Il était à peu près six heures du matin quand ack se réveilla dans sa cabane. Il regarda autour de lui, et s'habilla rapidement, d'un magnifique smoking. Il regarda alors par la fenêtre. Son hibou arrivait à grands pas. Peu à peu, Jack ouvrit la fenêtre et le volatile lâcha une lettre dans les mains de son maître. Jack ouvrit la lettre, cela l'étonnait car il ne recevait que la Gazette du Sorcier et personne ne lui écrivait jamais. Cette lettre lui annonçait le décès d'un de ses lointains cousins, qui lui laissait son manoir, en Irlande du Nord, en Ulster ! C'était une occasion inéspéré pour Jack, qui, il faut le dire, ne roulait pas sur l'or. Il prit rapidmeent ses affaires, sa baguette et son revolver, qui l'accompagnait toujours, et mit son hibou en cage. Peu après, Jacksortit de la cabane les bras chargés de bagages, et siffla un taxi. Il n'y en avait pas beaucoup dans ce coin perdu, tout près de Londres.
London, quick boy !
Le taxi partit à vive allure, et quelques minutes plus tard, il arrivait à la célèbre métropole, d'où il prendrait un moyen de transport plus rapide. Jack sortit de la voiture, et reprit ses paquets, très chargé, il paya le chauffeur. Rapidement, il entra au chaudron baveur, le traversa, et atterit en plein chemin de traverse. De là, il transplana à une dizaine de kilomètres de la ville. A partir de ce moment là, Jack se mit à marcher pendant des heures, des heures, jusqu'à ce qu'il atteigne une petite ville de campagne. Il y passa la nuit dans une taverne, et se remit le lendemain en marche. AU bout de quelques heures, il atteint l'endroit voulu : la ville de Portsmouth. Il entra alors dans un bar, apparemment réservé aux sorciers, et alal à l'étage. Il conaissait bien ce bar. Il louait des portoloins aux gens qui en avaient besoin, et qui n'avaient pas les moyens. Jack arriva alors dans un étage où il y avait des dizaines de guichets et de personnes. Un des guichets étant vide, Jack s'y glissa et dit :
Un portoloin pour Belfast s'il vous plait. Je vais y partir en vacances.
Un grand homme, au tein blafard, le regarda et sortit d'un tirroir une clé. C'était surement un portoloin.
Voila. Ca fera 20 gallions. La maison ne fait pas crédit !
Jack paya l'homme et regarda son portoloin. C'était un curieuse endroit que cette taverne, mais ce portoloin valait la peine de se déplacer. On dsait que les portoloins vendus ici n'étaient pas toujours légaux, mais Jack s'en fichait énormement. Il serra fort la clé contre lui, et atterit en plein Belfast, dans une foule immense.
Il regarda autour de lui tous ces moldus qui marchaient dans tous les sens. Jack trouva alors un taxi, qui le conduisit juisqu'à la petite bourgade de Stealvers, là ou se trouvait son manoir. Il arriva dans une petite auberge moldus, où il trouva un groupe de chasseurs, avec leurs fusils, buvant une bonne bierre. Ils discutaient de qelque chose dont Jack n'était pas passioné : la pêche.
Moi je vous dis, e préfère la chasse. Une autre bierre s'il vous plait !
C'est alors qu'un autre homme, paraissant plus grand et plus agé, lui répondit en souriant, avalant en même temps une gorgé de whisky.
Mouais, mais franchement...
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que Jack l'interrompit. Il regarda la dizaine de moldus, puis leur dit :
Quelqu'un pourrait m'emmener à Andersen's manor, il parait que ce n'est pas loin d'ici !
Toute la petite assemblée frémit à ces paroles. Ils avaient tous peur de ce nom apparmement. Deux des chasseurs prirent leurs fusils et sortirent de l'auberge, en disant au revoir et en jettant un regard noir à Jack, qui se demandait bien pourquoi... Il regarda deux moldus qui le fixait, le regard dans les yeux.
Et pourquoi donc...
Un grand moldu pointa son fusil sur Jack, qui recula de quelques pas, en affichant une grimace. Apparement; esl gens n'appréciaient pas les étrangers, encore moins si ils voulaient aller à ce manoir, isolé de la ville !
Retournez d'où vous venez ! Entendez vous ! Partez, personne ne veux d'histoires ici ! Alors maintenant sortez ou vous aurez un beau trou dans votre costume !
