Kovou Kayron [Finit]

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|| KOVOU KAYRON ||

Identité :

Prénom et nom : Kovou Hurricane Kayron.
Date de naissance : 1 Avril il y a 33 ans de cela.
Sexe : Masculin.

Physique :

Cheveux : Bruns clairs.
Yeux / regard : Kovou a les yeux d’un noir jais et le regard perçant.
Visage / expression et couleur de peau : Il a un visage aux traits fins et parfaitement proportionnés, sa couleur de peau est mate.
Taille : 1m88.
Corpulence : Il a une corpulence proportionnelle à sa taille et essentiellement constituée de muscles finement dessinés.
Signe particulier : Kovou est un homme de grande taille et tout à fait proportionné au niveau de son poids par le fait qu’il fasse énormément d’arts martiaux. Il est donc très musclé et porte énormément d’estime à son physique qui est considéré comme primordiale dans sa culture indienne. C’est pourquoi il a un style vestimentaire qu’il approprie face aux différentes situations. Par ailleurs, Kovou a les yeux intensément noirs et les cheveux bruns clairs qui lui procure à sa juste valeur une allure de brun ténébreux. Cet aspect mystérieux que lui pourvoit ses qualités physiques est intensifié par son regard perçant. Les muscles de Kovou se dessinent parfaitement sur son corps et sur son épaule gauche un tatouage tribal noir y est dessiné et descend tout le long de son bras puis de son avant-bras pour aller jusqu’au dos de sa main. Ce tatouage magique est en constant mouvement.

Caractère :

Qualités : Kovou est une personne en qui l’honneur est un idéal de vie qu’il faut attendre à chaque instant. Il n’a donc qu’une parole et quand il la donne, on peut avoir une confiance aveugle en lui. Son sens de l’honneur s’accorde particulièrement avec sa grande générosité, il aime aider ses amis et ceux-ci peuvent compter sur lui. Kovou est aussi un beau gosse et conscient de ses qualités physiques, il n’hésite pas à s’en servir pour arriver à ses fins. Il est aussi quelqu’un qui réfléchit beaucoup, un peu trop peut être parfois. Il réfléchit toujours avant d’agir et derrière son côté gigolo se cache une sagesse tendant vers l’intuition et la ruse.
Défauts : Kovou est un véritable fanatique en tout point à sa culture Kenyane. De plus il est introverti, stoïque devant toute situation même la mort. Il a tendance à ne pas montrer ses sentiments ce qui peut vite devenir une entrave dans ses relations humaines. Il peut également se montrer très calculateur.
Ce qu’il aime et ses passions : Kovou aime le voyage et la liberté, c’est d’ailleurs cela qui lui impose son statut de nomade-vagabond. Il ne reste que très peu de temps au même endroit. Par ailleurs, il aime et pratique assidûment les arts martiaux. Enfin son cœur est très attaché à sa terre natale et à tout ce qui lui attrait.
Ce qu’il déteste et ses phobies : Kovou déteste les mégalomanes et gens imbus de leur personne. Il a une phobie monstrueuse de l’Amour. Qui lèvera cette phobie ? De plus il ne supporte pas décevoir son entourage et enfin il a un goût acerbe pour les règles et ordres sous quelconques formes qu’ils soient.
Tic : Il fixe constamment les gens de son regard perçant.

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Histoire :

Origine / Nationalité / Ascendance (sang) : Américano-kenyane. Né au Kenya. Aucune ascendance magique.
Lieu d'habitation :
- Localisation géographique : C’est un nomade…
- Style d'habitation : …Et qui plus est, un vagabond.
Enfance / Kovou naquit au Kenya dans une tribu indigène vivant dans la contrée des monts et des lacs. Sa mère le mit au monde seule car son père, chef de la tribu, était partit en guerre contre une tribu somalienne. Mais elle n’était pas totalement seule, en effet toutes les femmes de la tribu vinrent à cet événement. Et cela pour trois raisons, tout d’abord car c’était la coutume de hiérarchisation de la peuplade, ensuite car sa mère était censée être stérile et enfin car elle était de nationalité blanche américaine et qu’elle avait toujours suscité une grande admiration de la part de la tribu.

