Irish Pub OUVERT A TOUS !!!! ^^

Invité

|| Londres, tard le soir, toutes les lumières de la ville étaient éteintes, la nuit étant déjà bien avancée, tout le monde dormait, la nuit était paisible. Pourtant, dans un petit quartier de la ville, des sons émanaient d’un Irish Pub, comment il y en avaient tant dans la métropole. Des sons, oui, de la musique à vrai dire, la fête battait son plein à l’intérieur, des chansons, de la musique, de la danse, tout ce qui pouvait rappeler l’Irlande, le pays du trèfle, pays de la bonne de la joie et de la bonne humeur, où tout le monde vous sourie, où personne ne vous juge (parenthèse obligatoire xD, personne ne vous juge, à part par rapport à votre religion lol), tout le monde sourie, tout le monde rit, tout le monde danse et chante. ||

|| À peine entré dans la pièce, l’on était transporté, transporté outre la mer qui sépare l’Angleterre et la douce île qu’est l’Irlande, la musique, jouée par les violons, les accordéons, bodrans, flûtes et autres guitares, retentissaient. La fumée de pipes et de cigarettes, formant une légère brume, donnait au lieu un caractère des plus authentiques. Entré dans le pub, et après avoir descendu la petite marche, dangereuse selon certains (les plaignants n’étant souvent pas les plus sobres), on fait face au bar ,qui se trouve environ dix mètres plus loin ,et s’étend sur le trois quarts de la largeur, et vend de l’alcool à profusion : whisky, bière, rhum, vodka, tout ce que le gosier d’un homme normalement constitué peut ingurgiter (et il faut dire que, pour les Irlandais, un homme normalement constitué peut boire 3 fois plus qu’une personne normalement constituée du barème universel). Sur la gauche du bar se trouve une petite scène, s’élevant à environ une dizaine de centimètres plus haut que le sol, sur cette scène se trouvent les musiciens jouant des airs entraînants qui vous font danser jusqu’à la fin de la nuit, juste devant cette scène se trouve une vaste place qui laisse le loisir aux gens de danser jusqu’à ce que leur jambes ne les portent plus (il faut souvent appeler des taxis pour que les gens puissent rentrer chez eux). ||

|| Le pub fait une longueur total, vu depuis la porte, d’environ treize mètres, pour un largeur d’une vingtaine de mètres, un pub modeste en somme toute, et c’est tout cela qui rendait son authenticité, il était piqué de six colonnes de bois, s’étalant sur deux lignes et ordonnées en rangé de trois, entre ces colonnes se trouvaient les tables de bois, où s’asseyaient les clients du pubs. Les clients, mais quels clients me direz-vous ? Il y en avait de tous âge et de toute le classes sociales, le plus riches aimant se fondre dans la masse, mais facilement reconnaissable au fait qu’ils n’allaient jamais danser avec les plus pauvres. Il y en avait aussi de tous sexes, les familles Irlandaises des environs se rendant dans ce pub pour parler, refaire le monde autour d’une boisson ou d’un repas mais surtout, pour faire la fête et oublier les tracas du quotidien. ||

|| Oublier les tracas du quotidien, mais comment me direz-vous ? Et bien tout simplement en dansant et en chantant, en effet un tel esprit d’amitié et de camaraderie régnait en ces lieux que tout le monde ne penser qu’à rire et s’amuser. Un bon exemple à cet argument était le petit groupe masculin qui se trouvait sur scène, juste devant les musiciens, chantants à tue-tête, une bière à la main ; que serait un petit groupe d’homme chantant à tue-tête dans un pub Irlandais sans bière à la main, me direz vous, et bien je trouvais simplement justifié de le noter, na, bon, revenons à nos moutons ; ce groupe chantait à tue-tête (merci, je sais que je l’ai déjà dit, mais vous m’interrompez tout le temps, il faut donc bien que je le rappelle !) une chanson bien connue dans les pubs, Irlandais ou non. ||

He must have been an admiral a sultan or a king,
and to his praises we shall always sing.
Look what he has done for us he's filled us up with cheer!
Lord bless Charlie Mops, the man who invented beer
beer beer beer beer beer.

