Rêves oubliés [PV]

Elias, qui était rentré depuis peu dans le Ministère déboursait déjà toute sa paye en fringue. Aujourd’hui, il arborait des bottes noires, avec un slim de la même couleur et une chemise blanche bien repassé. Il avait enfilé, son trench en laine noir, et ses gants en cuir blanc. Il tenait sans sa main droite sa baguette, et dans l’autre un café starbuck. Il faisait un froid de canard, et il neigeait. Londres était enseveli sous quelques bons centimètres de neiges. Elias adorait ce temps. Ca lui rappelait le temps qu’il y avait à Poudlard quand il était jeune. Lorsque l’hiver approchait, et que l’on commençait à apercevoir les premiers flocons. Ses cheveux ébouriffé, ramené en avant le rajeunissait un peu. Et oui, Heath n’était plus si jeune que ça. Il allait avoir 33 ans dans 1 mois. Le 20 Mars, pour être exacte. Il était toujours célibataire, pour cause, il avait préféré des relations courtes, voir d’une nuit.

A présent, il tenait son café entre ses mains, tentant de se réchauffer. Il passa dans la petite ruelle qui menait au chaudron baveur. Il adorait cet endroit. C’était un peu comme une deuxième maison pour lui. Il y avait passé tant de moment, avec sa famille, sa sœur. Il entra, poussant la lourde porte. Salua quelques personnes, puis continua son chemin vers le passage qui menait au chemin de traverse. Il posa sa baguette sur le mur de brique qui se poussa pour laisser passage à Elias. Il devait passer chez Ollivander pour faire réparer sa baguette. Elias avait remarqué que celle-ci commençait à se fêler à un endroit. Mais d’abord, il devait aller chercher un peu d’argent à la Banque. Il ne mit que très peu de temps à arriver dans la Banque, et à en ressortir aussi. Il n’aimait pas la Banque. Ces créatures, qui gardaient l’argent en sécurité. Leur tête et leur regard noir, effrayait Elias, plus qu’autre chose.

Il mit son petit paquet d’or, dans sa poche et partit vers Ollivander. Il passa devant les diverses vitrines, de Quidditch, livre et autre. Avant de s’arrêter net devant celle d’Ollivander. Poussant, le fine porte d’entré, il entendit le petit cliquetis, qui indiquait que quelqu’un entrait. Cela faisait bien des années qu’il n’était pas revenu ici. Rien n’avait pour autant changer. Tout était à sa place. Il s’avança, attendant que Mr Ollivander vienne. C’est un vielle homme, qui toussant, couvert de poussière s’approcha de lui. Lui n’on plus n’avait pas changé. Si ce n’est qu’il avait tout de même un peu plus de ride. Mais ses cheveux avaient toujours la même allure que dans les jeunes souvenirs d’Elias.

Mr Ollivander. « C’est pour quoi ? »

Elias Walsh. « Hum. Bonjour, je viens faire réparer ma baguette »

Mr Ollivander. « Montrez moi ça vous voulez bien ? »

Elias lui tendit sa baguette, sans dire mot. La solitude de se vieillard, n’avait pas arrangé son amabilité. Mr Ollivander, inspecta toute la baguette, il se parlait à lui seul. Grognant un peu.

Mr Ollivander. « Hum … La baguette est fendu sur tout son long ! Impossible à réparé, elle a déjà perdu presque toute sa force. Le bois est en mauvaise état. Je me demande comment elle a fait pour vivre avec vous Mr Walsh. Vous êtes pourtant bien moins soigneux que votre père. Vous devez choisir une autre baguette. »

