Pré-au-Lard__ En un mot: WAOW!

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_ Cette robe te va à ravir, chérie. Vois pour la trouver en blanche pour te mettre plus en valeur et je te promets qu'après, je me fais hétéro rien que pour toi.

Ava éclata de rire. Clarence était génial. C'était l'ami dont toutes les femmes rêvent. Il est compréhensif, marrant, toujours à sortir une connerie et prêt à tout pour aider ses amis. Un peu fofolle, comme il se décrit, Ava l'a toujours aimé depuis qu'elle la rencontrait pour la première fois. Son côté, je me fiche du regard des autres parce que je suis gay, l'a profondément touché et lorsqu'il est venu lui adresser la parole pour la première fois, Ava a accroché. Depuis, ils ne se lâchent plus.

_ Tu crois? Parce que pour le bal de la gazette, elles vont toutes se la péter mondaine, donc, quelque chose de plus voyant, tu ne crois pas?
_ Qu'elles aillent se faire foutre, Chérie. Toi, tu vas en mettre en équerre, si tu vois ce que je veux dire. Le blanc va faire ressortir ton teint de peau et ils n'auront d'yeux que pour toi.
_ Bon, je la prends alors.
_ Depêche toi, sinon, je te la paye.

Ava eut un sourire. Elle retourna dans le vestibule qui servait de cabine d'essayage et elle retira avec douceur la robe blanche qui lui tombait jusqu'aux genoux. Elle était simple, sans trop de frou-frou et d'une blancheur si magnifique qu'on aurait dit de la neige. De la soie... Aussi douce qu'un flocon de neige. Elle se retrouva en sous-vêtement où elle s'observa quelques secondes dans le miroir. Faudrait que je perde un peu de là... J'aurais jamais dû écouter Clarence... Ava eut un sourire, et elle revêtit son slim bleu et son petit chemisier vert pâle. Elle ressortit de la cabine avec la robe sous le bras. Clarence était un peu plus loin, entrain de regarder les chemises pour homme. Il releva la tête vers Ava lorsque cette dernière posa ses yeux sur l'homosexuel.

_ J'y vais. Je vais rater mon rendez vous avec Luceo, sinon. Je te laisse chérie.
_ Ok, mon beau. On se retrouve au journal.
_ Pas d-e s-o-u-c-i-s.

Ava sourit. Clarence lui fit un clin d'oeil, puis tournant sur lui même, il sortit du magasin avec cette démarche super féminine. Celle que pas mal de femmes aimeraient avoir dont Ava qui trouvait sa démarche un peu molle. Elle s'approcha de la sorcière-caissière et elle lui tendit la robe avec un sourire.

_ Merci.

La sorcière, nommée Patty, du moins si Ava avait bien lu le badge, prit la robe avec la même délicatesse d'Ava et elle l'a mit dans un sac de carton avec un symbole féminin entouré du symbole masculin et d'une baguette magique. Puis, elle ouvrit sa caisse et elle récclama.

_ 10 Gallions et 23 Noises, s'il vous plaît?
_ Tenez.
_ Merci.

Elle lui tendit la monaie que Patty prit, puis avec un sourire, elle prit le sac et sortit du magasin pour se rendre directement au petit snak où elle avait l'habitude d'aller lorsque le soleil était présent dans le ciel. Ce dernier possédait une terrasse sensationnelle et qui donnait réellement envie de manger quelque chose. Des plantes, un peu partout avec de multiples couleurs tout aussi jolie les unes que les autres, des tables et des chaises en fer forgés et enfin Jimmy. Oui, Jimmy. Le serveur qui ferait acheter n'importe quoi à une femme. Il suffisait qu'il ouvre la bouche et c'était gagné. Enfin, plus depuis qu'il a posé un lapin à Ava. Elle tira une chaise puis posant ses sacs autours d'elle. Elle prit la carte devant elle en attendant que l'un des serveurs vienne prendre sa commande.

Clarence lui manquait pour les repas du midi. Ils étaient tout le temps ensemble d'où le fait de leur amitié. Ils se connaissaient comme les deux doigts de la main, s'aidaient dès que l'un des deux avait besoin d'une aide quelconque, travaillaient ensemble main dans la main, riaient, sortaient en ville, bref... Si Clarence n'avait pas été gay et qu'Ava aurait été attirer par ce dernier, je pense qu'ils auraient fini ensemble. Hélas, Clarence était plus dirigé vers les hommes. Ava préférait les hommes qui dégageaient quelque chose de mystérieux, c'était toujours plus... Enivrant. C'est comme les hommes, enfaites. Une femme sans conversation, il la tire, puis la largue. Une femme avec une conversation dur plus longtemps. Bah, c'était pareil pour les femmes. Quoique non. Ava ne s'arretait pas au premier stade, il fallait qu'il est un peu de conversation pour qu'elle daigne le regarder.

