cours d'arithmancie, 5e et 6 e année

Lareless, au contraire de ses confrères, n'a jamais eu de besoin de réveille-matin ni de quoi que ce soit pour se réveiller. Depuis ses années à Poudlard, elle s'est toujours levée à 5 heures tapantes, si ce n'est avant. Avant sa blesssure, elle faisait son jogging, douche et déjeuner. Maintenant, le jogging est remplacé par la révision des cours.

Ca prends 5 minutes se préparer, dénouer ses longs cheveux noirs, les brosser puis les renouer en un chignon sévère qui rehausse malgré tout ses traits méditerranéens et la douceur de ceux-ci.

Une robe de sorcier noire modèle enseignant stricte et austère, mais qui ne parvient pas à cacher ses rondeurs appétissantes. pas de chapeau, la jeune femme toruve ca inutile. Bref, son look reflète celui d,un prof sévère et professionnel, même si son apparence joue contre elle.

Elle se fait apparaitre une tisane et des rôties, qu'elle grignote en revoyant une dernière fois ses notes de cours. Satisfaite, certaine qu'elle va leur en apprendre beaucoup, elle referme le dossier d'un geste énergique, empoigne ses béquilles et se dirige vers la salle de classe.

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LA CLASSE D'ARITHMANCIE.

Brillamment éclairée, la salle de classe est sobre et dépouillée, certains pourraient même dire froide et stérile, comme un laboratoire, libre de toute distractions. Les tables carrées sont en bois blond, avec chaises assorties et peuvent recevoir quatres élèves à la fois.

Un bureau simple en bouleau avec une chaise orthopédique signale la place du professeur. Un grand tableau noir détonne singulièrement sur ce décor vide et froid égayé seulement par de grandes fenêtres sur deux faces, dont l'un donnant directement une vue imprenable sur le terrain de quidditch . Un grand lustre pend du plafond, soutenant d'innombrables bougies qui n'ont jamais servies.

Sur le tableau il y est inscrit le tableau suivant. Qui est reproduit sur des parchemins soigneusement disposés à chacune des places des élèves. Ainsi qu'une copie des règles de classes.

1 2 3 4 5 6 7 8 9
A B C D E F G H I
J K L M N O P Q R
S T U V W X Y Z...

suivi de la formule mathématique suivante

l+a+r+e+l+e+s+s+m+a+i+n+e+l+l+a = x+y = z
3+1+9+5+3+5+1+1+4+1+9+5+5+3+3+1= 5+9 =1+4= 5

et de

Vibrations élémentaires 1 à 9, vibrations maitresses 11 et 22

La professeur est assise, ses béquilles posées de sorte que l'étudiant en entrant ne les voit pas. Son regard vert, dérangeant sur ce tableau austère mais en même temp bienveillant, fixe chacun des élèves qui entrent.

Un nouveau jour commençait dans Londres. L’hiver approchait à grands pas et la température s’était considérablement rafraîchie. Les anglais avaient commencé à sortir les vêtements chauds, les pantalons et même les blousons pour certains. A Poudlard, il en était de même. Le soleil traînait de plus en plus derrière les nuages, le ciel bleu avait laissé place à de la brume et la grisaille. Contrairement aux jours précédents, ce ne sont pas les rayons du soleil qui tiraient Yannis du lit mais le clapotis régulier de la pluie sur les vitres. La couette remontée jusque sous le menton, la tête sous l’oreiller, il aurait tellement aimé prolonger ce doux moment dans les bras de Morphée. Il aurait tellement préféré retourner dans son rêve fait de joie, de bonheur, d’amour mais il ne pouvait pas. Les cours allaient débuter et il se devait d’être présent. Son insigne de préfet le lui rappelait constamment. Avec difficulté, il s’extirpa de son lit. Vêtu simplement d’un boxer, il frissonna. On n’était plus en été, il devrait se le faire et il allait devoir ressortir les pantalons et les sweats.

