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 une attention, un retournement, une rencontre...

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AuteurMessage
Marjo
Invité




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MessageSujet: une attention, un retournement, une rencontre...   une attention, un retournement, une rencontre... EmptyMer 2 Aoû 2006 - 1:41

Un jour de brume, un jour de dune, la lune…


Les nuits avait passé, le temps s’était écoulé, que les lumières de se nouveaux coins de pays lui ouvrait les yeux au delà d’une réalité incertaine. La brume était impuissante tant que les lumières tapissant de se monde était nombreux.

Même la lune était mi-voyante au passant qui passait non loin de ses lucioles électriques. La vie fessait partie de se monde, mais cette dame au capuchon blanc et à la cape pareillement, ne voulait pas se faire voir. Elle avait accrochée mille passant n’ayant pas de place sur ses amas de bétons pour piétons.

La tête vers ses pieds pas qu’elle avait honte, mais elle n’était pas encore dans son élément primaire, la solitude…


Vous y avez crut…
N’en soyez pas si certains…


Jamais cette femme ne pourrais se passer de ses lumières si féroce qui veulent que votre argent. Plaçant un homme à chaque entrée ou des femmes se dévoilent aux hommes avides de mettre leurs femmes coqus. Elle avait belle et bien une cape, mais son visage et sa beauté resplendissant au devant de ses cheveux qui volait au pas vite et rythmé de cette femme elle aussi avide. Une âme de tigresse vibrait au creux de cette être. Elle sentait l’amour et le vouloir de la toucher en ne fessant que brièvement la frôler pendant que ses pas certain la transportait vers une boite de nuits.

Cette femme travaillait et travaille toujours dans une boite de nuit dans le complexe de Wizfun. Elle s’y plait en trouvant monotone les gens qui y reviennent tout les soirs pour le même drinks qui a toujours le même goût. Une femme plus que les autres la dévisagea, que la douce féminité qui quémandait chaire s’approcha d’elle.

Un brève coup d’œil, un frôlement de mains, une frivole intention…



Que les deux femmes se mirent à frissonner. Elle voyait en ses yeux, elle voyait en ses lèvres. Elle avait été de dos de celle-ci, que l’autre se retourna pour lui arracher au passage et en cette surprise délicate un fougueux et tendre amour d’à peine quelques secondes. Une délectable attention, un toucher incertain, mais une emprise sans détour. Elles se séparèrent, que Cath marchait vers l’entrée bondé de monde qui n’avait pas vue la flamme de ses femmes qu’elles venaient de se passer mutuellement.

Un détournement de vouloir, une requête de l’autre, une ouie sourde de l’une.


Cath était de ses personnes qui aime, mais seulement dans un moment présent.


°°Demain… par rien ne vaut que tu reste. Demain, qu’est ce demain? Une incertitude, un blasphème à la vie. Aime et n’attend pas demain pour t’en assouvir. La soif du monde est beaucoup trop présente pour ne pas quelques fois s’abréger quelques secondes.°°

Une fois en elle, une fois en toi, pourquoi toute ses questions s’il elle se réponde d’un parce que bien posé.

Elle rentre dans la boite, un vrai trou à rats comme chacun avait l’habitude d’être. En sont pays natale au moins, il y a une estrade au dehors ou le soleil se couche sur l’eau et que les danseuses se mouvaient au yeux attendrit des voyageur passant. Une ville, un pays, le Brésil tant de souvenir, tant de retour vers se coin de poche. Même la botte d’Italie ne lui arrive pas à la cheville. Un pays renommé, un pays chaud qui apporte la soif au homme de se monde. Qui donne un univers hors du commun au commun morte.


Elle avait enlever sa cape au abord de l’entré, qu’elle se fessait interpeller par la gente masculine.

Une demande, un refus, une âme déçu


Elle attendait celui qui… qui lui donnerais le premier verre pour l’apprivoiser… celui qui trouverais une brèche parmis ses mots réfléchie pour le refus certain à la plupart. Homme femme, la gente ne manquait pas, mais les demande était plutôt médiocre. Tellement, qu’elle partie vers le bar avant même d’avoir commencé à danser, et elle y prit un simple martine sec, qui allait lui donner la nausée si elle le buvais au complet. Même si se drink coûte cher, il laisse en le gorgoton un goût de petit vieux défraîchi.

