[/list]
Histoire :
[list]
[*]Origine / Nationalité / Ascendance (sang) : Mes parents venait de Portugal, mais je naquis sur la terre du Canada, plus précisément au Québec.
[*]Lieu d'habitation :
* Localisation géographique : Canada, Québec et finalement dans un néant total.
* Style d'habitation : Anciennement une simple maison de fermier, avec une grange et des terres à provision et à pertes de vue. Plus tard je ne sais pas car je ne voyais rien. Maintenant dans la ferme abandonnée qui abritait avant une femme et un homme qui avait fait deux jeunes filles dont une s’est fait enlever.
[*]Enfance et scolarité avant école de magie Mon enfance fut bien heureuse avant la tragédie. J’habitais avec mes parents et ma grande soeur qui logeait sur une ferme. Elle ce constituait de plusieurs âcres labouré, avec une grange au plafond croche. Une maison blanche avec un intérieur immaculé de propreté. Le deuxième étage donnait sur notre chambre, et nos parents la leur juste en dessous. Celle-ci était décorée que d’un simple meuble en bois, qui contenait notre linge et d’un lit simple où nous dormions côte à côte.
Dans la grange mystérieuse vivait notre vache Marguarette, qui nous produisait notre calcium quotidien. Un jour de printemps, pour m’amuser, ma mère me mis sur son dos et je fit un tour de l’enclos sur celle-ci (hum… qu’elle bon souvenir). Il y avait aussi la bête féroce, un animal sauvage et sans pitié. Un jour, où j’était inspiré à autre chose il se mit dans une colère noir et me courut après pour me picorer les fesses. Ce n’était nul autre que GEORGE le vilain coq! ^^
Ma mère jeune femme avec une longue tresse à la couleur châtaine. Un visage doux et à l’allure de poupées porcelaines. Elle avait les yeux pairs mais elle me donna qu’un vert émeraude. Elle était imposante avec sa massive corpulence de jeune fermière, mais comme disait mon père mieux vaut un bon bout de femme que rien. Un amour non voyant pour moi était caché sous ses allures de femme sévère.
Mon père sorcier de sang cachera son ascendance à sa famille. Il avait les cheveux bruns noirs et les yeux noirs de la nuit sans lune. Il était plutôt grand avec de gros bras massif qui m’impressionnait à chaque fois que je les regardaient. Pour nous amuser au fête il faisait le grand magicien en faisait quelques sorts qui nous éblouissaient. Celui qui nous avait le plus marqué était quand que notre père fit apparaître du feu dans la paume de sa main.
Ma soeur un mélange des deux parents avait de longs cheveux bruns noirs et un regard noir d’encre. Elle s’était réjouis le jour où je suis née et qu’elle sue c’était une jolie petite fille. Dès cette instant, quand elle m’aperçue, son instinct de grande soeur ferait tout me protéger et m’aider. On était des inséparables même pour allez à l’école…
En cette journée d’automne nous partions sur le chemin d’école. Note mère partie chercher la viande du mois, mais le cochon n’était pas encore saigner et la vu de ce dure labour, aurait été déplacé pour une jeune enfant. Le père partit dans le bois bûcher n’avait pas le temps de garder Ophélie. C’est avec cette lourde tache que l’aînée prenait au sérieux. Sur le chemin un soleil pesant sur nos têtes et une faim commençait à me chatouiller l’estomac. Une calèche passa à côté de nous pour nous dépasser et s’arrêta un peu plus loin. Un homme avec un chapeau haut de forme avançait d’un pas vif vers nous qui faisait voler le bas de sa robe de sorcier. Il arrivait en avant de nous et déballa ses mains remplies de sucrerie couleur arc-en-ciel. La faim me faisait déjà prendre goût à la douceur ce bonbon rose communément appelé peppermint. L’homme avec ses sombres desseins me pris la main et je su à cette instant précis que ma vie allait basculer. Il me prit sous aile droite d’un mouvement, les pieds dans le vide gigotant et mes mains qui voulaient rejoindre ceux de ma soeur, je criait à perte de souffle :
-NYNYYYYYYYYY!!!!!Pétrifié à la place où leur main c’était délacé, ma soeur devenait écarlate. Un vent ébouriffant ses cheveux et les miens aussi. Sous mes yeux ébahit un étrange événement se déroula. L’homme qui me détenait prisonnière fut lacéré par de nombreuse coupures jusqu’au sang giclant. Par peur d’être atteinte cette extrait de quelque seconde avait mit mon détenteur par terre évanouit par la perte de sang. Je me relevais fragilement et je voulais repartir vers ma soeur, qu’un autre homme me prenait par la taille pour m’embarquer dans la calèche. Ils pris les brides de la calèche et les secoua vivement en criant des cris de vitesses au chevaux fou furieux. Ma soeur courait vers ma direction qu’à un tournant je la perdis pour toujours.
