LE YIN ET LE YANG (suite PV Will S)

Asphodèle courrait sans réfléchir. Le ciel s'était soudain assombri et lorsqu'elle arriva à la Tour Ouest, elle vit de violents éclairs déchirer le ciel, et les nuages creuver en trombes d'eau sur Poudlard. Il faisait presque aussi noir que dans le coeur de la jeune fille. On se serait cru un soir de décembre.

Elle venait d'apprendre par hazard la mort de son Maître, Zing Hao, en lisant le Chicaneur.
Elle s'était levée de si bonne humeur, et par on ne sait qu'elle hazard il avait fallu que cette feuille de chou lui tombe entre les mains et qu'elle l'ouvre en plus.

Cette nouvelle venait de faire une nouvelle fissure dans son coeur de pierre. Elle sentait que sous son armure minérale, celui qu'elle avait toujours cru infaillible et inaltérable comme un roc s'était mis à saigner, à se battre et à se débattre pour sortir de sa prison de pierre. Son coeur.

Asphodèle ne s'attachait pas aux personnes qui l'entouraient. Elle se contentait de les cotoyer et en de rares occasion de les connaître (une fois tout les 35 mai à peu près). Il n'y avait que deux personnes qui avaient vraiment compté pour elle jusque là: Charly et Zing Hao.
Et aujourd'hui, il ne lui en restait plus rien. Rien qu'un parchemin tout froissé, un article dans le journal, sa baguette et un vif d'or noir dont elle ne se servirait sans doute plus jamais.
Zing Hao avait été son Maître d'armes pendant un an. Elle avait vécu seule avec lui, perdue en plein coeur du Japon dans un minuscule monastère posé au milieu d'un lac en pleine nature. Loin de la Magie et du monde. C'était lui qui lui avait appris ce qu'elle savait de plus important: d'abord l'humilité (ça avait été le plus dur), l'endurance, la force...la Maîtrise de soi.Elle avait subi et suivi les pires entraînements avec lui mais au fond, Zing Hao avait été le seul dans toute sa vie qui ait fait figure de père.
Pourtant il n'avait rien à envier à Vlad Alexandrei Nospheratov question froideur. Jamais personne n'avait traité la Serpentard avec autant de froideur et de mépris que ce Zing Hao mais au fond de lui même, il était bien autre chose que Vlad Alexandrei Nospheratov. Il s'était toujours montré impitoyable et insensible, complétement détaché et désintéressé mais il avait une sorte de affection silencieuse pour sa jeune disciple et elle le lui avait toujours bien rendu.

Asphodèle sentait la rage se saisir d'elle et la dévorer. Elle implosait. Elle avait une telle haine de tout. Le raffus des Hiboux lui était insupportable. La Tour où elle s'était réfugiée lui était insupportable. Poudlard lui était insupportable. Elle ne se supportait plus elle même. Débordante de rancoeur et d'agressivité, la jeune fille donna un violent coup dans une planche de bois qui se trouvait face à elle. Elle frappa si fort que les jointure de son poing eurent un craquement sinistre en même temps qu'elle poussait un cri de douleur effrayant (mais ce ne fut pas la douleur physique qui lui donna une telle impulsion). Tout Poudlard l'aurait entendu sans les grondements de l'orage qui faisait rage dehors et la pluie battant les carreaux. Elle se laissa choir à genoux, la tête vers l'arrière. La rage lui faisait perdre le control. Son visage se strillait de venures sombres et le blanc éclatant de ses cheveux ternit légèrement. Ses yeux devinrent entièrement noirs un court instent avant de retrouver leur aspect habituel. Le sang recouvrait déjà sa peau ambré lorsqu'elle éclata d'un rire sardonique et malsain.

"Que diriez vous de moi Zing Hao? Regardez moi? Votre brillante et assidue élève, Xiao Mei, comme vous me nommiez!'

Elle avait murmuré entre ses dents, d'une voix sinistre.
La planche n'avait pas cassé. Elle n'avait jamais réussi à faire casser une planche avec son poing malgré que Zing Hao l'ait contrainte d'essayer tous les jours pendant un an.

Peut-être la planche ne devait-elle jamais se casser? Peut-être vouliez vous me montrer autre chose? se dit-elle.

Elle se rappela ce que Zing Hao lui avait dit avant de la laisser partir:

"Il te reste une dernière leçon à apprendre Xiao Mei avant de pouvoir atteindre le détachement. Mais tu n'y arriveras que si tu médites assez pour y parvenir et ce n'est pas donné à tous. La Route est encore longue pour qui retourne chez lui."

Il avait un sourire accroché au coin des lèvres, Asphodèle s'en rappelait très bien.

"Vous me l'enseignerez cette chose? Et comment si nous ne nous revoyons jamais?" avait questionné la jeune fille.
Ce fut sans doute la conversation la plus longue qu'elle et Zing Hao échangèrent

Le petit parchemin de Zing Hao était toujours serré dans sa main. La dernière leçon de Zing Hao mais elle ne le lirait pas tout de suite. Asphodèle était de retour dans la Volière. Elle y était venue pour écrire une lettre à son père à Durmstrang. Elle voulait lui parler de son Maître. Un sortilège impardonnable..Qui aurait intérêt à se débarraser d'un Maître Zen méconnu de tous qui plus est? Elle prit de quoi écrire. Mais que dirait-elle?

