Foret d'Ostrelande

15 JANVIER

La forêt d'Ostrelande couvre des lieux et des lieux, végétation dense et noire, touffue en été et quasi impénétrable en hiver.

En ce moment, l'épais tapis de neige s'enfonce jusqu'au genoux de l'aventurier téméraireé Quelques traces de gibier par ci par là laissent deviner une quelconque vie.

Ces bois ont une mauvaise réputation auprès des moldus, rares sont ceux qui s'y aventurent sans une excellente raison.

Hale, en ce moment, en a une, il a une cache non loin. Une de ses innombrables. Il veut voir si elle est intacte. Il a trouvé refuge dans une petite caverne, se réchauffe en ce moment près du feu en grommelant, de fort mauvaise humeur. Il a étendu une couverture a l'entrée, planté ses raquettes et s'est réfugié le temp que la tempête se termine.

La caverne a la grandeur d'une chambre normale, circulaire, irrégulière, d'environ 10 pieds de diamètre. Sur ses paroies humides, d'anciennes peintures rupestres à moitié effacées. Sur un support fait d'une branche de bois mort est suspendu une parka , un foulard un casque de fourrure et des mitaines.

Invité

Libre ! Enfin libre ! Vive les sorties à Pré-au-Lard et la naïveté des adulte ! Vive son permis de transplaner ! Vive cette forêt pourrie !
William sautait de joie, seul, dans une forêt eneigée. Mais avant de pouvoir sauter dans tous les sens, il avait du trouver en endroit qui combinait l'absence de neige et l'espace dégagé. Pas évident... mais il avait finallement trouvé. Mais une question demeure : que fait-il là alors qu'il devrait être à Pré-au-lard ? Et bien c'est très simple : il avait transplané un peu au hasard... Il voulait atterrir dans un endroit inconnu où personne ne le reconnaîtrais, où personne ne viendrais l'emmerder ! Et cette forêt semblait parfaite !

Il gambadait en riant. Il riait de s'être échappé, de n'être plus prisonnier, d'être seul, d'être libre, totalement libre ! William courrait dans son petit espace dégagé, au pied d'une pente rocheuse, en poussant des cris de joie. Lorsqu'il se fut un peu calmé, le jeune homme repéra une caverne, à quelques dizaines de mètres.

* Cool ! Un abris ! *

Il s'élança vers la petite grotte et se planta l'entrée, raide comme un piquet. Pourquoi ? Car il venait de se retrouver nez à nez avec un type de pas très bonne humeur et avec une tête de killer... Will le regarda, bloqué.

Se frottant les mains, Hale se dirige vers la sortie de la caverne, pour voir si la tempête est terminée. Il se fige juste derrière le rideau. Une voix se fait entendre de l'autre bord.

* Cool ! Un abris ! *

Le rideau se tasse, révélant une gueule d'ange, un visage d'adolescent aux prunelles effrayées. Celui ci se fige la fraction nécessaire pour qu'Halewyn lui flanque un coup de poing retentissant dans la figure, l'envoyant au pays des rêves.

Bon... Qu'est ce qu'on a?

Léchant le sang provenant de William sur son poing, Halewyn s'agenouille a côté de lui, lui fait les poches avec célérité et efficacité. Il regarde la carte d'identité d'un oeil neutre et blasé.

Un autre mioche, jsuis pas verni. Au moin je vais m'amuser un brin, cette fichue tempête semble vouloir recommencer. Ca va me faire passer le temp.

Il traine le corp dans la caverne, lui lance un maléfice de jambencoton pour qu'il ne puisse pas se sauver. Il le déleste de ses objets personnels qu'il jette dehors, a côté de ses raquettes.

Il revient devant William, pose sa grosse botte sur la main et pèse juste assez pour que les os craquent et que la douleur le réveille.

Invité

Hum. Un jour viendra où le pays des rêves prendra plein pouvoir sur le monde de la réalité. Ce nouveau monde s'appelera "Utopie". Bref, passons. Là, n'est pas le sujet. Ce n'est juste qu'un simple débordement de hors jeu. Bref, on s'en foue. Dakota était en ballade. Depuis son arrivé au pays Anglo-saxon, le jeune homme n'avait jamais eut le temps de visiter le pays. Non, c'est pourris comme commencement... On recommence.

