Intrusion en douce dans les archives du Ministère.

La foule groullait de tout côté lorsque Istari était arrivé dans l'Atrium, peu après la pause de midi... Les sorciers étaient irritables, l'ambiance orageuse. Les nouvelles économiques se voulaient mauvaises, la bourse avait drastiquement chûté, et la confiance envers le marché n'était plus de rigueur. Les gobelins rechignaient dès lors à accorder des crédits à des conditions acceptables, et c'est toute la chaine économique qui s'en trouvait affectée. De part et d'autres de l'atrium, on entendait pesté les grands prélas de l'économie sorcière britannique, alors que des journalistes s'empressaient de receuillir les réactions du monde politique. Déjà, la sous-secrétaire sorcière du groupe de gestion de Gringotts déclarait que des mesures de régulations seraient adoptées dans les plus brefs délais, mais c'était sans compter le refus catégorique des gobelins qui jamais ne daigneraient régulariser la situation, au risque de perdre des plumes, un tant soit peu.

De Menessi salua une vieille femme qu'il connaissait uniquement de vue, avant de descendre l'escalier qui l'amenait au niveau de la Grande fontaine du ministère, pourvue de la statue de la Fraternité Magique. Le jeune homme eut un regard rapide pour le monument qu'il connaissait par coeur, puis il se précipita avec agilité vers les ascenseurs de l'institution.

- De Menessi! Beaucoup de travail ces temps? Tu nous caches rien j'espère! Hahaha... Parce-que...

Tout s'était joué en une fraction de seconde. Un hurluberlu était apparu dans l'atrium, accompagné du bruit de coup de fouet qui caractérise tout transplanage sorcier. Ensuite, il avait brandit sa baguette magique devant lui et aussitôt incanter une formule en allemand! Un rayon de lumière jaune avait traversé la pièce avant de fléchir en direction du sol et de le transpercer. Tout l'atrium avait tremblé, le sortilège était puissant!

Coupé dans sa raillerie, le prénommé Wallace Dolls, du département de la coppération magique internationale s'était tu. La stupéfaction l'avait pris.

- Nom d'un Gryffon, qui c'est ct'idiot qui se la joue là-bas devant?

Istari n'avait pas réagit à la provocation de Dolls, son attention déjà focalisé vers l'endroit où le germanophone était apparu.

Le jeune homme des Mystères opéra un mouvement de recul vers les paroies, alors que quatre détonnations de bombata maxima retentirent à interval régulier. Un groupe de cinq sorciers trop lent à réagir avait été directement touché par le maléfice qui s'était abattu à leur pieds. Tous avaient volés sur bien 4 mètres avant de heurter le sol.

La panique s'était installée, l'orage débutait... Bientôt, gobelins et sorciers allaient être de bien plus mauvaise humeur encore que jusqu'à présent!

D'un rapide coup d'oeil, De Menessi remarqua que les personnalités indirectement touchées par le bombata maxima n'étaient pas de première importance pour le ministère, pas plus qu'elles étaient grièvement blessée. Plus de peur que de mal en somme!

La langue de plomb entreprit alors de s'emparer de sa baguette magique, et, dans un sourir à Dolls, elle transplana subitement...

- SOFORT AUFHÖREN! STOP NOW!

Lui et 6 autres avaient eu le même réflexe. Transplannant vers le fou furieux, ils l'avaient déjà encerclés. De Menessi, enrichit de son expérience du voyage à travers l'Europe, avait eut l'occasion de se familiraiser à l'Allemand.

Les yeux verts du garçon ne scillèrent pas un seul instant... il se contentait de décrypter la personnalité de l'homme au regard vide qui se dressait devant eux.

Quelquechose n'allait pas... on aurait dit un malade, un taré incappable d'agir par la raison, guidé par sa seule folie ou quelquechose de pire encore...

- Repul...

- PROTEGO!
- so

Tous n'avaient hélas pas réagit à temps. Deux des 6 intervenants avaient prononcé la formule 1 seconde trop tard, il s'était retrouvé projeté en arrière, heurtant assez violemment le sol. Is' et ses 4 condisciples avait réussi en revanche à conjurer la judicieuse attaque.

- Vous ne vous en tirerez pas... !, argua Loyld Dellson, un type qu'Istari avait vaguemment connu lorsqu'il était encore à Poudlard. Il avait une année de plus que lui.

- Nous sommes nombreux, et les aurors vont agir! renchérit un autre homme, que la langue de plomb n'avait par contre jamais croisé.

- De l'aide! , exhorta un troisième, en voyant ceux qui devaient être deux de ses collaborateurs giser sur le sol, soufflé par le Repulso.

- La deuxième guerre mondiale est terminée depuis des lustres, sale bosch! , ricana le troisième, un ancien serpentard désormais haut responsable au bureau de régulation des créatures magiques.

La scène parut momentanément figé. Toujours sur ses gardes, Istari restait préoccupé par ce regard vitreux. Qu'est-ce que ca pouvait-être?

- Il n'est pas allemand, son accent est autrichien. Ce type vient du Tyroll...conclut de Menessi, qui se préparait à transplanner au moindre mouvement du malheureux qui semblait bien décidé à faire autant de dégats que possible dans l'Atrium du Ministère de la magie londonien.

HJ :Mon message se décoposera en deux parties : la première sera une réponse PNJ, je jouerai le personnage sous impérium. La deuxime sera pour mn personnage. /hj


Le sorcier autrichien était arrivé dans l'atrium au moment voulu, et avait parfaitement rempli son rôle. Les sorts de destruction lancés n'avaient causé que des dégats facilement réparable, et des blessures que la magie guérirait rapidement.

La suite des évènements avait suivit exactement la trame prévue par Terrence. Des hommes du ministère avaient accouru et prétendaient arrêter le mage. Ce qui ne serait certainement qu'une affaire de minutes. Une dizaine dans le planning de Terrence.

Alors que les sorciers l'entouraient, le mage autrichien avait repoussé ceux bien trop proche de lui. Il fixait maintenant le vide, incapable d'agir par lui même, l'impérium régissant son corps et son esprit.

Soudain ses yeux se posèrent sur les sorciers l'entourant. L'un d'eux avait parler allemand. La baguette toujours levée, il incanta en allemand. Une vive lumière jaillit de sa baguette, un lumus solem en fait. Le sort répandit une lumière violente dans tout l'atrium, aveuglant la plus part des sorciers. La puissance du sort était importante. On pouvait voir que le mage ne semblait pas se retenir, comme si les barages mentaux qui régulaient la magie avaient cédé.

Plusieurs des sorciers présent avait échapper à l'aveuglement, totale, mais gênés par la lumière, ils ne virent pas le déplacement du mage belliqueux.

Un mot en allemant résonna dans la pièce, hurlé avec force. Des cordes jaillirent de nul part pour venir s'enrouler autour des défenseurs du Ministère. Un incarcerem. Deux sorciers aveuglés tombèrent au sol, complètement bloqués par les liens physiques.

Le sorcier allemand se préparait déjà à lancer un nouveau sort. Défensif celui là. Une attaque semblait sur le point de le frapper.


************************

Terrence était entré dans la salle. Il avait refermé la porte doucement et de sa baguette l'avait scellé en métamorphosant la porte en paroi du mur. Il marqua l'ancienne porte d'une croix de feu pour la retrouver et se jeta ensuite dans la salle. Levant sa baguette bien haut, il murmura "Accio Archives des sorts interdits, Accio Archives de sorts en test, Accio, Accio, Accio. "

Des dizaines de documents se mirent à voler de leur classeur, propulsés vers Terrence qui les fit se ranger autour de lui. Quand plus rien ne venait il les fit disparaitre dans un nuage de fumée qui remonta le long de sa baguette pour venir se dissiper dans une poche de son manteau. Chaque dossier y était rangé sous une forme miniature. Le tout ne prennait pas plus de place qu'une boite d'allumette. Satisfait de lui, il patienta un instant et leva sa baguette à nouveau.

"Specialis Revelio"

Une zone de la salle se mit à briller doucement d'une lueur bleutée. Un sourire aux lèvres, Terrence s'approcha et cassa les enchantements qui bloquaient l'accès aux documents. Les saisissant, il vit les tampons officiels qui caractérisaient les sorts dit impardonnables ou trop dangereux pour simplement être lu. Une lueur brilla dans ses yeux blanc sur blanc. Il enfourna les dossiers dans la même petite poche, et se dirigea vers la sortie.

D'après son esprit, le mage était toujours vivant et toujours sous son contrôle. Il ne lui restait que la salle des créatures magiques. Il pressa le pas, vérifiant qu'il n'y avait toujours personne. Il poussa la porte et entra dans la nouvelle pièce. Il ne lui restait que 8 minutes selon son planning.

Hj Oups, j'écrivais mon message et j'ai pas vu le post précédent. J'espère que vous pourrez qq même le prendre en compte, il m'a pris une bonne heure. Si il n'est pas acceptable n'hésitez pas à le supprimer, mais j'avoue que je serais déçu et déconfit! Hj

- A mon signal! ... ... MAINTENANT!

Tous s'étaient préparé à lancer un stupéfixe, tous sauf un! Au moment où les sorciers avaient vociférés leurs formules s'étaient produits deux éléments simultanément: - l'émergence fulgurante pendant un instant d'une lueur surpuissante et le claquement d'un nouveau coup de fouet. Le grésillement des baguettes libérant les éclairs de stupéfictions dans toutes les directions de la salle ne se fit que plus tard. Aveuglés, les cinq intervenants sous le commandement de l'ex-serpentard avait présumé de la promptitude de l'adversaire à enchainer les attaques. Incapables de viser juste et entraver par la lumière, ils n'avaient même pas pu constater le déplacement du criminel étranger.

Is' avait eut plus de chance. En transplanant, il n'avait eut droit qu'au résidu lumineux, il avait évité le gros des problèmes. Ca n'était pas le cas de ceux qui s'étaient manger un incarcerem et suffoquait présentemment sur les dalles parfaitement astiqués du Ministère de la Magie. Cette affaire prenait une tournure peu réjouissante, il était requis d'y mettre un terme sans délai!

- EXpeliarmus!siffla un membre de la brigade Magique, qui venait d'émerger d'un niveau inférieur, par l'un des ascenseurs. Un éclat lumineux rouge illumina la pièce et le sort frisa l'Autrichien, qui ne dût son salut qu'à sa chance insolente. Tirant parti de cette récente expérience, il opta pour la pratique immédiate d'un sortilège défensif.

Istari lui était maintenant établi en retrait, ses sens en alerte, il épillait le moindre recoin de l'Atrium. Une intuition peu réjouissante lui obscurcissait les idées... En fin de compte, le malheureux revêtait absolument tout les symptômes d'une...

