Megan White _

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Megan || White || Macarade

Carte d'identité |

Mon prénom me vient de ma mère. Lors de l'accouchement, ma mère a tout de suite penser à une perle, aussi, elle m'a donner ce prénom. En ce temps-là, je n'avais pas de père, ma mère ayant eut une liaison plutôt ambigu avec Jefferson White, mari d'une de ces soeurs. Ma mère décida donc seule de m'appeller Megan, Nina qui signifie grâce, Lilia qui un est un peu plus complexe. Il faut savoir que ma mère voyait alros de sa liaison avec Jeff un autre homme qui l'aimait éperduement : Duncan Apology. Quand leur relation s'est concrétisé, ma mère n'était pas encore enceinte. A leur premier soir au lit, ma mère fut engrossée, mais Duncan rejeta la faute sur Jeff, aussi les deux couples se disputèrent, et ma tante coupa tous liens avec ma mère. Lilia signifie Dieu est mon serment, et c'est d'un grand sens car celà signifie que pendant toute sa vie, ma mère aime Jefferson, aussi a t'elle décidé de me donner un nom qui était comme un serment éternel reliant les deux êtres que son Jefferson White et ma mère, Eurèbe Apology, née De Mascarade.

Je suis née il y a dix sept ans, la même année que Misha Vanna Syl, Paine et Joleene White, mes cousins et cousines. Je suis la plus petite de tous car je suis née un dix neuf juillet, alors que tous sont nés en Juin. Je ne sais pas tellement ce qui est arrivé pour moi, mais tous les points me différencie d'eux, à tel point que l'on pourrait douter que j'appartiens au groupe très fermer des Mascarade. De ma mère je tiens ma crinière blonde, presque blanche, aux reflets cendrées. Je possède comme les Apology un regard troublant, un de ces regards qui adoucit les moeurs. Mes yeux sont d'un bleu pâle, trop clair pour être humain, à moitié translucide, et dedans brille à chaque instant plusieurs étoiles violettes. Je dois mesurer un petit mètre soixante onze, qui fait un peu trop petit à côté des tailles de mes cousins... J'habite chez les White, Duncan étant mort par ma faute, ma mère n'a plus l'air aussi amoureuse qu'avant... Aussi, j'ai démménagé, oubliant mes origines pour rejoindre ce père que je n'ai jamais eut et qui m'accepte comme telle, comme une autre fille, une jumelle aux jumeaux, aussi j'ai même réussit à habiter dans l'apartement des jumeaux au Pré au Lard comme à Edinburgh. Cette année, j'attaque ma septième année, chez les Serpentards, et comme il se doit, aux côtés de Paine, Joleene et Misha, ainsi que Pretty, Pru, Malvin, Lucie et tous les autres.

Baguette |

Je possède une baguette en bois de rosier mesurant vingt sept centimètre cinq, très souple, donc très bonne pour les enchantements. Elle renferme un poil de fléreur recouvert du sang d'un dragon. On raconte que ça donne de la force, mais ma main tremble à chaque fois que je la touche... Je ne suis pas très doué en sort, et c'est peut être car je ne contrôle pas ma baguette aussi.

Famille |

Famille.. C'est un drôle de mot vous trouvez ?

° Ma mère s'appelle Eurèbe de Mascarade, c'est une catin, sans aucun doute. Lucie est comme elle, une vulgaire charogne toute bonne à sentir le foutre à plein nez... Une catin, une vraie. Mais ma mère. Elle n'a jamais travaillé de sa vie, s'étant faite entretenir par tous les hommes de sa vie, jusqu'à Duncan qui lui donna un bel héritage qu'elle a déjà liquidé, après avoir fait quelques folies. Eurèbe a les cheveux blonds platines, et ces yeux n'en finissent jamais de mentir. Sourire coquin, espièglerie, je pourrais la comparer à une sorcière, mais puisque s'en est une...

° Mon père biologique s'appellait Duncan Apology, mais il ne m'a jamais reconnu comme sienne, aussi bien que j'ai ces yeux. Il est décédé il y a quelques temps, mort par la main de mon père adoptif, Jefferson White. Duncan avait une gueule aussi grande que celle d'un élan en rute... Jeff a du la lui faire fermer. Duncan était mangemort comme tout le reste de la famille, comme ma mère et mes oncles. C'était un mauvais mangemort, rechignant sans cesse à tuer. Il est décédé car il avait dit trop de chose de son temps.

