Après sa répartition

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Lain, une jeune fille moldu, mais en faite sorcière, débutante, c’est le cas de le dire, comme elle ne connaît rien à la magie. Elle a lu quelques pages de ses livres de cours, et elle trouve ça particulièrement intéressant surtout les livres de sortilèges et de métamorphose. Le plus ennuyeux avait l’air d’être l’histoire de la magie, qui ressemblait à l’histoire géographie au monde des moldus. Mais c’était déjà beaucoup mieux ! Enfin pour les moldus c’était tout de même intéressant car c’est comme ça qu’ils apprenaient la magie, ses secrets, ainsi que cette école de sorcellerie Poudlard, ou elle va maintenant étudié sept longue années à . En effet, Lain venait d’être répartie à Serdaigle et elle venait juste de s’asseoir à la table des Serdaigles, attendant que les répartitions soient finis pour entendre le directeur, et savoir ce qu’ils allaient manger. Ce n’était pas des directeurs, mais plutôt des directrices. Elle avait lu dans son livre d’histoire de la magie, que Poudlard avait été construit par cinq maraudeuses, qui sont maintenant les directrices de Poudlard, qu’elle chance pour elle, elle a put être de l’a bonne année pour pouvoir voir les cinq maraudeuses, et dire que ses arrière arrière arrière arrière arrière petits enfants, ne l’est connaîtront sans doute pas. Et elles seront remplacés par des gens qui ne mérite sans doute pas cette place, cette honneur de diriger cette merveilleuse école. Mais aussi, peut-être que ça allait être un des enfants des cinq maraudeuses qui reprendra l’école en main, ce qui sera déjà beaucoup mieux. Elle fit un sourire à la directrice qui se leva, la maraudeuse angélique. Elle allait commencer avec un discours, et tout le monde se parler, ils n’y avaient donc pas le silence. Puis, Lain remarqua soudain que les répartitions étaient enfin fini, qu’est-ce que ça avait été long pour la jeune fille, surtout une moldue qui voulait connaître les règles de cette établissement, ce qu’elle n’avait pas le droit de faire ou ce qu’elle avait le droit de faire. Car Lain ne voulait sans aucun doute enfreindre le règlement intérieure de ce tout nouveau monde pour la jeune fille. Imaginée qu’elle soit renvoyée à la première soirée qu’elle passe à Poudlard, c’est-à-dire aujourd’hui. Elle en serait en pleure, et elle ne voudrait même plus entendre parler de ça, car elle était nouvelle, elle ne savait pas encore bien mémoriser les règles qui étaient imposés en ce moment même dans cette merveilleuse école de sorcellerie. Elle ne voulait pas décevoir sa grande sœur qui avait elle aussi fait ses études de sorcellerie à Poudlard, et qui avait particulièrement en quelques sortes blesser la petite Lain, qui tenait beaucoup à sa sœur, et qui lui racontait toutes ses pensées, ses amours, ses joies, ses peines, ses pleures. Alors qu’un simple hibou, qu’une simple lettre, avait fait le vide dans la maison, plus de sourire, plus de crie dans la maison, et Lain était redevenue une petite fille comme elle l’était auparavant, sans amis, ennuyeuse, ne savant pas quoi faire, attendant la même lettre que sa sœur, cette lettre drôlement bizarre qu’elle avait lu, et que sa sœur ne le savait malheureusement pas. On avait fait donc croire à Lain que sa grande sœur partait en voyage avec sa classe, comme elle était petite, elle le pensée, on pouvait lui faire avalée tout ce qu’on voulait, mais quand elle a commencée à grandir, à savoir que sa sœur n’était toujours pas rentrée de ce voyage de classe, et qui ne risquait d’ailleurs pas d’y rentrer, car en faite elle était dans une école de sorcellerie. Ils n’avaient sans doute jamais parler de ça à leur fille, car ils avaient peut-être peur qu’elle raconte tout au voisinage rien que pour se vanter et avoir des amis qui croient aux bobards que dirait Lain. Mais Lain n’était pas ce genre de fille prétentieuse Non, au contraire, elle détestait ces personnes de ce genre, donc pourquoi serait-elle une jeune fille de ce genre ? Ça on se le demande bien. Quoique, elle pourrait sans doute le faire, juste pour avoir des amis, mais ça ne serait pas des vrais, et pour se la « péter » un peu, comme toutes les jeunes filles de son âge qui ont besoin par moment de dire des choses qui ne sont malheureusement pas vrai, et que les autres filles ou garçons de leur âges, les croient. Mais Lain malheureusement et l’une des filles qui se fait le plus avoir.