13h 00. Dakota sortait d'un repas organisé par la Radio Indépendante à Transmission Magique, pour son ascension au poste de Directeur. Il avait eut droit aux louanges hypocrites, aux courbettes dont on en pense le contraire, ou encore des lèches-culs souhaitant obtenir une promotion. Peu de monde avait l'air sincère. Néanmoins, Dakota remarqua une certaine Summer Taylor qui semblait super. Dakota avait gardé son nom dans un coin de sa tête. Sa raison de se trouver dans cette forêt, c'était qu'il avait besoin de s'isoler, s'aérer l'esprit. Depuis une semaine, Dakota n'avait pas eu une seconde à lui. D'ailleurs, cette floraison de groupe de musique qui apparaissaient et qui souhaitaient être diffusé sur les ondes, étaient de plus en plus encombrant dans son emploie du temps. C'était également dans cette semaine là, qu'avait eut lieu le RDV avec "Raphaël".

La forêt était assez jolie et l'odeur des chênes était agréable surtout pour une digestion assez complexe étant donné que le repas avait été assez lourd. Le bruit de ses pas résonnaient dans cette forêt silencieuse. Du moins, jusqu'à un bruit sourd se fit entendre. Comme une personne tombant au sol. Instinctivement, Dakota plongea sa main dans sa robe pour saisir sa baguette qu'il ressortit avec dextérité. Dakota tendit l'oreille, mais aussi se concentra augmentant quelques soient peu le développement de ses autres sens dont l'un est fortement altéré du fait de son daltonisme. Après quelques mètres, un homme était debout sur la main d'un jeune homme dont ce dernier venait de se réveiller suite à une profonde douleur. Dakota sauta dans la tite clairière et prononça rapidement:

|| Dakota => Expellicorpus! [Expello: éjecter, corpus: corps]

Sujet: Re: Foret d'Ostrelande Lun 1 Jan 2007 - 0:37

hj: je rappelle qu'one st dans la caverne Wink

Le pied sur la main de William, Halewyn relève soudain la tête, le crissement de pas sur la neige se fait de nouveau entendre, suivit d,une éclat de lumière pendant que la couverture se fait tasser. L'expellicorpus se fait entendre, il se baisse rapidement, le sortilège lui frôlant les cheveux et faisant éclater un bout de peinture rupestre. Il n'avait pas sa baguette en main.

On se calme mec. C'est mon neveu, je lui enseignait l'art de la survie en bois. Pas de ma faute s'il ne regarde pas ou il va. Il s'est mangé le haut de l'entrée en pleine poire.

Il enlève son pied de sur la main de Heargrave, espère en lui même que le gamin ait la mâchoire fracturée par son coup de poing. Ou tout au moin qu'il se réveillera pas tout de suite. Le regard d'acier se pose sans ciller sur les prunelles grises de Dakota. Il montre ses mains vides.

Et qui dit survie en forêt dit habituellement seul. A part achaler le monde dans leur solitude qu'est ce que tu fais ici?

Invité

Avant même qu'il ai put bouge le petit doigt, Will se reçut une bonne droite dans la figure et s'écroula, inanimé, sur le sol dur et froid. Il n'eut même pas concience qu'on le trainait dans la caverne, trop occupé à rêver de la fameuse pièce qui hantait ses rêves...

William était debout dans ce petit cagibi sans espace, illuminée par un néon à la lueur incertaine. Les fenêtres condamnées par des planches de bois pourri étrangement solide. Un lavabo dans un coin de la pièce, probablement cassé, laissait fuir de l'eau qui s'écoulait bizarrement, en diagonal, et qui coulait sur le plancher terne et poussièreux. Le jeune homme vacillait, les pieds collés au sol, sans pouvoir bouger. Le déséquilibre commença à le gagner et, sans pouvoir décoller ses pied du sol, Will essayait de rétablir son équilibre mais il tomba en arrière et ses basket décidèrent enfin de le laisser libre de ses mouvements. Le jeune homme se traîna jusqu'au fond de la pièce à côté du lavabo et regarda l'eau couler. Le sol commençait à basculer lentement et...