Elle sortit le petit parasol qui était piquer en le cœur même, celui qui à le cœur rouge, mais le dehors déjà trop tremper dedans se rafraîchissement de basse qualité au papilles gustative, verte.


Une croqué, puis un abreuvement, puis un retour à cette substances amer mais tellement bien apprêté avec se goût sec de martini. Un mouvement de ses jambes effilé puis un repliement sur l’autre pour donner féminité à son aspect. Un homme ose l’approche un verre, mais se trompe en lui servant un autre martini. Elle se retourne et laisse les deux verres même pas commencé encore. Elle repart. La femme reprend son manteaux, mets son capuchon et change son aspect physique. La femme devient brunette, au teint blanchâtre. Elle a les yeux noisettes et les doigts effilé. Ses doigts de fées qui aurait trouvé place sur un piano comme elle avait dans sa grande villa au cœur de son cœur. Un piano à queue pour qui elle affectionne un amour sans remord à cet instrument moldues.

Moldues… un mot inconnue, une façon de parler, cette façon que les personnes comme elles avaient cette habitude snob de se montrer plus intelligent qu’eux. Cette manie de rendre jaloux l’un de l’autre en essayant de savoir lequel est le plus ingénieur… lequel croit plus en l’autre…une quête à la perfection humaine… Mais ne somme tous pas, seule et unique en notre genre, même si cette métamorphomate peut se changer en tout se qu’elle veut, sauf bien sur les meubles et les animaux domestiques.

Animagus, une autre façon dont les sorciers peuvent se compter privilégiez pour pouvoir se cacher des mains de frauduleux affreux. Plusieurs être avait été dans l’obligation d’être déclaré au ministère de la magie, mais certaines ou certains avaient délaissé la noble façon d’être et se cachait encore en nos années de peur et de torture, d’avertire les autorité de leur atout plutôt avantageux.


Elle frôlait de ses pieds le parterre de la belle province de Tokyo pour qui nul être qui n’aimait pas la musique et les karaoké en serais peiné. Une transformation, un moment ou avant toute ses lumières qui y règne, il y avait des maisons simple d’habitant qui louangeait le maître de cette place, ses dieux qui étaient leurs idole.

Elle même quelques fois partait dans ses temples pour apprécier la solitude de cette endroit sain. Elle se drapait d’une tunique au couleur verte et mauve, et puis s’assoyait les pieds croisé sous ses fesses, et fessait une belle révérence à cette statue de marbre. Une façon à elle de tout connaître et tout faire. En plus elle s’avait dirigez vers l’acquisition d’un poste important au sein du ministère.

Le quelle, jamais vous ne le saurez…


Elle était le myst`re même, mais comment s'en approcher, avant qu'elle ne vous rentre le couteau en plein milieu des omoplate défréchit de votre corps qui dans son habitude tortureuse, se voyait obliger de narguer le monde entier de cette tyraniserie umportunte.

Elle vit une petit bar ou des jeunes filles qui n'avait pas plus de vingts et un ans en sortait ivre morte et le gout de se laisser tomber à tout les mouvement de leur hanches sensuelles. Des hommes les suivirent, mais elle avait arrêté de rire, elle ne savait plus très ou il était, seule une chose était voyante en leur prunelle.

Leur corps se mirent a frémirent, elle trouvait la ruelle ou les hommes les suivaient, de plus en plus sombre, les hommes se dispercèrent, qu'il n'avait pas vue cette femme féline qui suivait la scène de loins. Une peur, un hick de la bouche de ses jeunes femmes incertaines. L'un des hommes avait l'air comme le lion dans la savane, il laisse la jeune lionne se laisser attendrir par la peur pour ensuite lui sauter dessus, et se fut tout autant le cas quand l'une d'elle tomba par terre. Se n'était pas l'alcool qui se mouvoyait dans ses veines, mais la peur qui lui avait arraché tout envie de se laisser avoir mais que ses membres n'en pouvait plus.