Bref, après les répartitions enfin fini, la directrice s’approcha d’un pupitre, pour ou il y avait déjà une feuille, certainement tous ce qu’elle devait lire, et Lain en soupira d’avance, car elle n’aimait pas trop entendre les personnes parlaient, mais là, c’était tout à fait autre chose, Lain était accoudée à la table, regardant droit dans les yeux la directrice qui s’avançait de plus en plus vers le pupitre pour prendre la parole dans les bruits que tous les élèves faisaient, soit pour se raconter leur vacance, des nouveaux professeurs ou alors pour parler des nouveaux élèves qui venaient de se faire répartir. Voilà, maintenant la directrice était juste en face du pupitre et elle allait prendre la parole, pour peut-être lire le règlement, mais ce qui fut assez bizarre, c’est qu’elle enleva directement la feuille ou il y avait la feuille pour l’a chiffonnée dans ses mains, et l’a laisser dans ses mains. Elle fit un petit sourire aux élèves et elle commença en disant :

« Bonjour chers élèves, bonne nouvelle année ou bonne année pour ceux qui viennent de se faire répartir, c’était tout de même assez difficile pour le Choixpeau Magique comme vous l’avez peut-être ressentie, ou peut-être vu après que vous avez étiez réparti. Bref, maintenant je vais vous parler de ce que vous n’avez pas le droit de faire. Vous n’avez pas le droit de désobéir à vos directrices, directeur de maison ainsi que préfet et professeur de cette école. Ne pas leur parler mal, même entre vous, ce n’est pas très agréable ! Formellement interdit de se balader dans les couloirs le soir, après le couvre feu, sinon une sanction sera imposée si on vous trouve. Vous n’avez pas le droit d’aller dans la forêt interdite qui se trouve près de la cabane du garde chasse, vous aurez le droit d’y y aller, avec un accompagnateur de l’école, ou pour vos heures de colle. Le garde chasse s’occupera de vous, et me préviendra aux bêtises que vous avez faites. Voilà, quelques règles à ne surtout pas désobéir, sinon points en moins pour votre maison, ce qui serait assez dommage. Maintenant place au banquet, et bon appétit, régalez vous bien ! »

Après que la directrice est fait un bref discours des choses qui étaient interdites, Lain se le répéta une deuxième fois dans sa tête pour que personne ne l’entende et qu’on ne l’a prenne pas pour une folle, elle faisait ça aussi pour ne pas en oublier une, ce qui serait dommage pour une première année de faire perdre des points inutilement à sa maison. Lain pensait après l’avoir fait, qu’elle devait écrire à ses parents pour leur annoncé la bonne nouvelle, qu’elle avait été répartie à, la maison des Serdaigles réputée pour leur sagesse maintenant il ne manquait plus à ce qu’elle ce face des amis, et qu’elle ait le minimum d’ennuies cette année, en tout cas pas plus de trois, sinon elle pouvait être virée de l’école de sorcellerie la plus connue au monde dans le monde des sorciers et la moins connue au monde dans le monde des moldus ce qui est normal, comme les moldus ignorent tout sur le monde de la magie, à part la famille des moldus, et leur enfants qui sont sorciers, personnes ne le sait, et les moldus si ils le disent le ministère de la magie sera là pour tout annulée, ils jetaient un sort d’oubliette. Peu de temps après, le banquet pu commencer, au repas, il y avait des pommes de terres avec des haricots vert, ainsi que du blanc de poulet et des cuisses de poulet. En boisson il y avait du jus de citrouille, une boisson que les jeunes sorciers adoraient. Et en désert des tartelettes aux fraises fouettés de crème chantilly. Elle allait se servir quand une fille l’a bouscula pour prendre le plat.