Elias n’en revenait pas, sa baguette était morte. C’était pourtant une belle baguette, qui lui avait couté toute ses économies lorsqu’ils étaient petits. Ses parents bien sur lui remboursèrent, mais ça Elias ne l’a jamais s’eu. Il fit une grimace, puis en un clignement d’œil, le vielle homme ramena une vingtaine de boite, contenant des baguettes. Avant qu’Elias essaye une baguette, il refit les mesures d’Elias. Ce qui modifia le choix qu’il avait au par avant, il rapportait quelques baguettes et en apporta d’autres. Pendant plus d’une heur, Elias essaya de nouvelle baguette. Puis, une baguette le choisi. C’était une longue baguette de 30 centimètres, très souple en bois de Pommier, avec un ventricule de dragon. Malgré tout cela, il avait du mal à ce faire à sa nouvelle baguette. Se réhabituer, et puis elle était beaucoup plus souple que celle qu’il connaissait si bien. Il paya le vielle homme, d’un air satisfait, et sortit dans la rue. Il tenait sa baguette de la main droite, et faisait quelque geste souple. Il n’y avait personne autour de lui. Enfin c’est ce qu’il croyait.

Il marchait d’un pas, vite. Et boum, dans une bruit sourd, il percuta quelqu’un. Voilà, ça lui apprendra, à ne pas regarder ou il marchait. Il se trouvait à présent par terre, sur le sol enneigé, tout crasseux. Il sentit, son trench se mouiller un peu. Il se releva rapidement, et chercha son adversaire. Mais il n’y avait personne. Il avait un léger mal de crane. Il se retourna, faisait voler l’arrière de son parka. Et vit, alors une jeune femme. Une belle jeune femme, qui avait l’air aussi un peu sonné. Il se précipita à côté d’elle, et dit :

Elias Walsh. « Oh, excusez moi, je suis maladroit. »

Elea avait une tonne de chose a faire. elle avait trois projets a dirigés, une fille à envoyer en vacance chez son père, un père à apprendre à connaître de nouveau, son boulot qui lui servait de couverture à faire malgré tout, et un jeu stupide ou ces filles l'avaient inscrit à son insu. Bref une tonnes de choses qui lui embrouillait l'esprit. Comment faire pour tout géré quand vient se greffer la dessus, une fatigue accumulé durant les derniers exploits des jours passé. Le temps du repos n'était pas encore arriver, au grand dame d'Elea.

Première chose pour le départ de sa fille il lui fallait trouver une valise plus grande, quelques affaires neuves, une paire de chaussure neuves. Il allait sans dire que rien n'était due au fait que Tsu grandissait mais surtout au fait qu'elle .....était comme sa mère. Ces vêtements ne tenaient jamais bien longtemps avec une petite fille casse-cou.

Deuxième chose il lui fallait trouver quelques affaire dans la vallée des Embrumes pour peaufiner les projet obscures au mieux. Elle n'avait pourtant pas envie de bouger, elle avait une fatigue telle qu'elle était à ce jour, complètement farniente.

Troisième chose, ce jeu qu'il lui fallait faire . Rien que pour ca elle devait se trouver des tenues plus "adéquates" à se genre de jeu. Il est obligatoire de ne pas y aller avec ces vêtements noir qui n'avaient aucune classe face aux jury.

Bref il était clair qu'elle devait aller au chemin de traverse. Cela ne la réjouissait pas, elle avait tellement de chose en tête que sortir faire les boutiques était la dernière chose qu'elle avait envie de faire. Pourtant elle n'avait pas le choix. Décidé malgré tout, elle enfila sa cape rouge plaçant la capuche sur ces épaules, laissant retombé la masse de ces cheveux sur son dos. elle enfila sa paire de gant noire en cuir. plaça sa baguette dans sa ceinture intérieur. Enfin elle prévenu son elfe de son départ, précisant qu'elle ne comptait pas rester plus d'une heure puis disparu par la porte avant de transplaner a l'allée des embrumes.

