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| Juliet. | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Juliet. Mar 9 Oct 2007 - 21:31 | |
| CARTE D'IDENTITÉ_- Nom : Schwartz.
- Prénom : Juliet, Sara.
- Poids : 49 kg.
- Taille : 1m69.
- Yeux : Les yeux de la jeune femme sont d'un bleu d'eau attourdissant, on s'y perdrait tel des abymes envoutante beaucoup moins noircies par la noirceur qu'on ne pourrait le croire. Ils dégagent quelque chose de mystérieux, on n'y découvre rien d'autre que de multiples néons de plaisirs, des scintillements, ils procurent une joie inexpliquée. Juliet peut parfois cligner des yeux, laissant percevoir aux autres sa fines couche de maquillage discrète. Ils sont ornés de longs cils ainsi que de fins sourcils d'un noir de jais.
- Cheveux : Les cheveux de Juliet sont d'une couleur châtains mais laissent tout de même paraître quelques mèches de différentes couleurs (naturelle, cela va de soit étant donné que la demoiselle n'est pas excellente en Potion). Ils sont mi-long, lui arrivant au dessous des épaules lorsqu'elle se risque à se les lisser. Généralement ils ondulent fièrement le long de ses joues pâles, presque blanches.
- Date de Naissance : 24 Juin 1958.
- Sang : En réalité, on pourrait dire que la jeune femme est de sang pur, néanmoins, son arrière grand père était Moldus. Mais ce n'est pas très bon à savoir étant donné qu'elle était fière de ce coté 'pur'.
- Etat Civil : Célibataire.
- Adresse : En plein coeur de Londres. Coventry Street.
- Métier : Professeur de Duel à Oxwarts.
- Facultés Spéciales Répertoriées : Aucunes.
BAGUETTE_ - Bois et Composition : Bois de Saule, Ventricule de Coeur de Dragon.
- Longueur : 21 cm.
FAMILLE_- Famille Liée : /
- Nom et Prénom du Père : Jack.
Métier ou Occupation : Auror.
- Nom et Prénom de la Mère : Lily.
Occupation de la Mère : Langue de Plomb.
- Autres Membres de la Famille : Juliet a un petit frère, William qui est seconde année à Oxwarts, et qui était dans la très célèbre maison du Serpent lors de sa scolarité à Poudlard.
- Bref Historique Familial : La Famille Schwartz est connue pour son coté ambitieux. Ils ont tous eux d'excellent résultats dans leurs scolarité et ont eut le métier qu'ils souhaitaient (bien que celui de professeur ne soit que provisoire pour le moment en ce qui concerne Juliet). Ils sont tous étroitement liés, bien que chacuns aient ses secrets. Cependant, les deux enfants de la famille sont énormément soudés malgré leur différence d'âge. Il faut aussi préciser que William a redoublé sa première année de Fac dût à quelques problèmes concernant la drogue, ce qui créa quelques discordes dans la famille vis-à-vis des parents. Ceux-ci sont souvent absents à cause de leur boulot prenant, cependant, lorsqu'ils sont présent ils sont très accueillant et rigoureux. Ils montrent un beau coté à la société car ils ne veulent pas montrer de mauvaises images. Cependant, il y a toujours quelque chose qui cloche chez les Schwartz. Juliet n'a jamais vu ses grands-parents avec qui il y a eu beaucoup de problèmes vis-à-vis du mariage de ses parents qui n'étaient pas du même 'bord' à la base.