° Jefferson White est le père que je n'ai jamais eu et qui m'a receuillé après le décès de mon père biologique, soit après son assassinat. Il n'y a rien à explixer, c'est mon père d'après toutes les idées, alors il le sera. Mes cousins et cousins sont plutôt nombreux, entre Joleene, Misha, Paine, Pretty, Pru, sans compter ma soeur Lucie et mon frère Malvin. C'est un mangemort à la retraire, ayant laisser sa place à Paine qui pour l'instant se doit de finir ces études... Je sais qu'il m'aime comme sa fille... Je crois...

Informations Personelles |

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Aussi étrange que cela puisse paraître, je suis la seule blonde la génération de Misha, Joleene et Paine, les trois bruns aux reflets corbeaux. On m'attribut cette couleur de cheveux aux gênes des Mascarade, ma mère et mon père étant deux blonds, il ne pouvait qu'en être ainsi. Je suis donc blonde, mais une vraie blonde, aux sourcils clairs et à la peau qui jamais ne bronze. Je suis même obligé de me servir d'un pinceau pour colorer mes cils, pour faire ressortir la couleur pâle de ma pupille bleu... On pourrait presque croire que j'ai l'oeil blanc, comme c'est partit. J'ai des yeux pers, c'est à dire qu'il change sans cesse de couleur. Ils sont à l'origine d'un bleu très pâle, et parfois arrive à un violet intense. Enfin, violet, c'est un suptile mélange de bleu et de vert en réalité. Ma pupille est cernée d'un trait noir plus épais, qui parfois déborde sur l'ensemble de la pupille et color entière celle-ci. C'est aussi pour ça que je porte des lunettes, car mon oeil force trop pour voir. C'est un défaut génétique, il paraît.

Je suis pas aussi grande que les autres, mais je suis pas non plus une naine comme Claire Storm. Moi, je suis différente des Mascarade... Je dois faire à peine un mètre soixante dix, et encore, c'est sûrement exagéré. Mais c'est proportionel... Je suis petite, mais je mince. Mince, ça aussi c'est un euphémisme... Comme les filles Mascarade, et sûrement les garçons, j'ai beau mangé comme dix, j'arrives jamais à prendre un gramme ! C'est pas comme si je me faisais gerbé après bouffer... Non, mais ça doit être un problème de tiroïde, même si ça fait un peu jeune pour l'avoir.. Quoi que... M'enfin ! C'est quand même dur de se décrire, hein... C'est que j'ai pas grand chose à dire moi. Bon, voilà, j'ai finit de me décrire. Tadam !

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Il apparaît clairement que je suis diamétralement opposé aux caractères de ma famille. Il faut voir les choses telles quel... Je suis gentille dont le sens propre du therme, et eux sont tyranniques. C'est pas les trois insultes que j'ai dîtes dans ma vie qui m'ont tout de même envoyer à Serpentard ? Je me serais vu Serdaigle, ayant un sens très développé de l'honneur et du respect des règles... Des règles. Ca aussi c'est un drôle de mot, car je me suis toujours entendue pour dire que les règles étaient pour les faibles, et j'ai les miennes, mes règles à moi, celles que Misha m'a imposé lors de ma toute première année pour que j'évite de me faire marcher sur les pieds. Au débit, je rigolais et je l'ai oublié... Mais je me suis rendue vite compte qu'elle avait raison : sans haine, sans rage, trop gentille, on meurt dans la jungle.

Alors à chaque fois qu'on m'embête, je médis et j'incante. Certes, je ne suis pas Misha, je gueule pas haut et fort des jurons ignobles et je frappe pas jusqu'à enfoncer la baguette dans des orifices qui ne sont pas fait pour, et je ne suis pas Joleene pour mordre comme un chien et vouloir sortir les yeux des orbites de ceux qui m'embêtent, mais je crois que je me débrouille pas plus mal. Jene suis pas populaire, et je crois que ça me va. Je suis une ombre parmis les autres, je suis comme le vent, terrible et insaississable, douce mais froide. Je me fonds dans le décor, et on ne me reconnaît qu'en étant une White, tout simplement une White. Bien sûr, je ne suis pas le meilleur exemple de Serpentarde du monde, mais je crois que j'ai ma place dans la famille du serpent.

Je l'avais toujours ignoré jusqu'à maintenant, mais j'ai ce goût prononcé pour rire que malheur des autres, sans pour autant vouloir le causer, quoi que parfois, je me demande si ça ne serait pas mieux ! Je haïs beaucoup de personne sans aucunes raisons, et j'aime la solitude la plus silencieuse. Je languis d'avoir vingt ans, de vivre libre et sans attache à la vie... Je suis peut être trop frivole ? Mais qu'importe, j'aime tout ça, j'aime la sensaion de chaleur alors qu'il fait froid, et j'aime parfois mon language acerbe quand il blesse le voyageur qui s'approche de trop près de la princesse. Qu'importe, je suis une Serpentarde, une vraie...

[...]

Il paraît que je suis misanthrope, mais je ne sais pas tellement si on peut le dire ainsi. Disons que j'aime plutôt la solitude aux bruits stressants des rues, et je prefère la lecture à la papote avec les filles du dortoir... Je prefère la nuit au jour, et les mensonges aux vérités trop douloureuses pour mon petit coeur. Non, réellement, je ne suis pas faite pou ces vies terribles, d'où mon surnom d'ombre... Certes, je ne suis pas un fantôme, ni une vraie ombre, mais je ne vis selon les autres que pour suivre les plus grands, Misha, Jolee et Paine, et si je suis née, c'est peut être vraimen tpour ça ? Qu'importe. Mon plus grand défaut est le mensonge. Je mens sans cesse, sur tout et parfois sur presque rien. Chez moi, une situation banale devient le plus grand cataclysme, et celui-ci pourrait devenir juste une caresse... Je suis menteuse, mais on m'en veut pas, hein ?

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Niveau qualité, bah ça vole plutôt haut. Je suis d'une infinie gentilesse, bien qu'il y a est toujours quelque chose derrière, mais ça, faut pas le dire, hein. Je suis calme, et je ne m'énerve jamais ! C'est justement ça que l'on me reproche, mais bon... Je suis un peu naïve sur les bords, voir trop généreuse au milieu. Mais tout ça n'est pas s'en payer : je suis avant tout une poupée. Une poupée, une marionette à moitié cassée, aux fils détachés qui ne tient même plus sur ses jambes. Affalée sur le sol. Jolie description, jolie image. Je flatte, je suis une éternelle gonfleuse de cheville, mais c'est pour que celle-ci éclate que je fais ça, que ma langue oscille dans ma boîte buccale, pour mieux que mes crocs se plantent... Non, réellement, ne suis-je pas le plus merveilleux des anges ?

[...]

La chose la plus horrible qui pourrait me faire perdre tout, dont la vie, serait de perdre mon unique famille qui se résume en Joleene, Paine et Misha. Pru et Pretty sont comme Malvin et Lucie : au deuxième plan. Misha m'a tant apprit, sur comment frapper. Joleene m'a expliqué comme feintait le malaise pour échapper aux cours de botanique ou de sortilèges. Paine m'a montrait la beauté de la nuit, et la sauvagerie des sentiments, sans pour autant me les enlever... Non, les perdre reviendrait à me tuer.

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Notes Scolaires |

Buses |

Astronomie : O
Botanique : A
Défense contre les forces du mal : E
Divination : O
Histoire de la Magie : A
Magie Noire : E
Métamorphose : A
Potions : E
Sortilèges : T ( Hey ! la baguette ne semblait qu'écouter qu'elle seule... )

Options choisies à Poudlard | Divination et Magie noire.

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Invité

Biographie Brève |

Je suis née il y a 17 ans de celà, en Ukraine, comme il se le doit, dans les murs qui renferment aujourd'hui Malvin et Lucie Apology, mon frère et ma soeur... Mon père s'appelait Duncan, ma mère Eurèbe, et ils vivaient leurs unions, consummant leurs amours. Le seul hic dans cette histoire, c'est moi. Moi, Megan White n'était pas de la famille Apology, pas du même sang il paraît. J'étais une bâtarde, j'étais une enfant de salaud, peut être plus, peut être moins, une sous merde en somme. Mon père n'a jamais voulu de moi à la maison, pensant que ma présence apporterait des ondes néfastes aux deux autres enfants qu'ils projettaient de faire, aussi on m'envoya dans un pensionnat, loin de l'Ukraine, tellement loin que la langue était différente de chez moi : l'Italie. On m'y envoya, et ce fut très loin d'être sympathique. L'école était une école religieuse, et on voultu plusieurs fois me soumettre aux lois du prieuré, mais je fus rapidement écoeuré des manigences qu'ils projettaient, tous autant qu'ils étaient, de faire. Les prêtres n'étaient que vicelards, et ma mère ne voyait rien... Jusqu'au soir où il fallut se mettre à l'évidence qu'une gamine de sept ans, pureté même de la nature, ne peut ne pas être vierge.

Ce fut Jefferson qui vint me chercher, et il me ramena à Edinburgh, ville que je connaissais pas. Il alla plus tard voir ma mère, qui ne s'était pas inquiter de ma disparition, et hurla sur mon père. Quelques jours plus tard, j'abandonnais le nom de Mascarade pour celui de White, Jefferson White, père de Joleene et Paine, venait de m'adopter. Aussi étrange que celà puisse paraître, ma nouvelle vie me rendit plus docile, alors qu'à la maison, les coups se mouvaient, mais jamais sur moi. Je regardais en silence les coups pleuvoirs sur les joues de Sicckly et des jumeaux, sans jamais oser un mot de trop^, tétaniser par la grande main que je voyais souvent rouge, parfois fermer... Je n'eus pas connu une enfance facile chez les White, mais ça m'a forgé un caractère plutôt versatile, et rancunier. J'avais une bonne mémoire, j'avais donc mauvais caractère.

A onze ans, comme les jumeaux, je reçus ma lettre d'adhésion à Poudlard. Aussitôt la lettre reçue, Duncan me rappela à la maison, voulant de moi, bizarrement et subitement, comme fille. Jefferson se fâcha et un soir, Duncan ne fut plus. Eurèbe n'avait jamais pleuré, mais ce soir là, les larmes avaient perlés des yeux de la Vélane. Il était bel et bien mort. On l'enterra quelques jours plus tard, mais je ne fus pas convier, rejeter misérablement à l'entrée du cimetière. C'est dans ce cimetière que j'ai rencontrais Misha, ma cousine. Elle n'était pas connue en Ukraine, ces parents habitaient en Russie. Je rencontrais le plus jeune de mes oncles, Vitaly Orlov, un beau jeune homme de vingt ans, pimpant et frais, le visage tendue en des mimiques comiques. Il resta dehors, avec nous, de quoi nous réchauffer le coeur alors qu'il neigait sur mon pays.

Je fus donc envoyé à Poudlard avec Joleene, Paine et Misha. Jolee et Painy firent le chemin ensemble, et on prit à nous quatre une des couchettes. La familel au complet. On ne doutait pas de la maison dans laquelle nous irions, nous savions bien avant notre naissance que avions le sang des serpentards... Non, pas descendant du créateur, mais le mal dans les veines. Arrivée là bas, je ne m'y trompais pas, et je fus envoyer avec les trois autres à Poudlard. Ce fut la même année où Roy, Claire et Corso furent envoyés dans de différente maison. Claire était une rousse, petite et rebelle, une française. Roy un blond, indifférent. Il énervait Misha avec ces mimiques lasses, et la dégoûtait e son audace. Corso, lui, était plutôt différent. Joleene disait qu'il n méritait pas sa place parmis les Serpentards, Painy suivait sa soeur, mais Misha disait que si le choixpeau l'avai envoyé ici, c'était sûrement car il avait l'âme noir.

Mes années passèrent plutôt rapidement, en compagnie du trio infernal. Nous formions une sorte d'équipe, et qui toucher à l'un de nous avait les trois autres sur le dos. Nous vivions plutôt bien, seules, et Painy ne souffrait aucunement du manque de présence féminine, puisque pendant cinq ans, Nouchka Vanna Syl, le grand frère de Misha, était là pour égayer et nous en faire apprendre... Il jetta plusieurs fois Misha et Painy dans le lac, sans toucher à Joleene, celle-ci gueulant toujours, même tremper. Mais il a quitté l'école l'année de sixième, et Misha a perdu ces parents, Painy et Jolee leurs mères et Sicckly, qui devait avoir le même âge que Nouchka. Aujourd'hui, on revient bon grès mal grès à Poudlard, pour une dernière année.

Je compte bien avoir de très bons aspics, et je tuerais patrie s'il le faut pour avoir ma place à Oxwarts !
Quelle vie palpitante !

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Question subsidiaire : Comment avez-vous découvert ce forum ? Fufufu.

Sujet: Re: Megan White _ Lun 22 Oct 2007 - 16:09

SERPENTARD !

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