MÉFAITS ACCOMPLIS™
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -19%
PC portable MSI Gaming Pulse 16” -Ultra7 155H ...
Voir le deal
1299 €

 

 No bravery... [PV Key]

Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité




No bravery... [PV Key] Empty
MessageSujet: No bravery... [PV Key]   No bravery... [PV Key] EmptyMar 30 Oct 2007 - 0:11




Volute de fumée... elle s'élève, doucement. Toujours plus haut... et, lentement, elle disparaît...

La musique. La guitare rugit. La voix chuchote. La batterie frappe. Un bien être fou. Etait-ce du à la petite chose qui se consumait au bout de ses doigts ? Ou était-ce une autre drogue, bien plus pure, celle de la musique ? Un mélange des deux. Son esprit, tout comme sa cigarette, se consumait peu à peu au fil des notes de musique qui retentissaient dans ses oreilles, et dans tout son être. Les yeux fermés, la tête reposée sur le mur derrière lui, l'homme était assis sur un de ces nombreux bancs de fer qui longeaient la gare. Ni sac, ni valise. Rien que l'homme, et un paquet de cigarettes à côté de lui. la fumée s'élève lentement de sa bouche restée entrouverte, comme si il était endormit. Un geste vint trahir cette pensée: John porta sa clope à sa bouche, aspirant une dernière taffe. Dans son esprit, rien. Noir total. Puis une apparition. Key Jill McLoyd. John ouvrit les yeux et jeta sa clope, avant de retirer ses écouteurs qu'il laissa pendre à son cou. Il se leva, un regard tourmenté, avant d'avancer doucement vers les rails. Il s'arrêta au bord, enfouissant ses mains dans ses poches, pensif, silencieux.

Seul, immobile. Autour de lui, quelques sorciers allaient et venaient, revenant de vacances. Des familles, des couples, des gens seul. John leva doucement la tête sur le côté, regardant l'un d'eux. Une femme était debout, à quelques mètres de là, face aux rails, comme lui. Un mouchoir à la main, une valise au sol, elle pleurait. Puis, elle du sentir le regard noir de John posé sur elle, car elle leva les yeux vers lui. Le regard l'un dans l'autre, plus rien ne semblait bouger autour d'eux. Ils se regardaient juste. La jeune femme semblait hypnotisée par les yeux de Corso. Et pourtant, il n'essayait pas de la charmer. Il ne faisait d'ailleurs rien d'autre que de la regarder. Soudainement, un homme surgit derrière la femme, la tournant vers lui. Elle se mit à crier, à l'insulter, lui demandant de ne plus jamais revenir. John, indifferent, rabaissa son regard sur les rails.

Mouvement de bascule, doucement, du talon à la pointe. Comme une envie irrésistible de descendre dessus. Sans trop qu'il ne puisse expliquer pourquoi d'ailleurs. Il était bien connu que John Corso était légèrement suicidaire sur les bords. Pourtant, il n'était pas malheureux. Mais là, à cet instant, il se sentait comme... vide. Il n'avait même pas eu la foi d'aller réconforter la jolie demoiselle en detresse. Manque d'envie. il savait à quoi était du cela: les vacances. Voila deux mois que John n'adressait la parole à personne. Deux mois qu'il n'insultait pas des gars, deux mois qu'il ne provoquait pas. Deux mois qu'il n'avait pas vu Key.

Mais il n'y avait pas que cela. Il ne pouvait se voiler la face. Il ne pouvait ignorer la raison principale pour laquelle il était dans cet état. Cet état de déprime, ce mal être qu'il ressentait depuis... depuis...

Le jeune homme plongea sa main dans sa poche, et en ressortit une enveloppe pliée en deux. La dépliant, il en sortit une lettre. Fébrilement, il l'ouvrit et la relu une fois encore. L'écriture était tremblante. Pas étonnant, lorsqu'on savait ce qui était arrivé à Jake après l'avoir écrite... Le coeur serré, sans l'ombre d'un sourire, les yeux de John bondissaient de lignes en lignes. Ce sentiment de vide, de solitude s'emplifiait au fil de sa lecture. Il n'y croyait toujours pas. Il avait beau lire et relire ses lignes... c'était... impensable. Impensable que Jake, son meilleur ami, qui vivait en Amérique... la seule et unique personne au monde à laquelle John se confiait, ait pu se suicider... Ait pu lui dire, dans cette dernière lettre, qu'il comptait mettre un terme à sa vie...
John l'avait connu lors d'un voyage à Los Angeles. Jake se droguait. Tout comme John. C'est sûrement d'ailleurs ce qui les lia d'amitié... en parti. Tout deux étaient aussi seuls l'un que l'autre. Il était la seule personne à pouvoir comprendre John. Et John était le seul à le comprendre. Mais Jake n'expliquait pas les raisons de son suicide.

