Cours 1 : Les invasions de 1733 et 1734 [4&5 eme année]

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Adossé sur sa chaise, en regardant quelques feuilles … La sonnerie aller se faire entendre dans quelques secondes et Ashlee Naomie Smiths était en train de regarder le manuel d’histoire de la magie.Plusieurs manuel était sur la tables.Quelles seconde plus tard la sonnerie retentit et déjà quelques élèves entrèrent dans la pièce. La jeune professeur qui était dans l’ordre du phénix, avait réussi a enseigner à Poudlard, la ou la magie noire régné.Ashlee regarda les élèves puis leurs dit avec un sourire …

" Bonjour 4 et 5 eme année ... Pour ce qui me connais déjà je suis Ashlee Naomie Smiths le professeur d'histoire de la magie ! Au fil de cette année vous aller passer vos BUSE pour les 5 eme année.Et en ce qui concerne les 4 eme années je vais vous préparer à ses examens. J'espère que vous aller réussir.Bon maintenant commençons, comme le cours va porter sur " Les invasions de 1733 et 1734 ". J'aimerai que vous me disiez ce qu’est " Les invasions de 1733 et 1734 " en quelques mots. "

Demanda t'elle comme question a ses élèves.

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Calliope faisait partie des premières élèves qui se rendaient au cours d'Histoire de la Magie. Avec sa grande taille, elle put voir qui était le professeur : non, ce n'était pas celui de l'année dernière. Lui aussi avait fait partie des "déserteurs" comme l'avait dit le Ministère. Le nouveau professeur était une femme, blonde, jeune comme la plupart des nouveaux professeurs : à croire qu'on les avait recrutés dans une agence de mannequinat.

Un peu déçue, Calliope alla s'asseoir ni trop devant, ni trop derrière: bref, juste au milieu, à droite. Elle sortit mécaniquement ses affaires : parchemin, plume, encre, manuel d'Histoire de la Magie. Elle croisa les bras sur le livre et écouta la courte présentation du professeur: elle raconta qu'elle se nommait Ashlee Naomie Smith: chose étrange, jamais elle n'avait entendu quelqu'un se présenter avec ses deux prénoms. Elle souriait, aussi, elle n'avait pas l'air d'une sale gamine ou d'une fanatique de Vous-Savez-Qui, comme l'avait dit la rousse du banquet.

Après ces observations, le professeur demanda aux élèves ce qu'ils savaient sur les invasions de 1733 à 34. Calliope garda une expression neutre et calme, mais elle n'en avait absolument aucune idée.

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Noah marchait en direction de la salle d’histoire de la magie. Il ne raffolait pas trop de cette matière, mais il devait quand même bien faire quelque chose pour passé le temps. Et il n’avait rien trouver d’autre pour ne pas mourir d’ennuie. Il marchait avec lenteur, ne se sentant pas obligé de se rendre tout de suite au cours sous peine d’arrivé en classe. Déjà qu’il n’aimait pas trop cela, alors, s’y rendre à toute vitesse pour ne pas être dans les dernier, il ne préférait pas. Donc, tout en montant les escalier, il réfléchissait à ce qu’il allait bien pouvoir faire après son cours. Il allait sûrement faire le devoir qui allait être donné. Car ce n’est pas parce que l’on n’aime pas une matière qu’il ne faut rien faire. De plus, moins il avait de travaille sur les épaules, mieux il se portait. Et comme il ne se portait pas généralement bien, il pensait que s’était préférable pour lui de ne pas aggraver son cas. Sans s’en rendre compte, il prit le mauvais chemin, se retrouvant devant un cul de sac avec quelques tableaux accrochés aux murs. Quelques uns ricanaient devant l’éloignement temporaire du jeune garçon tendit que d’autre s’apprêtaient à lui faire un sermon.

« Alors mon petit, on s’est perdu ? »

Noah poussa un soupir et se retourna pour reprendre sa route, ne prenant même pas la peine de répondre à ce gros monsieur qui semblait bien rigoler. Le dos tourné, il répondit quand même, juste pour ne pas resté sur une défaite.

