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| Le Vide ? On Se L'invente... * - PV | |
| | Auteur | Message |
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Alice Brown
Nombre de messages : 61 Maison : Serdaigle Message Perso : L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accélérer quand même Age du Perso : 16 ans Date d'inscription : 05/11/2007
Qui fait quoi ? Fonction HRP: Joueur Heureux Facultés Spéciales: //
| Sujet: Le Vide ? On Se L'invente... * - PV Ven 9 Nov 2007 - 22:27 | |
| « …mais au fond, il n’est qu’une invention pour faire parler le monde, pour rendre les plaintes intéressantes, pour qu’on s’apitoie sur notre propre sort ; celui de se sentir piéger. Car nous sommes piégés, quoi que les gens en disent. Le monde est une prison, une prison dorée qu’on nous aménage dès notre plus jeune âge. Mais en grandissant, on se rend compte que notre seule liberté, c’est d’aimer et d’être aimé à son tour. » Au fond, qui pourrait lire ses quelques notes. Personne, même pas la plus curieuse des filles de son dortoir. Alice posa son regard gris sur son parchemin, dévisageant ainsi son écriture, la détaillant d’un simple regard, mais avec tant de passion qu’on la croirait hypnotiser. Ce n’était pas grâce à son écriture qu’elle était émerveillée, ni à la beauté des mots, mais plutôt à ce que l’écriture pouvait lui apporter ; satisfaction, curiosité et j’en passe. Ses bras, mous, comme ci on venait de les passer au broyeur électrique, se déplacèrent avec difficulté le long du bois humide. Ses doigts fraulèrent le meuble avec une délicatesse qu’on ne voyait nulle part ailleurs. Ses yeux, eux, continuaient de fixer le parchemin, ne voulant le quitter une seule petite seconde. Mais d’un coup, sans s’en rendre compte, elle fut « piétiner »par l’une des fille du dortoir. Celle-ci tomba presque au même niveau que la jeune Alice. D’ailleurs, celle-ci lui lança un regard noir. D’accord, elle n’avait rien à faire sur le sol, encore moins être allongée sur celui-ci : non seulement parce qu’elle risquait de se faire écraser, mais en plus ce n’était pas l’endroit le plus « confortable » au monde. Tant pis. La jeune Serdaigle esquissa un nouveau sourire, voyant que son amie ne lui en voulait pas. Car oui, il y avait de quoi lui en vouloir. Combien de fois Katy lui avait dit de ne pas s’allongée au niveau du lit, combien de fois lui avait-elle dit de faire attention car, un beau jour, elle se ferait carrément marcher dessus ? Oh, des dizaines et des dizaines de fois. Mais Alice était du genre tête de mule. « Désolée Katy… »« C’est pas très grave, j’ai juste peur pour toi Lili. » « Arrêtes de m’appeler Lili, et même Ali’…j’ai horreur des surnoms. » « Je sais Lili, c’est bien pour ça que je les emploie. Bon allez, je m’en vais, rendez-vous dans trente minutes pour aller à Pré-Au-Lard ? Tu te souviens, on doit aller là bas pour faire une surprise à Kimmy… » « Je sais, je serais à l’heure… »« … pour une fois. Eh oui, j’espère, parce que si tu ne l’es pas, je te tue une bonne fois pour toute ! » La jeune blonde sortit illico de la chambre, laissant Alice dans un silence à s’en rendre malade. Ses yeux écarquillés, elle vit défiler les trente minutes en un temps record. Tout défila très vite, en quelques secondes, la jeune Serdaigle se retrouva en bas, en compagnie de Katy et une autre fille dont elle ne connaissait même pas le nom. Elles étaient bien décidées à trouver le cadeau idéal, et pour cela, Pré-Au-Lard était l’endroit rêver. Le voyage dura une dizaine de