[ Promenade Nocturne... ] [ Atreus Calgar ]

Invité

La nuit était tombée a une vitesse astronomique, mais cela ne la dérangeait pas. Au contraire. Elle avait quitté la salle commune de Serpentard squr la pointe des pieds, veillant à ne pas réveiller ses compatriotes endormis. Elle avait tout de même faillit éclater de rire en voyant la tête de Jill, la bouche ouverte, en train de ronffler. Heureusement qu'elle courait vite, sinon, elle aurait été repérée. Elle aimait bien les balades de nuit, mais comme ce n'était pas franchement légal... Elle faisait tout son possible pour ne pas se faire remarquer, et le tour était joué. Mais en retour, elle était assez endormie. Surtout en cours. Mais peu lui importait, après tout. Elle faisait ce qu'elle voulait, et point barre.

Madison Klein s'étira, puis laissa échapper un petit soupir d'aise. Elle frémit dans le froid nocturne, avant de commencer à marcher dans la serre. La nuit, l'endroit était beaucoup plus calme qu'elle ne l'aurait imaginé. Elle s'était fixé comme mission d'explorer tous les recoins du château pendant que les autres dormaient; ainsi, elle pourrait observer à sa guise ce qu'ell avait besoin d'observer, et ce, sans être gênée. Elle attendait cet instant depuis qu'elle s'était réveillée, et elle comptait bien en profiter.

La jeune fille croisa les bras pour se réchauffer, sans cesser de marcher. Elle ne portait que sa chemise de nuit, et était pieds nus. Au moins, elle ne faisait pas de bruit. Elle se contentait de grimacer quand elle marchait sur le gravier, mais rien de plus. Elle souffla, formant un petit nuage blanc devant sa bouche. Il faisait froid, mais c'était supportable. Si quelqu'un l'avait croisée, il ne l'aurait sans doute pas reconnue. Elle n'avait pas de maquillage, et ses cheveux blonds n'étaient retenus que par un chignon fait à la va-vite. D'où le nombre considérable de mèche folle qui s'en échappaeint.

Mady s'arrêta, les sourcils froncés, sentant son coeur s'emballer. Elle avait entendu quelque chose, derrière elle. elle n'osa pas se retourner, et ferma les yeux, se préparant à entendre la voix crissante d'un surveillant qui la rappelait à l'ordre. elle hériterait sans doute de devoirs supplémentaires, mais comme de toute façon, elle ne les faisait jamais... La Serpentard tenta de calmer sa respiration, mais ne se retourna pas pour autant. Elle avait peur, là.

...Une lueur...
...Un bruit de pas...
...Un bruit sourd suivi d'un grognement...

"Raaaaaah ! Mon pieds bordel !!!"

Le hurlement raisonna contre les murs épais de la Réserve et se perdit par la porte laissait ouverte.
Quelques instants de silence absolu... Puis un bruit de cavalcade se fit entendre.

La silhouette jura et s'élança vers l'entrée, en boitillant aussi vite qu'elle le pouvait. Arrivée à 5 mètres de la porte, celle-ci s'ouvrit dans un claquement et la lueur de 3 baguettes apparu.
La silhouette plongea dans l'ombre d'un rayonnage et ne bougea plus.

Les 3 sorciers se tenaient dans l'embrasure de la porte. Avec un acquiescement commun, chacun emprunta une direction. Ils allaient forcément tombait sur la silhouette prostrée au sol... Ca n'allait pas louper...

L'homme se dirigea vers le côté lui ayant été assigné.
Il marchait lentement...
Très lentement...
Ses sens étaient en éveil et il scrutait les alentours avec sa baguette...
Il s'approchait de la silhouette cachée...
Il était à son niveau... [suspense, suspense ! ^^]

...

......

.........

............

...............

...................

Le sorcier passa son chemin sans la voir...
Un sourire fendu les lèvres de l'ombre plaquée sur le rayonnage. Il prit doucement la direction de la porte et sortit sans encombre.

+ + + + + +

Atreus sortit en douceur de la Bibliothèque. Il était en sueur et son t-shirt collait à son torse.
Le jeune homme essuya d'un revers de main la transpiration qui perlait de son front. Il avait eu chaud... Très chaud...
Mais cela l'excitait à un plus haut point.

*J'devrais faire ça plus souvent !*

Ne pouvant se résoudre à regagner la moiteur de son dortoir, il se décida à se rafraîchir à l'extérieur du château.

Parvenu dans l'air rude et froid de cette nuit de Février, le jeune homme se sentit rassénéré. Il se posa près d'un arbre et ferma les yeux. Le dos reposé sur le tronc, il sentait le contact des nervures du bois traversant son t-shirt pour réchauffer sa peau.
Atreus se sentait bien... Il repensait à son escapade dans la Réserve Interdite. Sans son don de pouvoir devenir invisible dans le noir il aurait été pris... Evanesmagus... Il repensait à la fois où il avait découvert ce pouvoir en lui...
+ + + + + + Mode FlashBaCk ON + + + + + +

- Une nuit de Juillet 1980, 666 Templar's Street, Dublin -

Dans la grande bâtisse familiale, tout était silencieux. Seul quelques grondements de véhicules se faisait entendre dans Templar's Street. Apparemment tout le monde dormait... Apparemment...
Une fenêtre allumée du premier étage éronait cette théorie. Assis devant son bureau, éclairé par un gros chandelier à l'ancienne, un jeune garçon avait la tête collait sur un énorme bouquin sombre, les sourcils fronçaient, et s'efforçait tant bien que mal à déchiffrer et à en comprendre le sens. Ce jeune garçon était Atreus Calgar.
Ayant un esprit féru de connaissance et adulant la savoir aussi bien que le pouvoir, il avait très tôt été attiré par la Bibliothèque de son père. Cette bibliothèque contenait des ouvrages avancés de Magie Noire ainsi que des Grimoires Maudits. Son père lui en avait interdit la lecture. Mais sans cesse attiré par ces ouvrages, il réussit à en subtiliser un, sans que son père s'en aperçoive. L'ouvrage qu'il avait, en ce moment, sous les yeux...

"Putain ! Du latin !"

Atreus grommelait... Tout le livre était rédigé en bas-latin, une langue ancienne et connu des mages noirs. Il continuait à le feuilleter fébrilement mais cela était peine perdue. Sa rage contenu éclata et il envoya valsait une brassée de parchemins par-terre et serra les poings. La lueur des chandeliers vacilla. Il lança un regard hargneux aux bougies. Elle s'éteignirent soudainement. Atreus hoqueta de surprise.
Il sauta de sa chaise et inspecta sa chambre. Personne... Il s'approcha lentement du chandelier encore fumant. Il tâtonna sur son bureau avant que sa main de heurte une boîte de carton : les allumettes.
Il ralluma les bougies et les observa attentivement.