« Désolé, je n’aime pas perdre mon temps avec un bout de papier accroché à un mur qui lui connaît bien son petit coin, puis que il ne le quitte jamais. »

Un petit sourire au coin des lèvres, il laissa l’homme de couleur dans sa rage, sous les rires de ses confrères. Tout en regardant ses pied, il suivait le couloir pour finir par se retrouvé devant la classe. Là, il était devant le moment qu’il détestait le plus, devoir affronté les autres, être dans la même pièce que une grande dizaine de personne. Il devait bien le faire. Et avec un peu de force, il arriverait à ne pas bégayé. Il prit une grande bouffé d’air et il s’apprêta à toqué à la porte quand la sonnerie retentit. Bien plus étonné que ce qu’il paraissait, il était à l’heure. Il allait devoir le noté dans le livre des records. Il arrivait rarement à l’heure. Alors tant qu’a s’en rappeler. Il suivit les quelques élèves qui l’avaient devancé pour finir par s’installé dans un coin de la classe pour ne pas se faire trop remarqué. Il attendit un peu avant de préparé ses affaires dont il avait besoin puis il se mit à écouté le professeur, ne voulant pas répondre à la question bien qu’il la connaissait.

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Assie presque au centre, du côté gauche, pour n'être ni devant, ni derrière, Uriana place ses choses sur la table. Le réveil avait été difficile ce matin et même à cette heure, elle se sent un peu étrange. Vu les conditions soporifique des cours d'histoire, elle devra vaillamment combattre les effets du sommeil durant le cour. S'endormir pouvait attirer sur elle une attention qu'elle ne souhaitait pas du tout. Surtout une attention négative, c'était... comment dire... négatif. Pas plus qu'une attention positive, on s'entend. Être là sans être vue et remarquée, voilà le leitmotiv d'Uriana. Elle veut tout simplement faire ce qu'elle a à faire, sans déranger personne et sans que personne ne la dérange, c'est tout.

Et là voilà donc dans le cours d'histoire de la magie, à attendre le début du cours, la tête baissée sur son manuel fermé. Le professeur Scott est très remarquable et elle a une jolie voix, mais à peine a-t-elle ouvert la bouche que la jeune Sitachenko doute que le cours ne la passionne. L'an dernier c'était intéressant... cette année... enfin, elle le verrait avec le temps.

Évidemment, une fois la question du professeur posée, Uriana ne bouge pas d'un cil. Elle n'est pas certaine de la réponse, alors elle ne répondra pas. Quique même si elle la connaissait par coeur. elle ne répondrait certainement pas. Répondre pourrait sur elle attirer les regard et ainsi se faire remarquer. Pas question !

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Ann se trouvait dans le parc, car elle venait à un cour de Botanique. Elle s'arreta un instant pour cherché pour cherché son emploi. Elle mit lontemp à le trouver, il faut dire que sac n'est pas trés bien rangé. A la tristesse de Anne, elle ne connaissait aucun sort de rangerement. Enfin, elle retrouva son emploi du temp. Elle y jeta un coup d'oeil, et s'aperçut avec horreur, que son prochain cour était celui "Histoire de la Maggie ". Cela prometter d'etre ennuyeux.

Anne adorait apprendre des choses sur le passé, mais son ancien avait tendance a endormir ses élèves. Anne s'en souvenait comme si s'était hier, c'était à BeauBaton et ils'apeler Mr Hernaul. Rien que son nom endormé déja Anne. Elle regarda le nom de son professeur, Meme Scott, et remit son emploi du temp dans son sac. Puis elle se dirigea donc vers le premier étage. Elle trainait les pieds, et n'avait aucune envie d'y aller. Mais qui sait peut-etre que son nouveau professeur, serait mieu que l'ancien. Enfin arrivait devant la porte, Anne s'aperçut que des élèves étaient déja là. Elle entra timidement.

