Une fin Magique...

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Qu'allait il arriver l'année prochaine, allait il faire de nouvelles rencontre, se faire viré? Tomber amoureux? Que d'interrogation que Matabe ne se posait pas. Il était la pour vivre sa vie dans la continuité. Il n'avait pas l'age de bosser, et n'avaiut pas envie de rester avec son père pour travailler la course de balais toute la journée.

En tout cas, il était posé dans son fauteuil entrain de relire sont si innutile relevé de note. Il avait encore mangez une cacahuete en sortilege. Peut etre aussi que s'il était venu dans son état nbormal, il aurait eut une mailleur note. Mais peu l'importait. Il nétait bien, dans cette école.

Les septièmes années allaient disparaitre de sa vie, sans laissé de trace, car il ne gardait quasiment jamais contact avec les autres qui disparaissait de son quotidien. Il n'allait pas se stresser a organiser des plan foireux pour les revoirs.

En, il continuerait a exister, de jour comme de nuit, a errer comme un fantôme, creant de divers pieges pour les proffesseur et les surveillants alors que ceux ci travaillait. Peut etre allait il devenir bon eleve? Il ne le savait.

En tout cas, il était plongé dans un relevé de note catastrophiqyue. Nul ne le lui reprocherait: sa famille était plutot laxiste. Il passerait les vacances en Suede, pour courrire la coupe des 800 Kilomètre Junior. Une course de Balais qui rattrapperait son mauvais bulletin...

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Qu'allait-il arriver l'année prochaine? Valenna serait livrée au monde, comme toutes les Septième Année : elle quitterait définitivement le Château, avec un regard nostalgique vers les Jardins où elle avait passé des après-midis et des nuits à rêver et écrire. Maintenant que les examens étaient finis, elle sentait la fin de ses études approcher à une vitesse alarmante ; les résultats avaient été affichés, et, peu après, elle les avait reçu, sur un court bulletin bien présenté. Mikomi Tenshi, la Directrice de Poudlard, lui signalait ses félicitations pour ses notes satisfaisantes, et lui souhaitait un bon avenir dans le monde où elle allait bientôt plonger. Valenna avait lu ses résultats avec un sourire ravi : trois Optimals et quatre Efforts Exceptionnels. Elle s'était donné jusqu'au bout, avait durement travaillé, et révisé, pour obtenir ces notes-là, et en était silencieusement fière.
Assise dans la Salle Commune des Serdaigles, elle regardait par la fenêtre les nuées d'oiseaux qui filaient au-dessus de la forêt interdite, et l'expression de son visage exprimait une douce mélancolie, qui augmenterait au fur et à mesure des heures et des jours. Dans très peu de temps, elle quitterait le Château. Son souffle était quasi entrecoupé à cette pensée, et elle grimaça une seconde seulement avant de se reprendre et de regarder qui était installé sur les canapés et fauteuils à ses côtés. Seul un garçon, plus jeune qu'elle, sûrement en troisième ou quatrième année, lisait son bulletin, d'un air rêveur, pensant sûrement à autre chose qu'aux petites marques écrites à l'encre noire. Valenna l'avait déjà vu, mais ne s'y était pas particulièrement intéressée ; cependant, maintenant, puisque son départ était proche, faire une rencontre, même brève, pourrait être intéressante, qui sait?

"Bonjour, dit-elle calmement. Matabe, c'est ça? J'ai entendu parler de toi par Lily et Eliott... Je m'appelle Valenna."

Ses grands yeux ne clignèrent que quelques fois, car elle regardait avec calme le visage rebelle du jeune garçon, qui paraissait occupé à voguer dans son esprit ; cependant, il devait sûrement être agréable. Eliott, qu'elle avait rencontré dans le Poudlard Express, lui avait dit que Matabe avait été quelque peu violent, mais par la suite, il s'était excusé de nombreuses fois, et envers Lily aussi, il avait donc un bon fond. "Un bon fond". C'était une expression plus désobligeante qu'autre chose, en fait, et c'était pour ça que Valenna avait envie de parler avec Matabe. Pour ne pas s'arrêter sur des choses qu'on lui aurait dit. C'aurait été trop dommage.