Jack dégaina rapidmeent son revolver, et le pointa sur le chasseur qui le menaçait. ous les autres chasseurs moldus sortirent lerus armes et les pointèrent sur Jack, qui regarda autour de lui. M^mee le patron du bar, sortit un grand couteau de cuisine.
Le dernier qui est allé chez ce fou d'Andersen a été retrouvé pendu ! Andersen est mort maintenant, et son manoir va être détruit ! Andersen était un teur ! Et vous, vous êtes qui ?
Jack écouta le petit discours de l'homme. Son cousin aavit donc déja tué un moldu. Il était vrai que certaines branches de sa famile n'étaient pas adeptes de la non-violence. Jack lui, n'avait pas l'intention de tuer quand il habiterai son manoir...
Ecoutez, mon nom est Jack Andersen. Mais, je ne suis pas un tueur ! Alors reposez vos armes maintenant, et je repose ma question. QUi est prêt à m'emmener à Andersen's manor, pour 10 000 livres sterlings ?!
Tous les hommes abaissèrent lerus armes. Jack proposait dix milles livres sterlings, à celui qui l'emmenerait à son manoir. Un chasseur, puis, deux, et finalement quatres se levèrent et regardèrent Jack avec un air mauvais, lui disant qu'ils ireaient avec lui, mais seulement demain après-midi. Jack dit au patron qu'il logerait à l'auberge cetre nuit, et mit une tournée de bière à tous ceux qui étaient au bar. Il avait hâte de découvrir son nouveau manoir, qui lui servirait de résidence secondaire, quand il serait en vacances. QUleques heures plus tard, Jack jugea qu'il avait un peu trop but et monta dans sa chambre, posant toutes ses affaires. Il avait loué cette suite plutot modeste pour 2 grands jours, soit 48 heures. Jack éteignit la lumière, et se mit en caleçon, demain, il aurait une rude journée !
Le lendemain, Jack se réveille vers midi. Il s'habilla rapidement et découvrit que ses trois guides étaient déja près. Ils mangèrent lentement, prenant largement leur temps. Jack, lui, dégusta une superbe omeltte aux herbes. Après ce copieux repas, il remonta dans sa chambre, et prit le nécessaire. Une arme, en l'occurence son revolver et sa précieuse baguette, ainsi qu'une lampe torche et un briquet. Il redescendit doucement l'escalieret fit face aux chasseurs, qui eux étaient lourdmenet armés. Il redoutaient le manoir, maintenant, c'était une certitude. Ils s'échangèrent juste, un instant, un regard, et partirent tous ensemble. Ils arivèrent après un quart d'heure de marche au manoir, avançant de plsu en plus lentement. Le manoir était immense, et comportait à vue de nez trois grands étages, ainsi qu'un petit étaqng tout près. La demeure paraissait ne plus être habité et était en très mauvais état ! Jack regarda la porte, ou était gravé en lettres d'or le nom de Andersen. Sur les marches qui menaient à l'entrée du manoir, était inscrit une sorte de malédiction, qui disait que tous ceux qui entraient avec de mauvaises intentions seraient tués dans d'atroces souffrances, ce que Jack ne prit pas en compte, puisqu'il n'avait pas de mauvaises intentions, bien au contraire !
jack était suivit de ses quatres guides, qui étaient grandement effrayés par les inscriptions sataniques gravées sur les marches. Jack, lui, ouvrit la grand porte du manoir, en poussant la poignée. Il arriva dans un grand hall, avec des portes manteaux de chaques côtés, et devant lui, un énorme ecalier de plusieurs mètres de largeurs qui montaient à l'étage supérieur. Les cinq hommes montèrent, groupés avec leurs armes. Jack,, lui, sorit son revolver. Il arriva alors dans un grand couloir. Il entra dans une grand bibliothèque, et là, il fut frappé de stuppeur. Devant lui se tenait des cadavres, enveloppés dans une sorte de toile toute humide et collante. Un des chasseurs poussa un hurlement.
C'est une toile d'araignée géante !
Dit le malheureux en désignant la substance qui servait de cocon aux différents cadavres. Et il avait raison, c'était bien une ntoile d'ariagnée. mais quel araignée pouvait bien faire une toile si grande ! Il n'y avait que... les accromentulas ! Jack recula, marmonnant quelque chose, et sortant de la pièce. Il monta un étage de plus, suivitde prèsnpar ses hommes de mains, et ils aterirent dans un autre étage. mais Jack entendait du bruit, dans ce qui servait de grenier au manoir. Ils montèrent ensemble, et découvrirent dans le grnier, une énorme araignée, de plusieurs mètres de grosseur ! Les quatres moldus hurlèrent, tandis que Jack restait figé devant ce spectacle effrayant. AUssitot, l'araignée se réveilla et se mit à avancer vers les cinq visiteurs. Un moldu commença à crier !
