Le Chasseur et sa proie [PV Asphodèle Nospheratov]

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La nuit venait de tomber, Tous les élèves sortaient des cours et vaquaient à leurs occupations. William traînassait dans sa salle commune à la recherche d’une activité plus intéressante qu’effectuer ses devoirs. Il cherchait des yeux une éventuellement proie avec qui il aurait put flirter. Rien de très sérieux, juste un bisou par ci un bisou par là. Mais aucune Serpentard présente ne semblait attrayante. Arya n’était pas là, dommage pour elle . Il adorait leur jeu inavoué du chat et de la souris.

William chercha alors un visage amical mais les seuls qui reconnut était celle d’une vieille conquête. . C’est Alors que William aperçut une ravissante Serpentarde aux cheveux blancs. Asphodèle machin chose nosphératruc. On avait pas idée d’appeler une fille avec un nom pareil. Intérieurement, William la surnommait la reine des glaces, car il n’avait jamais vu une fille aussi coincée. Bien sûr des coincé il en avait déjà fréquentées, mais il constatait toujours qu’elles ne le restaient pas longtemps lorsqu’il les embrassait.

N’ayant rien de mieux à faire, le jeune homme s’avança vers Asphodèle dans l’espoir de la dérider un peu. Plus prétentieux que jamais, un sourire charmeur sur les lèvres, il entama la conversation. Car il savait de toute façon que la Serpentard parlait peu, voir jamais. D’ailleurs au début il avait même pensé qu’elle était muette.

- Je t’ai manqué femme de mes rêves ?

William s’attendait à recevoir une réplique sanglante, mais il aimer ça. Et il était persuadé qu’il arriverait un jour à dompter toutes ses femelles avec trop de caractère, qui réfléchissaient beaucoup trop. Pourquoi les femmes ne pouvaient-elles pas se contenter de faire des bébés et faire la cuisine ?

Asphodèle entra dans la salle commune, un énorme manuel de Magie Noire dans les bras. Elle avait deux trois choses à revoir la dedans à propos du sujet abordé dans le dernier cours. Sans même jeter un coup d’œil autour d’elle, elle tira une chaise et s’attabla près de la cheminée.

Elle n’était pas plongée dans son pavé depuis cinq secondes que…

<< Je t’ai manqué femme de mes rêves ? >>

Elle ne leva même pas les yeux de son bouquin. Cette voix était celle de William Slayers, coureur de jupons et beau parleur de surcroît.

- Je ne te ferais même pas l’honneur d’une réplique sanglante.’ Fit la vert et argent d’un ton posé. Elle leva enfin les yeux sur William, vit son sourire charmeur et rit intérieurement de voir qu’il croyait sincèrement arriver à quelque chose avec elle en faisant ça, ‘ allez prends une chaise et dis moi ce que tu me veux Slayers… Je suppose que les cours de soutient en potions c’est pas trop ton truc, n’est ce pas ?’

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<< ‘Je ne te ferais même pas l’honneur d’une réplique sanglante.’ >>

William déchanta. Il avait horreur qu’on puisse lire en lui comme dans un livre ouvert. Car cela signifiait qu’il montrait ses sentiments et un VRAI homme ne ressent rien, comme lui avait si souvent répéter son père. Il lui disait même que les sentiments était une faiblesse, et que ceux qui en ressentait couraient eux-même à leurs pertes.

Il fit donc comme si elle se trompait éperdument, et qu’il ne s’attendait pas à recevoir une réplique cinglante. . Il était toutefois refroidis, et n’avant plus trop envie de la draguer. Mais après tout un homme un Vrai n’abandonne. Jamais.

<<‘ allez prends une chaise et dis moi ce que tu me veux Slayers… >>

Non mais pour qui se prenait-elle ? Jamais il n’écouterai ce que lui dirait une fille. C’était à lui de lui dicter sa conduite et pas l’inverse. Il leva un sourcil, pour lui faire comprendre que jamais il m’écouterai une femme.

- Viens plutôt t’asseoir sur mes genoux ?

Il ne l’avait jamais prise dans ses bras, d’ailleurs s’il l’avait fait il s’en serrait souvenue, enfin peut-être…. Mais il était certain que sa peau serait sûrement glacé. Il était surpris , cette fille était capable d’aligner plus d’un mot à la suite. ? Impressionnant.

<< Je suppose que les cours de soutient en potions c’est pas trop ton truc, n’est ce pas ? >>’

Il se mit à rire, les cours s’étaient pas son truc tout cour. Et la miss je-sais-tout qui se pavanait avec son gros bouquin de magie noire. D’ailleurs il était persuadé qu’elle faisait ça pour se donner un genre, et qu’elle ne l’avait jamais lu. Si William s’en donner la peine il pouvait se montrer brillant, mais des cours aussi soporifique comme l’histoire de la magie ne valait la peine qu’un gars aussi génial que lui s’y intéresse.