La bas l'air était frais le vents s'engouffrait dans les ruelles et formait des courant d'air glacial. Elle avait attérrit juste devant le magasin qu'elle voulait voir et entra sans un regard autour d'elle. Elle savait que cette rue était le plus souvent déserte. A l'intérieur il faisait sombre et humide. La poussière s'entassait sur les étagères et sur les gadgets en tout genre. Des jouets s'entassaient sur des étagères entre des bouquins sur les pays diverses et les photos de sorciers célèbres. A première vue, cette boutique était correcte, elle faisait même tache dans la rue ou elle se trouvait. Pourtant lorsque l'homme de maison aperçut Eleanor il s'inclina en guise de bonjour. Tremblant dans son mouvement. Le respect était de mise et la peur aussi . Aussitôt il alla jusqu'à la porte tourna l'écriteau qui indiquait que le magasin était ouvert et ferma la porte. Par la suite il prit sa baguette et fit un geste vif de la main avec une incantation non formuler afin que seul lui la connaisse. Les objets commencèrent à s'étirés. (comme au square grimaud) la pièce en cachait une autre bien plus effrayante, des armes en tout genres des machines de tortures des potions pleins les étagères qui se trouvaient entres les jeux et les bouquins poussiéreux . Au mur se trouvait un tableau avant que la pièce ne s'étire, il figurait deux enfants se tenant par la main. 0 présent le tableau avait tout autre figure. les enfants tenaient en réalité la mains de leur parents défunt et décomposé coté enfant le fond était clair d'un ciel bleu qui devenait orage sur le fond des parents avec des êtres mauvais en tout genre qui tournaient tout autour deux comme pour mieux les dévorés.

Elle attendit quelques minute que chaque objets finissent de se placés. Puis sans un mot retira ces gants les posa sur le comptoir qui était le seul objet a ne pas avoir élargie. et regarda l'homme en question.

Elea: As tu se que je tes demandé hier?

L'homme tremblant toujours, sorti alors une boite de sous le comptoir elle était fine et discrète. Elea s'empressa de la prendre et l'ouvrit doucement comme pour éviter tout regard dedans. Elle émit un petit sourire satisfaisant et regarda de nouveau l'homme .

Elea: Très bien, dit a ta femme de ne plus se faire de souci, tu as bien travailler, je t'en serais redevable et sache que tu pourra me demander même le pire des châtiments pour celui qui a osera touché ta famille. Ma promesse est d'or.

Elle lui tendit une bourse pleines de galions puis prit la boite et la rangea dans une poche intérieur a la cape. Renfila ces gants et sorti du magasin, le tout avec le vendeur la saluant en ne cessant de faire la révérence en guise de remerciement.

Une fois à l'extérieur elle tapota le dessous de poitrine, la ou se trouvait la boite, le sourire aux lèvres. Enfin elle bifurqua pour atterrir dans l'allée principale du chemin de traverse.

Le monde affluaient doucement, mais se n'était encore pas un jour de foule, heureusement pour elle. elle avait hâte de rentré mais elle devait encore trouver quelques petites choses pour sa filles. Elle ressassait en tête la liste de se qu'il lui fallait trouver pour elle afin de ne rien oublier.

* Alors , des nouvelles tenues, je ne veux pas que son père me dise que je n'habille pas notre fille correctement, ensuite des botes chez lui elle en aura besoin, de nouvelles grenouilles pour son amusement et oui aussi très important des....*

Elle ne comprit pas de suite se qui venait de se passé l'espace d'une seconde elle se retrouva au sol. Elle sortit alors sa baguette instinctivement, mais la rangea direct lorsqu'elle vit qu'elle avait simplement été percuter par un homme qui lui tournait encore le dos .
Elle tapota sa poche pour être sûre de ne pas avoir perdu la boite et fut soulagé de la voir toujours a sa place. L'homme se leva alors et se retourna. Elle força le regarda elle ne savait si elle devait le tuer sur place, le rendre fou ou simplement lui jouer un mauvais tour pour son manque de tact, pourtant il était clair qu'elle était aussi maladroite que lui, par chance pour lui et de plus... Quelques chose dans son regard la rendait nerveuse, mais quoi?

