Arrivée fracassante...

Invité

¤~~~~~~~~~~~Flash Back~~~~~~~~~~¤

Il était plus de sept heure passé de quelques minutes, en ce matin ensoleillé, les rayons avaient réussi à traverser les courtines cramoisis en velour en rayons obliques se mourrant sur le tapis central de la chambre de Marjorie.Aucun bruits ne se faisant entendre dans la grande chambre réservé aux préfets et préfètes.....tout était encore posé sur sa table qui était prés de l'une des fenêtres, des parchemins déroulé griffonés de multiples choses, la bouteille d'encre juste à côté était encore ouverte un oublié malheureux qui arrivé rarement à Marjorie...la plume était disposé sur un livre de potion qui était ouvert à la page "Les ingrédients indispensable pour la potion d'enflure"...elle avait passé la nuit à revérifier si elle avait bien mis la même chose lors des examens passé...

Juste en dessous de la table se trouvé son sac en bandolière à mi-ouvert, qui, si vous vous rapprochez de plus prés vous verrez qu'il contenait des dizaines de carré de chocolat et des calisson de provence venant du sud de la france.....quelques brindilles d'herbes froissés au fond du sac,sa pochette de lunette, qu'elle ne sortait jamais d'ailleurs, un petit carnet recouvert de cuir marron fonçé trés bien entretenu clouté sur les bords doré magnifiquement, des gravures l'orné sur tout le contour, une ceinture sur le côté le tenait pour fermeture.
Malgré le fait qu'en regardant ce côté vous pensez qu'il règne un désordre, cela n'était pas le cas, tout était parfaitement bien rangé...ses pantoufles était bien disposait en paralleles de son lit comme si elle ne les avait jamais mis.Le couvre lit dans lequel elle était fourré était intact, presque comme si elle le bougeait pas la nuit...Sur une des chaises qui était en avant de son lit avec une petite table de verre, était disposait des vêtements déjà préparé, ils étaient impeccablement bien droit, sans froissure, ses chaussures noirs sous la table même posées l'une à côté de l'autre, parfaitement brillantes et vernis comme sortant directement d'un cordonnier..

Marjorie s'étira soudainement dans son lit tel un chat..elle ouvrit les yeux lentement, et déposa ses bras le long du lit, en contemplant la chambre, comme si c'était la dernière fois..mais malheureusement c'était la dernière fois..elle scruta de droite à gauche comme cherchant quelque chose..un sourire se dessina alors sur son visage..un sourire mélangé de joie et de tristesse...c'était plus de la mélancolie. Elle se redressa et se mit en position assise, soupira et se décida à sortir du lit...elle se rapprocha du bord et sautit à pied joint sur le coté gauche du lit, mettant ses pieds à l'interieur des pantoufles...Elle se tourna vers la porte d'entrée et scruta la montre qui était accroché au mur ,s'aperçevant qu'il était sept heure trente du matin..l'heure de vérité n'était pas encore là..elle li fit dos et se dirigea vers une des fenêtre jetant un regard vers le lac noir, puis un petit bout du terrain de quidditch qu'elle ne voyait pas trés bien.Elle déposa sur main sur la poignet de la fenêtre et l'ouvrit pour prendre l'air..

Hmm....je ne pensais pas que l'année allez passerai aussi vite..c'était comme si je venais d'arriver..

Fit-elle en s'accoudant sur la bordure, le menton posé sur la paume de ses mains, le regard perdu au loin...elle se rappella lorsqu'elle était venu ici, elle ne connaissait personne, sa soeur lui en avait parlé, que ce collège était le meilleur du monde.Que le directeur était peut-être ferme mais d'un bonté incroyable...et trés tolérant, que les professeurs étaient super, de son temps, malheureusement pour Marjorie ils ne l'était pas tous, elle venait de débarqué que déjà un professeur lui faisait la remarque d'être en retard..mais ce fût un début assez difficile pour elle, débarquer à Poudlard en sixième année alors qu'elle avait passé les cinq autre à Beauxbâton.., s'habituer aux cours d'ici, aux professeur, aux mentalités c'était presque mission impossible pensait-elle souvent...mais au fur et à mesure elle avait pris l'habitude, la seule chose jusqu'ici qui n'avait pas changé s'était de se perdre, mais toujours involontairement, car trop pensive..