# J’attend de bon Rps construit s.v.p ainsi au long de tout ce sujet. Vous interprèterez la jeune fille qui a prit le plat presque des mains de Lain. Merci d’avance. #

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Une ombre légère, vêtue d'un long manteau gris, qui se fondait avec les pierres du chateau, marchait sur un chemin pierreux, dans la nuit tombante, au-dehors, et seules quelques mèches brunes, qui sortaient de sa capuche, montrait une partie de son identité, bien que minime, car son visage était plongé dans une obscurité inquiétante. Elle avançait, silencieusement, ses pas se succédant sans fin, comme si elle allait sur le chemin de la vie, plutôt que sur quelconque autre ; elle paraissait errer sans but, sans savoir où elle allait, et pourtant, ses yeux bleu azur brillaient sous sa capuche et étaient le seul éclat de lumière. Les manches grises recouvraient ses longs bras mates, mais le bout de ses doigts se faisaient légèrement voir malgré tout. Au-dessus d'elle, les Cieux se recouvraient d'un manteau noir, d'obscurité et de ténèbres, mais, bien vite, les Premières Etoiles apparurent, et des Constellations se formèrent en silence sous les yeux ébahis des quelque élèves qui étaient assis dans les Jardins. La Grande et la Petite Ourse se montraient déjà lorsque les Nuages qui recouvraient la Lune s'espacèrent, et qu'un grand éclat de l'Astre Blanc éclata sur les environs, éclairant en un instant infime le visage de la Jeune Femme, qui avançait, sans interruption. Certains bruits se firent entendre, et ils parvenaient de l'autre côté du chateau : c'était donc les arrivées des nouveaux élèves ; la répartition n'allait pas tarder, et l'Ombre accéléra un peu le pas. Enfin, elle parvint à la Grande Porte du Chateau que Khâlina, la Professeur de Botanique, fermait lentement ; elle passa par l'entrouverture à temps, fit un signe de tête solennel à Khâlina, et continua son chemin, arrivant dans le Hall, qui s'emplissait peu à peu des nouveaux. Elle les observa un instant, et se rendit compte à quel point ils étaient nombreux, et agités, tous, ou presque, portaient une expression d'extrême exitation sur le visage, et, malgré elle, l'Inconnue sentit un léger sourire traverser ses lèvres, illuminant joliment son visage. Quand tous furent entrés dans la Grande Salle, elle-même y pénétra, et, en un instant éclatant, repoussa sa capuche. Un beau et long visage apparut alors, aux traits fins et à la peau mate, et les longs cheveux ondulés de la Jeune Femme s'étendirent en une cascade brillante sur ses épaules. Elle retira complètement son manteau, et elle paraissait maintenant être autre : portant un léger pantalon de toile noire, ainsi qu'un débardeur bleu nuit, elle avançait, légère, fine, grâcieuse, et jamais on n'aurait pu deviner qu'elle était aussi l'ombre qui parcourait les Extérieurs une fois la nuit tombée. Son visage, qui, quelques instants auparavant, était encore plongé dans l'obscurité, s'éclaircissait joyeusement, et laissait paraître une impression nouvelle. Comme quoi, on ne peut pas se fier aux apparences.

Cette Jeune Femme se nommait Valenna, et était en dernière année à Serdaigle. Elle n'était à Poudlard que depuis quatre ans, étant donné certaines circonstances personnelles qui l'avaient empêché d'y aller auparavant, mais s'était plutôt bien faite à la vie du chateau une fois arrivée. Ainsi, Valenna s'approcha et s'installa sur un tabouret, recouvert d'un coussin bleuté, la couleur des Serdaigles. Les assiettes et plats - ainsi que les carafes - étaient encore tous vides, et la masse de nouveaux arrivés s'étendait en une foule devant la Table des Professeurs. Valenna regarda l'une des Cinq Maraudeuses s'emparer du Choixpeau Magique, et le mettre sur le tabouret officiel. Puis, l'un après l'autre, tous les élèves s'avancèrent, et se firent répartir ; certaines répartitions furent instantannées, d'autres plus longues ; parfois les élèves semblaient avoir un avis propre sur les maisons, parfois non. Ce qui fit sourire Valenna c'était les élèves qui venaient de familles Moldus car l'extrême attention qu'ils portaient au détail du chateau était rare, et appréciable. Elle aimait ce qui appréciaient l'art naturellement. Car Poudlard était une oeuvre d'art. Enfin, les Répartitions furent finies, mais, déjà, une autre des Cinq Mauraudeuses s'avançait devant un pupitre, et prenait la feuille qui y était, la roulant en boule. Elle devait être particulièrement inspirée pour oser un discours spontané devant tant de nouveaux élèves, mais Valenna se doutait qu'elle en serait plus que parfaitement capable ! A la gauche de la Serdaigle vint s'asseoir une nouvelle, à peine répartie, qui se tourna aussitôt vers l'Estrade où, enfin, la Maraudeuse se mit à parler. Valenna la détailla un moment puis regarda aussi dans la direction du Pupitre. Après le discours, les plats se remplirent de mets, qui paraissaient délicieux, et les carafes de jus d'orange. Elle commença à manger, lentement, en appréciant chaque bouchée avec un intérêt particulier, puis but un peu de jus d'orange. Cependant, pendant un moment, elle ne fit rien, perdue dans ses pensées, se rappelant sa propre Répartition. Elle-même n'avait pas été ainsi répartie devant tout le monde, car elle arrivait en quatrième année. On l'avait mené dans le bureau des Maraudeuses, et c'est là que le Choixpeau lui avait choisi une maison... Serdaigle.