Son Ipod vidéo noir, était tombé à ses pieds. Il le ramassa rapidement, l’essuyant sur son parka du mieux qu’il pouvait. Rapidement, il vit que la jeune femme ne bougeait pas. Le fixant du regard comme s’il était un objet de foire. Il tenait son petit sourire en coin, et ses yeux remplient de malices, il tendit une main à la jeune femme. C’était la moindre des choses qu’ils pouvaient faire. Puis, lui-même s’arrêta de sourire. Cette jeune femme, il l’a connaissait. Il fronça le front, et la fixa dans les yeux. Elle ne déniait pas le quitter des yeux. Il toussota, elle était maintenant debout devant lui. C’était une jolie brune, aux yeux bleus pétillant. Elle portait une longue cape rouge, laissant ses cheveux retombés sur ses douces épaules. C’était une très belle femme. Mais rien à faire, Elias était certains de l’avoir déjà vu quelque part. Peut être était-ce l’une de ces femmes qu’il ramenait certains soir ? Non, impossible. Bourré, il n’aurait jamais put draguer une aussi belle femme. Soudain son regard changea. Ses yeux bleus pétillants, devenaient noirs. Elias n’en comprit que peu de chose.

Durant plusieurs secondes, aucun « orale » ne passait entre les deux personnages. Ils restèrent, silencieux. Elias passa sa main dans sa poche, vérifiant que sa nouvelle baguette était toujours présente. Puis, une idée lui vint.

Elias Walsh _ « Heuuu … Voudriez vous un chocolat ou quelque chose ? Pour me faire pardonner »

La jeune femme avait l’air de moins en moins sympathique, il fit mine de baisser la tête. Mais, il restait noblement lui-même. Après tout, maintenant, il était langue-de-plomb, et contrôlait des sorts que peut de personne arrive à contrôler. Si les choses tournaient mal, il pourrait toujours s’en sortir. Mais pourquoi pensait-il déjà au pire ? Puisque le meilleur n’était pas encor arrivé. Surement, parce qu’il venait d’apercevoir la marque des ténèbres sur le bras de la jeune femme.

Le silence était pesant entre les deux personnes. Leurs regard ne se lachaient pas. Chacun cherchant des réponses à des questions flous. Mais ou avait elle vu se regard. Décidément ces derniers temps les yeux des gens lui rappelait tellement de choses. Des choses de son passé, de son avenirs. Des choses qui n'avaient rien à voir avec la personne qu'elle pouvait être aujourd'hui.Curieuse de nature elle pourrait être prête à beaucoup pour découvrir pourquoi lui et pas un autre, pourquoi lui ? pourquoi ces yeux yeux là et pas les yeux du vieux poivrot qui s'était arrêté pour les regardés comme s'il était au cirque. Pourquoi pas les yeux de cette femme qui les regardaient au travers de leurs reflets qu'ils émettaient au travers de la vitrine vers laquelle elle était tourné.

Elias Walsh _ « Heuuu … Voudriez vous un chocolat ou quelque chose ? Pour me faire pardonner »


Elle fronça des yeux. Il paraissait méfiant. Lui aussi cherchait quelques chose, mais une pointe de peur reluisait dans ces yeux et de courage aussi. Il avait baissé deux secondes ces yeux vers son avant bras. Il savait donc à qui il parlait du moins il avait estimé le niveau de danger de l'inviter boire un verre. Et pourtant il lui avait proposé. Cet homme cherchait peu être à se faire tuer ou alors lui aussi cherchait si il la connaissait. La curiosité prit le dessus d'elle.

Elea: Et bien j'accepte si vous me permettez de prendre autre chose qu'un "chocolat"

Dit elle en se frottant la cape pour la défroisser. Elle joua le jeu. Il était évident que lui aussi avait prit le rôle de l'homme sûr de lui. Elle au contraire allait joué de son coté vélane (qu'elle tenait de sa mère) elle Fit un regard inattendu sur ce genre de personne qu'elle était la nuit: un regard innocent.

Eleanor Combs _ « Et bien j'accepte si vous me permettez de prendre autre chose qu'un "chocolat »

Elias Walsh _ « Oui, bien sur. »

Elias commença à marcher au côté de la jeune femme. Enfin, selon Elias, elle devait avoir le même age que lui. Etrangement, Elias n'avait jamais réellement pris conscience de son age. Oui, il avait 33 ans. Il était toujours célibataire, n'avait jamais eu de relation stable et voyait de moins en moins ses parents. Qui, comme le pensait Elias, le trouvait surement Homosexuel, étant donné le temps qu'il passait à travailler au ministère. Et bien, vous savez. Quand il y a quelqu'un qui vous attends chez vous. les choses sont très différentes. Vous, vous devez de rentrer à une heure plutôt fixe. Vous devez préparer le diné, s'il n'est pas déjà fin pret. Avoir de l'idée pour préparer quelques surprises à votre épouse. Enfin, tout un travail qu'Elias n'était pas prêt d'assumer.