Elle posa la pointe de la plume sur le papier et écrivit: EST CE QUE CEST VOUS? Elle n'ajouterait rien. Si c'était lui il saurait.
Son poing la faisait attrocement souffrir. Zing Hao serait bien déçu s'il voyait que les heures qu'il avait passées à lui enseigner son précieux savoir n'avaient servies à rien. Elle n'avait pas su garder le controle, elle s'était laissé posséder par sa fureur et sa peine. Asphodèle se releva. Droite et fière. Le dos tourné à la porte d'entrée de la volière, face au mur. Les oiseaux continuaient leur boucan mais elle ne les entendait plus.
La vue de la Serpentard se troubla. Quelque chose d'humide et chaud roula sur sa joue. Une larme. La première qu'elle versait en dix-huit ans.
La rage l'avait quitté, elle souffrait en silence et calmement. Elle était comme plongée dans une espèce de méditation de sorte qu'elle n'entendit pas que quelqu'un se précipitait dans la tour Ouest, sans doute attiré par le cri sinistre qui venait de s'en échapper...

Invité

William s'ennuyait ! Encore..encore..et encore ! Il avait envie de s'exercer en Sortilège mais il était hors de question de le faire en public, il avait une réputation de Cracmol à entretenir. Le vert et argent ne put s'empecher de sourire, il pensait à Sally. La pauvre fillette devait elle aussi surement être traiter de cracmol malgrés elle. Mais pour le jeune homme s'était différent il ne voulait pas qu'on sache qu'il était douée. Il ne pouvait donc pas s'exercé n'importe où !

* Saloperie d'école surpeuplé d'élèves, on peut jamais être tranquille nul part *

William pensa alors à la volière, elle était rarement débordante de monde. Puis le jeune homme avait tendance à faire des rencontre intéréssante là-bas... Il se dirigea donc vers la tour des volatiles. Montant les marches d'un pas nonchalant, signe d'un menfoutisme permanent. Quand William ouvrit la porte et aperçut Asphodèle il sourit, il n'allait pas pouvoir s'entrainer mais au moin il aurait quelqu'un pour jouer au chat et à la souris.

Mais son sourire s'éffaça brutalement quand il se rendit compte qu'une larme coulait sur la joue de Miss Reine-Des-Glaces. De surprise le vert et argent en resta figeait sur place. Jamais il n'avait vu la jeune fille assez fragile. Le Serpentard pensa alors à Arya, était-ce une épidémie ? Peut-être était-ce super dangereux de respirer l'oxygène ??? Quelque chose dans l'air de la violère détruisait la barrière de protection des sentiments des filles ???? Bon à savoir ! Enfin... encore fallait-t-il que ce virus ne le touche pas car un homme un vrai ne ressent rien. ¨

Puis c'est seulement maintenant qu'il remarqua le poing de Lily, il était blessé et ensanglanté ! Que s'était-il passé ici ? En bon protecteur matchiste, Will s'avança vers Miss Main-En-Sang l'air un peu énervé et préoccupé.

IRRISISTIBLE ~~ Qui t'as fait ça ?

S'il choppait le salaud qui avez oser touchait à SA lily, il lui ferait regretté sa brutalité à coup de poing et de sortilèges. Mais le vert et argent remarqua une planche pleine de sang prés de Miss Larme-Eternelle, Lily s'était faite ça toute seule. William soupira il avait l'air fin à s'inquièter pour rien! Il s'assit à côté de Lily, il ne savait pas quoi dire. Il savait que Miss Regard-Envoutant n'aimait pas parler d'elle tout comme lui, il se contenta donc d'essuyer la larme de la jeune fille avec le doigt. Silencieux, il observa la métisse en entendant qu'elle l'envoye promener où mieux qu'elle ose se confier.

En tout cas la fragilité de Miss Trop-Forte-En-Potion à ce moment là ne donner pas à William l'envie de la charrier. Parfois, ( rarement....jamais.... ??? ) le jeune homme pouvait se comportenait non plus comme un séducteur mais comme une personne normal. Mais il détesté ça car s'était se montrer faible et un homme un vrai est un homme fort !

Asphodèle ne vit pas Will tout de suite. Elle était comme prisonnière d'une rêverie sombre et mélancholique. Un cauchemard où dans son malheur il y avait une lumière rassurante pour la guider dans le noir. Qui d'autre que:

"Charly"

saurait la réconforter. Ce nom passa ses lèvres dans un soupir et le son se mourrut presque dans l'instant.

IRRISISTIBLE ~~ Qui t'as fait ça ?

La voix de Will la ramena parmi les vivants. Elle sentit de nouveau l'air frais emplir ses poumons et le bruit de l'orage dehors. Elle avait survécu. Cette unique larme qui s'accrochait désepérément à sa joue ne l'avait pas térassée. Mais elle se sentait si pathétiquement faible.
La main de William passa sur sa joue. Chassant à jamais cette toute petite partie d'elle même qui lui faisait si grande honte. Doucement. Elle frissonna à ce contact. Encore un signe de faiblesse. Non! elle n'était pas faible! Elle se redressa brusquement:

ASPHODELE: "FOUS MOI LA PAIX SLAYERS! TU FAIS DE MOI QUELQU'UN DE FAIBLE ET CA JE NE L'ACCEPTERAI JAMAIS! GARDE TA PITIE! JE N'EN AI PAS BESOIN...[JE N'AI BESOIN DE PERSONNE...

Les mots s'échappaient de sa bouche comme un flot d'immondice alors qu'elle ne pensait rien de tout ça. Mais elle n'avait pas encore guéri de sa soufffrance, elle ne contrôlait plus rien. Elle avait tellement besoin de déverser sa haine sur quelqu'un. Mais pas sur Will.
Qui d'autre que Will pouvait la comprendre. L'apaiser. Elle s'en voulait à mort de ce qu'elle venait de lui dire. Il ne méritait pas ça. Elle ne le méritait pas lui pour l'avoir traîté de la sorte. Elle aurait donné n'importe quoi pour ravaler les mots qui lui avait échappés. Pour qu'il lui pardonne au moins.

ASPHODELE: "Will je regrette tellement..."