Il attrapa sa montre posa sur sa table de chevet et l’enfila à son poignet. Le jeune serdaigle avait beaucoup de mal à se séparer de cet objet moldu lui venant de son grand père. Un homme courageux, qu’il respectait énormément et qui était son modèle. Sa mort, il y a 3 ans, l’avait beaucoup touché et il avait eu du mal à s’en remettre. Aujourd’hui, il gardait toujours prêt de lui, sa photo et ses souvenirs étaient nombreux et lui revenait régulièrement en mémoire. Il lui arrivait souvent de se demander si le vieil homme était fier de lui. Sans aucun doute. N’ayant pas de pouvoirs, il aurait été sûrement heureux de voir l’aîné de ses petits-fils réussir. Bien sûr, le jeune homme espérait que ses sœurs mais aussi son frère sortent de l’école avec les meilleures notes possible. Il était comme ça Yannis, toujours à penser aux autres avant lui-même.

Le jeune homme sortit de ses souvenirs en même temps qu’il reçu un oreiller dans la figure. Il ne mit pas longtemps à savoir qui était le coupable. Ses compagnons de dortoirs étaient très chahuteurs et préféraient s’amuser que réviser. Yannis se demandait souvent pourquoi le choixpeau les avaient envoyés dans cette maison. Il devait avoir ses raisons. Il renvoya l’oreiller à son propriétaire et s’habilla. Il prit bien soin de mettre sa cape de sorcier correctement. Il passa la manche de son sweat sur ses insignes : celle de sa maison, celle de préfet.

Rapidement, il passa par la salle de bains pour se débarbouiller et se laver les dents. Il passa sa main dans ses cheveux et saluant ses amis, il partit en direction de la grande salle. Il était en avance et cela le réjouit. Il pourrait prendre un copieux déjeuner et ainsi rattrapé le repas de la veille qu’il avait sauté. Au menu, chocolat chaud, tartines de nutella, tartines de confitures, croissants.

L’agitation de la Grande Salle se faisait de plus en plus importante et c’est le moment que choisi le préfet pour la quitter. Il devait repasser par son dortoir pour prendre ses affaires de cours et se diriger ensuite vers son cours d’arithmancie. Il adorait cette option mais fut un peu triste de voir que le professeur avait changé. Il aimait beaucoup l’ancien qui lui avait donné la passion des chiffres. Il espérait que celui-ci ferait de même voire mieux.

La salle avait changé. Moins convivial, Yannis y ressentait une sorte de malaise. Il n’était pas le premier. Il reconnu l’élève de Poufsouffle avec qui il avait déjà participé au cours depuis plus de deux ans. Ils ne s’étaient jamais vraiment parlé et le jeune homme trouvait cela dommage. Il aimait aller vers les autres et c’est ce qu’il ferait aujourd’hui. Devant le bureau de la professeur, il commença par se présenter d’un voix chaleureuse et vivante.
« Bonjour Madame, Yannis McBride, Cinquième année à Serdaigle. »
Il se retourna et se dirigea directement vers Fumasu.
« Je peux m’installer ici ? »

Carillon annoncant le début du cours sonne. Lareless laisse un moment de silence avant de dire de sa voix grave et chaude aux quelques élèves présents. Les 5e et 6e années étant bien rodés, elle n'a pas à faire l'appel. (derniere chance pour les retardataires)

Bien, rangez vos baguettes. Nous allons commencer. J'ose espérer que vous n'avez pas besoin de lire les règles de mon cours. Je vois que vous avez remarqué le changement de décoration. Ceci est comme les chiffres. Froid et impersonnel pour les néophytes. Mais au fuer et à mesure que vous avancerez dans votre savoir, ca prendra une tout autre dimension. La dimension que VOUS lui donnerez.

Elle ramasse ses béquilles et se lève difficilement. Puis d'un geste ample, l'institutrice efface le tableau.