* Est-ce moi qui est fait cela ? *

Atreus passa sa main au dessus d'une bougie. Rien ne se passa. Il réitéra. Toujours rien. Que s'était-il passait alors ?

Le jeune garçon promena son regard sur sa chambre une nouvelle fois. Son regard tomba sur l'ouvrage de Magie Noire. Une lumière s'alluma dans son subconscient.

"Oui... La rage... La fureur..."

Atreus ferma les yeux et se concentra sur un sentiment de colère, un sentiment vraiment noir. Il leva lentement le bras vers le chandelier. Il ouvrit les yeux. Un léger souffle apparu de nulle part et balaya les flammes des bougies. L'odeur délicieuse de la cire chaude parvint à ses narines. Ses yeux sombres brillaient dans l'obscurité. Un sourire malicieux apparu sur son visage. Cette découverte ouvrait de nouveaux horizons...
Un frisson lui parcouru l'échine. Un frisson d'excitation. Un frisson de satisfaction.

+ + + + + + Mode FlashBaCk OFF + + + + + +

Un bruit le fit sursauter. Le couinement mal graissé d'une porte. Les Serres ! Le bruit caractéristique de la Serre n°6... Aucun doute possible !

Le jeune homme se releva doucement et observa l'obscurité qui régnait à l'intérieur des serres de Poudlard. Un noir d'encre. Il fronça les sourcils et prit la direction de ces dernière, la baguette à la main.
Arrivé à la dite-Serre n°6, il constata que la porte était entrebâillé. Il entra sur la pointe des pieds, la baguette à la main.
Il déboucha entre deux rangées de tables sur lesquelles étaient entassés des centaines de pots. L'odeur du terreau se faisait sentir.
Atreus aperçu alors à une dizaine de mètres de lui une jeune femme en chemise de nuit. Ses cheveux apparaissaient argentés dans la lueur blafarde de la Lune. Elle était belle. Les courbes de ses jambes dénudées étaient délicates et svelte.
Le jeune Serdaigle éprouva un élan de désir qui lui rendit les lèvres sèches. Une sensation bien familière lui titilla le bas-ventre. Il leva un pied... Qui écrasa une brindille qui fit un *crac* sonore.
La jeune femme s'était stoppée net. Atreus s'approcha.
Il la reconnu... Madison !

Le choc lui coupa l'estomac et c'est d'une voix blanche qu'il murmura ses mots :

"Mady ?"

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La jeune fille s'hmecta les lèvres, complètement paniquée. Son coeur s'emballa, et elle se força à respirer calmement. Si elle se faisait griller, après tout, elle l'aurait bien mérité. Elle avait désobéit, alors la sanction serait normale. Normal. Ne pas s'inquitéer, tout serait normal. Mais elle n'arrivait pas à se le rentrer dans le crâne. Elle était en chemise de nuit, pieds nus, en pleine nuit, dans une serre bourrée de plantes carnivores et maléfiques. Super encourageant comme payasage.

La Serpentard prit son courage à deux mains, et se retourna d'un bond, dardant ses yeux dans le noir. Elle les plissa, et eut un mouvement de recul quand une silhouette se détacha du noir. Elle était cuite. C'était bon. Elle serait renvoyée. Tant mieux.

"Mady ?"

Elle sursauta, serra les poigns, et attendit que l'inconnu s'approche. Dans le noir, elle ne vyait pas grand chose. Mais en tout cas, le visiteur nocturne connaissait son prénom. C'était sûr. Elle inspira, puis ouvrit de grands yeux. Elle serra les dents et s'apprrocha de lui, avant de jurer.

Madison : << Putain ! Atreus ! Mais t'es dingue ou quoi ? J'ai faillit faire un arrêt cardiaque, bordel ! Ca va pas ? >>

En vérité, elle jurait pour se détendre. La peur était passée. Maintenant, elle avait honte de s'être laissée avoir de la sorte. Ce n'était que lui. Pas de danger. Elle poussa un long soupir de soulagement et se laissa ytomber sur un banc, alors que son coeur ralentissait progressivement. Il lui avait collé une sacrée frousse, c'était certain.

Madison leva les yeux vers lui, et ne put s'empêcher de lui demander :

Madison : << Pourquoi t'es là ? Il fait nuit ! >>

Et elle, pourquoi était-elle là ? Non, elle lui avait posé la question, à lui de répondre en premier !

Madison : << Putain ! Atreus ! Mais t'es dingue ou quoi ? J'ai faillit faire un arrêt cardiaque, bordel ! Ca va pas ? >>

Atreus, malgré sa surprise, eut un faible sourire. Quel tempérament ! Décidément cette fille lui plaisait de plus en plus.
Mais la trouvait dans ce lieu, cette heure et dans une tenue si... Incongrue... Avait de quoi le tourmentait.

Le jeune homme resta silencieux un instant, observant Mady s'asseoir. Il ne put s'empêcher de constater une nouvelle fois les délicates courbes de la jeune fille. Ses cheveux, disposés à la va-vite en chignon, et l'absence de maquillage la faisait apparaître telle qu'elle était vraiment. La lueur argentée et les ombres de la serre lui donnait un charme naturel, très séduisant pour ainsi dire.

Le silence établit entre eux ne dura guère longtemps. C'était de nouveau la jolie Serpy qui rompit le malaise installé entre les deux jeunes gens.

Madison : << Pourquoi t'es là ? Il fait nuit ! >>

Atreus resta silencieux quelques instants. Bien-sûr, il était étrange qu'ils se rencontrent tout deux si tard à cet endroit précis. Mais ce n'était pas ce que le Serdy trouvait de plus étonnant. Une question le brulait : la tenue de Mady. Comment s'était-t-elle retrouvée là attifée de la sorte. Il n'allait pas quand même lui faire croire qu'elle s'est baladée à moitié à poil dans le château et le parc ?

Tout en ruminant ces pensées, le côté plus sauvage, moqueur, du Serdy commencait à prendre le pas sur l'esprit scientifique analysant la situation.
Il s'assit à côté de la jeune fille et répondit d'une voix suave.

"Pourquoi je suis là ? Une question que je te retourne ma chère Mady ! Mais poli comme je suis je vais quand même te répondre..."