Mais après ça, ce serait un miracle s'il lui adressait encore la parole. Sa voix se mourrait comme si ça avait été son dernier souffle qu'elle donnait àa Will pour qu'il oublie ce qu'elle venait de dire. Elle avait tellement besoin d'un ami à ce moment. Elle avait besoin de lui.

Les yeux de la belle Serpentard exprimait sa détresse. Elle souffrait tant. Elle avait réagi comme un fauve blessé qui se sentant vulnérable redouble d'agressivité sans même chercher à comprendre si on lui veut du bien ou pas. Elle avait réagi stupidement.

"Pardonne moi Will...pardonne moi".

Elle restait là debout, incapable de partir. Ses yeux d'améthystes suppliant de tout le coeur qu'elle n'avait pas, de tous les mots qu'elle ne pouvait pas dire.

Invité

Charly ? C’était qui ça ? Non lui s’était pas Charlie mais William, et puis s’était impossible d’oublier un gars aussi irrésistible. que lui. Mais Miss Cœur-De-Pierre ne semblait pas dans son états normal, il décida donc lui posait la question plus tard. Lorsqu’il lui essuya la larme Miss-Larme-De-Soie eut une réaction des plus surprenantes.

« TU FAIS DE MOI QUELQU’UN DE FAIBLE, ET SA JE NE L’ACCEPTERAIS JAMAIS ! GARDE TA PITIER ! JE N4EN AI PAS BESOIN…..Je n’ai besoin de personne *

Hein ? Alors là c’était la meilleure ! Il faisait des effort pour être agréable, ce montrer gentil, chose vraiment TRES dur pour lui, et elle l’envoyer paître ? Pauvre Fille ! Décidément il ne comprendrait jamais le sexe féminin, enfin dans le sens figuré du terme. Car niveau sens propre il était assez expert dans la matière, enfin assez , très douée quoi. Il se releva rapidement et eut un mouvement de recul. S’il ne connaissait pas si bien Miss Pétage-De-Durite ( a bon il la connaissait-il si bien que ça ? Non, non….) il serait partit en bon macho sans demandait son reste.

En plus « tu fais de moi quelqu’un de faible « William riait intérieurement, mais il riait jaune. La bonne blague, et elle faisait quoi de lui elle ??? Un abruti protecteur qui voulait foutre des coup des poing à une planche pour avoir oser la blesser, un idiot qui essuyait des larmes. ????? Beurk…pathétique. Heureusement qu’il n’avait fait ça que pour passer l’ennui. Oui de toute évidence s’était pour sa, rien d’autre.. Arrêter de vous faire des idée tordus bande de romantique névrosé…

Mais le « je n’ai besoin de personne » l’avait interpeller. Cette phrase il l’aurait put la dire, mais il savait ce que ça sous-entendait « je fais tout pour qu tu parte pour savoir si tu as le crans de resté » Pour lui sa n’avait jamais marché, à chaque fois qu’il faisait ce test la fille décamper aussitôt. Mais si Miss Je-Change-D’humeur-Comme-De-Chemise compter le voir détaler en courant, elle allait attendre longtemps. Bon ok, la réaction de la Métisse. l’avait un peu rebuté et il n’avait plus vraiment envie de lui faire un câlin et de la touchait. Se qui était un peu un comble pour le jeune homme qui devait passer son temps à imaginer une fille dans ses bras, n’importe quelle filles. d’ailleurs .

« Je regrette ...... Will „

Miss Mélo-Dramatique n’avait pas l’air dans son assiette. Elle avait les yeux troublés de larmes, et William ne savait plus quoi pensait ni faire. Où était donc passé la Reine-Des-Glaces qu’il aimait tant ? Sa le déstabilisait mais il essayait de la comprendre. A cet instant elle était méconnaissable mais si attachante. C’était un peu comme si elles étaient deux : la forte et la douce, et il était incapable de choisir entre les deux. Mais bien qu’il sache comment agir avec la forte, il était maladroit avec la faibles. Puis il ne voulait pas que sa propre carapace se fendent en deux, car un homme un vrai ne ressent rien. Pff, que faire ? Etre gentil ? Pour s’en prendre plein la gueule se n’était pas vraiment une bonne idée. Miss J’apelle-Les-Gens-Charly semblait vraiment à deux doigt de se transformer en fontaine humaine. Fidèle à lui même, enfin son machisme reprenait le dessus s’efforçant de se montrait un homme un vrai sans sentiment, William eut une idée.

Il haussa les épaules signe qu’il ne lui en voulait pas, après tout elle avait des circonstance atténuante , Miss Je-Sais-Tout lisait trop. Le vert et argent afficha son habituel sourire charmeur et si agaçant. Il espérait ainsi diminue la honte de Lily, car il savait la honte qu’on pouvait ressentir lorsqu’on se montre faible, surtout devant du monde. Donc être fidèle à lui même et ne pas être compatissant genre « ne pleure pas, j’suis là pour toi » semblait être une bonne idée pour Will. Ainsi Miss Je-Suis-La-Plus-Douée-En-Potion ne penserait pas qu’il avait pitié d’elle. C’est ainsi que pensé le cerveau tordu de William.

IRRISISTIBLE ~~ J’te pardonne si tu m’dit qui est Charly.

Cette provocation allait sûrement, remettre la métisse sur pied. Au pire elle s’énerverait preuve qu’elle avait retrouvé sa froideur, au mieux elle répondait à sa question. Mais bon faut pas rêver quand même !

J’te pardonne si tu m’dit qui est Charly.

Asphodèle ne put retenir un « hum » amusé, un bredouillement de rire qui ne pouvait pas se réprimer. Will avait toujours le bon mot. Elle avait l’habitude maintenant., il lui faisait faire un cent quatre vingt degrés chaque fois qu’ils se retrouvaient seuls tous les deux.