Ses genoux s'était fracassé elle pleurait plus de peur que de son mal, le sang se mit a trépasser outre de cette granule de rocher qui avait trouver refuge pour lui induire tristesse afollante de la douleur. L'homme avait écarté l'autre jeune qui s'avait déjà mainte misère à rester debout et avait essayer de relever son amie. Elle se retrouvait sur les coins d'un mur la tête se fracassant sans que la douleur ne vienne toute de suite.

Une jeune femme qui avait rester dans le noir sortit et vit le scène celle qu'elle visionnait depuis peu de temps. L'un des hommes était déjà sur la jeune fille qui pleurait de peur l'autre s'avançait vers celle qui n'avait plus très l'air d'être vivante. Dans le noir, qui voit parfaitement.
La femme avait son capuchon et un morceau de bois à la mains gauche, elle avait ses doigts le long de celle-ci, et puis se mit à parler. Ses mots était catégorique et l'homme se leva de sur la jeune femme qui criait depuis qu'il essayait de relever ses vêtements.
Les mots de la femme était d'une autre langue, la même que cette homme au yeux bridé qui la dévisageait. Il se lécha les babines, et puis mit un pieds devant l'autre pour se retrouver face a face à la femme et lui prendre les poignets. Elle laissait comme l'araignée l'homme se prendre en son jeux. Avant qu'il ne soit trop prêt, elle avait remis sa baguette dans son manteau voyant qu'il n'était lui même pas sorcier.

Il lui susurra les mots les plus équeurant, lui dissant qu'elle avait l'air si farouche qu'il...

Plus un mot une moment d'attente avant de voir l'homme séffondrer par terre. Elle lui avait pris l'entraille même de l'homme en le lessant tomber, elle lui dit tout en souriant et riant de plein poumons.

-Tu voulais me faire quoi, je pense que je suis trop farouche pour toi et que sa serais un peu inconvenable de s'en assouvir se soir. Toi l'autre macabé, va t'en sinon je te tue...


L'homme ne prit pas les menace de la femme comme véritable, elle sortit sa baguette et lui lança un pétrificus totalus qui fit de lui une barre raide. Elle fit de même avec l'autre qui était déjà a ses pieds, et alla aider les jeunes femmes qui avaient l'air si embarrasée.

-Ne vous en faite pas, venez que je vous reconduise a un taxi. Ton amie a besoin de soin, elle est dans un sommeil profond causé par une émoragie interne.

Elle prit la jeune fille dans ses bras, et s'aida en lui jettant un sort pour qu'elle pèse aussi lourd qu'une plume. Elle les laissa partir, et retourna aux hommes qu'elle leur jetta un sort d'oubliette et leur redonnant mouvation de leurs membres.


Elle s'était caché au loins avant, puis les regarda s'enfuir avec peine et misère, surtout après le cadeaux qu'elle leur avait offert. Dans une vengeance maladive, elle leur avait jeté un sort comme si il était deux fois plus pessant qu'avant qui partiraient dans les heures qui allait suivre
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Tiana Si
Invité




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MessageSujet: Re: une attention, un retournement, une rencontre...   une attention, un retournement, une rencontre... EmptyLun 4 Sep 2006 - 11:20