- Sa dépend Asphodèle, tu connais une potion pour faire d’une femme son esclave ? Pour les glaçons ambulant….

Si avec une phrase pareil, elle ne le fusillait pas sur place, c’est vraiment que cette fille n’était pas normale, et de toue évidence inintéressante.

<< Vien plutôt t’asseoir sur mes genoux ? >>

Elle ne s’attendait tellement pas à ce qu’il ose lui sortir un truc pareil qu’elle rougit légèrement et ne sut pas quoi lui répondre sur le moment.

Il rit quand elle lui parla des cours de soutient. Prévisible vu l’intérêt qu’il semblait porter à tout ce qui de près ou de loin avait l’air sérieux.

<- Sa dépend Asphodèle, tu connais une potion pour faire d’une femme son esclave ? Pour les glaçons ambulant….

Asphodèle ne put s’empêchait de rire (ce qui lui arrivait rarement) et fixa ses beaux yeux aux reflets violets sur cet espèce de Vantard…pour qui il se prenait ?

- J’en connais des tas mais ne va pas me dire que tu es le genre de gars qui a besoin de ça ?! Et si c’est moi que tu traître de glaçon ambulant c’est parce que tu me regarde comme une proie !. Si tu me connaissait mieux tu éviterai ce genre de surnom. Mais je suppose que le mot "ami" ne fait pas partie de ton vocabulaire ? ’

Elle referma son bouquin prête à une petite joute verbale. Elle allait lui montrer qu’une vrai femme ne laisse pas tourner la tête par n’importe quel premier venu au sourire charmeur.

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Lorsqu’il l’entendit rire , se son parvint à ses oreilles comme une chanson Moldus. Elle était capable de rire ? Décidément cette fille le surprenait de plus en plus. Peut-être avait-elle était victime d’une erreur de potion ou un truc dans le genre. ? Quoique à la réflexion miss-je-sais-tout se trompait rarement… enfin d’après les rumeurs.

‘J’en connais des tas mais ne va pas me dire que tu es le genre de gars qui a besoin de ça ?!

Bien sur que non il n’était pas se genre de garçons. Si Asphodèle n’était pas aussi prude, elle serait déjà sur ses lèvres.

-Tu as raison je ne suis pas ce genre de gars. Tu vois c’est juste que… comment dire pour éviter que tu le prenne mal. Commenta-t-il alors que s’était exactement se qu’il voulait…euh… Je ne sort pas avec n’importe qui. Dit-il d’un ton triomphant.

C’était à moitié vrai, il n’était pas très regardant envers ses conquêtes. Mais il était moins coureur que les élèves le pensaient. En effet, il passait moins souvent à l’acte que Seth ou Dakota.

Et si c’est moi que tu traître de glaçon ambulant c’est parce que tu me regarde comme une proie !. Si tu me connaissait mieux tu éviterai ce genre de surnom.

Bien sur que s’était elle le glaçon ambulant. Cette fille s’était pire qu’une encyclopédie sur patte. Il est vrai qu’il l’a considéré comme une proie mais dans se monde il fallait choisir, être chasser ou être le chasseur. Et William ne se rabaisserait jamais à être chasser. De plus même s’il ne la connaissait pas, s’était apparemment réciproque. Car sinon elle se serait rendu compte qu’il donner des surnom pour rendre les gens unique ( et surtout parce qu’il avait la flemme de retenir des prénoms ), et non pour se moquer d’eux.

- Une proie a le droit de choisir sa mort, c’est un privilèges qu’on peut de gens. Dit-il sur un air arrogant. Il lui sourit et repris. Mais moi je ne demande pas mieux que de te connaître . En long en large et en travers si tu veux.

Satisfait, il s’assit à côté d’elle et tapota sa cuisse en la regardant, signe qu’elle pouvait venir s’asseoir sur lui sans aucun problème. Après tout, cette petite ne pourrait pas résister à son charme plus longtemps.

Mais je suppose que le mot "ami" ne fait pas partie de ton vocabulaire

William ne savait plus quoi dire. Si on ne pouvait pus draguer une fille sans en prendre plein la tronche, où aller le monde. ? Oui il avait peu d’amis et alors ? On ne pouvait pas non plus dire que Miss populaire avait autour d’elle toute un flopée de fidèles imbéciles préts a la servir. Avec un sourire mesquin, William regarda autour d’Asphodèle comme s’il cherchait des amis invisible.

- Il ne fait pas partie du tien non plus apparemment, a moins que tes amis n’est eut à pâtir de ton incompétence ?

Sur ses mots, William se leva tout en adressant tout de même un clin d’œil à la jeune sorcière. Plutôt mourir, que de lui montrer qu’il avait été vexé par ses propos.