Elle ne releva même pas pour Charly. Elle ne fit même pas attention au fait que Will l’ait mentionné. Il avait seulement dit ça pour la faire réagir et ça marchait bien sûr.

Un sourire tendre tenta de disperser les nuages qui obscurcissaient Asphodèle mais ils étaient tenace. Elle avait encore besoin de ce Will réconfortant qui ce cachait sous le masque de l’Arrogance.

« Je suis désolée de ce que je t’ai dit Will..Je ne le pensais pas ", elle se rapprocha de lui sollicitant encore son pardon entre les lignes, puis elle eut encore un petit rire moqueur à sa propre intention « tu dois vraiment me trouver ridicule maintenant ! Je n’arrête pas de souffler le chaud et le froid tout le temps, ça ne doit pas trop avoir de sens pour toi. J’ai juste eu un début de journée un peu difficile, c’est tout. »

Malgré tous les efforts qu’elle faisait, le chagrin pesait lourd sur son cœur et elle ne parvenait pas à se débarrasser de ces larmes gênantes qui s’accumulaient lui brouillant la vue. Au moins elle les empêchait de rouler sur ses joues. En plus son poing la faisait atrocement souffrir. Discrètement elle le cacha derrière elle, puis tenta de bouger ses doigts tandis qu’elle s’expliquait devant Will. Elle n’arrivait pas à les bouger.

« Essaye encore… »

Invité

Elle se mit à rire,. William eut alors un sourire d’autosatisfaction. Mission accompli !! Comme quoi il n’avait pas besoin de se transformer en chamallow pour remonter le moral des filles. Des filles ? Et oui s’en en faisant déjà deux, beaucoup trop pour le jeune homme qui n’éprouvait rien car un homme un vrai…. Bref !

« Je suis désolée de ce que je t’ai dit Will.. Je ne le pensais pas

Désolé ? C’était bon à savoir, surtout que ce mot devait être peu courrant dans la bouche de Miss Anti-Poufssoufle. William en était donc très flatter, rien de mieux pour amplifier son égo que de savoir qu’une fille vous dit une chose seulement à vous. Puis de toute façon de quoi voulait-elle se faire pardonner ? Il n’en avait aucune idée, il n’avait rien à lui reprochait, personne n’est parfait un pétage de durite sa arrive parfois. Mais pas à lui car un home un vrai ne ressent rien !

IRRISISTIBLE ~~ Sa ira pour cette fois demoiselle, mais la prochaine fois il faudra user de vos charme pour me satisfaire. Dit-il avec un air charmeur qui se voulait amusant.

« tu dois vraiment me trouver ridicule maintenant !

N’importe quoi ! Des filles idiote et ridicule il en connaissait, mais Miss Excuse-Toute-Attendrissante n’en ferais jamais partit. Beaucoup trop intello pour ça .

IRRISISTIBLE ~~ C’est quoi la définition du mot ridicule déjà ?

Sa faisait un peu le mec sans cervelle de dire ça, mais c’était comme ça que les élèves de Poudlard le voyait et il ne se gêner pas pour entretenir cette réputation. C’était mieux que passait pour un génie sentimentaliste…

Je n’arrête pas de souffler le chaud et le froid tout le temps, ça ne doit pas trop avoir de sens pour toi.

Sa s’était bien vrai ! Il ne savait jamais trop sur quel pied dansait ! Miss Flammes-Enneigé était mignonnette,. Mignonnette ? Quel foutage de gueule ! Elle était plus que « mignonnettes », elle était carrément sexy et désirable oui ! Mais là il devait éviter de penser à ça, car il n’y avait pas de douche froide à proximité. Et Miss Main-Ensanglanté avait tendance à le raidir quelque peu.

* Oui c’est clair qu’as force de souffler le chaud et le froid, un jour j’aurai dût mal à me refroidir ! »

-IRRISISTIBLE ~~ - Faute avouer à moitié pardonner ! dit-il avec un sourire amuser, mais qui ne trahissait pas ses pensé.

Puis le jeune homme se souvenait encore de leurs baiser à la bibliothèque qui n’avait rien de glacial. Argh, Slayers arrête de penser !

J’ai juste eu un début de journée un peu difficile, c’est tout. »

Et ça lui arrivait souvent de pleurer pour « un début de journée difficile « ? Ah non, il voulait en savoir plus.

IRRISISTIBLE ~~ Développe ! T’as raté un potion , tu t’es fait griffé par Azatrucc ? fit-il avec une tête suspect ( visualiser 2 photo avatars ^^ ]

Miss Main ensanglanté… C’est vrai ça, merde il l’avait zappé. Sa main. D’ailleurs où était-elle passé ? Ah Lily « essayait » vaguement de la cacher derrière son dos, elle devait lui faire souffrir. Sa se voulait discret mais ça ne l’était pas.

IRRISISTIBLE ~~ T’as mal ?

Question con, mais rien trouvait de mieux. Il se demanda se qui avait poussait Miss-Cheveux-Couleur-Neige à se bousiller la main en frappant dans une planche..

IRRISISTIBLE ~~ C’est sur qu’essayé de fracasser une planche ça abîme L-E-G-E-R-E-M—E-N- T dit-il en rigolant..

William se rapprocha alors d’Asphodèle et lui attrapa la main. Ou là , elle était en sale états ! Par chance William avait sa baguette sur lui car la raison première de sa venue à la violière, [ HJ : non l « i » était fait exprés ^^ ] était de s’entraîner. Le jeune homme pointa le bout de bois de trente centimètre, longueur qui faisait sa fierté, sur la main de MissPas-Très-Futé-De-Me-Défouler-En-Tapant Sur-Les-Objet.

