~ Poupée... ( RP Sora )

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Julia venait à peine de pénétrer dans ce grand hall. Celui-ci était encore plus grand que dans ses rêves. Les mains chargées de valise, et le regard admiratif. Julia s’avança le long d’une rampe. La tête levée au plafond pour pouvoir admirer les tuiles de couleurs. Julia lâcha doucement ses valises, et elle se posa dessus. Le regard admiratif, Julia était belle et bien partit dans ses pensées, revoyant des moments de sa vie défilée devant ses yeux. Elle se revoyait elle et sa sœur, joué… Sa petite sœur, lui manquait tellement qu’elle souffrait intérieurement.

Julia se leva, et trébucha sur une élève. Elle se releva, et recula lentement. Absolument confuse, Julia était morte de honte. Aucun son n’arrivait à sortir de sa bouche. Elle dut alors toussoter pour faire passer le malaise.

~ Pardon… Veuillez m’excusez…~

Poupée… Pourquoi tu ne m’as pas prévenue qu’une jeune fille était derrière moi ? Poupée… Ne soit pas triste, je serais là pour toi, mais maintenant ma vie et à Poudlard… Je t’aime, et je t’aimerais poupée… Julia fredonnait belle et bien toute seule, depuis la mort de ses parents, Julia c’était forgé une nouvelle amie, une amie qui elle ne partirait jamais. Julia leva lentement les yeux pour laisser apparaître une magnifique couleur vert pomme. Julia lança un vrai sourire à la jeune fille et lui tendis la main.

~ Je suis Julia Taylor, appel moi Julie, j’aime mieux. Je dirais que je trouve que cela me va mieux, enfin… Et toi tu es ? ~

Julia ne trouvait pas que Julie, lui allait mieux mais c’était une référence qu’elle faisait à ses parents. Eux l’appelaient comme ça… Julia était triste intérieurement, mais elle essayait tout de même de cacher se sentiment de mal être.

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Sorayane se hâta de monter dans sa salle commune. Elle avait peu dîner, et beaucoup lû son emploi du temps. Demain, elle éspérait prendre ke cours de Divination...

Son option choisie préférée. Elle l'avait choisit en plus de la Magie Noire, qu'elle voulait beaucoup étudier, afin surtout, et surtout, de connaître "l'ennemi".

Elle quitta la grande salle, peu préssée d'aller poireauter dans son dortoir, seule. De toute façon, Sorayane était venue ici par force, et surtout afin de poursuivre ses études normalement, comme toutes les sorcières...

Elle tourna dans le hall, après la porte de la Grande Salle, puis juste avant de monter les escaliers, elle se heurta à une jeune fille. Sorayane chancela sur elle même, et prononça ces quelques mots:

~Ce n'est rien... Ce n'est pas de votre faute, c'est moi...

Et Sorayane tourna la tête vers cette inconnue. Inconnue? Lorsque Sorayane croisa ses yeux verts clairs, où, si on ne faisait pas attention, on pouvait se perdre, la jeune fille ne semblait pas si inconnue que ça. Et elle entendit la jeune fille chanter, seule, ainsi, naturellemnt... Comme le faisait Sorayane...

Lorsque la fille eût terminé, Sorayane continua: "Poupée,t'as débarqué seule dans ce hall noir , tu venais d'ici, de là-bas et t'allais nulle part, Poupée, t'avais de grands yeux verts mais cernés de noir c'était peut-être la raison de ton départ, qui sait ? elle a vu que t'étais frêle, que t'étais vraiment dans la merde, elle t'a dis "T'es comme moi, viens je t'emmène poupée"...

Et une larme coula sur la joue de Sorayane. Elle l'essuya d'un revers de main. Elle aurait préféré pleurer au fin fond d'elle même, seule, dans le dortoir des Serdaigle... Mais trop tard... Elle l'avait fait ici. Elle redoutait la réaction de la jeune fille... Elle réussit quand m^meme à dire:

~Enchantée. Moi, c'est Sorayane. Sorayane Saotomé

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Julia avait fixé son regard sur Sorayane. Une jeune fille si belle, pleine de vie. Mais dans le fond Julia sentait qu’elle souffrait tout comme elle. Julia soupira en voyant cette magnifique jeune fille pleurer. Soudain, Julia se remit à parler à sa poupée imaginaire. Par amour ma poupée, fait le pour moi… Rien n’est impossible… Laisse moi aller vert les autres. Poupée j’ai débarqué à Poudlard pour essayer de vivre. Poupée Laisse moi rire. Poupée je serais toujours là pour toi. Poupée… Et encore poupée… Je t’aime. Une fois le flash back de Julia terminer celle-ci se mit à répondre à Sorayane.

