Une rencontre macabre

Clack! Clack! le bruit de la semelle métalique des Newrocks de Ludvic venant frapper le dallage de pierre usée du cimetierre...
Certainement le seul bruit venant dérangé le silence apaisant que procurer le cimettiere... Seul peut être le bruit de sa propre respiration légèrement roque dérangé Ludvic dans son univers macabre. Il passait souvent faire un petit tour dans le cimetierre avant de tuer quelqu'un, mais aujourd'hui il n'était pas la pour sa,pas encore du moins... Non en effet aujourd'hui était un jour spéciale car c'était l'anniversaire de sa libération, le jour où cinq ans plus tôt il avait assasiné ses propres parents... Aujourd'hui il était venu comme se communié même si ses parent n'étaient pas entérrés ici, il était venu là pour les remercier d'être mort en quelque sorte...
Aussi il ce decida a s'assoir sur un banc de marbre froide en cette douce nuit d'été. Il releva légèrement la tête et balaya les alentours du regard

* Hum, pensa-t-il, allein*

Seul... un mot que Ludvic n'aiamait pas énorment mais qui s'accordait parfaitement a la situation, rien pas une ombre ne vivait dans ce cimetierre d'un gris obscur en cette nuit éclairé par une lune magnifiquequement ronde et pâle... juste la monotonie habituelle de cet endroit, son endroit, un lieu, son lieu, son refuge... simplement...
Ludvic baissa alors sa tête pour fuir cette solitude, comme il aurai aimé avoir une personne à tuer sous la main...
Il s'assoupit alors l'espace d'un instant, repensant à la mort de ses parents...


des pas précipités rattrapèrent Ludvic qui marché dans le couloir de cette maison qu'il connaissait si bien mais qu'il détéstait tant... Il se retourna alors pour faire face a sa mère, une mère au regard étonné qui ne comprenais pas ce qu'il faisait ici

"-Ludvic ?, commenca-t-elle d'un ton bizarrement tendu, Was machst du ? Bist du nicht im Schule ?(que fait tu ici ? n'est tu pas a l'école ?)
-Nein mutti (non mère), lui répondit-il d'un ton méchant, presque agacé..."

Puis, sans plus d'explication il avait sorti un H&K VP70 burst et avait tiré regardant sa mère s'effondrer sans éprouver de remords, juste du plaisir, un soulagement immense puis une autre bruit de pas se fit entendre plus lourd cette fois.Ludvic se retournait pour faire fasse a son père qui venait d'aparaitre

" -Ha!!! balbuta-t-il, Wa... Warum ? (pour...pourquoi ?)
-Stirb (meurs)"

Alors que Ludvic leva son revolver, son père en face lui leva sa baquette et tandit qu'il appuyait sur la détente, son père lança un expeliarmus, faisant ricoché la douille brulante dans lépaule de Ludvic qui lacha l'arme et tomba a genoux, tordu de douleur , la balle avait atteint le nerfs situé au niveau de l'épaule rendant ainsi impossible toute utilisation du bras droit...
Le père s'approcha alors et pointa sa baguettesur son propre fils il allait dire quelque chose et ne vit pas la baguette de Ludvic qui se dréssé vers lui... un eclair rouge illumina alors le couloir étroit, suivi du bruit lourd d'une masse inerte heurtant une surface dure. Ludvic se releva et sorti le couteau de son hostler et d'un geste droit et décidé le planta dans la poitrine de son père, dans un bruit de sucion. Alors que le sang commencé a dégouliner le long de la cage toracique du corps déjà sujet a des soubresauts, Ludvic se releva et dit

" Sa c'est pour ne rien m'avoir dit "

Et d'un coup , brusque et puissant il frappa du pied la têtede son père agonnissant, il yeut un bruit sourd suivit d'un craquement sinistre et la tête du pere Hammer se mit a balotter selon un angle bizarre...

Puis d'autre bruits se firent entendres , des bruits s'emblable à des souffles, des souffles qui n'était que trops famillié a Ludvic qui sorti subitement de ses songes , se dressant en apercevant une fumée noir qui lui faisait face et déjà deux silouhettes en immérgé...

"Gut" fit Ludvic en secouant ses manche donc la baguette et un couteau sortirent pour glisser dans la main de leur propriétaire. Naturellement ses ennemis ne les avait pas vu mais cela n'allait peut etre pas tarder.

"Sind Sie ?, lanca-t-il d'un ton qui arrogant"

"Sind Sie"

phrase a laquel l'inconnu répondu

"Andreas Pravda, d'un ton légèrement nerveux, und ihn ?"