IRRISISTIBLE ~~ Sanitatem Velociter [ HJ : Sanitatem -> Guérir en latin, Velociter -> Rapidement en latin]

La main de Miss Qui-Donne-Envie-De-Raide-Comme-Un-Baton ,se guérit alors sous les yeux des deux élèves. Il faudrait surveiller ça, mais la blessure était déjà moins inquiétante. Voilà il venait encore de se griller aux yeux de Lily. Lui qui était censé ne rien connaître en magie et être pratiquement Cracmol. Pff, il s’était encore foutue dans la merde !!! En plus il était presque sûr que Miss Regard-Violet ne connaissait pas ce sort. Mais il n’avait aucune envie de s’en vanter, plutôt crever que les autres ne se rende compte qu’il était un surdoué.

Il tenait toujours la main de Lily dans sa paume, et sentir le contact de sa peau lui donnait des arrières pensé incontrôlé. Il faut dire que contrairement à certaine, Asphodèle n’avait pas eut le plaisir de se réveiller à ses côtés. Et c’est bien connu on désire encore plus se qu’on ne peut pas avoir… Il fit bouger les doigts de Miss Solitude-Et-Travail ! Lily ne cria pas, sa avait donc l’air d’aller mieux.

IRRISISTIBLE ~~ Heureusement que j’suis là.

C’était vrai mais il se doutait bien qu’elle ne lui dirait pas..

" Sa ira pour cette fois demoiselle, mais la prochaine fois il faudra user de vos charme pour me satisfaire."

Asphodèle rit encore, le même rire qu’elle avait eu tout à l’heure. Son émotivité à fleur de peau du moment lui donnait le rire facile. Peut-être qu’en temps normal elle aurait trouvée cette phrase vantarde mais la elle la trouvait plus amusante qu’autre chose et le vouvoiement avait quelque chose de délicieusement désuet et charmant. Presque galant. Un rôle qui allait comme un gant au jeune Serpentard, celui du galant.

" C’est quoi la définition du mot ridicule déjà ? |…] Faute avouer à moitié pardonner ! "

Décidément aujourd’hui Will lui passait toutes ses faiblesses, et avec tact en plus. Asphodèle ne s’en sentait que plus touchée et sécurisée. Il ne profitait pas de la situation. Elle lui sourit, l’humour de Will avait finit par chasser ses affreuses larmes agaçantes.

" Développe ! T’as raté un potion , tu t’es fait griffé par Azatrucc ? "
N’importe quoi. Ce qu’il pouvait se montrer attentionné et gentil parfois. Il savait que le prendre à la rigolade éviterait à Asphodèle de se refermer et de se sentir mal à l’aise, comme sous un projecteur dans une salle d’interrogatoire. Mais tout en finesse il essayait quand même de savoir.

« Rêve pas Will… »fit-elle avec un sourire complice « je suis pas prête de rater une potion ! »

Elle s’était détendue. Elle avait toujours un chagrin immense mais avec toutes les pitreries de son ami elle ne se laissait déjà plus submerger. Elle reprenait le controle.

« Non c’est pas ça », elle était prête à se confier, « J’ai appris la mort de quelqu’un qui m’était…Je ne m’attendais pas à apprendre ça dans le journal…. »

Elle n’était pas versée dans l’art de la confidence. Une fois de plus c’était une première ; A croire que toutes ses premières étaient réservées à Will !

Quelque chose la troublait en plus. Le Serpentard regardait sa main blessée. Elle n’avait toujours pas réussi à faire bouger ses doigts. Ses articulations devaient être cassées. Merde ! Il allait falloir aller à l’infirmerie, répondre à un tas de questions. Comment vous vous êtes fait ça ? Qu’est-ce qui vous appris ? ça ne va pas ? Dites moi tout ? Vous avez un problème ? Vous voulez en parler ?

Non ça jamais, jamais, jamais elle ne s’expliquerait sur son acte avec quelqu’un qui ne pourrait de toute façon rien comprendre. Ce n’était même pas envisageable une seconde, elle préférait garder ses articulations brisées. Elle finirait bien par arriver à bouger ses doigts tôt ou tard !

" T’as mal ? "

Asphodèle leva de grands yeux déstabilisés sur William. Elle souffrait le martyre mais elle n’en montrait rien pourtant.

" C’est sur qu’essayé de fracasser une planche ça abîme L-E-G-E-R-E-M-E-N- T "

Aïe. Douleur aiguë. Asphodèle serra les dents. Elle voulait se montrer forte.

Il lui avait pris la main. Asphodèle frissonna à ce contact. Elle n’avait pas l’habitude de ce genre de contacts. A part les baffes ou les mains froides de sa gouvernante quand elle l’aider à s’habiller et serrait son corset le matin d’un coup sec à lui couper le souffle. Et il y avait eu aussi cette fois…dans le rayon d’histoire…

" Sanitatem velociter "

Encore un sort qu’elle ne connaissait pas. Asphodèle était impressionnée par Will. Par toute cette attention qu’il lui portait sans que son côté dragueur compulsif ne montre une seule fois le bout de son nez.

Elle se doutait bien que William avait bien autre chose à offrir que ce qu’il laissait voir à tout le monde. Il la surprenait un peu plus chaque fois et ça lui plaisait. Elle repensa au baiser.

Elle lui laissa sa main un petit moment. Le laissa la manipuler et faire bouger ses doigts. Puis elle même, fléchit ses doigts dans un geste gracieux bien que ce n’était pas le but de la manœuvre.

" Heureusement que j’suis là. "

Il ne savait pas à quel point s’était vrai. Qui aurait pu dire ce qu’elle aurait fait s’il n’était pas arrivé ? Si ça avait été quelqu’un d’autre ? Si personne n’était venu ?