Il laissa passer un moment de silence en levant légèrement les yeux au ciel, comme s'il réfléchissait. Il reprit quelques secondes après.

"Hmmm... Mais malheureusement je ne vois aucunes raisons particulières de te dire exactement ce que je faisais à l'extérieur du château..."

Le Serdy eut un léger sourire carnassier.

"Je me contenterais donc de te dire que je... Profitais de l'air frais."

Ce qui était en plus manifestement vrai. Sans le couinement de la porte de la serre, Atreus serait rentré tranquillement dans son dortoir après avoir méditait quelques instants sur l'herbe.
Il sentit alors un léger courant d'air qui rafraîchissa considérablement la pièce. Son côté désinvolte disparu soudainement et comme poussé malgré son attitude il déclara :

"Tu n'a pas froid Mady ?"

Atreus n'avait pas reconnu sa voix...

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Madison fronça les souricls avec suspicion, sans le quitter des yeux. Qu'il approche, elle se ferait une joie folle de lui faire passer son envie bestiale. Elle baissa les yeux et grimaça, constatant que sa tenue pouvait effectivement laisser à désirer. Elle n'avait pas prévu de croiser quelquu'n, et encore moins celui-là. Dans quelle situation s'était-elle encore fourrée ? Elle avait vraiment le chic pour trouver les trucs les plus dingues. Incroyable tout d'même. Mais bon, ce n'était pas si étonnant que cela. Elle n'avait que très rarement de chance.

La jeune fille s'écarta légèrement de lui, bien que la châleur humaine soit une de ses préférées. Mais il n'y avait que cela. Et c'était un Serdaigle ! Il devait être dingue celui-là, c'était certain. Du moins, suffisamment pour être assis à côté d'elle en pleine nuit. Et mauvaise chose pour elle, elle n'avait pas sa baguette. Elle soupira, se callant sur le banc.

° Tu es conne Mady. Vraiment très très conne. Tu sort à moitié à poil, et en plus, sans ta baguette. Bravo. Félicitations. °

Madison grimaça, puis regarda Atreus, lui rendant son sourie bestial. Après tout, elle était à Serpentard, non ? Et elle aimaie jouer. Pis encore, elle adorait. Elle croisa les jambes avec une sensualité épprouvante, sans lâcher son regard.

Atreus : "Pourquoi je suis là ? Une question que je te retourne ma chère Mady ! Mais poli comme je suis je vais quand même te répondre..."

La Serpentard sourit encore plus largement, dessinant du bout des doigts sur sa cuisse nue. Que faisait-elle ? Mais en quoi cela pouvait-il bien le regarder, ce petit Serdaigle ? Mmm ?

Madison : << Mmmm.... J'ai fait l'mur, ça ne se voit pas ? >>

Elle lui sourit à nouveau, avec une certaine dose de provocation tout de même. Elle connaissait sa personnalité, et puis ses atouts. Et elle était joueuse aussi. Les hommes connaissent la puissance du feu, mais seules les femmes savent jouer avec... Oui, c'était bien vrai.

Atreus : "Tu n'a pas froid Mady ?"

La Mady en question prit un air totalement innocent, alors qu'elle plantait ses grands yeux bicolores dans ceux du magicien près d'elle. Non, elle n'avait pas froid. Elle avait même un peu trop chaud.

Madison : << Non... Pourquoi, je devrai ? Pour être sincère, j'ai même trop chaud... >>

La Serpentard ferma les yeux une seconde, et renversa légèrement la tête en arrière, sentant le souffle frais du vent caresser ses lèvres parfaites, puis glisser el long de ses cils plus longs que la normale. Elle adorait ses cils, au moins, elle n'avait pas bsoin d'y mettre du récil. Pratique. Quelques cheveux se détachèreent de son chignon, et elle sourit à nouveau. Elle était féline, et accompagnée d'une sensualité innée. Et elle le savait.

PG - 15 ans

Le jeune homme continuait d'observer la Serpentard de côté. Ressentant un pincement au cœur, Atreus ne put s'empêcher de détourner le regard. Fixant le sol grisâtre sans aucun intérêt, il frissonna.
Sa tête bourdonnait... C'était étrange... Très étrange... Lui qui avait toujours traité le monde de haut, avec une désinvolture et un manque de respect, qui lui avait d'ailleurs créer une sombre réputation auprès des Serdys et des autres maisons, se sentait comme un gamin de onze ans devant cette fille. Jamais il n'avait laissé paraître une quelconque faiblesse aux yeux des élèves de Poudlard. Rendant toujours les coups et les railleries... Toujours... A part en ce moment précis... Avec Mady...

Madison : << Mmmm.... J'ai fait l'mur, ça ne se voit pas ? >>

Le Serdaigle s'arracha une nouvelle fois à ces images qui le hantait. Il se tourna vers "Elle". Elle lui souriait, comme moqueuse ou... Provocatrice. Atreus baissa les yeux pour tenter de cacher la lueur d'amusement féroce qui venait de s'embraser à l'intérieur de ses pupilles.
Cette fille venait apparemment de l'inviter à un jeu féroce. Brutal même. Le gagnant emportait gros. Un jeu auquel le jeune homme était habitué. Très habitué même.

Les veines de ses tempes palpitèrent. Si elle voulait jouer, elle ne serait pas déçu. C'est là que Mady répondit :

Madison : << Non... Pourquoi, je devrai ? Pour être sincère, j'ai même trop chaud... >>

Atreus se tourna à nouveau vers la jeune fille. La Serpentard continuait son petit jeu de charme. La vieille rengaine des allumeuses. Mettre son corps en valeur et se rendre irrésistible. La jeune fille était apparemment de cette trempe. Cela allait rendre le jeu passionnant et plus piquant.

Le jeune homme se rapprocha de Mady et caressa la courbe de ces délicieuses jambes. Il eut un sourire bestial et rapprocha son visage du sien.

Atreus :

Elle voulut esquisser un geste de recul mais Atreus lui agrippa la gorge et lui colla la nuque contre la froideur du mur.

Atreus :

Sans la lâcher, il se leva et se plaça devant elle. Il l'observa un instant avec son éternel sourire ironique.

Atreus :

Il délassa d'un coup sec sa ceinture.

Atreus :

Atreus passa sa langue sur ses lèvres. La partie venait de débuter...

Invité

Madison ne le quittait pas des yeux, avec son éternel petit sourire aux lèvres. Après tout, elle aimait la provocation, elle elle avait pu constater qu'elle ne le laissait pas indifférent. En même temps, tout le but était là. Elle n'avait pas prévu quelque chose de spécial, mais son naturel joueur et sauvage lui volait souvent la vedette. Car oui, beaucoup de gens l'aimaient pour ses airs et ss manis, et non pas pour elle-même. Quelle importance ? Elle ne serait plus Mady sans tout cela. Elle faisait avec, de toute façon.

