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| La dernière nuit (pv) | |
| | Auteur | Message |
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Kalina D Invité
| Sujet: La dernière nuit (pv) Sam 10 Juin 2006 - 3:05 | |
| Il était environ minuit et toute les chandelles du château était allumé. Les couloirs étaient désert exception faite d’un seul. Une jeune femme avançait le pas lourd la tête ballotante de tout les côtés. Elle portait sur elle une grande robe de soie noire, qui est brodé à son endos un grand serpent qui entoure sa proie. Elle était pied nu et avançait sur la pierre froide d’une nuit fraîche. Kalina avait un regard sombre et lourd. Elle faisait avancer son enveloppe charnelle au travers du château en direction des toilettes des filles. Elle ne fut interrompu qu’une seule fois mais elle n’avait pas fait attention au jeune préfet en chef et avait continuer. Les tableaux s’étaient réveillés par ce moment où le jeune homme lui criait après. Il avait tenté de lui jeter des sorts pour l’arrêter mais curieusement aucun ne l’atteignit. Elle continua sa marche vers la mort sa marche vers la liberté. Les toilettes des filles étaient désertes comme à son habitude. Surtout s’il est minuit personne n’est réveiller à cette heure. Les chandelles étaient éteintes et seule un rayon de Lune éclairait les lavabos au travers une petite fenêtre. La porte s’ouvrit et Kalina entra dans cette pièce silencieuse calme. En face d’elle avait les lavabos avec les miroirs. Elle voyait une ombre qui avançait comme un mort vivant. Peu à peu que cette ombre avançait la Lune éclairait son visage. Kalina se voyait et avait le goût de s’enfuir tellement elle était devenue un monstre. Elle approcha son visage de la surface qui reflétait son image corporelle. Elle leva sa main droite pour toucher la reflet de se monstre dans la glace. Une larme s’échappa de ses yeux qui étaient devenu rouge sang. Elle voulut les arracher mais ce reteint. Elle recula son visage pour revenir droite. Sans quitter des yeux la glace elle défit la boucle qui faisait tenir la robe de chambre fermer sur ce corps. Puis doucement elle fit glisser tout le long de son corps ce morceau de tissu par terre. Elle portait un petit déshabiller noir fait d’un tissu transparent. Kalina se souvint le jour où elle était anorexique. Elle se croyait trop grosse et avait arrêter de manger. Après deux trois jours dans une salle de classe, elle s’était effondré par terre par manque de force. Elle ne voyait presque rien que des silhouettes flous et plusieurs personne s’était afféré près d’elle. Puis après elle était tombée dans le coma. Quelque heure plus tard elle s’était réveillée dans un petit lit blanc de l’infirmerie. Encore faible l’infirmière l’avait obligé de manger quelque chose et Kalina avait repris des forces après une bonne semaine. Sa meilleure amie dans le temps était toujours présente à côté de son lit et lui tenait compagnie. Cela peu sembler bizarre mais Kalina avait bien et belle une meilleur amie dans le temps de son ancienne école. Pourtant celle-ci s’est suicidée quand elle avait 14 ans. Dans les toilettes des filles par le miroir une nuit fraîche d’été quand la lune était pleine. Kalina avait choisi la même date cette soirée où elle voulait rejoindre son amie, une nuit de pleine lune, à minuit. Devant le miroir elle pleurait ses souvenirs affreux. Son corps laid avait plusieurs frissons et ses cheveux étaient en bataille. Le regard brouillé par les larmes elle leva ses mains puis commença à frapper dans le miroir qui se fracassa en plusieurs morceaux. Les mains plein de sang elle pris un morceaux de miroir dans chacune de ses mains. Elle laissa tomber sa tête par en avant et laissa ses bras tomber mollement de chaque côté de son corps. Elle laissa son enveloppe charnelle se balancer d’un bord et de l’autre. Elle ouvrit la bouche et chantonna une berceuse que sa mère chantait au deux jeunes sœurs : Une petite étoile parfois très brillante Et parfois toute pâle Voyageait en courbes en droite en spirales Dans le firmament
La petite étoile sur toute la terre causait du scandale Et rendait la vie vraiment infernale à tous les savants
En cherchant dans les vieux livres On s'aperçut qu'elle existait depuis toujours Et que dans le monde entier à son sujet On avait fait de beaux discours À la fin de cette aire elle leva la tête et se regarda une dernière fois dans un miroir puis leva les bras. Elle se planta en même temps les deux moreaux de miroir dans chacune de ses cuisses et fit déchiré sa chaire en montant la vitre le long de ce membre endoloris. Ensuite se mutila tout le corps d’une triste colère. Son déshabiller en lambeau et son corps plein d’égratignure ensanglanter. Elle lâcha finalement la vitre par terre et les écrasant avec ses pieds elle poussa un hurlement de douleur et de légèreté. Elle tomba à genou sur la vitre en miette et ouvrit grand les bras. Dans le rayon de lumière blanche elle dit d’un murmure, qui résonna sur tous les murs : La solitude et la perte se détachent, Que la puissance du maître tombera, Une violence parcourant la terre, Que l’enfant divine remontera.