L'homme accompagna ses paroles d'ungeste et tendit sa main vers Ludvic, une main que se dernier scrutta dans le moindre détail, elle était couverte d'égratinures...
Relevant la tête, Ludvic dévisagea le dénnomé Andreas, a peut près de la même taille que lui, il avait le crâne rasé, une barbe naissante, un regard mauvé et semblé fe très mauvaise humeur pour finir.
Ludvic baissa de nouveau son regard vers la main toujours tendu puis feignant a un sourire il mit ses mains dans ses poches pour faires comprendre qu'il n'avait pas envie de lui serrer la main . Il serra alors sa baguette dans sa main, prêt a l'action, il s'approcha alors de l'homme et lui dit :

"Was marchst du hier ?(que fait tu ici), d'un ton sec, Seite!"

Ne le laissantrépondre, il le poussa puis fesant un bond en arrière pour mettre de la distance il saisissit sa baguette, la brandit mais Andreas fut plus rapide,

" ' Expeliarmus ! ' "

Un eclair illumina la nuit, faisant danser les ombres sur les tombes, puis une violente secousse dans la cage thoracique et Ludvic se retrouva propulser une dizaine de mètre pour attérir sur une plaque de granit dur qui lui fit craquer l'épaule. D'un mouvement il se remit sur ses jambes et bondis derriere une pierre tombale pour eviter l'eclair qui fit exploser une autre tombe plus loin derrière, s'appretant a se fondre dans l'obscuritée, il tenta une roulade qui lui rappela que son épaule n'avait toujours pas digérée le choc. La douleur le lançant, Ludvic se serra l'épaule de sa main droite murmurant pour lui même "scheisse". Allettant il parvint enfiin a contenir la douleur il rampa encore un peu puis tendit l'oreil pour repéré son ennemi, il l'entendit marcher sur les dalles de pierres à sa gauche. Ludvic ferma les yeux un instant, serrant soncouteau et sa baguette puis transplana derrière Andreas.
La baguette entre les omoplates, le couteau sous la gorge il tenait maintenant Andreas a sa merci.
Il lui souffla alors a l'oreille

"Du bist stark(tu es fort), alletta-t-il, Ich heisse Ludvic Ernst Von Hammer"

Il relacha alors son emprise sur son advesaire puis, voyant se dernier se retourner il tendit a son tour la main, lachant son couteau

"Gibt auf!( abandonne)"

Puis asubtiment une voix se mêla a la leur, précédant l'arrivée d'un second inconnu

*noch ?(encore)*

Halewyn qui crapahutait sans but dans le cimetière entends les bruits de combat. Alléché par l'odeur du sang qui va bientôt couler, il se trimballe d'ombre en ombre, comme un fantôme... Comme s'il faisait parti de celles ci.

Il arrive donc, invisible grace à son don d'évanesmagie. Le combat est bien équilibré, il se contente donc, pour le moment, de regarder. Passant proche de recevoir un maléfice en pleine gueule, le phoenix noir décide de prendre place en hauteur.

Mais Pravda tombe en mauvaise posture. Soupirant, Halewyn descend de son perchoir et va lui donner un coup de main. Si Rish sait qu'il a laissé Pravda crever sans rien faire.... Remercie Heinrish Pravda.

"Du bist stark(tu es fort), alletta-t-il, Ich heisse Ludvic Ernst Von Hammer"

Il relacha alors son emprise sur son advesaire puis, voyant se dernier se retourner il tendit a son tour la main, lachant son couteau

"Gibt auf!( abandonne)"

Une voix rauque d'avoir jadis trop hurlé se fait entendre.

J'comprends pas ton charabia... Mais je dirais de jamais se fier aux apparences, T'es fait comme un rat

Une lame noire apparait, juste sous la gorge de Von Hammer. Et une main plante quelque chose d'assez pointu dans le bas de son dos, décourageant toute tentative de faire le malin.

J'comprends pas ton charabia... Mais je dirais de jamais se fier aux apparences, T'es fait comme un rat...