minutes, voir plus en fait, car Alice avait perdu la notion du temps. Les deux autres filles rigolaient, mais ce n’était pas le cas d’Alice ; pourquoi devait-elle rire ? Déjà qu’elle supportait l’hypocrisie de l’autre fille, alors si encore il fallait passer des bons moments avec elle, il en était hors de question. Et c’est à l’arrivée qu’Alice laissa tombé Katy, les deux filles allant dans un sens opposé. La jeune Serdaigle avait proposé à son amie de chercher chacune dans son coin, Katy accompagné de l’autre fille. En fait, Alice n’allait pas chercher de cadeau, elle ne savait pas faire de surprise ; se mettre à la place des autres pour savoir leurs goûts, ce n’était pas trop son « truc ». Et puis Katy avait toujours eut le chic pour choisir des choses géniales alors, autant s’abstenir. D’un pas lent, la jeune Brown se dirigea alors vers les Trois Balais, le regard fuyant. Elle ne savait plus comment ressentir les choses ; si tout allait bien ou si, d’un coup, tout s’était effondré. C’était dur à vivre, surtout avec Junie de plus en plus prise par son travail… Elle ne voyait plus son amie, non, Alice était devenue invisible, comme d’habitude. Elle devait avoir un don, le don de se faire toute petite. C’était inné, chez elle. Un don venant de sa mère, sans aucun doute… Mais stop. La jeune Serdaigle rangea ses larmes, ouvrant la porte du bar. Tout était bruyant, trop bruyant, mais encore une fois, elle se ferait toute petite…
Tic, tac. Tic, tac. Des bruits tellement énervants qu’on s’en couperait les oreilles. Alice avait passé sa commande presque en silence, commandant une Bièraubeurre qui lui fut apporté quelques minutes après. Les minutes passèrent sans qu’elle ne touche à sa boisson. Quelque chose clochait, oui, ça en devenait presque énorme, surtout pour qu’elle n’ait même pas l’envie de boire…C’était surprenant venant de sa part, surtout dans ce genre de circonstances. Le bar se remplissait au fur et à mesure, la laissant toujours indifférente, ses deux iris gris complètement figés sur le vide. Le vide… Il en devenait pesant. Ce silence pourtant si bruyant, et puis tous ces gens… Les larmes se nichaient au bord de ses yeux, ne voulant s’élancer le long de ses joues blanches. Ce vide qui lui serrait le cœur tellement fort qu’il l’empêchait de battre…correctement. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Vide ? On Se L'invente... * - PV Dim 11 Nov 2007 - 1:58 | |
| - Pourquoi ?
Oui ? Pourquoi ? Pourquoi ne pouvait il s'empêcher de l'aimer ? Pourquoi ne pouvait il pas s'empêcher de penser à elle ? Pourquoi avait il l'impression de la sentir près de lui ? Pourquoi ses caresses lui manquaient ? Pourquoi ses baisers lui manuaient ? Pourquoi son odeur lui manquait il à ce point ? Dakota, allongé sur son lit, ne pouvait s'empêcher, comme à chaque fois qu'il était seul, de penser à Yuki. Cette fille... Elle n'avait jamais cessé de lui en faire voir de toutes les couleurs, et pourtant... Pourtant, il ne pouvait s'empêcher de l'aimer, de la désirait ardament. Yuki... Quel beau nom... Aussi doux à la prononciation que de sentir un flocon de neige balayait sa peau, que froide comme la neige. Mais le coeur chaud de l'hispanique n'avait cessé de battre pour elle, lors de ses 7 dernières années. Le tout, en plus, c'était concrétisé par la naissance de James. Ramès, comme il le prononçait à l'espagnol. Son fils, son bout de chou, sa vie, son portrait craché si ce n'est, seul exception faite, les yeux de sa belle et magnifique mère.
- Mais pourquoi à ce point ?