... Et une douleur cuisante à la main brouilla l'image de lui même. Il se demandait quelle était donc cette douleur bizarre. Will était dans les vappes. Tout ce qu'il percevait c'était le rythme de sa respiration, son odeur fraîche et douce qui rappellait celle de froids matins d'hiver, la rudesse du sol et cette douleur à la main. Une phrase parvint à son cerveau léthargique :

Halewyn - "On se calme mec. C'est mon neveu, je lui enseignait l'art de la survie en bois. Pas de ma faute s'il ne regarde pas ou il va. Il s'est mangé le haut de l'entrée en pleine poire."

La douleur se fut moins cuisante mais il n'arrivait plus à bouger ses doigts : ils étaient cassés !

Halewyn - "Et qui dit survie en forêt dit habituellement seul. A part achaler le monde dans leur solitude qu'est ce que tu fais ici ?"

Will roula sur le côté et grogna :

Putain !

Il inspecta ses doigts cassés et s'apperçut qu'il ne pouvait plus bouger les jmabes. Will se redressa en position assise tant bien que mal et apperçu son agresseur et un autre type, sa baguette à la main.

Hé ! Non mais c'est quoi ce délire ! L'autre il m'en fous une dans la gueule sans raison ! Vous êtes qui, vous, bande de tarés !?

Sujet: Re: Foret d'Ostrelande Lun 1 Jan 2007 - 20:17

hj: on est dans une caverne, je vais passer ca sur le compte du coup que t'a recu en pleine poire.

Bon, ce qu'un pan de mur peut faire... Baisse ca mec, tu m'énerve.

Halewyn se baisse, prend son "neveu" par les épaules et le redresse. Puis il essuie la coulisse de sang sur le bord de la gueule de celui-ci. Il lui murmure de facon a ce que seul le gosse entende tout en examinant les iris.

William peut voir les prunelles d'acier se teinter d'une lueur rouge flamboyante et malsaine. Le feu dans la petite caverne semble baisser subitement, les ombres s'épaississant.

C'est lui que je voulais choper pas toi... Si tu dis quelque chose cependant tu le regrettera.

Il prend la main du gosse, fait jouer les os. Dit d'une voix forte et claire. Les prunelles rougeoyantes reprennent leur teinte grises.

Tu t'es pas manqué Willi mais t'a rien de cassé. Dors un peu, l'autre épais et moi allons discuter dehors.

Il prend une couverture dans son paquetage, la dépose sur le mioche. Il se relève, se dirige droit sur Dakota en prenant sa parka au passage.

Sois tu dégage sois je te fais dégager. Faut bien être dans la forêt pour avoir des connards se pointant en sauvage.Allez dehors...

Invité

Voilà une semaine que la Botaniste était sortie de son sommeil de plus de quatre-vingt ans. Elle avait toujours l’apparence d’une jeune femme de 20 ans. Une apparence d’ailleurs, plus qu’avantageuse. Vêtue non pas d’une robe de sorcier, mais d’une tenue moulante verte, avec un voile rouge posé sur ses cheveux de la même couleur rubis et camouflant son visage. Ainsi on ne voyait d’elle que ses yeux, décorés par un masque vert, et ses formes plus qu'intéressantes. Ses hauts talons lui donnaient une allure de femme fatale et cette allure lui correspondait bien. Sa beauté était aussi empoisonnée que celle d’une plante aux toxines foudroyantes.

Lors de son évasion, son premier réflexe fut un retour aux sources. Ses sources étaient évidemment la nature. Elle choisit la forêt d’Ostrelande pour cela. Hélas nous sommes en plein hiver et la Nature sommeille durant cette période, mais cela n’allait certainement pas arrêter La Botaniste. La neige régnait en maître sur la forêt mis à part dans une petite clairière. Celle-ci abritait un petit lac qui en temps normal devrait être gelé, mais au contraire son eau était limpide et voluptueuse. La neige était comme repoussée à cet endroit, elle formait un cercle tout autour mais aucun flocon n’avait sa place dans ce périmètre. A l’inverse, à l’intérieur de ce périmètre, il semblait que le printemps régnait. L’herbe était verte, les bourgeons des fleurs avaient éclot, l’endroit rayonnait de lumière et de chaleur.