Un jour la lune se remplira, Que la fillette se détachant de l’emprise, De la violence donnée le sang giclera, Que la sinueuse se détache de son œil aveugle
Les yeux rouge sang disparue derrière un morceau de peau tremblant et fit montré que le blanc de ses yeux. Ses bras tombèrent légèrement et ses mains touchèrent le plancher. Sa tête bascula doucement par derrière. Par ce mouvement un déséquilibre se fut et son corps tomba par derrière sur la pierre. Ses yeux redevinrent rouge sang et elle vit la lumière bouger puis s’éteindre peu à peu. Elle entendit un bruit étouffer qui venait de l’entrer. Elle fit tomber sa tête vers celle-ci et vit une silhouette floue s’avancer vers elle. Elle fit un énorme effort pour ouvrir la bouche et murmurer encore l’air de la berceuse. Finalement la lumière s’éteignit, mais avant que celle-ci se ferme une larme naissait dans ses yeux et coula le long de sa joue pour mourir sur ses lèvres sèches. |
| | | Sirinyli Invité
| Sujet: Re: La dernière nuit (pv) Sam 10 Juin 2006 - 4:50 | |
| je te répond demain petite étoile...Nylie avait trouver le temps long depuis le début de l’année était elle réellement venu tout le reste de ses études dans cette école si morne ses derniers temps… Que peu de gens aurais pu le savoir. Peu de personne l’avait côtoyé pendant toute ses années qui avait passé si vite. Des années et des poussières voilà comment elle voyait ses années perdu à n’avoir pas encore vue trace de sa sœur… Cette pensée la fessait toujours triste et avec comme si la terre venait d’arrêter son cirque pour qu’elle ait le temps de retrouver en se donnant corps et âme à la rescousse de sa petite sœur. Se jour la était sombre, les nuages gris avait enveloppé tout Londres et ses alentours pour donner un sombre dessein à la journée personne n’avait mis pieds dehors même si les goûtes de pleure du ciel ne savait pas rabattue sur la terre qui s’abreuvais de cette tristesse rare depuis peu. Les animaux, eux avait pris les devant de promenade à la vue de nourriture égaré par des élèves téméraires. Nylie avait fait la féline, et savait aventuré dans les bois toute la journée à la vue d’une licorne ou deux. Ensuite montant sur les branche de saule pleureur, elle savait mis la tête en bas pour toucher le mi-chemin entre la rive et le milieu du lac pour faire mouvementé l’eau trop calme et regarder se mouvement se transporter au loin. Ses yeux en amande, elle regardait le mouvement tout en pleurant. Quand elle ferma les yeux pour qu’une de celle-ci se détache, le remous de l’eau lui montra une jeune fille. La demoiselle était entrain de marcher dans le noir de la nuit. Les remous de peu de lumière au contact du déplacement de l’air qu’elle fessait, lui fessait illuminer son tendre visage parsemé de douleur. Un homme l’interpella, qu’il se fit rejeter par derrière. Elle continua sa sombre marche jusqu’au toilette ou elle se regarda froidement, Nylie ne voyait rien, seulement de coté de la jeune fille, quand celle-ci se mit à frapper ardemment sur son reflet, et à récité une paroles communes. Une petite étoile parfois très brillante Et parfois toute pâle Voyageait en courbes en droite en spirales Dans le firmament
La petite étoile sur toute la terre causait du scandale Et rendait la vie vraiment infernale à tous les savants
En cherchant dans les vieux livres On s'aperçut qu'elle existait depuis toujours Et que dans le monde entier à son sujet On avait fait de beaux discours
Nylie perdit l’équilibre, et allait tomber dans l’eau, quand elle fit une vrille et reprit la branche par sa main droite et se releva de ses jambes qui se relevèrent pour s’accrocher avec dureté à la branche branlante après cette acrobatie. Elle sortit de l’arbre, remit sa robe blanche sur le dos n’ayant pas le temps d’attacher les cordelettes en son dos et laissant celui-ci se faire foudroyer par le froid ardent. La lune avait pris le zénith et brillait de mille feu quand elle sortit de la forêt. Elle se mit à courir du plus qu’elle le pouvait, pourquoi et comment avait elle eu cette vision… Avait elle encore des pouvoirs cachée, ou était il enfin tous résolue, mainte fois, pendant ses songes, elle revoyait sa sœur pleurant les yeux noir et les bras s’arrachant de ses clavicules frêles. Arriver au delà des toilettes, un bruit se fit entendre. La solitude et la perte se détachent, Que la puissance du maître tombera, Une violence parcourant la terre, Que l’enfant divine remontera.
Un jour la lune se remplira, Que la fillette se détachant de l’emprise, De la violence donnée le sang giclera, Que la sinueuse se détache de son œil aveugle Nylie vit la défaillance de la jeune femme, qu,elle étouffa un cris de surprise, quand le temps s’arrêta et que son passé lui revint à l’esprit. **Sur une route de poussière et de char tiré par des chariot de bois dans notre village éloigné. Le soleil planait dans le ciel pour cette merveilleuse journée, ma petite sœur était si anxieuse, qu,elle avait le pisse minute réglé au deux minutes, mais je la mis mieux à l’aise en lui disant que j’allais m’assoire à ses coté. Un homme apparue et offrit des bonbons, avant que je retienne ma sœur, elle avait devancé, et l’homme lui donna, mais la retint quand elle voulu retourner près de moi. Un autre homme sortit et voulut me tenir. Les deux hommes allèrent dans une direction contraire de l’autre, et j’entendais et voyais ma sœur pleurer et crier mon a perte de souffle de ses poumons.