Il passa sa main dans, ses cheveux les remetants un peu en place. Il n'osait pas regarder sa voisine, qui marchait droitement, et silencieusement. Voilà, ils étaient au chaudron baveur. Il y avait du monde, Elias, brèvement, regardait sa montre. Il était près de midi. un serveur, les guida vers une place tranquil.

Serveur _ « Mme Combs, c'est un plaisir de vous revoir. »

« Combs. » C'était donc le nom de cette belle femme. Il avait déjà entendu ce nom. Mais, ce souvenir était éloigné. Le serveur continua sans mot, enfin, Heath ne sut si la jeune femme avait répliqué. Il était partit dans ses pensées, recherchant une signification à ce prénom. Il se contenta de rester souriant, enfin normal. Le serveur trouva enfin une table sous un escalier en chêne, qui donnait vu sur toute la grande pièce du bar. Le serveur, partit, et ce fut une vielle femme bien portante qui arriva pour prendre la commande.

La serveuse _ « Alors, qu'est-ce que je sers, à Meûsieur et à Mâdamez' ? »

hj: y a un chmilblick là j'avais déjà répondu a ce rp je pensais que tu attendais la réponse de la réponse que j'avais faite. Est ce que tout le monde suit? bref y a du avoir un bug car je me souvient avoir répondu punaise !!! bref je la refait espérons qu'elle ne bouge pas ce cou ci .


Elea le suivait sans rien dire mais en observant. Elle pouvait être sûr qu'il savait à quoi sans tenir avec elle. Il avait vu sa marque. Mais alors pourquoi diable l'avait il invité? De toute évidence, à en voir l'élégance de sa tenu, il était plus habitué aux club privé et mondain qu'a une petite excursion dans un pub miteux avec des mangemorts. Mails il l'intriguait et elle voulait savoir pourquoi. Elle le connaissait et elle pouvait en mettre ces mains à couper. Cette curiosité telle, elle voulait en avoir le coeur net et s'apprêtait à lui demander si ils ne se connaissaient pas. Mais celui ci lui indiqua alors le pub si bien connu d'Elea.

Lorsqu'il poussa la porte du chaudron baveur, elle entra et l'atmosphère familière huma les narines d'Elea. Elle aimait sentir le café qui venait d'être fait. Mais détestait les lèches bottes des serveurs et autres individus connaissant ces activités nocturnes et ne désirant pas être prit pour le gibier.

Serveur _ « Mme Combs, c'est un plaisir de vous revoir. »

Et voilà non seulement cet andouille venait d'indiquer son nom, mais de plus il faisait tout à fait se qu'elle détestait et elle lui fit savoir en lui jetant un regard qui aurait pu le foudroyer sur place. Tremblant il les mena sans un mot de plus vers une table. Elias les suivaient de près ce qui fut une chance pour se maudit serveur qui venait d'échapper de justesse à un petit sort malveillant. Il partit aussitôt et prononça quelques mots à une serveuse qui prit le relai du trouillard.

La serveuse _ « Alors, qu'est-ce que je sers, à Meûsieur et à Mâdamez' ? »

Elea n'attendit pas la fin de la phrase et prononça: Pour moi se sera un whisky pur feu.

Elle attendit de voir la réponse d'Elias pour sa commande avant entamée les choses sérieuses.

Eleanor Combs _ « Pour moi se sera un whisky pur feu »

Elias n’eut pas le temps d’ouvrir la bouche, que sa voisine, d’une visible grande rapidité prit commande. Elias hésita un instant, avant de commander une bière ou quelque chose de plus fort. Pour ne pas paraitre, couille molle. Et puis, m**de se dit-il.