Vous pouvez lire ce que je dis au tableau au fur et à mesure, la craie va faire la plume a papote.

Elle enchante d'un geste sûr une craie neuve qui va se positionner sur le tableau noir. Puis, se promenant parmis les rangs, elle commence son cours.

Je présume que vous savez calculer vos quatre chiffres. Passons alors à la théorie nouvelle. Cette théorie tiens compte de l'évolution de notre société.

Avec les temps modernes, la complexité de nos rapports interpersonnels a déteint sur l'évolution de l'arithmancie. Ceci a donné lieu à l'édifications`et à la mise en pratique denouvelles règles et manières de faires. A l'apparition de nouvelles variables dans le rapport que nous avons avec les chiffres. Prenez vous plumes, Voyons ensembles ces nouveaus facteurs.
Le pseudonyme peut être ajouté au prénom usuel pour l'étude si il est couramment utilisé. Il peut même se substituer au prénom pour un artiste dans le cadre de l'exercice de son activité. De même, un pseudo peut harmoniser ou désorganiser votre personnalité et votre parcours suivant ce qu'il apporte… Par exemple, celui qui travaille sous un autre nom... prenons par exemple ce criminel qui fut connu sous le nom de phoenix noir. Ou celle qui travaille sous le nom moldu de Jk Rowlings et qui fait des livres pour enfants et adolescents. Ce nom apporte les caractéristiques que l'individu adopte dans l'exercice de ses fonctions.

Le surnom si il est connu et " toujours " employé dans un certain cadre, remplace le prénom usuel dans l'environnement précité. Prenons par exemple un luc qui se fait appeler salamandre a cause de sa chevelure de feu. Qu'il adopte bon gré ou mal gré ce nouveau surnom, les caractéristiques qui s'y rattachent le suivront tout le long que le surnom lui sera accollé.

Le diminutif s'ajoute au prénom usuel pour atténuer ou amplifier le caractère de base repris dans le nom de naissance. Par exemple Al pour Alphonso Miki pour Mikomi etc... Il dissipe une partie du pouvoir du komi pour accentuer celui du Miki. Dans ces cas préscis, il est utile de numériser les deux partis de cenom pour savoir s'ils sont complémentaire ou dualitaire.

Le prénom composé de deux prénoms ne font qu'un mais il faut déterminer ce que chacun apporte séparément et si ils sont complémentaires ou dualitaires. Une Marie-Madeleine peut être aussi intéressante qu'une Jirel de Joiry... Le meme principe que le diminutif s'applique, mais à l'Inverse.

Le nom de femme mariée ne se substitue pas au nom de jeune fille mais il est intéressant d'analyser les modifications apportées par le mariage dans le cadre de notre vie sociale et professionnelle… car il nous offre une autre apparence sociale. Moi qui suis une Mainella, fut mariée à un Seluj... Le contact de sa famille, de ses collègues et de ses amis modifia considérablement mon facteur social, donc par conséquent mon numéro. Ceêndant, aussi modificateur qu'il soit, le nom de femme mariée ne se subtituera jamais au nom originel.

L'adoption : une partie de notre personnalité profonde dépendra de notre nom " naturel " tandis que notre vécu et notre évolution tendra progressivement vers le nouveau nom dès son inscription dans les registres de l'état civil avec des influences majeures à partir de la neuvième année de sa transcription sauf si ces noms sont disharmonieux car ils nous perturberont durant une bonne partie de notre existence. Ceci explique pourquoi certains adoptés s'en tire mieux que d'autre. Si el nom originel et le nom d'adoption sont dualitaite, le jeune s'en trouvera perturbé.


Elle rpend une pause, embrasse les élèves de son regard émeraude, dérangeant. La craie se suspend, prend une position d'attente.

Des questions?

devant le silence des élèves, elle éclate de rire. Un rire chaud et vibrant.

Vous savez un: madame, je ne comprends rien aurait été amplement suffisant, je ne mords pas. Rien de tel qu'un peu de travaux pratiques. Et ca fera votre devoir par la même occasion.

