Adventure in Paradise [PV]

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« When I find myself in time of troubles »

Sourire. La musique résonnait dans l’esprit de Gregory comme une mélodie paradisiaque. Les yeux entrouverts, il balançait la tête de droite à gauche, dans un mouvement mécanique. Soleil. Les camarades du dortoir se préparaient déjà pour le quartier libre. A partir des cinquièmes années, tous les élèves avaient le droit d’aller où ils le souhaitaient, pour une journée. N’était-ce pas réjouissant ? Il bâilla, puis se redressa sur ses draps.

Yannis – Alors, tu veux nous accompagner au chemin de traverse, Greg’ ?

Celui-ci releva les yeux vers son camarade, secouant lentement de la tête. Il avait envie d’aller à Pré-au-Lard, et un certain instinct s’éveillait en lui. L’inspiration. Le bonheur l’envahit pendant quelques secondes à l’idée des photos qu’il pourrait prendre en cette belle journée – il se releva alors en vitesse, se vêtit d’un jean et d’une chemise noire. L’appareil de photographie était disposé sur son lit, à côté de quelques rouleaux de parchemin et du matériel pour dessiner et peindre. Il se sentit alors empli d’une satisfaction profonde. Il allait pouvoir créer, ce jour-là. Enfin.

Inspiration – A ce soir !

Soupir. Il descendit les escaliers de Poudlard avec une légèreté étonnante, tenant pourtant dans sa besace tout le nécessaire. La journée allait être superbe. Du hall, il passa au jardin, et du jardin à la station de train. Il transplana alors, enfin loin des sortilèges qui enveloppaient le château, et arriva à Pré-au-Lard. Une foule bruyante se pressait dans les avenues, et dans les magasins. Le soleil les avait attiré, telles des abeilles autour des fleurs. Il les contempla quelques instants, ces hommes et ces femmes, ces enfants, ces familles. Il les regarda, attendri, comme s’il n’appartenait même pas à l’espèce humaine. Qui était-il ? Un étranger, un touriste, parmi une foule d’inconnus. Etrangement, il se sentait mieux que jamais en pensant cela. Comme quoi. La solitude ne fait pas toujours le mal.

Quelques ruelles plus loin, il parvint à un banc, au milieu d’une place. Tous passaient, sans prêter attention à ce banc, là, seul. Lui s’y assit, et sourit. Il était aussi invisible maintenant que ces quelques planches de bois assemblées – il devenait un élément du décor. Exactement ce qu’il souhaitait. Il commença par sortir un crayon, et un parchemin, et se mit à tracer des traits, au hasard de ses pensées, puis sur un autre parchemin entama des croquis. D’une place, et d’un banc, seul. Un banc qui permettait de devenir invisible.

Il rêvait.

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« CARPE DIEM » En gros ? Vivre au jour le jour. C’était ce que faisait Liberty depuis la rentrée à Poudlard. Oui, la jeune Serdaigle ne prenait plus le temps de préparer ces petites sorties nocturnes. Mais aujourd’hui était un nouveau jour. Oui, aujourd’hui Liberty avait une petite course à faire. Elle devait donc se rendre à Pré-au-Lard.

Assise tranquillement dans la salle commune. Liberty se leva avec une telle souplesse que l’on aurait dis une petite fille volant sur un nuage. Pas trop vite nuage. Ne te brise pas. Direction les escaliers. Comme à son habitude, elle les dévala d’une telle vitesse que cette fois elle aurait bien pu finir par se retrouver sur les fesses. Pas cette fois. Sourire. Du couloir elle passa par le parc, et du parc au sentier pour se rendre à Pré-au-Lard.

Respire. Laisse entrer l’air frais dans ton corps. Pause. Jill s’arrêta. Elle remarqua un petit détail auquel elle n’avait pas songé. Oui. C’était les soldes. Qui dis soldes. Dis foule. Merde. Oui, depuis toute petite Jill n’osait pas se faufiler dans les foules. Peur de se retrouver sans oxygène et de ne plus en trouver la sortie. Découragée. Elle se décida tout de même d’avancer quelques mètres pour observer à quoi aurait pu ressembler sa journée.

Liberty marcha lentement. Plus la foule se rapprochait d’elle, plus elle avait du mal à respirer. Courage. Jill ferma les yeux. Respire. Encore. Elle avançait toute seule. Ne voyant même pas si il y avait des gens devant-elle. Hey. Ouvre tes yeux. Sourire. C’est un miracle. Oui, Liberty avait réussi à traverser la foule. Elle se retourna pour observer les lieux.

