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| Celio Taloa | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Celio Taloa Dim 30 Sep 2007 - 0:35 | |
| CARTE D'IDENTITÉ
- Nom : Taloa
- Prénom : Cileo, Jerry.
- Poids : 65
- Taille : 175
- Yeux : Noir
- Cheveux : Noir
- Date de naissance : 16ans, né le 1er Juin 2o42.
- Année scolaire : 6 ème
- Etat civil (célibataire, marié, veuf, divorcé) : Celib
- Adresse (lieu de résidence principale) : Londres
BAGUETTE
- Bois et composition : bois de pin du pacifique avec un crin de licorne.
- Longueur : 22 cm
FAMILLE
- Famille liée
(ici, mettez le nom du personnage fait par un autre joueur ainsi que le lien de parenté)
- Nom et prénom du père s'il y en a un : Cecilio Taloa
Métier ou occupation : Ancien Auror, Décédé.
- Nom et prénom de la mère, s'il y en a une : Ana-Lucia Taloa
Occupation de la mère : S'occupe de gamin chez les moldus, ayant abandonné l'utilisation de la magie le jour où son mari fut assassiné devant les yeux de ses enfants.
- Autres membres de la famille :
Petelo, le petit frère de Celio.
- Bref historique familial :
INFORMATIONS PERSONNELLES
- Physique général :
Grand et assez bien batît pour un garçon de 16 ans. Mesurant 1m 75, il n'attendra pas plus haut. Du côté de son père, les hommes ne sont pas bien grands. Dépassant rarement les 1m 80, ils sont tous, néanmoins, très impressionnant. Du moins, c'est ce que lui raconte sa mère sur son defunt père. Les cheveux plus ou moins longs, noir de jais, en bataille, de temps en temps coiffés, Cileo a la possibilité d'en faire ce qu'il veut. Ses yeux sont également noirs et impressionnant. Baignant d'une chaleur légèrement coquine, ils peuvent changer d'expression à une rapidité exemplaire, passant de la joie intense à une colère froide, rendant son regard difficilement tenable lorsqu'on est influençable. Sur tout son avant bras gauche, il a une cicatrice qui part du coude jusqu'au poignet. Il ne se souvient pas d'où cette dernière vient. Néanmoins, sa mère ne veut pas le lui révélé, ce qui l'exaspère.
- Caractère :
Pour beaucoup de monde, Cileo est quelqu'un qui peut être agréable. Possédant une culture générale importante, c'est un garçon qui a de la discussion. Amusant jouer de la langue, il lui arrive de raconter des conneries dans toutesles façons possibles. Le parler verlant, ou encore, limite vulgaire, jusqu'au langage soutenu. Très manipulateur, il sait à qui il peut faire certaines choses, et à certains non. Il a un certain respect du réglement, bien qu'il en parle avec dedain. C'est un jeune homme qui ne supporte pas qu'on le bride un peu trop. Il aime la liberté tout autant que les filles, le quidditch, ou encore lire un bon livre au coin d'une fenêtre dans une salle où un feu crépite avec douceur. Ouvert au monde, mais une pointe narcissique, Cileo peut, même si il est agréable, taper sur le système, mais là, je ne vous conseil pas de lui dire de s'arrêter ou aalors, mettez y des formes, sinon, sa réaction sera sans équivoque. Allant de la simple réplique tranchante jusqu'au coups de poings en plein gueule tout en passant par le regard noir. C'est quelqu'un de rancunier et rusé, parfois mielleux, tout en étant, et ce qui est paradoxal, parfois très franc. Cileo est un très mauvaise ennemie car il est sans pitié. Mettez vous en travers de sa route, et vous risquez d'en baver.