Une jeune femme, habillée d’un débardeur blanc et d’une jupe noire découpée, arrachée, abîmée, lui arrivant au pied, avec un maquillage noire autour des yeux, ayant des boucles d’oreille pendantes jusqu’a son menton, passa devant un jeune homme habillé de blanc dans un couloir de l’hôpital réputé Sainte mangouste. Elle monta les escaliers doucement, relevant sa jupe en formant de grands plis pour ne pas trop la froissée, puis elle arriva devant une porte avec inscrit dessus en grosse lettres blanches « Etage des Troubles de mémoire, et Troubles mentaux », poussa la porte et se dirigea à l’intérieur d’une démarche gracieuse. Elle s’adressa ensuite à une infirmière qui sortait d’une chambre quelle connaissait bien, même trop bien, tous les détails, la place des objets, elle s’en souvenait parfaitement.
Comment va- t’elle ? Murmura elle d’un souffle. Toute réponse négative lui faisait maintenant peur, elle n’avait plus qu’elle au monde, et peu être son demi frère a qui elle devait rendre visite.
L’infirmière ne répondit pas et fit un geste brusque et horizontale, comme si elle voulait trancher l’air en deux parties.
La jeune femme s’approcha de la vitre, d’où la patiente ne pouvait l’apercevoir, ne serait-ce qu’une mèche de cheveux.
Il y avait une femme, âgée d’une quarantaine d’année, allongée dans un lit blanc d’hôpital. Cette femme avait ses cheveux d’un brun terne étalés sur son oreiller derrière elle, elle était vêtue d’une longue chemise de nuit et pleurait en silence, elle se lamentait seule, elle alla près de la fenêtre de sa chambre, et commença à frapper le mur de toute ses forces, ses poings se retrouvèrent ensanglantés, la jeune femme entendit une sirène subite et des infirmiers pénétrèrent en trombe dans la chambre, attrapant la vieille femme sèchement, la reposant sur son lit et firent passer autour de ses bras, ses jambes et son torse des sangles. Mais cette femme aux cheveux ternes continuait de crier, de sangloter, et de se débattre, et puis elle essaya d’attraper quelques objets dans sa chambre pour les lancer, malheureusement, elle était trop loin.
Souffrance
La jeune femme qui se trouvait au dehors de cette pièce ne réagit pas. Elle s’était agrippée au rebord de la vitre, une expression d’impassibilité sur son visage, elle était retournée intérieurement, mais évidemment ne savait pas exprimer ses émotions. Elle aurait voulut que cette vieille femme qui était sa mère se sente mieux, ne soit plus aussi déprimé, change un peu, ne serait-ce qu’un peu. Elle aurait voulu que les infirmiers réduisent la dose de médicaments et de potions par jour. Ses espoirs s’évaporaient toujours lorsque qu’elle se trouvait dans cet endroit impersonnel qu’elle détestait.
Déception
Elle devait repartir, elle le voulait, ce spectacle ignoble la répugnait, la repulsait. Elle courut dans le couloir, ses cheveux d’un brun foncé s’agitant derrière elle, soulevant délicatement sa jupe pour ne pas marcher dessus, ou plutôt ne pas trébucher. Elle sortit enfin de ce lieu sinistre, sordide, et dévala la grande rue de Londres, ne sachant pas où allait mais elle voulait être loin, oublier ce qu’elle avait vu, s’éloigner.
Oublie