En face d’elle se trouvait un jeune accompagné d’un calepin. Mais Liberty. Bouge toi il dessine. Gênée. Elle s’excusa :

- Liberty – « Oh, excuse moi. Je suis désolée. C’est-à-dire que j’ai traversée la foule avec une telle vitesse que je n’ai même pas eu le temps d’observer ou je m’étais retrouvée. »

Anna ... Que te dire. Je suis navrée de ce RP si faible. J'espère sincérment ne pas te décevoir. Je me rattraperais. Mille excuses.

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Silence. Tout à coup, Gregory se sentait coupé du monde, séparé de lui comme par un film transparent, mais si présent qu'il faisait de lui un observateur percevant l'essence même des êtres qui passaient devant lui. Il avait l'impression soudain de pouvoir ressentir leurs doutes et leurs frayeurs, de pouvoir éprouver leurs chagrins, et partager leurs rires. Envahi par ces sensations, il laissa son crayon filer sur le calepin, bientôt empli de croquis, qui se précisaient peu à peu par des traits assurés.

Il vit soudain un spectacle insolite. Quoi ? Elle. Marchant lentement, les yeux fermés, comme perdue et aveugle dans la foule. Il balbutia, et entama aussitôt un nouveau croquis. Les mêmes visages autour, la même agitation, et puis une silhouette nouvelle. De longs cheveux bruns sur une figure d’ange. Souriant, il traçait aussi vite qu’il le pouvait, mais avec une attention décuplée, la figure de l’apparition. Sans un mot, il la regardait traverser cette masse comme une inconnue, elle aussi, une étrangère, un ange, oui. Sur son dessin, la silhouette était comme entourée d’un halo, comme préservée de tout, protégée par une force autre. Soupir. Ce n’était qu’un croquis, une approche, mais il sentit qu’il n’oublierait pas cette image, et qu’il pourrait la recommencer à loisir. Jaugeant les proportions sur son calepin avec un regard connaisseur, il sentit soudain un regard, venant d’en face. Oh ! Hum.

Liberty – « Oh, excuse moi. Je suis désolée. C’est-à-dire que j’ai traversée la foule avec une telle vitesse que je n’ai même pas eu le temps d’observer où je m’étais retrouvée. »

Il la regardait, sans parler, sans comprendre. Pourquoi était-elle venue jusqu’à lui, pour s’excuser ? L’avait-elle dérangée en quelque chose ? Non ! Il ne parvenait pas à lui exprimer son incompréhension, donc il se déplaça un peu sur le banc, pour lui montrer qu’elle pouvait s’asseoir. Se demandant toujours pourquoi elle s’était justifiée, il la fixa de ses grands yeux bleus. Qui était-elle ? Une inconnue, pour le moment. Dans quelques secondes, elle en serait un peu moins, et une fois qu’une dizaine de minutes serait passée, il pourrait encore mieux la décrire. Nom de nom, il fallait la convaincre de rester un peu. Son visage, ses traits. Il sourit involontairement.

Inspiration – « Pourquoi t’excuses-tu ? Je suis ravi que tu te sois retrouvée là. »

Pas besoin de plus de mots. Qu’y aurait-il à dire de toute façon ? Merci aux cieux ? Oui. Merci.

{Alex. Arrête donc de d'inquiéter. J'espère simplement que tu profites de ce moment autant que moi. Enfin un RP avec toi.}

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Inspiration – « Pourquoi t’excuses-tu ? Je suis ravi que tu te sois retrouvée là. »

Ravi que je me sois retrouvée là ? Attends. Attends. Liberty jeta un œil à son croquis. Elle reconnue sa fine silhouette. Ses longs cheveux noirs. C’était elle ? Non. Impossible. Sourire. Liberty repris.

- Liberty – « Pourquoi je m’excuse ? Et bien, je n’avais pas vue que tu dessinais … Je suis pose que ton modèle était cette église en face non ? »

Respire. Calme. Le jeune homme se recula. La place à coté de lui était libre. Et Liberty comptait bien s’assoire. Pourquoi pas discuter avec lui ? Jill scruta les environs. Elle passa sa main dans ses cheveux et s’essaya sur le banc. Sourire. Toujours sourire.

- Liberty – « Dis, tu ne sais pas comment j’ai fais pour traverser sans me faire percuter ? Car je vais t’avouer que j’ai peur de la foule. »

Gênée. Elle baissa la tête. Une goutte de sueur glissa le long de son visage et alla s’écraser contre le sol de pierre froid. Quelques instants plus tard elle réalisa qu’elle ne s’était pas présentée. Impolie !