- Bonjour Meme Scott, Melle Rosenberg Anne, cinquième année à Gryffondor.

Anne s'était présenté machinalement, sans réfléchir. Mais elle n'était sur qu'il était nessaire de le faire. De toute façon, elle s'en fichait, elle s'était présenté par politesse. Elle aperçut un bureau libre au fond de la salle, et elle se dirigea vers lui. Anne regarda le sol, et n'osa pas dévisagé les autres élèves. Elle s'assit sur sa chaise, et sortit sa plume, et des morceaux de parchemin. D'aprés ce qu'avait compris Anne, le cour porterait sur les invasions de 1733 et 1734. Anne soupira, elle n'avait aucune idée de quoi voulait parler Meme Scott.

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Une jeune fille d'une grande beauté, plutôt asiatique, avec des yeux noirs perçants et des cheveux châtains coupés court, vers le menton, et une cape noire poussa la porte de la Salle Commune des Serpentards, la maison, dit-on, qui détestait tant les moldus et qui se croyait supérieure aux autres. La maison la moins renommée à Poudlard, celle des " méchants. " Mais cette adorable japonaise était-elle méchante? L'énorme blason représentant un Serpent orné de pierres argentées pivota derrière l'élève qui venait d'en sortir et se remit en place, comme une simple décoration sûr le mur de pierre froid. Cette dernière regarda sa montre et remonta ses livres plaqués contre sa poitrine ornée du même blason que celui derrière elle. Il était onze heures et demi. Avec un soupir de soulagement, elle se mit à faire quelques pas plus relâchés en regardant plus autour d'elle, faisant semblant d'avoir beaucoup d'attention pour les portraits parlants qui ornaient les murs des cachots du château.

Pourquoi faisait-elle ça? Elle le faisait car elle était en réalité triste, non sûre d'elle et désespérée. Marchant à tâtons pour essayer de trouver discrètement le bonheur dans ce monde qu'elle qualifiait de labyrinthe infini. D'ailleurs, quelque chose qui pouvait vraiment encourager cette tristesse insoutenable qui la suivait partout sans hésiter, c'était ses yeux. Ils ne cessaient de la trahir. Légèrement, mais quelqu'n qui connaissait bien Yoshino Nakatomi pouvait voir au fin fond de ces deux belles sphères noires du désespoir. Il pouvait voir une jeune asiatique errer dans le labyrinthe de la vie. Une jeune fille qui essayait de cacher cela en étant méchante et vulgaire envers les autres. Et cette personne aurait envie de l'aider. Sans le savoir, la jeune japonaise aurait accepté. Elle aurait eu un ami, pour la première fois de sa vie...

« Ah tiens... Voilà la peste de Serpentard. Tu est préfète, maintenant, non? Pff, notre directrice doit vraiment être idiote pour nommer une fille comme toi préfète. »

Pour nimporte quelle personne normale, une vague de colère telle une onde aurait submergé votre corps, mais pas dans le cas de Yoshino, la préfète. Elle prit une grande inspiration avant de se retourner pour faire face à face avec le propriétaire de la voix familière qu'elle venait d'entendre. Ensuite, un sourire niais s'afficha sur son visage, comme si elle s'y était forcée, et, avec une cascade de cheveux bruns, elle se retourna, son sourire n'ayant pas disparu de son visage d'ange. Avec tout cet accoutrement, elle aurait pû paraître impresionnante. En fait, c'était exactement cela, le but de la jeune Serpentard. Paraître le plus impressionnante et dominante possible.