Feu à volonté !
Tous les cinq se mirent alors à tirer sur la créature, qui recula quelque peu. Deuyx moldus avaient des fusils, un autre, un trépied, et l'autre avait une énorme mitrailleuse allemande. Ils montèrent à eux deux leur engin rapidement, et mirent des balles dedans. La mitrailleuses, les deux fusil, et le revolver se mirent àncracher une centaine de balles, jusqu'à ce que l'araignée commença à saigner et à deigner montrer quelques signes de faiblesses... Jack, lui, prit dans sa poche, une balle, plus grande que les aures, et chargea son arme. Il tira une balle, qui atterit dans la tête du monstre, et le blessa mortelement une fois pour toute. l'araignée tomba à terre, au soulageemnt des cinq hommes. jack sorit sa baguette et fit disparaitre le cadavre de l'araignée. Mais aussitot, vers l'entrée du grenier, des dizaines de petites araingées arrivèrent, surement la progéniture du monstre. Ils se mirent alros à courir, prenant leurs jambes à leur coup, et sortirent du manoir. Une fois sortie, Jack prit sa baguette et effaca la mémoire des moldus, qui repartirent, croyant avoir visité tranquillement le manoir, sans aucun dérangement. Jack les paya, sortant une liasse de billets, et resta seul devant sa demeure.
Il se demandait bien cmment faire pour chasser totues ces araignées. Ildécida finalement de rentrer dans sa demeure, et de les éliminer une par une, ce qu'il fit jusqu'au soir, ou elles furent toutes éradiquées. jack aavit enfin son manoir libre, pour lui tout seul. Il se dirigea vers sa chambre, et fit apparaitre un lit, ou il s'endormit, exténué par cette journée...
Le lendemain, Jack retourna prendre ses affaires à l'auberge. Il avait été totalement fatigué par la journée d'hier, et avait envie aujourd'hui de découvrir son petit nid douillet. IL arriva à l'auberge, et découvrit les 4 chasseurs qui lui avaient servi de guide. Ils l'acceuillèrent comme un roi.
Bonjour Mr. Andersen.
Jack avait eut le loisir de connaitre les noms de ses nouveaux amis par le patron de l'auberge, avant de partir. Ils se nommaient Zacker, Triff, Mc Emmerson et Jalluli. Ils étaient tous trois plutot grands, sauf Jalluli qui était lui un peu plus petit de quques centimètres que les autres, mais qui avait une force étonnante. les autrezs ne se distinguaient pas pour leur intelligence, mais étaient vraiment très sympathique... Jack les salua et monta dans sa chambre récupèrer ses affaires. Il s'approcha alors des quatres hommes, commandant un whisky, qu'on lui apporta assez rapidement.
Merci de votre aide messieurs. Je vais désormais partir. Mais je serais au manoir une semaine, avant de repartir à Londres.
Jack finit son verre, et repartit vers son manoir, après avoir remercier une dernière fois ses amis. Il fit un bon quart d'heure de marche, aavnt de se retrouver devant sa nouvelle demeure. Il était très chargé, et fut soulagé de voir qu'il avaut fini sa route.
Il entra dans le manoir, et monta au premier étage. Cet étage était composé de nombreuses chambres, 6 exactement, et d'une grande salle de billard, ou on pouvait se détendre et se reposer. IL y déposa toutes ses valises, sur le lit de sa chambre, et lâcha son hibou. Il monta au deuxième étage. Celui-ci était partagé en trois énormes salles : un bureau immense, une bibliothèque et une autre salle qui servait de salon. La cuisine et la salle à manger se trouvaient au rez-de-chaussée, toute en bas. Quand au troisième étage, c'était un mense grenier d'à peu près 60m². Jack, qaund il eut fini de visiter, sortit de sa demeure et regarda l'étang. Il était immense, à peu près vingt mètres de long sur trente de large. Il y avait un petit ponta en bois, et une barque, si on voulait y naviguer ou pêcher. A l'intérieur de ce grand bassin, il y avait de nombreuses carpes et d'autres poissons. Jack était émerveillé par cet héritage fabuleux. Il retourna alors vers son bureau, et commença à se détendre...
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