Elias Walsh_ « Pour moi, ça sera un bon chocó-péteu »

La choco-péteu était une très vielle recette du chaudron baveur, il était composé de gros morceau de chocolat fondant, formant quelques fois des bulles. D’où le nom. Certes, c’était loin d’être un whisky pur feu. Mais Elias n’avait jamais tenu à l’alcool. Rien que le rappel, de ces soirées très arrosées autant à Poudlard que dans ces bars Londoniens. Ca lui donner la n’osé. Bref. La serveuse, partit rapidement, passant tant bien que mal entre les tables serrés du chaudron baveur. Elias déboutonna son trench-coat et le posa sur le dossier de sa chaise. Il ne prêta pas attention à Mme Combs. Il remonta les manches de sa chemise, et posa ses coudes sur la table. A présent, il regardait les yeux de Mme Combs. Qui était face à lui. Elle le fixait d’une manière qui ne lui était pas indifférente.

Elias Walsh_ « Ainsi vous êtes Mme Combs. »

Et, ainsi, il savait qui était Mme Combs. Il suffisait de réfléchir un peu. Elle était connu dans le monde des mangemorts. Et Elias qui était Langue de plomb, n’avait pas put en faire abstraction.

Elle attendait qu'il prenne commande. En attendant elle scruta la pièce. Il fallait toujours être aux aguets. Les poivrots parlaient beaucoup trop après quelques verres, et elle n'aiemrait pas être remarquée ici par un auror. Elle aurait préféré être à la tete de sanglier. Mais son hote n'y aurait pas fait bonne figure. Hôte qui d'ailleur venait de commander une boisson de fillette qui fit faire à Elea un demi tour de tête pour le fixé, surprise.

_ Vous n'avez pas peur aux yeux dite moi?

Elle ironisa bien sûr, et reporta aussitot son attention sur un homme louche. il portait un long imper remonter au col. Pauvre endouil qui pense ainsi passé pour inapercut alors que la chaleur des lieux devait être insupportable sous cet impert. Elle se leva en faisant un signe à son hote précisant qu'elle revenait. Elle alla au bar juste à coté de lui de la ou il se trouvait, elia ne pouvait entendre ce qu'elle disait à l'homme. d'ailleur elle gardait la tête droit fixé sur les bouteille du bar. mais elle parlait à voie basse et l'homme partit rapidement des lieux. Une fois sur place.

Elias Walsh_ « Ainsi vous êtes Mme Combs. »

elle lui lanca un regard douteux. mais avec un calme à faire frissoner.

_ Et bien vous êtes bien renseigné monsieur ?

hj: faudra que tu me précise si on a toujours un lien de parenté et si oui ce que je suis censé savoir de mon frère ou pas

Eleanor Combs _ « Et bien, vous êtes bien renseigné Monsieur ? »

A présent, la jeune femme face à Elias. Avait changer de regard. On retrouvait enfin, un semblant de réalité. Après tout, elle était bien mangemort. Quand à Elias, qui était langue de plomb, et ne devait, dans ce cas ne rien dévoiler de son identité. Cependant, il maitrisait des sorts aussi puissants que son adversaire. Et en cas, où les choses se passaient mal. Enfin inutile d’imaginer le pire, puisque le meilleur est avenir. Il avala sa salive, et répondit à la question.

Elias Walsh_ « Disons que votre visage ne met pas inconnu. »

Il avait l’envi de rester dans le mystère quelques temps. Ne pas répondre exactement à la question. Ou mieux, la détourner. Il remonta ses sourcils, d’un air enjoué. Et se remit en mémoire, tout ce qu’il avait put entendre sur la famille Combs. C’était, en effet, Elias qui s’était occupée, d’une des prophétie sur la famille Combs. De ce qu’il savait, la femme qui était assise face à lui avait un frère. Celui-ci, lui avait toujours été caché. Pour des raisons qui non jamais été précisés. Mme Combs était au courant de l’existence de cette moitié, puisqu’ils sont des jumeaux. Mais pour des raisons personnelles, et la prophétie le dit, « une moitié oubliée ». Tant qu’au frère, il ne connait pas du tout l’existence d’une sœur. Ainsi, Elias devina que la femme, face à lui, avait dans les 30 ans. A peu près comme lui. Même si des traits de fatigues important la vieillissait.