Toujours plongée dans ses pensées, Valenna dirigea les mains vers un plat de dessert, et ne se rendit compte que trop tard que quelqu'un l'avait déjà empoigné, justement, la nouvelle à sa gauche. Elle lui fit un sourire amical et lâcha le plat, qui resta dans les mains de sa voisine. Elle pensa à tourner la tête ailleurs et à ignorer l'incident mais se douta que ce pouvait être mal interprété et secoua aussitôt la tête : elle ne voulait avoir l'air de l'Ombre qu'elle était tout à l'heure, vile et intéressée par rien. Au contraire, elle voulait être ouverte à toutes ces nouvelles arrivées qui lui en apprenaient toujours plus. Ainsi, elle garda les yeux sur sa voisine.

"Bonsoir, dit-elle d'une voix douce. Et désolée pour le plat, je n'avais pas vue que tu voulais te servir... J'étais... dans la lune, comme disent certains Moldus."

Elle hocha de la tête, comme si ce simple mouvement pourrait confirmer ces paroles de manière claire, et détailla quelques instants chaque trait de sa voisine avant de se douter que ça pourrait la mettre mal à l'aise. Elle regarda alors le plat de fraises puis se resservit du jus d'orange.

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La jeune fille, qui était beaucoup plus vieille qu’elle, qui était elle-même une Serdaigle, avait pris le plat, alors qu’elle l’avait dans les mains, puis elle regarda assez bizarrement la Serdaigle. Elle avait les cheveux blonds, châtains, avec des yeux marron clair, voir presque vert. Elle avait un nez qui va très bien avec le visage. Elle avait aussi une lèvre, un petit peu grosse, mais qui allait toujours très bien avec son visage. Après l’avoir décrypté, celle-ci, avait l’air dans ses pensées, elle venait juste de se rendre compte, trop tard, que Lain venait de l’empoigné. Cette Serdaigle lui fit un sourire qui avait l’air amical, et elle lâcha le plat, qui resta dans les mains de Lain. Elle tourna la tête une seconde, mais on aurait cru qu’elle avait pensée que ceci était impoli, et que peut-être Lain serait une de ses ennemies dans leur maison, qu’elle avait en commun. C’était d’ailleurs son premier contact avec une personne sorcières mise à part sa sœur, mais elle ne réalisait toujours pas, que sa sœur était une sorcière, pourtant elle le savait bien, car même si elle avait fini ses études l’années dernières, elle avait lu la lettre de Poudlard, et elle en avait été bouleversée. D’ailleurs ses parents ne lui avaient même pas dit la vérité, ils n’avaient absolument pas pensés que Lain, leur dernière petite fille, serait une sorcière, et elle pensait que lui cacher la vérité était mieux, mais malheureusement pour les parents, Lain savait qu’ils mentaient, comme elle avait elle-même lu la lettre, par incident. Tout avait changé, dans la vie de la jeune fille, plus de sœur, donc plus de confidence, confidence, voulait dire qu’elle ne pouvait plus partager ses pensées, ses amours, ses joies, ses tristesses, ses envies de pleurer ! Mais, après trois ans de malheur avant de recevoir à son tour la lettre de Poudlard, elle s’en était un peu remise, malgré que quand sa sœur était partie, elle pleurait en cachette le soir, sous sa couette, serrant l’ours que sa sœur lui avait acheter le jour de son anniversaire.