Malgré ces explications d’un tel engouement lors de la naissance de cet enfant, une explication cachée subsistait. En effet on raconte que le prêtre du village avait eu des visions et avait appelé l’enfant, le Chevaucheur des Vents. Il avait même osé comparé ce bébé à un dieu. La tribu animiste s’était dès lors plongé dans un état d’effervescence afin de préparer la venue d’un tel être. La mère de Kovou, elle, était protestante et, bien qu’elle trouvait que caractériser son fils de dieu soit très élogieux, n’y croyait nullement.

Le bébé vint donc au monde le premier jour d’une nouvelle année. Cette journée là avait été célébrée sous le puissant soleil du ciel. Tout le village était excité tandis que la mère était dans la hutte principale et essayait de mettre tant bien que mal son bébé au monde. A Midi pile, Kovou Hurricane Kayron naquit. Le soleil, alors à son paroxysme, disparu dans les nuages, l’air se rafraîchit, la brise chaude se transforma en vents harcelants, la pluie gagnait la contrée des monts et des lacs, puis soudain les orages se déchaînèrent. Les habitants de la tribu étaient terrifiés, il s’agenouillèrent au sol et se mirent à prier pour apaiser la violence des dieux. Ces évènements titanesques durèrent une heure puis le soleil éclatant revint aussi promptement. Les villageois avaient des opinions divergentes sur les raisons de ces évènements, était-ce la colère des dieux ou leur exaltation ? Personne ne pouvait répondre à cela, mis à part le vénérable prêtre mais on retrouva son corps foudroyé sur la place du village.

Le père de Kovou revint de guerre une semaine après la naissance de son fils, le village fut en fête. Le contexte de la naissance de Kovou s’oublièrent avec le temps et il était un enfant normal, bien que fils de chef et de surcroît blanc comme sa mère. Mais cette dernière caractéristique influa grandement sur l’éducation de l’enfant. En effet, Kovou passait les trois-quarts de son temps avec les guerriers du village et son père. Il eut donc une éducation, stricte, virile, et intégra tout ce que devait intégrer un homme dès son plus jeune âge. A 6 ans il apprenait déjà à chasser et son arme favorite était l’arc, il possédait de très bonnes facultés visuelles. Lorsque son père partait, il devenait extrêmement protecteur envers sa mère. Il ne jouait pas avec les autres enfants de son village, il n’en avait pas le droit, il devait apprendre à sa battre et à commander pour succéder un jour à son père. Sa mère n’avait pas son mot à dire en ce qui concerne l’éducation de Kovou, elle lui apportait l’amour maternel et c’est tout.

Kovou n’avait bien sûr pas accès à l’éducation et ne savait donc pas lire et écrire. Il n’en était pas moins extrêmement intelligent, malin et rusé. Il se sortait très facilement des situations les plus complexes et était d’une maturité extraordinaire pour son âge. L’environnement dans lequel il vivait lui procura une force physique, une agilité, des sens surdéveloppés, des capacités de combats en tant que leader mais surtout un moral d’acier. Alors qu’il n’avait que douze ans et que son père partait en guerre, c’était lui qui prenait les rênes du village et dirigeait les tâches les plus complexes avec une main de fer.
Apprentissage magique : A treize ans Kovou partit pour la première fois en guerre lors de conflits à l’intérieur même du pays. Il accompagna donc son père et sa vie bascula. Alors qu’il se trouvait sur les champs de bataille où des hommes allèrent s’entretuer, les éléments météorologiques se déchaînèrent. C’était la saison de sécheresse et pourtant il plut à torrent, la foudre s’abattait sur les ennemis de la tribu de son père, les vents violents et tranchants déchiquetaient leur corps. La neige même, survint en ses plaines désertiques. Mais jamais les éléments n’atteignaient la tribu du père de Kovou. Ceux-ci étaient à la fois médusées et pétrifiées sur place par la peur. Le père de Kovou se retourna vers lui un instant puis le fixa intensément, il se rapprocha de lui et lui demanda ce qui était arrivé à ses yeux, ils étaient d’un noir intense, on pouvait y voir les abysses s’y refléter. Kovou lui n’était même plus conscient des choses et ne tarda pas à s’évanouir. Il resta dans un coma pendant une semaine, puis se réveilla enfin.