Toujours le regard au loin, elle se rappela les heures d'entrainement avec l'équipe de quidditch de collège de Beaubâtonx, ah cette équipe qui fût remanier par deux fois faute de bon joueurs, elle en était même capitaine et attrapeuse, une chose qui l'avait rendu follement heureuse...elle capitaine de l'équipe..elle avait toujours rêvé de l'être une fois au moins dans sa vie..et là le rêve s'était réalisé..mais la chose qui l'avais mise dans un était indescriptible, c'était la récéption de sa lettre fin août venant de Poudard lui annonçant qu'une place lui était gardé.

Elle soupira de nouveau à ces pensées et se retira de la fenêtre, se retourna face à la chambre en la contemplant et se décidant à enfin s'habiller et sortir de la chambre..de longues minutes passèrent, une heure environ..elle était enfin habillé d'un pantalon en velour frappé parme et un pull de même couleur en dégradé..ses longs cheveux noir ébènes étaient encore mouillés vers les pointes....elle était fin prête..elle revint dans la chambre, mettant sa main gauche sur une hanche, et de 'autre tendit sa main avec sa baguette, et regardant par où commençer.., son sac qui était au sol encore ouvert se refermit aussitôt ainsi que sa bouteille d'encre qui était posé sur la table et les parchemins se roulèrent rapidement..tout vint se placer à l'interieur de son sac avant que celui-ci se referme..
Elle se retourna de nouveau scrutant la montre, il était maintenant huit heures, l'heure fatidique approché à grand pas, ça y est tout était là, la malle faite, son sac plein..tout était rangé tout était nickel, c'était comme si jamais personne n'avait dormis ici, comme si personne n'avait jamais mis les pieds..pourtant elle était là, elle avait été depuis septembre..elle regrada pour la dernière fois la pièce et se dirigea vers la porte..ses pas n'émettaient aucun bruit dû au tapis qui était disposé sur le sol...elle posa sa main droite sur la poignet doré et l'ouvrit...la traversa d'un pas lent et avant de la refermer derrière elle,elle prononça pour la dernière fois un mot..

Voilà...la dernière fois que je te vois, je m'envais, ce fût un plaisir de dormir ici, d'avoir passé des heures à griffoner mes cours et mes liste de diverses choses..je te laisse, adieu chère chambre...

Dit-elle les larmes aux yeux, le sourire toujours accroché aux lèvres...elle referma la porte et emprunta le long couloir menant vers les autres..tout en marchant sans sac en bandolière sur une des épaules, elle se rappella quand elle s'était perdu dans les couloirs...regardant de droite à gauche cherchant son chemin...elle refaisait les même gestes..désormais elle était agrippé à la rampe des escaliers qu bougeaient..pour une fois tout s'était bien passé, elle décida de passé voir sa salle commune pour la dernière fois, de longues minutes passèrent..

Que de bon souvenirs et de mauvais, des rires et des pleures, des joies et des peines...elle en sortit aussitôt en voyant l'heure qu'affichait la montre suspendu au-dessus de la cheminée, il était plus de huit heure et vingt minutes plus que quelques heures avant de partir d'ici..elle réemprunta le chemin inverse direction le rez-de-chaussée..durant le chemin des élèves discutaient entre eux, riaient..cela lui rappela son amie Eloïsela préfète une amie formidable, Sheryl, elle n'avait pas beaucoup parlé avec elle mais était une jeune fille trés sympathique..elle emprunta les dernière marches avant de toucher le sol menant vers la grande porte de chêne..des serpentards riant et discutaient non discrètement, mais leur écussons lui rapellait, la jeune fille, la jeune qu'elle appéçiait beaucoup, qu'elle prenanit plaisir a aider quelques fois, la petite Marie comme elle se plaisait à la surnommer..elle passa le seuil de la porte..et sortit...

¤~~~~~~~~~~~~Fin du Flash Back~~~~~~~~~~~¤

Un temps rapide passa, elle secoua sa tête en entendant le train siffler et freiner, elle était appuyé contre la vitre et de part la puissance du freinage soudain et l'innatention de Marjorie, elle bascula vers l'avant tête la première heurtant le fauteuil juste en face d'elle..elle réouvrit ses yeux..et se mit à râler toute seule..

Aïeuh...mon nez voilà ça commençe..pff..et mon poignet qui me fait mal maintenant..