***Possession... Les idées embrouillées, le regard vitreux, le teint pâle... c'est une marionnette, peut-être qu'on a pratiqué sur lui un maléfice de confusion, l'Imperium peut-être... auquel cas ce serait un crime de rang A! Il faut ramener ce type vivant, et avant que les Aurors s'en mêlent, ce sont des brutes qui ne connaissent rien aux finesses de la magie!***

Justement, en voilà qui arrivaient, alertés par les cris des sorciers et les déflagrations des sortilèges. Ils étaient tous là à se pavaner, on sentait ces tempéraments de feu bouillonné.

***Ils vont compromettre les choses... Pas le choix!***

Is' transplanna à nouveau, se retrouvant à 5 centimètres du perturbé mental. Ils étaient localisés tout deux sur un parvis qui surplombait de deux mètres environ le niveau auquel se dressait la célébrissime Fontaine. Des escaliers qu'il avait emprunté plus tôt, avant de rencontrer Dolls, assuraient la liaison...

Surpris par la détonnation du transplannage, l'Autrichien eut un mouvement de recul. Au même moment les Aurors pillonnaient l'air avec des dérivés du stupéfix, assez puissants pour abattre quelqu'un de la stature du trouble paix. D'un geste calculé, De Menessi propulsa le personnage dans les escaliers, juste assez fort pour qu'il trébuche et s'effondre dans la déclivité du passage.

- FINITE INCANTATEM!

Sa voix ferme avait clamé la formule avec une hargne hors du commun. Il avait élevé sa baguette en direction du pillonage Auror.

Il y eut un flash lumineux et les fondations de l'Atrium se mirent à trembler derechef...

Pendant ce temps, un cri terrible.

Istari, debout, le bras tendu vers l'avant avait pu conjurer les maléfices Auror de justesse. Cela réclamait suffisament de dextérité et de sang froid pour ne pas céder à la panique. L'incarcerem avait également été dégommé par le contresort de la langue de plomb. Tout était redevenu calme, hormis le cris..., qui s'était mu en halêtements.

Le sorcier Autrichien, étalé sur les marches, semblait être la source de tout ce tintamare.

*** Pour vu qu'ils ne l'achèvent pas...***

Songea Istari, légèrement essouflé, alors que les Aurors s'apprêtaient à redevenir les seuls maîtres de la situation, les seuls véritables héros, la crème de la crème...

DANS LES ARCHIVES

Monsieur Calvin n'a certainement pas regardé comme il se doit. Les allées des archives sont étroites et nombreuses. Je présume que l'idée qu'il y ait pu avoir quelqu'un d'autre au même moment dans la pièce.

En fait, Lareless , tout à sa recherche, n'y aurait même pas fait attention. Mais elle voit le dossier des sorts en recherche, le dossiers des sorts interdits passer devant elle. Intriguée, elle les suit discrètement et voit une femme faire son manège.

Un geste, et Hess s'aplatit au sol, dans un silence absolu, les oreilles dressées et attentif. Elle suit le voleur jusqu'à l'armoire, le laisse continuer son larcin. Elle le laisse faire, riant d'avance de sa déconfiture.

Ce qui se passe lorsqu'il passe la salle des créatures magiques. L'effet boomerang vous connaissez?

Il ne fait pas un pas dans l'autre pièce lorsqu'un sortilège de repulso le frappe de plein fouet, le ramenant dans les archives. Le temp qu'il reprenne ses esprits, des herses s'abattent, bloquant tout les accès de la pièce. Des portes d'acier se referment hermétiquement derrières celles-ci.

Un applaudissement sarcastique résonne dans la pièce. Lareless ne se cache même pas. Elle n'a même pas sortie sa baguette. Elle ne veut pas être étiquetée hostile.

Mais la voix chaude aux accents du sud résonne de facon fort humiliante pour le voleur.

Et dis donc, tu te crois dans un moulin? faut être con, non, idiot, pour penser pouvoir piquer tout ces trucs sans se faire avoir. Maintenant on est deux pris ici en attendant qu'on vienne nous ouvrir.Comme si j'avais le temps de devoir m'expliquer avec ce crétin de Burrows !

Elle s'accotte à une table de recherche, se regarde une main nonchalamment. Mais elle est prête pour esquiver toute attaque potentielle. Elle l'averti, par pure conscience professionnelle. Et faut dire qu'elle prends un malin plaisir à enfoncer le clou.

A moins que de vouloir crever dans le processus, j'essayerais pas de les briser ces sorts là à ta place

PNJ Burrows, Chef de la Brigade de Police Magique

Derrière son bureau très épuré, sans fioritures, de couleur caramel insipide, le Chef de la police magique mettait la dernière touche à un rapport, à savoir sa signature à la toute première page.

on frappe quelques coups secs à la porte, puis sans attendre de réponse, on passe la tête. Burrows, contrarié d'être dérangé, inspire pour sermonné verteemnt l'impertinent, mais l'impertinent en question lui annonce une très mauvaise nouvelle.

- Vous devriez descendre, Burrows, y a du grabuge.

Le chef de police, l'air rapace, se lève, manifestement très contrarié. Burrows n'était de toute façon pas le genre à ne pas être contrarié. Respirer à côté de lui le contrariait. Mais c'était néamoins un type qui savait ce qu'il faisait, qualité fort bien requise pour être chef de la police magique.

Burrows atteint l'atrium lorsque tout est terminé. Ça le contrarie, ça. Ça le contrarie beaucoup.

- Qu'est-ce qui c'est passé ici, questionne Burrows, la voix tranchate comme les serres d'un rapace, mais aussitôt couvert par la voix caverneuse de l'imposant Homme-morse.
- QUI A VU CE QUI S'EST PASSÉ ? Tonne Griffith.

Burrows, contrarié, tourne la tête vers celui qui a a couvert sa voix. Et ça le contrarie d'avantage.



PNJ Griffith, Chef des Aurors


Griffith avait eu un temps d'avance sur Burrows, puis que la salle des aurors était plus près de l'ascenceur que la Brigade. Et puis, comme ils étaient en réunion, les aurors arrivent tous en même temps. Ils se déploient comme un banc de sardine discipliné, juste d'un signe de main de Griffith.

- C'est pour moi, Griffith, pas pour vous.

La rivalité entre les deux sorciers n'était étrangère à personne. Ils avaient le même boulot, à la nuance près que le groupe de Griffith était chargé des Mages Noirs. La confusion était présente jusqu'à ce qu'il soit prouvé hors de tout doute qu'il n'y ait pas de Magie Noire.

- Les archives sont closes ! piaille la voix de souris de la réceptionniste des archives à l'intercom.
- Alors cessez de brailler et agissez, Burrows ! J'm'occupe des archives, ajoute-t-il, avec un large sourire derrière sa moustache.

Pour une fois, Griffith laissait le tout à Burrows et ce avec plaisir. Si les archives sont closes, c'est qu'il y a eu un potentiel intention de dérober et le fait d'avoir presque réussità dérober signifiait que certaines des défenses avaient été piratés et souvent, c'était pas très blanc comme utilisation de la magie.

Escorté de ses fidèles Aurors, moins ceux déjà sur place qui se devaient de rester à l'interrogatoire de Burrows et ses hommes, Griffith descend aux archives, puis rejoint la petite secrétaire souris.

- Qui est à l'intérieur ?
- La seule personne inscrite au registre, monsieur Griffith ; Lareless Mainella.
- Personne d'autre ?
- Je peux vous l'assurer pour les dernières minutes et 15 minutes plus tôt, mais j'ai quitté mon poste durant presque 10 minutes pour essayer de me trouver un autre codex. Celui là me refile de mauvaises adresses et c'est très embarrassant vous savez parce que...
- Merci bien, mademoiselle, allez prendre votre pause.

Un peu vexé, la secrétaire s'éloigne d'un pas raide. Une fois partie, Griffith s'adresse à ses hommes... et femmes.

- Bon, alors on va ouvrir la porte, mais avant, faut sécuriser la salle des archives. En douceur, y'a Mainella à l'intérieur.
- Parlant de Mainella, elle m'a planté ça dnas les mains avant de sortir l'autre fois, juste comme j'arrivait pour la réunion. J'ai... j'ai pas eu le temps de vous le donner... avant...

L'auror tend le badge de Mainella à Griffith. Griffith secoue la tête et roule des yeux.

- C'est pas une raison pour l'assomer, je doute qu'elle ait voulu piquer les archives. Doit y avoir quelqu'un d'autre, ou alors c'est son monstre qui est trop agité. Bon allez, au boulot !



PNJ Burrows, Chef de la Brigade de Police Magique


Burrows était vraiment très contrarié, très, très contrarié. Les policiers avaient maîtrisé l'individus assommé et d'autres rétablissaient les confus.

- Bon, qui veut me dire ce qui s'est passé ? grince Burrows.

HJ : je tiens à faire noter que je ne suis pas venu au ministère en ayant ma tête de tous les jours. Je ne veux pas me faire griller dès la première action ^^ Je suis sous l'apparence d'une jeune femme du ministère, employé en tant que secrétaire dans un étage quelconque, Chose explicitée dans mon premier message ^^ Donc pas de " Yeux de perle " ^^

Je préfère le dire de suite de façon à ce qu'il n'y ait pas d'erreur. /hj

Dans la salle des archives, Terrence sous sa forme féminine avait fait un petit vol plané. Rien de bien méchant. Ce qui lui fit moins plaisir c'était la présence de la jeune femme. Jeune femme déjà rencontrée plutôt dans la journée. Bien sûr elle ne pouvait pas savoir qu'elle avait affaire avec l'homme qu'elle avait salué précédemment. Surtout que l'homme en question était pour le moment une femme à la poitrine généreuse, regard de pimbêche et veste à multiples poches.

La voix de la jeune femme résonna dans la pièce, moqueuse. Acerbe la jeune femme se croyait le droit de l'insulter. Terrence n'avait que peu de sympathie pour les gens qui ne savait pas utiliser leur cerveau. Un pale sourire passa sur son visage en pensant que la jeune femme ne pouvait pas savoir qu'il avait déjà prévu ce scénario. Pas celui qu'il aurai aimé voir aboutir mais bon, il fallait faire avec ce qu'on avait.

A travers le lien qui l'unissait au sorcier autrichien, il sentit la fin proche de son détonateur à diversion. Il fit un petit geste de baguette discret en se relevant. En bas dans l'atrium, le sorcier autrichien fut pris de convulsion, une sueur froide et grasse se mit à lui couler de tous les pores de sa peau, de la bave mousseuse jaillit de sa bouche et une vive lumière blanche émanant d'un petit grain de sable sortit avec une douceur incroyable de sa bouche, avant d'être soufflé et de disparaître.