Bref, après avoir repensé quelque peut à sa sœur, et un peu près toute sa famille qui lui avait malheureusement menti et que malheureusement encore une fois, Lain le savait, mais elle ne le disait jamais, par peur que ses parents lui disent que c‘est mal, et qu‘elle aurait du le dire, car si elle le disait maintenant ses parents commenceraient sans doute à lui dire qu‘elle aurait du le dire, parce que ça leur faisait du mal de mentir à leur fille, mais en réalité Lain savait bien que ses parents en avaient rien à faire de sa fille, à part de sa sœur aînée. C’était beaucoup plus important l’avenir de leur fille aînée que celle de leur dernière fille, alors que c’était pareil, normalement il ne devrait même pas y avoir de préférence. Pourtant dernière de la famille, elle n’est pas la plus chouchouté loin de là. La plus chouchouté et sans doute sa sœur, ça se voit tout de suite, on lui fait des câlins des qu’elle arrive et on lui demande ce qu’elle à fait à l’école, alors qu’elle on l’ignore.

Bref, elle regarda la Serdaigle, qui se mit à regarder les yeux rond et marron au relief blanc de Lain. Elle lui dit bonsoir, la voix qu’elle avait était vraiment très agréable à entendre, sa voix était douce, ce qui lui faisait pensé à la voix d’une mère qui aime sa fille, pas comme sa mère, qui a une préférence. Elle s’excusa ensuite pour le plat qu’elle n’avait pas vu que Lain voulait s’en servir. Elle avait dit aussi à la fin, qu’elle était dans la lune comme certains Moldus. Elle qui était moldus, était-ce une insulte ? D’ailleurs c’était quoi une moldue ? Lain ne le savait pas, car elle était une’ humaine, mais en réalité elle y était. Elle fit de petits yeux étonnés en entendant le mot moldus, et elle commença à se poser des questions. Maisd les questions qu’elle se posait elle ne trouvait malheureusement pas de question, elle regarda donc son interlocutrice, toujours avec des petits yeux ronds, toujours l’air étonné, il fallait qu’elle lui demande ce qu’était ce mot. Maintenant elle avait complètement oublié le plat, qu’elle avait prit des mains. Elle voulait savoir ce qu’était une moldue, elle était maintenant très intéressé, et d’un se’ul coup elle voulait tout connaître de ce monde et des paroles ou des mots bizarres qui pouvaient exister dans leur monde parallèle à celle des humains, qui n’ont malheureusement pas de pouvoirs. Elle aurait adoré avoir une famille qui soit comme elle et sa sœur, sorciers. Ça aurait été très marrant pour Lain, et d’ailleurs ça aurait été un expérience pour toute sa famille. Après avoir penser encore à ce mot, « moldue » elle ouvrit la bouche pour dire ces quelques mots.

« Bonsoir, euh bah ce n’est pas grave pour le plat, ça peut arriver à tout le monde. Euh… Tu as dit que tu étais dans la lune et après tu as dit comme dise certains « Moldus » mais désolé de cette question qui peut te paraître stupide, qu’est-ce qu’un moldue ? Car en réalité je ne suis pas sorcière, ou du moins ma famille n’a jamais connu de sorciers mise à part moi et ma sœur. Désolé encore. »

Puis Lain regarda ses mains et elle aperçut le plat de fraise dans ses mains. Elle s’en servit donc à part dans son assiette puis elle prit el plat de poulet, pour prendre du blanc de poulet et non la cuisse du poulet. Et elle prit quelques patates, mais elle ne se servit pas de boisson, ne savant pas ce qu’était du jus de citrouille. Par compte elle se servit d’une carafe d’eau qu’il y avait juste devant la Serdaigle, plus âgée qu’elle, à qui elle venait de demander ce que voulait dire « moldue.»

