas que June avait étudié. June Liliane Appleby, plus connut sous le nom de Jane : Amber ne sait rien d’elle, à part qu’elle était très belle et que c’est d’elle qu’elle tient la plupart de ses traits. June est morte peu de temps après la naissance d’Amber, un an plus précisément. Des « problèmes de santé », avait souligné son père, mais au fond il n’avait pas fallut énormément de temps à Amber pour comprendre. Elle avait appris que sa mère avait été Auror, et qu’elle était sûrement morte au combat. Les seules choses qu’il reste d’elle, c’est des photos empilées, rien de plus. Amber n’a jamais vraiment eut l’occasion de parler de sa mère avec son père, il évite toujours la question. Mizuki : En fait, c’est la cousine d’Amber, ou du moins, la seule qu’elle connaisse. Elle est de deux ans sont aînée et est une fille très agréable et d’une joie de vivre à vous en faire aimer la vie. Son passe-temps favoris ? Emmerder le monde avec Amber. Mizuki est encore au Japon au jour d’aujourd’hui, et Amber ne l’a voit plus aussi souvent qu'avant. Elle la voit rarement, une fois tous les deux ans environs, quand elle vient les voir en Angleterre. Bref historique familial : La famille d’Amber, c’est comme un puzzle en pleine construction. Il y a des pièces un peu partout, d’autre absentes et qui laissent un énorme vide, et ça de part et d’autre. Comme toutes les familles, celle de la jeune étudiante est divisé en plusieurs clans. Ceux qui luttent pour le mal, les neutres, et ceux totalement imprégnés de la magie blanche. La jeune Appleby n’a jamais connut les membres de sa famille du côté maternelle, c’est à peine si elle se demande si il y en a vraiment une. Et pour ce qui est des Hatano, n’en parlons même pas ! La plupart sont des gens détestables, tous ayant une soif de pouvoir hallucinante. Quant aux « potables », ils sont rares. Et quand ils ne sont pas morts, ils habitent à l’autre bout du monde. En fait, Amber n’entretient aucune relation avec sa famille, outre son père. C’est des « bonjour, bonsoir » quand elle en a l’occasion aux périodes de grandes vacances, mais ça ne va jamais plus loin. En fait, ils ne se sont toujours pas remit du choix de son père ; celui d’épouser une Anglaise plutôt qu’une jeune et belle Japonaise riche et bien entourée.
Dernière édition par le Mer 21 Nov 2007 - 21:39, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: Amber J. Appleby - RAINBOW. Finis. Mar 20 Nov 2007 - 20:24 | |
| HAPPY FACE. « Le fort de l’Homme ? Savoir souffrir en silence, sans rien dire, sans rien faire. Enchaîner désillusions et échecs, mais toujours trouver la force de rebondir, d’être heureux malgré ce qui l’entoure. L’espoir, le rêve, le bonheur ; tout ça sont des choses éphémères et délicates, qu’il faut traiter avec le plus grand soin. Et pour le peu que je sache, personne au jour d’aujourd’hui n’a su garder ces notions toute une vie. Car il y a toujours un moment où on doute, où la seule chose qui nous vient à l’esprit c’est d’abandonner. Abandonner pour mieux continuer. » INFORMATIONS PERSONNELLESAmber n’est pas du genre à se faire remarqué, c’est une fille assez « effacée » et donc, elle se rattrape sur son style vestimentaire. Parfois sobre, il varie selon son humeur. Son petit gabarit fait qu’elle peut paraître parfois très enfantine, voir angélique. Elle a un teint plutôt pâle, comme les poupées en porcelaines ou autre jouet moldus, qui se marie bien avec ses yeux bleus pastels. Sa particularité ? Un tatouage sur son épaule droite qui représente deux ailes d’ange, il est minuscule et elle ne le montre que très rarement. A part ça, elle pèse environs Quarante huit kilogrammes, ce qui est assez satisfaisant vu sa petite taille. Physiquement, on la compare souvent à une « petite chose fragile et qu’on aurait peur de casser », mais les gens qui la connaissent réellement savent que derrière sa petite taille se cache un caractère bien trempé. Amber est une fille qui ne sourit pas facilement, mais elle n’hésite pas à faire appel à son sourire pour se faire pardonner