Assise sur la terrasse avec la carte ouverte devant elle, Ava attendait patiement le serveur. Ca devait être Jimmy, aujourd'hui. Vu le temps qu'il mettait, à mon avis, il regrettait une quelconque réaction de la part d'Ava. Quel grabuge, elle avait fait ce soir là... Elle avait débarqué en trombe, et elle l'avait humilié en publique. En même temps, il le méritait bien. Un homme approchait. Il était très séduisant, mais il avait le teint maladif. Dommage... Bref, elle tourna la tête pour regarder le couple de vieux. Un sourire, un signe de main, elle leur souhaita un bon appétit, lorsqu'elle entendit.

_ Votre mouchoir, Mademoiselle.

Ava tourna la tête en sa direction. Sourire. Elle ne se baisserait pas. Lui non plus, visiblement. Elle jeta un regard au mouchoir, et elle lui dit avec un sourire.

_ Ce n'est pas le mien, Mônsieur.

Ava avait une envie de pouffer de rire. C'était une méthode si mauvaise pour lui adresser la parole. Si ça se trouve, le mouchoir datait de la veille. A cette pensée, elle eut un frisson en s'imaginant ce qu'il devait y avoir dedans. Le serveur arriva juste après qu'elle eut le temps de répondre à Andreas. C'était Jimmy.

_ Tiens donc... Jimmy. Comment tu vas?
_ Très bien. C'est qui?
_ Ca te regarde?
_ Oui...
_ Euh... Et de quel manière?
_ Ok.
_ C'est mon petit ami.

Pitié qu'il marche dans le jeu, pitié qu'il marche dans son jeu. Ava priait le saint des saints pour qu'Andreas joue le jeu. Après tout, cela pouvait être marrant, nan?

_ Bon, qu'est ce que tu veux?
_ La Salade du chef. Et toi, chérie? Tu veux quoi?

Femme – « Tiens donc... Jimmy. Comment tu vas? »

Serveur – «Très bien. C'est qui? »

Femme – « Ca te regarde? »

Serveur – « Oui... »

Femme – « Euh... Et de quel manière? »

Serveur – « Ok. »

Femme – « C'est mon petit ami. »

Serveur – « Bon, qu'est ce que tu veux? »

Femme – « La Salade du chef. Et toi, chéri? Tu veux quoi? »


Andreas tourna la tête. Chéri. Lui ? Il esquissa un sourire. Comprenant la situation, il se demanda d’abord si il devait marcher dans le jeu où si il devait la laisser toute seule dans son délire. Rapprochant sa chaise de sa table, il passa son bras autour d’elle. Il afficha un sourire classe au serveur et contempla discrètement la carte. Relevant quelques secondes plus tard les yeux.

Andreas – « Je vais prendre comme ma femme, une salade du chef. »

Le serveur afficha un sourire confus et d’un pas lent il retourna à ses petites affaires. Pravda retira son bras et constata que la femme avec qui il s’était fait passé pour couple était magnifique. Son coup de cafard était passé. Un sourire rayonnant s’afficha à présent sur ses lèvres.

D’un geste tactique, il chassa la meuf qui gênait la vue de la magnifique journalise. Car oui, il l’avait lu sur son badge. Il désigna son paquet de cigarette. Probablement que l’odeur ne devait pas la gêner, car elle aurait s’en doute réagi plus vite.

Andreas – « Désolé de casser toute la petite chose. Mais je ne sais même pas comment se prénomme ma femme. »

Un rire amusé retentit et le serveur réapparu. Portant les plateaux lourd à ses deux mains d’adulte, lentement il les déposa sur la table. Andreas laissa tomber sa cigarette.

Andreas – « Bonne appétit Femme. »

_ Je vais prendre comme ma femme, une salade du chef.

Ava lui fit son plus beau sourire. Celui qu'elle se servait pour obtenir toutesles grâces de son rédacteur en chef sans avoir à coucher comme la plupart de ses collègues. Toutes des cruches qui prenaient du gallon en se tapant le pauvre vieux Deemers. Enfin, vieux... Et Pauvre... Il était bien content, le petit vicelard. Ava rigola intérieurement à cette pensée. Qu'est ce qu'elle pouvait être con lorsqu'elle s'y mettait, c'était abusé. En même temps, c'était une femme. Le jeune homme avait pris un teint de visage plus abordable et un peu plus joyeux... Craquant. Voyons voir ce qu'il donne...

_ Désolé de casser toute la petite chose. Mais je ne sais même pas comment se prénomme ma femme.

Jouant le jeu, avec un sourire mutin.

