Miatsy Rittyn [Poufsouffle]

Identité :

* Prénom et nom : Son véritable nom est Mary. Mais, pour une raison inconnue, on l'a toujours appellé Miatsy, nous dirons donc que c'est son véritable prénom. Elle se nomme donc Miatsy Rittyn.

* Date de naissance : 7 janvier 1969

* Sexe : Féminin

* Année d'étude : 1ère

Physique :

* Cheveux : Ils sont sans doute la chose qui attire le plus le regard dans la physionnomie de Miatsy. Mi long, constitués d'un ensemble de mèches rebelles collées soigneusement sur son crâne, ils sont d'un rouge éclatant. Certains se prêtent à dire qu'ils sont tout simplement roux foncés, ou encore que c'est une coloration trop voyante, mais se ne sont que des racontars, car la chevelure de la jeune fille est bel est bien d'un rouge sang pétant. Une franche désordonnée couvre son front, et les longues mèche de sa tignasse sont tirées en arrière par une queue de cheval (toujours faite avec un ruban de couleur) qui lui est habituelle. Jamais, au grand jamais, elle ne s'est lâché les cheveux. Le fait est que le résultat serait bizarre, ou plus précisement désastreux, et on ne distinguerait plus son visage sous la crinière qui s'étendrait alors sur elle. Deux longues mèches s'étendent de chaque côté de son visage, l'encadrant d'un rideau rouge et couvrant souvent ses joues. Le tout forme un aspect négligé et fait à la va vite, et il faut avouer qu'elle ne fait guère d'efforts pour dompter sa chevelure.

* Yeux / regard : Ses yeux pourraient fort bien concourir avec ses cheveux : du même rouge sang agrémenté de sa proéminente pupille noire, ils prêteraient à effrayer si ils n'étaient pas masqués par son expression amicale. Rouges, donc, plus foncés que les cheveux, encadrés d'un trait noir épais, ils ont quelque chose de félin et de sauvage. Quand Miatsy était jeune, ils étaient, tout comme ses cheveux étaient d'un roux clair, brun clair, avec peut être quelques reflets roux mais rien de plus. Au fur et à mesure de sa croissance, ils ont peu à peu viré à la couleur sang qui les compose maintenant. Ils sont la cause de nombreux surnoms peu amicaux qui ont longtemps pourchassés Miatsy. "Démon", était un de ses préféré, et elle chérit ses yeux tout comme elle adore ses cheveux. Ils sont très expressifs : on peut y voir passer la colère, le trait noir se renforçe alors sous son fronçement de sourcils et le rouge fonce dangereusement ; quand elle est heureuse, ils brillent et dégagent une sensation de bien être qui atteint les personnes autour d'elle. Quand elle est triste, ils sont baissés et semblent ternes et dépourvus de couleur.

* Visage / expression et couleur de peau : Dotée d'un visage aux bords carrés, avec un petit menton pointu, elle garde encore tout le charme de la petite enfance. Souvent souriante, un air malicieux empreint dans toutes ses expressions, elle a un petit nez fin, deux sourcils de la même couleur que ses cheveux, une peau beige passant par le rose et le jaune, un visage bien à elle mais remplit de nuances. Elle a de petites lèvres à peine rosées, des dents blanches qu'elle exhibe souvent pour ses larges sourires, et une peau élastique qu'elle adore. Ses joues sont légèrement roses, qu'elle rougisse ou non, et elle a toujours l'air d'une fille garçon manqué mailicieuse.

* Taille : De taille normale pour une enfant de 11 ans, elle mesure 1m 54 et ne se soucie guère de cela.

* Corpulence : Voilà bien la seule chose qui l'énerve dans son physique... comme beaucoup de filles, elle se trouve légèrement trop grosse. Pourtant, elle n'est pas plus envellopée que la moyenne... elle est, en revanche, plus musclée que les enfants de son âge, ce qui pourrait laisser à penser qu'elle est effectivement un peu enrobée. Mais c'est du muscle, pas de la graisse, XD. Ses formes, quand à elles, sont à peine visibles, mais cela n'a aucune importance car elle ne s'en soucie pas. D'ailleurs, elle se develloperont durant sa scolarité. Pas de quoi s'inquieter...

* Signe particulier : /

Caractère :

* Qualités : Des qualités elle en a beaucoup, mais certains prêteraient à dire que ce sont plutôt des défauts... tout dépend des points de vue avec elle. Enfin, puisqu'il le faut allons y. Elle est courageuse, c'est indéniable ; elle ne recule devant rien, et répond toujours présente quand il s'agit de danger. Comme vous pouvez le constater, cela peut tout aussi bien être un défaut. Passons. Très sociable, elle se lie facilement d'amitié si la personne concernée lui convient. Sans s'en rendre compte, elle est extrémement selective avec les gens, et est capable d'être très méchante quand elle n'aime pas quelqu'un. De plus, venant d'un milieu bien spécifique qui sera décrit plus tard, elle reste toujours très naturelle et franche, et n'est absolument pas superficielle. Au contraire, elle est la vérité même. Malicieuse et comique, elle est capable d'aider ses amis, quand elle le juge nécessaire. Ayant pratiqué de nombreux combats dans la rue, elle sait se battre et n' hésite pas à le faire. Extrémement gamine, elle a des moments de sérieux et de maturité étonnants, et peut passer de la plus bête des blague à des remontrances d'un plus grand sérieux. Elle a une joie de vivre immense, et on la voit très rarement triste ou déprimée. Elle est vive, intelligente, bien qu'elle ne réfléchisse guère avant de faire quelque chose.