Évanouit par le soleil tapant de cette longue distance à parcourir je me réveillais les larmes au yeux et les bras attaché le corps pendant et la tête ballotante. Mes cheveux étaient coupés cour. Tout autour de moi était blanc, ça ressemblais à de la neige mais même la neige était plus chaleureuse que cette endroit morbide. Un homme s’avançait vers moi un casque à la main il avait le visage parcourue de rage. Dans un souffle il me dit ces mots qui se gravèrent à jamais dans mon esprit :
La solitude et la perte se détachent,
Que la puissance du maître tombera,
Une violence parcourant la terre,
Que l’enfant divine remontera.
Un jour la lune se remplira,
Que la fillette se détachant de l’emprise,
De la violence donnée le sang giclera,
Que la sinueuse se détache de son œil aveugle.
La personne devant moi vint me mettre le noir sur la tête qui ne devint que galère jusqu’à se que, je pensait la fin de mes jours. Chaque jour, chaque nuit, se ressemblait sans rien qui ne pouvait transparaître devant mon insouciance de la jeunesse et la défaillance de cette demi vision du monde. En moi se consumait l’espoir divin de retrouver un jour ma sœur, mais se fut peine perdue. Les années passaient, que je n’étais que rarement nourrir et mal traité. La porte de fer qui s’ouvrait me prédisait la nourriture de la journée, mais se ne fut que tromperie. La personne à la voix féminine, me regardait sans que je ne la voie, et elle riait sadiquement.
Les mains pendantes et la tête toujours tournée vers le bas, le corps à moitié nue et décharné, je pleurais silencieusement. Les spasmes parcourant mon corps par ses sanglots incontrôlables.
La femme fit entendre sa voix.
-C’est vraiment elle, elle a le profile parfait de la jeune fille de la prophétie.
Elle doit mourir se soir, sinon la prophétie se réaliseras.
Se que la femme ne savait, c’est qu’elle était un ans en retard sur l’âge réelle de la jeune fille qui avait atteint enfin ses dix ans.
Un homme brandissait déjà sa baguette vers moi, qu’il lui lançait un sort de Imparium, et me fit lever sur mes jambes flageolantes. Il ne voulait pas d’une si facile proie. Un autre homme lui jeta au même un Endoloris qui me fit tordre de douleurs lancinantes, mais qui ne pouvait se plier de cette torture. Une force se contracta sur ses mains qui prient le dessus des menottes, et les tiraient vers elle. Je me concentrais sur le fait de pouvoirs me détacher, que les chaînes se prisèrent d’elle-même. Les menottes, et le peu de chaînes restantes, cliquaient sous ma démarche féminine et boiteuse. Le casque toujours cachant ma vue, j’avançais comme si je connaissais le chemin comme une carte imprégné dans mon crâne. Les hommes qui essayaient de me retenir furent prit par une deuxième main qui les fient voler en éclat, s’activant le sang du cœur. Une volé de flots rouges tacha les murs, mais je ne le vis guère. Les autres personnes qui se mettaient au travers de mon chemin, prirent le même état d’agonis. Quand je fus sortit de l’endroit, un sort fusa sur ma tête, et mon casque se brisa, sous le choque et m’envoya dans les flots qui se répercutaient sur les rochers. Ma tête déjà porter dans un état semi comatique, je ne fus réellement moi-même, quand je sentit la chaleur parcourir ma peau blanche, recouverte à certain endroit d’algues vertes. Je me relevais sur mes jambes frêles, et je me prit la tête dans mes mains et commença à pleurer. Toute l’eau de la mer n’aurait été aussi débordante que ma tristesse. Cet amas d’émotions, se passa quelques instants, et je pus prendre enfin la direction d’une ville, avec l’intention de retrouver ma sœur.
