J'croyais aux convictions ...

C'était un lundi. Un lundi, en fin d'après midi. Il neige en Ecosse ... Il pleut à Paris. Et partout le ciel est gris. C'était en janvier. C'était une mauvaise journée. C'était le lundi qui enterrait Noël. C'était le lundi qui sonnait le nouveau début des cours. Et cette fin d'après midi sonnait la fin de cette journée d'étude. La neige, en partie fondue par endroits, recouvrait le parc. Les arbres étaient nus, livrés aux colères du vent et au froid de l'air. C'était une journée horrible. Tellement horrible que même les oiseaux avaient rennoncé à chanter. Oh, et même Morgane avait renoncé à être heureuse. Mais cela faisait déja quelques temps ...

Pourtant, avait-on réellement l'impression qu'elle avait changé la jeune Dalite ? Ses cheveux étaient toujours libres, comme à son habitude. Comme à son habitude aussi, elle portit des vètements moldu pour la fin de journée. Comme d'habitude, elle portait son long manteau noir. Mais elle n'était pas joyeuse. Oh, et cela se voyait. La petite blonde, d'ordinaire si gai, si active, marchait en trainant des pieds, faisant de longues traces dans la neige. Elle était seule. Bien sur, Jack, son fidèl compagnon était toujours à la suivre, comme il le faisait depuis deux ans bientôt. Mais il savait ... Oh oui, il savait. Il était d'ailleurs le seul à savoir. Le seul à comprendre. Les autres ...

Les autres, ils avaient tous abandonnés Morgane. Tous ... Et Ellundril ! Ellundril, pour qui Morgane avait tout fait ! Pour qui elle aurait donné sa vie. Ellundril n'était pas là, au momment ou son amie avait le plus besoin d'elle. Elle avait disparut, sans laisser d'explications. Elle était rarement là, mais n'avait rien dit à Morgane. Rien ! Pas un mot ! Alors que Morgane lui disait tout ! Et les autres ... Les autres ... Ils se disent des amis, mais lorsqu'il faut réconforter, bizarement, on disparaît de leur vie. Come si ils ne nous avaient jamais connus.

J'ai perdu mon humour .... J'ai perdu mes amis ... Morgane donna un coup de pied rageur dans une motte de neige qui alla voler en éclat. Le parc était désert, le temps ne donnait pas envie de sortir. Les élèves préféraient rester au chaud, à l'intérieur du château, tandi que Morgane était dehors. Seule ... A ses pieds, Jack poussa un miaulement plaintif. Morgane le pris dans ses bras. Le chat se blottit contre sa maîtresse, qui commença à verser des larmes. Des larmes de rage, mèlée à des larmes de tristesses. Morgane ne pleurait jamais. Non ... Jamais ... Cepandant, ses derniers jours elle pleurait souvent. Très souvent ... Elle poussa un cri, un grand cri, pour libérer toutes ses émotions ... Jack pris peur et sauta par dessu son épaule. Seul un vide lui répondit. La solitude qui se ressert, des souvenirs qui ne meurrent pas. A ce silence, elle aurait préféré la violence. Des cirs des pleurs, pour moins de douleur ...

Mais elle était seule. Déséspérément seule ...

[suite à ton appel dans le topic des Rp, je réponds à ton appel ^^ En espérant faire l'affaire ]

Lundi.Toujours le même temps, rien de nouveau à l'horizon.Horizon d'ailleurs brouillé par le ciel gris, presque noir en cette fin d'après midi. Les cours allaient bientôt recommencés mais pour l'heure, les vacances persistaient toujours. Pour ces vacances ci il avait fait un retour aux sources,chez lui, dans son pays natal,si chèr à son coeur, l'Irlande. Immense joie de retrouvé tout son petit monde, de respirer à nouveau l'air de Limerick, de quitter ce sol anglais. Mais comme à chaque fois, il faut mettre fin aux joies, pour retourner à Poudlard, afin de façonner son avenir.
IL avait bien entendu retrouver avec plaisir les Serpentards,du moins ceux qui étaient proche d'Ewen,racontant rapidement ses vacances, écoutant celles des autres, le mettant au courant des derniers exploits de la maison... C'était différent mais agréable tout de même ... Il se trouvait dans la salle commune,ils parlaient de tout et de rien, sans que cela ne vire dans une conversation pour ne rien dire, là était la particularité des Serpentards, ils ne parlaient jamais pour ne rien dire. Après un laps de temps considérable il eut envie d'aller faire un tout dehors, dans le parc. Il se leva, s'étira et jeta un regard aux quelques gars présents.