* Défauts : Comme chaque fille de son âge, elle en a un certain nombre mais ils sont négligables... m'enfin. Souvent trop vive, trop impatiente, trop colérique, elle peut blesser sans le vouloir ou encore se lançer dans des aventures dangereuses sans réfléchir. C'est pourquoi, elle a besoin de gens qui sachent l'accepter ainsi, en ne s'offusquant pas de ses manières directes, ce qui est de plus en plus rare. Mais elle n'a jamais souffert de la solitude, ni de rejet ni de rien d'autre. Bizarrement, sa manière d'être toujours joyeuse semble attirer les gens comme des mouches par du miel... mais les défauts n'est ce pas? Elle est également très brusque, et sa franchise se change parfois en vérité un peu trop crue. Encore une fois, cela blesse beaucoup de gens autour d'elle. Elle se montre parfois jalouse, de la richesse de ses camardes le plus souvent, mais ne le montre jamais. Il se peut qu'un jour, elle change de comportement à l'égard de quelqu'un sans aucune explication : cela veux dire que pour une ténébreuse raison, elle en veut à cette personne. Un de ses principaux défaut est de trop dissimuler ses sentiments. Bien qu'elle soit souvent joyeuse et pleine d'entrain, il lui arrive, comme à chaque être humain, d'avoir des moments de tristesse et de fatigue. Mais ces sentiments là, elle les enfouit au plus profond d'elle même pour ne se lâcher que quand elle est seule. Il en résulte deux choses : soit ses compagnons pensent qu'elle ne leur fait pas confiance et qu'elle leur cache des choses, soit il pensent que tout va bien et n'essayent donc pas de la consoler. Miatsy pense qu'elle ne doit pas montrer ses sentiments pour mieux les oublier. Une mauvaise tactique évidemment...

* Ce qu’il aime et ses passions : Miatsy s'émerveille pour des petits rien et a donc de nombreuses passions, mais certaines paraîtront très futiles et je ne ferais que les suggérer. Tout d'abord, il faut noter que bien qu'elle connaisse le monde de la magie, elle n'a jamais eut les moyens de se renseigner sur ce sujet. Une des choses qu'elle découvrira avec émerveillement seront les créatures magiques. Jusqu'à son arrivée à poudlard, elle n'avait vu des dragons et des licornes que dans les livres d'enfants. Elle n'y pensait pas trop, car elle n'y croyait pas, mais quelle joie ça a été quand elle en a vu pour la prmière fois! Ces créatures belles, majestueuses, magiques la fascinent au plus haut point. Elle rêve d'en posséder. Ensuite, comme je l'ai dit elle aime les petites choses simples : les petites sensations habituelles telles que manger un croissant chaud quand on vient de se lever, ou encore le soleil qui tape sur la peau quand on ouvre les volets, ou bien entendre le froissement de la couverture quand on se couche, tant de petites choses discrètes qu'elle savoure plus que n'importe qui.

* Ce qu’il déteste et ses phobies : Eh bien, à première vue on pourrait croire que Miatsy n'a peur de rien. Mais bien sûr, c'est totalement absurde, vu que chaque être humain normalement consitué à ses phobies. Donc. Bien que cette peur ne soit pas releguée au premier plan, elle craint parfois de se retrouver seule. C'est très peu probable, mais des fois cette crainte la prend, soudainement, et elle en éprouve une sensation de vide comme si elle était déjà abandonnée. Elle craint la mort, comme une majorité d'enfants ; mais elle a plus peur de voir quelqu'un mourir que de mourir elle même. Pour elle, elle voit la mort comme un repos exagéré qui dure éternellement. Sans doute très ennuyeux, mais pas désagréble. Mais quand quelqu'un part, c'est un grand vide et une tristesse réelle qui se créé. Une peur plus futile : elle a peur de devenir trop grosse. Totalement irrationnel, mais elle se reproche toujours de trop manger, car il faut avouer qu'elle est gourmande. Et si elle a peur de grossir, elle ne réfréne jamais sa faim.

* Tic : elle prête toujours attention à toutes les petites choses auquelles personne ne fait attention.

[je mettrais l'histoire demain oki?]

Histoire :

• Origine / Nationalité / Ascendance (sang) :
  Le père de Miatsy est le seul à être moldu, de toute la famille. Peu doué, il est quasiment Cracmol. Sa mère, sa belle mère, ses grands parents et tout les autres sont des moldus qui ignorent par dessus le marché l'existence du monde magique. Miatsy sera la seule vraie sorcière de la famille.
  ***** voir plus bas ******
  

Enfance et scolarité avant école de magie :

