Flemmard de hibou...

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Anne se trouvait dans la volière, en ce premier jour à Poudlard. Mais pourquoi ? Pourquoi se trouvait-elle dans la volière, au lieu d'etre dans la grande salle, en train d'assisté aux répartition des premières années ? Et bien rien de plus simple, Hivoire avait encore fait des siennes. Tout d'abort, le petit hibou blanc avec une tache marron, avait du partir en expédition en France, à la dernière minute. En effet, Anne n'en n'était pas fière, mais elle avait oublier sa baguette magique chez elle.

* Comment j'ai pu être aussi stupide *

C'était peut-etre due, au chamboulement du départ. Car aprés tout, ce n'était pas rien de redire aurevoir à sa famille, pour une année entière. De plus, Anne était Française, et revenir en Angleterre la dépayser toujour un peu. Quoiqu'il en soit, tout ça pour dire qu'elle avait oublier sa baguette.

Elle avait attendu quelque minute l'arrivée de Hivoire dans le parc, mais il n'était pas arrivée. Rien d'étonnant Hivoire était trés flemmard. Alors en trainant quelque peu les pieds, elle s'était dirigeait vers la volière.

Ici, une forte odeur désagréable régnait, a cause des fientes de Hibou. Il fesait un peu froit, et les animaux était inabituellement calme. Anne chercha des yeux sont incapable de Hivoire. Pourtant, lorsqu'il était parti elle avait bien insisté sur le fait, qu'elle l'attendrait dans le parc, juste devant la porte du chateau. Depuis le temp elle devait avoir l'habitude, mais ce n'était pas le cas. Elle avait souvent pensé a changer de Hibou, mais elle aimer trop Hivoire pur cela, malgrés tout ses défauts.

Elle venait enfin d'apercevoir des yeux Hivoire qui dormait dans un coin de la volière, quand elle entendu des bruit de pas. Quelqu'un arrivait....

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Matabe, refusant d'attendre la repartition des "moustiques", avait prit son balais et s'était envolé à l'éxterieur de l'école. Très vite, il se lassa, car le temps était trop indulgent avec lui. Il decida donc d'écrire une lettre au chicaneur.

Ce journal, si facilement influençable, allait écriure quelquechose sur lui, le faire connaitre. Le quatrième année visait déjà une carrière de courreur à balais proffessionel, se voyant remporté la grande course Suedoise. Bien que le chivcaneur puisse dire des idiotie à son propos, on s'interresserait à lui. Les plus curieux ferait des recherches. En effet, durant les vacances, il avait gagné une course Junior au Senegal, et avait pris la tête de son championnat, sur un balais Lancechène modifié au possible. Le frait lui avait permis de voire son nom en titre d'un article de la gazette des sorcier. Après quelques felicitations, il était retombé dans l'oubli.

C'était ainsi la vie, et s'était bien dommage. Il aurait aimé se definir comme un people moldu, comme quelqu'un interressant la grande masse. On decouvrirait alors qu'en dehors de ses rudes entrainements, Matabe resistait sans arret à l'autorité. Ce rodeur ferait vite les gros titres, et il s'en rejouissait.

Mais ce n'était qu'un rêve utopique, car il oubliait les defaut du succès: Critiques malveillantes, attroupement de fan, et au pire: Lenon death^^. Il se calma alors et rentra à l'interieur. Ses affaires étaient dans le grand hall, et discretement, il prit ses affaires et se faufila à la volière. Il avait fini d'écrire sa lettre quand il se relut, arrivant pres des rarement calmes hiboux.

Il ne faisait vraiment pas attentiuon à Miss Rosendberg, et lui fonça dedans. Sa lettre tomba, humidifié par le sol. Quand il la recupera, elle tomba en morceaux.

Vous vous rendez compte! Vous...

Il comprit alors la situation. Il venait de bousculer plus ou moins violement la demoiselle, et il l'enguirlandait. Il se reprit donc.

Excusez... Excuse? Moi... Moi c'est Matabe. Cela ne Te... vous? gène pas si je te... vous^^ tutoie?

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Anne aperçut enfin, la personne qu'elle avait entendu arrivait dans l'escalier, il s'agissait d'un garçon.Elle le dévigea, il s'agissait d'un adorable banbin d'un quinzaine d'année, et a en croire son enseigne, s'était un Serdaigle. Le jeune semblait ne pas l'avoir remarqué et il la bouscula. Le jeune homme, qui tenait sa main une lettre la laissa tomber, et celle-ci se remplit d'eau et devenu illisible. Puis pour agravé le tout, il se mit à l'engueler quelque peu. Mais elle n'y était pour rien apréstout, c'était entièrement de la faute du Serdaigle, il n'avait cas faire un petit plus attention. En cas, Anne comprenait un peu son énervement, mais la rendre responsable n'arrangeré rien.