Cette jeune femme s’appelait Tiana, ou Alister, à votre convenance, son nom elle ne le prononçait que rarement. Elle se retrouva maintenant sur une terre, loin de sa patrie, le pays des asiatiques aux visages anguleux, fins et minuscules. Elle n’était qu’une étrangère dans ce brassage de population, elle restait au milieu de la foule, un long manteau de velours noir lui recouvrant le corps, entièrement, sauf son visage, ses cheveux tombant derrière elle. Elle s’arrêta dans une ruelle sombre, loin de cette foule où elle se sentait invisible, transparente, mais après tout, elle n’était rien qu’une âme qui partirait, comme toute les autres. Elle releva ses cheveux qui étaient maintenant d’une couleur acajou avec une pince, quelques mèches tombant sur son visage blême. Elle fit un sourire au mur, et repartit d’un pas décidé, déambulant dans la ville comme si tout allait pour le mieux.
Apparence
La nuit était maintenant tombée sur cette ville immense. La jeune femme portait dorénavant une robe longue et épaisse de soie noire, sous son manteau de velours. La magie paraissait inexistante dans ce monde aux apparences trompeuses, aux musiques électriques et aux alcools forts. La jeune femme entra dans une pièce sombre et noire, où des centaines de personnes faisaient la queue pour entrer, elle s’infiltra à l’intérieur, l’ambiance étrange régnait, les hommes la regardaient d’un air accusateur, comme si elle forçait les regards. Elle s’installa au bar, croisa les jambes et commanda un alcool fort, qu’elle but d’une gorgée mais ses idées n’étaient pas embuées pour autant. Bien aux contraires, ça l’aidait un peu. Mais elle ne trouverait jamais les réponses dans l’alcool.
Un homme lui tira le bras quand elle se dirigea vers la porte de secours. Elle sortit de ce lieu en compagnie de cet homme, vil, stupide, cruel, pour s’attaquer à une jeune femme sans défense en apparence. Il commença à enfouir sa tête dans le coup de la jeune femme, tandis qu’elle restait impassible, elle allait se défendre à arme égale, elle lui donna un coup de genoux à sa hauteur et s’enfouit en courant.
Violence
La jeune femme s’arrêta enfin, elle était essoufflée mais se reprit, sortit sa baguette, rattacha ses cheveux, ferma son lourd manteau. Elle se dirigea dans une direction inconnu, passa à proximité des lieu éclairaient d’une lumière intense qui l’éblouissait. Des jeunes filles sortirent, ivres, des hommes les suivirent dans une ruelle, puis la jeune femme aperçut une silhouette féminine un peu plus proche qui s’envola en un instant dans la ruelle où les jeunes femmes ivres s’étaient engouffrées.
Alister suivit ainsi les autres, aperçut la scène de loin, le coup violent à la tête, le sang au sol, elle glissa une main dans sa poche et agrippa sa baguette, mais la silhouette de femme s’étaient déjà approcher, avait sortit elle aussi un bout de bois travaillé et elle réconforta les jeunes femmes, les envoya dans un taxi, elle parlait une langue inconnu. La jeune femme préférait observer, rien ne servait de s’approchait maintenant.
Cruauté
L’envie fut trop grande, elle fit un pas en avant qui résonna dans toute la rue. Elle attendait une réaction, l’écho se faisait toujours entendre. Elle tendit sa baguette en avant, avec une allure de défis, la jeune femme en face serait peut être hostile, et elle ne savait pas si elle parlait anglais, mais elle savait qu’elle l’avait déjà vu quelques part.
Attente
Insoutenable, Approbation, Envie, Jubilation, Bruit…
La jeune femme fit le premier pas, parlant d’une voix inaudible mais elle était certaine que la jeune femme serait l’entendre.
*Alister*
- Vous parlez mes langues ?
prononça-t’elle deux fois, en russe et en anglais.
Quelle question stupide mais elle ne voulait dire autre chose, elle avait déjà trop parler. Elle se tût et attendit, impatiente.