-Nynyyyyyyy….**Se nom la fit sursauté et la fit revenir dans le monde réelle. L’aîné se jeta sur sa sœur et se mit à lui couvrir le corps de son corps même, les pleure se mire à flot sur celle-ci. Elle oublia que cette jeune fille savait mutuellement heurté de coup de vitre sur ses cuisse et ses mains dégoulinante de cette couleur rouge et chaude. Elle pleurais tellement que sa vision vue moindre et qu’elle se mit à regarder les plaie de sa sœur, mais sans toutefois les distinguer. Elle prit son revers de main, effaça sa pein,e et plaqua ses mains sur ses plaie. Les yeux ébahis, elle prit sa baguette et fit sortir une ribambelle de ruban médicinale, qui s’enroula autour de ses cuisses et de ses mains. Quand les premiers soins furent en place, elle se mit à chantonner. De notre planète les observatoires braquaient leurs lunettes Mais les astronomes se cassaient la tête Parce que simplement
Une petite étoile parfois très brillante Et parfois toute pâle Voyageait en courbes en droite en spirales Dans le firmament
La petite étoile sur toute la terre causait du scandale Et rendait la vie vraiment infernale A tous les savants
-Je suis la, ne pleure plus…Nylie prit la jeune femme dans ses bras, et la serra tout contre elle. Cela fessait tant de temps dont se moments se voulait renouvelé, qu,elle trouvait sa sœur à moitié morte sur un plancher de marbre qui lui aspirait il avait quelques minutes tout les sang de son corps. |
| | | Kalina D Invité
| Sujet: Re: La dernière nuit (pv) Mar 20 Juin 2006 - 1:04 | |
| Les lumière fermé, l’âme prisonnière de le mort, une douleur intense fit allumé une lumière au bout de ce trou noir. Une lumière blanche, elle se sentait, elle se ressentait, une douleur fulgurante la mener par le bout du nez, une chaleur la recouvrir de ces plaies. Tout près de la lumière, ou bien à l’intérieur, une jeune fille d’environ 5 ans se promenait main dans la main avec une autre jeune fille plus jeune… Une calèche les dépassa pour mieux s’arrêter, pour les attendre. Ces deux jeune enfants au yeux bridé, les yeux au couleur bois et l’autre couleur joyaux. Un home sortit de la calèche et, s’avançant vers elles, leur tendit une main remplie de savoureux bonbon couleur arc-en-ciel. La plus jeune mener par la faim lâcha prise de l’aîné pour satisfaire son ventre vide qui gargouillait de douleur. L’homme au lieux lui donner ces friandises lui empoigna le poignet. Tout en l’attirant vers lui ce petit corps impuissant, il la mit dessous bras. Se débattant la petite ne pu se déprendre de sa prise, criant espérant que quelqu’un vienne la sauver :
- NYNYYYYYYYYYYYY!!!Kalina traversa la lumière qui la mena sur la terre ferme sur le marbre froid enveloppé d’une chaleur. Une chanson qui était plus que cela, une berceuse qui ne faisait point endormir résonnait sur les murs d’une petite pièce qui empestait les excréments de sorcier. Le corps faible, une énergie puisée dans l’impossible fit ouvrir les yeux redevenus émeraudes d’une jeune femme lacérer. Dans un rayon de pleine Lune baignant dans ce liquide chaleureux, deux jeunes femmes se retrouvèrent enfin. La souffrance qui recouvrait Kalina se dissipa pour laisser place à une chaleur froide. Bercer par les bras de sœur et par la chanson que l’aîné avait continué, Kalina laissa les mots sortir tout seule d’entre ses lèvres. Mais je dois vous l'avouer en grand secret Un poète m'a dit un jour Que cet astre vagabond tout simplement C'était l'étoile de l'amour
Va petite étoile que tu sois brillante ou bien toute pâle Pour tous ceux qui s'aiment d'escale en escale Il faut continuer Va petite étoile à te promener Va petite étoile dans la voie lactée Va petite étoile pour l'éternité Kalina n’avait plus d’énergie mais pourtant une aura bleutée entoura elle et sa grande. Une leur bleu remplissait la pièce, une leur réconfortante, une lueur froide mais pourtant si douce, si consolante. Son corps se détachant de la pierre froide du corps chaud de sa sœur, s’élevant dans l’infini, la tête ballottant de tout côté, les bras suspendu dans la vide, le torse s’élevant avant le reste, le torse qui entraînait ce qui restait de l’amas d’os, de chair, de sang et de muscles. Les bandelettes se déroulant de son corps laissant ces bouts de tissus blanc tomber délicatement au sol, près de Nylie. Les yeux fermer Kalina s’élevait inconsciemment. Ses cheveux reprenait la couleur brun d’avant, son teint pâle, redevint vive et pleine de couleur. Ses plaies se refermant laissant de simple petite cicatrice blanche. Lentement, élégamment le corps renouveler retoucha le sol implorant de vivre encore plusieurs années. Les coins de ses lèvres se retroussèrent pour former un sourire. Une autre larme coula tout le long de sa joue et les lèvres se séparèrent pour laisser les mots sortir librement : - Je pleure de joie ma grande étoile.Sur ce elle laissa son corps récupérer, se soigner, se remplir de nouveau sang chaud et pur. Refermant les yeux sur une note plus douce. Mais avant, elle devait savoir, savoir ceci : - La solitude et la perte se détachent, Que la puissance du maître tombera, Une violence parcourant la terre, Que l’enfant divine remontera.
Un jour la lune se remplira, Que la fillette se détachant de l’emprise, De la violence donnée le sang giclera, Que la sinueuse se détache de son œil aveugle. |
| | | Sirinyli Invité
| Sujet: Re: La dernière nuit (pv) Ven 14 Juil 2006 - 4:54 | |
| Un leur de chaleur se dissipa au travers de la pièce qui donnait froid dans le dos au téméraire. La petite étoile brillait de mille feux comme quand cette nuit de cri de sa mère fit étinceler le ciel de ses astres que l’aînée croyait destinée à la petit qui s’éleva soudainement de son emprise et cette lueur se mit plus étincelante que jamais.
Le dos se relevant et les mains se défripant de dessus le corps de la jeune fille parcourut de tristesse. Elle savait que sa sœur avait été prédestinée à quelque chose, mais nul ne savaient le pourquoi de ses étranges et surpuissant pouvoir développé avec un bon cran d’avance à la plupart des jeunes sorciers commun.
Elle redescendait que l’aîné mettais ses mains au devant pour que le corps en plainte de douleur se repose sur elle pour aider cette fatalité moins lourdes pour la jeunesse qu’elle dégageait.
La jeune enfant se mit a verser une larme et de sa bouche les paroles d’une plainte se fit entendre, puis une charade ou une destinée qui était écrite dans les cieux citer par celle-ci.