*** Son âme est à moi... Au moins il ne pourra rien dire une fois mort. Reste ce petit problème à régler... je pense qu'il me reste 1 minutes avant l'arrivée des autorités. Il faut donc faire en sorte que tout se passe comme prévu. ***

La jeune femme n'avait pas sortit sa baguette, sans doute pour ne pas prendre de risque face à un individu menaçant. Malheureusement pour elle ce fut une erreur. Un sorcier même agile n'est rien sans sa baguette. Il fallait tout de même prendre en compte le métier de la jeune femme. Son poste de professeur de DCFM. Terrence sourit, ce qui sur le visage féminin se répercuta en une moue totalement stupide. Il leva la main avec sa baguette et pense *** Reducto ***

L'attaque n'était pas centré sur la magicienne. Non elle visait la salle. La boule de magie pure frappa les documents qui explosèrent dans un vacarme de tous les diables. Des documents se mirent à voler dans tous les sens, de la poussière et de la lumière jaillirent de partout, des sorts de protection s'activaient : en un mot comme en cent : le bordel le plus complet.

Terrence lui avait profité de la pagaille pour modifier son larynx et prendre la voix de la jeune femme en face de lui. Il hurla avec sa voix :

"Comment oses-tu misérables petite pimbêche !!! Je vais t'apprendre à me mettre des bâtons dans les roues !! SECTUMSEMPRA !!! "

Il remodifia sa gorge et cria un cri de douleur parfaitement imité, pour cause il s'était lancé à lui même un minuscule sort de Douleur pour rendre les choses plus convaincante. Dans le couloir les hommes du ministère entendirent le cri de la sorcière puis celui de la douleur et ouvrirent la porte pour se retrouver face à la situation.

En face d'eux se trouvaient : une jeune femme blonde au corsage et au vêtements totalement déchirés, recouverte de sang, une main tendue vers la porte, des râles d'agonie sortant de sa bouche déformée par la douleur. Et de l'autre côté une femme en pleine santé, totalement sous le choc, de l'évènement, baguette en main, et qui regardait les membres de la sécurité et la victime sans réellement tout à faire comprendre.

Il faut faire un arrêt sur cette scène et expliquer logiquement et réellement ce qui s'était passé. Lareless en tant que sorcière aguérrie et compétente avait esquivé avec une facilité déconcertante une attaque qui ne lui était pas destinée. D'un geste purement instinctif, répété des milliers de fois durant son apprentissage, elle avait sortit sa baguette. Dans le vacarme, la poussière, les feuilles de papier et les cendres, elle ne pouvait plus voir la "méchante" sorcière.

Terrence lui de son côté après son numéro de théatre parfaitement réussi, avait modifié son corps pour qu'il porte des marques de lacération, rien de bien difficile pour un métamorphomage. Il s'était recouvert de sang en s'incisant réellement de ci de là. Rien de réellement compliqué. La baguette toujours en main, et malgré son numéro il était totalement conscient et prêt à agir en cas de problème.

Griffith était rentré le premier suivi de ses hommes. Les lieux sécurisés avec différents charmes comme il l'avait demandé. Devant la scène, il ne broncha pas. Un bon point pour lui, vu son poste. Par contre un de ces hommes pali en reconnaissant une secrétaire qu'il connaissait de vue et se précipita sur la mourrante. Des soins devaient lui être porté de toute urgence.

"Monsieur Griffith il faut l'amener rapidement, ses blessures sont extrémement graves, elle ne va pas tenir le coup !! Tenez bon mademoiselle. Nous sommes là !! Des médicomages vite !!! "

Le jeune sorcier était déjà en train de préparer un sort de brancart volant pour la transporter. Il attendait tout de même l'ordre de son supérieur en soldat expérimenté. La vue du sang sur la jeune femme connue lui avait pourtant retourné l'esprit et une partie de l'estomac.

"Monsieur Vite !! Elle travaille au ministère !! Elle perd conscience !!!"



HJ voilà message fait. Si quelqu'un à un problème avec, qu'il n'hésite pas à me contacter ^^ Pour Lareless, je me suis contenté de reprendre ce que tu avais écris " elle est prête pour esquiver toute attaque potentielle". /hj

[HJ : D'un autre côté, il m'est impossible de te laisser t'en tirer aussi facilement. Sinon, tout le monde va s'en permettre. ]


PNJ Griffith, Chef des Aurors


La scène qui s'ouvre devant Griffith est bien pire que ce qu'il croyait. Un bordel incroyable. Jenkins, responsable des archives en plus d'être Comissaire d'Examen des Sorts, allait être en rogne. La pauvre, pense-t-il, sarcastique.

Les Aurors se déploient autour du duo. L'un des aurors se détache soudainement. Griffith, lui, fixe Mainella.

- Monsieur Griffith il faut l'amener rapidement, ses blessures sont extrémement graves, elle ne va pas tenir le coup !! Tenez bon mademoiselle. Nous sommes là !! Des médicomages vite !!!
- Faites venir les médicomages. Mainella, donnez-moi votre baguette, immédiatement. Et pas un mot, Mainella, je ne veux rien entendre.
- Monsieur Vite !! Elle travaille au ministère !! Elle perd conscience !!

Fixant Mainella, le regard de Griffith se plisse. Une employée du ministère qui n'avait pas signer le registre d'entrée des archives ? C'était de l'inconscience pure et dure, tout le monde signait les registres, à moins d'avoir quelque chose à cacher.

Des bruits de pas étouffés, trop nombreux pour être humain, les Aurors s'écartent bruquement pour laisser passer l'énorme chien bleu, qui se précipite directement sur le corps au sol.

- Aaaaaarg ! Non, va-t-en, toi ! T'approches pas !

Un sort fuse, informulé, il crépite sur le museau de l'énorme chien qui recule, mais semble se perdre et reste sans effet, son fin collier d'argent scintille un moment. Les pupilles de Griffith, toujours rivées sur Mainella, mais voyant de biais ce qui se passe se rétrécissent.

- JASPER, aboie le chef des aurors. Si vous lancez un autre sort inutile, vous pourrez vous compter chanceux si je vous laisse une place de concierge au ministère. Les médicomages sont en route. Reculez-vous et laissez approcher le chien.

Le grondement du chien se fait entendre, il pose une grosse patte... grosse... énorme patte sur la victime et gratte lentement. Griffith tourne la tête et observe le chien.

- Fouillez-la, videz ses poches, je veux tout le contenu de ses poches étalé dur le bureau là. Jasper, vous la connaissez bien, rendez-vous utile.

Griffith revient sur Mainella, jette un oeil sur la baguette de son employée qu'il a dans la main, Il la regarde sous tous les angles, laissant ses subalternes fouiller la victime et vider ses poches. Bientôt le contenu de ses poches s'étale, ainsi que la baguette de la victime. Griffith jette un rapide regard à Mainella, puis lui tourne le dos et va prendre l'autre baguette sur la table. Il les observe toutes les deux. Il en glisse celle de la victime dans sa poche et fait habilement tourner celle de Mainella entre ses doigts. Puis il pointe la baguette vers le plafond.

- Prior Incantato.

L'image fantômatique du sort apparaît, bien contraire à celui qui a fait tant de dégat à la "victime". Une gebe d'eau fantômatique fuse vers le plafond. Les médicomages entrent dnas la salle des archives dnas un sale état, en mêm etemps que la commissaire.

- MAIS QU'EST-CE QUI S'EST PASSÉ ICI !?
- Si je savais, Jenkins, je vous le dirais. Jasper, laisser de la place au médicomages, mais tenez la demoiselle à l'oeil. Elle aura des trucs à nous expliquer une fois qu'elle sera en état de parler. C'est à vous, Mainella. Il lui redonne sa baguette, et son badge par la même occasion. Il semble que vous l'ayez échappé lors de votre dernière visite.

Et il se détourne pour aller rejoindre Jenkins qui gesticule avec énervement.

- BIEN SÛR QUE JE PEUX TOUT REMETTRE EN ÉTAT, C'EST MOI LA RESPONSABLE, JE SAIS OÙ CHACUN DES FOUTU BOUQUIN OU PAPIER SE TROUVE !!
- Il vous serait possible de tout mettre en ordre rapidement, disons avant que les médicomages aient terminés d'examiner la demoiselle là sur le sol. Vous renderiez service et vous nous épargneriez à tous deux un long rapport ennuyeux.
- JE PEUX, SI VOUS ME LAISSEZ DE LA PLACE !!
- User de toute la place dont il vous plaira, Madame.

La sorcières et Comissaire sort sa baguette et tend les bras devant elle. Elle se met à murmurer, puis lentement, tout autour d'eux se résorbe. Les archives du ministère étaient très importantes, il était donc impensable que son responsable ne puisse rétablir ce qui s'y trouvait. C'était une décision qui avait été prise il y a deux ans, lorsque le Ministère avait tout bonnement explosé.

Griffith délaisse Jenkins et vien plutôt s'intéresser au contenu des poches de la demoiselle.

HJ Il est vrai il est vrai... mais ne serait ce pas un véritable exploit que je puisse sortir. hihihihihi/hj


Les médicomages n'avaient pas attendu les éclats de Griffith ou de Jenkins pour faire leur travail. Les deux sorciers s'étaient précipités sur la jeune femme au sol. Baguette levée prêt à lancer leur sort de guérison. Virant et le chien et le sorcier auror, ils usèrent de leur autorité pour se créer un espace de travail conséquent.

Terrence souriait intérieurement. Bien que sa baguette ne soit plus accessible directement, celle des deux mages l'étaient. Comme le voulait la procédure de soin, l'un des deux mages posa la sienne pendant que l'autre incantait pour nettoyer le sang. Celui sans baguette posa ses doigts sur les temps de la jeune femme et insufla sa magie pour vérifier l'état de santé. La main de Terrence se referma sur la baguette. D'un simple mouvement de la main, elle la pointa sur le sorcier en train de l'examiner.

***Impero !!!***

L'esprit du médicomage plongé dans le sien, le sort opèra à pleine puissance. Le mage se crispa pendant une fraction de seconde puis reprit son travail. Il se releva, prit sa baguette et d'un signe de tête à son collègue lui fit comprendre la situation. Chaque médicomage savait quand et comment agir. Tous les deux firent apparaître un brancard volant en dessous de la jeune femme.