_ Je vais faire un tour dehors, quelqu'un qui va repousser sa frilosité ou une fois de plus vous allez préférez le confort ?

Des sourires entendus lui firent échos... les confort ... Il haussa les épaule,s habitué, il ne leur en voulait pas, c'était comme ça. Il aurait été comme eux sans doute s'il n'avait pas l'envie de liberté. Passant sa cape d'hiver il se dirigea dans les couloirs, passsant à travers les passages secrets pour au final arrivé dans le Hall, désert... à cette heure ci tout le monde se trouvait dans les couloirs ou dans leurs propres salles communes... tous des flemmards ces Anglais.
Une bouiffée d'air lui arriva en plein visage.Un sourire naquit sur ses lèvres. Nom d'un farfadet que ça faisait du bien!Il regarda autours de lui, quasiement personne, personne même aux alentours. Il s'avança tranquillement dans l'herbe gelée, encore parfois recouverte du manteau blanc qu'avait formé la neige. Agréable, silencieux... enfin presque...
Un cri retentit... ce n'en était pas un de peur...ni de joie d'ailleurs...indéfinissable... Qui ne le concernait nullement... Il s'apprétait à tourner les talons, n'ayant pas envie de se retrouver face à uen probable poufsouffle sanglotant...il n'en avait rien à faire, cela devait être futile, comme toujours.
Une boule de poil apparut non loin de là...un chat... son ou sa maîtresse ne devait pas e^tre bien loin.Il n'avait d'ailleurs pas l'air très rassuré... Il s'accroupit,; fixant de ses yeux émeraude l'animal. Qui s'approcha, comme font la majorité des chats qu'il avait rencontré. Il le prit aisément dans ses bras et chercha des yeux le propriétaire.Il fit volte face avançant dans la direction opposé pour au final voir une silhouette , seule, au milieu du Parc.

** dis moi que ce n'est pas quelqu'un de dépressif...aucune idée, t'as entendu parler de suicide à Poudlard ? tu sais c'est des Anglais on peut s'attendre à tout! Bon c'est simple soit elle attend quelqu'un, soit elle veut rester seule, soit elle est suicidaire...pas compliqué, et y'a pas d'autres options**

Ceci fait, un petit check de situation, il s'avança calmement,le visage neutre. Bientôt la silhouette se distingua légèrement mieux.Une fille, blonde,en vêtement de moldus. Il l'avait vaguement apperçut dans les couloirs... chaque élèves avaient apperçut l'ensemble au moins une fois dans sa scolarité... Il s'approcha et se raclat la gorge.IL ne distinguait pas très bien le visage de la demoiselle, mais bon, il n'allait pas s'attarder... autant il était irlandais et donc sociable, autant il ne voulait pas être l'épaule sur laquelle on pouvait pleurer....surtout d'une parfaite inconnue. Sinon il n'était pas fermer à uen conversation sans larmes... m'enfin... sans sourire naïf non plus.... D'une voix neutre reflétant l'expression de son visage, il présenta la boule de poil miaulante à la jeune fille.

_ Est-ce que cette boule de poil est à toi ? Elle errait là bas, pas forcément rassuré...

Il n'avait pas forcément imaginé que le félin appartenait à quelqu'un d'utre et qu'il faisait sa petite promenade de fin d'après midi. Mais il avait visé juste à en voir la réactipon du dit chat. Quis'était un peu dégagé de ses bras pour aller vers la jeune fille.

Morgane passa une main dans ses cheveux et sécha ses larmes avec la manche de son manteau. Cela ne servait à rien de pleurer. Lola ne seriat pas libérée de son sortilège pour autant. Elle en redevindrait pas come avant pour autant ... Tout de même, en presque un mois, ces médicomages aurait du réussir à la libéré de cette connerie ... Oh, Morgane s'en souviendrai de ce Noël en Irlande ... Depuis, Lola avait essayé de tuer une dizaine de personnes. Elle avait même essayer de se tuer elle même. Soit c'était l'impréium qui avait été mal lançé, soit c'étiat la petite qui ne tournait pas rond. Tout à savoir qu'elle était devenue complètement folle. Elle parlait toute seule. Des fois elle se réponait elle même. Elle était violente, et ne reconaissait plus les gents. Une douzaines de fois, elle avait essayé de voler une baguette pour pouvoir exercer la magie. Mais à son âge ...