La Serpentard fronça les sourcils avec une expression de satisfaction. Il était comme tous les autres. Aussi stupide et obligé par ses pulsions. Rine d'autre. C'était bien dommage. Mais elle n'allait pas s'en plaindre. Qu'il se déchaine donc, et elle s'amuserait. Elle n'était pas aussi faicle que cela, quand elle le voulait. Or, ici, elle n'avait pas l'intention de se laisser faire ausis facilement. Même pas du tout.

Atreus : "Vraiment ? Tu veux avoir encore plus chaud chérie ?"

Mady le regarda sapprocher sans broncher, soutenant son regard avec raillerie. Avoie plus chaud ? Non, pas spécialement. Pas tout de suite. Sourire sadique. Il voulait qu'elle ait chaud, n'est-ce-pas ? Et pour cela, il aurait reccours à la manière forte. Enfin, si on pouvait quelifier cela de 'force'. Parce que ce n'en était pas vraiment une. La jeune fille planta ses yeux dans ses pupilles sombres, puis lui répondit :

Madison : << Mmmm... >>

Rien de bien précis, et relativement vague. Mais très compréhensible, au fond. Il s'approcha de plus près, et elle recula automatiquement. Coincée. Il venait de lui aggripper la gorge, mais elle ne bougea pas pour autant. Même si elle en mourrait d'envie. Non pas qu'elle ait peur, mais elle voulait lui compliquer un peu la tâche. Sinon, ce ne serait plus drôle.

Atreus : "Aimes-tu souffrir en faisant l'amour ? Car pour ça..."

La jeune fille éclata de rire, sentant la main de Serdaigle contre son cou bouillonant. Oui, elle aimait souffrir, autant qu'elle aimait faire l'amour. Alors les deux combinés... Ce serait prometteur, en effet. Madison lui sourit et s'approcha elle ausis, avant de lui susurrer :

Madison : << Que fais-tu à Serdaigle, Chéri ? Tu n'y as pas ta place... Tu es plus malsain que les autres... Tu me plais... >>

Elle recula, puis baissa les yeux, avec un petit rire. Déjà. Il ne perdait pas de temps. Mais ça n'allait peut-être pas se peut-être pas se passer comme il l'avait prévu. Avec Madison, on ne prévoit jamais rien. Telle est la règle d'or. Subtile. Il ne l'aurait pas comme ça. Pas par la force, du moins. Un minimum de ruse serait recquis.

Mady coinça sa jambe autour de celle d'Atreus, puis tira violemment. Il chancella, et fut naturellement obligé de dégager sa amin. Elle en profita pour s'esquiver avec un sourire, avant d'aller se caller contre un arbre, les bras croisés contre sa poitrine, nettement visible à travers sa nuisette. Elle avait des formes là où il fallait, sans entrer dans l'excès tout de même. Elle était parfaite. Personne ne pouvait le nier. La Serpentard lui lança un regard brûlant, puis lui dit :

Madison : << Alors... Tu t'endors ? Tu veux peut-être retourner te coucher, non ? Ce nest pas ce que font les Serdy quand ils ont besoin de faire dodo ? >>

Encore de la provocation. Mais elle n'attendait que cela. Réaction. Et puis, de quel droit se permettait-il de se qualifier de meilleur ? Et les Serpentards dans tout ça ? Il les oubliait. Parce que c'étaient eux les meilleurs, pour ce genre de choses...

Atreus sentait le sang de la jeune fille palpitait dans les veines de son cou. Ce contact renforçait son excitation et ses pulsions bestiales. Au niveau de son bas-ventre, une érection commença à naître. La situation lui plaisait... Et il espérait en garder le contrôle. Il emploierait tout les moyens nécessaires pour y arriver.

Madison :

Le Serdaigle eut un large sourire. Apparemment, la Serpy avait elle aussi des tendances masochistes. Cela promettait d'être passionnant. Atreus lui même apprécié la douleur physique et se scarifiait quotidiennement. C'était une façon pour lui de se détendre et d'oubliait les dures journées de cours... Se donner du plaisir avec une autre masochiste ? Mais que demandez de mieux ?
Sans se départir de son sourire bestial, il accentua la pression sur les veines jugulaire de la jeune fille. Sa ceinture délassait, il commençait à ouvrir son jean quand il sentit la jambe de Mady contre la sienne. Pensant que la Serpy commençait à déballer ses pulsions et ses envies de jouer, il lui susurra d'une voix délicate :

Atreus :

Sa phrase resta en suspens car la garce l'avait prit par surprise. Sa jambe enroulait autour de la sienne, elle l'avait dégagée brutalement entraînant un déséquilibre chez le Serdy. Machinalement il se rattrapa à la table la plus proche, lâchant la gorge de Mady.
Il se redressa en affichant un visage tordu par l'envie et le désir. Elle lui plaisait... Cet envie de jouer, d'apprécier la douleur... Tout ce qui rendait Atreus dément. Un frisson le parcouru tout le corps. Apparemment, il avait trouvé "Celle" qui cherché depuis des années. "Celle" qui le faisait bander mais aussi qui le rendait passionné, passionné d'elle...

"Celle" s'était justement réfugié à quelques pas de lui, appuyé nonchalamment sur un arbuste. La clarté de la Lune Mutine faisait apparaître ses formes plus que satisfaisantes à travers la fine chemise de nuit qu'elle portait. Atreus passa sa langue sur ses lèvres tout en fixant, d'un regard d'envie et de passion, la jeune allumeuse.

Madison :

Héhé... Quelle provocatrice. Elle n'attendait que ça, cela s'entendait. Il s'avança d'un pas tout en lui répondant.

Atreus :

Le jeune homme enleva son t-shirt qu'il lança négligemment par terre. Malgré la faible lumière, les multiples scarifications et autres mutilations luisaient sur les bras musculeux du Serdy. Il s'approcha petit à petit de la jeune fille qui attendait, sourire aux lèvres. En détaillant une nouvelle fois les formes de la Serpy, Atreus sortit doucement sa Baguette de la poche revolver de son jean. Il reporta son regard sur celui de Mady et ne put s'empêcher de sourire de nouveau.

Atreus :

Le Serdaigle passa, une nouvelle fois, ostensiblement sa langue sur ses lèvres, comme provocateur lui aussi.