Mais il y avait une chose encore plus surprenante. Une femme à la chevelure rougeoyant se baignait totalement dénudée dans le lac. Elle semblait ne pas avoir du tout froid, elle se frottait le cou avec des pétales de roses blanches éparpillées à la surface de l’eau autour d’elle. L’image était tout bonnement céleste, quiconque arriverait dans cette clairière à ce moment là serait séduit immédiatement, mais rare sont ceux qui ont déjà vu la Nature au paroxysme de sa splendeur… La Botaniste finit par sortir du lac, toujours dénudée. Elle marchait pied nu sur la mousse verte du sol de la clairière. Son allure était svelte et séraphique, elle semblait don son élément et l’élément semblait être avec elle. Une symbiose que même le plus grand peintre de l’histoire ne sera tirer.

Elle s’approcha d’un rosier grimpa aux fleurs roses. Elle en huma l’odeur tout en fermant les yeux. Les fleurs tournèrent leur visage vers elle comme si elles la reconnaissaient et cherchaient à communiquer. Soudain les yeux pétillant de la Botaniste s’ouvrirent brusquement et elles se mit à leur parler.

|| Poison Ivy ~ « Que me dites-vous mes jolies ? Nous ne sommes pas seules dans cette forêt… Et qui plus est, il est là… Et bien… allons voir… »

La Botaniste repris sa marche dans la clairière, une branche d’un vieux chêne s’abaissa et lui tendit sa tunique verte ornée de motifs rouges. Elle l’enfila et pris sa baguette dans sa main droite puis s’éloigna quelque peu de la clairière avant de se retourner vers elle.

|| Poison Ivy ~ « Il faut toujours rendre son apparence originelle à Mère Nature… »

La Botaniste pointa sa baguette sur la clairière et fit un léger mouvement du poignet. Aussitôt le lac se gela, la neige envahit la clairière et rien ne laissait présager qu’il y a quelques minutes le printemps régnait en maître sur l’hiver ici. La Botaniste se retourna et pris la direction du Nord. Elle s’élança dans une course folle telle une biche effarouchée. Toujours en ligne droite, la nature elle-même semblait lui frayer un passage à travers cette forêt réputée pour son accessibilité peu suave. Sa cours dura une bonne dizaine de minutes puis elle s’arrêta sans aucun bruit. Elle entendit des voix émanant d’une grotte à une vingtaine de mètres. La Botaniste, à l’allure cette fois féline, était camouflée derrière un épais buisson. Elle vit deux hommes à l’entrée de la grotte dont un qui la fit sourire instantanément. La Nature avait bien porté le message et ne s’était pas trompée, c’était lui. La Botaniste posa sa main gauche sur ses lèvres puis souffla comme de la même manière que pour envoyer des baisers. Elle était hors de portée de vue mais savait utiliser d’autre sens pour envoyer des messages et celui-ci était particulier. En effet son souffle se transforma en une légère brise qui se dirigea vers les deux hommes. Cette brise avait une odeur de moisissure, une odeur de renfermée, une odeur humide, une odeur repoussante, une odeur caractéristique de celle d’une cellule de prison où un mâle a été retenu pendant un moment.

L’odeur parvint jusqu’aux deux hommes mais La Botaniste savait qu’un seul d’entre eux comprendrait le message. Enfin il serait dans la confusion la plus profonde mais c’est ce qu’elle cherchait en somme. Après quelques minutes elle finit par s’avancer vers la grotte et se planta devant l’entrée. Les deux hommes se retournèrent lorsqu’elle survint.

|| Poison Ivy ~ « On est chez les scouts ici ?»