Fit-elle en se frottant le nez et se massait le poignet qui s'était foulé en voulant amorcer sa chute sur le fauteuil..des bruits de personnes se faisaient entendre, un chahut comme en plein centre ville, des rires, des engueulades aussi...Marjorie ignora ces sons, et se leva tant bien que mal et prit sa valise qui était posé sur le côté de la cabine dans un genre de placard derrière un rideau et se pressa en direction de la sortie du train..mais une fois deplus elle se fit bousculé et trébucha à même le sol, laissant échapper sa valise et un sac sur le sol, et tombant les mains en avant heurtant le sol de plein fouet..

Invité

A l'aube, dans le Derbyshire au nord de l'Angleterre, on pouvait admirer en toute serénité les paysages verdoyants et respirer l'humidité de l'air. A ces heures, la campagne était encore endormie. Aucun bruit n'était présent, pas même le chant matinal des oiseaux. Les arbres s'élevaient tels des âmes paisibles, droites et protectrices. Le ciel était strié de mille et une couleurs passant de l'ocre orangé au rosé puis enfin au bleu. Ce paysage avait quelque chose d'enchanteur et aurait pu émouvoir n'importe quel coeur. On aurait pu s'attendre à voir surgir à l'autre bout du sentier de pierre qui traversait cette campagne, une jeune fille auréolée par l'aube dont les longs cheveux flotteraient dans son sillage. Cette jeune personne aurait bien pu être la fille de la Déesse Hécate, annonceuse d'une mauvaise nouvelle. Pourtant rien n'apparut au bout du chemin à la grande déception de Gemma Jane Wickam, qui dès le levée du jour s'était échappée de la demeure familiale afin de pouvoir capter pour la dernière fois l'espoir de cette vision. L'herbe pliait et crissait sous les pieds nus de la jeune fille. Celle-ci était vêtue du plus simple appareil : sa chemise de nuit ornée de dentelle blanche et d'une simple cape noir qui cachée ses formes et sa nudité à peine dévoilée. Ses cheveux tombaient librement dans son dos, en cascade. Elle n'avait pris ni le temps ni la peine de les peigner, trop heureuse à l'idée de pouvoir s'échapper de chez elle, l'espace d'un instant.

"Comme c'est beau," chuchota-t-elle au bouleau. "Ce jardin qui dort encore et qui ne pense pas aux hommes..."

Mais déjà les bruits d'une voiture sur le sentier tortueux de pierre venait briser ce règne. Gemma Jane sursauta puis fronça les sourcils tout en rabattant les pans de sa cape sur son corps. La jeune fille se tenait à quelques mètres du sentier. De son regard bleu glacé, elle observa la voiture qui arrivait lentement. Un sourire illumina son visage. Elle avait reconnut dans las personne du chauffeur, le laitier de sa famille, un jeune homme un peu plus âgé qu'elle et qui, chaque matin, distribuait le lait à la famille Wickam. Gemma Jane se dirigea à grand pas vers la voiture tout en faisant de grand geste à son conducteur. Ce dernier, en reconnaissant Gemma, s'arrêta. Gemma Jane courut jusqu'à la voiture et grimpa à son bord afin de rentrer chez elle le plus vite possible. En se promenant dans la campagne, la jeune fille avait perdu la notion du temps et devait absolument rentrer chez elle avant que l'on ne s'aperçoive de sa fuite. Le jeune laitier arqua un sourcil en voyant Gemma Jane accoutrée d'une manière assez indécente et pieds nus. En retour à ce regard, Gemma adressa au jeune homme un large sourire innocent. Mais elle ne dit rien. Elle se contenta de tourner la tête puis posa son front contre la vitre glacée afin d'observer le paysage du Derbyshire défilé sous ses yeux.

"Adieu mon amour..." murmura Gemma à la nature.

Lorsque la voiture arriva à quelque mètres de la demeure des Wickam, Gemma Jane demanda au jeune laitier de s'arrêter. La jeune fille rentrerait par derrière. Elle ne pouvait se permettre de rentrer par la porte principale et ainsi se faire remarquer par ses parents et par toute la maisonnée. Gemma claqua doucement la portière du véhicule et adressa un bref signe de la main au jeune laitier qui poursuivit sa route. Gemma Jane partit en courant. La jeune fille traversa l'immense jardin du manoir familliale et arriva bientôt derrière l'imposante demeure des Wickam. Sa chambre était située au deuxième étage de la maison. Gemma pénétra par une porte extèrieure dans la cuisine. Il n'y avait pas d'employées de maison occupées dans la pièce à ce moment-là et Gemma Jane en profita pour monter dans sa chambre en empruntant un petit escalier caché derrière un pan du mur. La demeure des Wickam était tellement ancienne qu'elle recelait de nombreux secrets que Gemma, au cours de ses années de jeunesse, avait tenté de découvrir.