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MAtabe fut "reveillé" par la demoiselle. Il pensait au long fleuve tranquille de sa vie, denué de rebondissement. Une septième année plutot cool lui parlait. Il mit quelques secondes a comprendre ce qu'elle disait. Avec les BUSE dans deux ans, il n'était pas pret de travailler.

En tout cas, il devait murire quelque peu. La fille lui parlait de l'incident avec Elliot. Regrattable derapage qui lui avait vallu une heures de colle assez trash.. Decrotter les écuries... tres peu pour lui.

La demoiselle allait devenir adiulte. Rien que pour ça, il la respectait. Elle allait baigner dans la difficulté. Dans la solitude ainsi que dans le besoin d'argent. Matabe paniquait quelque peu a cette idée.

Mais il était vrai qu'un jour ou l'autre, il faudrait sortir de Poudlard. Cela ne serait pas tres simple de quitter se monuments magnifique. Il le ferais surement avec emotion, en cherchant a marquer de son empreinte au maximum l'établissement.

Ouaip... Suis Matabe... Vaut mieux que tu n'ai mpas entendu parler de moi, dans ce cas là...

HJ: scuse pour le RP Poucrave

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Valenna remarqua aussitôt qu'elle avait interrompu le cours des pensées de Matabe, mais elle ne se sentait nullement coupable ; apparemment, il ne lui en voulait pas, elle n'avait donc aucune raison de s'inquiéter. Ce serait inutile et ça créerait une tension qui n'avait aucun lien d'être dans cette conversation ; aussi, elle se sentait à l'aise. Peut-être aussi parce qu'elle était plus âgée que le garçon, et qu'elle se sentait bien plus mature que lui, alors qu'elle ne le connaissait pas, c'était étrange cette impression qu'il y avait un fossé entre elle et lui. Pourtant, elle lui parlait sans complexes et sans mépris, car après tout, c'était un élève, comme elle l'avait été elle aussi, peut-être avec ses questions, et ses doutes, et avec ses erreurs aussi. Elle ne pouvait pas le dédaigner à cause de ce qu'il avait fait à Lily et Eliott, car peut-être ce jour-là il était de mauvaise humeur, ou tout simplement sa vie n'avait pas été facile ; elle n'en savait rien, et se demandait si un jour elle en saurait plus. Cela n'était pas capital, mais c'était tout de même la clé d'une compréhension par rapport à un évènement assez désastreux ; elle savait qu'il avait été puni, et suffisamment pour ne pas recommencer. Et ça lui suffisait.

"Oui, répondit-elle en souriant. C'est vrai que parfois les rumeurs sont mauvaises à entendre. Mais peu importe, je souhaite simplement discuter un peu. Et ton passé n'influera à priori pas trop sur la conversation."

Son assurance était maître ; l'expression de son visage parfaitement indéchiffrable ne montrait qu'un sourire qui pouvait être aussi bien sincère que faussé. Son être, parfois, était doté de ce masque, quasi invincible, qu'elle pouvait maintenir à souhait, et ôter quand il le fallait. Ce n'était pas par souci de méfiance, mais par besoin de s'éloigner, d'écouter, de parler, avec un peu de recul, par rapport aux personnes qu'elle rencontrait pendant sa vie. Et cela lui avait servi de nombreuses fois, où elle avait su rester calme quand la colère ou les larmes auraient emporté quelqu'un d'autre. Elle se sentait forte en elle, et elle l'était. Peut-être la découverte de sa famille récemment y était pour quelque chose. Ou peut-être était-ce Mark qui lui avait redonné confiance en elle. Rien n'était sûr, à part la tranquilité gaie qui l'envahissait un peu plus à chaque instant.

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Un tableau regardait Valenna avec emotion. Il l'avait vu grandire, devenir forte, prendre de l'assurance. C'était un grand moment que son depart pour cette chose qui faisait perdurer l'ame d'un defunt.

Aucune larme ne pouvait couler de cette peinture acrylique, mais elle se ressentaient a l'expression du personnage. Le cadre d'or mlui meme semblait avoir pris un grand coup de vieux.

Il était terne et poussiereux. C'était étonnant car tout ceux qui lui faisait front étaient propres et lustrés. C'étaiut fort agreable de les regarder. Mais le viel Eldruss illustré ici ne semblait pas vouloir attirer les yeux. Au contraire.