La première vision qu’il eut à son réveil était celle de sa mère, qui avait veillé à ses côtés pendant une semaine. Son père vint ensuite pour lui annoncer que la bataille qu’ils avaient ‘gagnées’ une semaine plutôt lui avait permis de prendre le trône de la Royauté Kenyane. En une semaine, Kovou était passé de fils de chef d’une tribu paumée de la contrée des monts et des lacs à l’héritier du trône, Prince du Kenya. Ses parents s’efforcèrent de lui faire comprendre que ce qu’il avait fait était bien, mais Kovou avait une intégrité impressionnante et ne pouvait s’empêcher de ressasser le fait qu’il ait tué des hommes d’une manière… totalement incompréhensible pour lui.

A la suite de ces évènements un autre survint tout aussi étrange. Un nouveau prêtre arriva au village, personne ne le connaissait. Il était de race blanche, barbu, très vieux et toujours habillé de blanc. Il s’était présenté sous le nom de Cryptos. Le vieux prêtre blanc avait l’habitude de s’absenter très souvent, il disait qu’il partait se recueillir dans les montagnes. En revanche, tout le temps que le vieux prêtre passait au village, Kovou se sentait espionner, physiquement mais aussi moralement. Un jour Kovou décida de suivre le vieil homme, arrivé à une clairière il perdit de vue le prêtre. Ces ce-dernier qui le surpris en le retrouvant. Ce-jour allait être le véritable tournant de la vie de Kovou. Il appris que le vieux prêtre était un sorcier, il apprit qu’il appartenait à un monde que l’on appelait le monde des sorciers et que celui-ci existait en parallèle avec le monde des hommes sans pouvoirs, il apprit que l’on pouvait faire de grande chose avec la magie aussi bien mauvaises que bonnes. Mais la nouvelle qui le bouleversa le plus fut lorsque Cryptos lui dit qu’il était également sorcier.

Cette nouvelle tirailla l’esprit du jeune Kovou et pourtant apportait certaines réponses aux questions qu’il se posait depuis tout jeune. Des phénomènes inexplicables se passaient toujours autour de lui et le plus grand de tous fut la manifestation météorologique lors de la dernière guerre du Kenya. Cryptos lui dit que c’est exactement cela qui l’avait fait venir ici. Le vieil homme avait eut vent de ce qui s’était passé, et à première vue il avait vent de beaucoup de chose, et s’était rendu immédiatement au Kenya. La première réaction de Kovou fut de demander au vieil homme comment il pouvait se soigner. Cryptos rit.

Cryptos lui expliqua que l’on ne se soignait pas de la magie, elle fait partie intégrante de nous comme un arbre fait partie intégrante d’une forêt. Il lui raconta également la nature du phénomène lors de la bataille, en effet les pouvoirs d’un sorcier se développent de manière exponentielle à l’âge de l’adolescence, dans les sociétés modernes les enfants sorciers était largement encadrés lors de la découverte de leur pouvoir mais dans les sociétés plus primitives et dans les village reculés certains enfants détenant des pouvoirs pouvaient ne jamais s’en rendre compte. Seulement il arrivait que la manifestation des pouvoirs se fasse plus prépondérante chez certains enfants surtout lorsqu’elle apparaissait plus tardivement, et Kovou avait treize ans ce qui était très tard. Cependant Cryptos ne put émettre qu’une hypothèse, ce qui inquiéta Kovou, à la force légèrement démesurée de cette manifestation, il dit que Kovou ne devait pas avoir d’ascendance magique et qu’il n’avait de ce fait pas de sang sorcier dans les veines même sur maintes générations passées. L’explication incomplète et floue perturba Kovou qui ne savait pas si c’était la seule explication possible.