La serveuse, arriva alors, tenant dans l’une de ces mains un whisky pu feu, et de l’autre le choco-péteu d’Elias. Que Mme Combs n’avait pas hésité à critiquer. C’était le péché mignon d’Elias, ça lui rappelait son enfance. Il sentait l’odeur forte du chocolat avec cette mousse onctueuse de crème vanillée.

Elias Walsh_ « Vous trouverez ma question peut être étrange, mais j’ai le sentiment de vous avoir déjà vu… Enfin, vous savez pas dans les journaux, où je ne sais quel liste de recherche. Plus tactilement »

Elias Walsh_ « Disons que votre visage ne met pas inconnu. »



Elle souria. Un sourir malin. elle prit son verre que la serveuse leur avait mené.
Elle allait boire mais juste avant de posé ces lèvres sur le verre, elle lui lanca un regard et répliqua.

Elea- Vous avez toujours l'habitude de repondre aux question par une questions. On dirait un journaliste.

Et oui elle avait été elle même journaliste fut un temps et savait très bien les reconnaitre à des kilomètre à la ronde. Et lui en était un. Il avait vu sa marque des mangemort. Il savait donc à qui il avait à faire et pourtant il resrtait là. Et repondait aux questions en changeant de sujet. Il lui rauti dit " je suis journaliste " ca n'aurait pas été plus clair.

Elias Walsh_ « Vous trouverez
ma question peut être étrange, mais j’ai le sentiment de vous avoir
déjà vu… Enfin, vous savez pas dans les journaux, où je ne sais quel
liste de recherche. Plus tactilement »

elle ria. Déjà vu elle. Autre part que dans les journaux. tout en riant elle parla

Elea - ca depend vous vous baladez souvent dans les cimetières?

Eleanor Combs _ « Ca dépend, vous vous baladez souvent dans les cimetières? »

Elias n’en attendait pas tant. Il en déduisit, que Combs savait qui il était. Ou plutôt, savait qu’est-ce qu’Elias avait vu sur son bras. Cependant, Combs n’avait pas l’air d’être sur la défensive, et réagissait même plutôt bien. Enfin, à l’entendre pensé on aurait put croire que c’était un journaliste. Et puis, c’était une bonne couverture. Combs, ne devait en aucun cas savoir quel emplois il occupait. Ainsi, il était facile pour lui de s’inventer un autre personnage. Mais, Elias n’était jamais rentrer dans un cimetière de sa vie. Etrange ? Non. Seulement, qu’il n’y avait personne à retrouver là bas. Enfin, c’est ce qu’il pensait.

Elias Walsh_ « Heu … Non, je n’y vais jamais. Mais j’y passerait volontiers mon temps si je le pouvais ! »

Un léger ton d’humour stagnait au fond de sa gorge. Il reprit donc, s’apercevant qu’il ne s’était pas encor présenté.

Elias Walsh_ « Oh, j’ai omis de me présenter. Elias Walsh, miséreux remplaçant de l’équipe de Quidditch d’Angleterre »

En vérité, ce n’était pas vraiment qu’un énorme mensonge. Puisqu’Elias en avait fait la demande. Maintenant, ça dépend de quel point de vue vous regarder. Il perdait peut être toute crédibilité. Mais c’était écrit noir sur blanc dans son contrat, ne jamais divulgué votre poste.

Il mentait encore et cela avait le don de l'énerver. Mais elle n'en fit pas voir un traitre signe. Au contraire elle souriait et joua son jeu.

Elias Walsh_ « Oh, j’ai omis de me présenter. Elias Walsh, miséreux remplaçant de l’équipe de Quidditch d’Angleterre »

Elea_ wouaa ainsi vous ête joueur de quidditch.

un oeil sur lui pouvait montrer qu'il était peu être joueur mais pas professionnel. Ok elle avait envie de s'amuser à présent. Fermant les yeux deux secondes, elle se concentra. sa chevelure modifia et une teinte rousse. Mais même s'il s'en était aperçut, il était trop tard pour lui, car elle avait ouvert les yeux et croisé son regard. A présent il était lié à elle. Il était attiré par elle qu'il veuille ou non. Et il ne pourra pas lui mentir. Il fera tout ce qu'elle lui demande.