Le médicomage soumis prit les devant et expliqua aux sorciers présent qu'ils devaient emmener la jeune femme immédiatement dans le bloc de soin, sa vie en dépendait. Comme dans toute armée, les décisions des médecins étaient supérieurs à celle de n'importe quel officier. Tout le monde s'écarta, laissant sortir la petite procession. Griffith examinant toujours les possessions de la victime.

Une fois dehors, alors que le brancard avait tourné à un angle pour dispaître de la cohue des membres du ministère, le médicomage impériumisé se retourna vers son collègue et sa baguette pointé lui lança un sort de plein fouet. Totalement silencieux, le sort le frappa en pleine poitrine et le fit tomber inconscient.
Terrence se releva d'un coup saisi la baguette des mains du mage et murmura :

"Accio ma baguette, Accio mes archives Accio !!"

Des cris furent audibles dans le couloir, alors qu'une baguette fendait l'air pour rejoindre son propriétaire, suivi à quelques seconde près par des documents importants.
Terrence rendit sa baguette au sorcier et se métamorphosa pour reprendre un aspect plus propre. Il courrut vers les ascenseurs, saisissant sa baguette au vol, et regardant du coin de l'oeil les documents qui allaient bientôt le rejoindre dans la cage de l'ascenseur.

Le médicomage lui faisait barrage, il venait de lancer un puissant sort défensif sur le couloir, une forme de champio, qui retiendrait les mages suffisament longtemps. Comme transplanner n'était pas possible en dehors de l'atrium... Terrence serait plus ou moins en sécurité jusqu'à sa destination. Dans l'ascenseur il prit une nouvelle apparence. Celle d'un homme d'âge moyen, un des agents entrevu dans la pièce. Le souffle court à cause de ses transformations successives, il affirma sa prise sur sa baguette, quand les documents passèrent entre les deux battants qui se refermaient.

Il était partiellement en sécurité. Pour l'instant. Il sourit, tout de même content de lui.

HJ je pense qu'il aurai fallu se montrer plus rapide, mais je dois avouer que de prendre ma baguette était une très bonne idée. J'avais prévu le prior incantator. Au final tout c'est déroulé plus ou moins comme prévu hihihi/hj

hj: s'Il te plait, ne fait pas bouger mon personnage. Je décide si je sors ma baguette ou non, merci. et j'ai édité mon message, mon erreur, j'aurais dû y penser.

Elle se laisse entourer par ses confrères. Plusieurs la regarde en murmurant. Rincez vous l'oeil messieurs, ca ne sera pas demain que vous me reprendrez en telle situation.

- Monsieur Griffith il faut l'amener rapidement, ses blessures sont extrémement graves, elle ne va pas tenir le coup !! Tenez bon mademoiselle. Nous sommes là !! Des médicomages vite !!!

Less est perplexe. Se pourrait il que la salle se soit vengée? Elle porte son regard sur l'homme morse qui vient de se démarquer du lot.

- Faites venir les médicomages. Mainella, donnez-moi votre baguette, immédiatement. Et pas un mot, Mainella, je ne veux rien entendre.
- Monsieur Vite !! Elle travaille au ministère !! Elle perd conscience !!

Elle lui tend sa baguette.

- Aaaaaarg ! Non, va-t-en, toi ! T'approches pas !

Le sort fuse, la colère de Less monte soudainement telle une flambée destructrice.

Toi, essaie encore juste une fois ca sur mon chien et tu finis en pièces détachées compris? Tu devrais porter attention à ce qu'il essaie de te dire espèce d'imbécile!

Griffith ne la laisse pas s'épancher en insultes biens senties, la situation est grave.

- JASPER, aboie le chef des aurors. Si vous lancez un autre sort inutile, vous pourrez vous compter chanceux si je vous laisse une place de concierge au ministère. Les médicomages sont en route. Reculez-vous et laissez approcher le chien.

Le grondement du chien se fait entendre, il pose une grosse patte... grosse... énorme patte sur la victime et gratte lentement. Griffith tourne la tête et observe le chien. Lareless sait déjà ce qu'il va dire et ce qu'ils vont y trouver.

- Fouillez-la, videz ses poches, je veux tout le contenu de ses poches étalé sur le bureau là. Jasper, vous la connaissez bien, rendez-vous utile.

Elle ne le regarde pas faire son prior incantato. Son regard d'émeraude vif est sur Hess et la jeune femme et ce connard de Jasper.

Dis donc, tu la fouille ou tu la tâtes? On n'est pas en rendez vous doux! Tasse toi!

Elle vérifie que sa baguette est bien sanglée dans son étui, puis s'agenouille de l'autre côté du corp. Elle recommence la fouille. PLus brutalement et plus efficacement. Les paquets de cigarettes et les paquets d'alumettes sortent.

Jenkins, t'es qu'un crétin. Griffith! Ya deux autres trucs ici.Hess, garde.

Dit elle en pointant le corp inconscient. Ce clebs est le meilleur système d'alarme si il y a une entourloupe. Ele n'a pas sitôt fini que Griffith lui redonne... sa baguette et son badge?

Si je savais, Jenkins, je vous le dirais. Jasper, laisser de la place au médicomages, mais tenez la demoiselle à l'oeil. Elle aura des trucs à nous expliquer une fois qu'elle sera en état de parler. C'est à vous, Mainella. Il lui redonne sa baguette, et son badge par la même occasion. Il semble que vous l'ayez échappé lors de votre dernière visite.

Elle l'empoche, sachant qu'il vient de la tirer du pétrin. Mais pourquoi?

Ses yeux à elle se plissent tandis qu'elle reporte son attention sur Jenkins.


Les médicomages prennent la place. Ensuite, ils mettent le corp sur un brancard. Less réitère son ordre à Hess.









Le grand chien est debout, et suit le trio. Ce qu'elle avait pressentie sans le savoir se produit alors.

Des archives et une baguette essaient de sortir. Les archives s'arrêtent à la porte comme précédemment, la baguette suit son chemin

HESS ATTAQUE!

Hurle Less avec une vivacité d'esprit étonnante en se précipitant en avant des dossiers. Le premier médisomage tombe, stupéfixé.

Avec un grondement terrifiant, le grand chien saute sur la civière. crocs impressionnants se referment sur le bras de la voleuse. Less, suivit de Griffith, se planque à couvert tandis que le médicomage impériumisé leur lance un maléfice.

hj: le collier du chien est un repousse sort hostile (comme la vipère l'a décrite) attends un peu avant de poster, je copie ca a la vipere pour savoir si tout est correct dans mon post

Je propose un arrêt du rp le temps qu'on régle le sujet ^^

Je tiens à préciser que j'avais mis unmessage à 10h pour dire que j'allais répondre ^^

Je l'ai supprimé pour pouvoir écrire mon message en relisant les votre sans avoir à éditer ^^

Désolé de la gêne occasionnée.

Edit : je ne serai pas libre ce soir, si on pouvait attendre mon retour por clarifier la situation ^^

Hj: je me permets de le faire ici au lieu du mp " (Trop feignasse moi)

Terrence... Dans ton premier rp, il est dit que ton personnage prend cette apparence:

Citation :

Prenant l'apparence d'un homme au visage bien différent du sien, cheveux bruns et bouclés, nez en forme de piste de ski, des fossettes sur les joues et des oreilles bien arrondies...

Dans ton second, on a droit à ça:

Citation :

Une lueur brilla dans ses yeux blanc sur blanc

Et dans le troisième:

Citation :

-Je suis sous l'apparence d'une jeune femme du ministère

C'est pas qu'il s'agirait de t'entendre dans tes descriptions mais presque. Enfin pense surtout à faire comme dans ton quatrième où il est mentionné que tu changes encore d'apparence...

Si mon message ne plaît pas, je le retirerais

Ah je plaide coupable. J'ai inversé les deux formes, la jeune femme était pour le mage en autriche et le jeune homme pour le ministère.

Mea culpa. Et merci de me montrer mon erreur.

Pour les yeux blanc sur blanc, c'est plus simple, c'est le style de phrase que je replace souvent pour ce personnage que je joue dans plusieurs forums. J'ai plusieurs phrases comme celle ci : sa peau pale assortie à ses yeux, le teint neigeux, les yeux blanc sur blanc, etc etc. Je me suis laissé emporté.
J'ai tout de même dit à Lareless que je n'avais pas les yeux blanc, ce qui peut "prouver" ma bonne foi...

Je pense que j'ai fait assez de bourde comme ça, je suis inexcusable. Désolé de créer autant de pb dès les premiers messages.

Que les modos effacent tout ceci s'il vous plait, et qu'on reprenne le Rp, je me contenterai de faire des Rp plus simple.
Merci tout de même aux membres.
Si les gens veulent tout de même continuer, j'en serai ravi ^^

- Jenkins, rappelez vos archives et gardez les. Que rien ne sorte d'ici.

Jenkins obéit au doigt et à l'oeil. Déjà qu'elle était de mauvaise humeur, on avait bousiller ses archives, en plus elle sera prise pour tout replacer plus tard. Merde, hein ? Y'en avait plusieurs en rogne.

De son imposante stature, Griffith, précédé par Mainella, suivi par les autres aurors... qui eux respectent leur place hiérarchique... de toute façon, rare étaient ceux qui aimaient être aux premières lignes. Ceux qui adoraient ça étaient souvent les premiers à mourir... donc mieux valait rester derrière, les chances de survie étaient meilleures. Il délaissent l'ascenceur et prennent plutôt les escaliers, c'était plus simple... et moins long. Contre tout attente, l'homme morse se débrouille pas mal dans un escalier. S'il avait pas tout ces kilos en trop, il serait vraiment agile. D'un autre côté, c'était peut-être justement de devoir compenser les gauche et droite de sa masse graisseuse qui relevait de l'exploit... surtout dans un escalier.

Leurs descente est accompagné de la vois de Griffith qui crache dans un miroir à double sens.

- Burrows, fait bloquer les issues, active l'anti-transplanage, y'a une maligne qui essaie de se tirer avec des archives. C'est pour vous je crois, mais on vous supporte dans l'épreuve, Burrows. Bloquez l'ouverture des portes, sauf dans l'atrium.
- Dans l'immédiat. Anti-transplannage activé dnas tout le Ministère... j'espère que personne n'était en arrivée...
- Ascenceur centre ouest. Interceptez tout ce qui sort des ascenceurs.
- D'accord c'est fait. Un jeu d'enfant. Il est à quel étage ?
- Il file droit vers vous.