Tout à coup, une voix fit sursauter Morgane. Elle eu peur, ne s'y attendant pas.

Voix - Est-ce que cette boule de poil est à toi ? Elle errait là bas, pas forcément rassuré ...

Morgane se retourna, ses cheveux lu fouettant le visage. Elle se retourva face à une garçon, plus agée qu'elle, et plus grand aussi. Morgane l'avait déja croisé dans les couloirs, lors de se deux année. Mais elle ne lui avait jamais parlé. Pas envie d'parler aux inconnus en ce momment. D'aileurs pas envie de parler du tout. Les seules personnes qu'elle voulait voir n'étiat pas la. Cepandant, Morgane pris Jack, qui bougeait dans les bras du jeune homme, et le posa sur son épaule. Le chat se mit à ronronner et ferma paresseusement les yeux. Il aimait Morgane, et les cours à eux seuls, le rendait malheureux car il ne pouvait pas l'accompagner. Jack .. Ce chat avait vu les même choses que Morgane cet hiver, il les avait aussi vécu come elle. Mais s'en tirait bien mieux. Et encore mieux que Lola. Bien sur, ce n'étiat quu'n chat, il ne pouvait pas comprende. Cepandant, pour organe il était d'un grand réconfort. Sans lui elle irait encore plus mal. Déja comme ça ...

On aurait dit qu'elle vivait sous un nuage noir depuis cette soirée. Ou bien qu'un détraqueur la suivait partout ou elle allait. Elle n'avait plus vraiment d'expression sur son visage, à part de la souffrance. Ses yeux ne reflétaient plus la joie qu'ils contenaient. Il semblaient plein de flammes, aux reflets de la rage. Sa voix était devenu un murmure, les rares fois ou elle parlait.

Morgane - Merci ...

Elle dévisagea le jeune garçon. En temps normal ,elle en aurait profiter pour enager la conversation, mais parler n'étiat pas vraiment sa première envie en ce momment.

[désolé du retard :S]

Il avait observé, sans expression particulière la jeune fille face à lui. Il pouvait distinguer les quelques traces de larmes survivantes au séchage intempestif. Ses pupilles étaient encore brillantes...on ne pouvait cacher une crise de larme que difficilement. Il lui avait fait peur, à en juger par le sursaut qu'elle avait fait. Ce n'était pas son but, mais l'espace d'un court instant il s'en voulut ,car la demoiselle n'avait pas l'air d'avoir besoin de surprises en plus.Mais ce fut court.Il ne la connaissair que de vue. Tout le monde se connaissait de vue ç Poudlard. Qu'on le veuille ou non. Et ceux qui se croisait et qui vous parlait, il ne fallait pas se faire d'illusion...
Il avait remarquer que les gens étaient plutôt hypocrites, car lorsqu'on vous demandait " ça va ?" la phrase qu'ils s'attendent à avoir est " oui bien et toi ?" ... un "non ça va pas" metttait mal à l'aise... ce n'était pas conforme. C'est pôurquoi l'Irlandais ne demandait jamais aux personnes si elles allaient bien...

Il laissa la jeune femme reprendre son chat, qui avait l'air extrèmement attaché à sa maîtresse. C'était bien. De la compagnie fidèle. Les animaux rendait en centuple ce qu'on leur donnait.A l'inverse des hommes.Il secoua ses idées, ce n'était pas le moment de faire un bilan de ce que l'espèce humaine faisait de bien ou de mal. Il esquissa un bref sourire et lui dit, sa voix étant neutre.

_ Pas de problème, il a l'air d'être attaché à toi...il aurait été dommage qu'il tombe entre de ..mauvaises mains.

Il souriat intérieurement.Pour la plupart des élèves s'étaient les Verts et Argents les plus machiavéliques...ben voyons... Lui s'en foitait, il était fier d'appartenir à cette maison, avait quelques amis à Serdaigle et s'en contentait parfaitement.