_ Elle se prénomme Ava Taylor.

Une petite oeillade amusée, Ava lui fit un clin d'oeil et elle posa sa main sur la main du jeune homme.

_ Et celui de mon mari, c'est quoi?

Andreas sentait... Bizarre. Un mélange d'alcool et de fumé ce qui rendait la chose totalement désagréable lorsqu'il n'y avait pas cette brise qui allait dans la direction d'Andreas portant l'odeur vers l'arrière, ce qui signifiait qu'Ava ne sentait rien à ces moments là, et qu'elle avait le vent dans le dos. Le serveur arriva quelques secondes après qu'ils aient commencé leur joute verbale. Un sourire aux lèvres, elle caressait la main d'Andreas tout en regardant Jimmy. Une femme, c'est cruelle lorsqu'elle veut se venger. Par chance, son - copain - jouait le jeu. Excellent. Jimmy posa les deux assiettes, et Ava huma l'air pour sentir une bonne odeur de chèvre grillé.

_ Bonne appétit Femme.

Le serveur était partit. Ava avait regardé Jimmy filait la queue entre les jambes, l'air haineux, comme si il venait de voir son ennemi avec le vêtement qu'il voulait de puis toujours. Ava était aux anges. Bon, maintenant, il y avait l'autre. Même si il était charmant, elle n'était pas prête pour se remettre avec quelqu'un... Tadaa... Qui parle de se remettre avec quelqu'un? Ava soupira puis, elle lui répondit.

_ Je ne savais pas mon petit ami machiste. Je pense qu'il devrait savoir que sa petite amie ne supportait pas les machistes, mais les êtres aimants et compréhénsifs.

Ava – « Elle se prénomme Ava Taylor. »

Pravda esquissa un sourire. Ava. Qu’elle magnifique prénom. Probablement le seul qui existe sur terre. Un prénom unique. Depuis qu’elle l’avait appelé « chéri » le pauvre petit Andreas ne se sentait plus du tout. Il nageait en plein nuage. Pour un petit mot. Pathétique.

Ava – « Et celui de mon mari, c'est quoi? »

Encore et encore ce petit sourire ravageur sur les lèvres.Il regarda d’un air écoeuré la salade. Elle se composait de : Jambon, fromage, œuf dur, et de mayonnaise. Une petite mixture qu’Andreas désapprouvait. Première mise en bouche. Première grimace.

Andreas – « Enchantée, femme. Andreas Pravda pour vous épouser. »

Parce qu’il était à présent mettre de l’humour. Dans le genre lunatique. Andreas Pravda peut vous servir. Mâchant avec dégoût la chose qu’il était en train d’avaler il bu aussi vite une gorgée de bière au beurre.

Ava – « Je ne savais pas mon petit ami machiste. Je pense qu'il devrait savoir que sa petite amie ne supportait pas les machistes, mais les êtres aimants et compréhensifs. »

Une belle petite réplique façon Ava sûrement. Après une troisième gorgée de bière au beurre, il se remit l’idée en tête qu’il devait manger cette substance verdâtre avec de la multitude de crudité dedans. Passons la salade. Revenons sur elle. Laissant ses yeux se balader sur le corps de la jeune femme. Andreas aperçut son badge. « Ava Taylor – Journaliste, Gazette. » - Il toussota. Journaliste. Magnifique projet de vie. Langue de plomb. Projet de vie moyennement bon.

Andreas – « Parce que j’ai l’air d’un machiste ? Dois-je le prendre pour un compliment ? Femme, voyons. Vous savez très bien que je suis un être aimant et compréhensif. »

Une vraie femme du monde cette Ava. Lentement, Andreas passa son bras derrière les épaules de la jeune femme. Il l’admirai. Pour son sourire, son talent. Pour tout. Il l’a connaissait très peu, mais quelque part il l’adorait déjà.

_ Enchantée, femme. Andreas Pravda pour vous épouser.

C'était censé être de l'humour? Bon... Si c'était de l'humour, aussi nul soit il, Ava, qui était bien élevé, eut un rire faux qui était si vrai... Ava était passée maître en la matière dans le fait de caché ses véritables émotions. Elle répliqua.

_ Je ne savais pas mon petit ami machiste. Je pense qu'il devrait savoir que sa petite amie ne supportait pas les machistes, mais les êtres aimants et compréhensifs.