- Goüts :
Il adore les choses les plus simples. Une bonne soirée entre potes, la compagnie des filles sans être un coureur de juppon, bien manger... Sa culture que lui a légué son père... Cileo a des goûts extremement variés, ce qui le rend assez interessant. Il a l'esprit ouvert, c'est ça qui le rend différent des autres garçons, car la plupart ont besoin qu'on les regarde pour grandir, besoin de se prendre des claques, quoi... C'est ça qui est dommage. Oui, vous aurez compris, que Cileo est également assez sarcastique. Et vous n'avez rien vu. Bon, pour clôturer, Cileo raffole totalement des fajitas aux poulets. C'est son péché mignon...
NOTES SCOLAIRES BUSES
- Astronomie : E
- Arithmancie : O
- Botanique : A
- Défense contre les Forces du Mal : E
- Divination : A
- Etude des Moldus : //
- Histoire de la magie : P
- Magie Noire : //
- Métamorphose : O
- Potions : E
- Soins aux Créatures Magiques : //
- Sortilèges : E
Options choisies à Poudlard : Airthmancie et Divination. BIOGRAPHIE[*] Biographie juvénile Encore. Plus rapprochés. Plus douloureuses. Ana, ouvrant les yeux, tourne sa tête en direction de sa table de chevet. Le cadran d’un réveil indique o4h oo du matin. La jeune femme passe la main sur son ventre, avec une douceur incomparable. Un sourire aux lèvres, elle le sent. Ca va être pour aujourd’hui. Aïe. Oui, encore une. Il était pressé le petit garçon. Ana tourne le visage vers le côté gauche. Personne. Elle allait accouché seule. Elle ressentit, à nouveau une douleur. Mais cette fois au niveau du cœur. Elle commençait à en avoir marre des horaires de son mari. Jamais il n’était là, jamais il se couchait en même temps qu’elle, et c’était peine à croire comment ils avaient pu faire pour qu’elle se retrouve enceinte. Soudain, un bruit. Comme à l’accoutumé, Ana sort sa baguette de sa table de chevet avec douceur, puis, repoussant légèrement ses draps, elle se lève avec douceur et silence, tout en faisant bien attention, à ne pas se faire mal au dos. S’approchant de la fenêtre, elle tire le rideau de soie blanc, pour regarder à l’extérieur. Un vent souffle, les branches bougent, un craquement, l’une des branches de la cime du pin de leur jardin, tombe, au sol, attiré par le poids de la gravité. Rien de bien effrayant. Elle lâche le rideau qui reprend sa place tout en se balançant quelques peu. Marchant l’espace de quelques pas, se retrouvant en plein milieu de la chambre, elle s’arrête l’espace de quelques instants pour s’observer dans le miroir. Passant une main sur la robe de soie qui couvre son ventre, elle observe, pour peut être, la dernière fois, son gros ventre. Cileo veut sortir, elle le sent, elle sourit. Des bruits attirent son attention, mais cette fois, c’est dans la maison qu’ils se trouvent. Elle se dirige vers la porte, la baguette toujours serrée dans sa main gauche. Elle ouvre la porte, et s’engouffre dans le couloir et Bââm ! Elle percute une personne de plein fouet. Automatiquement, elle se recule pour protégé son enfant, mais elle ne put s’empêcher de soupirer et de dire, en reconnaissant la silhouette de l’homme. Car oui, c’est un homme. Ana_ « Mon homme daigne, e n f i n de rentrer à la maison, pour coucher avec moi ? » Cecilio_ « Désolé. Mais… » Ana_ « Tais-toi. Surtout, ne l’ouvre pas. Je ne peux plus. » Cecilio_ « Excuse moi, je… » Ana_ « En quel langue, je le répète ? » Cecilio_ « Ana… » Sa voix se termine en un faible murmure. Ana se retourne pour retourner dans sa chambre. Même si elle lui en veut énormément, au fond elle, elle l’aime comme pas possible. Son sourire lui revint toujours en tête lorsqu’elle pense à lui, et à chaque fois, ça à l’effet d’une bombe dans son cœur, la reboostant comme si elle venait de prendre une quelconque potion de rapidité. D’apport d’énergie. Elle s’assoit sur le rebord du lit, et se met la tête dans les mains. Cecilio, hésitant, s’avance