Parce qu'il en est ainsi, Dakota. Il ne pouvait s'empêcher de penser que si Yuki n'avait jamais été aussi dur avec lui, il ne serait resté avec. Oué, fallait qu'il se l'avoue une bonne fois pour toute. Les femmes qui ont du caractère, ça l'attire énormément. Plus que sexuellement, en faites. C'était au delà ! Comment se l'expliquer ? Dakota se tourna dans son lit. Putain... Il regarda l'heure sur sa montre, et il n'était que o6h du Mat'. Un jour de W-E, c'était vraiment la pire des choses qu'il pouvait arrivé. Dakota se tourna de l'autre côté, car de ce côté ci, les rayons de l'aube filtraient par les volets. 5 minutes passèrent. Rien à faire, il se sentait beaucoup trop éveillé. Levant ses couvertures, il crut alors traversé le Groënland. Comment pouvait il faire aussi froid dans ce monde ? Dakota jeta un coup d'oeil, au chauffaux. Ce con de Parker avait éteint le poêle avant de se coucher. Qu'est ce qu'il pouvait être con des fois... Attrapant son jean, il se le mit avant de sortir de la pièce.
Un soupir, un tremblement de froid, Finalement, Dakota réentra pour attraper des vêtements propres. Finalement, il se doucherait avant le petit déjeuner. Une fois sous la douche, qui se trouvait sur la pallier, il ne put s'empêcher à nouveau, de repenser à Yuki. Il ne comprenait pas pourquoi cette fille pouvait elle à ce point l'obsédé ? C'était un truc de fou... Au fur et à mesure que l'eau coulait sur sa peau, il ne pouvait s'empêcher de revoir tous ses souvenirs défilaient devant ses yeux. Du premier moment où ses yeux s'étaient posés sur elle, en passant par la première fois où ils croisèrent leur regard jusqu'à l'aube de ses 16ans, où il l'avait embrassé et couché avec, le même soir, à cause de la consommation excessif d'alcool... Néanmoins, il se souvenait précisément de ce moment, comme si son cerveau avait compris que ce moment était si important pour le jeune homme... Il en ressentait encore les sensations sur sa peau... Il coupa l'eau, puis, une fois habillé, il retourna dans sa chambre, la serviette en pagne, marchant en tong, il la croisa dans le couloir. Même pas un regard, ils s'échangèrent. Pourtant, quand les deux se furent passé, ils ne purent s'empêcher de se retourner pour regarder l'autre. A ce moment là, ils croisèrent leur regard. Ils se regardèrent longuement, puis Yuki actionna sa poignet de chambre, sa porte s'ouvrit. Elle coupa la connexion visiuel, et entra dans sa chambre. Dakota resta quelques instants ainsi, le regard pointé vers l'endroit qu'elle venait de quitter. Il soupira, puis, une larme lui monta à l'oeil. Il s'essuya rapidement, puis, il reprit sa marche, ouvrant la porte de sa chambre à son tour. Un dernier regard vers le bout du couloir, là où se trouvait la chambe de Yuki et Serena, puis, il entra.
Il ressortit 4h après. Vêtu d'un pull noir lui tombant jusqu'à sa première phallange du pouce, et un pantalon de costar à l'italienne, il avait passé sa matiné à travailler ses lacunes en métamorphose et le retard en magie noire. Deux matières qui lui causaient le plus de tracas cette année. Pourtant, Dakota avait toujous été bon en Magie Noire. En métamorphose, le T qu'il s'était pris à ses ASPICs, laissait bien voir son maigre niveau. Traversant le portail d'Oxwarts, il transplana directement pour se trouver dans le Pré-au-Lard. Saint village ! Dès qu'il ne se sentait pas bien, c'était là bas qu'il allait pour se rappeler des bons souvenirs avec Reese, Seth, Ewen et d'autres potes... Ou avec Yuki et ce jour mémorable qu'il s'était, lui aussi, gravé en son coeur. Putain... Comme si chaque lieu devait à jamais lui rappeler cette amour... Pourtant, depuis quelques jours... il y avait cette autre fille qui lui faisait balancé les idées... Amanda... Belle comme un ange, rebelle, comme il le fallait, elle avait tout pour plaire à Dakota, et en plus, il ressentait cette envie de la sentir près de lui. Pas comme n'importe quel fille... Un peu comme avec Yuki... C'était... Sensationnel. Encore une fois, il venait de repenser à la belle Harada. Mettant les mains dans les poches de son pantalon, il se mit en marche vers le Trois balai, comme à chaque fois... Comme un rituel qu'il devait faire à chaque fois qu'il se mettait à fouler le sol du Pré-au-Lard.
La porte du Trois balais s'ouvrit, encore et inlassablement, mais cette fois, pour y laisser entrer l'hispanique. Quand il l'ouvrit, automatiquement, il regarda vers la table de gauche. La première. C'était ici qu'il avait embrassé Telma pour la première fois... Un peu plus loin, contre la vitre, c'était là où il avait fait perdre patience à Reese pour la première fois, à tel point que ce dernier s'était levé pour le faire jarclé de sa chaise... A droite, il y avait amené Melissa, la petite copine ou l'EX_ de McCoy pour lui faire croire qu'il l'aimait réellement, et qu'en faites, ce n'était juste que pour se la taper tout en faisant en sorte que McCoy s'en apperçoive... Plus loin, encore, c'était le jour de l'anniversaire à Reese, Dakota et des amis, ainsi que Joy et Telma, avaient réalisé un gros gâteau. Dakota y avait mis une minuterie magique. Dès que les bougies avaient été éteinte, le gâteau avait explosé. Un sourire sur ses lèvres. Il s'avança vers le comptoir où il commanda une bierreaubeurre.
- Dakota ! Qu'est ce que tu fais là ? Tu viens encore m'embêter ? Un sourire bienveillant sur son visage. - Non, Mme Rosmerta... J'viens faire le plein. - Oh... Tiens.
Elle lui déposa la bierre devant lui, tandis qu'il payait à son tour. Elle eut un sourire, et Dakota ne put s'empêcher d'y répondre. Il venait de se rappeler sa première cuite au Whisky. Il avait tenté de la draguer. Dakota se tourna, et toutes les tables semblaient prises. Automatiquement, il se mit en marche vers la table où une jeune fille semblait se sentir mal, comme souffrant de toute cette population. Dakota la regarda, puis, posant sa main sur l'épaule de la demoiselle, s'inclinant légèrement, avec un air compatissant, il lui demanda.
- Ca va ? J'peux m'assoier avec toi ?
Dakota plongeait ses yeux noirs dans les iris de la demoiselle. A nouveau, une pensée pour Yuki. Elle avait la même couleur des yeux... Quoique... N'était il pas un peu plus claire ? |
| | | Alice Brown
Nombre de messages : 61 Maison : Serdaigle Message Perso : L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accélérer quand même Age du Perso : 16 ans Date d'inscription : 05/11/2007
Qui fait quoi ? Fonction HRP: Joueur Heureux Facultés Spéciales: //
| Sujet: Re: Le Vide ? On Se L'invente... * - PV Dim 11 Nov 2007 - 12:18 | |
| Les questions, toujours des questions. Sa tête en était remplie, des questions sans réponses, sans aucun sens. Alice avait toujours sa main sur sa Bièraubeurre, ne buvant même pas une seule goûte. Son regard gris se déplaçait le long du bar, avec toujours ce pincement au cœur. Pas pour les gens qui, dehors, mouraient de froid, ni pour le serveur qui, après lui avoir lancé un grand sourire, n’était pas revenu à la charge. C'était plutôt pour Poudlard, et surtout Junie... Ses mains tremblantes, elle tourna la tête en direction du mur. Les souvenirs remontaient. Poudlard, Poudlard. C’est là bas qu’elle avait passé le plus de bons moments. Alors pourquoi était-elle aussi nostalgique ? Sûrement pour la même raison que des milliers d’autres gens. Elle émit un bref soupir, se laissant glisser dans le canapé moelleux du bar. Ses cheveux châtains se posant délicatement sur ses épaules, elle les rabattit du côté droit… Le silence. Toujours aussi pesant, pourtant dans le bar, un brouhaha infernal s’était imposé. Mais dans sa tête, le silence complet. Ne pouvant faire le vide plus longtemps, elle prit sa Bièraubeurre, la posant sur ses fines lèvres. Une gorgée, puis deux, puis trois… En quelques secondes, elle l’avait reposée, à moitié vide. Jusqu’à ce que, en un fracas, une voix imposante prenne le dessus ; il avait posé sa main sur son épaule, et était en train de lui parler. En se retourna, la jeune Serdaigle aperçut un Homme, ou plutôt Jeune Homme. Elle ne voulait pas vraiment en voir plus…