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Valenna fixait toujours de ses beaux yeux - qui viraient au vert dans cette pièce si grande et si claire - Lain, en silence, tout en attendant une quelconque réaction, en parole, ou sur son visage ; au fil de ses paroles elle remarqua que la Serdaigle était de plus en plus étonnée jusqu'à lui jeter un regard étonné, à la fin, les yeux grands et ronds. Valenna voulut pouffer de rire devant cette expression si adorable en réalité, mais eut peur que Lain le prit mal et ne le fit donc pas, question de préserver une amitié, qui, sûrement, pourrait naître entre elles, ainsi, elle continua à la regarder ; étrangement, son interlocutrice ne lui parlait pas. Enfin, les mots sortirent un à un, et ce fut au tour de Valenna d'être étonnée, mais pas pour longtemps, en réalité ; bien vite, elle comprit que Lain venait d'une famille de Moldus, et donc ne connaissait pas forcément le sens de ce mot. Alors la Serdaigle de Septième Année hocha silencieusement la tête pendant quelques instants, car elle se demandait comment donner une définition de Moldu sans paraître péjorative car elle avait une très haute idée des Moldus par rapport à certains Sang Pur - surtout à Serpentard - qui les considéraient comme des moins que riens. Elle décida qu'elle devrait éviter de parler de ces gens-là à la Première Année, pour que ne pas qu'elle ait tout de suite une mauvaise vision des Sorciers, car ce serait trop dommage de la braquer contre Poudlard, et la Magie, sans laquelle la vie serait si triste et fade en vérité... Valenna ne dédaignait pas les Moldus, elle se demandait juste s'il ne s'ennuyaient pas de temps en temps.

"Et bien, dit-elle enfin en détachant soigneusement ses mots, un Moldu est quelqu'un qui ne pratique pas la Magie, et ta famille en est un exemple. Mais à Poudlard quelqu'un a du repérer un don chez toi en Magie, et donc t'a envoyé la lettre pour que tu deviennes une Sorcière. Tu comprends? demanda-t-elle d'une voix douce, comme une protectrice."

Elle regardait avec affection, et presque tendresse, la Nouvelle, qui paraissait déboussolée à l'entrée dans le monde, mais en même temps joyeuse, et prête à découvrir tout ce qui allait se passer pour elle dans l'avenir, si elle restait Sorcière. Car certaines personnes s'éloignaient de la Magie à tout jamais, après une expérience traumatisante, ou bien d'autres moments terribles. Valenna grimaça très légèrement à cette pensée, en imaginant que des gens pouvaient prendre d'abord du Plaisir à être Sorcier puis l'abandonner à tout jamais; un frisson parcourut son échine, et elle espéra que jamais elle ne devrait subir cela, car ce serait une épreuve horrible pour elle, un supplice d'oublier tout ou de faire semblant. Elle releva enfin la tête, se rendant compte que cela faisait un moment qu'elle ne parlait plus, et qu'elle était hors de la situation et du temps, et fixa quelques instants Lain avant de sursauter.

"Au fait, reprit-elle d'une voix enthousiasmée, je ne me suis même pas présentée ! Je m'appelle Valenna Pemal, et je suis en dernière année à Serdaigle. J'ai dix-sept ans, et je viens d'une famille, maintenant quelque peu dispersée, où tout le monde était Sorcier... Donc j'ai pratiqué la Magie dès très tôt, contrairement à toi..."

Elle fit un petit signe de tête pour faire savoir à Lain qu'elle avait fini et qu'elle aimerait bien savoir pour sa part l'identité de son interlocutrice qui paraissait douce, curieuse et intéressée. Une vraie Serdaigle.