Atreus :

D'un mouvement souple et rapide de la main, sa baguette effectua des signes cabalistiques dans le vide avant de flamboyer dans une lueur rougeâtre. Le Serdy abaissa sa baguette en une longue traînée. Le résultat fut immédiat : la baguette avait laissé une traînée rouge sang sur la peau de Mady, découpant sa nuisette par la même occasion. La plaie ne saignait pas mais grésillait doucement.

Atreus sentit une vague d'hormone le submergeait et il contenu à grande peine une érection. ce n'était pas le moment. Les préliminaires venaient à peine de commencer.

Atreus :

Le jeune Serdy regardait fixement la Serpy...

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Madison resta figée là, à le fixer, attendant qu'il se réveille. Après tout, il n'était pas là pour faire la sieste, et elle non plus. Son objectif premier, qui visait à explorer les moindres recoins du château afin d'affermir ses projets, se retrouvait maintenant jeté aux oubliettes. Elle avait été dérangée, et elle entendait bien demander réparation. Mais cela, ce ne serait pas trop difficile à obtenir... Du moins, à en juger par l'expression du Serdaigle, qui se tenait à quelques mètres d'elle. Nouveau sourire. Il allait devoir se battre. Contre elle, mais aussi contre lui-même.

La jeune fille le détailla sans broncher, alors qu'il s'approchait d'elle. Elle ne pouvait pas se défendre, ayant oublié sa baguette dans son dortoire. Qule dommage, vraiment. Vraiment. Elle aurait pu s'amuser un peu, avant. De la même façon qu'il souhaitait s'amuser lui aussi. Cela se voyait bien. Surtout qu'il serrait bien sa baguette dans sa main. Nouveau regret. Petit soupir résigné. Bah, elle ferait sans.

Atreus : "Avant qu'on se livre au plaisir charnelle, je souhaite te donner un avant-goût de ce que je suis capable..."

La Serpentard haussa un sourcil amusé. Interessant. En effet, elle allait voir ce qu'il comptait faire d'elle. Plaisir charnel. Mais tout était plaisir charnel. Elle lui sourit à nouveau, bien callée contre son arbre.

Madison : << Ah oui ? Vas-y, je n'attends que ça... >>

Encore de la provocation. Saurait-elle devenir sérieuse un jour ? Pas sûr. Elle était vraiment faite ainsi. Elle se retrouvait dans ces images sadiques et mauvaises. Elle était elle, sans pourtant l'être vraiment. Mais ce n'était pas le moment de se poser des quesitons existencielles, bien que ce soit son passe-temps favoris. Elle se raisonnait toujours.

Atreus : "...Pour te faire souffrir..."

La jeune fille sortit aussitôt de ses pensées, comme attirée par le mot 'souffrir'. Un sourire se dessina lentement sur se slèvres, et elle décroisa les bras, avant de faire un pas vers lui, le vent soulevant doucement sa chemise de nuit sur sa cuisse. Elle sourit une fois de plus, sans le quitter des yeux, le noyant dans ses propres yeux. Elle se savait facilement hypnotique, et en abusait volontiers quand cela l'arrangeait. On ne croise pas des yeux vairons tous les jours tout de même.

Madison : << Me faire souffrir, dis-tu ? Mmm... >>

Mady fixa la pointe de sa baguette, tournée vers elle, et ne put s'empêcher e lui adresser un sourire légèrement chargé de désir. Pas seulement pour lui, mais aussi pour ce qu'il s'apprêtait à faire... Un jet de lumière jaillit soudain de la baguette du Serdaigle, et la frappa de plein fouet, traçant sur sa peau une longue ligne grésillante, rouge et fumante. Elle la suivit des yeux, alors qu'elle se traçait impécablement, puis ferma les yeux avec un soupir. Voilà qui était agréable. Elle avait la délicate impression d'être marquée au fer roue, et à son nom. Comme si... Elle lui appartenait à présent.

La jeune fille réouvrit les yeux, et le regarda, avant de se passer à son tour la pointe de la langue sur les lèvres. C'était elle, la tentatrice. Le joujou. Elle remarqua par la même occasion sa nuisette déchirée au niveau de son aine. Il avait bien fait son travail, mais un bout de ventre ne tue personne.

Atreus : "Alors ? Ca te plaît ?"

Madison le regarda et s'approcha de lui à pas de félin, avant de s'arrêter à quelques millimètres de son visage. Elle lui sourit, puis lui susurra d'une voix suave.

Madison : << Oui... J'adore... >>

Avant qu'il n'ai pu réagir, elle colla sa main sur son torse et y enfonça ses ongles peints en noir, traçant dans sa chair cinq longues lignes, qui déchirèrent tla peau avec un filet de sang. . Satisfaite, elle releva les yeux et recula un peu, pour admirer son oeuvre.

Madison : << Parfait... Nous sommes quittes... >>

En effet. Il l'avait marquée, elle sentait encore sa chair grésiller. Elle en avait fait de même, laissant dernières elle cinq griffures qui saignaient. Pas énormément, mais suffisamment pour lui laisser des marques, s'il ne se faisait pas recoudre. Oui, vraiment parfait. Il était à elle.

Atreus, le regard chargé de désir, regarda approché la Serpy. Sa nuisette entaillé par son sortilège la rendait encore plus sauvage. Sa fine silhouette arriva rapidement sa hauteur. Elle se pencha vers lui. Le Serdy sentit un agréable parfum frais et piquant arrivait jusqu'à ses narines. Il frissonna alors que Mady se penchait jusqu'à son oreille. Elle lui susurra d'une voix mielleuse :

Madison :

Il sourit malicieusement. Cette fille était pour lui... Il la regarda droit dans les yeux. Ses yeux vairons la rendaient encore plus belle. Il se sentit décoller quand il découvrit l'étincelle de désir qui y était allumée.
Atreus sentit alors les doigts de la jeune fille se posaient sur son torse et s'y plantaient. Elle le griffa jusqu'au sang, plantant ses ongles acérés dans la chair. Le Serdy eut un râle de plaisir et rejeta sa tête en arrière. Quelle plaisir que la douleur ! La façon dont Mady l'avait marqué le rendait fou de désir. Le même désir que pouvait éprouvé un vieux macho pervers devant une revue porno. Si ce n'est plus...La Serpy recula légèrement et eut une moue admiratrice.

Madison :

Atreus releva la tête et lui fit un clin d'oeil.