Jouer ainsi avec les gens était son occupation préféré. Et cet homme allait être un passe temps bien agréable.

Elea_ Et maintenant si on parlait sérieusement. Je sais que vous savez qui je suis. Pourquoi m'avez vous invité?

Elle prit son verre et lui lanca un regard doux et sensuel. Elle l'appatait.

Elea- parlez moi de vous

Il sentait dans le regard de la jeune femme, que quelque chose avait changé. Il sentait comme une chaleur, transpercer son corps. Quelque chose d’invisible mais qui le mettait tout de même en confiance. Il ne savait si elle l’avait crut. Mais elle avait l’air tout de même très persuader. Après tout, il savait peut être mentir ?

Eleanor Combs_ « Et maintenant si on parlait sérieusement. Je sais que vous savez qui je suis. Pourquoi m'avez vous invité ? »

Elias Walsh_ « Devrais-je avoir un motif pour chaque chose que je fais ? »

Il posa sa voix. Il sentait que quelque chose, à présent, avait réellement changer en elle. Peut être en lui aussi ?! Il gardait une main sur sa baguette. Il n’avait aucunement peur, de ce qui se passerait ensuite, mais il préférait rester sur ces gardes. La personne, face à lui, était un mangemort. Il cligna des yeux, plusieurs fois, sourit, et reprit :

Elias Walsh_ « Par simple innocence, je me suis senti gêné »

Il gardait ce sourire, charmeur, et dérobait les yeux de la jeune femme. Il sentait que quelque chose les rapprochait. Il vous en savoir plus. Il était impatient. Ses yeux lui disait quelque chose. Ils étaient si profond. Et puis, ce regard doux et sensuel. Il en était sur, elle se jouait de lui. Mais impossible pour lui de faire ce qu’il pensait. Raison : Inconnu.

Eleanor Combs_ « Parlez moi de vous. »

N’était-ce pas là une question un peu ambigüe. Elias, n’avait jamais sut parler correctement de lui. Presque impossible pour lui de se décrire. Enfin, il sait bien à quoi il ressemble, mais curieusement, il a du mal à mettre un nom sur ce visage qu’était le sien. Il gardait, toujours, ce même sourire, mais il ne put s’empêcher de baisser les yeux. Elle le fixait toujours, sans interruption.

Elias Walsh_ « Et bien. Heu … Je suis Anglais d’origine. Je suis orphelin, et mes parents adoptifs sont décédés dans une attaque contre les mangemorts. J’ai une sœur et un frère. Que dire de plus ?! Vous me voyez comme je suis ? Enfin je pense. J’ai été à Gryffondor, et eut d’excellent résultat à mes examens. Mais j’ai trouver un travail il n’y a qu’un an. Et Hum, j’ai 33 ans. »

Il répondit bêtement, donnant quelques informations peut être trop risquer. Il sentait son cœur battre à 100 à l’heure. Il n’avait pourtant pas l’habitude d’être stressé. C’était même, l’une des premières fois depuis bien longtemps qu’il n’avait pas ressentit ce chatouillis dans son ventre. Il but quelques gorgés de son chocolat. Et prit une grande respiration.

La jeune femme assise face à lui le comptempla pendant quelques minutes. Celles-ci était pour Elias comme des heures. Il ne savait que dire. Soudain, elle se leva d'un bon. Et sortit précipitement du Chaudron Baveur. Elias était soudainement prit, d'un maléfice comme le bloque jambe. Il sentait sa langue se coller, puis reprendre son usage. Elias, ne chercha pas plus grande expliquation. Il sortit simplement, après avoir payé. Et continua son chemin. Etrange ? Il avait une peur au ventre, un sentiment étrange l'envellopait. Il sentait son coeur battre. Et il n'entendait seulement que lui. Ses pensées se fixèrent, il en était convaincu. Il croisera son chemin un autre jour.

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