INFORMATIONS PERSONNELLES_- Physique Général : Juliet a un corps frêles, elle n'est cependant pas anorexique, a des formes (bien qu'elles soient petites). Ses seins la rendent perspicace ainsi que ses fesses. Reposant toujours la faute sur sa mère et son père qui ont été son code génital. Elle est plus petite que les autres pour sa taille, seulement de quelques centimètres, ce qui lui permet de se pavaner en talons sans pour autant attirer l'attention. Les traits de son visage sont fins et ses cheveux recouvrent la moitié de ce dernier généralement, bien que parfois elle juge nécessaire de se le dégager (pour faire ses cours, par exemple). Elle se vêtit en robe de sorcier lorsqu'elle s'en voit obligée mais est beaucoup plus attirée par la mode moldue. De plus, elle passe beaucoup plus inapperçue lorsqu'elle se balade dans sa ville. La jeune femme n'est pas musclée, sans la magie, elle n'aurait aucuns moyens de défenses, ayant détesté le sport durant toute son adolescence (même le Quidditch) ce n'est pas aujourd'hui qu'elle changera. Il faut avouer qu'elle a du charme mais la beauté est relative, néanmoins, elle n'a aucuns problèmes avec les hommes excepté son caractère très.. spécial.
- Qualités : Pour commencer, nous pouvons les compter sur les doigts d'une seule main. Malgré son tempérament défectueux envers les autres il lui arrive de se trouver 'protectrice' mais seulement envers ses proches. Faire tout ce qu'elle peut pour les aider, cependant dans le silence pour ne pas qu'on remarque sa générosité cachée. Elle est très studieuse, elle n'a pas l'habitude de passer tout son temps libre à la bibliothèque ou bien même devant un film documentaire, mais elle a une mémoire époustouflante qui l'aide énormément. Malgré son air renchigné de par moment, elle montre souvent une attitude fière, calme et posée, et par dessus tout : heureuse. Elle ne veut pas se faire prendre en pitié par les autres, et c'est en quelque sorte une force. L'ancienne Serpentard est prête à tout pour aider les autres, mais c'est avant tout pour s'évader de ses soucis. C'est donc tout à fait égoïste, et donc n'a pour seul profit qu'elle même. Cependant, ça, personne ne le sait ci ce n'est son propre frère. Très ambitieuse, elle a toujours ce qu'elle veut. Lorsqu'elle se fixe un objectif, elle ne change jamais de chemin avant d'en avoir atteint le bout. C'est une des règles d'or de sa famille. Elle peut parfois même aller jusqu'à faire des mauvais coups aux autres pour son propre bien, sans remords.
- Passions : Elle aime beaucoup se plonger dans un livre qui relate des faits réels, souvent grave. Elle est fanatique du shooping (comme beaucoup des femmes de son âges) ainsi que des sorties entre 'amis'.
- Défauts : C'est une personne très lunatique, mais qui arrive souvent à se controler, tout se passe dans sa tête. Elle est submergée par différentes querelles personnelles ou même des faits non avérrés qui pourraient se produire. Elle a des prédiception pour l'antipathie mais n'osera jamais l'avouer à quiconque, et c'est par honte qu'elle n'ose l'approfondir. Elle est néfaste envers elle même. Loin d'être naïve, elle a horreur qu'on se fiche d'elle et est de ce fait très rancunière pour n'importe quel fait. Elle peut partir en trombe parce qu'on lui a mentit pour un sujet futile, sans importance, etc. La jeune femme est aussi 'hyperactive', elle bouge beaucoup, ne peut rester en place plus d'une seule seconde.
- Peurs, Phobies et Autres : La demoiselle a horreur par dessus tout des araignées. Cela pourrait paraitre idiot et surtout cliché mais dès qu'elle s'imagine leurs pattes poilus, leur corps sveltes, elle en est totalement crispé. Cependant, elle n'en a jamais parlé à personne. La solitude est aussi une de ses pires peurs bien qu'elle aime avoir parfois ses moments tranquilles, tant qu'ils ne sont pas très répétitif.
NOTES SCOLAIRES_BUSES.- Astronomie : E.
- Arithmancie : A.
- Botanique : E.
- Défense contre les Forces du Mal : O.
- Histoire de la Magie : A.
- Magie Noire : O.
- Métamorphose : E.
- Potions : P.
- Sortilèges : E.
ASPICs.- Astronomie : A.
- Arithmancie : E.
- Botanique : E.
- Défense contre les Forces du Mal : O.
- Histoire de la Magie : A.
- Magie Noire : O.
- Métamorphose : E.