Le jeune sorcier semblait s'etre rendu compte que son comportement était déplacé, car il s'excusa. Le ton de sa voie avait changé, et il semblait être mal à l'aise. Anne lui sourit, aprés tout cela ne serviré a rien de lui en vouloir pour si peu. Le Serdaigle s'appellait Matabe, et semblait ne pas trop savoir, s'il devait tutoyer ou vouvoyer Anne.

- Moi c'est Anne et oui tutoie moi s'il te plait sinon je vais encore complexé a cause de ma veilliesse.

Elle se mit à rire. Et oui, elle était en sixième année, elle fesait presque partit des plus vieux élèves de Poudlard. A présent, il était rare que les premières années est le courage de lui parlait, trop impressionné par les capacité magique des plus vieux. Anne trouvait cela stupide, et elle aimait bien discutait avec des élèves plus jeune qu'elle.

Si ce n'est pas indiscret, as qui était adressé la lettre que tu t'impréssé d'envoyer ? Tu me dois bien sa, tu as falli me faire en me bousculant.

Elle lui adressa un sourire plein de malice et de complicité.

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Matabe avait entendu la permission de tutoier Anne, et il n'allait pas s'en priver. Il était desormais moins stressé. Elle n'allait, sûrement, pas aller parler de son cas en mal. C'était déjà un grand soulagement.

Vint ensuite la question fatidique. Quel était le contenu de cette mysterieuse lettre. Il ne savait pas vraiment comment repondre à cette question, mais les deux reponses évidenbte, se separent en plusieurs ramification, virent à lui:

La première était de dire que cette lettree ne la regardait pas. Ce serait simple, mais sec. Desagreable, pour être plus précis. Hors, il n'avait aucune raison valable de l'être. Sinon, il pouvait mentir en disant que s'était addressé à sa famille. Cela lui ressemblerais bien.

Mais la demoiselle avait l'air adorable. Gentille, et loin d'être arrogante, contrairement à tous les Serpentard avec qui il s'entendait si bien pour se donner un genre. Alors il decida de dire la verité.

C'était une lettre du chicaneur pour... euh... leur annoncé que j'ai reprit l'entrainement de course à balais!

Il avait dit la fin de sa phrase d'une traite. Il était un peu honteux de dire qu'il se faisait lui meme de la pub, mais il avait là le merite d'être franc...

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Anne était perplexe et ne savait pas trop quoi penser de Matabe, si elle l'avait croisé en tenue de civil elle l'aurait peut-etre pris pour un serpentard. Cela ne vouler pas dire, qu'il était désagréable avec Anne, non au contraire, mais c'est surtout qu'il n'avait rien aussi, d'un gentil garçon, poli et courtoix. La lettre était apparament au chicaneur.

- Ah je vois, encore un fanatique de Quidditch !! Je ne comprend vraiment pas comment, on peut devenir aussi accro . Sa ne vas pas dire que je n'aime pas ce sport, bien au contraire. D'ailleur si n'est pas le cas, je ne ferais pas partit de l'équipe de Gryffondor!!! Et toi, je suposse que tu as intégrer l'équipe de Serdaigle ?

Anne parlait beaucoup trop, et elle s'en rendez compte. Mais elle avait besoin de parler, et ne pouver pas s'en espécher. Si Matabe était quelqu'un de gentil, il ferait comme si de rien n'était. Mais si au contraire, c'était une graine de terreur, il lui en fera surement une remarque désobligente. Poussé sur sa lançée, elle continua la conversation.

Et les cour sa se passe bien ?

Elle n'avait rien trouver de mieux, et eut envie immédiatement de se cacher dans un trou de sourie, trop honteuse de son manque de conversation inintéressante.

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Matabe comprit alors qu'il y avait un petit malentendu. Il ne faisait pas de Quidditch, il faisait des courses de balais. En effet, len quidditch, de nos jours, était devenu trop populaire, et trop peu risqué pour qu'il aima à s'aventurer dans se sport. Il precisa donc:

Oh non... Le Quidditch, c'est ennuyeux... Je fais des courses, un sport simple, peu connu, mais fort en sensation. Il faut passer dans à travers de nombreux obstacle, comme des nids de harpies, des cratère de volcan, des caverne de dragon... Le plus amusant, c'est qu'a chaque, fois, on est pas loin de la mort...

Il avait parlé en même temps qu'il tirait un cigare de sa poche. Il demanda:

Tu n'est pas préfète au moins?

Ensuite vint la question sur les cours. S'était un sujet qui fachait ses parents, ainsi que les autorité de Poudlard: Il trouvait toujours moyens d'y échapper: soit ouvertement, en se cachant un petit quart d'heure dans les couloirs, soit avec iune excuse comme un mal de ventre. L'infirmier le voyait rarement pourtant, sauf Overdose ou crise de vommissement du à l'alcool.

Moi, les cours... J'y vais de temps en temps, quand je m'ennuie des mes seuls amis, les fantômes...