Il semble que tu parte. Tu ne reviendra sans doute jamais ici, apres. Qu'est ce que cela te fait?

Matabe était curieux de connaitre les impression d'une personne qui vivait tout ce chamboulement. Un chamboulemment existant depuis la nuit des temps, posant toujours autant de problème...

Matabe n'avait pas hate de vivre cela. C'était peut etre pour cela qu'il aimait resté a Poudlard. Le monde de dehors, plein de souffrance, de haine, qui mles attendait était peu attirant.

Poudlard était aussi un cocon protecteur. Il protegeait l'egalité avec biensceance. Il privilegeait le savoir, la connaissance, au rivalité, au affrontement. Bref... Paradise Poudlard...

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Valenna sentait un regard insistant mais doux et protecteur sur elle, aussi elle le chercha une seconde des yeux et vit le tableau, dont le personnage lui sourit faiblement, avec une expression triste ; cependant, il ne voulait parler, pour ne pas trop montrer le chagrin dans sa voix. La Jeune Serdaigle avait passé de nombreux moments dans cette Salle Commune, le matin, l'après-midi, ou le soir, elle lisait, écrivait, ou rêvassait, près du feu, ou de la fenêtre. De temps en temps, quand elle était seule, elle faisait connaissance avec les tableaux, et les beaux chefs d'oeuvre affichés dans la pièce ; certains étaient endormis depuis longtemps, profitant de l'ambiance paisible chez les Serdaigles. D'autres étaient éveillés et en manque de conversation, et elle fit de très agréables débats de philosophie, littérature, histoire, et politique ; cependant, l'homme qui la regardait depuis le tableau était considéré par ses collègues comme difficile et associable. Avec le temps, cependant, elle l'avait séduit, tout en s'adressant aux autres, parlant de son passé difficile, des amis qu'elle se faisait au fur et à mesure, de ses espoirs et de ses illusions, et durant quatre longues années, il l'avait écouté, et puis s'était un peu livré à son tour. Quelques mots avaient été échangé la première fois, et dès le départ, ils avaient tous les deux su qu'ils s'entendraient bien ; les autres tableaux étaient très respectueux et se taisaient pendant leur conversation, et puis, bientôt, à parler ainsi plus librement, il gagna l'amitié de ses collègues. Ainsi, il devait sa nouvelle situation à la jeune femme, qui le regardait tout de même avec gratitude, pour toutes les fois où il lui avait remonté le moral, et où il l'avait écouté en vrai ami et confident. Ses yeux emplis de gentillesse se tournèrent finalement vers Matabe, quand celui-ci parla de nouveau, avec une justesse intéressée.

"Il est vrai que mon départ approche, affirma-t-elle en haussant les épaules, et j'y pense un peu. Mais je suis quelqu'un de plutôt positif, qui, après avoir vu de trop près la mort, profite de chaque moment de sa vie, et je pense simplement au bonheur d'être libre. Poudlard aura en effet été un cocon, un lieu où je me sentais choyée et en sécurité, mais ma famille et moi allons nous créer des liens soudés, je vais sûrement me faire de nouveaux amis, à l'extérieur de cette enceinte. Et puis, je suis tombée amoureuse. Bien sûr, les belles romances, et à partir de l'année prochaine, notre histoire sera autorisée, car pour le moment, en tant qu'élève, je n'avais pas le droit d'être avec lui, ou plutôt il n'avait pas le droit d'être avec moi. C'est pour ça que je me sens heureuse tout de même, et puis de toute manière je ressens avec de maturité en moi pour me lancer de mon plein gré, seule au début."

Après sa longue tirade, qui révélait tout de même nombre de ses émotions et de ses sentiments, elle prit une grande bouffée d'air, et tout en elle était conviction ; car ce n'était pas un baratin auquel elle tentait de croire : c'était la vérité telle qu'elle la voyait. Et au rythme où avançait la fin de l'année, elle sentait que bientôt cette vérité la happerait et qu'elle plongerait dans le monde dont on lui avait tant parlé. En ce moment, la confusion régnait en Angleterre, le mal devenait autorisé, le Ministère et Poudlard, d'ailleurs, étaient corrompus, et pourtant, l'Académie de Magie ne s'était jamais aussi bien portée, d'après les rumeurs. Aussi, Valenna avait postulé à la Gazette du Sorcier, et y avait été accepté, dans le Rayon Politique ; elle était certaine que ce serait là-bas qu'on la reléguerait car c'était sur cela qu'elle savait le mieux écrire. Sa vision était objective, et elle savait parler de ce qui intéressait. Satisfaite, elle reprit une position confortable sur son fauteuil et jeta un nouveau regard à Matabe.