- Sortilèges : E.
Dernière édition par le Mer 10 Oct 2007 - 0:05, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Juliet. Mar 9 Oct 2007 - 23:04 | |
| BIOGRAPHIE_
Vous vous trouvez dans une pièce close. Le silence en émerge et malgré vos recherches vous n'en trouvez aucunes sorties. Aucunes portes, aucunes fenêtres ne sont à portés de vue malgré la lumière de votre portable qui ne cesse d'afficher « Batterie Faible » depuis déjà une après-midi entière. Vous êtes désespéré, vous avez beau hurler que personne ne vous entends. Vous ne savez pas pourquoi et comment vous êtes arrivés ici. Votre dernier souvenir a été celui de vous coucher aux coté de votre femme la nuit précédente. Vous avez perdue tout espace temps, toute chronologie. Vous êtes perdus. Vous ne savez pas quoi faire, hurlant toujours à souhait, vous essayez avec fougue d'allumer votre dernière cigarette avec votre briquer, qui n'a, pour ainsi dire, plus de gaz. Vous commencez à pleurer, à vous déchaîner contre les murs. Sans aucuns effets. Votre portable n'a bien entendus aucuns réseaux, parce que sinon vous auriez appelé la police depuis votre réveil. Vous n'avez pas de patience, vous pensez être dans un véritable cauchemar, proche de la folie, vous vous étendez sur le sol, présent toujours la roulette du briquet, toujours sans succès, vous le balancer contre le mur d'en face, manquant de peu de percuter un visiteur. Vous êtes stupéfait de voir qu'une ombre haute d'un mètre soixante dix environs se dresse devant vous. Vous ne pouvez en déceler les traits tellement la pénombre hante le lieu. Vous entendez comme une tension imminente. Vous ne réalisez pas à quel point vous êtes dans un état critique bien que vous vous sentez toucher le fond.
« Dis moi, as-tu déjà frôlé la mort ? »
Cette voix vous semble féminine, discrète et d'autant plus mystérieuse. Du haut de vos quarante ans vous ne bougez plus, stupéfait de constater que la personne qui se dresse devant vous ne dépasse que de très peu la vingtaine. L'ombre se rapproche, et vous vous traînez au sol pour l'y échapper, sans répondre à sa question, parce que ce serait comme accepter la réalité, chose que vous redoutez au plus profond de vous. Chose positive : vous n'hurlez plus. Votre voix cassé par le tabac et la grippe qui vous parcourrait aussitôt vont peut être pouvoir s'arranger. Vous laissez tomber votre cigarette, figé contre le mur, vous ne pouvez plus bouger. Vous avez peur, très peur. Vous vous sentez impuissant face à cette inconnue qui ne semble pas être une de ces sainte ni touche qui pourrez vous délivrer immédiatement. Vous êtes tellement pétrifié que l'idée de savoir de quelle façon elle a put entrer vous échappe. Vous ne pensez plus à rien, vous êtes comme dans un autre monde, suffoqué, vous croyez mourir sur place, mais une main s'approche de vous et vous attrape par le col, vous forçant à vous redresser. Vous tremblez énormément. Et la voix s'élève.
« Mais je ne vais rien vous faire.. » affirma-t-elle, « du moins, pas tout de suite » ajouta-t-elle avec le même ton.
Vous êtes de plus en plus perturbé. Votre cerveau se remet en marche et des centaines de questions commencent à éclore en vous, sans réponses, en répétition. Vous ne pouvez plus parler, vous ne pouvez pas affirmer ne serait-ce qu'un seul mot, et son sourire que vous pouvez imaginer ne vous laisserez pas le temps d'en placer une. Vous voyez l'enfer se dresser devant vous. Vous et votre famille avez l'air d'être modèle, heureux de facette, mais au fond votre femme vous bat et vos enfants ne sont pas de vous. Vous avez pourtant peur de quitter cette vie misérable, à un tel point que vous cessez une seule seconde d'envier le voisin qui a une femme différente chaque soir. Vous écarquillez les yeux, cherchant une voix de sortie. Un instant de survie vous parcours, vous voulez vous échapper, malgré tout, vous ne trouvez aucuns moyens.