quoique ce soit. Cela dit, Amber déteste son apparence physique. Même si elle n’a vraiment pas de quoi être complexée, elle ne peut pas croiser son propre regard dans un miroir. Caractère : La porte claque, le vent se mêle à la pièce trop sombre aux goûts de tous ses occupants. Une silhouette se ramène, se trimbalant de pas en pas, contemplant les gens autour d’elle. Elle rejoint un Homme d’une cinquantaine d’année à peu près, il est assis, les yeux rivés sur sa progéniture. Tous les gens présents ici la regarde, mais personne ne sourit à part cet homme. Il en rigole, ses yeux bridés humidifiés par l’émotion. Là, près de lui, à quelques centimètres, était placé une femme. Dix Huit ans, des boucles blondes virevoltant dans le vent qui venait d’entrer en même temps qu’elle. Elle aussi se met à sourire, sa main glissant dans celle de l’homme. Son père. Elle se met assise sur ses genoux, comme une dizaines d’années auparavant. Le détail en plus ? C’est que dix ans en arrière, la jeune fille n’aurait pas eut tant d’amour en pleine figure. Car ce sourire, c’était de l’amour pur et dur, de l’amour qu’on se donnait entre père et fille. Un amour qui combattait les désillusions, les épreuves…les autres. Dans un fracas, l’homme prit la parole, contemplant les gens toujours présents dans la salle. Il était fier, ça se voyait. « Je vous présente Seiko, ma fille, ou plutôt Amber… »Tout le monde dirige son regard vers la fameuse fille. Celle assise sur les genoux de son père, celle qui, en cet instant, ne pouvait que sourire. L’homme continua dans sa lancée, montrant la jeune femme comme ci elle était un produit. Mais c’était amical. « Vous savez, c’est le portrait craché de sa mère. Une fille extraordinaire, elle est d’une bonté incroyable et très réfléchie. J’en suis très fière, car elle sait gardé les pieds sur Terre même en étant aussi intelligente. Elle est promise à de grandes choses, et j’espère que ses rêves les plus fous se réaliseront comme les miens se sont réalisés. Seiko, aujourd’hui, est une femme, ce que j’ai du mal à accepter je l’avoue. Une femme responsable, tout comme l’était sa mère… , il se retourne vers sa fille en souriant toujours, Et tu as aussi hérité de son sale caractère et du fait que tu peut parfois être très emmerdante ! A chaque fois que je te regarde, je la revois. Tu as son air mélancolique et cette franchise qui peut parfois en blesser plus d’un. La seule chose que tu as de moi, c’est ton côté légèrement bordélique, et si ta mère était encore de ce monde, elle te l’aurait déjà fait remarqué. »Le calme revenait peu à peu, la voix de l’homme s’étouffant peu à peu dans le silence. Un silence qui devint très vite agréable, où les gens regardaient péniblement la jeune femme, essayant sans aucun doute d’y voir sa mère. L’homme, quant à lui, avait les larmes aux yeux. Et tout comme sa fille, il tremblait. Mais après quelques minutes où l’émotion était à son comble, il reprit, d’une voix toujours aussi douce et remplie de chaleur :« Ma Seiko a Dix huit ans aujourd’hui. Dans quelques jours, elle va aller à l’Université. De ce que j’en vois d’elle, c’est une jeune femme des plus comblée et épanouie. Même si, comme moi, le passé la hante, je sais qu’elle aura la force de faire ce dont elle rêve, je sais qu’elle aura cette force, celle de déplacer des montagnes, celle de faire différents choix à différents moments. Je le sais, et même si cette peur est toujours présente, la peur de l’échec, elle réussira. Seiko, ta mère serait fière de toi. »Le silence, les larmes. Et s’il avait raison ? Et si cet homme avait vu clair dans le jeu de sa propre fille ? Le futur nous dira si les choix étaient les bons, mais aujourd’hui, pour lui, elle avait décidé de vivre sa vie comme personne d’autre. Passions : Elle a de nombreuses passions ; tout d’abord la musique, qui occupe une grande place dans son existence, puis ensuite la peinture, la poésie, la littérature. En fait, Amber est une mordue d’art en tout genre, elle ne pourrait pas s’en passer ! Elle joue de la guitare, du