La pronfonde tristesse présente sue le visage de l'Aigle l'intrigua. Lui restait cloitrer, seul, quand il allait mal...mais à l'inverse quand il allait bien, il aimait savoir le pourquoi du comment quelqu'un avait pleurer... Il ne savait pas la raison de cette tristesse, mais ça ne devait pas être de la pacotille, comme ne pas avoir eu le cadeau qu'elle avait souhaité avoir à Noël. C'est pourquoi, il se permit d'ajouter, regardant dans les yeux la demoiselle dont il ingnorait le monde.

_ Fait face aux aléas de la vie, avant qu'elle ne te bouffe de trop.

Pour lui, cette phrase voulait tout dire.Mais peux de personens trouvaient qu'elle avait un sens. Pour lui, chaque chose avait une signification, toput était liée, rien de spontannée. C'est pourquoi il faisait toujours face à ses problèmes, car au final s'ils étaient là, c'est qu'il y avait quelque chose derrière...positif ou non qui le construisait petit à petit... peut-être était-ce la même chose pour la Serdaigle ? Si l'épreuve apparement sous le signe de la souffrance se présentait à elle, c'est qu'elle devait réagir, et ne pas se laisser bouffer. Mais il n'était pas le meilleur placé pour l'encourager ou autre. Il était un ami attentif pour ses amis, fidèle même... mais pour ce qui n'entrait pas dans son cercle, il aidait difficilement...sauf si c'étaient des Irlandais, là, il n'y avait aucune question à se poser ^^
Comme il restait planter devant l'aigle,et qu'un silence s'était installé,il se douta qu'elle avait envcie de rester seule...ou qu'elle n'avait pas envie de parler à un inconnu...Serpentard qui plus est si elle faisait partie de ceux et celles qui pensaient qu'ils représentaient le mal incarné...il esquissa alors un dernier sourire,avant de dire en tournant les talons.

_ je ne te connais, tu ne me connais pas... mais chaque chose à une signification, rien n'est spontannée... je ne sais ce qui t'arrive mais tes larmes montrent que ça te touche... donc ... ne laisse pas les aléas de la vie gagner. Soit plus rusée qu'elle.

Il lui fit un clin d'oeil, et commença à repartir dans le sens inverse. Oui il était un tant soit peu bavard. Ses gènes d'irlandais qui ressortaient... c'était aussi une Serdaigle et c'était la maison qu'il appréciait le plus après la sienne bien évidement...

[C'est pas grave ^^]

Inconnu - Pas de problème, il a l'air d'être attaché à toi ... Il aurait été dommage qu'il tombe entre de ... Mauvaises mains.

Entre de mauvaises mains ... Et c'était un Serpentard qui disait ça. La petite blonde n'aimait pas les Serpentard, ayant eu un accrochage avec la bande des 4 débiles, juste parce qu'elle et Ellana étaient devant la porte de la grande salle et empèchaint monsieur Galeta d'entrer. Mais comem disait si sagement Lorène, la mère de la Serdaigle, " L'habit ne fait pas le moine ".
Morgane caressa un peu le chat sur son épaule, puis leva les yeux vers le garçon, qui était beaucoup plus grand qu'elle. Disons surtout que Morgane est plutôt petite. Le garçon la regardait, puis il rprit à nouveau la parole.

Inconnu - Fait face aux aléas de la vie, avant qu'elle ne te bouffe de trop.

Morgane ne répondit rien mais essquissa un sourire. Elle ne compris pas la phrase en elle même; mais en l'entendant c'est comme si plusieurs mots étaient venus se loger dans sa tête. Ne te laisse pas abatttre. Affronte. Ce qu'on ne lui avait pas dit. On lui avait dit beaucoup de choses, car l'histoire Dalite avait un peu fait parler d'elle. Elle s'en remettra, qu'on lui disait. Oui, c'est ce que disent les guérisseurs depuis un mois. Ma pauvre, je suis désolée pour toi. Ah oui, mais tu vois, ça va pas m'aider à grand chose ça. J'm'en balance total que tu sois désolée. La phrase que venait de dire ce garçon, à qui elle n'avait jamais parlé, avait plus d'importance que les trois quart de ce qu'on lui avait dit.
Un silence s'installa, même la pluie ne se faisait pas entendre, amortie par la neige qu'elle faisait fondre. La visage de Morgane était plein de gouttes d'eau, et ses cheveux lui collaient aux joues. Un mulot affolé, pasa près des pieds des deux éèves, pour aller se réfugier dans un bosquet d'arbre. Jack ne bougea pas d'un poil, on aurait dit qu'il dormait. Morgane savait bien que non.