~ Non, je dirais que c’est moi… Je parlais à ma poupée… Celle pour qui je vie… Ma poupée… Elle est belle ma poupée…~

La jeune fille devait sûrement prendre Julia pour une folle présenter une amie imaginaire présenter quelqu’un qui n’existe pas. Julia baissa les yeux, et une larme coula. Elle aussi à son tour avait craqué, dans le fond de son esprit elle entendait sa poupée lui dire « À toute ces personnes qui meut par amour… Julia - Poupée… » Julia releva lentement son visage tout pâle vers la jeune fille. Incapable de dire quoi que se soit Julia se contenta de marcher en direction de ses valises. Derrière elle on pouvait apercevoir que Julia tenait la main de … Personne.

~ Excuse moi… C’est à cause elle… Elle veut que je souffre… C’est ma poupée… Tu dois sûrement me prendre pour une folle. Mais c’est à cause d’elle … Ma poupée ma pris les êtres de ma vie. ~

Julia attrapa ses valises et elle commençait à monter les marches. Sa main était toujours dans le vide. Julia se retourna, et une larme se mit à couler le long de son visage. Elle renifla discrètement. Elle s’en pressa d’ajouter quelque chose.

~ Ma poupée est jalouse de toi, parce qu’elle voit en toi quelqu’un qui es comme moi… C’est vrai toi aussi tu as une poupée ? ~

Poupée tu es devenue ma seule amie… Bientôt la avec du poison, et sans rire, tu es belle ma poupée, mais tu es debout avec moi dans un monde qui craint. Julia se posa lentement sur les marches de l’escalier, elle était à présent en larme, ne sachant plus se contrôler, elle prit simplement sa tête dans ses bras.

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Sorayane comptemplait la jeune fille avec peut-être de l'inssufisance... Elle parlait à une poupée. Une poupée à qui elle tenait la main. Sorayane regarda un peu sur le côté et fût surprise de ne rien voir, à par du vide et personne. Elle remonta son regard vers Julia, et celle-ci se mit à parler. En parlant de sa poupée. Comme Sorayane, elle aimait beaucoup sa poupée, mais bizarre, celle de Julia avait plus d'emprise sur elle, que celle de Sorayane sur elle. Sorayane fronça les sourcils, et dit:

~Oui, moi aussi, j'ai une poupée... Mais... Je ne vis pas pour elle, je veux dire que je ne suis pas sa subordonée... On peut dire que c'est l'inverse... Ma poupée est belle... Aussi

Sorayane sourit à Julia, tout en pensant à sa poupée. Elle était dans le dortoir des Serdaigle, bien en sécurité dans son coffre en forme de lit. Cette poupée ressemblait à la cousine de Sorayane, avec des yeux bleux cette fois. Elle ne préféra pas y penser, c'était déjà assez de la voir chaque jour anisi, étendut dans son petit, très petit lit, les yeux fixes, le regard vide, et le visage maquillé à la peinture... Son innocence si glaciale avait transpérsé le coeur de Sorayane, comme un morceau de verre, un morceau de glace.

Mais Sorayane avait ouvert son coeur à cette poupée au lieu de s'ouvrir les veines... Et Sorayane vit que la fille commençait à monter les escaliers. Sorayane la suivit, et elle vit que la fille chancelait, et qu'elle lui disait que sa poupée était jalouse de Sorayane. Celle-ci monta encore quelque marche, et sous l'emprise de l'Amitiée, elle attrapa Julia a plein bras, pour ne pas qu'elle s'écroule d'avantage de peur, de pleurs, et de manque d'affection. Sorayane murmura doucement:

~Ne t'en fais pas... Je suis là... Tout va se terminer, tu ne sera plus sous l'emprise de Poupée...