vers cette dernière avec une expression triste sur son visage basané. Ana sent le lit s’enfoncer sur son côté gauche. Cecilio vient de s’assoire. Elle lève le regard vers lui, et là, elle s’effondre dans ses bras. Cecilio la serre fortement, un sentiment de joie traverse ses yeux. Elle n’avait eut qu’un saut d’humeur, une guelante. Néanmoins, Cecilio sait, oui, elle a raison. Il n’est pas assez présent. Mais son boulot d’Auror… Cecilio_ « Je dois te dire quelque chose… J’ai fais la plus grosse connerie de ma vie… » Sa voix se finit en un murmure. Elle… Il a raison. Elle voit ses yeux, triste et mal, Ana le reconnaît. Il avait eut le même lorsqu’elle avait eut une fausse-couche, il y a quelques années. Ana_ « Qu’est ce qu’il se passe ? » Son ton de voix est compatissant, légèrement audible. Cecilio_ « J’ai foiré ma couverture. Il faut qu’on parte d’ici. » Ana_ « Quel couvert… T’as pas fait… ça ? » Cecilio_ « Si… » Pour prouver ses dires, il retrousse la manche de son avant bras gauche. Là dessus, une marque est apposée. Maintenant, elle comprend… Oui… Elle comprend pourquoi Cecilio avait refusé jusqu’à aux aujourd’hui de lever son tee-shirt sur son bras. Il n’avait pas voulu le lui dire. Ana lève la main, et l’abat sur la joue de Cecilio avant de le serrer fort contre elle. La tête de Cecilio vacille. Il ne lui en veut pas. Cecilio_ « McCoy avait besoin d’un homme sur le coup, et… » Ana_ « J’ai quoi dans le ventre ? un œdème ou ton gamin ? » Cecilio_ « Je sais, mais… C’était primordial. On avait enfin la chance de pouvoir pénétré les rangs des Mangemorts… » Ana, énervée_ « Et donc, tu t’es dit, tiens donc, si je me faisais mangemort au risque de mourir et de laisser ma femme avec un gosse à charge. » Cecilio_ « Je t’interdis de dire ça. Sinon…. » Ana_ « Sinon, quAïe !! … Oh, mon dieu… Cecilio, j’ai perdu les os… Vite, il faut y aller. » Cecilio_ « Quoi ? » Ana_ « Tu veux un dessin ? » Cecilio se lève, va chercher une veste, et il l’a met sur les épaules de sa femme, avant de déposer un baiser rapide sur les lèvres d’Ana. Puis, sachant qu’il allait sortir, Cecilio sourit. Il prit Ana dans ses bras, et CLAP ! Il transplane. Quelques heures après, et Cileo naquit sous le regard attendrit de son père et de sa mère, bien que cette dernière sera fatigué. - Ce qu’il se passe après. Jusqu’à l’âge de ses 7ans. Cileo était donc, né lorsque le père rapporté une nouvelle pas très réjouissante pour Ana, car ce dernier aurait des effets complètements négatifs sur l’avenir de leur couple, mais aussi de leur enfant. Pour éviter qu’ils ne courent un plus grand danger qu’ils ne couraient déjà, le gouvernement Néo-Zélandais, fit déplacer la famille aux Etats Unis avec une carte verte, et tout ce dont ils auraient besoin pour y vivre une nouvelle vie. C’était au sud de New York qu’ils se logèrent. Vivant dans le monde des moldus, mais travaillant chez les sorciers. Les parents de Cileo se montrèrent comme un couple respectable, et peu intriguant, basique. Un père Auror, une mère Botaniste dans l’une des serres de la ville magique, Cileo grandit dans un monde moldu où il s’intégra assez bien. L’école, il la faisait là bas. L’école primaire du quartier était particulièrement délabré, mais il s’en fichait, beaucoup de gamins, beaucoup d’amis, beaucoup de gens de couleurs. Cileo s’y sentait bien. Il n’y avait aucun problème si ce n’est que certains élèves se la jouaient gang, créant ainsi des clans de « race ». Jouant aux pistolets qu’ils faisaient avec les doigts, Cileo avait été classé chez les latinos alors qu’il était loin d’en être un, mais si il avait le faciès pour. Son père était néo-zélandais d’ascendance indigène (terme péjoratif, je le conçois, mais sur l’instant, incapable de trouver un mot plus approprié) et, sa mère d’ascendance anglaise. Cette dernière mit un enfant au monde lorsque Cileo avait atteint l’âge de 5ans.