-Ne t’inquiète plus, je suis la. Personne ne pourra te refaire du mal, je serais toujours la pour toi, et j’ai tant cherché à te retrouver… Qu’est-ce ses mots fatidique? Qu’es tu devenue depuis tout se temps… J’ai eu si peur de ne jamais te revoir…
L’aînée coula une larme et prit le corps de la petite entre ses bras et força celui-ci sur le sienne, perdant connaissance du mal qu’elle pourrait lui prodiguait. |
| | | Kalina D Invité
| Sujet: Re: La dernière nuit (pv) Mer 19 Juil 2006 - 19:25 | |
| Les paroles qui sortaient d’entre les lèvres de la cadette réconfortant de peu la benjamine qui croyait pouvoir maintenant se laisser aller par le courant des rêves. Qu’elle n’aurait plus à craindre quoi que ce soit, car l’aîné retrouver rimerait avec protection et bonheur. Elle ne savait point ce qu’elle devrait affronter pour obtenir la paix intérieur de soit même. Aveugler par les douces paroles de sa sœur elle ferma les yeux pour laisser place à ce monde magique. Pourtant elle luttait. Pourquoi? Maintenant que tout ce qu’elle souhaitait soit réalisé. Une rage monta en elle en revoyant ce film qui passait sans s’interrompre. Une rage mais aussi la peur. Ne dit on pas que la mort viens après le film de notre vie qui passe dans notre tête comme un rêve? Avant de partir elle aurait voulut ne jamais faire cette erreur de se charcuter en morceau. Car maintenant elle regrettait ce geste si sanguinaire et morbide à la vu de d’autre. Elle sentait la chaleur humaine. Elle s’y accrocha, comme pour ne pas partir de ce monde qu’elle avait tant haï.
- Me voilà te donnant encore le mystère de mes paroles insignifiantes aux yeux de plusieurs, quand je viens de retrouver tous ce que je voulais, tous ce qui me poussait à venir dans cette pièce. Je me sens honteuse de te faire cela, mais j’espère que même ces mots ne pourraient changer ce que je souhaite à tes yeux. Nyny, je m’en vais dans le monde merveilleux des petits lutins joyeux, protège moi de ceux là, protège moi de ceux que tu verras.
Elle lui prit la tête entre ses mains tremblantes de lassitude. Elle lui envoyait un message de détresse, elle lui faisait ressentir tout ce qu’elle avait ressentit au moment de son enlèvement.
Petits Flashes back L’homme qui l’avait enlever, lui mettant un casque sur sa tête prononçant les mots écrits dans les cieux. Les ténèbres qui l’enveloppait à chaque moment du jour et de la nuit. Ces paroles qui voulait tout dire de la part d’une femme : - C’est vraiment elle, elle a le profile parfait de la jeune fille de la prophétie. Elle doit mourir se soir, sinon la prophétie se réaliseras. Cette douleur transperçant d’un endoloris. Le moment d’enfin pouvoir peut-être revoir les tiens, le moment où elle se libéra des chaînes qui la forçait à vivre dans l’enfer de la détresse. Ne sachant comment tout ceux qui était sur son chemin ne puisse l’atteindre. Quand la vue se retrouva peu à peu. Elle n’était plus que seule dans un corps qui n’était pas le tien. La maison déserte de son enfance perdue.
Fin des petits flashes back
La benjamine laissa ses mains tomber sur son corps et murmura dans un souffle de désespoir :
- Sauve-moi…
Puis elle laissa son corps traverser la barrière des rêves. |
| | | Sirinyli Invité
| Sujet: Re: La dernière nuit (pv) Jeu 27 Juil 2006 - 3:19 | |
| La grande sœur prit sa sœur par le bras droit et se le mit autour du cou et de l’épaule gauche, qu’elle souleva le cœur de sa sœur. Elle devait aller à un endroit plus sain qui serais pas bientôt achalandé de jeune gens prêts pour les cours qui allaient débuter dans quelques peu de temps.
Les tableaux et la douleur de soulevé sa sœur se multiplia quand elle fut au marche bougeant de cette endroit malsain. Elle dut faire mille recoin pour retrouver l’endroit qui lui laissait enfin ses désirs de soigner sa sœur malade en son cœur et sa tête meurtrie de moment traumatisant.
Dans la pièce un lit à baldaquin comme dans sa chambre, et une décoration douce et zen au couleur de l ‘Asie. Une fenêtre ouverte sur le coté ouest de la pièce donnait un air frais à la pièce au mur grimper par des petits arbustes de se pays de l’ouest. Sur une tablette de bambou au forme d’une cascade, un petit artifice qui coula par la force du sort jeté sur celui-ci. Même la lit au couleur de la végétation donnait un air plutôt sauvage au deux sœurs qui avait mal en sachant que toute ses années perdu ne seront jamais récupérable.
L’aînée avait les idées mélangées, mais ceci était l’une des milles autres douleurs qui lui parcourait son être. Une douleur qui allait s’échapper avec le temps à rester au près de sa petite étoile tant aimée.
-Petite étoile ne craint rien jamais tu ne saura fardeau pour mon cœur et mon esprit. Les lune se sont succédé, mais il manquait cette artifice qui embellit la nuit de ses milles sœur tout aussi brillante, mais seule l’une d’entre elle fait des jalouses. Le soleil lui même l’aime tellement, il lui prodigue tant de chaleur qu’il dégage que maintenant plus les années passe plus il se réchauffe et se doit de t’éclairer ma petit étoile si brillante.
La grande sœur avait étendu la petit dans le lit et lui flattait à présent les cheveux qui avait baigné dans cette sueur et se sang qui s’était échappé d’elle. Assise au rebord de son lit comme l’ange qui guète la personne mourante pour savoir s’il doit l’apporter avec lui ou le laisser avec ses proches, la grande sœur se baissa sur sa sœur et laisse un baiser sur son front qui se crispa à la marque d’attention si inattendu.