« C’est sur qu’essayé de fracasser une planche ça abîme L-E-G-E-R-E-M—E-N- T »

Asphodèle ce décida enfin à l’éclairer au sujet de sa soudaine crise de violence :

« C’est un exercice que mon Maître d’Armes m’a souvent fait tenté, au Japon. J’ n’ai jamais réussi d’ailleurs » toujours avec le même rire « J’ai vécu seule avec lui pendant un an. C’était dur. lL était dur mais… Il représentait beaucoup pour moi. Je n’étais pas prête… »

Elle s’arrêta là de peur de perdre encore le control de ses émotions, ses deux grand yeux d’améthystes fixés sur son ami. Elle venait de lui dire quelque chose d’horriblement personnel, ça lui avait fait du bien mais elle craignait de ne plus pouvoir recommencé à balancer des anecdotes sur sa vie avant Poudlard.

*« Tais toi Asphodèle. Tu ne vas pas le saouler en plus. Il va finir par te prendre pour une de ses filles qui sont toujours à pleurnicher ou à déblatérer sur leur petit MOI surdimensionné. Comment Will pourrait apprécier quelqu’un de ce genre ?*

Invité

Asphodèle rit de nouveau, William était décidément doué pour lui remonter le moral.

« Rêve pas Will… » « je suis pas prête de rater une potion ! »

Il sourit, elle avait raison elle ratait jamais une potion, d’ailleur s’était agaçant. Surtout les potions s’était pas trop le truc du jeune homme, comme tout les cours en fait. Il se demanda tout de même qu’elle était la raison de sa crise de nerf. Lui ? Peut-être avait-elle appris pour le baiser de Sally et qu’elle était jalouse… Peut-être qu’elle pensait à lui…Après tout il était irrésistible. De toute façon Miss Pas-Bavarde-Pour-Deux-Sous ne lui dirait sûrement pas la véritable raison, il avait l’habitude de se genre de fille qui ne se confier jamais. Enfin a part Arya l’autre jour…
« Non c’est pas ça », « J’ai appris la mort de quelqu’un qui m’était…

Hein ? Mais c’était un truc très personnel ça ! Il n’en revenait pas d’être la personne que Miss Glacé-Brulant avait choisi comme confident. Lui qui n’avait rien de mieux à lui offrir qu’une aventure sans lendemain. Car un homme un vrai ne peut pas tomber amoureux. Ne DOIT pas tomber amoureux ! Alors c’était ça quelqu’un était mort !! William savait se que s’était que d’être confronté à la mort d’une personne chère.

- IRRISISTIBLE ~~ Moi aussi j’ai perdu qu’un que j’aimais, décédé!

Si Miss Confidence-Innatendue croyait qu’il allait en dire plus, elle pouvait toujours attendre. Personne ne savait pour « cette personne »et il n’était pas prêt d’en parler.
Je ne m’attendais pas à apprendre ça dans le journal…. »

C’est sûr qu’apprendre ça dans un journal s’était pas très agréable. William eût un sourire mesquin, s’il voulait savoir qui était mort il lui suffisait de lire le journal. Bof, la flemme ! A l’occass peut-être, la lecture s’était pas trop son truc. Mais il était quand même curieux de savoir. Il pensait alors à quelque chose, une chose évidente en fait ! Il savait qui était mort !

IRRISISTIBLE ~~ J’suis désolé pour la mort de Charly !

Sa expliquait pourquoi elle l’avait appelait Charly ! Charly, beurk, c’était quoi ce nom ! Charly gnagna, Charly, blabla, beurk Jaloux, non, pourquoi serait-il jaloux ? Asphodèle n’était qu’une fille comme les autre, une proie de plus.! Il était juste agaçait qu’on touche à SON territoire. Etant donné le caractère peu engageant de Miss Coureuse-Sous-Ses-Grand-Air-De-Vierge-Timide. Il avait espéré que le bisou de la bibliothèque était son premier. Il n’avait pas pensé que Asphodèle lui appartenait. Non mais qui va croire qu’il n’avait pas pensé à ça. C’est vrai quoi sa faisait chier, SA Lily était amoureuse d’un autre. Bon bin de toute façon s’est pas grave, parce que lui il n’était même pas amoureux. Si si c’est vrai ! Et en plus de ça maintenant il était mort ! Alors là quel toupet ce mec !

En plus il avait fallu qu’il meurt et qu’il fasse de Miss Charly-Oh-Mon-Poupinou-D’amour-A-Qui-Je-lèche-Le-Visage-En-Fesant-Des-Papouille-Ecoeurante une veuve éploré implacable de contenter William sous la couette sans qu’elle se transforme en fontaine. Bref Bref [ HJ : nico :wub : ]

* J’suis sûr que lui il s’est jamais pris de crache limaces *

William secoua la tête ! Houlà il devait arrêter de s’enflamer pour rien. Miss Glaçon faisait ce qu’elle voulait, elle était libre ! D’abord il s’en fichait !!!!! Si c’est vrai !!!!

« C’est un exercice que mon Maître d’Armes m’a souvent fait tenté, au Japon. J’ n’ai jamais réussi d’ailleurs » toujours avec le même rire « J’ai vécu seule avec lui pendant un an. C’était dur. lL était dur mais… Il représentait beaucoup pour moi. Je n’étais pas prête… »

YOUPIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! Rien à voir avec sa jalousie pour Charly ! Euh… non en fait il s’en fichait ! Il était content de savoir que Charly était vivant ! Mais qui allait croire ça !!! Attendez, qu’est ce qu’elle à dit ? Ah woé, blabla maître d’arme blabla japon. Hum, japon ? Arme ? Il imaginait déjà la Miss Croustibat-Qui- Peut-Me-Battre en petite robe chinoise laissant découvrir ses cuisse si jolie…. Waw…

* Bon aller creuse ta cervelle pour te rappeler ce qu’elle as dit, pour une fois qu’elle se confie, faut assurer ! *

Ah ça y est Il se souvenait, elle avait dit qu’elle avait vécu avec lui pendant un ans. Attendez, mais quel abruti ! Lily avait dit « maître ‘arme » mais rien ne laisser présagé que Charly n’était pas maître d’arme ! Après tout des maîtres d’armes jeune sa existait ! Rhoo non c’est pas juste ! Ils avaient vécu ensemble pendant un an, main dans la main à s’entraîner dans la sueur et la chaleur, dessus l’un sur l’autre. Ils imaginaient déjà leurs entraînement quotidiens, corps à corps à volonté. Pourquoi n’avait-il jamais de bol ? ??? Merrrrde ! Il espéra alors qu’Arya ne se trouvait pas loin, besoin d’un câlin !