Cette phrase résonnait dans la tête de Ludvic pour la simple et bonne raison qu'ils lui furent incrustés dans ses reins par une lame.
La douleur fut si soudaine qu'elle rompit la douleur persistante qui tiraillé l'épaule du jeune garçon. Un échange equivalent. Pris a son propre piège, Ludvic se savait soumis mais, il ne se sentait pas pour autant vaincu; c'est lui qui soumets pas l'inverse. La lame avait frôlé le nerf, le moindre faux mouvement pouvait desormé être fatal, entrainant une paralisie instantannée des membres supérieurs, une mort certaine en bref. Le seul moyen de s'en tirer c'etait de retirer la mae comme elle était entrée; mais pour ce faie, il fallait rusé. Chose difficile a faire lorsqu'on est encerclé et que la douleur nous transperce comme une fleche, dechirant la chair dans son élan. De plus, Ludvic savait que retirer la lame ne le tirerai pas de se mauvais pas. Il y avait du deux contre un, une supériorité engendrant tout un flot de nouveaux paramètres inconnu qu'il fallait savoir gere dans les plus brefs délais. Chose dite, chose faite. Ludvic lacha le couteau, libérant ainsi c'te raclure qui se decala. L'ouverture était faite. D'un coup, Ludvic bondit en avant, tituba en sentant la lame se retiré brutalement, mais surement. La douleur le fit glisser sur le dallage de pierre, il tituba, mais se rattrapat et dans un craquement sonore (on voit les adeptes heins ?) accompagné nuage de plumes sombres , il s'esquiva, transplana contre un caveau, a une dizaine de mètre face a eux. Posant sa main sur sa blessure il evalua la chose de maniere quasi instinctive et d'un mouvement de main (et de baguette, encore fallait-il la voir) recousu le tissu musculaire, ne stoppant pas pour autant un filet de sang de couler, maintenant il savait, il devait eviter de se frotté a la lame de cet homme car totu comme lui, il possédait des lames magiques, empechant une cicatrisation complete de la plaie. La blessure ne le genera pas, c'était l'important.

"Mangemmorts ?, siffla-t-il, vous voulez tous que je vous saigne ou quoi ? De vrai maso... décidement c'est une maladie ?"

Il avait énervé ses adversaires, un du moins, dont il vu les poings se serrer,le plus dur était fait, un adversaire qui perdait son sang froid était une proie facile.....
Il annalysa alors attentivement la situation certe Pravda avait le sang chaud mais l'autre avait l'air d'aimer la situation

* tu t'es trouvé un copain ,songa Ludvic tout en ricanant intérieurement, aussi aimable et saint d'esprit que toi*

Il bondit alors, courut du plus vite qu'il put pour ne pas pouvoir être ciblé par ses adversaires, chose qui ne fut guère utile car il eu juste le temps de devier un eclair vert qui lui dechira le col de son cuir. Il s'esquiva alors sur le côté et se penchant pour recuperer son couteau, il lança un "confrigo" visant une dalle dépassant du sol au pied des deux mangemmorts qui furent souffler par la dalle qui produit une onde si puissant que les jointures de bétons volerent en éclats aussi. Ayant juste le temps de se proteger le visage de son poing, Ludvic ne fut pas pour autant proteger d'un eclat qui lui trancha l'arrete du nez, remontant vers l'oeil qui fit épargner de justesse.
Se relevant tant bien que mal, il sourit, ses advesaires au sol il avait pris le dessus, temporairement.

"On ne stoppe le vol du corbeau, decréta-il d'une voix objective mais tranchante, sauf si on ne tiens plus a la vie"

il remonta alors l'allée de pierre, tournant volontairement le dos a ses adversaires qui se relevait a leur tour.

"Ha, encore une chose, je ne suis pas un rat"

hj: ok, ma lame n'est pas magique, mais elle peut être empoisonnée pour empêcher les blessures de se refermer. On va dire que cest le cas. Mais la prochaine fois, demande par mp stp et les attaques, on peut décider si on les évite?


Mangemmorts ?, siffla-t-il, vous voulez tous que je vous saigne ou quoi ? De vrai maso... décidement c'est une maladie ?"

Halewyn rigole ferme.

Essaie... Bon Pravda. J'ai rééquilibré le truc, démerde toi.

La dalle qui arrive... Juste au moment ou les débrits viennent pour les percuter, Halewyn évite ceux qui lui sont destiné d'un expulso bien décontracté. Il évalue la distance ou est le connard . Il s'arrête pour les braver.

On ne stoppe le vol du corbeau, decréta-il d'une voix objective mais tranchante, sauf si on ne tiens plus a la vie"

Bien, j'en ai rien à foutre de ma vie.

Il disparait, purement et simplement. Un double crac sonore... Tout près du corbeau. Mais rien en vue.

Ha, encore une chose, je ne suis pas un rat

Alors qu'il remonte l'allée de pierre, un obstacle imprévu le fait trébucher... Un croc en jambe suivit d'une bourrade. Halewyn réapparait. Une voix profonde et abyssale se fait entendre.

Ya juste un truc pour stopper le vol d'un corbeau et c'est un rapace. Phoenix Noir, pour te déplaire... J'en ai rien à cirer de toi, mais jte retiens jusqu'à ce Pravda arrive.

Il redisparait et chance de position, se mouvant silencieusement comme la mort elle-même.

Je poste .

Tu poste toujours ??

Edit Aurel : je déplace ^^'