Invité

Apparemment, l'autre homme avec sa baguette n'était pas là pour lui faire du mal, tout le contraire de l'autre psycopathe ! Soudain, William se sentit attrappé par les épaules et soulevé... par le psycopathe. Ses iris autrefois gris se tintèrent d'une lueur rouge et malveillante. La seule personne qu'il avait déjà vu faire ça, c'était son mangemort de père, lui aussi psycopathe. Il essuya quelque chose au bord de son visage... du sang. Son sang ! Will déglutit et l'évadé susura :

Halewyn - "C'est lui que je voulais choper pas toi... Si tu dis quelque chose cependant tu le regrettera."

Will n'y coyais pas une seule seconde, d'ailleurs il se fouttait de "le regretter". L'évadé psycopathe prit sa main brisée et fit jouer les os. William poussa un cri de douleur et retira vivement sa main. Au moins, ses os étaine à peu près remit en place...

Halewyn - "Tu t'es pas manqué Willy mais t'a rien de cassé. Dors un peu, l'autre épais et moi allons discuter dehors."

Willy ?! Personne n'a le droit de l'appeller "Willy" à part sa demi-soeur adorée ! Pour qui il se prend ce pauvre type ?! L'autre malade le lâcha et il retomba par-terre et se reçut une couverture dans la tête. Plus furieux que jamais, William repoussa la couverture, rampa vers le psycopathe et lui donna un violent coup d'épaule au creux du genou en hurlant :

Ne m'appelle plus jamais "Willy" ! Et puis je suis pas ton neveu, je te connais pas et tu m'a fraquassé la gueule ! Vas-y, tu-moi j'en ai rien à faire ! Espèce d'enfoiré ! Connard !

India - « On est chez les scouts ici ?»

Will vit une jeune femme, non loin d'eux.

Invité

Mwé. Pathétique, cet homme là. Et en plus, il croyait que Dakota allait le croire. Ce dernier n'était pas dupe. Même si il faisait sombre dans cette grotte et que sa vision en noir et blanc ne lui permettait pas de voir grand chose, il savait pertinament que l'être lui mentait même si c'était avec vertuosité. Dakota Almadovar brandit sa baguette et murmura l'incantation de la lumière. Un fin trait jaillit de sa baguette et éclaira la grotte comme en plein soleil. Dakota y voyait déjà mieux. Il regarda longuement Halewyn, bien qu'il ignorait son nom, et le garçon qui reprit connaissance peu de temps après la lancé de son sortilège d'expulsion humaine. Il écouta le gamin parler puis il regarda Halewyn. Dakota s'appreta à répondre mais une tierce personne arriva sur les lieux.

Accoutrement étrange, tête étrange, physique étrange, ... Bref, tout était étrange. Dakota regarda l'homme puis la femme et enfin le gamin. Quel serait la nouvelle connerie de l'homme? La nouvelle arrivante... Serait elle la femme de ce dernier? Ou juste sa soeur? Ou peut être même la mère du gamin? Dakota regarda les deux adultes avec mépris et défit. Il regarda à nouveau Halewyn. Sa tête lui disait quelque chose, sans vraiment lui rappeler quoi. Dakota l'ouvrit.

|| Dakota => Comme j'avais pensé, ce n'est pas moins ton neveu que moi, son grand père. Et elle. Dit il en pointant du doigt la femme. C'est sa mère? Tante? Ou ta femme? Laisse moi rire.

Il s'approcha du gamin qui s'était éloigné de Halewyn et il se mit devant lui, comme pour le protéger. Il brandit à nouveau sa baguette et il leur dit:

|| Dakota => Qui que vous soyez, vous n'avez rien à faire ici. Je n'ai peut être aucune autorité, mais votre accoutrement est suffisament étrange pour éveiller des soupçons si je vais en parler à la brigade d'intervention magique. Alors vous arretez de vous en prendre au mome, et c'est fini.

Sujet: Re: Foret d'Ostrelande Mar 2 Jan 2007 - 18:56

Cette brise a une odeur de moisissure, une odeur de renfermée, une odeur humide, une odeur repoussante, une odeur caractéristique de celle d’une cellule de prison où un mâle a été retenu pendant un moment. Message explicite, quelqu'un le connait... mais qui?