Elle avait dit ça, non pas sans réfléchir, mais spontanément, avec grâce, dignité et panache. L'Authenticité faisait bien-sûr partit de Sorayane, et c'est pour cela, qu'elle se dirigea vers les valises de Julia, et qu'elle les pris, avant de les poser sur une marche de l'escalier, et s'assit juste à côté. Elle prit Julia par le bras, et la fît s'asseoir à côté d'elle. Le grand hall était vide, tout le monde était dnas leur salle commune, dans la Grande Salle, ou quelque part dans le château. Par ce froid glacial d'hiver, Sorayane avait mit une grosse écharpre, qu'elle s'empressa de serrer autour d'elle et de Julia avant de dire:

~Dis-moi... Tu l'as depuis quand ta poupée? En fait, si tu le veux bien... Raconte moi tout, Julie...

Sorayane avait dit ça, bien comme il le fallait, c'était comme ça qu'il fallait faire quoi! Comme Sorayane se connaissait elle-même beaucoup, elle devait connaître bien sûr Julia, vu qu'elles étaient pratiquement pareilles... Sorayanee sourit, et essuya la larme de Julia sur son visage. Elle savait qu'elles allaient bien s'entendre et que tout aller bien se passer... Il fallait juste que Poupée lui laisse un peu de liberté...

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Poupée, laisse moi… Avant j’étais une petite fille au pays des merveilles. Par amour poupée laisse moi. Poupée tu m’as démolie. Poupée… Julia était à présent dans les bras de Sorayane, sa sauveuse. Celle qui allait tuer cette poupée. Tuer par amour…Tu sais poupée tu t’es acharnée à faire de moi une incapable. Julia pleurait à présent, ne sachant plus contrôler ses larmes, elle les laissait tomber sur le sol de l’escalier. Julia se sentait en sécurité dans les bras de sa sauveuse… Julia inspira et commença à répondre à Sorayane.

~ Tu ne vies pas pour ta poupée ? Mais alors, pourquoi ma poupée abuse de moi ? Par amour ? C’est tout ce que je sais lui dire… J’ai peur de ma poupée. ~

Julia ferma les yeux, essayant d’oublier cette poupée. Elle ne devait pas céder, elle devait laissée sa poupée. Trouver le remède à ses blessures. Repenser au lagon et à ses rêves. Par amour Julia… Par amour putain. Julia s’accrochait de plus belle au corps de Sorayane, Julia avait positionnée sa tête dans les bras se Sorayane, Julia était à présent coucher sur l’escalier, sa tête sur les genou de sa sauveuse. Julia ne quittait plus son ange des yeux.

~ Te raconter tout ? Je n’ai plus de famille… Je ne vie que pour ma sœur, et ma poupée. J’ai un mal au fond de moi. Et cette poupée me donne la solitude. J’avais retrouvé le sourire avant. Mais poupée me rappel à chaque fois mes mauvais moments. ~

Julia ferma les yeux, une larme coula le long de son visage. Si seulement Sora pouvait tuer cette poupée…Simplement la tuer, par amour. Julia était à présent coucher, et un sourire apparu sur son visage. Poupée, était en train de partir ?

~ Sora…Ma poupée me quitte… Elle s’en va, par amour… Attire là vers autre chose, laisse moi encore une fois lui dire au revoir. ~

Julia se leva lentement, et se tourna. Elle marcha lentement en direction de sa poupée.. En direction du vide. Elle prit une dernière fois la main de cette fabuleuse poupée.

~ Ta pris la poudre d’escampette… Sache que je t’aime, et je t’aimerais Poupée… ~

Julia lâcha la main de cette magnifique poupée, et se laissa tomber à genou sur les marches. Elle pleurait à chaud de larme à présent. C’était fini… Poupée était partie.

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Sorayane sentit que Julia se serrait encore plus fort contre elle. Elle pleurait fortement, des larmes coulant sur son beau visage, son visage de poupée. Et Sorayane se mit à écouter parler Julia. Elle avait perdu sa famille, elle ne vivait que pour sa poupée et pour sa soeur... Mais Poupée allait partir, car Sorayane était arrivée, elle était bel et bien debout, et elle allait sauver Julia, la débarrasser de Poupée.