Inconnu - Je ne te connais, tu ne me connais pas ... Mais chaque chose à une signification, rien n'est spontannée ... Je ne sais ce qui t'arrive mais tes larmes montrent que ça te touche ... Donc ... Ne laisse pas les aléas de la vie gagner. Soit plus rusée qu'elle.

Morgane souria à nouveau. Chaque chose à une signification. Morgane savait ce que signifiait ce qu'il c'était passé ce noël là. Les mangemorts savaient pour les parents Dalite. Les larmes. Elle ne les avait pas effacé celles là ? Sourire discrèt. Elle se rendit alors compte que le garçon partait.

Morgane - Attend ! Moi je suis Morgane. Toi ?

Car la jeune fille le reverrait sûrement un jour, et si elle pouvait éviter d'avoir à l'apeller l'inconnu, à ce momment là, ce serait bien.

Il ne savait pas si ce qu'il avait dit avait une importance quelconque pour la jeune fille face à lui. Il avait beau être à Serpentard , ce n'était pas un "méchant". D'ailleurs il trouvait sutpide cette étiquette collée aux Verts et Argents... Oui c'était la maison des mangemorts, oui il y avait des Serpentards pas forcément très futés mais de là à dire qu'ils étaient tous méchants... cela était légèrement abusé...tout ça parce qu'ils aimaient rester entre eux... et avec les Serdaigle, il ne fallait non plus l'oublié...certes Ewen n'avait pas été tendre avec certaines personnes de gryffondor ou Poufsouffle, mais ce n'était jamais sans raison ... certes quand il avait besoin de se dédfouler il cherchait quelqu'un de la même année de lui d'une maison opposé...
Cela ne l'empêchait pourtant pas de blablater tout seul devat une jeune Serdaigle, dont il ne connaissait rien...seulement qu'elle n'était pas au milieu de sa forme, et qu'elle possédait un chat... joyeux non ? Enfin bref, il remarqua cependant les quelques brefs sourires qui étaient apparut sur son visage lorsqu'il avait parlé. Est-ce qu'elles l'avaient touchée ? Il n'en savait rien, et n'avait pas la curiosité de lui demander. Mais au moins il y avait eu uen réaction.

La pluie continuait de tomber, les gouttes d'eau perlant ici et là, dégoulinant de sa chevelure pourtant pas aussi importante que celle de l'Aigle. La pluie ne l'avait jamais dérangée, habitant en Irlande cela aurait été un comble! Cependant la pluie restait un moyen le plus efficace pour tomber malade en peu de temps. Conscient de ça,il allait partir lorsqu'elle lui demanda son prénom, lui indiquant le sien. Il se retourna et lui répondit,toujours neutre.

Morgane - Attends! Moi je suis Morgane.Toi ?

Ewen - Enchanté Miss Morgane.Ewen Mac An tsaoir pour ma part...

Il allait partit véritablement mais ne pût s'empecher de rajouter uen dernière chos,e le sourire aux lèvres.

Ewen - A moins que tu ne te sois jeté un sort, le pluie rend malade si on reste trop longtemps dessous... et je ne pense pas que tu as besoin d'un bon rhume en plus de ce qui t'arrive non ?

Morgane eu un faible sourire lorsque Ewen se retourna.

« Enchanté Miss Morgane. Ewen Mac An Tsaoir pour ma part, lui répondit-il. »

Oh, c'est un prénom Irlandais si elle ne se trompait pas. Le prénom de Morgane est celtique, signifiant née de la mer. Il fait aussi référence aux origines Irlandaises de la jeune fille, car ne dit-on pas que l'Irlande fut un des derniers pays celtes ? Morgane était attirée depuis toujours par cette religion éteinte, dont sa mère lui racontait les anciennes légendes, les soirs d'hiver autour du feu. La petite blonde possède même une fine chaînette argentée, sur laquelle est accroché un pendentif, représentant une triskèle.
La pluie continuait de tomber, se transforment en flocons par endroits car la fraîcheur de la nuit commençait à se faire sentir. Morgane avait toujours aimé la nuit. Elle était si belle, si mystérieuse. Elle n'était pas des ces gents, qu'elle qualifie de stupides, qui ont peur du noir, car ils ne voient pas ce qu'ils font. Il n'y a pas que le vue qui compte. L'on a d'autres sens, les aveugles peuvent vous le confirmer. De plus, avoir peur de ne pas voir ce que l'on fait, c'est avoir peur de tomber sur quelque chose d'inconnu, ce qui est tout aussi stupide selon la petite blonde.