Ca distrait Halewyn juste assez longtemp pour qu'il perde le fil de sa conversation. Lorsque la femme arrive, il ne peut s'empêcher de lever les yeux au ciel. Il lève le nez, enregistrant malgré lui les paroles du jeune. Et le mouvement de Dakota. Mais il ne bouge pas, fixant la femme, L'odeur de son cachot ayant attisé sa folie. Le regard rouge, regard de prédateur. La faune et la flore. Il sait pas d'où elle sort, mais il reconnait des alliés naturels quand il en voit.

Un sourire carnassier étire les lèvres de l'homme.

|| Dakota => Comme j'avais pensé, ce n'est pas moins ton neveu que moi, son grand père. Et elle. Dit il en pointant du doigt la femme. C'est sa mère? Tante? Ou ta femme? Laisse moi rire
Il ignore Dakota

Non, on n'est pas chez les scouts, mais t'arrive pile poil pour le méchoui.

Il pointe derrière lui, en direction de Dakota.

=> Qui que vous soyez, vous n'avez rien à faire ici. Je n'ai peut être aucune autorité, mais votre accoutrement est suffisament étrange pour éveiller des soupçons si je vais en parler à la brigade d'intervention magique. Alors vous arretez de vous en prendre au mome, et c'est fini

Halewyn tourne la tête, l'homme peut voir l'éclat sanglant du regard.

Toi t'aurais mieux fait de te taire et de te mêler de tes oignons.

Un geste brusque, puis Halewyn n'est plus là. l'entrée de la caverne, couverte de neige tassée et de traces de pas camoufle ses traces.

La baguette de Dakota est brusquement pointée vers le bas tandis que l'assassin réapparait à côté de lui. Il lui assène un coup de manchette sur le nez, le lui cassant, tout en tordant le poignet pour la lui enlever.

Je déteste qu'on... *coup de poing dans l'estomac*... se mêle de mes affaire* finit par arracher la baguette, mais continue à taper*

Invité

Mwé. Pas vraiment terrible se disait le jeune homme. En effet Dakota n'avait pas vraiment l'air de quelqu'un de terrifié, ni de stressé comme lorsqu'une personne sait qu'il va se passer quelques choses mais dont elle ignore ce que sera cette chose. Non, lui, il ne manifestait rien de tout cela. Ce dernier, toujours près de William, vit Halewyn s'approcher de lui à grand pas. Pis, plus rien. L'autre déglingué réapparut et lui mit un coup de manchette sur le nez, le lui cassant. Pis, il se prit un coup de poing dans le ventre, et il lâcha sa baguette, tombant au sol, tout en se maintenant le nez avec l'une de ses mains, l'autre était occupé. En effet, l'autre taret essayait de lui casser.

Après quelques secondes, il parvint à enlever son poignet de l'étreinte du malade mentale, et esquivant un coup de pied, il attrapa une pierre qui jonchait le sol, et en se levant avec la dextérité d'un chat, il asséna un violent coups dans la tête de Halewyn. On aurait pu se dire qu'avec la douleur qui lui lnçait de part le nez, il n'aurait plus la force de bouger, mais quelque part en lui, il savait que si il ne faisait rien, c'était à Ste mangouste qu'il finirait, voir dans un cercueil et ressortir de cette grotte les deux pieds devants. Peut être était ce l'instinc de survie, ou tout simplement une bonne dose d'adrénaline? Je n'en sais rien, mais Dakota put récupérer sa baguette que l'autre avait fait tombé lorsqu'il s'était prit la pierre en pleine face. La manipulant avec grâce, il murmura deux incantations en direction de son nez.

|| Dakota => Tergeo! Ferula!

Ces deux sorts, l'un pour enlever le sang, l'autre pour remettre le nez en place accompagné d'un petit bandage, ils lui remirent les esprits en place malgré la douleur qui lui lacérait le nez. Il brandit sa baguette et la pointant sur Halewyn, il murmura:

|| Dakota, accompagné de quelques moulinets => Lumos maxima!

La grotte fut éclairée par une puissante lumière, puis instinctivement, il attrapa le bras du gamin et il lui dit d'une voix pressante.

|| Dakota => Faut y aller! Allez, viens!