- Liberty – « Au faite ! Liberty Jill McCartney et toi ? »

Magnifique après-midi. Liberty avais le sourire au lèvre. Rien n’aurait pu la faire changer d’avis. Discrètement elle posa son regard sur le calepin du jeune homme assis à ses coté. Le vent avait fait tourner les pages. Stop. Nous nous étions arrêtés à une sorte de rose légèrement blanchâtre. Et surtout très fanée. C’était magnifique. Liberty croyait rêvée.

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Gregory remarqua avec un sourire le regard de l’adolescente vers son dessin. Elle voulait pourtant l’entendre dire que c’était bien elle qu’il avait dessiné, comme si elle n’y croyait pas, comme si elle n’avait pas remarqué que sa silhouette d’ange puisse être désirable et inspiratrice. Il la regarda longuement, avec un air impassible, afin qu’elle comprît qu’il avait percé son jeu, en quelque sorte, avant de poser ses yeux sur le dessin. Le message était-il assez clair ? Sourire. Il avait déjà le sentiment d’être son complice. Elle continua pourtant sur sa lancée, belle et semblant assurée. C’est vrai – elle était passée parmi la foule sans se faire bousculer. Comment ? Qui sait ? Les miracles existent. La preuve : elle était là. A côté de lui.

Inspiration – « Parfois, il vaut mieux chercher à ne pas comprendre, tu sais. Le mystère rend tout plus beau. Enfin, ce n’est que mon avis. »

Alors, elle se présenta. Ah ! Liberty. Les trois syllabes retentirent à ses oreilles comme la saveur acide, sucrée, d’une coïncidence fantastique. Son prénom. La liberté. Qu’aimait plus Gregory que cette valeur ? Peu de choses.

Inspiration – « Je m’appelle Gregory Starfull. Tu es à Poudlard, je présume ? »

Elle parlait très bien anglais, sans aucune difficulté apparente. Peut-être un soupçon d’accent américain. Maybe. Il sourit. Tout à coup, il eut envie de la connaître – un désir prenant, qui l’envahissait. Et rares étaient les fois où il n’atteignait pas son but : il était déterminé et s’impliquait dans ce qu’il croyait important. Cette rencontre lui semblait capitale. Que dire, maintenant ? Rien. Le silence valait parfois mieux que des mots inutiles et mal lancés. Il fallait attendre qu’elle acquiesce. Si elle était effectivement à Poudlard, la discussion serait bien plus aisée, en vérité. Espoir.

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Inspiration – « Parfois, il vaut mieux chercher à ne pas comprendre, tu sais. Le mystère rend tout plus beau. Enfin, ce n’est que mon avis. »

Cette phrase résonnait comme un écho dans la tête de Liberty. Ne pas chercher à comprendre. Le mystère rend tout plus beau. Plus beau. Ouais. Sourire. Jill croisa les bras. Assise à coter de ce jeune homme elle se demandait de quoi allaient-ils pouvoir parler ? Sans plus attendre il coupa le silence.

Inspiration – « Je m’appelle Gregory Starfull. Tu es à Poudlard, je présume ? »

Grégory. Magnifique prénom. Souvenir, souvenir. Jill leva les yeux au ciel. Une larme fine est légère coula le long de son visage. Grand-père Grégory. Oui. Courage petite fille. A l’aide de sa main elle chassa cette petite pensée dans les airs. Elle repris.

- Liberty – « Oui, bien sur que je suis à Poudlard. En septième année. Et toi ? »

Sourire. Liberty avais envie de crier à la terre entière qu’elle était heureuse. Crier si fort que ses cordes vocales se briseraient sur le coup. Chut, pas si fort Jill. Pense à ses tout petits bébés qui dorment. Splendide journée.

- Liberty – « Je vois que tu aimes l’art. Moi j’aime la photographie. Je suis passionnée par toutes ces petites choses que l’on ne découvre que dans le noir. »

Silence. Jill ne savais plus trop quoi dire. Elle était si contente d’avoir rencontré Gregory.

- Liberty – « Comme j’ai pu remarquer. Toi aussi tu penses que l’art est la plus belle des drogues ? »

Extase à l’état pur.

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Une gouttelette scintilla soudain face à Gregory, et celui-ci, étonna, se tourna vers Liberty, remarquant seulement la réaction qu'elle avait eu. Etait-ce son prénom qui la touchait ainsi ? Etrange, se dit-il, la laissant se calmer, pour répondre. Effectivement, elle était à Poudlard, mais c’était plutôt prévisible. Son visage souriant, cette moue l’attendrit, et il eut une envie intense de reprendre son croquis, afin de l’achever, de mettre de nouvelles expressions, de nouveaux airs sur ce visage apparu parmi la foule. Il soupira pour contenir son impatience, et l’écouta avec un mince sourire.