Il faisait froid. Bien trop froid... la future mère eut un frisson. Le lit sous elle grinçait et les couvertures ne suffisaient pas à la réchauffer. Dans son ventre, la petite chose bougeait et semblait se débattre contre le gel qui arrivait. Pauvre petite chose... si insignifiante face à l'immensité de la pauvreté. La mère fatiguée caressa son ventre arrondit par la création d'une vie. Malgré tout cela, jamais elle ne regretterait d'avoir cet enfant. Elle ferma à nouveau les yeux, et une fine couche de poussière se souleva autour d'elle tandis qu'elle soupirait. Ses cheveux roux étaient sales et ternis, et leur mèches couvraient son visage creusé par la fatigue. Elle se demanda si son enfant hériterait de cette couleur. Ce serait si beau, si beau qu'elle ai ses cheveux et ses yeux, qu'il reste ainsi une trace d'elle sur terre, que jamais on ne l'oublie... un rayon de soleil perça par les vieux volets. Il éclaira un instant la mèche rouge de la jeune femme, puis disparut, caché par un nuage. Un infime toquement se fit entendre. La jeune femme tourna la tête vers la porte et murmura un faible : -"Entrez."
La porte s'ouvrit dans un grincement et une tête ridée et fripée se glissa dans l'entrebaîllement. Un mince sourire éclaira le visage de la mère, et elle fit un signe de tête à la vieille femme pour lui signifier qu'elle pouvait réellement entrer. Le sourire lui fut rendu, timide, et le corps entier de la vieille tête ridée apparut. Elle considéra un instant la mère couchée dans son vieux lit, la mine fièvreuse et le teint pâle. Elle secoua la tête en signe de réprobation et se rapprocha d'un air affairé Tandis qu'elle remontait les couvertures sur la jeune femme malade, elle marmonnait des phrases inintelligibles dont on saisissait seulement que tout ça n'était qu'un grand n'importe quoi. La mère, elle, semblait sereine et riait aux remarques de sa bonne amie. Son regard, doux, heureux et maladif, allait de la vieille femme à son ventre. Elle paraissait trouve amusant tout cet affairement inutile. Pour finir, elle dit d'une voix qui se voulait enjouée mais qui résonnait comme un toussotement dans la petite pièce :

-" Merci Mira. Mais c'est inutile, je t'assure... je vais parfaitement bien, tu vois!"

Elle sourit et toussa. La dénommée Mira la fixa un instant d'un air courroucé puis secoua la tête et reprit sa besogne. parfois, elle sortait un instant et revenait ensuite avec quelques couvertures en plus. Quand elle eut fini de réchauffer sa malade, elle sembla réfléchir une minute puis sortit en trottinant. Elle revint presque assitôt, une vieille brosse dans la main. La mère tenta de secouer négativement la tête à son tour, mais elle finit par se laisser retomber sur l'oreiller avec un soupir exaspéré. La vieille Mira sourit, puis entreprit de lui peigner soigneusement les cheveux. Pendant qu'elle la coiffait, elle éleva enfin la voix. Une voix ferme et décidée, avec une pointe d'attendrissement.

-" Bien sûr que tu vas bien. Ce n'est pas la question. Mais tu ne te soigne pas assez..." Elle s'arrêta soudain, se rendant compte qu'elle se contredisait. Après quelques secondes de réfléxion elle reprit : Tu te laisse dépérir. Il reviendra tu sais... tu ne dois pas t'en faire."

Elle hocha la tête pour appuyer sur ces dernières paroles. Mais la jeune femme eut un sourire triste : non, elle le savait bien, il ne reviendrait pas... il y avait de cela un an que son mari était partit. Elle avait attendu, seule, juste avec la compagnie de la vieille Mira, avant de se rendre compte qu'elle était enceinte... plus rien n'avait eu d'importance à partir de ce moment. Elle allait avoir un enfant, alors au diable tout le reste! Et il en était tojours ainsi. on était en décembre, la naissance était programmée pour le février. Alors qu'importe un mari disparut! Bientôt, elle ne serait plus aussi seule. Elle ne jugea pas utile de faire part de ces pensées à la vieille femme : elle aussi savait tout cela, elle aussi savait qu'un mari perdut ne revenait pas. Elle selaissa faire pendant que la vieille Mira lui brossait énergiquement les cheveux. Avec un soupir heureux, elle ferma les yeux.



Deux semaines plus tard, en janvier, un mois avant la date annoncée, elle accouchait de Miatsy, et cet accouchement la tua. A ce moment même, comme par magie, le père revint, accompagné de sa nouvelle fiancée. Il prit Miatsy avec lui et partit à Londre en compagnie de sa fille et de son épouse.


En raison de leur maigres moyens, ils durent enménager dans ce petit appartement. La belle-mère de Miatsy la nomma Mary, car sa véritable mère n'avait pas eut le temps de le faire. En vérité, ses dernières paroles étaient bien plus futiles : sans se préoccuper de lui accorder un nom ou un mot gentil comme on le fait à l'aube d'une vie, elle avait tout simplement soufflé : "faites qu'elle ai les mêmes cheveux que moi." Malgré l'étrangeté de ce voeu, il fut exaucé : au bout d'un mois à peine, le crâne de l'enfant se couvrait déjà de mèches rousses. Le père de Mary, ou Miatsy, ne lui révéla pas qu'elle avait eu une autre mère que celle qu'elle connaissait aujourd'hui. En fait, il ne lui raconta rien : il fut bien chanceux, car elle ne lui posa pas de questions et il n'eut pas à lui mentir. En vérité, il ne la voyait presque jamais. On ne pouvait pas le blâmer pour cela, car s'était pour son bien qu'il s'absentait : il s'évertuait sans relâche à trouver un travail convenable, dans l'espoir de trouver un meilleur endroit pour élever ses enfants. Au pluriel, oui, car il se trouve que la belle mère de Miatsy possèdait elle aussi un enfant, un petit garçon de quatre ans qu'elle trimballait avec elle depuis que son mari était mort. Mais c'est une autre histoire, concentrons nous sur Miatsy. Elle grandit en même temps que ses cheveux poussaient (ce qui est logique), et passait sa vie dans la rue. Il faut avouer que la maison n'était pas des plus amusantes, et que pour un enfant de trois ans, la seule source d'amusement est l'éxtérieur. Malheureusement, son extérieur à elle n'était pas des plus adapté pour servir de terrain de jeu. Sale, semblant être constitué d'ombre, on ne pouvait jamais savoir se qui se cachait derrière un mur ou un tournant. Mais du haut de ses 70 centimètres, Miatsy trouvait cela très amusant. Elle ne comprenait d'ailleurs pas pourquoi son frère aîné détestait cet endroit. A chaque fois qu'elle voulait sortir, il s'horrifiait aussitôt de sa prétendue inconscience et courait se cacher dans les jupons de sa mère en traitant sa soeur de folle. Car le frère, trop âgé pour ne pas se rendre compte que Miatsy n'était pas sa soeur, la haissait profondément. Persuadé que sa mère finirait par la préférer à lui si il ne faisait pas attention, il faisait son possible pour sans cesse la discriminer et lui rendre la vie dure. On lui avait strictement interdit de révéler à la petite leur absence de lien de parenté et il avait obéit, à contre coeur. Mais cela ne l'empêchait pas de l'embêter constamment, et Miatsy, trop jeune pour s'apercevoir qu'il ne l'aimait tout simplement pas, le pensait grognon et l'avait ainsi surnommé. Ce qui l'énervait profondément, à nouveau.