Vous savez calculer votre chiffre de personnalité? Je vous rappelle qu'il s'agit d'additionner seulement les voyelles du nom pour que ca donne un chiffre de 1 à 9 pour les vibrations élémentaires et 11 et 22 pour les vibrations maitresses.

D'un ample geste, elle efface ce qu'elle vient de dire, et ceci apparait.

Nombre de personnalité

SE CALCULE PAR LES VOYELLES SEULEMENT

EX: TRUCMUCHE TOUTENMACHIN
TRUCMUCHE T OU TENMACHIN

U+U+E+O+U+E+A+I = 3+3+5+6+3+5+1+9 = 3+5 = 8

Donc, sur la première ligne, vous m'écrivez votre nom a vous.

Deuxième ligne: Maintenant, écrivez un pseudonymes que vous utilisez ou que vous aimeriez utiliser si vous seriez un artiste.

Troisième ligne: Ecrivez votre surnom... Allez, tout le monde en a un plus ou moin flatteur. Ce n'est pas grave.

Quatrième ligne: Si vous avez un diminutif, écrivez votre nom complet, mais votre prénom remplacé par ce diminutif. Par exemple, mon prénom est Lareless, mais mes amis m'appellent Less

elle regarde les étudiants, leur ôtant toute envie de faire pareil

Cinquième ligne: Ceux qui ont des noms composés doivent écrire ici leur deux prénoms séparéments. Si vous tenez a faire cette ligne, au pire inventez vous en un.

Sixième ligne: Créez vous, grâce a votre imagination, un nom d'adoption.

Maintenant, calculez moi ca. J'attends, si vous avez bien suivis vos cours de L'année passée, ca ne devrait pas être long. Un parchemin décrivant les vibrations élémentaires et maitresses sont disponibles pour chacun d'entre vous.parchemins vibrations(2e message) Je veux que vous m'écriviez en bas de la page les différences ou similitudes notables entre ces différents noms.

Elle s'assied dans son fauteuil, pose ses béquilles a côté d'elle et fixe les étudiants d'un regard acéré.

Fumasu avait remarqué en rentrant que l'athmosphère de la salle de classe avait changé, étant plus froide, plus austère, plus sobre, faisant l'impression que cette salle était un laboratoire alors qu'elle n'était qu'une simple classe d'Arithmancie et pas un lieu où des dissections allaient avoir lieu en tout cas, pas à la connaissance de Fumasu. L'arithmancie consistait à étudier les chiffres et c'est tout. Malgré cette impression, cette mise en place ne le gênait pas vraiment contrairement au Serdaigle qui venait d'arriver en ce lieu : il avait l'air d'être assez déstabilisé par ce changement et était assez mal à l'aise. Il vit également tout de suite qu'il portait l'insigne de préfet et le jeune Poufsouffle se renfrogna alors sur lui-même : il n'y a pas très longtemps, il avait rencontré la préfète de Serdaigle dont il ne connaissait pas le nom. Fumasu ne l'appréciait pas vraiment car elle avait vraiment un sale caractère mais peut-être que le jeune préfet n'était pas comme elle. A première vue, il était sympathique et avait été poli en se présentant au professeur : il s'appelait Yannis McBride, un nom qui ne lui disait rien du tout.

Mais c'est alors que, en prenant le jeune adolescent aux cheveux roux par surprise, Yannis se dirigea directement vers lui en lui demandant s'il pouvait se mettre à côté de lui. Fumasu hésita un court instant, en repensant à nouveau à la préfète qu'il avait rencontré, puis il finit par hocher la tête pour lui faire omprendre qu'il pouvait s'installer à côté de lui. Au même moment, Madame Mainella commença à prendre la parole. Le Poufsouffle était un peu étonné de voir que seuls deux élèves étaient présents. Etaient-ils les seuls à y assister ? A l'humble avis de Fumasu, cette professeur avait pour habitude de ne pas attendre les élèves retardataires d'atant plus que la cloche avait sonné, marquant le début du cours.