Dernière édition par le Dim 30 Sep 2007 - 2:46, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Celio Taloa Dim 30 Sep 2007 - 2:41 | |
| 12 Août 2o49, La cicatrice sur l’avant bras et la mort de Cecilio. 23h. Cileo n’est pas encore couché. Il n’arrive pas à dormir. Il sent son père stressé. Sa mère crie depuis le début du repas. Repas qu’il n’a pas mangé puisque son père l’a envoyé dans sa chambre lorsqu’il annonça qu’il avait un truc important à dire à Ana. Cileo l’avait mal pris et au final, il s’était pris une gifle du père. Chose qu’il l’avait énormément surpris, car c’était la première fois que Cecilio levait la main sur son fils. Cileo, assis sur son lit, la main toujours sur la joue depuis que son père l’a giflé, pleure. Il aime pas quand ses parents se disputent, comme beaucoup d’enfants d’ailleurs. Cileo ne les avait jamais entendu crier, et envoyer des objets comme ça. Jamais il ne les avait vu lever la voix l’un sur l’autre. Jamais, ils ne s’étaient levés la main dessus. Cileo pleure. D’un coup, plus rien. On entend un gros boom ! Suivit d’un hurlement d’Ana. Puis, Cecilio, qui se met à hurler à son tour. Cileo n’en peut plus. Décidé à leur dire sa façon de pensé, il se lève de son lit, actionne la poignet de sa porte de chambre, quand soudain… Ana_ « Cileo, nan ! » Elle lui met la main sur le torse et le pouce vers l’intérieur de la pièce. Cette dernière ferme la porte derrière elle, et pointe sa baguette sur cette dernière. Ana_ « Collaporta ! » Cileo_ « Maman ! » Ana_ « Chuut ! » Cileo_ « Papa, il est où ? Vous me êtes… » Plus aucun son ne sort de sa bouche. Ana, baguette pointé sur son fils, tend l’oreille. Il ne faut pas plus de dix secondes à Cileo pour comprendre qu’elle avait ciblé d’un sortilège de Mutisme. Elle lui dit. Ana_ « Je ressors. Surtout, tu bouges pas. Je vais chercher Petelo. Cache toi dans ton armoire ! » Cileo ne comprend rien. Néanmoins, il se dirige vers son armoire au même moment où Ana transplane. D’un coup la porte s’ouvre, son père, le visage ensanglanté entre de force par un homme encagoulé. Cileo voit son père, tenu par les cheveux, plein de sang. Les larmes tombent. Cileo, dans un geste puéril, mais enfantin, court vers l’homme pour l’empêcher de faire du mal à son papa. Cecilio, dont la voix est faible_ « NON ! Cileo ! » Cileo_ « Aïe… » Sanglot énorme. Une douleur lui lacère le bras. Il est à terre. Son père est sur lui, une lame suffisamment grande dans le flan droit. La lame poursuit sa route sur l’avant bras de Cileo jusqu’à atteindre l’os du bras du petit néo-zélandais. Un hurlement de douleur. Son père geint. Des bruits de pas, suivit d’un : Ana_ « Expelliarmus ! » L’homme encagoulé qui tient l’arme enfoncé dans le flan de Cecilio décolle pour aller s’encastrer contre le mur d’en face. Quelqu’un transplane juste après qu’il ait entendu Petelo geindre. Cecilio s’écroule sur lui. Cileo, dont la voix était pleine de peur_ « Papa… ? » Cecilio, avec souffrance_ « Chuut… Accroches toi à moi. » Cecilio n’avait pas eu besoin de dire ça. Cileo l’entoure de toute la force de ses bras, tandis que sous un gémissement douloureux, Cecilio transplane, avec Cileo sous ce dernier. Il ressent pour la première fois, cette sensation. L’odeur de son père, de son sang, la douleur qui le lançait encore à l’endroit où l’épée l’avait transpercé. Il ne respire plus et commence à avoir mal aux niveaux des poumons jusqu’à ce que d’un coup, ils réapparaissent. Les