-" Grooooognon!"

Nic, qui jouait sur le vieux et unique tapis de la maison, sursauta violemment et sembla sur le point de la frapper. Il se retint au dernier moment, le bras déjà levé, la fixa méchamment un instant, puis hurla à plein poumons:

- "Mamaaaaaaaaaaaan!"

Miatsy éclata de rire et tapa joyeusement dans les mains. N'importe qui aurait été attendri devant ce visage remplit de joie de vivre malgré la pauvreté. Son petit visage rondelet était blanc comme la neige, adoucit par deux joues roses, et ses yeux brun roux brillaient quand elle riait. Ses cheveux roux avaient également poussés, et elle les attachait en deux couettes qui la rendaient adorablement mignonne. Mais Nic, insensible à cette beauté enfantine, continuait à hurler à pleins poumons pour rameuter sa mère. Toujours en riant, sa soeur se boucha les oreilles et fit mine de chanter une chansonnette enfantine. Tout cela semblait beaucoup l'amuser, tandis que Nic, à ses côtés, était rouge de colère et d'avoir trop crié et tremblait de colère. En fait, ils avaient tout deux oublié le motif premier de la dispute. Tout ce que Nic voyait, c'était que sa fichue fausse soeur se moquait de lui en chantant une chanson bêtasse et en faisant mine d'ignorer ses cris, et Miatsy ne voyait que son frère qui s'amusait à crier inutilement et à devenir tout rouge. Ce qui la faisait beaucoup rire, et elle était très contente que Nic ai trouvé un jeu si amusant. Ce qui fit que quand la mère alertée par tout ce tapage arriva et demanda à Nic ce qui se passait, il ne sut quoi répondre. Il se contenta de plaider sa cause d'un ton déséspéré, en affirmant que Miatsy avait fait quelque chose de mal, même si il ne se souvenait pas de ce que c'était. La mère, exaspérée, mais habituée à ce genre de scène à présent, les gronda tout les deux. L'histoire se termina sur ces entrefaites, et chacun repartit de son côté, Miatsy en riant de l'humour de son frère et Nic maudissant cette soeur abrutie.



Voilà de quoi était constitué le quotidien de la petite, et tandis que les plus grands se croyaient être maudits par la vie, elle adorait tout ce qui l'entourait et trouvait toute chose follement amusante. Par exemple, quand on versait du lait dans son bol de céréale et qu'on le laissait dix minutes, les céréales devenaient toutes molles! Bizarrement, ses parents et son frères ne semblaient pas partager la joie de cette fantastique découverte. Alors, elle les traitait de grognons et leur administrait un coup de coude malicieux. Bien sûr, en grandissant elle devait se rendre compte que quelque chose n'allait pas avec Nic. Etre grognon en permanence n'était humainement pas possible. Mais elle n'avait pas le temps d'approfondir l'étrangeté du mental de son frère, car plus elle était grande plus elle avait le droit de faire de nouvelles choses. A présent, elle pouvait sortir de sa rue et aller se ballader aux alentours. Pas trop loin, mais chaque année elle élargissait un peu plus son terrain d'exploration.

Dans la rue, il y avait d'autres enfants. Tous n'avaient pas forçément de maison, certains étaient même orphelins. Miatsy trouvait tout cela très bizarre, car elle ne voyait absolument pas en quoi son environnement était pauvre. Elle avait un lit, une famille, des amis, et des jolis cheveux roux... cinq et demi, que demander de plus? Dans les enfants qui peuplaient le quartier, elle avait beaucoup d'amis, il est vrai. Très prisée pour son innocence et sa joie de vivre, les petits voyaient en elle une soeur idéale et les grands une mascotte rigolote. Bien sûr, certains ne l'aimaient pas. Son frère avait des amis lui aussi, et ne manquait pas une occasion de la critiquer et la ridiculiser. Bientôt, deux clans se formèrent : les amis de Miatsy et ceux de son frère. A six ans, elle finit par se rendre à l'évidence : pour une raison inconnue, son frère ne l'aimait pas, et elle ne pouvait se laisser marcher sur les pieds sans raison. Elle perdit un peu de sa joie de vivre, et apprit à se battre. Car Nic ne se contentait pas de l'embêter puérilement : plus il grandissait, plus il poussait un peu plus loin le bouchon en la frappant et en exortant ses compagnons à le faire. Si Miatsy, elle, répugnait à frapper un membre de sa famille, elle ne se gênait pas pour se venger sur les amis de ce frère. Bref, il résulta de cette haine un grand chamboulement, et au final, une seule chose était claire : les gamins de la rue se battaient entre eux pour soutenir leur chef respectif, celui ci dominant une partie de la bataille. D'un côté il y avait Miatsy : elle avait grandit, était désormais âgée de sept ans, et, pour son âge, était une redoutable combattante. Elle avait surtout des compagnons en bas âge, et avait élaboré plein de stratégies pour mettre son frère en déroute. Non pas qu'elle le haissait, mais elle trouvait injuste d'être détestée pour rien.
Ensuite, il y avait ce frère, Nic. Un jeune garçon de onze ans, jaloux de Miatsy et désirant plus que tout qu'elle quitte sa famille. Contrairement à elle, lui avait des compagnons âgés et mille fois plus violents. Dans le clan Miatsien, beaucoup gardaient des traces des coups infligés. Ici, pas de stratégie : cogner suffisait. Certains se demanderont surement ce que faisaient les parents, alors que leurs enfants se massacraient entre eux. Le fait est que les parents étaient de moins en moins présents et de moins en moins en état de se soucier de l'éducation de leur progéniture. Le père, surtout, n'était jamais là : c'est à peine si il les voyait une fois tout les deux mois. Malgré tout cela, Miatsy avait gardé toute son innocence et son caractère joyeux. Elle détestait à présent son frère, voilà tout.