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Lain regardait toujours la jeune Serdaigle, beaucoup plus vieille qu’elle. Celle-ci aussi l’a regardait, ses yeux viraient au vert dans la Grande Salle. C’était toujours pour le moment sa première rencontre avec une sorcière mise à part sa sœur. En plus une sorcière de la même maison qu’elle. Lain venait de lui poser - timidement - que voulait direr le mot que son interlocutrice avait dit. Ce mot était « Moldus. » Oui, étant sorcière, il y a avait des mots de sorcellerie qu’elle ne connaissait pas. Ce qui était tout de même normale, mais Lain avait peur qu’on se moque d’elle. Et elle espérait bien que son interlocutrice, ne ferait pas exprès de lui faire répéter la phrase ou plutôt la question qu’elle venait de lui poser, en signe de moquerie, puis peut-être que cette fois si des gens l’a verront poser cette question qui paraissait tellement simple. Lain était toute rouge, aussi rouge qu’une tomate. Tellement rouge qu’on aurait cru qu’elle avait prit un coup de soleil pendant les vacances. Alors qu’en réalité quand elle prend des coups de soleil elle est rouge comme une tomate, et quand elle est timide, elle est aussi rouge comme une tomate, malheureusement pour la jeune fille, elle a une peau très sensible, qui change très vite de couleur quand elle ressent quelque chose, ou qu’elle veut éprouver un sentiment qu’elle n’ose pas parler en même temps. Elle fit un petit sourire d’excuse de ne pas savoir ce que voulait dire le mot, qui d’ailleurs la jeune Serdaigle, ne lui avait toujours pas répondu à sa question. Gênée, elle tourna la tête vers les directrices, elles mangeaient, en compagnie des professeurs et ils étaient entrain de parler, mais Lain n’entendait pas le sujet. Puis, après tout, cela ne l’a regardait absolument pas, de quoi ce mêlée t-elle maintenant ? Ce n’était pas du tout son tempérament. Alors très vite, elle retourna sa tête vers son interlocutrice, qui en même temps, elle commença à lui expliquer ce qu’était un moldus. Elle avait dit : « Un Moldu est quelqu'un qui ne pratique pas la Magie, et ta famille en est un exemple. Mais à Poudlard quelqu'un a du repérer un don chez toi en Magie, et donc t'a envoyé la lettre pour que tu deviennes une Sorcière. Tu comprends ? » En effet, Lain avait compris, et elle fit un signe de tête qui pour Lain voulait dire « merci. » Elle espérait aussi, que son interlocutrice eut compris ce jeu de tête, et qu’elle ne penserait pas que c’était impoli. Pour ne pas paraître d’ailleurs, impoli, elle murmura ces quelques mots :

« Merci, c’est très gentil de ta part. Ma sœur et elle aussi humaine, ou plutôt « Moldus » comme vous le dites ! Il va falloir que je m’habitue à ces nouveaux mots, il y en a beaucoup comme ça ? Désolé si je te dérange, je me pose beaucoup de question, c’est maintenant une autre vie pour moi et j’ai du mal à m’en sortir. »

Elle rougit encore une fois, mais elle était ( heureusement pour elle ) moins rouge qu’au moment précédent. Mais en disant cette phrase elle coupa presque la parole à son interlocutrice, qui allait dire quelque chose en même temps qu’elle. Mais son interlocutrice s’arrêta attend, mais malgré sa, Lain devint encore plus rouge, comme toute à l’heure. Elle reprit ses « esprits » pour ensuite dire ce qu’elle voulait dire avant de couper la parole à celle-ci.

« Tu as peut-être déjà connu ma sœur ?! Désolé si je t’ai interrompu juste pour te dire cela. Mais, l’as connais-tu ? Elle s’appelle Amélie Iwakura. Elle est elle aussi humaine, et ça m’a fait beaucoup de peine quand elle a du partir pour Poudlard, mes parents m’ont cachés l’a vérité en disant qu’elle était en internat. Mais moi je savais que c’était faux comme j’avais lu l’a lettre, accidentellement. Ma sœur à quitté l’école l’année dernière. »

Puis, la jeune Serdaigle, ne répondit pas directement à sa question, qu’elle venait juste de lui poser, mais plutôt elle se présenta, en s’excusant de ne pas l’avoir fait avant. Elle fit un petit sourire, et après qu’elle est fini sa phrase elle se présenta à son tour.

« Moi, je m’appelle Lain, Lain Iwakura. Tu as de la chance de venir d’une famille de sorciers, j’aimerai bien essayer l’expérience pour voir ce que ça fait, mais bon, bref… »

Elle lui avait répondu et elle espérait que Valenna, son interlocutrice lui réponde à son tour, à la question qu’elle lui avait posé.

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Valenna ramena ses cheveux en arrière une nouvelle fois - c'était un vrai tic chez elle - puis regagna un beau sourire encourageant envers Lain, qui paraissait quelque peu perdue, au milieu de tous ces nouveaux termes, de ces inconnus, et des ces lieux enchantés. La Serdaigle de Septième Année se servit cette fois de l'eau, à partir de la carafe que Lain avait posé à côté de son assiette, et but silencieusement l'entité de son verre : parler lui donnait toujours soif. Elle regarda ensuite d'un air envieux le plat de desserts, cause du début de leur discussion : elle devait donc beaucoup à un plat... et c'était la première fois que ça lui arrivait ! Son sourire s'élargit à ces pensées quelque peu futiles et humoristiques, et elle prit le plat, avant de se servir largement de fraises, mais peu de crème chantilly. Elle mangea d'abord la crème blanche, qui s'étendait sur les côtés de son assiette, puis, à part les quelques résidus mousseux, il ne resta plus que les fraises, délicatement coupées par les Elfes de Maison, qui travaillaient dur dans les Cuisines. Elle eut une pensée pour eux, avant de commencer ses fraises, et, en fermant les yeux, elle ressentit aussitôt la vague fruitée, cette saveur douce, et pourtant une once d'acidité - peut-être du citron avait-il été ajouté à un certain moment de la confection du dessert. Elle savoura ainsi les beaux fruits rouges, puis, une fois qu'elle les eut terminé, se reposa contre le dossier de sa chaise, avec un soupir d'aise, qui montrait qu'elle était parfaitement emplie d'une bien-être délicieux. C'est alors que Lain parla de nouveau, la remerciant pour son explication - ce qui était poli de sa part - puis pour poser une nouvelle question, avant de... s'excuser !