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Matabe fut tout surpris de la nature finale de la jeune fille. C'était un peu, elle aussi, une hors la loi^^. Il sortit une cigarette, et l'allumla en pleine salle comune, alors que plein d'eleves était present. Il s'en fichait un peu. Si quelqu'un avait quelque probleme avec ca, il le dirais suremlent. Mais dans l'instant, Matabe ne s'en souciait pas plus que des souris qui grouillait dans poudlard, narguant les elfes de Maison, dont lui aussi se fichait eperduement.

Le tableau se mit alors a emmetre un petit bruit. Il pleurait d'une manière bien etrange devant le romantisme de cette histoire surement secrete, si poetique et chevalresque. Matabe ne put retenir un petit rire. Il tira alors encore une fois sur sa cigarrette, les yeux clos, et souffla sur le portrait.

Elle reviendra te voir...Un jour...

Il avait dit ca sans meme l'accord de la jeune fille. Il n'y accordait aucune importance. Il disait cela pour que len portrait arrete de couiner. Enfin, celui ci secha ses larmes. Matabe avait prit un air mature. Il ajouta:

Valenna... a part cette romance? Tu compte faire quoi?

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Matabe semblait désinvolte, et son air mature ne paraissait être qu'une couverture, car ses mots et son attitude faisait penser aux rebelles moldus qui manifestaient dans les quartiers défavorisés ; pendant quelques instants, Valenna le dévisagea avec incompréhension, se demandant si un jour elle ressemblerait à ça, puis elle détourna le regard en haussant les épaules. Quand elle l'observa de nouveau, il avait sorti une cigarette et l'allumait distraitement, tandis que certains élèves se retournaient, certains avec un sourire, d'autres avec mépris. Il tira une bouffée de sa "clope", puis souffla sur le tableau, qui, silencieusement, versait quelques larmes Valenna avait été sa seule compagnie pendant quatre ans, et l'affection qu'il ressentait pour elle était unique. Cependant, il tentait de garder un peu de dignité en balayant aussitôt les larmes de ses mains ; quand Matabe lui lança la fumée dessus avec un sourire moqueur, et une phrase qui fit se révolter Valenna, intérieurement en tout cas, le vieil homme eut une longue quinte de toux, mais ses pleurs cessèrent. Il regarda avec hargne Matabe, tout en jetant des yeux presque enamourés vers la belle Serdaigle qui bientôt serait libre de cette étiquette : elle serait adulte, tout simplement, une sorcière comme une autre, peut-être.

"A part ma romance? Déjà m'installer à l'Extérieur, dans un appartement, mais ce sera sûrement avec l'homme de ma Romance. Et puis travailler à la Gazette du Sorcier, où j'ai déjà été accepté. Apprendre à connaître ma famille, que j'ai découverte il y a quelques jours. Et... Je crois que c'est bien tout. Pour le moment, bien sûr !"

Son rire retentit doucement, mais avec une netteté flamboyante, et elle fit un clin d'oeil au tableau qui écoutait maintenant avec un sourire radieux ses projets pour le futur ; Matabe lui importait peu, s'il y avait sa princesse aux cheveux chatoyants. Valenna regarda un instant les autres élèves présents dans la Salle Commune puis jeta un regard désintéressé vers le bulletin de Matabe, où elle lut sans grande surprise des notes bien basses pour un élève de Serdaigle. La sonnerie retentit soudain avec force et elle sursauta ; c'était l'heure pour elle d'aller dîner, et d'aller préparer ses bagages si elle voulait ne pas partir en retard le lendemain.

"Bon, eh bien... Au revoir ! dit-elle avec un bref sourire, avant de se lever pour se diriger hors de la Salle Commune."

» Traitement de blessure magique