Atreus :

Le jeune homme détailla sa blessure. Les cinq marques bien ancrés dans sa peau luisaient à la faible lumière que dégageait l'extérieur. Il passa un doigt sur l'une des blessure. Le sang s'enroula autour de son doigt qu'il porta à sa bouche. Il le lécha sans quitter des yeux la Serpy qui le regardait. Il s'approcha à nouveau d'elle et posa sa main sur son cou, le caressant sensuellement. Le Serdy ne cessait de poser un regard brûlant sur elle. Il eut un rictus de sombre désir.

Atreus :

Il approcha ses lèvres de la jeune fille et mordit sauvagement ces dernières. Le jeu du désir n'était pas terminé...

Invité

Madison eut un léger sourire sadique en le voyant contempler ses blessures. Oui, elle avait fait du joli travail là. Au moins, il serait marqué à son nom. Et pour toujours. Qu'il était agréable d'avoir une victime. Rien qu'à soit. C'était vraiment quelque chose de très... Exitant. Et cela l'amusait vraiment beaucoup. En plus de la rendre désireuse. Mais ce n'était qu'un commencement. Bien sûr. Elle n'allait pas s'arrêter maintenant. Pas déjà. Non, pas tout de suite.

Elle le regarda s'approcher d'elle avec ce petit sourire en coin, puis regarda à nouveau ses blessures, dont il venait de lécher le sang. Il savait s'amuser lui aussi, c'était un fait certain. Elle n'en doutait pas une seconde. Elle ne bougea pas quand il posa sa main sur son cou à la peau blanche et attirante, et lui rendit son rictus.

Atreus : "Tu me plait grave Mady..."

La Serpentard plongea ses yeux dans ceux d'Atreus, comme si elle voulait lire en lui. Elle n'avait pas de don particulier, mais elle était assez entrainée pour ce genre de choses. Et le fait de voir le désir dans les yeux du jeune homme la rendit encore plus joueuse. Elle manipulait le feu comme si ce n'était que des fleurs. Et elle jouerait avec lui sans craindre de se brûler.

Madison : << Mmm... Tant mieux... >>

Mady posa une main sur son torse blessé, et appuya légèrement, provoquant une grimace de la part du Serdaigle. Très bien. Il avait mal. Mais ça ne faisait que commencer, non ? Avant quelle n'ait pu réagir, il lui modit la lèvre, et elle laissa échapper un petit soupir. D'accord, il savait mordre. Mais pas aussi bien qu'elle. Elle le regarda, et saisit sa lèvre inférieure entre ses dents, serrant jusqu'à ce que le sang s'en échappe. Nouveau sourire. Car nouvelle trainée de sang.

La jeune fille le regarda, et passa sa langue sur la blessure, lèchant le sang du jeune homme avec un malin plaisir. C'était sucré. Un petit gout de fer. Un gout qu'elle adorait, en fait. Tant mieux. Elle le regarda, interrogratrice. Elle savait ce qu'elle voulait, et elle l'aurait. Lui.

Atreus recula légèrement la tête et observa sa morsure. Il eut une moue légèrement ironique en pensant qu'il aurait pu faire mieux. Mais le soupir de la jeune fille le renseigna qu'elle avait quand même apprécié. Énormément. Son regard se noya à nouveau dans la profondeur des yeux de Mady. Il passa ses mains sur les épaules de la jeune fille dans l'intention de lui enlever sauvagement sa chemisette.

Mais la Serpy passa à l'action et le prit au dépourvu. Elle le mordit brutalement. Tenant sa lèvre inférieure entre ses dents, la jeune fille fit jaillir un filet de sang rouge sombre qui ruissela aussitôt sur le menton du Serdy. Atreus ne put s'empêcher de fermer les yeux. Quelle douce douleur... Le sang continuait de couler sur son menton et quelques gouttes roulèrent sur son torse, rejoignant le sang frais de la sensuelle griffure de Mady.
Le jeune homme sentit alors un contact humide au niveau de sa lèvre et de son menton. Il ouvrit les yeux. La Serpy léchait sa blessure de manière si excitante que le sexe du jeune homme se durcit de nouveau aussitôt. Elle savait y faire la garce...

C'était donc à son tour de lui montrer quelque chose d'excitant. Farfouillant dans la poche arrière de son jean pendant que la séduisante jeune fille continuait de passer sa langue sur sa lèvre, il trouva enfin ce qu'il avait emporté pour son voyage nocturne. Un petit canif de poche moins encombrant que sa grande lame de mutilation. Cette dernière aurait été bien adapté pour la situation mais puisqu'il ne l'avait pas, il allait falloir de se contenter de si peu. D'un geste du pouce, le déclic à ressort de la lame se fit entendre.

Ressortant son, désormais habituel, rictus de sombre joie, il se dégagea légèrement de Mady.

Atreus :

D'un mouvement souple il fit apparaître la lame qu'il tenait dans sa main droite. Comme un habitué il trancha dans la chair blanche une fine entaille juste sous le menton, au niveau de la gorge. Le sang qui s'échappa roula paresseusement sur le buste de la jeune femme pour s'y enfoncer entre ses deux seins. Atreus eut un sourire. Il laissa tomber son couteau se baissa. Il entreprit consciencieusement de lécher le sang comme venait de le faire auparavant la Serpy. Avec des gestes doux mais confiant, il enleva délicatement la tunique de la jeune fille qui fit apparaître son corps sublime. Continuant son travail, il passa sa langue sur la poitrine de Mady là où le liquide de la blessure avait coulé. Atreus passa ses doigts sur les bras de la belle créature en la griffant au passage. Il la sentit se crisper puis se détendre.

Ils voulaient tout les deux la même chose, le Serdy le sentait. Plus par jeu, il continuait désespérément les préliminaires observant les réactions de Mady. Il voulait la forcer à croire qu'elle s'était rendu maître de lui en lui laissant le contrôle du début des opérations. En cours il renverserait la tendance.

Le jeune homme eut un sourire malicieux tout en prenant plaisir à continuer à lécher les sensuelles courbes de la Serpy...

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La Serpentard le regardait toujours, avec un sourire légèrement sadique. Elle ne se laisserait pas faire, mais elle devait admettre qu'il ne la laissait pas indifférente. Certes, cela faisait partie du jeu. Mais rien qu'en le regardant, elle sentait ses miyens baisser d'un cran. Il avait une façon bien particulière de la regarder, et c'était étrange. Ce n'était pas cet air presque bestial qu'il avait quand il lui parlait dans le hall. Non, c'était déjà plus... Recherché. Intrigant. Il y avait quelque chose au fond de ses yeux. Mais quoi ? Elle ne le savait pas. Quelque chose qui l'attirait bizzaremment.