poumons de Cileo se gonflent d’un coups. Il pousse un gémissement, puis un autre un peu plus fort lorsque Cecilio s’écroule sur ce dernier. Des bruits de pas précipités se firent entendre aux oreilles de Cileo. Tout était amplifié. Il a mal à la tête. Les coups ont du lui fragiliser l’ouïe. Ana, paniqué_ « Mon dieu… Cecilio, Cileo… » Elle aide son mari à se pousser. Ce dernier se vautre contre un arbre. Cileo ne sait pas où il est. Il sent l’odeur de sa mère qui l’entoure fortement, puis, elle le lâche. Il se laisse tomber. Il ne comprend pas ce qu’il vient de se passer et il tente de se secouer. Il se relève. Petelo est à ses côtés, en lui tendant sa sucette. Cileo fait un signe de négation avec sa tête, puis, il se lève tant bien que mal, se serrant avec la main de son bras valide la plaie ouverte. Il s’approche de son père et de sa mère qui pleure à son cou. Et ce souvenir devait resté à jamais dans sa tête. Même si le traumatisme lui cache encore ce souvenir, il est bien présent. Pour Petelo, c’est pareil. Ana, quant à elle, s’en souviendra toute sa vie. Cileo, la voix pleine de sanglot_ « Maman… Papa… Papa est… » Petelo, levant sa sucette_ « Papa, je t’aime. » Ana éclate en sanglot. Elle maudit le monde, la terre, les dieux, tout le monde. Ils lui ont prit son mari. Le père de ses enfants. Ils sont désormais orphelin. Cileo vient de comprendre. Il tombe à genoux. Des larmes coulent sur ses joues. Il ne peut retenir ce sanglot retentissant. Son frère pose sa main sur l’épaule de Cileo puis lui fait comprendre de se lever. Cileo prend la main de son frère, puis, les deux enfants avancèrent avec peine et douleur rejoindre leur mère qui pleure depuis quelques minutes sans s’arrêter, le débit continuant toujours d’être tout aussi dur. Cileo lâche la main de son frère pour s’approcher de son père. Ana s’éloigne. Cileo enserre son père avec toute la force dont il est capable. Puis, il sent son père bouger. Il se recule, un sourire aux lèvres. Il a les yeux ouverts. Les mêmes que les siens. Cileo le regarde, mais son père lui fait un signe négatif de la tête. Son fils aîné comprend aussitôt et des nouvelles larmes coulent sur les joues du bout de chou. Cecilio _ « Cileo, prends l’anneau. Celui de l’index de ma main gauche. Prends celui le collier que je porte. » Cileo_ « Nan, tu vas en avoir besoin Papa. » Il refuse l’idée que son père le quitte. Il n’a pas le droit. Cecilio parvint à sourire et à prendre un ton plus dur. Cecilio_ « Non. Prends les. » Cileo pleure, et commence à s’exécuter. Derrière sa mère pleure toujours, mais moins fort. Elle tient son jeune fils dans les bras. Ce dernier était le seul qui ne pleurait pas malgré la compréhension de cette situation plus qu’horrible. Cileo termine ce que son père lui demande. Cecilio lève sa main et il caresse la joue de son fils avec attendrissement avant de la laisser tomber comme si on venait de lui sectionner le nerf qui maintener le bras en l’air. Cecilio_ « Surveille bien ta mère et ton frère pour moi, hein ? » Cileo_ « Papa… » Cecilio_ « Promets le moi que je suis partir tranquille… » Cileo_ « C’est trop tôt, Papa pour que tu rejoignes le monde des esprits. Grand père James est partit plus tard dans sa vie. » Cecilio_ « Cileo… » Cileo_ « Je te le promets Papa, mais… » Cecilio, coupant la parole à son fils_ « Je t’aime. Ne l’oublie jamais. » Cileo saute dans les bras de son père. Il sent le cœur de son père ralentir, Cileo sert