Les larmes de John ne coulaient pas. Il avait apprit depuis bien longtemps à ne pas pleurer. Mais... il se sentait vide. Terriblement vide. John plongea la main dans l'enveloppe et en sortit un tout petit objet: un médiator. Son médiator. Combien de temps avaient-ils passé tout les deux à improviser des morceaux, lui à la guitare et John à la basse... La musique. La musique avait été leur principal lien. Les yeux de John dévièrent du petit objet pour se poser sur les rails, de nouveau. Rien qu'a penser au suicide, son coeur se serrait violemment. Rangeant ces précieux souvenirs dans le creux de sa poche, John soupira, puis croisa ses mains au dessus de sa tête, le regard, vide, posé sur le quai d'en face. Troublé. Vide. Le célèbre, l'intouchable Corso avait été atteint. La gorge sérrée, des images plein la tête, il sentit ses yeux se réchauffer, et devenir humides.

La perte de Jake, même si cela faisait un bail qu'il ne l'avait plus vu, le remettait en question. Lui, sa vie... En cet instant, il n'avait envie de rien. Plus rien, plus aucun souvenir ne lui redonnait le sourire. Plus aucune pensée de bonheur. C'était un peu comme si des détraqueurs lui tournaient autour... le vidant de toute pensée heureuse. Mais c'était bien pire que des détraqueurs. Et Key. Son visage revenait sans cesse dans l'esprit de John. Il ne savait pas pourquoi. Ou du moins... refusait de se l'avouer. Encore une fois, il avait la preuve que l'attachement ne menait qu'à la souffrance. Pas d'attachement. Alors... qu'est-ce qui le retenait ici ? Son regard se baissa de nouveau sur les rails. On pouvait entendre le train arriver, au loin. C'était si tentant. Jake avait eu raison... mais désormais, même cela, il n'en avait pas le courage. Pas de courage...

And I see no bravery in your eyes...


Dernière édition par le Mer 31 Oct 2007 - 13:28, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




No bravery... [PV Key] Empty
MessageSujet: Re: No bravery... [PV Key]   No bravery... [PV Key] EmptyMer 31 Oct 2007 - 2:04




    Le cœur saccadé par sa respiration irrégulière, Key tenait entre ses mains sa valise. L’esprit complètement ailleurs, elle marchait au milieu de cette foule. Les larmes aux yeux. Aujourd’hui, elle allait revoir Adam. Oh oui, souvenez-vous d’Adam, son frère. La première personne qui ait réussi à avoir Key tout entier. Me suivez-vous ? Je suis certaine que oui. Les cris, les gestes brusques. La gare était pleine à craquer. Dans toute cette foule, Jay s’y perdait. Elle ne savait plus ou donner de la tête. Des gens agitaient des mouchoirs blancs. Ils disaient au revoir à leur façon à leurs famille ou amis. Esquissant un sourire. Sa valise percuta quelqu’un. Automatiquement, elle se retourna et défia du regard la personne en face d’elle. Touche mon cœur, ton mon âme. Tu n’auras rien de moi Adam. Lâchant sa valise sur le sol, l’homme l’attrapa au cou. Silence. AU REVOIR ADAM. Parce qu’elle aurait voulu mourir sur cette mélodie qui passait dans la gare. Elle était la guimauve, l’homme était le bâton. Il laissa partir sa main, et celle-ci s’écrasa de plein fouet sur le visage de Jill.

    Key – « Assez. »

    Visiblement, ce n’était pas son jour. L’hiver, n’est décidément pas sa saison. Des larmes coulaient le long de ses yeux et cette mélodie battait encore de l’aile. ADAM ET KEY. Secouant la tête, sous ses pieds le monde s’arrêta. John était en face d’elle. Cette fois-ci il semblait si différent, son visage était effacé et ses traits étaient tirés comme-ci quelque chose n’allait pas, aujourd’hui. ADAM, PENSE A ADAM KEY ! Pour quoi lui ? Silence. Concentration, John. Comme-ci la foule s’écartait sur son chemin, elle avança, regardant John droit dans les yeux. NO BRAVERY, Baby. A bout de force, elle s’arrêta. Tous ses muscles explosaient. Ne cherchez pas à savoir pourquoi, aucune réponse vous serez fournis. Ouvrant les yeux, John lui tourna le dos. POURQUOI ?! Des larmes, oh oui, beaucoup de l’arme. Aimer est un verbe, certes, mais l’amour n’est rien. L’amour est éphémère. L’amour c’est comme la magie, ça ne dur qu’un temps. Et puis d’un coup, CLAC. Il regardait les rails, un train entrait en gare. La voix l’avait indiquée. Prise de panique, elle accéléra. Sans trop savoir pourquoi. Elle sentait qu’elle devait le sauver, ou l’aider. Ou les deux, merde. Elle se perd. Pauvre d’elle. Misérable fille. Key arriva à la hauteur de John et l’attrapa par l’épaule, des rails, elle le recula. Le serrant le plus fort possible contre elle, son diaphragme poussait des cris énormes. Des larmes, encore des larmes. ADAM KEY, REPENSE. MERDE.