-Tu sais quand tu es née, maman avait mal et elle criait, alors je suis aller prier au bord de la fenêtre de notre chambre, et tu sais comment j’ai su que maman t’avait eu… une étoile filante avais parsemé le ciel, et maman avait arrêté de crier et c’était plutôt un rire aigu et enjoué qui s’était élevé en bas. Je me suis précipité vers maman, et elle m’accueillait dans ses bras et toi avec ton sourire qui avait mit mille étoile et un sourire fière dans tout la maison… Je su que nul destin ne pouvait te faire pivoter vers un mauvais chemin et que ta beauté qui maintenant m’éblouie, elle te vient de ton passé, n’importe qu’il soit et que seule toi qui est si forte avait pu s’échapper de ses hommes. Je sais que c’est douloureux, mais t’inquiète mais questions ne seront que dans ma tête, et c’est quand tu seras prête que tu pourra les dires… |
| | | Kalina D Invité
| Sujet: Re: La dernière nuit (pv) Sam 5 Aoû 2006 - 22:40 | |
| À la place des ténèbres la lumière faisait place dans cet univers magique. Une plage remplie de sable blanc brillait aux lueurs du soleil qui rayonnait de mille feux. Le ciel couleur bleu, dénudé de nuage blanc avait accueilli des oiseaux aux couleurs les plus farfelues. Kalina, habiller d’un simple bikini triangle au couleur de la mer, avança d’un pas indécis vers l’eau salé. Elle y trempa un pied pour vérifier la température de celle-ci. Elle recula de quelque pas voyant qu’elle était froide. Les vagues mourraient à ses pieds et une légère brise vint lui transpercer la peau. Elle regardait le néant, perdu dans ses pensés. Une plus grosse vague vint lui éclabousser le bas des jambes ce qui la fit sortir de la rêverie. Elle avança dans l’eau froide, qui semblait si bonne. Le liquide bleu était rendu jusqu’à sa taille et c’est à se moment qu’elle plongea tête première. Elle ouvrit les yeux et découvrit d’immenses variétés de plantes aquatiques. Près de ceux-ci ce cachait quelque poisson solitaire attendant que le repas vienne à eux. Des bancs de poisson de toutes les couleurs se promenaient au fond de la mer. Nageant au travers des poissons et des plantes aquatiques, Kalina se sentait libre et sans responsabilité. Des heures sans ce soucier de respirer ni sortir de l’eau parce qu’on a la peau plissé.
Le soleil se couchait laissant place à l’astre de la nuit. Celle-ci accompagner de ses bonnes étoiles. Kalina venait tout juste de sortir de cette eau savoureuse. Elle marcha de quelque pas vers l’avant et s’effondra à plat ventre sur le sable. Elle dormait paisiblement jusqu’au lendemain. Elle se releva de peine et de misère. Agonisant de faim, elle fit tomber une noix de coco d’un arbre et la brise en deux grâces à ses pouvoirs qui semblait être plus fort qu’à la normal. Elle but ce que contenait celui-ci puis le jeta derrière elle. Elle se jeta à l’eau. Nageant vers l’impossible, de ses longs bras. Ballotant ses jambes derrière elle pour avancer plus vite.
Un requin affamé cherchant sa pitance au fond de cette eau, qui semblait ne jamais finir. Se faufilant entre les plantes aquatiques, il aperçue un humain. Se léchant les babines, il fonçant vers cette nourriture délicieuse. Ouvrant sa grande bouche, découvrant d’énorme ranger de dent acérer. Il mordit la jambe de sa victime, qui projeta un liquide rouge autour de celle-ci.
Kalina se sentit touché à la jambe, regardant dans les eaux l’origine de ceci, une marre de sang chaud entoura celle-ci. Elle poussa un cri aigu avant de se débattre de toutes ses forces. Se faisant balancer de droite à gauche Kalina ne sortir de ses cros. Elle fut attirée vers les fonds marins. Regardant derrière elle, elle vit la bouche d’un requin grand ouvert près à lui mordre une deuxième fois la jambe. Avant qu’elle n’est pu faire quoi que ce soit elle fut aspirée dans cette gueule.
Le noir. C’est ce qu’elle voyait. Le silence. C’est ce qu’elle entendait. Elle voulut ramener ses mains vers son visage, mais ne put car ses poignets étaient attachés. Se débattant de toute ses forces, mais sans réussite. Elle sentit des personnes entrer en parlant, mais ne pu distinguer de quoi portait le sujet. Bizarrement, on la força à ce relever, puis quelque chose lui pénétra la peau. Lui traversant les entrailles, jusqu’au plus profond de son corps. Une douleur sans fin, comme si elle ne s’arrêtera jamais, une douleur si aigu qu’elle pourrais éclater en mille morceaux. Cette douleur lui donna la force, une force si puissante qu’elle fit éclater les chaînes qui la retenait prisonnière. Elle avança comme une âme perdue faisait éclater les corps près d’elle. Elle marcha dans ce labyrinthe comme si elle savait le chemin par coeur. Elle repoussa tout ceux sur son chemin sans qu’elle ne s’en aperçoive. Sortie près de la falaise, un sort lui atteignant la tête. Lui rendant la vue elle aperçue, l’eau à plusieurs mètre d’elle, le fort courant détériorant la roche. Elle oscilla sur le bord de la falaise avant de perdre l’équilibre et de tomber vers le vide. Une voix déchirée cria de plein poumon :
- NYNYYYYYYYYYY!
Une gueule de requin ouvrant la bouche aspirant ce corps se croyant perdu à tout jamais.