« J'sais pas ce que tu fais ici, mais autant en profiter. »
Vous semblez perplexe, apparemment cette femme ne semble pas être la cause de votre emprisonnement. Votre ventre commence à émir des gémissements mais vous n'y faites pas attentions. Vous entendez le dernier « bip » de votre portable volé, vous ne pourrez donc plus jamais le rallumer, ne connaissant pas son code PIN. Vous êtes inerte. Vous ne comprenez encore moins ce qu'il vous arrive. Vous aimeriez lui dire « Alors vous aussi, on vous a eu » mais vous n'en avez pas le courage, et surtout plus la force. Et ses derniers mots vous ont tendus d'avantage. Que voulait-elle vous dire par « en profiter » ? Cela reste un mystère, mais vous ne tarderez pas à en découvrir les sens.
« Je suis une femme pas réellement agréable, comme vous pouvez le voir. A cinq ans, j'ai vu mon grand frère se faire tuer sous mes yeux, d'une manière que vous connaissez bien, vous, les moldus. Avec une arme à feu. Vous savez comme je méprise ces choses n'est ce pas ? Je pourrais vous faire un récit sur Stefan mais ça ne servirait qu'à attiser votre pitié et je n'en ai pas réellement envie. »
Vous vous calmez, elle a lâché votre col depuis son premier mot, vous écoutez attentivement ce qu'elle vous raconte bien que ce soit le dernier de vos soucis, n'en comprenant qu'un mot sur deux tellement vous êtes paniqués, vous ne savez pas comment réagir, parler, ne serait-ce qu'un peu ou se taire. D'un coup, la lumière survint dans la piège. Vous écarquillez les yeux et vous vous sentez aveuglé, vous mettez énormément de temps à vous habituer à la lumière, tellement qu'elle vous agresse, vous obligeant à les fermer, les rouvrir, sans cesse. Puis tout s'adoucis. Vous remarquez que cela provient d'un bout de bois minuscule que la femme tend en main. Vous pouvez voir son visage enfantin qui ne fait pas même vingt ans. Vous lui trouvez du charme mais un coté mystérieux vous permet l'office du doute, perdant votre coté rassuré. Avant même que vous puissiez ajouter quelque chose, elle reprend la parole.
« Ne vous en préoccupez pas, Moldu. »
Vous ne comprenez pas pourquoi elle persiste à vous appeler « Moldu », mais vous faisez ce qu'elle vous demande bien que des centaines de questions supplémentaires commencent à se cogner dans votre tête sans merci.
« J'ai un autre frère : William. Je tien beaucoup à lui. Sans doute même plus que j'ai tenu à Adam, mon ex petit-ami. On était ensemble depuis ma première année à Poudlard. Ca faisait presque dix ans lorsqu'on a rompu. Il m'avait trompé avec ma meilleure amie. Chose qui m'a attristé. » Silence. « Et vous savez ce que j'ai fais ? »
Le ton de sa voix avait radicalement changé lorsqu'elle posa cette question, vous commencez à paniquer étrangement, cherchant quelque chose à quoi se raccrocher, un couteau, une lame de rasoir, mais vous ne trouvez à perte de vue que votre portable à l'autre bout de la pièce, il ne vous serez d'aucune utilité.
« Je les ai tué. »
Vous restez cloué sur place. Vous ne cillez plus des cils, vous ne respirez même plus, votre coeur bat à cent à l'heur tellement la crainte vous parcours. Vous êtes désespéré, vous aimerez encore vous réveillez mais vous avez de plus en plus de mal de vous convaincre du fait que vous seriez en plein rêve. La jeune femme acquiesce un sourire, et vous ne trouvez pas le courage nécessaire qu'il faut pour la fixer dans les yeux. Bien trop occupé à trembler, à souffrir.