"Ne sois pas désolée, répondit d'une voix douce Valenna, car c'est une qualité d'être curieuse, d'après moi... Et puis les Serdaigles sont réputés pour cela ; le Choixpeau magique ne t'as pas mise dans cette maison pour rien, ne t'inquiète pas ! Alors, continua-t-elle en lui faisant un clin d'oeil, des termes magiques, disons que il y a déjà de nombreux noms de lieux que les Moldus - donc que toi - ne connaissent pas, mais que tu apprendras au fur et à mesure. Pendant les cours, tu découvriras des plantes, et des animaux qui n'existent pas chez vous - comme les Sombrals ou les Licornes, qui sont considérées comme des légendes par les Moldus... Mais aussi en Potions, dis donc ! se rendit-elle compte avec stupeur, et, reportant son attention sur Lain, avec un immense sourire, elle acheva : Oui, en fait, il y a beaucoup de termes magiques à apprendre !"

Elle pouffa de rire, car elle-même ne s'en était jamais rendue compte : ç'avait été une habitude en quelque sorte, dès sa petite enfance de les utiliser, et elle n'avait pas remarqué à quel point ça devait être difficile pour un Moldu de s'immicer ainsi dans la vie des Sorciers, d'en devenir un, et de parler comme quelconque Sorcier. Pourtant certains réussissaient plutôt bien... et étaient souvent à Serdaigle.

"Lain, avant de répondre à ta question par rapport à ta question, reprit-elle alors, il y a quelque chose qui m'interpelle ! Tu dis : "elle aussi était humaine", ou quelque chose de ce goût-là. Mais les Sorciers sont des humains, pas des Monstres ou quelque chose du genre ! Ils apprennent juste la Magie, mais... ce n'est pas inhumain... Tu vois ce que je veux dire? demanda-t-elle avec un haussement de sourcils. Ce n'est pas pour te gêner, hein, mais c'est que ça me trouble..."

Elle haussa très légèrement les paroles après cette dernière phrase, pour lui prouver qu'elle ne l'engueulait pas, d'ailleurs, elle n'avait pas du tout haussé le ton : elle demandait juste, car elle ne comprenait pas pourquoi Lain s'acharnait à dire "humain" et "sorcier". A les différencier. Puis après quelques secondes de silence, elle secoua la tête.

"Oh, et pour ta question, dit-elle donc, je n'ai pas connu ta soeur, bien que je sois là depuis plusieurs années... C'est étrange, mais c'est ainsi, que veux-tu ! Dommage : ça devait être quelqu'un de bien, étant donné sa petite soeur..."

Elle fit un petit signe de tête amical envers Lain, pour lui prouver qu'elle avait beaucoup d'affection pour elle, alors qu'elles ne se connaissait même pas. Qu'elles discutaient autour d'un plat de fraises et d'une carafe de jus d'orange. Dans la Grande Salle. Pourtant, une fois que Lain eût dit son prénom, et l'envie qu'elle avait d'être une "Sang-Pur" ou au moins une "Sang-Mêlé", Valenna eut l'impression de la connaître depuis toujours.

"Enchantée, dit-elle avec un large sourire. Tu sais, c'est bien d'être née dans une famille Moldue, car comme ça c'est comme si tu es bilingue : tu as le choix entre vivre comme une Moldue ou une Sorcière. Et tu connais les deux mondes, les deux langages. C'est deux manières de vivre tellement différentes ! Moi je ne connaîtrai sûrement jamais le monde moldu... expliqua-t-elle avec un très léger sourire."