Dans un décor asiatique, une odeur d’encens flottant dans l’air, Kalina ouvrait ses yeux remplient d’horreur. La sueur perlait son front et ses cheveux étaient trempés. Nylie n’était pas dans la pièce. L’avait-elle déjà laissé tombé? Était-ce juste un rêve? Elle enleva ses couvertures et s’apprêtait à se lever quand, soudain, la porte s’ouvrit. Ce n’était pas un rêve. Sa grande sœur était là, sur le seuil de la porte un bol de fruit en main. Son visage rayonnant à la vue de sa petite sœur enfin réveiller, depuis quelque jour elle sombrait entre la mort et la vie. Kalina resta dans son lit à contempler la splendeur de sa sœur. Tandis qu’elle, elle avança vers la benjamine lui offrant les fruits. Kalina ne pu s’empêcher de lui sourire et prendre une pomme dans le bol. Nylie s’était assise à ses côtés. Kalina la regarda encore quelque seconde avant de commencer :
- Il y a tellement de question qui nous tracasse toute les deux. Pourtant une d’entre elle me tracasse encore plus que les autres. Alors je vais te la poser tout de suite avant de commencer mon histoire… Quand je me suis enfin sortis des ténèbres j’ai retourné à la maison, pourquoi il n’y avait personne, pourquoi papa et maman n’y était pas? Avez-vous déménagez? Ou bien il s’est passé quelque chose de terrible? J’ai besoin de réponse Nyny.
Kalina la regarda intensément, s’attendant au pire. Ses sourcils froncer et la lèvre inférieure se faisant ronger par ses dents, Nylie allait peut-être enfin lui dire la vérité… |
| | | Sirinyli Invité
| Sujet: Re: La dernière nuit (pv) Lun 7 Aoû 2006 - 3:06 | |
| La grande sœur que Nylie était, avait été chercher pitance dans les cuisines de cette école. Elle attendais la revenue de sa sœur à son état normal, mais cela prit plus d’une semaine avant que son esprit maintenant si déroutant reprenne le dessus. Sa peur était si grande et sa peine encore plus. Comme des jumelles, la benjamine ressentait en ses pores même la douleur que la jeunotte ne pouvait divulguer pour l’instant.
Les elfes avaient été clément, comme à toute les fois ou elle criait famine. Elle avait demandé une repas fragile qui ne troublerais pas un estomac vide et sans bon aliment depuis tout se temps. Un plat de fruit exotique comme bien précis de leur nouveau pays, elle se retrouvait heureuse et enchanté de leur dévouement. Des millions de remerciement et des poignées de mains, puis elle se dirigea vers sa sœur. Les amies de l’aînée l’accablait, mais elle ne fit pas attention et continuait son chemin. Ils lui criaient questions des raisons pourquoi elle les fuyait. Sans regarder derrière, elle marchait sur une route sinueuse et bien précise.
Quand elle rentra dans la chambre, elle vit sa sœur réveillé à demi levé dans le petit lit. Elle perçu une crainte, et la fit se dissiper, en lui touchant le front d’une mains et un baiser sur cette partie de peau maintenant nue. La petite se régala d’une pomme quand l’aînée ne fit que l’écouter et la regarder.
Un moment de terreux fit sont apparition. Elle lui demandait requête fatidique. Comment allait elle lui annoncer ses affreux moments. Elle déglutina avec difficulté. Une pression en son estomac, et elle souffla un peu avant de déballer son terrible cadeau qui était presque une mort certaine.
-La maison était vide… Personne n’y était… c’est que… maman et papa non pas vraiment pris ta disparition, et on trouvé très dur de t’oublier, même si jamais ils auraient pu faire cela. Ils sont mort dans la nuit, et je me suis rendu compte de ceci au matin. Je rentrais de la grange… |
| | | Kalina D Invité
| Sujet: Re: La dernière nuit (pv) Jeu 10 Aoû 2006 - 19:40 | |
| Kalina buvait les paroles blessantes qui sortaient enfin d'entre les lèvres de l'aîné. Un jour elle aurait sue, il fallait le faire maintenant, ce qui blesseraient encore son coeur. Sa vu s'embrouillèrent de larme salé, mais elle contenait ceux-ci de son mieux. Sa mère avait out donné pour elle et son père faisait de son mieux pour les faire sourire. Peu à peu elle avait déjà oublié leur visage souriant et leurs yeux remplie de tendresse.
Kalina essuya, à l'aide de son index, les quelques larmes qui débordaient de ses yeux. Nylie avait arrêté de parler, mais la petite soeur lui pris la main l'incitant à continuer son récit.
À ce chaud contact, l’environnement commença à tourner. Le décor asiatique et l’odeur de l’encens se perdirent dans la brume. Prise de peur, la jeune Delaguna serra fortement la main de l’aîné. Puis une image apparut lentement autour d’elle et sa sœur…
Une petite maison, accompagné d’une grange s’offrait à elle. Bizarrement, il n’y avait pas de couleur, tout ce décor était en noir et blanc, comme un vieux film. Une jeune demoiselle sortait de la grange, les cheveux ébouriffés et les vêtements dans un mauvais état.
- Je rentrais de la grange… quand je vis une jeune femme et un homme de dos à moi. Une fillette en leur milieu se tourna vers moi, et se dirigea pour me donner la main au bout du tunnel blanc. Elle avait l’air si bonne, et si gentille. Ses parents se présentèrent, et me dire qu’ils étaient mon oncle et ma tante, et qu’ils m’apportaient avec eux. Nous sommes allé à Londres pour l’année qui allait suivre, j’irais à l’école de magie.
Les gestes que faisaient les personnages autour d’elle, suivirent les paroles de sa grande sœur.
Kalina se détacha de la main de l’aînée pour se lever, quand l’environnement se dissipa en un nuage de fumé blanche.
De nouveaux dans ce décor asiatique, Kalina regarda sa grande sœur, sidéré. Que c’était-il passé? Jamais ceci ne lui était arrivé, jamais elle n’avait vécu de terrible chose avant la rencontre de sa sœur. Elle eu un mouvement de recule, mais pensa que sa sœur n’y était sûrement pour rien.