Les deux enfants n'allèrent pas à l'école. Les parents refusaient de les y envoyer, de peur que leur camarades se moquent d'eux. Par ailleurs, un enfant qui allait à l'école coutait deux fois plus cher : cahiers, fournitures, cantine... la belle mère, refusant toutefois de les laisser ignorants, leur apprit à lire, à écrire, et toutes les notions basiques de mathèmatique. C'était une jeune femme instruite, et ses enfants furent aussi bien éduqués que si ils étaient à l'école. Ce fut vers huit ans que la vie de Miatsy changea enfin. Pour toujours...

Nic s'arrêta soudainement. Alors qu'il tournait au coin d'une rue, un spectacle étrange et hypnotique s'offrait à lui. Un vaste terrain de jeu s'étendait devant lui. Le soleil couchant offrait quelques derniers rayons orangés alors qu'il disparaissait derrière les immeubles, ne laissant entrevoir qu'une mince couche d'or à l'horizon. Le sol poussièreux était découpé en zones d'ombres et d'ocre orangé. Au bout du terrain, un panier de basket gris tenait miraculeusement debout. Et devant ce panier, sa soeur sautait, un ballon en main... étant trop loin pour distinguer son visage, Nic ne voyait d'elle que sa petite silouhette qui lançait en l'air le ballon puis sautait le rattraper, et l'éclat de ses cheveux rouges sang qui suivaient ses mouvements dans un virevoltement de mèches désordonnées. Il s'approcha silencieusement, pensif. Sa soeur avait huit ans et restait toujours la même. Avait il changé, lui? Il ne s'était jamais débarrassé de cette haine envers elle, il en concluait que non. Il se rapprocha encore. A présent, il pouvait voir sa bouche entrouverte, ses bras tendus vers le ciel, ses jambes qui se tendaient et qui se détendaient pour sauter toujours plus haut. Le ballon semblait bien inutile à présent, et Miatsy, sans se préoccuper de le rattrapper, s'élevait encore plus haut que le panier de basket. Nic ne put s'empêcher de l'admirer. A son âge, il n'arrivait même pas à le toucher, ce poteau. Il se rapprocha encore. Il n'était plus qu'à quelques mètres à présent. Au moment ou sa soeur retombait souplement sur le sol, il franchit cette dernière distance et se posta derrière elle. Avant qu'elle ai put réagir, il l'avait attrapée par les épaules et l'immobilisait.

-" Nic!"

Il se demanda comment elle avait pu savoir du premier coup que s'était lui. Au fond ce n'était pas bien compliqué. Aucun de ses camardes n'oserait la toucher ainsi sans la frapper. En fait, Nic non plus ne l'avait jamais fait. Au fond, il n'avait aucun lien de parenté avec elle, il en avait parfaitement le droit. mais avant qu'il ai put aprofondir ces pensées philosophiques, une vive douleur le piqua au niveau du bras. Au cris de dépit de sa soeur, il comprit qu'elle l'avait mordut dans l'espoir qu'il relacherait sa prise sous le coup de la douleur. Il ne l'avait pas lachée, mais en attendant cette petite peste lui avait fait mal. Il ne pouvait l'accepter. Il lui décocha une violente tape sur la tête sans déserrer ses bras. Il l'entendit ensuite soupirer profondément, puis le silence revint. Miatsy savait très bien qu'il était inutile de se débattre. Son frère était beaucoup plus fort qu'elle, elle ne pourrait que se fatiguer. Au bout de quelques minutes de silence, elle lâcha avec lassitude :

-" T'es fatiguant Nic. Quand est ce que tu cessera de te conduire comme un gamin?"

Son frère retint une exclamation de dédain. D'eux deux, qui était le plus âgé? Qui était l'aîné? Bien sûr, elle ne parlait pas d'âge, mais de toute manière, il était milles fois plus mature qu'elle. Il s'abstint de répondre, jugeant inutile d'engager la conversation.