|| Et oui, le traditionel hymne à Charlie Mops, l’inventeur de la bière, retentissait pour la énième fois dans le pub, les hommes le chantant se tenant d’un bras sur l’épaule, leur chope de bière tenue dans l’autre, chope qui se balançait au rythme de la chanson, voilà un bon exemple de la camaraderie régnante dans ces lieux ; inutile de préciser que, la chanson finie, les hommes finirent leur chopes d’une traite. ||

|| Mais la fête n’était pas finie, elle ne faisait d’ailleurs que commencer, déjà un autre air, au violon seul cette fois-ci, retentissait, la plus part des hommes, préférant aller se chercher une nouvelle chope de bière, descendirent de la scène ne laissant plus que deux ou trois hommes seuls, qui commencèrent, au son du violon, à danser, tapant le sol de leur chaussures, oui, des claquettes retentissaient à présent, ils allaient de plus en plus vite et leurs pats retentissaient à l’unisson dans le petit bar, bientôt, d’autres personnes vinrent se joindre à eux, hommes, femmes, enfants, ces derniers essayant, sans succès, d’imiter leurs aînés, dansaient à présent à l’unisson, sourire aux lèvres, leur bras se balançant tranquillement des deux côtés de leur corps. ||

|| Alex O’Brian faisait partie de ce petit groupe, à vrai dire il n’avait pas arrêté de danser ou, lorsqu’il avait besoin de reposer ses jambes endolories, de chanter en cœur avec les gens qui l’entouraient. Ce jeune homme, d’environ 1m80, les cheveux bruns lui arrivant environ vers le mentons, les yeux bruns eux aussi et le regard pétillant, se trouvait pratiquement tous les soirs en ces lieux ; en fait, aussi souvent que son métier d’auror le lui permettait, personne ne sachant qu’il était sorcier, le pub étant effectivement un pub moldu, mais qu’il appréciait par-dessus tout. La chanson se termina bientôt et Alex s’apprêtait à aller rejoindre une place assise pour se reposer un peu, lorsqu’il sentit quelque chose tirer sur son pantalon, il se retourna et fit alors face à une petite fille, blonde, avec une jolie jupe rose et un t-shirt assortit de la même couleur, les bras croisés et montrant son mécontentement de par l’expression faciale qu’elle arborait, Alex fit un petit sourire attendrit. ||

* Hugin * « Qui a-t-il, Rose ? »[/b]

« Tu m’avais promis de danser avec moi, et la tu vas t’asseoir, t’es un menteur, ze t’aime plus ! »

|| Répliqua la petite fille, qui ne devait guère être âgée de plus de 5 ans, en croisant encore plus les bras. ||

* Hugin * « Ooooh, désolé ma princesse, j’avais complètement oublié. »

|| Répondit-il en se mettant à croupi devant la petite demoiselle, ressemblant de très près à un petit ange en colère. Puis ; posant un genoux à terre, il continua. ||

* Hugin * « On va danser maintenant si tu veux. »

« Alors non, ze t’en veux plus. »

* Hugin * « Ah ! Alors je suis rassuré, que ce serait-il passé si ma future femme ne m’avait pas pardonné ?! »

|| En effet, la petite fille avait affirmé de vive-voix à sa maman que, plus tard, Alex serait son mari, ce qui avait fait sourire le jeune homme. Il lui sourit alors et la souleva, se dirigeant vers la piste de danse et ne manquant pas de faire un petit clin d’œil à la maman de la petite demoiselle, cette première étant en train d’allaiter son petit nouveau-né, la dame en question lui répondit d’un sourire et Alex, à présent sur la piste de danse, commença à danser avec la petite fille qu’il tenait dans les bras, la tenant comme si ils dansaient une valse, sourire attendrit aux lèvres, évidemment. ||

Invité

Vingt heures. Son service au ministère venait de se terminer, Maleina allait enfin pouvoir rentrer chez elle. Elle avait passé une journée riche en émotion et elle avait bien besoin de se détendre. Une heure plus tard, elle était rendue chez elle. Une heure. Pourquoi tant de temps ? La jeune sorcière aime quelques fois se mêler dans la foule, et se faire passer pour une vraie moldus. Tout comme eux, Maleina suivait la mode, et depuis peu, elle commençait à découvrir la technologie. Et les transports en commun, le métro, les portes qui s’ouvrent et qui se referment on ne sait comment. Presque comme de la … Magie ! Non, ce n’est pas de la magie, mais de la technologie moderne. Enfin bref, Maleina était chez elle, comme tous les soirs, la jeune femme monte les escaliers et rend visite à ses parents dont elle a la charge. Bien sur, ils ne la reconnaissent pas, ils la prennent pour son frère. Jared. A ces mots la jeune femme fait toujours un sourire forcé, et elle leur rappel, comme chaque soir de chaque jour qu’ils ont aussi quatre autres filles du nom de Ambre, Domaris, Ladira et elle-même, Maleina. Et comme chaque soir, ils répètent qu’elle n’est qu’une folle et qu’ils n’ont qu’un seul fils.