Dans l'ascenceur, non seulement Terrence est aux prises avec une énorme chien bleu d'au moins 1m75 qui lui broie l'os du bras, mais en plus, les livres qu'il a tenté de voler s'agitent soudainement dans l'ascenceur, déployant leurs pages, tels des oiseaux. Muriel A. Jenkins, Chercheur de sort et commissaire d'examen des sorts, au niveau des archives, excite ses propres documents en fugue, avec des incantations bien senties. Les lourdes couvertures se referment et s'abattent sur le voleur sans pitié, un peu comme de braves bêtes qu'on aurait tiré de leur territoire pour les revendre à des braconniers. Ils veulent rentrer à la maison. Ils s'abattent sur le sorcier dans l'ascenceur et sur les paroi de l'ascenceur, qui soudainement vibre et poursuit sa descente, indiquant le niveau de l'atrium, sans indiquer les autres étages. L'ascenceur ne fera aucun arrêt entre l'endroit où il est et l'atrium. Tous les voyants lumineux sont éteints, le contrôle de l'ascenceur ne se fait plus de l'intérieur, mais de l'extérieur. S'il y avait une faille magique entre le 4e et le 5e, l'ascenceur n'en faisait pas parti.

Impossible de s'esquiver de l'ascenceur, puisque l'anti-transplannage est activé dans tout le ministère. En plus, même s,il avait pu, il aurait tout de même eut une flopée de livres furieux sur le dos, ainsi qu'un bras coincé dans la gueule du plus gros chien qu'il eut vu. Et Hess était un bon chien de garde. Il obéissait à sa maîtresse au doigt et à l'oeil et il avait du flair... et une superbe collier repousse sort incassable. (bah, oui, incassable, c'est un gros chien, faut donc un collier solide)

Dans l'atrium, Burrows et la Brigade d'Intervention Magique sont déjà en poste. impossible de sortir de l'ascenceur... de toute façon, avec un bras coincé dans la gueule d'un chien d'1m75, bonne chance pour la fuite. L'ascenceur s'immobilise. Il n'attendent plus que les portes s'ouvrent pour faire sa fête à l'intrus. Il n'aura certes rien gagné. Les portes s'ouvrent et les archives dérobées s'envolent à tire-d'aile... ou à tire-de-pages, battant furieusement des feuilles.

hj Héhé moi aussi j'ai ma petite bête. En tout cas vous avez de la chance que je n'ai pas envie de tuer ce stupide chien looool J'ai décidé que je ne ferai pas de mort. /hj

L'ascenseur venait de se refermer. La situation était quelque peu embrouillée. Certes Terrence avait sa liberté dans l'ascenseur, certes les archives étaient toutes là mais le stupide et énorme chien présent dans l'ascenseur avec lui le gênait plus qu'autre chose. Il faut dire qu'un tel mastodonte accroché à votre bras n'est pas un cadeau.

Les crocs du chien s'enfonçaient dans la chair du sorcier. La douleur était conséquente, mais Terrence avait déjà connu pire. Après avoir passé plus de 30 ans à voyager dans tous les pays du monde, il s'était retrouvé dans des situation pire que celle là. Il ne minimisait pas le présent, mais il pensait réellement pouvoir s'en sortir.

D'un geste de baguette magique, il insuffla sa magie dans son bras, canalisant le flot comme il l'apprenait à ses élèves de l'école. Son bras changea d'un coup. Le chien eu un grognement de douleur et lâcha pour se secouer la gueule.
On peut dire ce que l'on veut, un chien aussi bien dressé qu'il soit, aussi énorme qu'il soit, n'irait jamais contre son instinct en cas d'acte réflexe. Pour tout ceux qui connaissent un peu les canidés, il existe un animal, qui sait se faire respecter d'eux. Le porc-épic. Il faut dire qu'avec des piquants de 15cm de long et dur comme du chêne, aucun canidé digne de ce nom ne s'attaquerait à lui.

Le chien dénommé Hess ne fit pas autre chose. La pauvre bête s'étant retrouvé avec les dit piquant enfoncé dans le palais, la langue, les gencives, la gorge et la truffe, il serait bon pour un soin important une fois l'histoire terminé.

Terrence n'hésita pourtant pas. Ayant remarqué le collier qui le protégeait des sorts, il ne tenta rien sur le chien en lui même, il visa le coin dans lequel il s'était recroquevillé, les pattes sur le museau, se redressant plus ou moins déjà pour attaque de nouveau.

"Champio !!"

Une lumière blanche entoura alors le chien avant de prendre une forme de sphère. Quart de sphère en fait, le chien dans son coin d'ascenseurétait maitnenant isolé du sorcier par une barrière magique de haut niveau.

" Te voilà isoler de ton côté, je pense que tu me laisseras en paix maintenant. Mon champio n'étant pas un sort hostile, et ton collier n'étant pas un super anti sort, je ne pense pas que tu puisses sortir de là. Aie !!"

Le petit cri était sortit de sa bouche alors qu'un livre lui frappa l'épaule avec force. Les dossiers devenaient fous. D'un geste de baguette il redonna à son bras son aspect avant de la pointé au dessus de lui.

"Impédimenta Maxima !!! "

Le sort frappa le plafond et se répercuta violement sur les livres et les archives. Le sort n'aurait pas une durée bien longue vu qu'un autre sort les activait, mais suffisament longue pour que Terrence fasse ce qu'il faut il saisit les 5 ou 6 feuillets réellement important, les sortilèges interdit car jugé impardonnable et les lia ensemble avant de les enfermer dans une de ses boites d'allumettes présente dans les dernières poches mal fouillées. Lareless avait beau avoir essayé, les médicomages l'avaient empécher de finir correctement.

L'ascenseur se stoppa d'un coup. Vibrant dans son ensemble, faisant vaciller les lumières.

"Qu'est ce qui se passe encore. Mon sort ? Non... Ah oui !! Les mesures de sécurté... déjà... mon brave médicomage n'aura pas fait grand chose... le pauvre... Bon début de la dernière phrase... Il doit être impossile de transplaner dans l'atrium... heureusement que je suis venu ce matin pour poser mon petit portoloin dans la fontaine. "

Petit retour en arrière s'impose. Lareless acompagné de son énorme et encombrant petit chien, jête une pièce, un mornille dans la fontaine. Terrence entend alors les mages parler des brèches dans la sécurité magique. Décidant alors de passer à l'action, il jête lui aussi un objet, une pièce dans la fontaine. Cette pièce, avec un trou pour la reconaître, est un petit portoloin. Quand il est arrivé une dizaine de minute plus tôt... la pièce était toujours là. Avec l'arrivée du mage, les gens ont du avoir mieux à faire que de fouiller une fontaine, pareil avec l'activation du système d'alarme. Dans un sens les officiels du ministère l'aidaient.

Terrence sortit de ses reflexions quand l'ascenseur revibra. Les lumières toujours éteinte, il redescendait. D'un geste précis de baguette il lança un evanesco pour effacer tout le sang présent, bien qu'avec les centaines de potions et d'expérimentation qu'il avait fait sur lui même, son sang n'était plus identifiable. De plus le chien aurait une mauvaise surprise dans deux ou trois jours vu la quantité qu'il avait ingurgité.

"Bon... mon troisième moyen de diversion... En espérant que le quatrième n'ait pas à sortir de sa boite... Je hais ces créatures mais bon... Rien n'est jamais facil. "

Des allumettes tombèrent d'une boite qu'il secouait, et reprirent leur forme initiale en touchant le sol : des ossements. Un catalyseur très utiles pour le sort qu'il va lancer.

"INVOCATO DEMONIUS !! "

La magie frappa les ossements, une onde de ténèbre en jaillit alors, et une créature de la taille d'un gorille adulte se mit à apparaître dans l'ascenseur. Heureusement se dernier ouvre ses portes.

La créature imposante est un modèl parmi ses frère. Disons que si les démons organisaient un concour du genre de Mister Univers, il aurait certainement gagné dans sa catégorie. Haut de bien deux mètres vingt, des bras de la taille des cuisses du King avant sa mort - pour ceux qui connaissent pas... je vous assure c'est énorme !!!
La gueule du démon s'ouvrait sur une rangée de crocs luisant de bave. Hess aurait pali en les voyant. Surtout que deux autres rangées attendaient derrière en rang serré. On ne le dit jamais assez il faut bien maché pour bien digérer. Le reste de sa personne étant à l'avenant de sa cavité buccale, on pouvait comprendre les raisons qui font qu'un sorcier n'aiment pas à se retrouver seul en face à face avec un démon. Surtout qu'avec l'épaisseur de leur cuir, les démons avaient une résistance à la magie entre celle des géants et des Dragons.

Les livres des archives s'envolèrent à tir de pages ( hihihi) comme s'ils fuyaient le démon. Terrence lança son démon par l'ouverture, une chose finalement peu utile, le démon ayant déjà commencé à chargé.

Puisant dans ses forces déjà faiblissante, Terrence se jeta un sort de désillusion avant de jaillir de l'ascenseur, rasant les murs et virevoltant entre les sorciers qui se battaient avec le démon. Il faut dire qu'une brave bête comme ça, c'est mieux qu'un chien non ?

Baguette en main, le corps se fondant avec une véritable synchronisation avec son environnement, Terrence naviguait vers la fontaine, prêt à immobilisé ou envoyer valser les sorciers qui le gêneraient. Il lui restait encore un ou deux petits tours dans sa poche, mais il préfèrait ne pas avoir à les utiliser... Pour l'instant il avait un sortilège d'éolium entaillis sur le bords des lèvres pour le premier barage auquel il devrait faire face.

De la sueur sur son front, le souffle un peu court malgré la pause dans l'ascenseur, le bras douloureux malgré l'arrêt de l'hémoragie, la fatigue qui s'accumule, Terrence s'avoua qu'il ferai volontier un petit somme une fois tout ceci terminé. Néanmoins sa baguette restait parfaitement maîtrisé dans sa main, et ses yeux aussi vifs que ceux d'un attrapeur.

Les portes de l'ascenseur s'ouvrent et un truc horrible. Non mais vraiment horrible. Burrows n'aimait pas les démons. Ils étaient horriblement laids... et souvent inutile. C'était impressionnant ces grosses bêtes, mais c'était fragile. C'était comme les gros barbares, très fort physiquement, mais on leur posait une question à développement et ils s'écroulaient. C'était pareil avec les démons invoqués par les sorciers, plus ils étaient gros, plus ils étaient bêtes.

- QUI CROIT AUX DÉMONS ?
- Pas moi !
- Un quoi ?
- C'est quoi ?
- Hein ?
- AU BOULOT !