- Tu as vu? Notre maison, la grange, toi! Notre oncle et notre tante et puis finalement, notre cousine, tu les as vue?
Kalina pris un autre fruit, rongé par la faim. Elle croqua dedans avant de continuer.
- Dit moi s’en plus, je veux tout savoir, que ce passe-t-il que c’est-il passer? Dit moi tout, n’ai plus de secret, délivre toi.
Ses yeux, qui étaient devenue vert émeraude avec la semaine endormie passé dans le petit lit, devinrent subitement rouge sang. Sa pupille se rétracta comme celui d’un chat. Sans savoir pourquoi sa sœur avait fait un saut, elle fronça les sourcils puis dit :
- Qu’est-ce qu’il y a? Je fait si peur que sa? |
| | | Sirinyli Invité
| Sujet: Re: La dernière nuit (pv) Jeu 31 Aoû 2006 - 17:06 | |
| L'aînée tombait déjà dans cette trépasse de se futur si loin dans la tête de la jeune Nylie, elle revoyait les moments ou sont oncle et sa tante jamais au par avant vue se montrait au grand jour pour lui annoncé sont adoption par la mort fatidique de ses parents, mais aussi la découverte d'un autre monde. La jeune Delaguna, elle prit peur et avait serré, trop serré la mains de l'aînée, mais celle-ci ne fit qu'étteindre un peu plus la mains de la cadette un peu plus.
La brume se dissipa que les yeux de l'inssousiance de Kalina se vit devenir tyrannique en ses yeux qui s'injectèrent d'un rouge bouillant. Une rage ou une fabulence de sa par, le sault que ceci lui avait fait, fit demander questions de la jeune fillette. Nylie fit un gestes de la tête d'un non catégorique, et lui reprit la mains qu'elle avait délaissé.
-Et toi? ou étais tu... pourquoi tes yeux sont illusions de martyre... que se passe t'il répond moi. Pourqoi cette soudaine envie de vengeance que je perçois en tes pores même. Délaisse le passé comme j'ai fait et vit ton présent...
Elle avait perdu la mains de la cadette, et c'étais levée pour regarder par la fenêtre et versée une larme silencieuse. Elle ne reconnaissait pas une parcelle de cette petite soeur si aimé. Qu'avait elle subit, pourquoi tout se revirement de vie comme si la vie d'avant avait été que pleure et désollance d'un rêve fatidique. Pourquoi cette peur et se vouloir de faire taire ses rêves les plus profonds en elle même.
Elle n'en pouvait plus elle ne voulait plus voir sa soeur souffrir, et elle essairait par tout les moyens de la libéré. |
| | | Kalina D Invité
| Sujet: Re: La dernière nuit (pv) Lun 25 Sep 2006 - 3:03 | |
| Kalina se détendit au geste catégorique que fit sa sœur. Sa main prit la tienne émettant une chaleur protectrice. Les mots sortant d’entre ses lèvres qui ne remuaient presque se questionnait sur le passé qui la rendait plus forte faible de jour en jour.
-Et toi? Ou étais tu... pourquoi tes yeux sont illusions de martyre... que se passe t'il répond moi. Pourquoi cette soudaine envie de vengeance que je perçois en tes pores même. Délaisse le passé comme j'ai fait et vit ton présent...
« Et toi? Ou était tu… Et toi? Ou était tu…Et toi? Ou était tu… »Ces mots se répercutait dans sa tête et sa mémoire s’activa pour laisser place à un cauchemar qui ne s’était jamais terminer. Après quelques minutes de lourd silence Kalina put enfin murmurer quelques mots.
- Le noir… Les ténèbres m’envahissaient. Le silence me poussait à m’abandonner.
Le souffle saccadé elle continua :
- Mes bras ne pouvaient supporté mon poids qui baissait à vu d’œil, ils voulaient s’arracher de mon corps, finalement c’est mon âme qui s’est détaché de mon corps, il est partie loin, loin de cette enfer, loin de cette horreur.
Elle poussa un soupir puis continua.
- Malgré ces faiblesses, j’ai réussie à me frayer un chemin jusqu’à la terre ferme. Jusqu’à la lumière qui réchauffa mon corps de jeune fille. Tremblante je réussie à atteindre la première ville qui se présenta sur mon chemin. La ville déserte, je parcourais les rues à la recherche d’une main qu’on me tendrait. J’ai remarqué quelque minute plus tard que j’étais arrivé à la ville qui m’a vu grandir pendu 4 ans. Je trouvai la maison, abandonné, qu’on habitait autrefois. Je m’y réfugia jusqu’à me remettre de ce que j’avais vécu. Quelque mois plus tard je retrouvai sur le seuil de la porte une lettre s’adressant à moi. Celle-ci m’informa de mes pouvoirs que je ne croyais pas tout de suite. Quand une personne vint me chercher je la suivis sans dire mot, perdu, confuse. Depuis ce temps, je vis dans ce monde magique sans retrouver trace de mes origines. Sans ami(e) s, sans famille. J’étais toujours une inconnue aux yeux des autres élèves. Je ne parlais à personne et personne ne me parlait. Jusqu’à ma 6ièmes années d’études où quelque brave venait me parler. Je les renvoyais tous dans leur trou. J’en avais asser, asser de vivre dans l’anonymat, asser de ces cauchemars qui me hantait. Hier soir, je marchai dans ces couloirs tapissés de poussière avec une seule idée en tête, en finir avec cette vie. Le reste de l’histoire tu l’as connais.
Une boule se forma dans la gorge de Kalina, qui se referma sur elle-même. En position fœtus et se pris une mèche rebelle et la fit tournée entre ses doigts.
- La solitude et la perte se détachent, Que la puissance du maître tombera, Une violence parcourant la terre, Que l’enfant divine remontera.