-" Tu me lâche? "

Il la lâcha. Ses bras restèrent le long de son corps, et il demeura immobile, tandis qu'elle massait ses épaules endolories. En lui tournant toujours le dos, elle semblait réfréner sa colère. Elle faisait mieux, pensa Nic, car si elle s'avisait de le frapper... elle ne le frappa pas, mais se retourna vers lui et lui décocha un regard noir plein de colère. Il put enfin la comptempler tranquillement. Des mèches rouges étaient collées à son front et à ses joues par la transpiration, ses sourcils étaient fortement froncés et sa poitrine se soulevait lentement alors qu'elle essayait de reprndre son souffle. Cet idiot l'avait à moitié étranglée. S'en était trop! Elle ne pouvait plus supporter son sourire narquoi, ces yeux méchants, ses grimaçes ridicules... sans prévenir, elle serra le poing et se projeta contre lui. L'attaque avait été si rapide, si imprévisible que Nic ne put riposter. Le poing durçit de Miatsy lui frappa violemment le nez, et il tomba à la renverse. Humilié d'avoir été ainsi désarmé, il tenta de se relever. Mais sa soeur, avec une rapidité surprenante, et même à la limite du surnaturel, lui bloqua les deux bras et l'obligea à rester couché sur le sol. Une lueur de colère brillait dans son regard. Elle en avait sérieusement assez, de ce frère imbéçile qui ne pensait qu'à la taper quand elle ne lui faisait rien. Mais Nic, sans préoccuper du regard meurtrier qui lui était destiné, murmura avec une pointe de peur :

-" C... comment t'as fait ça? Comment? "

Miatsy ne comprit d'abord pas de quoi il parlait. En fronçant les sourcils, elle regarda autour d'elle. Qu'avait elle fait de si spécial? Elle l'avait terrassé? Oui, et ce n'était pas du tout étonnant pensa t'elle avec délice. En regardant à nouveau autour d'elle, elle s'étonna de ne plus voir le panier de basket. Pourtant, ils étaient juste à côté! Sa main tâta le sol. Il n'y avait plus de sol. Plus de poteau, plus de sol... n'importe quoi, vraiment. Sous elle, Nic semblait évanoui. Quelle petite nature! Miatsy se sentie soudain prise vertige. Elle volait... le sol réaparut soudain sous elle. Elle avait atterit en douceur. Tout tournait dans sa tête. Elle s'était envolée... elle s'était envolée avec Nic. C'était tellement absurde...



Quand elle rentra chez elle, laissant Nic évanoui sur le terrain de jeu, elle hésita à tout raconter à ses parents. Sans doute la prendrait ils pour une folle, peut être qu'ils ne la croiraient pas. Certainement même. Elle même n'y croyait pas. Son père lui avait pourtant dit que la magie existait. Mais elle avait quatres ans à l'époque, et ne l'avait pas cru... il se disait sorcier. Cela non plus, elle ne l'avait pas cru. Tout était clair maintenant : elle était magicienne! Cette vérité lui apparaissant, elle ne sut comment réagir. Devait elle sauter de joie? Pleurer de terreur? Elle rentra chez elle sans rien dire. Ses parents la regardèrent bizarrement, mais elle ne dit rien. Son frère, quand il rentra, la considéra avec horreur mais elle ne dit rien. Elle fit comme si rien ne s'était passé, et ne dit rien. Deux années passèrent. Elle avait quasiment oublié toute cette aventure, et son frère semblait l'avoir oubliée aussi. Et puis, un jour, la lettre arriva. La chouette nacrée se déposa en douceur sur l'épaule de Miatsy, alors qu'elle était seule sur ce même terrain de jeu ou tout avait commencé. Après l'avoir lue, Miatsy cacha la lettre et tenta de ne plus y penser. Elle voulait plus que tout aller dans cette école, mais ses parents n'auraient jamais assez d'argent... mais la lettre revint. Ou plus précisemment, la chouette revint, porteuse d'une lettre identique. Mais cette fois, ce fut le père de Miatsy qui reçut la lettre. Fou de joie, il voulut partir avec elle immédiatement, et quand elle lui demanda d'un air interloqué si il était sûr qu'il pourrait tout payer il lui répondit avec assurance qu'il économisait depuis longtemps dans ce but. En fait, la petite fille n'avait rien suivi. Depuis son aventure au terrain de jeu, elle vivait comme dans un autre monde, un rêve étrange. Elle partit vers Poudlard sans dire aurevoir à son frère, munie de sa petite valise, une baguette à la main, sans rien comprendre à ce qui lui arrivait. C'était la fin de sa vie de banlieu...

• Options choisies (vous devez en choisir deux parmi Divination, Soins aux Créatures Magiques, Magie Noire, Arithmancie et Etude des Moldus, et si vous êtes en 1ère ou 2e année elles ne seront valables que quand vous entrerez en 3e année) :
  - Soins aux créatures magiques
  - Etude des moldus
  
  
• Famille :
  
  Mère : Sofia Eclarn
  
  Morte à 21 ans
  La véritable mère de Miatsy est morte en lui donnant la vie. A cause de cela, la fillette ne l'a jamais connue, et ignore jusqu'à son existence. C'était une jolie femme aux traits aristocratiques, fine et élançée, avec un joli visage pointu et fin, et une longue cascade de cheveux roux fonçés. Extrémement douce, elle était, comme sa fille, dotée d'un optimisme innocent et d'une grande intelligence. Née de l'union d'un professeur de philosophie sévère et dur et de sa femme, une dame de haute lignée qui perdit sa fortune pour une dette non payée, elle grandit dans un univers riche mais sévère qui ne permettait aucun écart. Contrairement à ses parents, elle voyait la vie en rose et en bleu et rêvait de vivre à la campagne loin du vieux manoir haustère familial. Ses parents refusant de la laisser partir avec l'homme qu'elle aimait, le père de Miatsy, qu'elle avait rencontré par hasard et qu'elle avait immédiatement aimé, elle s'enfuit avec lui. Mais son homme était pauvre, et ils vécurent longtemps dans la misère. Ils enménagèrent selon ses voeux dans une vieille maisonnée de campagne, loin de tout, isolés. Elle ne tarda pas à découvrir qu'elle était enceinte : mais la joie de cette nouvelle fut estompée par le départ du futur père. Elle ne sut jamais pourquoi, et ne le revit jamais. Elle n'avait pour s'occuper d'elle que la vieille Mira, une fermière du coin qui s'était prise d'affection pour elle. Malgré ses soins attentifs, Sofia tomba gravement malade durant l'hiver qui précéda la naissance, et mourut ainsi en donnant la vie. Malgré sa souffrance, elle était ravie à l'idée d'avoir un enfant, et elle mourut heureuse.
  