A la suite de cette rencontre Cryptos, sous son image de vieux prêtre, devint le précepteur de Kovou. Ses parents acceptèrent tout à fait, bien qu’ils ne furent pas mis au courant du statut de sorcier ni du vieil homme ni de leur fils. Cryptos apprit au jeune Kovou à lire et écrire en priorité. Le jeune prince était un piètre élève, il ne faisait que des conneries et miraculeusement pourtant le vieil homme arrivait à le faire avancer vers un niveau d’instruction même plus que raisonnable. Kovou avait un goût particulier pour les langues et des facultés de mémorisation assez spectaculaires. Cryptos lui apprit donc l’anglais, le français, le chinois et une langue totalement différente des autres à laquelle le vieil homme n’avait pas donné de nom. Derrière cet engouement pour l’apprentissage des langues se cachait en fait une profonde volonté de liberté.

En revanche tout ce qui avait attrait aux sciences ne s’imprimait pas dans l’esprit de Kovou, un blocage sans doute mais qui n’alarma pas Cryptos ce qui rassura Kovou. Parallèlement à cette éducation, le père de Kovou insistait grandement pour qu’il garde une constitution physique de guerrier kenyan. Une fois instruit, ce qui n’arriva pas si rapidement, Kovou reçut un présent de la part de Cryptos mais lui demanda de ne l’ouvrir que lorsqu’il sera partit, en effet le vieil homme devait encore une fois s’absenter mais pour un long moment cette fois. Il écouta sagement les conseils de son précepteur et ouvrit le paquet au moment prévu. Celui-ci renfermait un bout de bois. Enfin pas n’importe quel bout de bois, un quasiment identique à celui que Cryptos avait tantôt dans sa poche, tantôt dans sa main. Le bois était beau, légèrement marron avec des reflets dorés, il y avait un manche en argent et sa taille toute entière était d’environ 28cm. Kovou ne toucha pas une seule fois à l’objet, il le laissa dans sa boîte et passait son temps à le regarder. Son instinct ne lui permettait pas d’avoir de la curiosité mais ne l’empêchait pas d’être tourmenté.

Cryptos revient quelques mois plus tard et s’aperçut que Kovou n’avait pas touché à la baguette, cela le fit sourire, il en était sûr. Le vieil homme finit par lui mettre la baguette dans les mains, l’effet escompté la ravit, c’était la bonne. Kovou avait dix-sept ans et Cryptos lui annonça qu’une longue période d’enseignement magique allait débuter. Pendant six années le vieil homme enseigna à Kovou ce que devait savoir et savoir faire un sorcier. Pendant sept années le vieil homme lui appris les rudiments de la magie mais aussi ses branches les plus poussées, notamment la capacité d’animagus que Kovou mit en tout et pour tout six ans à maîtriser. Jamais Kovou n’utilisait la magie sans la présence de Cryptos et lui-même se l’interdisait.
Vie après sa scolarité : Kovou avait vingt-trois ans et sa vie allait prendre un nouveau tournant. Il était en âge de prendre la place de son père à la tête du Kenya depuis quelques années et il venait de finir son apprentissage avec Cryptos. L’instant fatidique du choix, le vieil homme l’avait préparé à faire ce choix sans l’orienter nullement. Kovou fuit, il quitta sa terre natale, son royaume, sa famille pour se plonger au cœur du monde sorcier. Il renia ses obligations de monarques kenyan et devint un vagabond et nomade voyageant de pays en pays. Sa relation avec Cryptos s’intensifia, c’était d’ailleurs le vieil homme qui l’aidait à survivre car il n’avait aucune ressource. Cryptos pris d’ailleurs une décision très étrange.