« Eh oui. En effet elle est très intelligente, la directrice. Je suis allée prendre le thé avec elle hier soir. Elle m'as parlé de toi... Oh, qu'est ce qu'elle a dit déjà? Ah oui. Je ne devrais peut-être pas te le dire... Ça pourrait blesser ton petit coeur, Gonnery. Mlle Harada en personne a dit que plusieurs de ses camarades racontait que tu ressemblait à un gros rat, et même qu'elle l'approuvait. Alors, de plus, tu devrais arrêter de m'emmerder, si tu ne veux pas que je te file une retenue... Je pourrais te faire écrire cent fois « Je suis un gros rat et Yoshino une belle princesse. » Allez, file, petit. Et surtout, avise toi de ne plus te trouver sur mon chemin, mon gros rat. »

Sur ces paroles cruelles, la jeune fille éclata d'un rire glacial et dépourvu de toute joie puis poussa la porte en bois qui se trouvait à sa gauche. Elle la referma doucement et tourna les yeux vers une salle de cours banale, avec un tableau vert à roulettes au milieu d'une sorte de petite estrade avec des chaises et des pupitres. Une jeune femme était assise sur le bureau en avant du tableau et tripotait son stylo d'un air nerveux. Aussitôt, le sourire niais de Yoshino s'effaça de son visage d'ange et elle s'éclaircit la gorge avant de se présenter d'un ton las, monocorde et très ennuyé, comme tout cela n'était qu'une vulgaire routine:

'Jour Professeur... Yoshino Nakatomi, 5ème année, Serpentard et Préfète... Si vous me trouvez vantarde, dites le, ça me fera un plaisir. » rajouta-t-elle à voix basse.

Puis, après avoir embrassé la salle du regard, elle se dirigea vers une des tables du troisième rang, juste derrière une fille blonde aux cheveux jusqu'aux épaules qui semblait être de Gryffondor. La jeune japonaise pria le ciel pour ne pas qu'elle la remarque et se mette à lui parler et ouvrit son sac à bandoulière d'un coup sec avant d'en sortir ses livres d'Histoire de la Magie qu'elle déposa sur la table d'un coup sec. Apparemment, une question avait été posée, car elle était écrite sur le tableau magique. Tous les élèves étaient silencieux, cela voulait donc dire qu'ils ne connaissaient pas la réponse. Yoshino les imita: Elle n'en savait rien non plus.

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Oh non à peine était-elle arrivé à Poudlard, Mylie se perdait déjà. Que cela pouvait être agaçant! La jeune sorcière avançait sans se presser vraiment. Tout en marchant, elle balançait sa canne de gauche à droite, elle espérait trouver la salle de classe d'Histoire de la Magie sans faire trop de détour. Quand est-ce qu'elle allait arriver, personne le savait. Elle apercevait à chaque recoin des jeunes sorciers qui lui rendaient des regards hésitants ne sachant pas quelle expression adoptés.
C'était assez amusant surtout qu'en elle les saluait en enlevant son petit chapeau à la Charlie Chaplin.

Encore un croisement et elle l'avait trouvé, cette salle de cours. Qu'est-ce qui ne fallait pas faire pour aller en cours....... en plus elle n'avait pas vraiment envie d'y aller. En plus de ça, la porte se refermait derrière elle.

*Non attendez! Trop tard, vais devoir m'excusez du retard!*Pensa-t-elle tristement.

Elle soupira d'indignation et toqua à la porte à l'aide de sa canne avant d'entrer. Il n'y avait pas grand monde à être en cours à ce qu'elle pouvait voir et puis il n'y avait pratiquement que des jeunes filles ici. La pauvre gente masculine abandonnée par leurs compatriotes, elle les plaignait sincèrement. Puis son regard poursuivit son voyage pour s'arrêter sur le professeur. C'était un très belle femme qui devait être compétente, elle était justement en train de poser un question.

"Veuillez excuser mon retard."Dit-elle simplement enlevant son petit chapeau et le mettant contre elle comme si elle était devant le ministre du Ministère de la Magie.

Toujours le couvre-chef dans la main droite, elle alla s’asseoir là où elle pouvait. Que tout cela pouvait être embarrassant, s’excuser le premier jour de cours quelle idée! Déposant discrètement ses affaires et son chapeau, elle se concentra sur la question que le professeur venait de poser.