Tandis qu'il s'abreuvait d'une bière au beurre, chose qu'Ava trouvait totalement écoeurante par sa conception et cette sensation qu'elle laissait dans la bouche, surtout qu'en plus, elle laissait une mauvaise haleine, Ava prit son verre de jus de fruit, où elle trempa ses lèvres avec une lueur coquine dans le regard. Si il jouait avec elle, à vouloir la charmer, Ava ferait tout aussi bien d'entrer dans le jeu. Il lui répondit, après avoir toussoté et observer un peu son corps. Ava l'avait regardé d'un drôle d'air qui signifiait bien: Touche, et je te fracasse le crâne. Enfin, bon, c'était qu'une expression dans le but de se donner du courage, car vu la stature d'Andreas, elle était un vrai poids plume à ses côtés. Elle se sentait maigre! Que c'était bon!

_ Parce que j’ai l’air d’un machiste ? Dois-je le prendre pour un compliment ? Femme, voyons. Vous savez très bien que je suis un être aimant et compréhensif.
_ Tu le prends comme tu veux. Personnellement, ce n'est pas mon genre... Mais toute expérience est bonne, non? HOMME!

Elle eut un sourire qui voulait dire, et Toc! Le couple de vieux les regardèrent en ouvrant de grands yeux. Décidément, la jeunesse avait changé depuis leur temps. Ava fit une moue provocatrice avec ses lèvres. C'était amusant comme repas. Mais bon, Clarence lui manquait.

Assis sur cette chaise de qualité inférieure. Andreas subissait. La table d’a coté ne cessait de jeter dévolu sur eux. A croire qu’ils étaient deux bêtes de foires. Certes, leur rencontre était bizarre, mais rien de plus. Parce qu’il esquissa un sourire et leva son bras. Plus de bière. Un jus d’orange ferait l’affaire. A cet appel, le serveur fit face.

Serveur – « Pour vous servir. »

Andreas – « Deux jus d’oranges, s’il vous plait. »

A mort l’alcool. Inspirant l’air frais de Pré-Au-Lard, Pravda tourna sa tête et observa les traits de cette belle jeune. Jeune, belle et sûrement en parfaite santé. Le serveur resta inerte devant eux quelques secondes et après réaction il s’effaça.

Ava – « Tu le prends comme tu veux. Personnellement, ce n'est pas mon genre... Mais toute expérience est bonne, non? HOMME! »

BANG. BANG. Parce que dans le genre, je suis naturelle et je sais ce que je suis. Je nomme Ava Taylor. Pravda ne réagit pas directement à cette réplique. Il trouvait qu’elle n’en valait pas la peine. Le serveur réapparu et déposa les deux verres sur la table. D’un geste rapide, Andreas attrapa le premier en d’une gorgée bu le jus d’orange.

Andreas – « Vous m’excusez si je ne vous donne pas le second verre. Mais la bière ne me réussit pas. Je ne voudrais pas m’assoupir au travail. A ce sujet, votre métier, est-ce bien celui de journaliste ? »

Il savait très ben que la réponse allait être oui. Mais histoire de parler, il fallait bien dire quelque chose. Il se baissa et se remit en fonction nourriture. Avalant avec dégoût cette mixture.

Andreas – « Femme, pourriez-vous me passer le sel ? S’il vous plait. »

Peut être que le sel allait tout changer, dans le cas contraire il repoussera son assiette et passera à autre chose. Un petit dessert sobre et de bon goût.

_ Vous m’excusez si je ne vous donne pas le second verre. Mais la bière ne me réussit pas. Je ne voudrais pas m’assoupir au travail.

Ava eut un sourire. Il était quand même assez compliqué à battre. C'était amusant. Ava s'amusait vraiment, et visiblement, cela devait être réciproque.

_ Je ne bois pas ce genre de jus de fruits... Je n'aime pas les coktails de fruit sauf si ils ont été fait par Clarence... Lui, seul se débrouille comme un as...

C'est vrai. Clarence avait un don. Ce n'était pas le seul, c'est sûr, mais pour les coktails multi-vitaminés, il en apprenait tous les jours à Ava. Elle en était folle.

_ A ce sujet, votre métier, est-ce bien celui de journaliste ?
_ Vous ne voyez pas assez mon portrait sur le magicobus? Elle eut un sourire. Je rigole... Ma rubrique est assez connu, je pense... A moins ce que les procès que je me tape soit fait pour la forme...

Ava eut un sourire d'excuse. La demoiselle Taylor regardait Andreas avec un petit air interessé. Néanmoins, elle avait vu plus craquant... Mais... Lui, il avait un petit quelque chose qui... Voyons venir... Néanmoins, c'était vrai que s'occuper de la rubrique des potins sur les stars étaient quelque chose de super marrant, et même des hommes adoraient ce genre de chose. Cela ne signifiait pas qu'ils étaient gay, hein? Clarence l'avait prouvé grâce à un de ses amis bisexuelles. XD!!!

Ce topic est il toujours d'actualité. Si oui je suprimerai mon message. Sans réponse sous une semaine je déplacerai.

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