piano et compte se mettre au violon –un de ses plus grands rêves serait de fonder un groupe de musique connut dans tout le monde des sorciers ! Et pour preuve, elle s’est mise au chant lors de sa Cinquième Année à Poudlard. En tant qu’ex-Serdaigle, elle adore les bouquins et s’est mise à écrire des livres très tôt, en fait, l’art est un exutoire pour la jeune demoiselle. Ca l’aide énormément, tant dans sa vie privée que « professionnelle ». Son autre passion ? La nature, bien entendu ! Bon, elle ne s’est jamais trop intéressée à la Botanique et encore moins aux SACM, mais le fait étant là, elle raffole de cet environnement. Seiko, comme l’appelle son père, raffole aussi de la cuisine Orientale, et elle voue une admiration complète à son père qui, pour elle, est le meilleur cuisinier au monde. Certes, elle aime tout ce qui est beau et est passionné de tout ce qui touche la culture et la liberté, mais il faut aussi savoir qu’outre toutes ces passions, ce qu’elle aime le plus, avant la musique, c’est sans aucun doute ses proches. Peurs, phobies et autres: La peur de l’échec, cette peur qui envie tout être vivant sur Terre. La peur de regretter, de ne pas vivre la vie qu’on s’était imaginé. Cet ensemble de choses qui nous angoisse de jour en jour, et plus on vieillit, plus ces peurs grandissent. Amber aussi a peur de toutes ces choses, y compris de la mort, ou encore du fait qu’elle grandisse et doivent prendre des responsabilités. Dans sa tête, elle a toujours Quinze ans et cette innocence qu’on regrette tous au bout d’un moment. Dans sa tête, s’est encore une enfant, c’est sans doute pour ça qu’elle fait souvent des crises ou des caprices incompréhensibles. Elle est dans sa bulle, et elle a peur qu’on vienne lui crever, que son ballon se dégonfle un peu plus et qu’elle atterrisse dans la réalité, dans le néant infernal de tous ces gens. Métro, Boulot, Dodo. Elle a peur de la routine, peur du train-train infernal, peur de ce cercle vicieux qui ne cesse que le jour de votre mort. Si vous saviez le nombre de choses qui lui fait peur, vous seriez surpris. Pour elle, la réalité est quelque chose de terriblement inhumain, quelque chose d’atroce, autant que si vous lui enleviez sa liberté. La réalité, c’est oublier de rêver ; et c’est de ça qu’elle a peur. NOTES SCOLAIRESBUSES ABotanique : PDéfense contre les Forces du Mal : EDivination : TEtude des Moldus : EHistoire de la magie : OMétamorphose : EPotions : ESortilèges : O ASPICs ABotanique : TDéfense contre les Forces du Mal : OEtude des Moldus : AHistoire de la magie : AMétamorphose : OPotions : OSortilèges : E
Dernière édition par le Mer 21 Nov 2007 - 21:45, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: Amber J. Appleby - RAINBOW. Finis. Mer 21 Nov 2007 - 17:42 | |
| HAPPY FACE. « Et ça tourne, et ça tourne, le monde. On imagine toujours le plus beau, le plus merveilleux, mais ce qu’on sème ? La misère. Et plus on en a, plus on en veut. La vie, le monde, les Hommes ; tout est fait pour qu’on ait peur du futur, de ce qu’il se passera après. Certains disent qu’il y a l’enfer, ou alors le Paradis. D’autres disent qu’après la souffrance, il y a la libération. Ce que j’en pense ? Rien. Après, c’est après, je vis dans le présent. Et rare sont les fois où je me projette dans le futur. Les grandes ambitions, les grands mots ; trop peu pour moi. Et le plus surprenant, c’est que j’ai une peur atroce de la mort. La vérité ? C’est qu’on se ment, qu’on fait semblant de ne pas prendre conscience de tout ce qui nous entoure. La vie, la liberté, les droits. Tout ça, ce n’est fait que pour rêver et oublier la réalité. Quand on regarde de plus près, qu’est ce qu’elle devient, la réalité ? Méditez. » BIOGRAPHIE Il existe des jours où, sans le savoir, on fait des choses qui influenceront notre vie entière. Ce jour là, c’était en Décembre. Une petite fille est née, ce soir. Elle répond au nom d’Amber June Lili Seiko, ou Seiko tout court pour sa famille. Ca, s’était quelques années plus tôt. On revient dans le flash-back, Amber est