~Ta poupée doit partir, Julie... Elle ne doit plus te faire souffrir... Par amour Julie.

Cette fois-ci, Julie pleurait à chaudes larmes. Avec ses pouvoirs, Sorayane avait fait partir Poupée. La poupée imaginaire de Julia. Par amour rien n'est impossble, c'est tout c'qu'à sû faire Sora... Le temps ne l'avait pas démoli, et il n'allait pas faire de même avec Julia, car Sorayane était là.

Sans Poupée, ce n'était que des avantages... Même si les gens avec qui on reste sont cruels, sans scrupules, ne pensant qu'à eux, et abusant des autres, on s'y attache. C'était ce qui était arriver à Julie avec Poupée. Il y a des être que la mort et ne te rend pas. Triste jeune fille en crise de larmes, Julia avait suivie poupée. Sorayane comprenait, et ne suivit pas Julia, elle préféra chanter:

~A tous ces gens qui vivent par amour,
~A tous ceux qui se perdent par amour,
~A tous ces coeurs qui tiennent par amour,
~A toutes ces femmes qui restent par amour,
~A tous ces hommes qui s' cachent par amour,
~A toutes ces vies gâchées par amour,
~A tous ces gens qui crèvent par amour
~Et à tous ceux qui survivent par amour...

Et Sorayane se dirigea enfin vers Julia. Il fallait la ramener dans la salle commune, ou au moins, sur l'escalier. Elle descida de la relever sur elle-même, et de l'enlacer très confortablement, comme-ci elle retrouvait une amie de longue date. Il n'y avait personne dans le couloir, et en général, Sorayane aurait préféré ne pas être découvert dans cet état, avec quelqu'un mal en point, au niveau du moral.

Mais, là, ce n'était pas même... Nan, nan... C'était Julia, et c'était Par Amour. Sorayane ramena Julia sur l'escalier, et l'assise, comme tout à l'heure, question de se clamer. Ca y est, Poupée allait trouver quelqu'un d'autre,e lle allait déjà vers l'horizon du Grand Lac de Poudlard. Poupée n'allait plus revenir, mais c'était pour le bien de Julia, et maintenant, pour Julia, Poupée ça allait être Sorayane... Mais, beaucoup mieux que Poupée...

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Julia était à présent dans les bras de Sora… C’était fini par amour… Adieu poupée. Les larmes de Julia c’était calmé. Elle se leva lentement pour regarder sa sauveuse dans les yeux. Julia lui lança un véritable sourire. Julia se sentait, vivre… Libérer de cette magnifique poupée. Quand Julia eu fini de sécher ses larmes. Elle se mit alors à parler à sa véritable sauveuse.

~ Par amour… Merci ma poupée… Tu m’as sauvé… Seulement par amour… ~

Julia était redevenue normale, sans poupée sans amie imaginaire, et Julia espérait que celle-ci allait la laisser vivre à présent. Julia posa lentement ses mains sur son torse et se mit à rêver… Rêver par amour, d’un monde sans sa poupée… Mais d’un monde avec sa sauveuse, la sienne, car c’étaient sa reine.

~ Sorayane… Tu as aussi une poupée ? Elle ne serait pas jalouse elle, si nous sommes deux à présent ? ~

Julia était revenue s’assoire au coté de sa reine. Elle lui prit alors, la main, et y déposa une pâquerette qu’elle avait prit de sa poche. Elle ne quitta sa plus reine des yeux. Maintenant qu’elle était libre elle devait essayer de s’habituer à cette vie. Une vie sans poupée, mais accompagnée de sa reine.

~ Ma reine, je serais toujours là pour toi quoi qu’il arrive. Par amour… ~

Julia voulait absolument marcher, se dépenser vivre, courir, faire tout ce qu’elle n’avait pas pu faire avec cette poupée… Elle prit alors la main de Sorayane, et la pâquerette tomba sur le sol. Julia pensa directement… Tampis poupée ramassera cette vieille pâquerette. Elles dévalèrent l’escalier à deux. Pour se retrouver devant la grande porte du hall.