    Key – « John. »

    J’ai beau t’aimer tu pars quand même. Sa tête explosait, sa voix était brisée, John souffrait, elle devait souffrir avec lui. Le départ, le retour chez elle, lui broyait la vie. Jacques à dit : COURS. Pas le jour de décoller. Souffle. Le serrant encore plus fort contre elle, elle voulait avoir ce contact avec lui, le sentir près d’elle. Jacques ne dit pas tout. Jacques ment. Jacques ne sait pas ce que l’on vit. Jacques à dit : MORT. J’ai beau t’aimer John, tu pars quand même. Tout tournait en rond. Sous ses pieds, le sol pouvait exploser, en cet instant, elle aurait même pu, mourir avec lui. Dans cette position. Jacques est un rêve, pas un homme.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




No bravery... [PV Key] Empty
MessageSujet: Re: No bravery... [PV Key]   No bravery... [PV Key] EmptyDim 4 Nov 2007 - 3:12

Le sifflement du train. L'esprit embrumé. Envie d'une clope. Envie de Key. Envie de se jeter sous ce putain de train. Envie d'un retour en arrière...

Pour la première fois depuis très longtemps, Corso regrettait les evenements passés. Certes, ce n'était pas de sa faute si Jake avait décidé d'en finir. Mais bordel... Si il avait été auprès de lui...
Mais il ne pouvait pas savoir, il n'avait pas pas pu prévoir...

Il ne contrôlait pas cette situation.

Comme un sentiment d'échec. Corso avait toujours le contrôle. Toujours le sang froid, toujours un regard lointain sur les choses... Rien ne pouvait l'atteindre. Détaché de tout, rien, rien ne pouvait affaiblir John.

Il est temps d'ouvrir les yeux.

Dure réalité. Il était comme tout le monde. L'Homme souffre. C'est un fait. Aussi réel que l'Homme aime, mange, respire... Voué à la souffrance depuis le début de l'Humanité. John Corso ne pouvait y échapper. Lui qui prenait grand soin de n'avoir de sentiments pour personne... Lui qui, sans cesse, s'éloignait par peur, par lâcheté... La nature l'avait rattrapée. Si quelqu'un gouvernait là-haut, il venait de se rappeler qu'un homme lui glissait depuis trop longtemps entre les doigts. Qu'il n'avait pas eu sa dose de souffrance. Alors comment regler le problème ? En sacrifiant un des rares êtres chers. Quoi de mieux pour plonger un être dans le malheur, la tristesse... la solitude ? Bien joué Dieu. John le maudissait. Qu'il existe ou non, peu importe si c'était le hasard, le destin, ou autre connerie inventée par l'homme pour être un repère, John le maudissait.

Une lettre. La preuve que Jake s'était bien suiscidé. Si encore il n'y avait rien eu, John aurait pu se raccrocher à l'idée que c'était un meurtre... Animé par le désir de vengeance, il aurait eut la force de continuer, il se serait battu pour exister... Mais là... à quoi bon ? Plus envie.

Doucement, John se laissait basculer en avant, sans s'en rendre compte. Noyé dans les flots de ses pensées noires, il n'avait pas réelement conscience du Réel. Tout semblait bouger au ralentit. Un sifflement de train, qui semblait lointain. Des silhouette, en face et tout autour. Floues, elles se déplacaient au ralenti... Encore ce sifflement, de plus en plus lointain... Et pourtant...