âgé de Huit ans. En cet instant, elle est dans la rue, assise sur le rebord du trottoir. Ce qui pouvait la mettre dans cet état ? Enormément de chose, mais elle était jeune, et avoir perdu son ours favori était la raison la plus convaincante. Ses yeux humides dévisagés ainsi le goudron, les sanglots se faisant de plus en plus bruyants. Mizuki. Elle avait fait son apparition, marchant lentement. A l’époque, cette dernière avait Dix ans et redonnait espoir à Amber. Pourquoi ? Comment ? La fillette ne savait pas, la seule chose qu’elle savait, c’était qu’à chaque fois qu’elle voyait Mizuki, elle avait envie de sourire. Amber se leva alors, se dirigeant peu à peu vers sa cousine. Celle-ci avait le sourire aux lèvres, et cachait quelque chose derrière elle. Un ours, beau, tout neuf avec encore l’étiquette accroché à sa patte. Certes, ça ne remplacerait jamais Billy, mais ça fit sourire la jeune Anglaise. « Je sais que ça fera pas revenir Billy, mais tiens. »« Merci, Mizuki. »La gamine se dirigea vers sa cousine, la prenant dans ses bras. Elle arrivait à ses épaules, mais l’intention était là. Ca, ça résumait exactement l’enfance qu’avait vécut Amber. Memories. Deux ans plus tôt, la fillette avait vécut le pire. Après les « plus tard, Seiko » et les « elle reviendra », la jeune Appleby avait perdu espoir. Elle se rappelait de ce moment comme ci s’était hier ; une maison glaciale, de la pluie dehors, et le froid qui entrait dans la pièce comme un inconnu qui venait d’être invité. Seiko regardait son père avec douceur, se demandant si l’instant était venu. Il l’avait reporté depuis des années, mais là elle était en mesure de comprendre…enfin. Les tics-tacs de l’horloge devenaient stressants, et quant à la petite gamine, elle serrait son ours en peluche comme ci sa vie en dépendait. Un. Deux. Trois. Elle toussota, se levant du canapé dans lequel elle s’était fourrée. Ses pieds nus glissent sur le sol en direction de son père, son sourire angélique suspendu à ses fines lèvres. Tic, tac. Elle se mit sur ses genoux, le contemplant quelques minutes, jusqu’à dire :« C’est quand qu’elle revient, maman ? »PAF. Son père resta silencieux quelques instants, jusqu’à prendre conscience que l’instant était venu, qu’il était temps de lui dire. Passant ses bras autour de sa fille, il la fit bouger à l’aide de ses genoux…le stress, sans doute. La petite fille riait, inconsciente de ce qu’allait dire son père quelques secondes plus tard. « Ecoutes, mon ange… Ta mère ne reviendra pas, elle est partie dans le ciel. Elle s’est envolée Seiko, mais tu la rejoindras un jour…le plus tard possible, j’espère. » « Maman est un ange ? »« Oui ma chérie, ta maman est un ange et, à présent, elle veille sur toi… »« Elle est au ciel, papa ? Est-ce qu’elle me voit là ? Et est-ce qu’elle m’entend ? »« J’espère Seiko, j’espère… »La petite fillette retint ses larmes. En fait, l’innocence l’aveuglait tellement qu’elle ne comprit pas immédiatement les paroles de son père. Mais elles restaient là, toujours présentes. C’était comme un disque à moitié rayé, qui tournait sans cesse dans sa tête. Et elle n’avait su dire qu’une phrase, qu’une seule et unique phrase qui avait mit son père dans un sale état, même s’il l’avait caché, même s’il était repartis dans sa chambre. Elle avait vu les larmes quand elle dit…« Je t’aime, papa. »Voilà à quoi se résume l’enfance de Seiko. Une enfance pleine de rebondissements, mais ce n’est que quand elle rentra à Poudlard qu’elle en prit conscience. L’innocence…et dire que pendant des années, elle pensait que sa mère allait réapparaître, une poupée en main pour se faire pardonner de son absence. Non, même sans poupée Amber allait lui pardonner. Même après tant de souffrances, après tant d’appréhension. Quoi qu’il arrive, elle aimait sa mère, même si elle ne l’avait jamais connut. Elle n’avait qu’un an et demi quand sa mère est morte, qu’un an et demi…c’était trop tôt, autant pour elle que pour son père. Et ça, ce n’est que maintenant qu’elle s’en aperçoit. Biographie scolaire :« Moi