Et chaque soir Maleina laissait couler quelques larmes. Sur le canapé du grand salon, Maleina pestait contre son frère. Qu’avait-il fait pour être aussi aimé de nos parents ? Les heures passèrent ainsi, elle tournait dans la maison, le sommeil ne venait pas, la télévision moldus ne montrait rien de très intéressant, et ces questions, cette colère qui tournait et tournait dans son esprit. Elle avait besoin de se vider la tête. Mais oui. Ce pub dont son amie moldus lui avait parlé. Ce pub irlandais, remplie de moldus en tout genre. Fouillant dans une petite boite noire remplie de carte de restaurants et autre, elle trouva enfin la carte de l’Irish Pub. Il n’était pas très loin, environ quelques minutes à pieds. Elle monta vérifier que ses parents étaient profondément endormis et elle partie vêtue d’une robe noire et blanche, un cache cœur sur les épaule.

Les rues étaient vides, à travers les fenêtres, on apercevait quelques faibles lumières ou le reflets de la télévision sur les vitres. Le silence régnait seule les talons de la jeune femme claquait régulièrement sur le sol. Et voila, elle était enfin arrivé. Le pub paraissait plutôt miteux, mais apparemment une bonne ambiance régnait et c’était tous se qui comptait pour la jeune sorcière. Elle n’avait amené pas sa baguette, elle voulait passer pour une vraie moldus. Elle poussa la porte qui grinça légèrement. Elle fut agréablement surprise de voir tout ce peuple danser ensemble sur une même musique entraînante. Il y avait là toutes les classes sociales, les riches les moins riches, les pauvres. Mais aussi plein d’origines, des européens, beaucoup d’européens, mais aussi quelques africains aparements du nord à en juger par leurs couleurs de peau relativement clair. Il y avait aussi quelques demoiselles asiatiques.

Maleina regarda autour d’elle et elle remarqua une petite scène, elle n’était pas bien grande et pourtant une bonne dizaine de sorciers dansaient dessus en chantant plus fort les uns que les autres, une choppe de bière à la main. Même les plu jeunes se prenaient au jeu en essayant d’imiter leurs aînées. Maleina ne pu s’empêcher de rire discrètement. Elle s’installa dans le fond du pub, il y faisait une chaleur comparée à dehors. C’était sans doute du à l’entassement flagrant des gens de ce pub. Elle entendit une petite fille vêtue de rose parler à un monsieur d’assez grande taille qu’elle avait vu danser quelques instant auparavant. Elle sourie, la jeune fille était vraiment mignonne, Maleina fit un sourire attendrit quand le jeune homme se mit à danser avec elle. Si elle avait bien entendue, la fillette s’appelait Rose. Qu’elle merveilleux prénom pour une fille si joie. Elle avait l’air d’une petite dame qui savait déjà parfaitement ce qu’elle voulait faire.

Un homme déposa une grande choppe de bière en face de Maleina, à première vue, il lui offrait à boire. Maleina ne buvait pas d’alcool, c’était bien dommage. Un sourire aux lèvres, elle refusa l’aimable offre de l’homme. Pour tout vous dire, il faisait légèrement peur à la jeune sorcière. Il était très grand et très robuste, une coup de coude et Maleina se retrouvait par terre. La jeune sorcière essaya de se faire toute petite et la plus discrète. Elle ne se voyait pas en train de danser en plein milieu de la scène. Elle préféré observer.

-L’Irlandais- Dansez alors !

-Maleina- Pardon ?

L’homme avait un accent peu compréhensible. Mais elle comprit tout de suite quand l’Irlandais l’attrapa par le bras et l’amena au milieu de la petite scène. Bien qu’il eut essayé de le faire avec douceur, l’homme avait fait pratiquement voler Maleina. Elle se retrouva au milieu de la scène entre tous ces danseurs plus ou moins expérimentés. Mais la jeune sorcière ne savait vraiment pas comment faire. Elle leva les yeux vers l’irlandais qui lui montra comment faire, après quelques pas timide. Maleina y prit goût et commença à s’amuser.[/size]

Sujet: Re: Irish Pub OUVERT A TOUS !!!! ^^ Sam 11 Nov 2006 - 9:13

Dans un coin de la pièce, un peu isolé, une femme, assise, penchée au-dessus d'une table. Devant elle, un homme, captivé par le jeu de main de le femme. Une voix suave et aérienne, le roulement particulier des cartes que l'on bat et le claquement sec des cartes sur la table.