« A moins que tu ne te sois jeté un sort, le pluie rend malade si on reste trop longtemps dessous, lui lança Ewen le sourire aux lèvres. Et je ne pense pas que tu as besoin d'un bon rhume en plus de ce qui t'arrive non ?
Effectivement, je crois que tu as raison, répondit Morgane en constatant que des gouttes de pluies ruisselaient partout sur son visage, et que le froid se faisait sentir. Je pense que je vais rentrer au château. Tu restes dehors ou tu rentres aussi ? demanda-t-elle. »

Pas que la pluie l'agaçait, non pensez vous,irlandais de pure souche il y était habitué et avait appris à ne pas pester contre elle...cependant il n'avait pas non plus envie d'attraper froid, et le spectavle de l'eau était aussi agr"able à l'intérieur qu'à l'extérieur, les avantages de la chaleur en plus.
Il ne savait pourquoi il attendait une réponse de la jeune fille face à lui. Il n'aimait pas partir sans qu'on est répondu à ses questions, ou du moins qu'on lui est fait signe... lorsqu'il s'agissait d'un Serpentard, d'un Serdaigle ou d'un Irlandais bien névidemment...les autres il n'avait pas prit la peine de les connaître et n'en avait pas l'envie...donc ce qui pouvait leur arriver...il s'en fichait comme de sa première tablette de chocolat!

Morgane - Effectivement, je crois que tu as raison, je pense que je vais rentrer au château.Tu restes dehors ou tu rentres aussi ?

Il sourit et aquiesca tout en lui disant, d'une façon toujours tranquille. Pas de speed en ces moments là, la pluie était également cruelle, mouillant tout sur son passage, rendant le sol mouillé et glissant et quanf on était brel comme lui, vallait mieux s'abstenir tous mouvements brusques!

Ewen - Je rentres également... tu viens ? un chocolat chaud te tenterais ?

** oui!!! victoire!!! je suis the besttttt!!!! **

Une euphorie soudaine venait d'éclater au sein du Serpentard...et pourtant son apparence ne laissait rien paraître.. Pourquoi tant de joie ? si brusquement ? tout simplement parce qu'il venait de réussir à parler de chocolat, même dans une situation comme celle ci...c'était sa marque de fabrique... il ajouta tout de même, effectuant les premiers pas les ramenant au sec.

Ewen - et puis c'est bien connu, le chocolat apaise les coeurs...

Qu'elle refuse ou qu'elle accepte, c'était la même chose pour lui, il irait quand même dans les cuisines, embêter une énième fois les elfes de maison et prendrait son chocolat chaud joyeusement.

Il pleut. Il pleut toujours, de plus ne plus fort. La neige fond, sous toute cette eau, et les rares élèves qui étaient dans le parc rentrent, leur cape au dessus de la tête pour ne pas se faire mouiller. La pluie ne dérangeait pas Morgane le moins du monde. Comme le disait Lola, sa petite soeur, ce n'était que de l'eau. La petite blonde sourit à cette pensée. Lola ... Redeviendrait-t-elle enfin normale ? Soupir. Le niveau du lac monte, là bas au bout du parc. Il est beau le lac. Morgane était venue ici pour être seule, avec ses pensées, sa colère et son chat. Mais c'est vrai qu'ça finis bien ...

« - Je rentres également, lui répondit tranquilement Ewen. Tu viens ? Un chocolat chaud te tenterais ? proposa-t-il.
- Un chocolat chaud ? répétat Morgane. C'est toujours ce que me mère propose quand quelqu'un est triste. Mais je ne vois pas où en trouver ici, ajouta-t-elle. »

Elle regarda le Serpantard qui essquissa quelques pas vers le château. Morgane jeta un oeil derrière elle, vers le parc où les arbres étaient en train de se faire noyer par cette eau tombant du ciel. De le pluie en janvier, c'était plutôt inhabituel. Surtout à Poudlard. Mais Morgane ne s'en formalisa pas. Elle caressa Jack, toujorus sur son épaule, et emboîta le pas à Ewen.

« - Et puis c'est bien connu, le chocolat apaise les coeurs, précisa le vert et argent. »