[hj: voila j'espere que ca te plait rolleyes ]
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Marjo
Invité




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MessageSujet: Re: une attention, un retournement, une rencontre...   une attention, un retournement, une rencontre... EmptyLun 4 Sep 2006 - 23:04

Cath avait laissé partir tout se petit monde infâme dont il n'avait pu faire la liaisson de son affront de les aider en ne les connaissant même pas. Un bruit sur de d'autre pas se fit entendre par derrière. Elle se retourna pour lui engloutir sont visage doux de ses yeux pleins d'émotions indescriptible. Elle laissa le silence séparer les deux femmes, puis d'autre pas un peu plus loind d'une troupe de personne.

La jeune femme dont elle se fessait une idée de cette femme, plutôt téméraire à son avis, mais ne l'était elle pas aussi...
Elle entendit sa voix flutée dans les deux langue que Londre se doit au minimum de sa dignité comprendre. Elle voulut s'amuser un peu et se mit à déballer sa réponse en toute les langues dont elle se fessait mettre.

Le vietnamien, le cantonnien, l'anglais, le français, le russe et l'anglais.

``Cath`` -Désoler mais les langues sont ma facilité à entretenir convenance, ne m'en déplaisse de vous déballer tout mon secret verbale...

Un rire gêné et une mains au devant de sa bouche pour mettre plus de magnificiance en tout ceci. Ses yeux avait encore changer pour une asiatique au cheveux chewing-gum et un nez en trompette. Un peu trop grand pour une japonnaisse mais juste assez haute pour être chinoise. Un visage d'ange comme elle prétendait ses jeunes femmes. Ses yeux était marqué d'une ligne épaisse et noir et ses lèvres teintées de rose bonbon faible.

``Cath`` -Vous avez vue toute la scène à se que je ne me trompe, les gens sont trop souvent bien morne par ici, se brin de piquant mémoustille. La gente masculine est beaucoup trop mal vue par ici, nul femme ne devrais envier les femmes de se coins de pays. Je suis moi même non attirée par ses roufflons mal élevé. Puis-je savoir de qui venait vous? moi je viens de M. Bellucia, et mon prénom est à la même place que la terre se doit de se mettre en rang, serez vous trouvez ou donnez vous votre soirée mienne pour que se véritable secret sois un adon de notre rencontre.

Elle vit au loins un chat qui passait de poubelle en poubelle pour trouver un poisson dont les jeunes qui assistait au cours non loins d'ici avait fait les difficile et l'avait jeté non loins de ses ruelles décharnées.

Cath regardait la jeune femme essayant de trouver une faiblesse en elle, en se qui devrait être sa faille pour qu'elle décèle sa véritable attention en venant voir et fouinant pendant qu'elle avait soulager les hommes d'un bon coup au niveau de leur cerveau unicellulaire.

''Cath'' -Voulez vous, vous inclure dans un karaoké parmis ses moldues infame, qui nous gâche la vie en étant si piètre chanteur par moment, non que je suis contre se groupe de personne, mais comme plusieurs personne comme nous, ils n'ont pas tous la facultée de changer les défaults de leur corde vocale, même si nombreux de nous se devrait aussi se passé de donner leur voix en publique.


Désoler c,est un peu nul, mais bon le dbut est toujours plus facile :p
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Tiana Si
Invité




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MessageSujet: Re: une attention, un retournement, une rencontre...   une attention, un retournement, une rencontre... EmptySam 9 Sep 2006 - 23:26

L’ancienne serdaigle regarda cette jeune femme en face d’elle, au visage d’ange, aux cheveux rose, et aux lèvres maquillées répétait sa phrase au moins 6 fois en six langues différentes ce qui surpris un peu la jeune professeur, mais elle se ressaisit. La jeune femme en face d’elle parla, mais Alister ne répondit que bien des minutes plus tard après un silence a la dévisageait.
Tiana avait souvent entendu dire qu’il ne fallait pas se fier aux apparences et aux visages d’anges, mais face à cette jeune femme, elle ne pouvait que lui faire une confiance aveugle en répondant.


*Alister* Une facilité déconcertante et remarquable, répondit t’elle en russe. Vous m’en voyez ravie de voir une jeune femme aussi cultiver…

Elle avait souhaité parler en russe, pour la tester un peu, mais aussi car c’était la langue qu’elle aimait le plus, c’était en cette langue qu’elle avait trouvée une famille, en ce pays inconnu et familier à la fois, en ces mots lyriques et mélodieux.
Puis la jeune asiatique poursuivit sa tirade, Alister la regardant toujours dans les yeux. Tiana réajusta sa lourde veste de velours sur ses épaules, le froid l’assagissant dans ce pays. Elle suivit les paroles de cette femme qu’elle ne connaissait que depuis deux minutes. Elle venait de résumer la scène, puis enchaîner sur sa présentation, et lui fit une proposition.
La jeune femme était maintenant tiraillée entre le plaisir de se présenter et d’accepter, ou laissant planer le mystère, puis emporter par son élan, elle finit par se présenter.