John fut brusquement tiré en arrière, puis enlacé avec force par une femme brune, tandis que le train l'effleurait, venant d'arriver. Il savait qui était la jeune femme. Toujours dans cet état second, John se laissa faire, amorphe. Elle le serrait fort. Sans avoir besoin de se dégager d'elle pour la regarder, il avait compris que Key était là, l'enlacant. Comment avait-il su ? Inexplicable. Il la désirait tellement que cela semblait évident que ce soit elle. Parce-que Key, quoi qu'elle dise, quoi qu'ils pensent, était là pour lui. John ne s'était jamais montré si faible en six ans. John n'avait jamais eu besoin d'aide. Et maintenant que c'était le cas, c'est elle qui était là pour lui. Il ignorait comment, pourquoi elle était là, et s'en fichait. L'enlacant à son tour, il ferma les yeux, une larme rare s'écoulant le long de sa joue. La tête contre la sienne, sa bouche tout près de son oreille, Key pu entendre son murmure, tremblant. D'une voix que personne n'avait pu entendre. Un murmure, des paroles qu'il prononcait pour la première fois de sa vie. Comme une confidence... Comme une confession... Des paroles du coeur, qu'il n'avait pas voulu prononcer. L'armure était brisée. Mis à nu.


- ... J'ai mal...
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




No bravery... [PV Key] Empty
MessageSujet: Re: No bravery... [PV Key]   No bravery... [PV Key] EmptyVen 9 Nov 2007 - 20:53

    John – « J’ai du mal. »

    Que le temps se ralentisse. Que le temps s’arrête. Sous ses pieds le sol aurait pu s’écrouler, la terre aurait pu exploser et le soleil aurait pu arrêter de briller. Les yeux fermés, il seul et unique larme coulait le long de la joue de John. L’observant, elle se photographia cette image et a l’aide de son pouce, la chassa. Le pouvoir d’aimer, même avec les yeux fermés. Partager entre l’amour et l’amitié. Cette larme, cette unique larme qu’il venait de lâcher lui fit exploser le cœur, ses reins se dilataient et ses yeux se fermèrent lentement.

    Key – « Respire. »

    Oh oui, il fallait qu’il respire, qu’il relativise. Qu’il soit fort, parce que dans le fin fond de la chose John Corso est un garçon très fort, est en garçon battant. Détrompez-vous sur lui, il peut aussi perdre ses moyens et devenir aussi faible que l’un de nous. Marche si tu le veux, John. Vide toi le cœur sur ses épaules, elle voudrait tenir ton cœur dans ses fines mains. A son tour, elle lâcha une larme de tristesse. Une larme d’absence. John faiblissait pour quelque chose et elle aussi. Tout deux faiblissaient.

    Key – « Il faut partir, pour mieux revenir. »

    Une fois que la vie s’arrête, il ne plus grand-chose à faire, si ce n’est que de survivre. Cela faisait dix sept ans que Key survivait, elle arrivait au stade : Saturation. Sa vie, se résumait à la répétition de son présent. Imaginez vous une piscine olympique. Replie d’eau. Au début de votre vie, vous nagez parfaitement bien. Et puis les soucis font que de plus en plus vous coulez. A ce stade, Jay se noie. Elle touche le fond, mais ne cherche pas à remonter. Parce que seule, elle n’y arriverait pas. Dessinez votre parcours à votre manière, la seule chose qui revient le plus souvent, c’est que tout le monde coule un jour. Sa valise n’avait pas bougé et elle, se dégagea des bras de John pour lui prendre la main. De vive allure, ils marchaient. Remontant le long de la voie, Key s’arrêta à la hauteur du rail vide. La chute allait être belle, trois mètres de haut. Partir pour mieux revenir, me suivez-vous ?

    Key – « Tu veux partir ? »

    Probablement que la réponse serait « non » dans ce cas là, elle sautera toute seule. Comme une grande. Vous pouvez imaginer la respiration d’air que vous pouvez avoir en trois mètres de descente ? Que du bonheur. Soupir. Décolle, Key, décolle toute seule il le faut, mais décolle. Saute pour que tu en crèves. La vie n’est pas toute rose. Personne ne sait ce que tu vis. Fixant John dans les yeux, celui-ci restait inerte. Il semblait effacé de toute vie, parce qu’il subissait la vie, il ne relativisait pas. Pourtant, il sait le faire.

    Pourquoi est-ce que j’ai cette impression de ralenti dans ma vie ?
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




No bravery... [PV Key] Empty
MessageSujet: Re: No bravery... [PV Key]   No bravery... [PV Key] EmptySam 17 Nov 2007 - 16:32

Je déplace Soeur Jumelle de Début de prénom. On reprendra une autre fois, parce que là j'ai vraiment plus le temps.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





No bravery... [PV Key] Empty
MessageSujet: Re: No bravery... [PV Key]   No bravery... [PV Key] Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
No bravery... [PV Key]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
MÉFAITS ACCOMPLIS™ :: Corbeille :: &&. ANCIENS RP-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser