ANDREAS PRAVDA __ .

Invité

L’amour c’est comme des balles. Elles savent pénétrées en plein cœur. Les premiers mots d’amour. Premières disputes, premier poème et enfin, le premier – « Je t’aime » - Allongé dans son canapé en cuir noir, les yeux d’Andreas fixait son plafond. Un simple plafond pour un simple homme. Ses mains étaient dans ses poches et Pravda commençait lentement à fermer les yeux. 21 H 00 sonna. Heath dévala les escaliers. Il jeta un regard dans le salon. Pensant que son père dormait, il traversa la pièce et au dernier moment Andreas saute du canapé.

Andreas – « Qu’est-ce que je t’avais dis ? »

Heath tourna la tête et lui lança un regard interrogateur. Déboussolé. La maison des Pravda était assez grande. Elle était composée de six pièces. Une cuisine, trois chambres, deux salles de bains. Tout avait été re modernisé par ses soins. Tapant du pied, Andreas croisa les bras sur son torse. Comme d’habitude, Heath n’allait pas lui répondre. Il resterait là, inerte devant lui à attendre qu’Andreas pète son câble. Dommage pour lui. Se prendre la tête était fini. Le père Pravda avait été aussi jeune et croyez ceux-là, ils les connaissaient par cœur. Heath tourna la poignet passa la porte du salon. Il arriva dans la cuisine. Souffle. Traînant les pieds, Andreas le suivait.

Heath – « Qu’est-ce que t’as ? »

Surprise. Andreas s’approcha de son fils et le colla contre le mur. Sa main attrapa son col et il le souleva. Le regard d’Heath changea brusquement. Il avait probablement aussi envie de se battre. Mais Andreas le tenait. Il n’avait pas l’intention de le lâcher. Esquissant un sourire. Son père fit partir sa main en l’air et l’écrasa sur le visage angélique de son fils. Relâchent Heath, il le vit s’écrasa sur le sol.

Andreas – « Le respect, tu connais ? A l’avenir, Heath. Parle moi beaucoup mieux. Je ne suis pas ton ami. Je suis ton père. Cesse de me regarder avec ton air de débile. Quoi que tu dises et quoi tu fasses je resterai ton père. Conversation terminée. »

Un dernier regard et Andreas tourna les talons. Refermant derrière la porte de la cuisine. Son fils avait cinq minutes pour prendre ce qu’il désirait et s’éclipser dans sa chambre. Pas une de moins, pas une de plus. Regardant sa montre, il comptait le temps qu’il lui restait. Derrière la porte, des cliquetis de bouteille se faisait entendre. Insolent. Secouant la tête, la cloche sonna. Andreas baissa son bras et ouvrit la porte violement. Heath avait les mains pleines de provisions.

Andreas – « Monte dans ta chambre, tout de suite ! C’est un ordre. »

Claquant la porte derrière lui Heath monta dans sa chambra et Andreas se dirigea vers la porte de sa demeure. Par la même occasion, il s’arrêta quelques secondes devant le miroir afin de remettre sa cravate droite. Même chez lui, monsieur s’habillait correctement. Mimiques. Il faisait mine de sourire au miroir afin de préparer ses zygomatiques aux visiteurs. Une chose se brisa Andreas tourna la tête.

Andreas – « HEATH, QU’EST-CE QUE JE T’AI DIS ! BORDEL, DANS TA CHAMBRE. »

Sa phrase se termina. Il tourna la tête et déposa sa main sur la porte. Avant de l’ouvrir il jeta un regard au salon, tout était en ordre. Soufflant une dernière fois, la porte s’ouvrit. – « On laisse parler les gens, se dirent qu’ils ont torts. »

Sujet: Re: ANDREAS PRAVDA __ . Mer 10 Oct 2007 - 22:38

21 heures et elle était face à l'entrée de chez Andreas. Cela faisait bien cinq minutes qu'elle était là, immobile à se demander ce qu'il fallait qu'elle fasse, s'il serait heureux de la voir alors que rien n'avait été prévu. La main suspendue en l'air, elle hésitait franchement. Mais elle avait réellement envie de le revoir et depuis la dernière fois... Elle avait l'impression qu'il l'évitait après ce qu'elle lui avait dit.. A quelque part, elle savait qu'elle se faisait des idées. C'était un peu pour cela qu'elle était là ce soir. Elle finit par poser son doigt sur la sonette et par appuyer en plissant les yeux comme si ce geste la faisait souffrir. Elle rouvrit les en ramenant la main et un claquement de porte la fit trésaillir.

Visiblement, elle tombait mal... très mal. Elle grimaça. Tant pis, elle allait attendre qu'il ouvre... S'il comptait ouvrir un jour..

Andreas – « HEATH, QU’EST-CE QUE JE T’AI DIS ! BORDEL, DANS TA CHAMBRE. »

Euh... Franchement... non. Elle avait vraiment eut tort de venir. Un regard à droite puis à gauche et elle se demandait si elle devait partir ou pas. Pourtant, elle sentait la proximité d'Andreas derrière la porte. Il allait lui ouvrir. Elle se demandait qu'elle tête il allait faire en la voyant. Elle retint sa respiration en entendant la porte s'ouvrir. Trop tard, elle ne pouvait plus partir. Sans le vouloir, elle sentit ses joues rougir. Elle lui offrit un sourire quand elle vit son visage se dessiner dans la lumière du couloir. Elle fit un pas dans sa direction et murmura.

Iranoe -Bonsoir Andreas... Je crois que je te dérange... Je...

Invité

Iranoe – « Bonsoir Andreas... Je crois que je te dérange... Je... »

BOUM. BOUM. Surprise. Le fameux « Joyeux anniversaire » arrive quand ? Secouant la tête. Andreas ne savait que faire. Heath n’était pas couché et sa maison était en bordel pas possible. Il tourna furtivement la tête et guetta la cuisine. Iranoe pressa le pas et entra. Sans comprendre quoi que ce soit, Pravda se décala et referma la porte derrière elle. Coup de baguette magique, et tout les verrous de la porte se refermèrent ainsi que les stores aux fenêtres. Si Heath veut sortir, il le fera une autre fois. Esquissant un sourire de raté. Il retira la veste de sa promise et l’invita à s’assoire dans le canapé. Quand elle se laissa tomber, Andreas resta inerte devant-elle.

Andreas – « Tu ne me déranges jamais, c’est juste que … J’avais beaucoup de travail ce soir. Mais, je suis ravi de te voir. »

Il ajouta un sourire à cette phrase incertaine et se pencha pour embrasser Iranoe. Quand il passa sa main derrière son cou, il la fit basculer de façon à regarder l’intérieur de la cuisine. Du bordel et encore du bordel. Qu’est-ce qu’il n’aimait pas cela. A deux doigts de la pousser dans le canapé il mit fin au baiser et se releva. Affichant un sourire, il s’agenouilla devant-elle.

Andreas – « Un verre de vin rouge ma Chérie ? Je reviens tout de suite. »

Aussi vite, il se releva et mit fin à la discussion. Ouvrant la porte de la cuisine, il regarda la pièce d’un air de dégoût. Il contourna le verre brisé et monta les escaliers le plus vite possible. Tournant à l’angle du couloir, il frappa plusieurs fois à la chambre d’Heath. Il ne répondait pas. Tapant du pied, il s’impatienta.

Andreas – « Tu as trente seconde pour m’ouvrir ou je te brise la nuque. »

Silence. Action – réaction.

Heath – « Va à la merde. »

Andreas éclata de rire. Il donna un coup d’épaule et la porte s’ouvrit. Sur son lit, Heath leva la tête. Les yeux gonflés d’avoir trop bu. Le père Pravda s’approcha de lui et se laissa tomber à genoux. Portant sa main près de l’oreille de son fils, il tira brutalement dessus. Pas une ni deux, il releva Heath qui ne voulait pas céder. Plus l’enfant grandissait, moins il se laissait faire. Envoyant des coups de poings dans le ventre de son père, Heath se dégagea.

Heath – « LÂCHE MOI ! »

Andreas – « DESCEND ! TOUT DE SUITE. MAINTENANT, J’EN AI MARRE DE RANGER TON BORDEL. T’ES UN VRAI BRANLEUR. ALORS, TU FERMES TA GRANDE GUEULE, TU DESCENDS OU, JE TE PULVERISE COMME TA PUTE DE MERE. »

Pour Heath, la seule chose à laquelle il ne faut pas toucher, c’est sa mère. Andreas savait qu’il touchait à un point sensible en ce moment, mais il en avait qu’à faire. Il lança un sourire à Heath et lui céda le passage. Sans broncher, son fils tourna les talons et s’éclipsa dans l’escalier. Pendant ce temps, Andreas fouillait un peu par tout dans les tiroirs de son fils à la recherche de quelque chose. Son boulot de ce soir. Key McLoyd – Juin 1983 – Tournant la photo, il vu une magnifique jeune fille. Sur la photo, elle était vêtue d’une simple robe mauve. Heath était à ses cotés. Chiffonnant la photo, il la plaça dans sa poche et tourna les talons. Dans la cuisine, Heath jouait à Cendrillon. Soupir. Tapotant sur sa poche, Andreas sorti deux verres. Une bouteille de vin et déposa le tout sur un plateau.

Andreas – « Faut que ça brille. Quand t’a fini, tu dégages. »

Déposant le plateau sur ses mains, il se retourna et poussa la porte à l’aide ses fesses. S’arrêtant, il regarda une dernière fois son fils.

Andreas – « Key McLoyd. Jolie fille. »

Eclat de rire. La porte s’ouvra et Andreas colla un sourire neutre sur ses lèvres. A la hauteur d’Iranoe, il se laissa tomber sur le canapé et posa le plateau sur la table. Débouchant la bouteille de vin, il lui servit un verre et se plaqua à elle.

Sujet: Re: ANDREAS PRAVDA __ . Jeu 18 Oct 2007 - 19:35

Devant son regard gêné, elle voyait ce qu'elle aurait souhaité être une bonne surprise se transformer en antichambre de cauchemard. Elle le sentait furieux, pas vraiment heureux de sa visite. Respire. Elle prit une inspiration avant d'entrer. Quitte à s'inscruster, au moins le faire en entier. Profondément gênée de tomber au mauvais moment, elle n'osa pas jeter un regard à Andreas lorsqu'elle passa près de lui. Elle le laissa la libérer de son manteau et entraîner jusqu'au canapé.

Andreas – « Tu ne me déranges jamais, c’est juste que … J’avais beaucoup de travail ce soir. Mais, je suis ravi de te voir. »

Bingo. Elle baissa les yeux. C'était définitif, elle regrettait d'être venue malgré la joie qu'elle ressentait à le voir. Néanmoins, elle accueillit son baiser avec un frisson et ne pu s'empêcher de glisser ses dogts sur sa nuque. Lorsqu'il s'éloigna, elle lui dédia un sourire malgré le malaise qui était toujours présent. Avant qu'il ne lui propose un verre de vin rouge et ne s'en aille, elle murmure.

Iranoe -Je ne vais pas rester bien longtemps... Je... Ne voulais pas te mettre en retard...

Elle rougit légèrement puis le laissa s'en aller sans rien ajouter de plus. Elle se recala dans le canapé, assise dans une attitude droite et raide, les yeux baissés sur un point invisible sur le sol. Elle l'attendait, faisant le vide en elle. Elle ne broncha pas quand elle l'entendit monter à l'étage pas plus qu'elle ne broncha quand elle entendit les éclats de voix. Elle se sentait terriblement mal. Elle ne jetta pas le moindre regard à Heath quand il déboula pour entrer dans la cuisine. Il ne lui avait pas fallu cent ans pour comprendre ce que donnait la relation père fils... et ce qu'elle risquait de donner après qu'elle soit devenu la femme d'Andreas...

En parlant de lui... il revenait, un plateau dans les mains. Elle s'anima et posa un regard chaleureux sur lui tandis qu'il se laissait tomber dans le canapé. Elle le remerçia d'un geste de la tête quand il la servit et bu délicatement une gorgée de vin avant de reposer le verre sur le plateau et de s'occuper d'Andreas qui venait de se plaquer à elle. Elle sourit doucement et demanda.

Iranoe -Tu es sûr que je ne te dérange pas, Andreas? Je sais que c'est mal d'arriver à l'improviste mais je voulais tellement te voir... Désolée.

Invité

Iranoe – « Je ne vais pas rester bien longtemps. Je... Ne voulais pas te mettre en retard. »

Andreas – « Jamais tu ne me mettra en retard, tu sais très bien que tu passeras toujours avant le boulot. »

Il déposa sa tête sur son épaule et contempla le plafond. Aujourd’hui, pour la première fois, il avait remarqué que le ciel bleu était si haut et que l’herbe était si verte. Des pauvres petites pensées. Avec Heath, rien ne se passait comme il le voulait. Ce grand monsieur n’arrivait plus à contrôler son cher petit fils tant adoré. Pour lui, il aurait voulu tant de chose, mais il ne savait comment lui exprimer. Reculant la mèche de cheveux qui gênait sa vision. Il prit une légère inspiration.

Iranoe – « Tu es sûr que je ne te dérange pas, Andreas? Je sais que c'est mal d'arriver à l'improviste mais je voulais tellement te voir... Désolée. »

Lentement, il se releva et prit Iranoe par la main. Sa peau douce lui rappelait Helga. Il secoua la tête, et chassa ce flash avant de tourner les talons. Calmement, la prenant par les épaules il monta les escaliers. L’odeur d’alcool planait dans le couloir, Heath devait se prendre une belle cuite. Finalement, ce gamin semblait taré. Ne sachant pas trop ou aller. Andreas se rendit dans sa chambre avec elle. Il chassa des épaules d’Iranoe son pull et la serra contre lui.

Andreas – « Plus jamais tu ne t’excuses pour rien. Tu comprends ? »

Il voulait que les choses soient claires. De son pied, il referma la porte qui claqua d’un bruit sec. Il reporta son attention sur elle, et chassa d’une main ses cheveux qui cachaient sa vu et ses magnifiques yeux. Elle était si belle. Portant ses lèvres aux siennes, il l’embrassa langoureusement. Les mains d’Andreas, caressaient les cheveux soyeux de sa femme, il la pencha en arrière et continua sur sa lancée, embrassant son cou, ses joues et le reste de son visage.

Je te veux. Le comprends-tu ?

Sujet: Re: ANDREAS PRAVDA __ . Dim 28 Oct 2007 - 18:45

Andreas – « Jamais tu ne me mettra en retard, tu sais très bien que tu passeras toujours avant le boulot. »

La tête d'Andreas posée sur son épaule, elle sourit. Il était véritablement adorable avec elle. Rien à voir avec l'homme qu'elle avait croisé quelques mois plus tôt et qui passait du chaud au froid sans prévenir. Sa main chercha la sienne et la serra quand elle la trouva. Elle était bien avec lui... même si elle ne l'avait réalisé que quelques temps auparavant. Il la comprennait, c'était l'une des rares choses qu'elle exigeait chez ses proches. Il ne lui posait pas plus de question que nécéssaire... Il l'acceptait.

Elle murmura encore quelques mots, histoire qu'il la rassure. Surprise, elle le vit se lever avant de prendre sa main. Elle le suivit, totalement confiante. Elle n'haussa qu'un sourcil que lorsqu'il lui fit montrer les escaliers et qu'elle perçu l'odeur d'alcool. Pas de commentaires. Elle n'avait pas le droit de s'immiscer dans les rapports qu'Andreas entretenait avec son fils. Elle n'était pas encore sa femme et quand bien même elle l'était... Elle ne le souhaitait pas. Elle fut surprise de voir qu'il l'avait guidé à sa chambre.

Respire. Pas de panique, c'était Andreas, l'homme qu'elle aimait et avec qui elle était fiancée. Elle savait que jamais, il ne lui ferait du mal... s'il respectait sa promesse. Vaguement absente, elle le laissa lui retirer son pull et eut un frisson en se retrouvant en simple débardeur. Elle se blottit au creu de ses bras au moment où il lui parlait.

Andreas – « Plus jamais tu ne t’excuses pour rien. Tu comprends ? »

Son regard plongé dans le sien malgré les mèches rouge sang qui barrent son visage et ses yeux, elle va pour lui dire que le retarder dans son travail, ce n'était pas rien mais... Elle préféra acquiesser, réalisant que pour lui, si... ce n'était rien. Un simple détail. Elle lui sourit avant de lui offrir ses lèvres. Timidement, elle glissa ses mains sur les hanches d'Andreas, n'osant pas tirer sa chemise pour glisser ses mains en dessous. Pourtant, Merlin seul savait qu'elle en avait envie... de toucher enfin sa peau.

Je n'ose pas. Le vois tu?

Invité

J’ai besoin de te sentir près de moi. Encore plus près. N’est pas peur de moi Iranoe, jamais je ne te ferai du mal. Ce soir, à cet instant-là. Il avait envie de lui dire ceci. Mais dans le fond, Iranoe devait le savoir, elle devait s’en douter. Ne voulant pas la presser, il remonta ses mains sur les épaules de la jeune femme, elle venait de déposer ses mains sur les hanches d’Andreas. Esquissant un sourire, il laissa lentement tomber sa tête sur celle d’Iranoe. Maintenant, il n’avait plus qu’une seule envie. Mourir a cet instant, avec elle. Comme ça. Parce que le sol pouvait trembler sous ses pieds, il pouvait exploser. Il s’en fichait. Il était avec elle, et rien qu’elle.

Andreas – « As-tu confiance en moi ? »

Automatiquement, il savait que la réponse serait « oui ». Mais il vaut mieux se renseigner avant de se lancer des fleures. Le besoin d’être avec elle devenait de plus en plus grave. Elle était comme sa drogue. Mais pas cette drogue d’un soir. Une drogue pour la vie. Comme la nicotine. Comme l’alcool. Une drogue par moment, détruit tout. Mais la drogue de l’amour ne détruit rien du tout. L’amour est quelque chose de magnifique. Quand celle-ci est réciproque. Vacillant sur le coté, il coucha lentement Iranoe sur le lit. Il se cala à coter d’elle et caressa ses cheveux. Si elle ne prenait pas d’initiative, il n’allait pas en prendre. Connaissant son passé, il ne voulait la forcer. L’ambiance était calme, et à l’aide de sa baguette Andreas ferma les rideaux et alluma quelques lumières qui se trouvaient sur sa table de chevet. La laissant seule sur le lit, il se leva et lui lança un sourire. Il ouvrit la porte et passa dans le couloir. S’arrêtant à la hauteur de la porte d’Heath il écouta quelques secondes et reparti. Dans la cuisine, il attrapa une bouteille de vin rosé et deux verres en cristal roses. Le tout déposé sur un plateau parsemé de rose rouge. Quand il revint de la chambre, Iranoe avait prit appui sur les coussins. Magnifique, voilà ce qu’elle était. La plus belle. Oh, que son cœur battait. Oh qu’il l’aimait. Aimer est un magnifique verbe. Oh… que oui. Débouchant la bouteille, il lui servit un verre. Reprenant place, il lui tendit le verre avec un sourire.

Andreas – « Il faudrait que je te le dise. Car j’ai peur que tu l’oublies. Je t’aime Iranoe. »

Sans détour. Parce qu’elle était son dernier recourt pour survivre. Parce qu’il l’aimait et que pour elle, il décrocherait la lune. Les pieds sur les nuages, des étoiles pleins la tête.

Je n’ose pas. Le vois-tu ?

Je ne te forcerai pas. Comprends-le.

Sujet: Re: ANDREAS PRAVDA __ . Dim 28 Oct 2007 - 20:13

Andreas – « As-tu confiance en moi ? »

Son regard plongé dans le sien malgré son front posé sur le sien, elle sourit doucement. Elle n'avait pas vraiment l'air rassurée mais ce fut avec une fermeté et une détermination qu'il n'avait jamais entendu dans sa voix qu'elle répondit.

Iranoe -Oui.

Bien plus que tu ne peux l'imaginer. Elle lui faisait confiance, c'était indéniable pour elle. Mais elle ne pouvait pas s'empêcher d'avoir peur. Ce n'était pas la faute d'Andreas. Il était patient et comptait bien continuer à l'être... Il l'aimait et semblait décidé à ne pas s'arrêter en si bon chemin. Quoi demander de plus? Ne pas t'offrir mon corps souillé... Elle se sentait encore sale, indigne de ce qu'il voulait lui offrir et de ce qu'il voulait faire. Et pourtant, elle en avait envie... De sentir sa peau, de le sentir contre elle... Trop de sensations contraires.

Elle ferma les yeux le temps qu'il l'allonge sur le lit. Elle les rouvrit quand il commença à lui caresser les cheveux, geste qui la rassurait. Elle eut un sourire satisfait tandis qu'elle fit courrir ses doigts le long de la boutonière de sa chemise jusqu'à atteindre ses lèvres. Le mouvement était toujours timide, hésitant même s'il y avait une nuance de résolution. Un éclair de surprise passa son regard quand elle le vit se lever, lui adresser un sourire puis sortit. Elle demeura un instant figée puis s'installa un peu mieux dans le lit.

Elle mit à profit les quelques instants d'absence d'Andreas pour réfléchir et faire le tri dans ses pensées. Elle l'aimait, c'était indéniable. Elle ne passait pas une heure sans avoir envie de lui envoyer un message ou bien d'être au creu de ses bras. Elle avait envie de lui... mais son passé l'effrayait. Elle soupira. Il fallait à tout prix qu'elle cesse d'y penser. Elle ferma les yeux et fit le vide en elle. Elle devait se concentrer sur lui... et uniquement sur lui. Elle était sienne parce qu'elle le voulait et il n'oserait jamais aller au delà de ce qu'elle voulait.

Les prunelles grises se rouvrirent quand il revint. Elle lui dédia un sourire qui lui montra qu'elle était décidé à oublier... du moins à essayer. D'un geste gracieux, elle attrapa le verre qu'il lui tendit après avoir reprit sa place.

Andreas – « Il faudrait que je te le dise. Car j’ai peur que tu l’oublies. Je t’aime Iranoe. »

Iranoe -Je ne l'oublie pas, Andreas... Je t'aime aussi.

Sourire. Elle prit le temps de déguster une gorgée du vin qui était dans son verre et posa délicatement son verre sur la table de nuit. Il était hors de question de renverser le liquide sur le lit. Elle se hissa sur un coude et l'embrassa tendrement. Sa main libre alla se glisser sur sa nuque avant de descendre le long de son épaule puis de son bras. Arrivée à sa hanche, elle écarta son visage du sien pour pouvoir le regarder en face et lui demander silencieusement: me laisses tu essayer?

Je n'ose pas. Le vois tu?

Je ne te forcerai pas. Comprends-le

Je veux oublier. Réapprends moi

Invité

Tu sais très bien ce que je t'ai dis sur Skype. Alors je déplace le sujet. On le reprendra tu sais bien où. J'oublie pas le lit. hehe

Je t'aime, toi.

» _Andreas Pravda _Devil
» Heath Brant Pravda x DEVIL'S SON
» Andreas Hathaway
» Andreas Pradva __ x D E V I L
» Nouvelle rencontre ? [PV Andreas]