Et la brigade d'intervention magique contourne prudemment le démon invoqué pour se précipiter à l'intérieur de l'ascenseur. Personne, sauf Hess qui, très énervé par la disparition du type, tout autant que par les épines de porc-épic (d'ailleurs les porc-épic n'ont pas de piquants sur les pattes, c'est louche ton truc) tourne en rond un moment, puis s'élance sur les traces de ce que la brigade prend pour le filou. Si Calvin rase les murs, le chien le suit à la trace... ouais, l'odeur du sang ne trompe pas, surtout quand on a encore de ce sang sur la babines. Et tout le monde sait que les sorts d'illusions fonctionnent plus ou moins sur les animaux, puisqu'ils n'ont pas que les yeux pour voir, on appelle ça le flair.

- Laissez faire le chien ! gronde Burrows, qui a bien vu le manège de Hess. Brillant ce chien qu'il pense.

Sur le qui-vive, la brigade ne sait trop où lancer leurs sorts, de peur de rater et de faire des dégâts ou pire, toucher quelqu'un. Mais les issus sont bien gardées, même invisible, personne ne pourra franchir les lignes, même en rasant les murs, aucune issue possible sans toucher à quelqu'un.


*Juste un peu plus tôt dans les escaliers en même temps que le démon sort de l'ascenseur*

- Lightmyst, dit-il à travers le miroir double-sens, activer la protection anti-magie.
- Avec plaisir, Griffith.
- Mainella, si nous n'arrivons pas trop tard, vous avez carte blanche. Sans magie.

Et la porte des escaliers s'ouvre pour laisser s'écouler une horde d'aurors, Lareless en tête, qui s'arrêtent juste devant la porte. L'atrium est cerné. Seul être qui bouge, c'est Hess.


*De retour dans l'atrium au moment présent*

Le démon, en plein milieu de la salle tourne en rond, grondant lamentablement. Personne ne s'en soucie... c'est pas une vie pour un démon. Il s'évanouie dans l'atrium, pensant que le monde moderne n'est pas fait pour les démons, les humains ne croient plus en rien. The End of the Demon. (BANG !! Mourru le Démon !!)

Jenkins, commissaire d'Examens des sortilèges récupère ses bouquins et constate avec irritation qu,il manque des pages et certains documents. Une veine palpite sur sa tempe. On ne se pousse pas avec ce qui ne doit pas sortir du ministère. Elle brandit sa baguette et la pointe vers le plafond. Une gerbe d'étincelles fuse et se disperse dans l'atrium, faisant flamber les pamphlets en fugues un peu partout dans le dit atrium, ainsi que TOUS les papiers dérobés. Dans les poches de Terrence, tout s'enflamme et, le feu étant ce qu'il est, après avoir brûler les papiers, s'attaque au tissus

La brigade et les Aurors, ils sont tous là. Une voix s'élève par l'interphone de l'atrium, faisant sournoisement sourire Burrows.

- Anti-magie activée.

Tous les sorts en action dans l'atrium du ministère tombent à plat. Plus personne ne peut lancer de sort, ça ne ferait qu'une brève étincelle au bout de la baguette. TOUT TOUT TOUT ce qui est magique dans l'atrium devient objet sans rien de magique (Je précise au cas ; porte-au-loin devient aussi inefficace que la valeur de la pièce trouée... à savoir aucune.). L'atrium au complet est aussi sans magie qu'un ministère moldu. Le sort de Désillusion de Terrence tombe, comme les autres. Tous les sorciers présents voient soudainement apparaître un ou une quelconque personne, les poches en proie à une épaisse fumée aux lueurs rougeoyantes. Jenkins sourit, ravie de son coup.

Voyant soudainement l'odeur qu,il piste prendre forme, Hess, obéissant à sa maîtresse pour le pier et surtout le meilleur, voit soudainement la cible de l'ordre «  HESS ATTAQUE » redevenir visible. Une aboiement à faire trembler les murs résonne et le Grand Bleu bondit, lui, il n'a pas besoin de magie pour être efficace.

Dévalant les escaliers à la vitesse grand V, Griffith sur les talons, soufflant comme un phoque mais étonnamment en forme pour un homme de sa corpulence. En fait, ils ont distancés le reste des Aurors. Rendu en bas, Griffith sort son miroir a double sens.

Lightmyst, dit-il à travers le miroir double-sens, activer la protection anti-magie.
- Avec plaisir, Griffith.
- Mainella, si nous n'arrivons pas trop tard, vous avez carte blanche. Sans magie.

Elle enlève sa veste de cuir toute abîmée en souriant. Enfin de l'action.

Parfait patron... dite, vous faite comment pour garder la forme malgré tout ce que vous ingurgitez en une journée?

Un sourire soulève la moustache de Morse.

La tisane au jasmin.

Pas le temp d'en rajouter plus, le reste de l'escouade arrive. Il est temp d'investir l'atrium. Elle se met en position, regarde Hess qui suit le long des murs, truffe au sol et geignant de douleur. Mais il ne se laisse pas distraire par ces sales épines le chien. De toute facon, c'est bizarre, mais des taches de sang apparaissent sur le sol.

Elle avise le langue de plomb. Le connait de réput. Il ne passe pas pour un tendre non plus.

Eh De Menessi! Tu viens t'amuser avec moi et Hess?

L'Hallalli sonne alors. Douce musique aux oreilles de Lareless. Elle a un mouvement de tête invitant l'autre sorcier à se joindre à elle.

Anti-magie activée.

Sans magie en plus! On va se marrer.

Elle laisse sa baguette et son manteau par terre devant Griffith. En jeans et en camisole de sport blanche, elle a un bref rire mauvais quand Hess, libéré de se spiquants part l'activation de la zone anti-magie(les piquants sont magiques donc...) Saute sur la jeune femme aux poches en feu. Elle lui laisse juste le temp de jeter la sorcière par dessus la rembarde de la fontaine. Dans l'eau, au moins le feu de ses poches s'éteint t il.

Hess garde!

Le chien reste sur la rembarde, la gueule en sang, un rictus dévoilant ses crocs immenses et un grondement sourd provenant du fond de sa cage thoracique. L'auror s'avance vers Terrence.

T'a trois choix. Tu collabore sans faire d'histoires. Tu résiste et on, mon pote et moi, te pète la gueule. Ou, dernière option. Tu essaie de fuir et on est environ 40 humains et un chien qui allons faire de la bouillie de ta modeste personne.

Lareless croise les mains dans le dos. Demande d'un air faussement ingénu accentué par son accent italien.

Tu veux me faire plaisir? Résiste s'il te plait.

Terrence avait noté le peu d'efficacité du démon, sans réellement comprendre la raison d'une telle absence de combativité. Un démon était normalement une créature berserker, chargeant sans réfléchir la moindre personne n'appartenant pas à sa race, pour s'en repaître, ou au moins le déchiqueter. Allez donc savoir ce qui s'était passé, une volonté divine sans doute.

Un aboiement et des grognements lui firent savoir que le satané clebs venait d'être libéré. L'un dans l'autre, tout ça commençait à lui courir sur le haricot. Il rangea sa baguette d'un mouvement vif, vérifiant qu'elle était parfaitement scellée, au moins on ne lui enlèverait pas facilement.

Il fallait agir vite, courant vers la fontaine, il saisit dans sa poche les deux derniers objets qui pourraient lui servir. Une flasque minuscule qui une fois dans sa main reprit sa taille normale celle d'une fiole jaugée de 500mL ( pour ceux qui connaissent). De l'autre il tenait un sachet de poudre qu'il déchira avec les dents. Une fois le sachet déversé la poudre était tenue dans sa main serrée.

Il voyait déjà la fontaine s'approchait, quand il sentit une perturbation dans la magie. Une voix agréable se fit entendre, les mots résonnèrent dans l'esprit de Terrence comme un glas.

« Anti-magie activée »

Etait ce la chance qui lui avait fait prendre ces deux objets non magiques, ou une intuition salvatrice, nul ne le saurait jamais, Terrence lui s'en fichait son esprit accaparé par d'autres pensées.

*** Anti-magie : zone de contrôle permettant le blocage immédiat de tout sort actif et la création de nouveaux sorts dans la zone. Les propriétés magiques d'objets dues à des enchantements sont elles aussi bloquée. Les propriétés intrinsèques des objets ou des compétences magiques ne sont pas affectées.

Ce qui veut dire que je vais garder mon apparence, et que la potion gardera son pouvoir. Ce qui paraît logique, les sorciers ne perdent pas leur sang magique quand il entre dans une zone d'anti-magie. ***

Un ordre d'attaque résonna dans les oreilles de Terrence. Il était à deux mètres de la fontaine. Il fit un bond sur le côté, esquivant le chien à la dernière seconde. Son pied lui fusa et frappa le canidé dans les reins. La force n'était pas énorme, mais le choc ne serait pas bénin. Emporté par son élan il plongea dans l'eau. Première partie du plan réussit. Il entrouvrit les yeux et aperçu la pièce trouée. Son pied se posa de dessus appuyant fermement.

Sa main contenant la poudre était trempée, ce qui était nécessaire pour que la substance prenne effet. À l'air libre la pâte créée prendrait une texture collante et spongieuse. Il s'assura que l'autre fiole était bien fermée, il ne voulait pas mourir si tôt.

Quand il refit surface, la main tenant la poudre sous l'eau, il put voir la jeune femme qui lui mettait des bâtons dans les roues depuis le départ. Son chien pas loin.

Il sourit devant le dialogue puéril de la jeune femme. Il devait agir rapidement, un autre homme approchait du bassin. Jeune et semblant sûr de lui. Sans doute une personne bien plus dangereuse que cette stupide prof. Terrence se promit que s'il s'en sortait, il lui mènerait la vie dure à l'école, pour qui elle se prenait : une auror de catégorie supérieur ?

Un murmure jaillit d'entre les lèvres de Terrence, des lèvres rosée et charnue, la jeune femme était décidément séduisante.

« Ecoute moi bien pitoyable représentante de l'ordre, il te manquera toujours deux choses pour pouvoir m'arrêter : l'intelligence et l'expérience !! »

D'un geste rapide et précis il lui lança la substance à figure. Au contact de l'air, la pâte prit son aspect finale. Une couleur verte tirant sur les noirs, avec une odeur plus ou moins immonde. Sans chercher à voir si la jeune femme se la prenait sur le visage (note que je ne joue pas ton perso ^^) ce qui était quasiment sûr vu la vitesse, la surprise et le comportement totalement confiant de la sorcière, Terrence leva son autre main débouchant la fiole, la maintenant bien au dessus de l'eau.

« Je serai vous je ne ferai plus un seul pas avant de m'avoir écouté !! »

Hurla-t-il d'une voix sur aigue. De la fiole s'élevait un mince filet de vapeur. Sûr d'avoir l'attention générale, et ce depuis un sacré bout de temps maintenant, il reprit la parole.