- A bientôt Miss Populaire

Asphodèle le regarda s’éloigner. C’était trop bête, pour une fois qu’elle avait envie de se faire un ami, il avait fallu qu’elle tombe sur quelqu’un d’aussi fier et buté qu’elle. Elle devait se montrer plus intelligente que ça.

‘Attends soit pas si susceptible’, elle le rattrapa et le retint par le bras . Puis elle se sentit ridicule d’avoir fait un truc pareil. Elle le lâcha et le regarda bien droit dans les yeux. Un regard fier et prenant. ‘J’en ai fini avec ce bouquin de Magie Noire . On passe à la bibliothèque et ensuite on aura qu’à aller à la grande salle ? ça va bientôt être l’heure de manger.’

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Décidément vraiment imprévisible cette fille. Il fut surpris de la voir le rattraper, et encore plus lorsqu’elle posa sa main sur lui. Se genre de geste ne l’enthousiasmé pas outre mesure d’habitude, mais bizarrement là c’était différent. Mais bien sûr il n’en laisser rien paraître parce qu’un homme un vrai ne montre pas se qu’il ressent.

<< Attends soit pas si susceptible >>

William était tout d’abord contrarié d’avoir été percer à jour, puis ensuite .ravie, il venait d’emporter une victoire sur la jeune sorcière.

* Ah quand même, je savais bien qu’aucune fille ne pouvait pas me résister *

<< J’en ai fini avec ce bouquin de Magie Noire . On passe à la bibliothèque et ensuite on aura qu’à aller à la grande salle ? ça va bientôt être l’heure de manger >>

Elle l’invitait ? Lui Monsieur sans ami, comme elle devait à présent le surnommer dans sa tête ? Non, pas croyable. Sa fierté en avait pris un coup, mais il se promit de se venger en faisant fondre Asphodèle. D’ailleurs, la jeune sorcière semblait déjà moins coincé. Aller à la bibliothèque ne l’enchanter guère, D’ailleurs il ne se souvenait pas y être aller un jour.

- La Bibliothèque ? Woé bon.. en si charmante compagnie je vais faire un effort.

Il se montrer moins prétentieux qu’à l’habitude, sûrement car il savait qu’Asphodèle avait fait un effort pour se montrer agréable avec lui. Car après tout, elle n’était obligé de le rattrapé. Elle aurait très bien put le laisser partir. Mais elle ne perdait rien pour attendre, il retenterait son coup avec elle à la première occasion.

Elle lui sourit. Finalement il avait un bon fond sous ses airs de charmeur prétentieux. Il était même capable d’être ami avec quelqu’un. Sidérant !
Elle prit le gros bouquin dans ses bras et passa devant lui.

« Une proie a le droit de choisir sa mort, c’est un privilèges qu’on peu de gens »

elle repensa à cette phrase. Qu’est ce qu’il fallait pas entendre. Asphodèle ce demandait même comment Slayers arrivait à sortir avec des filles en leur sortant des trucs pareils.

- Au fait, je ne suis pas n’importe qui. Je suis une Nospheratov et une Nospheratov ne plie jamais, elle est le chasseur, pas la proie. Et ne m’appèle pas Asphodèle’, elle avait un ton sec au possible mais c’était juste un rôle qu’elle jouait cette fois, il ne fallait pas montrer à William qu’elle pouvait s’attendrir . Elle se radoucit tout de même, ‘je préfère qu’on m’appèle Lily…’

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Peut-être qu’une Nosteratruc ne plie jamais mais un homme un vrai fait de même.. Cette femelle n’allait pas être facile à dompter et il aimer ça.

<< Et ne m’appèle pas Asphodèle >>

Elle n’avait pas qu’a se présenter sous ce nom, si elle ne voulait pas qu’on l’appelle Asphodèle. Nom à rallonge qui d’ailleurs était imprononçable. D’ailleurs Asphodèle lui faisait penser à une plante, une plante aphrodisiaque ? Peut-être… Amoins que ce soit une planté Toxique...

<< je préfère qu’on m’appèle Lily… >>

William ne pût s’empêcher de sourire. Lily cela faisait très tout sourire de Poufssoufle ce prénom là. Le jeune Serpentard n’aimait pas qu’on lui donne des ordres. Sil voulait l’appeler Asphodèle il l’appellerait Asphodèle et puis merde. Car un homme…. [ j’crois que vous deviner la suite xD ]
Mais il était d’humeur tolérant et si après tout lui accorder cette faveur le rapprochait davantage de ses lèvres, ce n’était pas une mauvaise chose.

- Comme tu veux Lily pâquerette dite Madame de tout sourire.

Asphodèle ne prit même pas la peine de répondre. Et ils se dirigèrent tout les deux vers la bibliothèque.

**************************** FIN ********************************