Il nomma Kovou Membre de la Confédération internationale des Mages et Sorciers. Le vieil homme avait peur qu’à force de vagabonder comme un bohémien il tourne mal et lui trouva donc une occupation. L’étrangeté réside dans le fait que le minimum d’âge de la Confédération était d’environ soixante ans et que Kovou n’en avait que trente trois. Cela fit énormément de remous dans les rangs de la Confédération et Cryptos savait que beaucoup désapprouvaient ce choix. Seulement le vieil homme connaissait les règles de la Confédération par cœur, il n’y avait formellement pas d’âge limite, et en tant que Manitou Suprême il désigna Kovou comme membre.

Le nouveau job de Kovou lui plut bien, il n’avait pas du tout l’allure d’un diplomate et faisait un peu tâche parmi cette assemblée de vieux séniles mais il le prenait très à cœur. De plus il pouvait continuer de voyager gratuitement et même s’il n’y avait pas de salaire en tant que Membre de la Confédération il pouvait pratiquer les langues. Un seul pays où il ne se rendit plus… Le Kenya.
Famille : Le père de Kovou se prénomme Tikato Kuma. Il est actuellement à la tête du Kenya sous le statut de roi. C’est un père qui a enseigné toutes les valeurs de la vie à son fils. Il lui a également apporté l’enseignement des guerriers kenyans. La mère de Kovou s’appelle Leslie Kayron, elle est américaine d’origine et on ne sait pas exactement ce qui l’a amené à rencontrer Tikato et à devenir sa femme. En effet même Kovou ne le sait pas. C’est une femme effacée mais qui a su apporter de l’amour à son fils. Enfin Kovou considère Cryptos comme un membre de sa famille et bien plus.

Invité

Baguette :

Description : 28 cm en Acajou et contenant un nerf d’Héliopathe.
Son acquisition : Un vieil homme le lui a offert…

Vie de votre personnage désormais:

Situation Familiale: Célibataire.
Métier: (Prince du Kenya refoulé Xd) Vagabond et Membre de la Confédération Internationale des Mages et Sorciers [Autorisation de Cryptos Sacrosanctus].
Faculté spéciale: Animagus Aigle.
Avez-vous le permis de transplaner ? Oui.
Quel camp: Le sien.
Ses rêves et ambitions pour l’avenir : Continuer sa vie libertine et donc ne pas se faire rattraper par ses obligations…

Question subsidiaire :

Comment avez-vous découvert ce forum ? héhé

Fiche acceptée (vu que c'est le deuxième compte de Cryptos Sacrosanctus, vive l'IP ^^). J'attends simplement la réponse de Mikomi pour ta faculté spéciale d'animagus que tu dois lui envoyer (voir ce topic ).

Pendant ce temps, je te mets ton rang et ton métier, ainsi que l'appartenance au groupe des Adultes.

Arty file c'est mon coin -_-

lool ^^

Invité

Euh... étant responsable du ministère et surveillante des rangs douteux *auto-titre What a Face

*... j'veux pas jouer les rabat joie, mais c quoi la Confédération Internationale des Mages et Sorciers ? J'ai eu un bug dnas ma tête en voyant le rang.

Très cher Cryptos/Kovou, j'aimerais bien une petite description de l'organisation, question de pas avoir l'air trop conne quand y a aura interaction What a Face

Invité

Pas de problème je vous ferai part de cette description dès que possible ma très chère Vipère.

Sachez déjà que cette Confédération existe belle et bien dans l'univers HP de JKR.

A bientôt. blush

Edit : Envoyé.

Invité

Merci ^^

J'étais allée vérifier si ça existait, mais comme j'ai pas pu savoir bcp plus ^^

Invité

Voilà tout est envoyé et validé. hehe

On peut déplacer. blush

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