Invité

La Botaniste était plantée devant l’entrée de la grotte, le dos cambré, les bras croisée, regardant tour à tour chaque personne présente. L’atmosphère était pesante, le plus jeune des trois hommes étaient un peu plus loin visiblement mal en point. Les deux autres se faisaient quasiment face, La Botaniste les fixaient comme si elle attendait un combat de coq. Mais il en fut autrement, un des deux hommes pointa son doigt sur La Botaniste et elle en fut outrée. L’homme venait inconsciemment de tirer un trait sur sa possibilité de sortir de cette forêt. De plus il continua à la provoquer en voulant aller prévenir les autorités.

La Botaniste ne bougea pas pour le moment et ce fut d’ailleurs Halewyn qui fit le premier pas. Il se jeta sur l’homme provocateur et lui asséna un violent coup sur le visage. La Botaniste en profita pour rentrer plus en profondeur dans la grotte où tout le monde se trouvait à présent. Le combat à mains nues continuait entre les deux hommes, cela émoustillait la Botaniste. Elle vit le retournement de situation se produire lorsque l’homme attrapa une pierre et l’envoya directement sur le visage d’Halewyn.

La Botaniste ne bougeait toujours pas, elle était appuyée contre le mur de la caverne légèrement dans l’ombre. Même lorsqu’elle ne faisait rien son attitude était sexy et envoûtante. Elle regarda l’homme se soigner maladroitement le nez avec quelques maléfices inappropriés puis pointa sa baguette sur Halewyn dans le but de l’éblouir. En effet la grotte fut éclairée vivement mais visiblement La Botaniste réussit à se faire oublier.

L’homme attrapa le garçon par le bras et l’incita à sortir. Un léger sourire apparu sur le visage de la Botaniste. Elle se détacha du mur et s’avança alors que les deux individus atteignaient presque l’entrée de la grotte. La Botaniste pointa instantanément sa baguette sur le sol de la grotte. Promptement de grosses racines sortirent du sol meuble de la grotte et fondirent sur les jambes des deux individus pour les harponner. Ils trébuchèrent instantanément et se trouvèrent à plat ventre sur le sol. La tête de l’homme le plus âgé avait lourdement cogné contre un roc à terre et saignait abondamment, le plus jeune d’entre eux quant à lui était aussi allongé au sol et ne bougeait plus, toute fois il ne semblait pas tellement endommagé.

Les racines plaquaient fermement les deux corps au sol et la Botaniste vint les caresser en signe de récompense. Elle tourna enfin son regard azur vers Halewyn toujours au fond de la grotte.

Poison Ivy ~ « La finesse légendaire des hommes… »

Elle se releva et alla rejoindre Halewyn au fond de la grotte pour voir si il allait bien.

Sujet: Re: Foret d'Ostrelande Dim 7 Jan 2007 - 18:53

hj: le style de rp ne concerne que le perso et ne reflète aucunement l'opinion de l'écrivaine

A l'aveuglette, une pierre lui passe a deux pouces du visage. Simulant une blessure, Halewyn fait une retraite stratégique.

Il entend l'autre cave incanter in sort de lumière. Par réflexe, il se cache les yeux du revers du bras et attend, tendant l'oreille.

Faut y aller! Allez, viens!

Il libère ses yeux, sort rapidement une dague, vise et lance. Mais la botaniste utlise un sortilàge qui els cloue au sol. Par chance... La dague d'Hale passe à un centimètre dû dos de Dakota et se fiche dans la paroie humide de la caverne.

« La finesse légendaire des hommes… »

Il se relève d'un bond. Les prunelles rougeoyantes, l'éclat sanglant du regard

Bah, faut savoir retrouver ses racines non?

Il passe a côté d'elle, inspire un coup en passant pour essayer de replacer l'odeur. Songeur, il se penche sur Dakota et l'assomme d'un bon coup de poing sur la tempe avant qu'il ne fasse un autre coup fourré. Il s'agenouille à côté de William

Libère le mioche, j'ai une promesse à remplir.

Il le prend par la gorge, un sourire malveillant se dessine sur les lèvres d'Halewyn

Il a laissé passer sa chance.