  Père : Tom Rittyn
  
  Agé de 46 ans
  Le père de Miatsy est un homme qui a été très beau. Sur son visage, on voit des trace d'une ancienne aura de séduction, à présent chassée par la vieillesse et la fatigue. D'une peau légèrement matte, il possède deux yeux gris métalliques, une barbe sans cesse naissante, des cheveux d'un noir de jais et des traits durs et nettement traçés. Il a toujours été un homme assez effaçé, qui aimait les femmes, un peu gauche, timide, ce qui lui assurait une grande popularité. Né de parents pauvres, il devint orphelin à quatorze ans, et dut se débrouiller seul à partir de ce moment. Il fut hébérgé un moment par un oncle lointain mais fut obligé de se séparer de lui quand on découvrit qu'il était sorcier. C'était le seul, dans la famille, à en être un. Le peu de famille qui lui restait le rejeta, et, en déséspoir de cause, il se rendit à Poudlard ou il avait été admit malgré son âge avançé. Il y vécut de belles années, mais se trouva chômeur en sortant. Peu doué en magie, il se voyait mal faire carrière dans le monde des sorciers. Il se tourna donc vers celui des moldus, ou il rencontra Sofia. Ils tombèrent immédiatement amoureux, et s'enfuirent tout les deux. Tout deux dépourvus de famille vers qui ils pourraient se tourner, ils enmènagèrent à la campagne malgré la réticence de Tom à vivre éloigné de la ville. Il n'eut pas le temps d'apprendre qu'il allait avoir un enfant : il reçut une lettre ou on lui annonçait qu'on l'embauchait dans une grande compagnie magique. Sans prendre le temps de s'interroger, il avait filé à l'endroit indiqué, pensant revenir très vite voir sa femme et ne prenant donc pas le temps de lui expliquer la situation. Il s'avéra que ceux qui lui avait envoyé la lettre étaient de dangereux gangsters, surnommés "mangemorts", mot dont il ignorait la signification. Quand ces fameux mangemorts avaient entendu parler de cet homme dépourvu d'argent et de moyen de vivre, ils avaient visiblement pensé que celui ci accepterait sans problème de travailler pour eux dans l'espoir de gagner de l'argent. Ils s'étaient trompés : quand Tom découvrit ce qu'on lui demandait de faire, il refusa tout net et partit. Honteux d'être partit pour rien et n'osant revenir près de sa femme, il erra longtemps dans la ville inconnue ou il se trouvait. Il y rencontra Sarah, qui était visiblement dans une situation semblable à la sienne. Il vécurent ensemble un temps, puis décidèrent de se marier définitivement. Tom revint chez lui expliquer la situation à Sofia, ne pouvant se résoudre à la laisser seule sans un mot. Il la découvrit morte, son enfant dans les bras. Il prit la décision de s'occuper de Miatsy, et se démena pour trouver un travail convenable.
  
  Belle mère : Sarah Nidge
  
  Agée de 34 ans
  C'est une jeune femme assez simple, brune, la peau pâle, deux grand yeux verts et une mine triste accrochée au visage. Elle eut une enfance heureuse auprès de deux parents à la situation convenable, elle allait à l'école, était bonne élève, une petite fille charmante. En grandissant, elle devint de plus en plus adepte des histoires à l'eau de rose : son voeu le plus cher était de trouver son prince charmant. Elle le trouva, ou plutôt crut le trouver, à 17 ans, lors d'une soirée. Un homme charmant, de bonne naissance, beau et avenant. Elle l'épousa avec l'accord de ses parents et ils partirent vivre à Londre. Il s'avéra que ce mari de rêve était un adepte du jeu : il y perdit toute sa fortune et passa d'adepte de jeu à adepte d'alcool. Son humeur et son caractère s'en firent ressentir, et il commença à battre sa femme et son enfant, qui était né quelques mois après le mariage. Les nerfs à vif, Sarah ne put supporter la situation plus longtemps et partit en enmenant son fils. Sans argent et sans appartement, elle eut la chance de rencontrer Tom. Après avoir vécu quelques temps ensemble ils tombèrent amoureux et se marièrent en secret. Son mari ayant été marié à une autre femme avant elle, ils jugèrent sage de retourner la voir. Sarah fut très affectée en découvrant la jeune femme morte, et accepta de bon coeur de s'occuper de la petite qu'elle avait mit au monde. Ils retournèrent s'installer à Londre, ou la jeune femme restait en permanence à la maison. Elle ne s'occupait plus trop des enfants, n'ayant plus goût à grand chose, et accepta le fait que son mari et sa fille d'adoption soient des sorciers sans broncher.
  