« Cette fiole contient un mélange de Bile de Dragons, d'asmodèle, de belladone, de venin de manticore et de serpent, et d'une dizaine d'autre poisons plus ou moins connus. Un geste et je la renverse dans l'eau. »

Le sorcier présent à côté du bassin sembla pâlir quelque peu. Un rictus passa sur le visage de Terrence. Il recommença à parler.

« Un geste un seul et elle rejoint l'eau de cette fontaine. Pour ceux qui s'y connaissent en potion et en magie, comme ce jeune homme il me semble, le contact d'une si grande quantité d'eau avec de la bile de dragon concentrée provoquera une ébullition et une vaporisation quasi totale de l'eau présente dans le bassin. Un effet thermique bien connu des moldus et des sorciers, je ne vous referai pas les cours de potions que vous avez appris à Poudlard.

Les vapeurs porteront le poison partout dans la pièce, il y a bien 150 personnes ici présente, je table sur 5 survivants... je ne m'en tirerai pas mais vous non plus... Je ne demande rien... Simplement que vous leviez la zone d'anti magie. Si vous le faite aucun mort à déplorer, sinon... 145 personnes de tuées pour une seule arrêtée, morte... le rendement est dès plus terrible pour vous. »

Le silence se fit. Terrence avait mis dans ses yeux une lueur pale comme celle d'un homme sous impérium, on pouvait même avoir l'impression que quelqu'un d'autre parlait par l'intermédiaire du sorcier, comme un manipulateur derrière sa marionnette. Terrence regardait le jeune homme comme si ce dernier était devenu son interlocuteur. Le pied toujours sur le portoloin, il n'attendait plus que la levée de l'anti-magie.

Il se demandait réellement comment cela allait finir. Son intrusion lui avait au moins permis de voir une chose le ministère était sur la défensive, et prêt à montrer les crocs aux moindre assaut. Il soupira mentalement en pensant aux feuillets qui avaient brûler. Il pesterait plus tard, il avait eu le temps de lire les trois formules mais n'avait pas eu la présence d'esprit de regarder avec précisément les description, son souvenir ne serait jamais assez précis pour retravailler les formules. Enfin pour le moment la situation n'était pas à la réflexion inutile. Sa main prête à renverser la fiole, il surveillait les aurors et autres membres du ministère.

La foule étant bloquée dans l'atrium avec lui, Terrence n'avait pas peur, personne ne pourrait sortir tant que la zone d'anti-magie serait présente. Sa main ne tremblait pas. Il était prêt à agir. Lui qui n'avait pas blessé qui ce soit dans son projet, qui avait essayé de limiter la casse au minimum, il était prêt à agir.


Edit : Pour le retard, mes vacances, la vie IRL de Vip et nos discussions ont pris du temps. La situation est quelque peu compliquée, il fallait clairement la résoudre.

Maintenant comme l'a dit Vip, c'est un jeu entre joueur, il faut savoir être fair play. Je pense que je l'ai été sur certains points, pas forcément sur d'autres, chacun son avis ^^ J'espère seulement que tous les autres joueurs présent le seront aussi. Bon Rp.

La situation évoluait très vite, d'un côté comme de l'autre! Un moment, il avait semblé que le Ministère parvenait à reprendre les choses en main, activant le périmètre d'anti-magie et réduisant drastiquement les possibilité d'évacuation de l'intrus. Mais celui-ci n'avait pas encore lâcher ses derniers arguments. Deux potions, aux propriétés magiques intrinséques, deux liquides susceptibles de répandre la mort partout alentours. L'apparente demoiselle avait élaboré une stratégie valable et sur le long terme, elle manipulait son auditoire avec une aisance purement déconcertante. Il fallait à tout prix arrêté un danger potentiellement si grand.

De Menessi avança d'un pas encore, ignorant la menace de l'autre.

- Trève de flateries mademoiselle, trève de compliments, à force d'être lèche-cul, on devient suspect (sans vilain jeu de mot lol).

Vous allez vous contenter de poser vos fioles, qui ne vous seront d'aucun secours en l'occurence...

Un sourir s'affirmait toujours davantage sur le visage plutôt pâle d'Istari. Il venait d'effectuer une nouvelle avancée.

- Vous voyez, mademoiselle, tout ce que vous avez dit sur vos potions s'avère effectivement exact. Un taux de mortalité proche du 100%, une évaporation quasi totale de l'eau contenue dans la fontaine, des vapeurs mauribondes, bref, un vrai massacre...

Un rire léger suivi, on aurait dit celui d'un adulte en face d'un enfant trop naïf. De Menessi savait néanmoins qu'il n'avaient en rien affaire à un individu qu'il fallait sous-estimé. Mais le ridicule n'allait pas tardé à émerger, s'affirmant au grand jour, aux yeux de toutes et tous.

- Mais la réaction dont vous nous parler ne peut pas se faire instantanément sans une énergie d'activation très conséquente. Aussi, une fois vos potions mélangées à l'eau, le système chimique concidéré va commencer à absorber la chaleur de l'air ambiant pour lancer petit à petit, très lentement, la réaction qui est sensé vous tirer d'affaire. Hors, si mes calculs s'avèrent exact, en prenant compte qui plus d'une marge d'erreur de 4%, il s'avère qu'il faudra trois semaines et 4 heures approximativement pour que la réaction arrive à son terme. Ca nous laisse le temps de vous sauter dessus, de vous arrêter, d'évacuer le hall, et d'engager une équipe de désinfection...

Comme vous n'avez pas le moyen de déclencher la réaction instantannée avec une énergie d'activation puisque votre baguette est hors d'usage... vous êtes tout simplement coincée, mademoiselle...

Le jeune homme retroussa ses manches, et retira son chapeau, qu'il déposa sur le sol. Il allait s'en donner à coeur joie. Ses yeux s'étaient illuminés d'une lueur froide et avide... il allait admirer l'arrestation de cette imprudente.

- Je ne participerai pas à un combat à mains-nues, ce n'est pas dans mes compétences, je gênerais davantage que j'aiderais. En revanche, j'observe volontiers...

déclara le garçon, concluant sur cette note arrogante.

Hj Voilà ma réponse! J'ai conscience qu'elle condamne plus ou moins Terrence, mais ce dernier a fait l'erreur de ne pas préciser la durée de la réaction chimico-magique qu'il avait en tête. Du coup, j'avais le champ libre pour le coincer à ce niveau-ci.

Maintenant... je souhaite vraiment bonne chance à Calvin, puisse-t-il trouver une échapattoire ou ne pas croupir trop longtemps à Azkaban. Hj

Au truc lancé sur son visage, Less croise les bras devant celui-ci, ce sont eux qui recoivent la majorité du truc vert et puant... de la merde!? Elle se secoue les bras, essuie sa camisole blanche, en étalant un peu au passage.

Mon Tabarnack! (dédicace a Alex).

Mais la réaction dont vous nous parler ne peut pas se faire instantanément sans une énergie d'activation très conséquente. Aussi, une fois vos potions mélangées à l'eau, le système chimique concidéré va commencer à absorber la chaleur de l'air ambiant pour lancer petit à petit, très lentement, la réaction qui est sensé vous tirer d'affaire. Hors, si mes calculs s'avèrent exact, en prenant compte qui plus d'une marge d'erreur de 4%, il s'avère qu'il faudra trois semaines et 4 heures approximativement pour que la réaction arrive à son terme. Ca nous laisse le temps de vous sauter dessus, de vous arrêter, d'évacuer le hall, et d'engager une équipe de désinfection...

Comme vous n'avez pas le moyen de déclencher la réaction instantannée avec une énergie d'activation puisque votre baguette est hors d'usage... vous êtes tout simplement coincée, mademoiselle...

En cet intant précis, ce qu'elle aime avoir un langue de plomb avec elle... Chouette! Le murmure d,Incertitude provenant des gens autour d'eux se transforme en grondement féroce.

Je ne participerai pas à un combat à mains-nues, ce n'est pas dans mes compétences, je gênerais davantage que j'aiderais. En revanche, j'observe volontiers...

Merci, vous êtes trop galant. Donc, si je suis votre cheminement, on a le temp d'épurer la fontaine avant que al réaction ne se fasse... Donc, par dérivation, j'ai le temp de te faire sauter les dents ma jolie.

Less saute dans l'eau, qui lui arrive à mi-mollet... Et se dirige résolument vers Terrence, couverte de ce truc nauséabond.

Elle est parée à toute éventualité pourrie ou sournoise autant qu'a celles directes et rapide.

Terrence a 30 secondes pour se rendre ou pour décider de résister.

La voix froide de Terrence sous son apparence féminine résonna dans la pièce alors que des murmures l'envahissaient. Les sorciers alentours semblaient quelque peu rassurés. Les premiers mots furent pour Lareless.

"On se fixe !!!Il enchaîna immédiatement en regardant le jeune homme qui venait de parler, un sourire narquois sur le visage. Le soit disant ridicule allait retomber sur quelqu'un mais pas sur Terrence. Et l'on vous confie la charge des plus grands secrets de notre monde... Une langue de Plomb à la langue bien pendue...

Retournez réviser vos cours de potion ou n'approchez jamais d'un chaudron. Comme si j'allais avoir besoin d'un quelconque activateur magique pour lancer la réaction. Pathétique réellement. J'ai déjà tout ce que j'ai besoin sur moi et avec moi. Une étude plus poussée et un raisonnement correct vous aurez fait déviner que j'avais le dit activateur, un catalyseur pour employer un terme précis mais sans doute méconnu de votre esprit, déjà dans la potion. Ce qui fait qu'un fois en contacte avec l'eau, la réaction sera comme je l'ai dit immédiate. Sans avoir besoin comme vous le pensiez d'une énergie d'activation conséquente, le but d'un catalyseur étant d'annuler ce besoin en énergie.

Maintenant je pousse encore plus la réaction : Nous sommes dans la fontaine magique du ministère de la magie, dans une construction magique, au pied de statues magiques. Je suppose que vous avez noté la quantité de magie présente en ce lieu. L'eau même dans laquelle je suis ne provient pas d'une source mais d'un enchantement, elle est donc magique et contient suffisament d'énergie en soit pour suffire à la dite activation.Vous noterez que l'antimagie n'a pas arrêté l'eau de couler de la fontaine, sa magie n'est donc pas affectée comme celle de la potion. Pour conclure sur le pitoyable exposé que vous nous avez fait : la substance que j'ai lancé à l'adepte de la violence se trouvant devant moi, et qu'elle a eu le plaisir d'introduire dans l'eau et elle aussi suffisament magique pour lancer la réaction. "

Parmis les sorciers à l'écoute le silence se fit à nouveau, la terreur reprenant le dessus sur le mince espoir que le jeune Langue de Plomb avait créé. Une femme tomba même dans les pommes, retenue par son voisin. Terrence tourna la tête vers un des hommes qui semblaient en charge, Griffith avait il entendu crier à un moment.