« Ca va ? J'peux m'asseoir avec toi ? » « Pas de soucis… »
Devait-elle lui avouer qu’elle détestait la solitude ? Non, il fallait passé les détails. Et puis, qu’est ce qu’il espérait ? Qu’elle se confie à lui ? Non… La jeune Brown fit volte-face, le regardant s’asseoir en face d’elle. Pourquoi la fixait-il comme ça ? Ne savant plus où mettre son regard, à part dans le sien, elle se remit à boire sa Bièraubeurre, ne pouvant la quitter jusqu’à ce qu’il tourne la tête. Mais, au bout d’une minute, elle se résigna, ses doigts frôlant la table avec élégance. Elle sentait le froid danse sa nuque à chaque fois que quelqu’un ouvrait la porte des Trois Balais, ayant à chaque reprise un petit frisson. A présent, elle regardait l’homme en face, il semblait à peine plus âgé qu’elle. Ses yeux noirs, elle les avait déjà vu quelque part. Un noir si sombre qu’il ne vous permettait pas de rester comme ça plus longtemps, mais impossible de détacher son regard de ceux-ci. Stop. La jeune Serdaigle secoua légèrement la tête, repensant à sa question précédente. « Ca va ». Non, elle ne se donnerait pas la peine de répondre… Et même si elle avait le sentiment de l’avoir déjà vu quelque part autrefois, elle ne dirait rien. Son regard admirant à présent une femme qui venait de rentrer en compagnie de deux hommes, la jeune bleu et argent soupira : même une vieille gourde comme elle n’était pas seule. Elle était désespérée, oui, ça devait être ça… Balayant la salle rien qu’avec ses deux iris, elle se tourna à nouveau vers son interlocuteur, lui affichant un sourire chaleureux. Le froid revenait : on avait encore ouvert la porte.
« Drôle de journée, hein… Le froid, la neige, les gens. »
Et merde. Alice aurait pu dire autre chose que cette phrase complètement…idiote. Elle aurait pu lui demander son nom, et pourquoi avait-il soudainement eut envie d’aller la voir. Ah mais, à y réfléchir de plus près, il n’y avait plus une seule table de libre. Oui mais, pourquoi elle ?! Assez. Elle s’était trop torturée l’esprit ces dernières semaines, et il lui était impossible de recommencer. D’un geste machinal, elle but encore une gorgée de sa Bièraubeurre, voulant à tout prix la finir le plus vite possible. Non, elle ne voulait pas retourner dehors, sentir à nouveau le froid tourbillonner autour de son corps, elle se sentait juste mal à l’aise. Il lui était impossible de se résilier à ne rien comprendre. Pas pour rien qu’elle avait été mise à Serdaigle… Dans un frémissement, la jeune Alice lança à nouveau un sourire à son interlocuteur. Elle s’était décidée à parler de nouveau, mais pour dire quoi ? « salut ça va ? moi c’est Alice Brown, les gens m’appellent Lili mais je déteste ça ». Non merci. Elle avait déjà l’air pitoyable, alors ça ne l’aurait pas aidé… Elle savait. Alice allait attendre sa réponse, peut être qu’elle aura les réponses à toutes ses questions…Enfin, la majorité, plutôt. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Vide ? On Se L'invente... * - PV Lun 3 Déc 2007 - 4:40 | |
| Le topic est il toujours d'actualité ? Si oui je supprimerez mon post. Sans réponse sous une semaine je deplacerais. |
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| Sujet: Re: Le Vide ? On Se L'invente... * - PV | |
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| | | | Le Vide ? On Se L'invente... * - PV | |
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