  Frère: Nic Rittyn
  
  Agé de 15 ans
  Nic est une jeune homme qui semble ne pas grandir, autant physiquement que mentalement. D'une taille moyenne, il possède les même cheveux bruns que sa mère et deux yeux noirs colèriques. Il s'énerve très façilement et est très puérile. Petit, il adorait embêter sa soeur, et en grandissant, la gêne qu'il éprouvait à son égard s'est transformée en haine. Son excuse première était la jalousie : à présent, il la déteste purement et simplement sans chercher de réponse logique à ce sentiment. Petit, il était battu par son père, puis s'est trouvé separé de lui, et est resté seul, avec sa mère. Sans doute aurait il été meilleur si il n'y avait pas eu Miatsy. Il a trouvé en elle une raison de haîr quelqu'un, et ne s'en est pas privé. Il s'est formé sa propre bande, tout come Miatsy. Tout deux se ressemblent beaucoup, au fond. Nic n'a jamais accepté qu'elle fasse partie de la famille et qu'elle ignore que ce n'est pas sa mère qui s'occupe d'elle. Il rêve de lui révéler qu'elle est en vérité semi orpheline.
  
  
  

***** section déplacée ici pour problème de longueur *****

Lieu d'habitation :

• Localisation géographique : Dans une petite province aux alentours de Londre, isolée et pratiquement déserte.
  
• Style d'habitation : Dans le petit village ou vivait la mère de Miatsy, seules quatres maisons sont habitées. Leur maison se trouve tout au bout du village, au bord d'un petit ruisseau. C'est une grande et vieille dmeure, mais seules deux pièces sont habitables. Dotée d'un toit en briques rouges usées, le mur est constitué de pierre grisâtre parcourue de lézardes. Une petite porte et une fênetre, à l'arrière de la maison : le deux seules sources de la lumière. Quand on passe la petite porte, onse retrouve dans un hall en planches moisies. Mais il est quasiment impossible de passer par là, car à chaque pas que l'on fait, une planche se brise. La seule possibilité est de longer le mur pour atteindre la pièce suivante. Il n'y a pas de porte pour séparer les salles : juste un trou rectangulaire dans le mur. Le reste n'est constitué que de pièces vides dépourvues de mobilier. Tout au bout de la maison, qui est une sorte de long et immense couloir, se trouve la seule et unique chambre à oucher, ou se reposait Sofia. C'est ici, sur le mur de droite que se trouve l'unique fênetre qui éclaire un lit à ressort en piteux état. A côté, une table de chevet à tiroirs, et une chaise en osier. Et c'est tout. Elle est vide à présent, et personne n'y habitera pendant longtemps après la mort de Sofia.
  
  
  Déménagement
  
  
  
• Localisation géographique :Dans l'un des quartiers les plus pauvres et mal fréquentés de Londre.
  
• Style d'habitation : Dans une petite ruelle sombre qui se termine en cul de sac, ou les maisons sont collées les unes aux autre, la dernière est celle ou habite la petite famille. Le toit, en béton, comme tout le reste n'offre aucune touche de couleur. La porte se résume en une ouverture dans la pierre, et quand on y pénètre, on trouve un vieil escalier en bois, serré, ou on a juste la place de monter. Les planches sont très mal ajustées, et le risque de tomber reste permanant. Ensuite vient le salon/salle à manger/chambre des parents, la seule pièce acceuillante de la maison. Un vieux tapis vert et autrefois or trône en son centre, lieu de jeu pour les enfants. Un peu plus loin, une table ronde qui sert de table à manger, et à tout faire. Le canapé blanc (maintenant gris, bien évidemment) se déplie pour servir de lit aux parents. Ensuite, il y a trois petite porte : l'une donne sur la cuisine, ou il y a juste un fourneau et un placard pour les aliments, la deuxième donne sur les toilette et la salle de bain, et la troisième, enfin, donne sur la chambre à coucher des deux enfants. Deux lits collés, aux couvertures jaunes constituent l'unique mobilier. Une minuscule lucarne permet d'éclairer un peu la pièce.
  

Baguette:

• Description : Une longue baguette en bois de chêne, 27, 8 centimètres très exactement. Pourvue d'un coeur de dragon, Miatsy nose la toucher ni s'en servir. Elle la considère comme un objet sacré, et qui sait ce qui arriverait si elle l'utilisait à tort et à travers?
  
• Son acquisition : Elle l'a acheté dans la boutique d'Ollivander, en compagnie de son père.
  

Autre :

• Quel camp: Bien qu'elle ne connaîsse absolument rien aux forçes qui divisent le monde des sorciers, Miatsy est incontestablement du côté du bien. Elle a toujours été joyeuse, pleine de joie de vivre, innocente et gentille, quand on ne l'embêtait pas bien sûr. Mais elle ignore tout de la situation actuelle à Poudlard, et se retrouve complètement larguée dans ce monde inconnu.
  
• Ses rêves et ambitions pour l’avenir : Il faut prendre en compte que Miatsy ne connaissait ou plutôt ne croyait pas jusqu'à présent à l'existence du monde des sorciers. Des centaines de nouvelles possiblités s'ouvrent à elle à présent, mais elle n'y connaît rien. Jusqu'ici, elle ne se voyait pas vivre ailleurs que dans son quartier, et n'imaginait même pas avoir un jour un travail. Mais à présent, elle découvre le monde magique. Tant de chose vont l'interrésser! Joueuse de Quidditch, Auror, Prof, Commerçante... en vérité, elle se voit partout. N'importe quel poste lui conviendrait.

Question subsidiaire :

• Comment avez-vous découvert ce forum ? Haha... quelle question idiote XD

Et bien subblime fiche bravo

POUFSOUFFLE!!

Merci merci! Contente qu'elle plaise! Pour l'avatar, je l'ai réduis... j'éspère que c'est bonnn..