Madison s'humecta les lèvres. Elle avait la bouche sèche, tout à coup. Elle baissa les yeux, juste à temps pour voir une lame scintiller dans la nuit. Nouveau sourire. Il n'allait tout de même pas la tuer ? Pas tout de suite. Après, peut-être. Mais pas tout de suite. Ou alors il était vraiment stupide. Elle soupira, alors que la lame d'acier s'enfonçait sous son menton. Mais que faisait-il donc ? Voulait-il qu'elle goute à la mort ? Elle sentit son sang couler doucement sur elle, et l'interrogea du regard. Le sourire d'Atreus la rassura quelque peu tout de même.

Le sang rouge coulait avec une certaine paresse, se logeant partout où il pouvait. A commencer par sa poitrine. Elle frémit en sentant le liquide s'enfoncer entre ses deux seins, mais ne broncha pas. Quoi qu'il voulait faire, il avait réussi. Elle le regarda, tout lueur mauvaise ayant quitté son regard. Il était bizzare pour un Serdaigle. Mais c'était d'autant plus interessant, à vrai dire. Elle ne connaissait que très peu de gens qui avaient un tel gout pour le sang et la douleur. Mais lui, il en faisait partie. Un bon point. Un autre.

Mady sentit qu'il lui retirait sa nuisette, et elle frissonna au contact froid de la nuit autour d'elle. Elle ne savait plus ce qu'elle était en train de faire, mais une chose était sure : elle ne le regretterait pas. Les mains du Serdaigle était agile et rapide, aussi le laisse t-elle faire à sa guise. Qu'il s'amuse un peu, lui aussi. Elle n'était pas pudique, et se savait bien formée. Que demande le peuple. Rien de plus.

Atreus se baissa, et elle frémit à nouveau, sentant sa langue se glisser sur sa pouitrine, à l'affut de la moindre goutte de sang. Interessant. Elle laissa échapper un petit gémissement, le laissant à sa tâche. Il allait avoir pas mal de choses à nettoyer, vu l'entaille quil lui avait faite. Elle sentit ses ongles s'enfoncer légèrement dans la chair de son bras et réouvrit les yeux en le regardant. C'était un peu glauque comme situation. Mais terriblement exitant. Il fallait dire ce qui était à dire.

La jeune fille le releva sans ménagement et le fit reculer, un sourire au lèvres. Elle était en sous-vêtements, dans une serre bourrée de plantes carnivores, en pleine nuit, mais elle s'en fichait. Madison le poussa jusqu'à un arbre, sur lequel il fut bien obligé de s'adosser. Elle plaqua ses deux mains sur le torse déchiré du Serdiagle et y enfonça les ongles, ravie de la réaction du jeune homme face à la douleur. Elle posa ses lèvres sur les siennes et glissa sa langue entre ses dents, avant de l'embrasser sauvagement. Il y avait un petit gout de sang, métallique. Mais aussi quelque chose d'agréable. Parce qu'il embrassait bien, et puis parce que c'était une situation bien... Agréable, quoi.

Madison se colla un peu plus à lui, sa poitrine s'écrasant contre son torse nu, alors qu'elle glissait ses mains derrière la nuque d'Atreus, sans cesser de l'embrasser. Elle n'épprouvait pas de sentiments particuliers, mais elle savait qu'il avait un petit quelque chose. En plus. De plus. Sa langue elnlaçait doucement celle du magicien, avec une tendresse qu'elle n'aurait crut possible. Enfin, pas dans cette situation là, en tout cas. Elle pouvait sentir le désir croissant d'Atreusprès de son bas-ventre, ce qui la fit sourire. Mais elle ne cessa pas pour autant, ravie de l'effet qu'elle lui faisait...

Le jeune homme s'était attendu à ce que Mady résiste ou encore s'éloigne de lui. C'est donc avec étonnement qu'il l'a sentit se détendre bizarrement et se laissait faire. Enfin tant mieux pour lui. même si cela l'excitait, le jeu du chat et de la souris commençait à devenir lassant. Le vrai jeu l'appelait à lui et il ne pouvait y restait indifférent même s'il y avait mis toute sa volonté...

C'est pourquoi il s'empressa de panser la blessure de la jeune fille avec sa langue tout en prenant plaisir à lui griffer sensuellement les bras. Quand elle le releva brusquement, il eut un sourire et observa son travail. Hmmm... Oui... C'était pas mal... Des traces de sang humide se voyait encore un peu mais il avait fait un beau travail général. En la voyant comme ça, nue devant lui, sa peau pâle brillant doucement dans l'obscurité, elle paraissait frêle, fragile... Un seul coup d'oeil lui renseigna qu'elle n'avait pas perdue ses facultés de tigresse.

Atreus eut un sourire quand elle le poussa vivement contre un arbre situé derrière lui. Il s'y appuya paresseusement et la regarda approcher. Il laissait mijoter la situation de nouveau pour voir ce qu'allait faire Mady. Elle s'approcha d'un pas félin et se colla à lui. Le Serdy sourit à nouveau. Il eut un sourpir de plaisir quand elle colla une nouvelle fois ses longs ongles sur la griffure. Un frisson d'excitation le parcouru quand elle approcha sa bouche de la sienne. Leurs deux langues s'enroulèrent pour ne former qu'une seule entité qui virevoltait à l'intérieur de leur bouche. Elle embrassait divinement bien et Atreus ne put s'empecher de ressentir une vraie passion, un vrai sentiment d'amour envers cette fille.

Ils restèrent à s'embrasser pendant quelques minutes dans le silence glacial de la Serre. Mady posa ses bras derrière sa tête et il sentit alors la pointe de ses seins se collait sur son torse. L'excitation arrivait à son comble. Son sexe se durcissait au fur et à mesure du long baiser qui semblait s'éterniser. Il se sentait bien en ce moment...

Il relacha la pression sur la jeune fille car il l'avait entouré de ses bras pendant le sensuel baiser. Il lui lécha de nouveau les lèvres rapidement et la mena doucement mais fermement à la pailasse la plus proche. Il déplaça les divers ustensiles et pots de jardinage suir le côté et regarda la Serpy droit dans les yeux. Elle ressentait le même désir que lui. Sans quitter son sourire malicieux, il l'installa sur la paillasse et toucha les formes de la jeune fille.
Il enleva sa ceinture et l'action commença. Des cris, des gémissements de plaisir se firent entendre dans le silence de la nuit. Atreus mit toute son énergie pour satisfaire la jeune fille. Par moment il léchait de nouveau sa plaie qui recommençait à saigner ou la mordre sur ses courbes les plus délicieuses. Un vrai combat. Mais un combat du plaisir.