plus fort, puis d’un coup plus rien. Cileo sent sa dernière larme coulait le long de sa joue. [*] Biographie scolaire : - Arrivé en Angleterre, entré à Poudlard, Résumé de 5 année. Cette événement s’effaça des têtes des deux garçons sans qu’ils s’en rendent réellement compte. Ce fut difficile les 6 premiers mois pour tout le monde. Surtout pour Ana, car même si cette dernière avait eut l’aide du bureau des Aurors pour déménager la famille Taloa en Angleterre. Ce déménagement permit à Cileo de partir sur de nouvelles bases. Il entra dans une nouvelle école de Moldus, mais quelque chose avait attiré son attention… Il avait remarqué que lorsqu’il ne voulait pas faire quelque chose et que si il se concentrait suffisamment fort, il pouvait empêcher quelque chose de se réaliser. Une porte de s’ouvrir, une craie collée au tableau, ou un stylo qui ne voulait pas s’ouvrir… C’était très étrange, et Cileo avait compris qu’il était un sorcier tout comme sa mère et son père. Le petit Petelo était celui qui avait le mieux réussi à oublier, tandis que Ana avait décidé de vivre comme une moldue, ne voulant plus user de magie, elle s’était retirée du monde de la magie. De toute façon, elle les avait perdu. Elle n’avait plus réussi aucun sort depuis cette événement, et elle n’avait pas cherché à remédier à ce problème. L’été des 11ans de son fils, ce fut une nouvelle confrontation à la magie. Une lettre d’un mystérieux collège de sorcellerie venait d’être livré avec les bouteilles de laits. Cileo les avait lu. Toutes. Il avait été super fière d’être un sorcier car secrètement, et inconsciemment, son but dans sa vie, c’était de ressembler énormément à son père. Sa mère ne cessait de lui dire d’arrêter de prendre la place de son défunt époux, mais rien n’y faisait. Plus elle le repoussait, plus, il s’y accrochait. Cileo voulait être aussi fort que son père. Il se le devait. Il voulait être tout aussi courageux… Talentueux… Mais une chose néanmoins, le mettait en rogne, c’était qu’il n’arrivait pas à se remettre dans la tête le jour de la mort de son père. Il ne se souvenait plus de la cause, et sa mère refusait catégoriquement de lui dire. Une fois, alors qu’il avait insisté, elle lui avait retourné une gifle monumentale, et ce jour là, Cileo eut du mal à ne pas s’énerver. Cela avait été l’année de sa 3ème année à Poudlard, alors qu’il entrait en 4ème. En parlant de Poudlard, Cileo a toujours réussi à obtenir des notes faramineuses… Des notes époustouflantes dans les matières comme la métamorphose ou la DCFM, bien que comme dans l’histoire de la magie, l’astronomie ou l’arithmancie, c’était carrément le fond. Très aimé dans sa maison, et étant un très bon représentant de celle ci, respectant les valeurs de cette dernière, il s’est toujours montré contre la magie noire, et ça, tout le monde le sait. Cileo est un pro magie blanche, et il l’est encore à l’heure que je vous parle… Il s'est lié d'amitié Aaron phoenix et John Corso durant ses études précédentes. Il a le béguin pour une fille de Serpentard qui porte le nom de Sandy Huntignton. [/list] Question subsidiaire : Comment avez-vous découvert ce forum ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Celio Taloa Dim 30 Sep 2007 - 16:08 | |
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| Sujet: Re: Celio Taloa | |
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| | | | Celio Taloa | |
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