c’est Angela. »Le silence règne dans le compartiment numéro 5. Une petite blonde lève soudain les yeux de son exemplaire de « la Gazette du Sorcier », affichant un sourire des plus amical. Sans s’en rendre compte, elle proposa à la fameuse Angela de s’asseoir près d’elle, sans rien dire. Et presque tout le trajet se passa ainsi, dans un silence complet. La petite fillette aux boucles blondes avait toujours ses yeux grands ouverts sur son journal, les mains tremblantes à cause du stress qui l’envahissait. Son regard s’attardait sur un gros titre « NOUVELLE FRACASSANTE : DES SORCIERS INCONTROLABLES DANS LE MONDE DES MOLDUS ! LE MINISTERE FAIT TOUT CE QUI EST EN SON POUVOIR POUR LES ARRETER. » La gamine toussote, jetant un regard vers la fille assise près d’elle. Moldus ? Ministère ? Son père avait oublié de lui parler de certains détails, à priori. Ce qu’elle savait ? Elle n’était pas comme les autres, avait des pouvoirs magiques et devait étudier dans une école spécifique. A cause de ça, ils étaient rentrés en Angleterre, ce qui rendit encore plus triste son père. Mais la fillette n’avait pas envie d’être différente, oh non, bien au contraire…Elle acceptait mal le fait d’être une sorcière. Elle croyait aux fées, mais pas à la sorcellerie. Cassant d’un coup le silence, elle replongea son regard dans le journal. « C’est quoi les moldus ? »« Eh bah, les gens sans pouvoir. Mon père dit qu’il faut tous les exterminer ! Moi je les trouve pitoyables, mais ils sont assez courageux. Je me demande comment ils font pour vivre sans pouvoirs magiques…Ca doit être vachement difficile, tu crois pas ? »« J’sais pas… Au fait, moi c’est S…Amber. » Stop. Le silence revint alors, mêlant appréhension et détermination. Oui, la plupart des gens ici étaient au courant de ce qui allait se passer ; l’arrivée, le festin, la répartition. Mais Seiko ne savait rien de tout ça. Ici, à Poudlard, on la connaîtrait sous le nom d’Amber. Pourquoi ? Aucune idée, son père en avait voulut ainsi. Poudlard, Poudlard. Gigantesque château. Elle était émerveillée, et cette envie de partir s‘évaporait au fil des minutes passées en ce lieu. Et son plafond ! Le plafond Magique de la Grande Salle ! C’était surprenant, jamais elle n’avait vu quelque chose d’aussi magnifique. Il était plein d’étoiles, il y en avait tout un tas, certaines brillants plus que d’autres. Mais très vite le stress revint alors. Elle dû attendre un moment avant que le Choixpeau magique lui annonce sa maison. Et pour cause, elle dû aussi se séparer d’Angela qui alla rejoindre Serpentard. Les minutes passaient à n’en plus voir la fin. Mais soudain une voix retentit, elle l’appelait. « APPLEBY AMBER ». La fillette se mise assise sur la chaise de bois, une dame posant sur sa tête un chapeau hideux. Tic, tac… « SERDAIGLE ! »Et voilà le commencement. Au bout du compte, elle ne s’en était pas mal sortit, même après des débuts lamentables. Amber enchaînait bonnes notes sur bonnes notes, et partageait de très bons moments avec ses ami(e)s. D’ailleurs, Poudlard fut, pour elle, l’occasion de connaître le Quidditch, un sport qui devint très vite le préféré de la jeune Appleby. Elle jouait, à l’époque, au poste de Batteuse dans l’équipe de Serdaigle. Comme disait son capitaine, c’était une des « valeurs sûres de l’équipe », et son père en était très fier. Outre ce fait, Poudlard lui permit aussi d’ouvrir les yeux sur ce qu’elle était, et c’est là bas qu’elle connut les plus grandes déceptions ; tant scolaires qu’amoureuses. A Noël, elle rentrait chez son père, et les grandes vacances ? Eh bien, elle les passait au Japon. Mais sa Sixième Année fut le déclic quand elle apprit les vraies circonstances de la mort de sa mère – chose futile pour vous, car ça ne la fera pas revenir, mais très importante pour elle. Depuis ce jour ? On va dire qu’elle n’est plus la même. Question subsidiaire : Comment avez-vous découvert ce forum ? Banzaï =] |
| | | Mikomi Tenshi Maraudeuse tyrannique. Directrice de Serpentard.
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