"Jusque-là, tout va bien..." pensa la jeune fille avec soulagement.

Mais quand elle pénétra dans sa chambre, Gemma Jane se retrouva face à sa mère. La colère et la crainte était peinte sur le visage de cette dernière qui, en voyant arriver sa fille, se levant du fauteuil dans lequel elle était assise et se mit à la sermoner. Mme Wickam était une femme de taille moyenne, à la silhouette très élégante. Elle avait un visage sévère et dur et se coiffait toujours d'un imposant chignon dans le bas de sa nuque. Avec poigne, elle empoigna sa fille par le bras et la força à s'assoir sur la chaise ou elle-même attendait précédement.

"Je me lève quand il fait encore noir, je vais dans ta chambre pour voir si tu ne t'es pas découverte en dormant et je ne te retrouve plus dans ton lit !" s'exclama-t-elle énervée.

"Mère ne vous...." commença Gemma Jane.

"Tu es sortie, et dans cette tenue....Habille-toi et viens prendre ton petit déjeuner. Je n'en parlerai pas à ton père car tu nous quitte."

Sur ces mots, Mme Wickam quitta la pièce. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, Mme Wickam n'était pas inquiète pour sa fille mais plutôt pour la réputation de sa famille. Si l'on avait vu la petite Gemma Jane Wickam sortir en chemise de nuit dans la campagne, cela aurait été terrible. La famille Wickam habitait à proximité de la commune de Highbury, une commune moldue vieillote où les gens n'avaient rien d'autres à faire que de s'occuper des affaires de leurs voisins. Les Wickam ne se mêlaient jamais aux habitants de Highbury car, en dépit qu'ils soient tous moldus, étaient aussi des personnes pauvres et ignorantes, dénuées de tout interet. De plus, des bruits couraient en ville sur l'étrangeté des Wickam et sur la possibilité qu'ils soient... différents !

L'humeur de Gemma Jane fut gâtée. Mais la jeune fille ne se laissa pas abattre car aujourd'hui était un grand jour. Elle retournait à Poudlard. Les bagages de la jeune fille étaient déjà bouclés depuis deux jours au moins et elle ne tenait plus en place. L'excitation de retourner à Poudlard l'empêcher de se départir de son petit sourire insolent et la seule chose qui lui mettait du vague à l'âme était de quitter la région du Derbyshire. Gemma se donna un ultime coup de peigne qui mit fin à la préparation de sa tenue. La jeune fille portait une longue robe blanche et rouge ceinturée à la taille, une robe de sorcière à laquelle elle avait adapté une touche moldue. Gemma Jane se dirigea vers son miroir et y contempla son reflet avec un sourire satisfait.
"Parfait," ne put-elle s'empêcher d'ajouter pour elle-même.

Gemma Jane se dirigea vers son lit, s'agenouilla et sortit de dessous la valise qui l'accompagnerait à Poudlard. Elle en saisit l'anse et quitta prestement sa chambre sans y jeter un ultime regard. Après tout, elle y reviendrait l'année suivante. Gemma descendit les escaliers principaux de la demeure tout en prenant soin de ne pas heurter sa valise au marbre. La jeune fille déposa sa lourde malle dans le vestibule et se dirigea vers la salle à manger pour engloutir son dernier petit déjeuner dans le Derbysire.

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Gemma Jane ouvrit les yeux et s'étira. Le Poudlard Express venait de siffler et de freiner. Les voyageurs étaient arrivés à Poudlard. Gemma se leva et attrapa sa valise qui se trouvait dans un filet à bagage. La valise était lourde et Gemma Jane la laissa maladroitement tomber sur la banquette du train. Elle leva les yeux au ciel en signe d'exapsération puis saisit l'anse et quitta le compartiment. Les élèves riaient et criaient dans les couloirs du train. Ils n'avaient qu'une hâte, en sortir. Enfin, la porte du Poudlard Express s'ouvrit et tous se précipitèrent telles des furies hors du train. Devant Gemma, un jeune garçon bouscula une jeune fille qui tomba sur le sol. Gemma posa sa malle est s'approcha de la jeune fille afin de lui apporter son aide.

"Est-ce que tu vas bien ?" lui demanda-t-elle en lui tendant la main pour l'aider à se relever. "Y en a qui ne sont vraiment pas gonflés !"