*Alister*Qui est mon géniteur, bonne question, je ne le sais même pas moi-même, il était naïf et stupide, pousser au suicide par sa femme… C’est pitoyable je trouve, cet homme se nommait Sid Vicious Hells, et pour mon attribution, je crois que ce sera en deuxième partie d’une soirée mémorable, d’une rencontre spéciale et sûrement inoubliable…

Le chat qui passait au loin dans les poubelles vint se faufiler entre ses jambes. Alister souria enfin, sentant le regard de Miss Bellucia sur son visage, son regard étant posé sur ce chat noir aux yeux verrons frappants, verts et bleus. Puis il repartit d’un pas guilleret, comme ci la vie était magnifique pour lui.
La jeune femme au prénom inconnu proposa de se joindre aux moldus dans un karaoké, ce qui était, en ce moment, brancher de ce pays, sembla t’il a la jeune Alister. Tiana répondit immédiatement.


*Alister* J’accepte avec un malin plaisir, je dois l’avouer. C’est sur que ces personnes à la culture si différentes n’ont pas toujours les mêmes possibilités que nous, mais je crois qu’une masse de personnes, sorciers et moldus, devraient garder le plaisir d’exposer leur voix seulement devant leur glace et non devant un publique intime qui n’osera jamais leurs avouer les critiques qu’ils méritent tous cela leur serait d’un grand secours, je le crois grandement… Sur ce, je propose de se mettre en route, a vous de me guider, je ne connais aucunement les lieux de ses villes immenses et de ses contrées reculés…Tiana attendit que la jeune asiatique arrive à son niveau pour qu’elle puisse lui indiquer la direction. Elle ne savait même pas si elles allaient transplaner.
Alister, l’enfant ignoble et vil qui sommeillait en Tiana depuis l’enfance, celle qui lui disait d’être mauvaise se réveilla alors, ce petit être immonde attendait avec impatience la suite de cette nuit pour agir.
La jeune femme respira l’air frais de la nuit, tentant de renflouer ce vieux démon. La mauvaise Alister repartit d’où elle était venu, sans demander son reste.
Qu’elle étrange situation que de se retrouver ce soir e une compagnie plaisante, alors que Tiana était partie s’exiler, tentant d’oublier, mais elle avait des responsabilités, la liberté d’être adulte était de courte durés.
Alister décrocha un sourire aimable à la jeune femme, l’attendant.


[hj : désolé du rp court, et du temps d’attente blush ]
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Marjo
Invité




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MessageSujet: Re: une attention, un retournement, une rencontre...   une attention, un retournement, une rencontre... EmptySam 14 Oct 2006 - 23:06

Catharina trouva bien plaisir de vois l,éloquence et la façon que la bouche de sa consoeur devant elle avait malin plaisir à lui faire attendre son nom complet, mais n'êtait elle pas autant cachetière de refaire à chaque étrangé cette devinette sordide. Elle se fouttait éperdument de comment ont pouvait penser d'elle sinon se qui arriverais demain si cette femme serais une espionne de qu'importe le coté que vous en voyez le mal. Dans cette ville, le mal était tout et rien même les enfants fessait le mal en s'attaquant à d'autre enfant. Une complainte hors de l'ordinaire tyrannissait toujours les entrailles de Cath, mais elle s'y plaissait d'avoir ses mal de têtes incessant comme ses pensées.

-Vous me voyez bien rassurer que vous n'ayez pas prit genoux à votre cou, cela pourrais être de la témérité, mais j'aime plutôt le mots curieuse. Je suis moi aussi dans cette embarcations, alors mis Hells, nous partons vers les bar japonnais.

Elle passa devant la jeune femme et mit son capuchon sur sa tête. il avait glissé de quelques centimètres et le froid se fessait perçant à sa peau. Ses yeux se changèrent de couleur à la vue d'homme. Il prirent joyeusement la couleur violette violacée. Elle rentra dans la boite en laissant derrière elle les hommes qui les dévisageait de derrières.

** Cette race de barge! **

Elle mit une mains derrière et les hommes durent faire demi tours sur eux même. Ils ne comprirent pas se qui se passait, mais elle riait dans sa barbe de cette affront de gamine.