Je marchait sans plus n’y moins de plaisir à parcourir ses milles avec des vêtements défraîchi, et en lambeaux. Je vis un endroit, qui me fit faire un bond en arrière dans ma tête.
Je me vis criant ma sœur, qui courait vers moi pour m’aider, mais dans un tournant et un homme qui criait la vitesse au cheval, je me vit disparaître dans un tournant et ma sœur qui s’effondra dans la terre. Elle se tira les cheveux, et ne pleura aucune larme. Je m’avançais vers elle, mais elle disparu quand ma mains voulu la toucher.
Dans la vraie réalité, une charrette passait en mon coté, et je me réfugiais près d’une poubelle grise. Quand le danger fut passé, je continuais mon chemin pour retrouver la maison familiale, et ma sœur. Ma seule découverte, était une maison déserte, et placardé. Je rentrais dans la maison, et me réfugia sur mon lit, prit une bouffé de senteur, et mis en position fœtus et me balança d’avant en arrière. Une lancinante douleur au cœur, je ne pouvais que me revoir entrain de crier le nom de ma grande sœur, et voir toute sa fragilité.
[*] Scolarité à Poudlard ou autre école de magie (seulement si vous n'entrez pas en première année) : J’ai été dans une petite école de magie peu réputer. Presque personne ne la connaît car elle a été jugée parmi les plus mauvaises. Elle se mêlait à l’école primaire des moldues dans ce coin de pays. Elle était fait en rectangle et parsemé de brique rouge. Les fenêtres étaient fait en vitre avec du grillage. Les planchers étaient fait en pierre poussiéreuse. Les meubles délabrés étaient rares et l’école n’avait pas le budget de se payer un concierge. Alors j’ai vécus dans la saleté pendant 4 ans de temps jusqu’à ce que je puisse me payer des études à Poudlard. Je n’ai presque rien appris mais pendant que j’avais mon casque sur la tête j’ai entendu plusieurs incantation dont j’ai pu en faire l’expérience un peu plus tard.
[*] Options choisies (vous devez en choisir deux parmi Arithmancie et Étude des Moldus : Études des moldues et Arithmancie.
[*] Famille :
Ma mère jeune femme avec une longue tresse à la couleur châtaine. Un visage doux et à l’allure de poupées porcelaines. Elle avait les yeux pairs mais elle me donna qu’un vert émeraude. Elle était imposante avec sa massive corpulence de jeune fermière, mais comme disait mon père mieux vaut un bon bout de femme que rien. Un amour non voyant pour moi était caché sous ses allures de femme sévère.
Mon père sorcier de sang cachera son ascendance à sa famille. Il avait les cheveux bruns noirs et les yeux noirs de la nuit sans lune. Il était plutôt grand avec de gros bras massif qui m’impressionnait à chaque fois que je les regardaient. Pour nous amuser au fête il faisait le grand magicien en faisait quelques sorts qui nous éblouissaient. Celui qui nous avait le plus marqué était quand que notre père fit apparaître du feu dans la paume de sa main.
Ma soeur un mélange des deux parents avait de longs cheveux bruns noirs et un regard noir d’encre. Elle s’était réjouis le jour où je suis née et qu’elle sue c’était une jolie petite fille. Dès cette instant, quand elle m’aperçue, son instinct de grande soeur ferait tout me protéger et m’aider. On était des inséparables même pour allez à l’école…
Baguette :
* Description : Ma baguette est faite en bois de bouleau symbole d'un nouveau début, de l'élévation. À son centre elle contient un dard de scorpion qui son poison est doux mais puissant.
* Son acquisition : Chez monsieur Balourd, pas très réputé, mais il en vend des pas chère.
Autre :
* Si vous entrez en septième année, avez-vous le permis de transplaner ?: Encore trop jeunotte^^
* Quel camp: Le vent tourneras ma vie, mais je ne sais pas encore.
* Ses rêves et ambitions pour l’avenir : Elle veux pour tout début retrouver sa sœur qu’elle avait perdu à l’âge de 4 ans et reprendre ses secondes partie.