Elle leur demanda d'abord de ranger leurs baguettes. Fumasu ne bougea pas vu qu'il avait laissé sa baguette dans son sac puis il remarqua que Madame Mainella avait à portée de main des béquilles. Le jeune Poufsouffle n'avait pas remarqué cet objet bizarre qui n'avait pas vraiment quelque chose à faire en ce lieu mais il ne laissa paraître rien de son étonnement. Puis il vit la professeur ensorceler une craie pour qu'elle devienne une sorte de Plume à Papote que l'on voit parfois dans les mains des reporters de La Gazette du Sorcier. Ensuite, elle commença à parler d'une voix chaude, offrant un contraste saisissant avec l'athmosphère froide de la pièce.

Sa tirade dura quelques minutes, sans que le ton de sa voix n'ait changé. Fumasu essayait de comprendre vainement ce que Madame Mainella disait. Elle avait commencé à parler de pseudonymes, de surnoms, de diminutifs, de prénoms composés, de noms de femmes mariées et d'adoption. Autant dire que les sujets étaient vraiment assez divers mais se rapportaient toujours aux nombres plus ou moins directement. le seul problème est qu'elle utilisait des mots assez compliqués que le jeune Poufsouffle ne comprenait pas vraiment. Puis soudain, elle eut fini et demanda si quelqu'un avait des questions à poser. Pendant plusieurs secondes, Fumasu n'avait entendu aucun bruit ne venant ni de lui, ni de Yannis, ni de Madame Mainella. Puis cette dernière éclata de rire devant le silence de ses élèves et expliqua comment calculer son nombre de personnalité. le jeune Poufsouffle se rappela soudain de ce calcul mais il fallait mettre en avant plusieurs noms. Fumasu attendit que le proffessur eut fini d'expliquer avant de faire l'exercice qui lui était demandé. Il prit un rouleau de parchemin et y nota avec sa plume toute crasseuse et vieille de sa première année d'étude :

Citation :

COURS N°1 : NOMBRE DE PERSONNALITE

Nom : Nakamura = 1 + 1 + 3 + 1 = 6
Pseudonyme : Mister Pantoufle () = 9 + 5 + 1 + 6 + 3 + 5 = 29 = 2 + 9 = 11
Surnom : Funaka = 3 + 1 + 1 = 5
Diminutif : Fuma Nakamura = 3 + 1 + 1 + 1 + 3 + 1 = 10 = 1 + 0 = 1
Nom d'adoption : Naruto Uzumaki = 1 + 3 + 6 + 3 + 3 + 1 + 9 = 26 = 2 + 6 = 8

Fumasu termina en cinq minutes, ce qui était un temps assez long mais c'était normal pour Fumasu car il avait dû user de toute son imagination pour trouver un nom d'adoption qui lui collerait bien à la peau et finalement, il avait choisi un personnage de manga, c'est-à-dire de bande dessinée japonaise, qui était très célèbre au Pays du Soleil Levant chez les Moldus. Il compara tous les nombres qu'il venait d'obtenir : aucun n'est identique à un autre. 1, 5, 6, 8 et même une vibration maîtresse : le 11. Fumasu se demandait si tout cela était bien normal et essayait maintenant de chercher une quelconque similitude entre tous ces nombres mais il n'en voyait aucune. Le Poufsouffle leva enfin la main avant de dire au professeur d'une voix un peu bizarre :

- Madame, est-ce normal d'avoir tous ces chiffres différents les uns des autres ? J'ai essayé de trouver des similitudes mais je n'ai pas trouvé...

Il ne restait plus qu'à attendre la réponse du professeur, qui n'allait sûrement pas tarder...

********COURS TERMINÉ**************

2e a venir la semaine prochaine, on va essayer de faire plus simple...

J'attribuerai els points sous peu