Un jour la lune se remplira, Que la fillette se détachant de l’emprise, De la violence donnée le sang giclera, Que la sinueuse se détache de son œil aveugle.
Ces paroles froide ma toujours resté gravé dans ma mémoire, pourtant je n’ai jamais réussi à découvrir ce qu’elles disaient. Tous ces mystères qui m’enveloppent me rendent folle. Qui suis-je? Que fais-je dans ce monde? Est-ce que je mérite de mourir? Pourquoi? Pourquoi?...
Kalina poussa un soupir, sortant de sa bulle pour rejoindre sa sœur qui était parti verser une larme près de la fenêtre. La jeune sœur n’avait remarqué pas remarqué cela. Elle regarda le vide et rajouta :
- Depuis le jour où je me suis sauvé, je me suis juré de me venger car pendant ces nuits entières passées là-bas, des douleurs me transperçaient le corps par la torture que me faisaient ces êtres cruels.
Pied nu, Kalina traversa la pièce pour aller se chercher du nouveau linge. Elle ouvrit la commode puis pris une de ses grandes chemises blanches ample avec un pantalon noir. Elle se changea derrière un panneau puis en ressorti quelque minute plus tard. Elle jeta sont linge par terre, pris une orange et s’assied dans le lit.
- Et toi, où était passé durant toute ces années? M’avais-tu oublié? Avais-tu perdu tout espoir de me retrouver? Que t’ai-t-il arriver depuis tout ce temps? |
| | | Sirinyli Invité
| Sujet: Re: La dernière nuit (pv) Sam 30 Sep 2006 - 19:36 | |
| La première goutte puis la deuxième une mer de douleur remontait en sa gorge et ses veines au paroles pertubante de sa soeur. Elle secoua la tête vivement pour ne plus entendre que pendant tout les années qu'elle voulait la retrouvé, que cette jeune fille à ses cotés était morte de l'intérieur et que nul personne ne pourrais lui redonner fois en la vie et la misécorde de dieu lui même. Elle laissa ses marques de tristesse sur ses joues et voulu prendre les épaules de sa soeur entre ses mains pour la sérrer, mais elle partie vers le petit paravant pour se changer.
La grande soeur se mit à regretter d'avoir partie de la maison.
-Je... Je ne pouvais plus, je t'ai cherché sur tout les terrains vaccants que j'aurais parier mille chose que tu y serais, mais tu n'y était pas tu ne te montrais jamais. Père et mère se défit de leur amour pour moi et me rejetais quand tu t'ais fait enlever. J'ai eu si mal pour toi, les nuits se sucédait que mes yeux restait avide de te voir revenir à nous. Je sais que tu ne pourras jamais me pardonner de ne pas t'avoir poursuivit même si mes jambes n'en pouvais plus. J'aimerais que ta haine s'appèse, mais je suis sans recourt à être si forte. Je ne suis qu'une simple sorcière qui ne peut te donner se qu'elle même n'a plus. La joie et l'amour mon délaissé tout comme toi, mais si une amitié et une compassion reste en ton coeur, alors suis moi et partons de cette école. Nous serond plus heureuse au loins. Nous ne pourrions pas revenir en arrière, mais au moins nous pourrions forger un lendemain plus tenace que notre passé.
Nylie se regarda les mains et les mit sur son visage. Elle se mit a craindre que sa soeur en son coeur ne veule d'elle pour l'aider a vivre avec bonté et sastifactions de la vie simple de deux jeunes femmes libre qui se voit régulièrement tout en habitant dans le même logement.
Elle se retourna vers sa soeur et eu un sourire de vaincoeur et qu'elle ne pouvais pas montrer son désespoire à sa petite soeur déjà bien trop accablé par la souffrance de sa tête.
-Alors tu viens?
Une mains au devant et un sourire qui embélit toute la pièces tout comme le soleil qui essaye de se faire une place entre les carreaux graceux. |
| | | Kalina D Invité
| Sujet: Re: La dernière nuit (pv) Sam 7 Oct 2006 - 0:32 | |
| Sa sœur lui dévoila ses plans de partir loin de cette école et de vivre ensemble. Cette idée ne déplaisait pas à la petite sœur, pourtant elle hésita. Elle ouvrit la bouche comme pour parler puis la referma. Un moment de silence parcourait les lieux d’où Nylie lui tendit une main. Kalina réfléchissais à sa proposition, qui semblait tentante.
- Je dois avouer que je me ronge d’envie de venir avec toi, mais pourtant je ne devrais pas. La vie est si dangereuse à l’extérieur, elle est aussi mystérieuse et même triste. Il y a des personnes qui m’attendent en dehors de ces murs qui veulent encore ma peau et je ne serai même pas capable de les repousser.
Une mine triste s’afficha sur son visage qui plutôt était enjoué. Elle poussa un soupir puis ses sourcils se froncèrent. Des souvenirs se succédèrent dans sa tête qui lui fit un pincement au niveau des tempes. Pourquoi se donner tant de mal à réfléchir au lendemain et pourquoi ne pas pour une fois voir ce monde tant rêver qui s’ouvre à nous. Elle laissa tomber son fruit qu’elle tenait pour mettre ses mains sur sa figure puis passer ses doigts dans ses cheveux. Les yeux fermer elle murmura quelque paroles inaudible. Elle enleva ses mains de ses cheveux brun puis tendit une de celles-ci vers celle de sa sœur.
Les deux mains se touchèrent puis se serrèrent. Kalina se leva avec l’aide de sa sœur. Un de ses rares sourire se dessina sur le visage de la plus jeune. La grande sœur le lui rendit de plus belle. Elles emboîtèrent le pas en même temps vers la petite porte de bois. Kalina lança avant de partir pour de bon de ce château :
- Espérons que le destin ne nous en veut pas… |
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