Inspiration – « A Serdaigle, en cinquième année. »

Il baissa à peine les yeux, ramenant quelques mèches blondes sur ses yeux. Certes, il était plus jeune qu’elle, mais il ne pouvait s’empêcher de se sentir son égal, sûrement à cause de la complicité qui déjà le liait à Liberty. Surtout quand elle ajouta ces quelques mots.

Liberty – « Je vois que tu aimes l’art. Moi j’aime la photographie. Je suis passionnée par toutes ces petites choses que l’on ne découvre que dans le noir. »

Il n’y crut à peine. Se tournant vers elle avec un air de stupeur intense, il ne put s’empêcher d’éclater de rire. Voilà. Il était heureux, et n’avait pas la moindre envie de le contenir – simplement rire. Montrer sa joie au monde. Elle aimait la photographie, disait-elle. N’était-ce pas comique ?

Inspiration – « La photographie me passionne aussi. L’art est en effet la plus belle des drogues, c’est ce que j’dis toujours à ceux que je rencontre. »

Extase à l’état pur.

Inspiration – « Tu veux qu’on aille quelque part ? On pourra peut-être mieux faire connaissance au calme. »

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Inspiration – « A Serdaigle, en cinquième année. »

Prenons le temps. A Serdaigle, oui. Car son uniforme était d’un bleu identique à celui de Liberty. Mais en cinquième année ? Sourire. Jill croisa ses jambes. Le soleil jouait à cache-cache avec les nuages tandis que Grégory repris.

Inspiration – « La photographie me passionne aussi. L’art est en effet la plus belle des drogues, c’est ce que j’dis toujours à ceux que je rencontre. »

Bon. Pourquoi ne pas l’avouer ? Liberty avais piquée cette petite phrase sur le dos du calepin de Gregory. Cette citation était inscrite en minuscule sur le devant de la couverture. Jill devint rouge écarlate. Allait-il le remarquer ? Non Liberty soupira, puis repris.

- Liberty – « Oui, en faite. J’ai vue cette phrase sur ton calepin. Et comme je trouvais qu’elle sonnait parfaitement bien je te l’ai prise. Donc c’est normal. Nous dirons que je t’ai devancée. Mille excuses. »

Sourire. Gregory semblait être un garçon très sérieux, aussi bien dans ses études que dans la vie courante. Ses vêtements étaient impeccables. Ses cheveux parfaitement bien coiffés. Tout tournait rond chez lui. Il devait avoir une famille bien a lui. Une famille sans soucis. STOP ! Pourquoi se faire des films Jill ? Pourquoi ne pas lui demander. Silence. Gregory se leva. Celui attrapa la main de Liberty afin de la levée du banc.

Inspiration – « Tu veux qu’on aille quelque part ? On pourra peut-être mieux faire connaissance au calme. »

Au calme. Oui. Parce que toute cette foule. Liberty crispa son visage. A peine debout que la jeune Serdaigle tourna de l’œil. Sans se rendre compte du geste qu’elle venait de faire elle s’agrippa au bras de Gregory. Jill remarqua aussi qu’elle n’avait toujours pas répondu à la question de Gregory.

- Liberty – « D’accord pour un endroit plus calme. Dis… Ce n’est pas grave si je te tiens le bras ? C’est que la foule… Tout ce monde. »

Soupir. Liberty ferma les yeux.

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Eclat de rire. Gregory inspira profondément puis hocha de la tête. Elle avait regardé sur son calepin, n’était-ce pas charmant ? Il sourit. Elle était sympathique, et différente. De plus, elle s’excusait d’elle-même, rougissant. Cet air de timidité donnait à son visage une fraîcheur renouvelée.

Inspiration – « Aucun problème. »

Tous deux étaient côte à côte, silencieux et le regard porté vers le ciel, quand finalement il lui proposa d’aller faire connaissance dans un lieu plus au calme. Elle hésita, se crispant contre lui, avant d’accepter.

Liberty – « Ce n’est pas grave si je te tiens le bras ? C’est que la foule… Tout ce monde. »

Il sourit, encore une fois, et secoua de la tête, lui tendant le bras avec des gestes protecteurs. Allez, nous partons. Tous les deux ainsi liés, ils traversèrent la foule comme s’il s’agissait d’une tempête, et arrivèrent face à un café. Il y pénétra, l’entraînant à l’intérieur, et s’assit à une table dans un coin, plutôt calme. Aussitôt, le serveur s’approcha : c’est qu’il n’y avait pas beaucoup de monde.

Serveur – « Vous désirez ? »

Hésitation.

Inspiration – « Un chocolat chaud, pour moi. Liberty ? »