*flash back*
Un groupe de jeune gens sont habillé de vert et se promènes dans un corridors sombre et humide, un fantômes au vêtements fantômatiques sanglant les dépaça en leur rentrant dedans. Ils émergèrent de cette sombrihétés, et sortirent au dehors pour avoir le soleil sur leur peau. Cath partit en retraite, et se cacha derrière un arbre. Elle vérifia si rien n'était en vue, et se changea de la tête au pieds même les habit. Un habit plutôt sophistiquée et simple. Après avoir arrangée ses cheveux, elle partie vers un groupe de serdaigle. Se groupe de garçon la dévisagea en s'étonnant de son accoutrement. Elle allait arriver à leur hauteur, quand les personnes avec qui elle était quelques minutes plus tôt se mêla à la cohution. Les serdaigles se levèrent d'un bon, et les Serpentard sortirent leur baguette, avant tout chose, ils firent lever les serdaigles en l'air mais surtout un des garçons qui était la plus tête enflé et la plus téméraire jusqu'à se qu'on lui voit le caleçon.
Même si se garçon était de ceux qu'elle trouvait les plus casse pieds, celui là lui avait avouer sa flamme au abords d'une fontaine l'années d'avant quand elle était supposser lui faire mordre la poussière.
Les choses se passèrent vite, il ne prit que quelques secondes pour que sa baguette se dégaine, et qu'elle fasse reculler tout sa troupe de serpentard sur les fesses. Elle se précipita sur le jeune homme en question et le questionna du regard. Il lui fit un sourire et la gratifia en lui dissant qu'à présent c'était à lui de la défendre. Il la mit en retraite, mais elle lui cria qu'il n'avait aucunement besoin de la défendre. Il l'obligea à rester en retraite et elle se mit en colère en partant d'un pied ferme ou elle s'était changé.

De nouveau la jeune serpentard, elle se mit avec ses ami(e)s qui lui donnèrent aise d'être en première lignes. Elle avait oublier une chose, ses yeux ceux de quand elle allait le voir les seules qu'elle lui réservait. Il était mauves étincellant et remplies de beauté. Quand il s'en aperçut, il baissa la garde et se mit à genoux de la jeune femmes. Toute étonné de cette suplications elle se demandait pourquoi il lui fessait toute cette attention.

-Émilie...

Elle fut encore plus étonné par son agissement, et ses yeux se mirent en un brun foncé. Elle trouvait patétique la façon dont il l'avait repoussé et maintenant il se mettait à genoux devant elle s'en était trop quand il lui prit la mains, elle se transplana. Elle arriva dans le couloir ou enfin sa tête arrêterait de lui donner se mal. Elle rentra dans une salle et se dévétit. Elle prit la forme d'Émilie et sortit dans les couloirs. Elle regarda dehors pendant un instant, et vit la troupe toute étonné devant cette défaite de la plus cruelle d'entre eux. Se qu'elle ne savait pas, c'est qu'un souffle lui répercutait dans les cheveux qu'une personne lui mit la mains dans le derrière du cou et se mit à lui carresser. Elle se retourna qu'il lui mit une mains sur la bouche. Elle vit ses yeux et il lui transperça l'âme toute entière pour enlever sa mains et lui donner un baiser. Elle le savoura délicatement, mais un mais, la sienne se leva et le fit se répercuté sur l'autre mur. Elle s'avança vers lui et lui toucha les lèvres. Elle articula sans laisser ses mots se perdre de sa bouche, et la jeune homme fermit les yeux. Il ne pouvait pas être au courant, personne. Elle repartit vers la pièces et se remit en cette Cath froide qui sortit et fit la parade de cette être tétue et insolent de jeune homme qu'elle adorait trop.

Il a certaine personne qui dise que trop aimer ses commes être de pierre, cela était vrai dans le cas de Cath, cette jeune fille qui ne devait jamais aimé toujours simplement être désinvolte.

Sa troupe la virent avec la froussard et sourirent en le voyant se tordre de douleur. Elle ferma les yeux et le fit propulsé au loins.
Cette nuit la elle ne dormi pas elle se laissa choire sur l'une des tours du château de Poudlard tout en pleurant à son coeur de pierre.
*fin flash back*


Elle vit que miss Hells était déjà au bar et lui fessait de grand signe de mains, elle prit pied devant et leva la mains avec de l'argent moldues en commandant un verre.
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