~ Viens, ma reine… On va tuer cette poupée ensemble. Reine, je t’aime… Par amour ~

Julia regarda une dernière fois derrière elle avant de tourner les talons de sa vie. C’était fini… Par amour poupée… Julia se mit alors à chanter lentement une chanson, celle que sa poupée lui chantait.

~ Poupée, avec l’amour ta pris la poudre d’escampette ta désiré le coup de foudre, ta dit bonjour à la tempête, poupée, t’était cette fille au pays des merveilles. Tu lui m’as ouvert ton cœur plutôt que de t’ouvrir les veines. Je sais, t’as vu en moi ce que seule toi pouvais comprendre. T’étais petite, j’était grande, j’était tendre. Je sais, et puis pourquoi se justifier l’amour ne s’explique pas. Ni même le sang qu’on retrouvera chez moi ~

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Sorayane regarda Julia devenir libre. Ca y est, c'était chose faite, et Sorayane en était cent fois plus que fière. Elle se souvint...

Un matin d'hiver... Au Japon, dans la maison familliale. Elle apprenait le rite des Saotomé: entretenir son tribal. Le grand tribal des Saotomé. Le sign honneur faisait rêvé Sorayane, elle l'avait tant aimé. Elle n'avait alors que 6 ans. Mais elle savait qu'elle possaidait des pouvoirs, elle en fût étonné, mais surtout, surtout, très fière. Il ne pouvait pas y avoir plus de fierté en Sorayane qu'être une Saotomé, alors posséder des pouvoirs... Sorayane elle-même n'a jamais compris comment elle avait fait, et surtout qu'elle était lacause de cete fierté. Bref, matin d'hiver. Il était tôt, le soleil n'était même pas haut, très haut dans le ciel. Sorayane descendit les marches des escaliers, comme d'habitude, et elle remarqua que quelquechose clochait... Oui! Elle avait compris! Le Tribal affiché sur le cadran de la position du Soleil n'était plus là. Pourtant, ce n'était pas le jour de l'An, où on devait faire des prières devant le Tribal avec Papa et Maman... Sorayane descida alors de se rendre dans le salon. Il faisait très sombre, Papa et Maman était assis sur le grand canapé de cuir marron, Japonais. Des bougies étaient allumées. Sorayane avait compris... Grand-père était mort. Maman sanglotait dans les bras de Papa, et Sorayane, au lieu de se rendre avec eux, déida de se rendre devant le tribal, et commença à pleurer, seule, avec sa poupée laisser par Maman à côté du tribal... Par Amour des Saotomé...

De retour dans le Hall d'entrée du château de Poudlard, Sorayane se rappella qu'il y avait Julia. Celle-ci l'emmena loin, et l'appella Reine. Ceci était défendu chez les Saotomé... Sorayane n'avait le droit d'être le Reine de Personne. Elle ria et annonça à Julia:

~Non, je ne peux pas être ta Reine, quoi qu'il en soit... Navrée, on reste amies d'accord?~

Elle lui adressa un énorme sourire, un sourire d'amitié, Par Amour. Elle regarda l'horizon, décidemment, elle revenait dnas la réalité: Poudlard et le reste n'éatit pas si mal que ça... Il fallait juste qu'elle aiille dans son dortoir, afin qu'elle se rappelle le tout... Ce qu'il s'était passsé au Japon, son enfance... Sorayane adorait rêvasser, et maintenant qu'elle avait délivrer quelqu'un et qu'elle c'était faite une nouvelle amie, elle espérait vivre normalement, mêmem si elle se trouvait loin de sa famille, de son logis, de la tombe de grand-père... Et si les Saotomé avait toujorus vécu comme ça? Si ils étaient tous avec un tribal? Leur si beau tribal honoré... Elle découvrira tout ça au fil du temps... Par Amour...

Par respect, lorsque Julia eût terminé de chanter, Sorayane demanda:

~Dis... Ca te dit de faire un peu de shopping samedi ou dimanche? Questions de se retrouver entre amies! Parceque avec les cours! Au fait tu as pris comme option?~

Sorayane bombardait Julie de questions. Elle l'avait libéré d'une prison, le temps perdu ne se rattrape peut-être pas, mais au moins, Sorayane et Julia essayaient. Mieux vaut essayer qu'abandonner et tout laisser... Par Amour...