William - Moi aussi j’ai perdu quelqu’un que j’aimais, décédé(e ? ) !

Asphodèle sentait bien que ça avait du coûter beaucoup à William de lui révéler un truc pareil. Apparemment ils étaient entrés dans un jeu de confidence pour confidence.
Elle ne lui poserait pas questions comme d’habitude. Will avait perdu quelqu’un qu’il aimait ? Une fille qu’il aimait ? Peut-être LA fille ? Peut-être que ça l’avait tellement brisé qu’il ne tomberait plus jamais amoureux d’où son comportement avec les filles. Mais peut-être bien que c’était pas une fille aussi? Décédé c’était neutre à l’oral. Et puis de toute façon ça changeait rien. Le résultat était le même Will avait du souffrir et il partageait ça avec elle.

William - J’suis désolé pour la mort de Charly !

Charly ! Pourquoi William remettait –il Charly sur le tapis ; Charly c’était son jardin secret à elle, jamais elle ne parlerait de Charly. C’était beaucoup trop personnel. Beaucoup trop important. Même à Charly elle n’aurait pas parlé de « Charly » !

Et puis d’ailleurs il n’était pas question de Charly dans ce qu’elle venait de dire à Will ! Qu’est ce qui pouvait bien se tramer dans le crâne du beau brun. Il devait croire que Charly était son Maître d’Armes. Asphodèle fut amusée par l’idée mais elle se rendit compte que William avait l’air de se renfrogner. Peut-être de mauvais souvenir qui remontaient à la surface à cause de ce qu’il lui avait avoué.
Elle devait le tirer de ses ruminations. Comme elle était venue à la volière pour envoyer un message, elle reporta son attention sur les hiboux un instant. Il lui en fallait un robuste. Un qui supporterait le voyage jusqu’à Durmstrang. Le noir là haut semblait parfait. Un bref coup d’oeil à son message. Elle en fit un petit rouleau et l’attacha à la patte du volatile, et envoya le message par la fenêtre.
Elle se retourna vers William, observa un instant. Il ne semblait pas avoir besoin de recueillement, elle continua donc (histoire de chasser définitivement Charly de la conversation) :

« Mon père m’avait envoyé là bas pour me punir …la bêtise de trop ! Mais en fait mon séjour chez Zing Hao… il s’appelait Zing Hao… mon maître. « elle ne savait pas trop comment enchaîner sur autre chose, « je le détestais au début mais après…j’ai beaucoup de respect pour lui… j’AVAIS beaucoup de respect… »

Invité

« Mon père m’avait envoyé là bas pour me punir …la bêtise de trop ! Mais en fait mon séjour chez Zing Hao… il s’appelait Zing Hao… mon maître.

Zing Hao ???? Surnom de Charly ???? Non là fallait arrêter de délirer! Donc le maître d’armes n’était pas Charly ! Ah ! Bon, il s’en ficher, sa n’avait aucune importance ! Si si j’vous jure c’est vrai ! Donc si elle était aller au japon c’était à cause d’une bêtise, une bêtise de trop ? Hein ? Quelque chose clocher dans cette phrase ! Même un arbre était moins sage de Miss Parfaite.

IRRISISTIBLE ~~Une bêtise ? Tu as égorger un Puffskein ? dit-il en souriant.

Elle ne répondit pas et sourit ! Le jeune homme avait toujours Mr Amour-Eternel-De-Lily-Avec-Un-Nom—Ecoeurant dans la tête. Putain , il voulait savoir ! Puis Asphotruc semblait s’être remise alors il pouvait se montrer fidèle à lui même et essayer d’en savoir plus. Mais il fallait y aller en finesse, s’il voulait avoir une réponse. Mais le tact et la finesse ne faisait pas vraiment partit du vocabulaire du jeune homme. Il décida de parler de Shing-Rhao .

- « je le détestais au début mais après…j’ai beaucoup de respect pour lui… j’AVAIS beaucoup de respect

William ne comprenait pas bien comment on pouvait s’attacher à un simple prof ! Mais Miss Karaté-Kid avait toujours était une excellente élève, ceci expliquait sûrement cela. Le vert et argent ne savait pas quoi dire. Ayant lui même perdu un être cher il savait que les « je suis désolé « , « tu verrai la douleur passera « , et les « machin. Est bien là où machin.est ! » ne guérissait pas la douleur et ne servait à rien. Il n’allait pas donc sortir ce genre de niaiserie à Miss Cœur-Brisé. Non il allait être fidèle à lui même s’était mieux.

IRRISISTIBLE ~~ Donc c’est pas Charly ton maître d’arme ! C’est qui Charly ?

Il avait posé la question pour changer de sujet et non pour savoir qui était ce fameux ce Charly ! Car de toute évidence il s’en ficher, Lily faisait ce qu’elle voulait ! Mais quand même c’était qui.

* Pff, Slayers faut vraiment que t’arrêter de te trituré l’cerveau ! Pourquoi ya jamais de meuf dans les parages quand on en as besoin de se vider …l’esprit. *

Asphodèle regardait Will, il recommençait à essayer de la faire rire (à titre préventif cette fois). Elle était contente qu’il la connaisse assez bien finalement. Pendant trente seconde elle repensa à « LA fille », puis au baiser.