*Mais quelle question déjà?*

Qu’est-ce qu’elle pouvait être tête en l’air! Elle se cognait la tête contre le mur si elle avait été seule…… et surtout si elle aurait eu un caractère de sado-masochiste. Bon la question était…. Ah oui…. L’invasion 1733 et 1734 ou un truc dans le genre. Mes l’invasion de quoi? C’était sûrement la question dans son intégrale.

* Une invasion de vampire peut-être? Non trop facile et puis je l’aurais su. Alors une invasion de gnomes? Ou encore de trolls? Peut-être de partisans du Mal? *

Mylie commença à s’imaginer des milliers de gnomes accompagnés de trolls et de partisans du Mal pour envahir tout les recoins du monde.

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Taddeus était déjà assit au deuxième rang, la dernière chaise à droite, il n'aimait guerre le cours d'histoire de la magie et ça tout le monde le savait. Il était déjà loin d'être un élève modèle dans les autres branche mais alors en histoire de la magie ses résultats étaient plus que pitoyable, d'ailleurs il pensait sincèrement qu'il allait obtenir à T à son examen pour les B.U.S.E en cette matière.

Il était assit son parchemin étendu devant lui, il tapotait frénétiquement sa plume sur le bureau de bois devant lui, il attendait que l'un des élève donne la bonne réponse car lui sincèrement il ne savait pas, il avait beau fouiller dans le fin fond de sa mémoire il ne trouvait pas la moindre petite bribe d'information, d'ailleurs il fut même surprit d'apprendre qu'il y avait eu une révolution à cette année-là. Il se tapota le front en guise de punition, il se sentait extrêmement stupide, tellement stupide qu'il avait envie de dormir, sa tête posée dans la paume de sa main droite luttait chaque minute pour ne pas tomber dans le sommeil.

Le professeur ne semblait pas le regarder pour le moment et il en fut ravit, il jeta un regard furtif à gauche et ensuite à droite et puis finalement ferma les yeux pour son plus grand plaisir. Taddeus marmonna quelques paroles bizarres et puis au fil du temps sa voix se fit plus clair, ses sourcils relevés ses paupières toujours closes il commença à réciter.

En janvier 1733, Seiki Anashi, le sorcier d'origine japonaise qui a le pouvoir en Autriche, envoie en Espagne des troupes pour conquérir le pays.

Taddeus prit une grande inspiration semblable à un soupir et puis enfonça sa main plus profondément dans sa joue

Le général Majado conduit devant l'envahisseur une armée de plus de 450 sorciers très puissants.

Tad émit un petit gémissement et puis se changea de position son coude devenant douloureux

En mars 1733, les Français s'allient avec l'Espagne. L'Autriche capitule en mai 1733.

La plume de Tad glissa sur le sol sans même qu’il s’en rende compte

Mais, et oui il y a toujours un mais dans des histoires pareilles, en novembre 1733, les troupes de Seiki Anashi s'allient avec des Gobelins, dirigés par Crekset, et reviennent à la charge.

Tad prit une mine exaspérée tout en dormant profondément

Notre pays, lui, demande de l'aide à des Harpies, Après quatre mois de fureur et de sang, en mars 1734, l'Autriche abandonne mais les Gobelins continuent à se battre.

le son de sa voix accéléra comme si il voulait en finir au plus vite

C'est alors que les Harpies changent de camp et se retournent contre l'Espagne ! Notre pays appelle à la rescousse une troupe de Goules. Heureusement, notre ennemi Crekset abandonne définitivement en juin 1734 et les Harpies suivent son exemple.

Le poignet de Tad lâcha et il tomba la tête sur le banc, il releva la tête en poussant un petit cri de douleur sa main sur son nez, Il se dépêcha de faire semblant de rien mais bizarrement il sentait que la classe était en train de le regarder il fit un petit sourire forcé et puis se contenta de hausser les épaules d’un air plutôt étonné il n’avait pas la moindre idée de ce qui venait de se passer