Les cheveux soigneusement retenu par un foulard rouge brodé d'or, l'oeil souligné de noir, la multitude de bijoux dorés tintant à chacun de ses mouvements, les mèches noires reposant par mèches sur l'écru de sa chemise de lin, Xoramen lit l'avenir d'un homme dans ses cartes. Connaissant les cartes depuis sont tout jeune âge et se fiant sur les réactions de son client pour rectifier le tir, elle lui dévoile des vérités sur sa vie dont il reste stupéfait.

- Je vois que certains liens qui vous unissent avec une dame de grande influence vous seront néfaste à long terme dans une relation qui vous serait plus que bénéfique, ronronne-t-elle à chaque R prononcé. Oh, une relation qui pourrait s'avérer unique et... magique. Quelque chose d'indescriptible et qui, si vous passez à côté, ne sera jamais égalé.
- Quelle Dame de grande influence ? Qui est-elle, je n'en connais pas.

Xoramen pince les lèvres et tire une carte de plus qu'elle pose au centre des autres. Son air pensif se change lentement en une déception feinte. Encore un imbécile qui s'attardait à prendre en considération le potentiel pépin au lieu de la questionner sur le merveilleux qui l'attendait. Tant pis pour lui, il méritait bien de se faire plumer un peu.

- Iiiish, je ne saurais vous dire, c'est très flou, vous savez, il est... quelques billets sont glissé devant elle, il est parfois difficile de voir tous les détails de l'avenir... d'autres billets apparaissent, elle s'en empare vivement, avec un sourire évidemment et tire une nouvelle carte qu'elle pose par-dessus. Oh, vous avez de la chance. C,est une femme de grande influence, mais les liens avec elle sont très ténus en apparence, mais puissant en profondeur. Une vieille connaissance, peut-être ? Hum... c'est difficile à voir... non, plutôt le fruit d'une rencontre fortuite. Oh, oui, c'est ça, une rencontre fortuite, y a.... hum... je dirais... entre 5 à 10 ans... 7 pour être précise. Oui, c'est bien ça.

Il semble réfléchir un moment, non, il ne voit pas du tout, puis soudainement, quelque chose se déclenche en lui. Xoramen n'a aucune idée de qui peut être cette femme, mais elle hoche la tête et approuve d'un sourire complice.

- Je suis certaine que vous savez de qui je parle, monsieur, lui dit-elle d'un air entendu.
- Ooooh... vous croyez ?
- Je me trompe rarement. Lorsque je me trompe, c'est parce que quelqu'un n'a pas suivi mes conseils.
- Et ça se termine mal lorsque quelqu'un n'écoute pas vos conseils ?
- Pas nécessairement mal, mais... moins bien, affirme-t-elle en hochant gravement la tête.

Il semble prendre cela bien au sérieux, parce qu'il hoche la tête à son tour. Les doigts de Xoramen quittent la table pour disparaître dans le plumage soyeux du superbe perroquet à son épaule. Le perroquet fixe l'homme d'un seul oeil argenté.

- Oh, oui, c'est ce que je vais faire. Je vais couper les ponts et tous les liens avec S... cette femme. Ah, merci, j'y vois beaucoup plus clair. Merci, merci beaucoup.
- Oh, mais ce n'est rien du tout, monsieur. C'est normal, c'est un don que je possède, je dois le partager pour le mieux. Allez, prenez un verre à ma santé.

Et elle lui tend un des billets qu'il lui a tendu quelques minutes plus tôt, amis de telle manière qu'elle laisse l'impression d'une admirable générosité. D'ailleurs, l'homme le prend comme tel. Enfin, c'est ce qu'on en déduit en voyant le sourire ravi de l'homme, qui accepte et qui s'éloigne. Elle sourit.

- Parfois, je me demande qui est la cervelle d'oiseau...
- T'es pas le pire spécimen, visiblement.
- Merci, Xo... c'est toute la gratitude que tu as envers ton partenaire de toujours ?
- Bon, d'accord, t'as pas une cervelle d'oiseau.
- Merci, c'est pas facile d'être dans mes plumes, tu sais. Tu me repasses le rhum ?

» #Une venue a poudlard# [ouvert a tous !]