*« Pourquoi m’a –t-il embrassée l’autre jour ? Il voulait s’amuser un peu sûrement. Bon sang ! c’était pas un vrai baiser arrêtes d’y repenser chaque fois que tu te retrouve seule avec lui ! »*

Il était vraiment très charmant dans le peu de lumière que l’orage laissait entrer dans la volière. Vraiment très charmant .

Il s’était comporté de façon exemplaire avec elle aujourd’hui. Elle saurait dorénavant qu’elle n’aurait plus à douter de la sincérité de leur amitié.

William : Donc c’est pas Charly ton maître d’arme ! C’est qui Charly ?

Mais la barbe quoi avec son Charly ! Pourquoi il remettait toujours ça sur le tapis ? Il allait pas lui ressortir à chaque fois ! Et puis ça ne le regardait pas après tout qui était Charly. Il ne le connaissait même pas. Il ne le rencontrerait jamais en plus.
Elle le regarda d’un air de défis, un peu vexée qu’il insiste sur ce point. Elle tourna les talons prête à quitter la volière mais avant de partir elle répondit à la question de Will :

« C’est personne. »

Un petit sourire d’auto satisfaction qu’il ne pouvait pas voir puisqu’elle lui tournait le dos puis elle sortit. Elle avait tout juste descendue une douzaine de marches qu’elle s’arrêta net. Se mordit la lèvre d’une façon assez malicieuse comme quand on pense à quelque chose qui ne devrait même pas nous traverser l’esprit mais qui est très agréable. Alors elle remonta les marches en courrant jusqu’à Will.
On aurait dit une petite fille canaille et innocente à la fois. Elle avait quelque chose de très « vrai » à ce moment.. Elle se hissa sur la pointe des pieds pour donner un baiser timide sur la joue de ce beau Serpentard qui avait le don de lui faire faire des cent quatre vingt degré (au sens propre comme au figuré d’ailleurs). Presque aux coins des lèvres de Will.

« Je suis contente de t’avoir comme ami . »

Après quoi elle repartit comme elle était venue.

Quand la journée fut enfin terminée, sur son lit, dans les dortoir de Serpentard, Asphodèle déroula le petit message que son Maître Japonais lui avait envoyée le matin. Un Yin et un Yang. La dernière leçon de Zing Hao.

Invité

Miss Je-Ne-Dit-PRESQUE-Jamais-Ce-Que-Je-Pense ne répondit pas à sa question sur Charly ! Pff, il finirait bien par le savoir un jour ! Elle tourna alors les talons, prête à quitter la violère. Hein ? Déjà ? Mais mais…. Bon bin qu’elle parte retrouver son Charly…

« C’est personne. »

Woé bin Mr Personne avait tout même l’air important pour Miss Grand-Air. Et puis elle partit en descendant les marche de la violière, ils s’étaient dit l’essentiel Asphodèle avait retrouver le moral. Bon lui il ne s’était pas exercé en sortilège mais au moins il en avait appris plus sur Miss Armure-De-Glace-Fine-Prête-A-Craquer-Au-Moindre-Mort , c’était ça l’essentiel. Il s’apprêtait lui aussi à vaquer à ses occupation quand il aperçut Miss Surprenante qui revenait en courant. Elle avait oublier quelque chose ? Son hibou ? La planche suspect pleine de sang ? Non, de toute évidence ce n’était pas ça. Sur la pointe des pieds Miss Revenante-Inattendue lui fit un bisou sur la joue. Hum ! Bisou suspect qui était à deux doigt d’atterrir sur ses lèvres, d’ailleurs surpris il résista à l’envie de bouger légèrement la tête pour avoir un VRAI baiser. Et pas un bisou ridicule de fillette de six ans. Qu’est ce qui lui avait pris ? Avait-elle envie de ses bras ? De sentir sa peau contre la sienne ? Envie d’une aventure ? Il sourit pourquoi pas, tout ce bavardage avait éveiller l’intérêt de son neurone.

« Je suis contente de t’avoir comme ami . »

Quoiiiiiiii ? Le sourire de William disparu immédiatement pour laisser place à une mine dégoutté. Non coment-avait-elle put lui dire ça ? Au moin sa avait le mérite d’être clair « on est Ami-Pour-La-Vie et c’est M-E-R-V-E—I-L-L-E-U-X « ! Et bientôt il allait se faire une soirée pyjama tant qu’elle y était ! Hum Asphodèle en déshabillé sexy…. Puis d’abord il n’avait pas d’amis, il ne savait même pas se que s’était. Asphodèl était elle vraiment sa première « amie » ???? C’était ça être amie ? Tiens c’est bizarre mais William s’était toujours dit qu’avec une amie on ne s’imagine pas la déshabiller, glissait ses mains sur son corps et plus encore.. Il fallait qui révise sa définition d’amitié ! Bon ok ils étaient amis s’était enregistré ! Mais des amis qui pouvait dormir ensemble ! Car personne ne résiste bien longtemps au charme irrésistible de Mr Slayers. Miss Amis était déjà partit, William prit le soin de nettoyer la planche avec un sortilège, ça l’entraînait et sa éviter au futur déprimés qui arriveraient à la violière, de se poser des questions ! Surtout si c’est une fille, car les filles n’ont pas à penser ! Il regarda une dernière fois les hiboux s’agitaient dans la tour, puis descendit en direction du parc, lieu de glandage favoris pour le vert et argent !

**************************** FIN DU RP************************

» LE YIN ET LE YANG (LIBRE)
» Retour aux sources (suite)
» Suite de la capture
» Suite [PV JUJU]