"Je me répète donc... levez l'antimagie sinon... tout le monde meurt. Simple comme bonjour... "

Dans la salle le silence fut rompu, la foule marmonnait, un sorcier cria de lever l'antimagie parce qu'il ne voulait pas mourir, une autre cria de laisser la jeune femme tranquille, qu'elle avait des enfants. Une petite fille justement présente avec sa mère se mit à pleurer doucement. Des signes de mains étaient parfois visible parmi la foule, et même certains aurors et membres de la brigade magique semblait plus ou moins d'accord avec la foule.

"Je voudrai aussi me retrouver à discuter avec quelqu'un de responsable et non pas cette va-t-en-guerre, ni notre secheur de cours de potion, un homme qui comprend la situation. Un chef pas un sous-fifre. Comme ça on pourrait hummm négocier si je ne me trompe pas. J4ai des informations qui pourraient être intéressantes, concernant aussi bien certains côtés sombres de notre société actuelle, comme ceux de certains de nos conteporains."

Lareless était assez loin de lui, il était prêt à renverser la fiole dans l'eau au moindre signe d'action de sa part. Le pied toujours posé sur le portoloin, l'antimagie levée il disparaîtrait. Son regard vif examinait les mouvements. La situation n'avait pas changé. Terrence attendait maintenant une réaction de Griffith ou de Burrows

hj Merci de bien vouloir laisser vip répondre à ce message, et de ne pas vous jetez ensuite sur le tour de réponse.
Bon rp. Pour Istari, j'espère m'en sortir en évitant la case prison ^^./hj

edit : Si la remarque n'a pas été fait plus tôt pour Istari et moi, je ne vois pas pourquoi on l'a fait maintenant. Les pnj tertiaires ne sont là que pour créer une toile de fond et rendre le Rp plus crédible, désolé que tu ne l'ai pas compris.

[HJ : Rien à foutre, on joue, c'est tout. ]


Du même air, l'un obèse et l'autre rachitique, les deux chefs des Forces de l'Ordre civil poussent un soupir agacé. Comment les fonctionnaires ont-ils pu engager (puisque dit plus haut que Terrence a prit l'apparence d'une employés) une telle pourriture, aussi jolie soit-elle. Après les paroles si poêtiques de la jolie trempée, les deux chefs laissent planer un lourd silence. Évidemment, ça ne plaît pas à la foule (bah ouais, moi j'défais pas ce qu'on a déjà écrit) qui panique.

Pas une mauvaise idée, tiens. Burrows jette un regard à Griffith qui secoue la tête. D'un commun accord, chose très rare entre les deux hommes, ils déterminent qu'elle bluff. Pas tant par si elle a raison ou pas au sujet de la réaction, mais plutôt qu'elle le fera ou non.

- Elle bluff. On ne gâche pas sa vie si jeune. À travailler au ministère elle doit savoir qu'un vol donne quoi, une centaine d'heure de travaux communautaires, quelques mois de prison. Pas de quoi mourir.
- Dans ce cas là, Burrows, je vous la laisse. Pas mon ressort. J'suis auror, moi, pas flic.
- Non, mais attendez, Griffith, y'a quand même eu le type à l'accueil... il était impériumisé, lui, c'est de votre ressort, ça.
- D'accord, Burrows, vous vous occupez d'elle, moi j'm'occupe de lui.
- Mais elle dit avoir des infos à vous échanger...
- Je suis certain que vous saurez me répéter ça très fidèlement.
- Merde... pourquoi c'est toujours à moi que ça arrive.
- Parce que c'est vous le meilleur, Burrows !
- J'ai vraiment pas de chance.
- Ah, comme on dit, qui choisit prend pire. Allez, bonne chance Burrows. Les gars, on remballe tout. Mainella on s'en va s'occuper du type, annonce joyeusement l'énorme Griffith.

Un gémissement se fait entendre dans la foule, puis un cri de panique, suivi de plusieurs autres. C'est la débandades dans les civils et les employés de bureaux. Griffith s'éloigne, mais Burrows ne bouge pas.

- ON GARDE LES RANGS !

La BIM est la brigade d'intervention magique, habituée à "interventionner" Une partie s'évertue à pousser la foule paniquée vers les portes tandis que l'autre resserre les rangs autour de la fontaine.

L'air idiot que Burrows affichait depuis sa conversation avec Griffith se change soudain en son attitude habituelle. Un fin sourire vient se glisser sur ses lèvres, un sourire rapace. Il baisse la tête sans baisser les yeux, adoptant la posture qui lui sied si bien. Celle du vautour. Il se tapote le bout des doigts, comme s'il s'impatientait sur ses propres doigts. (Mr. Burns Attitude)

- Quoi, vous êtes mal payées ici ? Votre aventure avec un des directeurs qui devait vous donner de l'avancement tarde ? Vous êtes encore jeune, mademoiselle, et sachez que l'avancement au ministère n'est plus ce que c'était du temps de vos parents. Et vous vous trouvez beaucoup trop jolie pour risquer de mourir. Mourir si jeune serait la pire chose qui pourrait vous arriver. Il jette un coup d'oeil derrière. Enfin débarassé du morse et ses danseuses. Vous vouliez discuter avec quelqu'un de responsable, mademoiselle ? Et bien allez-y, je suis tout ouie, annonce Burrows à travers les bruits de la foule qui s'échappe.

La foule s'échappe, c'est la débandade, les ignorants fuient comme des bêtes traquées par un prédateur, par ailleurs véritablement habile, et ce presque autant qu'il est innoffensif dans les faits. Incapable de saisir parfaitement la situation, l'étaut se referme de plus en plus sur cet être aux apparences douces mais dont la nature véritable se veut monstrueuse, démoniaque...Ca n'est plus qu'une question de temps avant que l'intriguant personnage comprenne la nature véridicte de sa position, l'étroitesse des quelques choix qui restent à sa disposition. Se rendre, mourir, ou faire état d'une nouvelle trouvaille pour se substituer au piège qu'il s'est finalement tendu à lui tout seul en s'estimant capable de briser le systême de sécurité du Ministère de la Magie britannique rien qu'à lui.

Statique et silencieuse, la langue de plomb note l'intermède d'épouvante provoquée par la magicienne, le départ précipité des gens, et la prompte réaction des services de l'ordre, plus performant qu'il ne l'avait supposé au départ.

- Je me dois de préciser mon raisonement Mister Burrows, puisque vous êtes commis négociateur... Si vous êtes désormais celui qui gèrez la politique, je serai votre conseiller technique. Il serait dangereux de laisser pareille personnalités tenter de vous manipuler, alors qu'elle occulte des faits majeurs dans sa réthorique.

Le discours du garçon avait été sec et précis, tranchant comme une lame, rapide. Il annonçait un verdict clairement en la défaveur de la sorcière, qui devait commencer à paniquer en son fort intérieure. Impresionnant néanmoins la façon dont elle parvenait à conserver son calme, pour bluffer au mieux.

- J'ai inclu une sécurité supplémentaire dans ma précédente allocution, toisant d'ombre une part de la réalité, tout comme l'a fait Miss une telle en omettant de préciser la présence d'un catalyseur dans sa potion.

Dès lors, ce qu'elle a dit est vrai, sa potion, en contact avec de l'eau, a le potenciel de déclencher une réaction quasi instantannée et mortelle...

Mais...

Pendant un long moment, De Menessi se délecta du silence monstrueusement lourd qui s'était installé, alors que peu à peu la foule évacuait, plus calme et plus serreine, maintenant qu'elle avait noté que l'affilié aux Mystères n'était en rien ébranlé par les menaces de la sorcière.

- ... mais il y a un "mais"... L'eau contenu dans les bassins du Ministère, ainsi que l'a relevé mademoiselle, n'est pas tout à fait comparable à l'eau sous sa forme habituelle. En fait, les enchantements magiques génèrent un liquide très semblable à l'eau, qui, en plus d'être imbibé de particules magiques, comporte une forme tout à fait particulière, inhabituelle, rare même... Il s'agit d'eau enchantée, un composé moléculaire plutôt instable, qui varie très légèrement de l'eau sous-sa forme la plus répandue. Tout comme l'or que l'on peut créer avec une baguette, ce liquide peut disparaitre d'un moment à l'autre.

En fait, la varriation avec l'eau normale est infime, mais il se trouve que cela suffit pour que la potion de cette charmante inconnue ne produise pas l'effet escompté. Le liquide sera dissoud, la réaction ne prendra pas...

Aussi, si cette experte en potion entend donner des cours aux gens des Mystères, qu'elle n'hésite pas à le faire. Son savoir dépasse largement celui des communs, mais il n'égalera jamais l'amas de connaissance qui soupir aux tréfonds de notre département. Peut-être est-ce là qu'il vous faudra voler des documents la prochaine fois!?

argua le sorcier, catégorique presque autant que cruel, alors qu'il s'adressait à la malheureuse.

Monsieur Burrows, maintenant que vous êtes informé complètement de la situation, j'aimerais faire état d'une requette...

Maltraitez cette femme un minimum pour venger mon honneur de ses paroles diffamatoires. Je m'en donnerais à coeur joie si la loi m'accordait ce genre de privilège. Dommage qu'il n'en aille pas de la sorte.

Le sourir froid d'Istari refit son apparition, narguant de plus belle l'auteur du larcin.

Hj Je joue au même jeu que vous Terrence, exploitant la moindre occasion, la moindre ouverture que suppose votre discours pour désamorcer vos plans. Les lois de la vraisemblance vous pousse dans l'abysse d'Azkaban, combien de temps les défier encore?

Bon jeu! Hj.

Ah, comme on dit, qui choisit prend pire. Allez, bonne chance Burrows. Les gars, on remballe tout. Mainella on s'en va s'occuper du type

Quoi????

Less s'arrête net. Sa camisole souillée plaquée au corp, elle regarde Griffith d'un air incrédule.

Non mais franchement... Tu peux pas me faire ca!

Mais le regard de Griffith est éloquent, la moustache de morse frémit de mécontentement. Less s'extirpe de la fontaine en chialant en italien, par pure forme... Tout le monde le sait mais fait comme si.

Hess, Garde!

Dit elle en pointant Burrows. Au cas ou...

Puis bavassant toujours en italien, elle rejoins les aurors qui se poussent.