Quand la fatigue se fit sentir, il donna toutes ses forces vers la fin puis se laissa glisser sur le côté de la paillasse, en sueur mais souriant. Ils présentaient tout les deux des griffure partout sur le corps. Ils n'avaient pas été avare en griffures et autres... Son sang mêlé à sa sueur gouttait silencieusement sur son torse et sur le sol.

Il récupéra son paquet de clope dans une des poches de son jean et s'en grilla une. ce n'était pas un fumeur. Mais il aimait s'en fumait une après ces moments de bien-être. En l'occurrence il clopait d'habitude après une scarification... Là, la clope s'imposait...

Le jeune Serdy ne cessait de regardait la belle Mady se relever doucement. Ce qu'il venait de faire venait comme de sceller un pacte entre eux. Il savait maintenant qu'il l'adorait. Sa prestance. Sa grâce féline. Son caractère. Tout en lui le plaisait.
Il s'approcha de nouveau d'elle et lui susurra à l'oreille :

Atreus :

Il était vraiment sincère et il regardait franchement la jeune Serpy dans le fond des yeux.

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Madison soupira, alors qu'il continuait de lembrasser, avec une ardente passion. Elle n'aurait jamais imaginé le toucher de la sorte, auparavant. Mais c'était vraiment quelque chose de plaisant. Dont elle ne se plaignait pas. Bien au contraire. Elle avait perçut le petit sourire du Serdaigle. Un petit sourire en coin, chargé de désir et de promesses. Des promesses attirantes, si bien qu'elle se laissa séduire. Elle n'avait rien à perdre, et beaucoup à gagner. A partir du moment où elle avait son compte, tout était bon. En plus de cela, elle percevait de véritables sentiments. Elle en fut quelque peu surprise, mais ce n'était pas désagréable. Il ne savait pas dans quoi il était tombé. C'était un fait certain. Mais c'était tout de même poignant, de se sentir aimée. Aussi poignant qu'étrange. Elle n'avait jamais été aimée. La nouveauté ne lui faisait pas peur. Mais cela restait toujours assez.... Intrigant.

La jeune fille se laissa enlacer, ses lèvres collées à celle d'Atreus, alors que leurs langues se caressaient, avec une certaine sauvagerie, qui restait pourtant douce et paisible. Encore quelque chose d'intrigant. Ses mains glissaient lentement sur le corps du jeune homme, caressant ses blessures, y enfonçant les ongles de temps à autres, découvrant les moindres cellules de ce corps attirant. Elle les laissa descendre plus bas, effleurant du bout des doits le membre tendu d'Atreus. Mmm... Que penser de plus, à cet instant précis ?

La pression qui s'exerçait autour d'elle se relâcha, alors que les lèvres du Serdaigle la quittaient. Elle lui sourit légèrement, femant les yeux au contact de la langue de son compagnon sur ses propres lèvres chargées d'envie. Elle aurait pu continuer de l'embrasser à l'infini, sans jamais s'arrêter. Mais le futur promettait d'être beaucoup plus exitant. Alors elle ne broncha pas. Elle se sentie entrainée vers une paillasses, et regarda Atreus la débarasser de tous les ustensiles qui s'y trouvaient. Ils auraient ntérêt à tout remettre en place, avant que quelqu'un ne remarque leur isite nocturne.

Mady se retrouva en quelque temps installée sur cette paillasse, attirant le jeune homme à lui. Elle mêla de nouveau sa langue à la sienne, alors qu'il se fondait en elle. Un cris lui échappa, bientôt suivi par d'autres. Mais cela n'avait rien à voir avec tout ce qu'elle avait pu faire auparavant. Certes, c'était bestial. Ses ongles le griffaient au rythme des mouvements de leurs corps emboités l'un dans l'autre, alors qu'il la mordait par ci par là. Très agréable. Mais il n'y avait pas que de la bestialité. Il y avait aussi une certaine tendresse. Qui se cachait dans toutes ces morsures et ces griffures. Mais ça, eux seuls le sentaient, eux seuls le savaient. C'était leur moyen de s'exprimer et de se faire comprendre. Une sorte de code du plaisir, en quelque sorte.

Un dernier spasme les agita, suivi d'un souffle d'air froid sur son corps en sueur. Il venait de glisser à côté d'elle, elle est déglutit, le souffle court, les yeux rivés sur le ciel étoilé. Elle mit un certain temps à calmer les battements de son coeur, mais finit par y parvenir, avant de s'inspecter. De nombreuses traces de morsure maculaient sa poitrine, ainsi quu'ne multitude de giffures ici et là. Elle jeta un oeil au Serdaigle et sourit. Il n'était pas mieux qu'elle. A vrai dire, tous deux étaient striés de blessures en tout genre. Un goutte à goutte attira son attention. Elle baissa les yeux, regardant le sang mêlé à la sueur d'Atreus tomber au sol.

Un mouvement lui indiqua qu'il attrappait quelque chose. Un paquet de cigarette. Elle avait envie d'une cigarette, elle aussi. Mais ps tout de suite. Ce n'était pas son tic après l'amour. Même si c'était celui d'un bon nombre de personnes. Aussi étrange que cela puisse paraitre, elle était tendre, elle. Presque trop, pour une Seerpentard. Apaisée par cet acte de plaisir charnel, elle se sentait d'humeur câline. Madison regarda son compagnon, et se laisse rouler contre lui, enfouissant sa tête dans le creux de son épaule, inspirant la forte odeur de sang et de sueur, ainsi que celle du tabac qui se consummait. Elle ferma les yeux, alors que le souffle du Serdaigle chatouillait son oreille

Atreus : "Je t'adore Madison..."

La jeune fille sourit, les yeux toujours clos. Elle ausis, elle l'adorait. C'étai vraiment bizzarre. Il avait su lui donner du plaisir. Mais pas seulement. De l'affection, aussi. Peut-être sans le vouloir, mais il l'avait fait. Elle lui devait quelque chose, elle le savait. Ils étaient liés par un fil invisible, qu'eux seuls pouvaient voir. Mady réouvrit les yeux, et plongea son regard dans celui du jeune homme, à quelque millimètres de lui. Elle lui sourit, le clair de lune éclairant son visage, avec une lueur mystique. Elle l'embrassa à nouveau, avec douceur et soulagement. Ce n'était pas une réponse orale. Mais s'en était une tout de même. Une promesse. Et une réalité.

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