« J'ai eu une vie de rêve à part ça. Des parents aimant, bien qu'ils soient absent, un autre frère compréhensible avec qui je suis plus liée que n'importe qui. Des amis futiles, sans grands intérêt qui m'aident quand j'en ai besoin. Quelques passions furtives. Je suis éprise d'une certaine ambition. J'avais postulée pour être Directrice du Département des Mystères. Savez vous ce qu'ils m'ont répondus ? Bien sur que vous ne savez pas. Ils m'ont sortit que je n'avez pas assez d'expérience, trop jeune selon eux. Que je n'avez pas assez vu le monde. Je dois donc me farcir un rôle de prof' à l'université où j'y ai passé quatre ans de ma vie. »
Vous n'arrivez toujours pas à la regarder, vous restez silencieux, elle ne semble pourtant pas être du genre à raconter sa vie à un inconnu et c'est ce qui vous perturbe le plus. L'idée de ne plus ressortir de cette pièce vivant vous hante et se rapproche de plus en plus de ce qu'il pourrait se passer. Vous êtes quelqu'un de compétant, qui sait analyser les choses mais ne sait pas agir. Vous avez compris que si elle vous racontez tout ça ce n'était pas pour occuper sa journée (ou sa nuit) et que si vous étiez là, ce n'était pas du au hasard, et le sourire qu'elle dresse est bien loin d'être amical, mais ça vous l'avez su dès la première fois.
« Et vous savez quoi James Cohen ? »
Vous ne bougez plus. Le fait qu'elle prononce votre nom vous laisse de glace. Vos suppositions s'avèrent être de plus en plus exacte, vous commencez à avoir peur, très peur, pire que tout à l'heure. Vous êtes à deux doigts de faire un arrêt cardiaque mais vous vous accrochez à la vie, ne serais-ce que pour une seule minute de plus, pour avoir le fin mot de l'histoire. L'image de votre femme paraît floue, celle de vos enfants aussi. Vous voulez vous enfuir mais ne trouvez toujours pas d'issue. Finalement, vous vous êtes fait une raison, et mourir n'est pas une option lorsqu'il s'agit d'un meurtre. Et ne dites pas que vous êtes un ignorant en la matière.
« C'est de votre faute. Si vous n'aviez pas été si égoïste en tuant mon frère cette nuit là, sous mes yeux, je n'aurais pas à faire ça. Si vous ne m'aviez pas négligée, je ne m'apprêterais pas à faire l'impardonnable. J'aurais été plus heureuse. Je vous hais plus que tout Monsieur Cohen. Vous ne méritez pas même que je vous appelle ainsi. »
Elle se relève, et vous comprenez tout. Vous avez ordonner à un tueur à gage de tuer le fils d'un de vos ennemis de façon à permettre au votre d'entrer dans une école cotée. Vous n'imaginiez pas que cette histoire allait finalement remonter jusqu'à vous tellement l'homme que vous aviez engagé était talentueux. Vos pupilles se dilates. Vous vous sentez dépérir avant l'heure. Vous ne remarquez pas même qu'elle s'est redressée et qu'elle tend ce bout de bois qui allumait la pièce droit sur vous. Vous vous êtes fait à l'idée de mourir. Vous arrivez même à prononcer faiblement quelques mots.
« Je suis né en tant qu'homme, laissez moi mourir en tant qu'homme. » « Avada Kedavra. »
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Juliet. Mer 10 Oct 2007 - 0:04 | |
| Voilà, finito =). Bon j'ai un peu baclé mais je voulais vite la jouer >< |
| | | Mikomi Tenshi Maraudeuse tyrannique. Directrice de Serpentard.
Nombre de messages : 6477 Age : 42 Maison : Ex-Serpentard Age du Perso : 24 ans Date d'inscription : 25/04/2006
Qui fait quoi ? Fonction HRP: Co-Fondatrice Facultés Spéciales: Animagus chat noir
| Sujet: Re: Juliet. Mer 10 Oct 2007 - 6:33 | |
| Je valide ici aussi tant qu'à faire xD | |
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| Sujet: Re: Juliet. | |
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| | | | Juliet. | |
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