Nom : Orlov Mascarade Prénom : Vitaly Poids : Soixante huits kilos, de muscles purs et de crocs. Taille : Un mètre quatre vingt six, une taille qui fait peur, avec les épaules qui vont avec et tout !
Yeux : Le gris métallique des yeux de Vitaly rappelle vaguement les yeux d'un loup, et la lueur sauvage qui y règne laisse à penser que cet homme est bien un loup. Mélange sauvage d'excitation et de sournoiserie, on y décèle malgré une touche de maturité et de calme, qui laisse donc penser que l'on ne craint rien de l'aniaml sauvage qui dort dans l'homme.
Cheveux : Les cheveux de l'Ukrainien sont d'un noir de jais, rappelant la fourrure du loup de son blanson, mais aussi les cheveux de son père qui lui même fut un Loup garou, enrengistré par le ministère.
Date de naissance : O6/06/1957, un chiffre maudit, non ? Ca lui fait donc 26 ans.
Sang: Vitaly est bien entendu un sang pur, et l'un des plus pur, enfin, si on peut dire ça ainsi ! Sa mère est une Vélane, son père était un Loup Garou. Deux créatures magiques ne peuvent qu'engendrer une personne magique, non ?
Etat civil : Veuf, sa femme, Soleil de Mascarade, est décédée il y a trois ans. Adresse : Il habite dans un quartier bas de Londres, mais il va souvent chez sa mère, Rachel, qui est " équipée " pour ses crises de lune, ayant eut un mari du même type que son fils. Parfois, il dort dans sa boutique, aussi...
Métier : Il tient une petite épicerie, un magasin tout à fait simple. C'est en faite une cache Mangemort, un entrepôt d'artifice magique dans l'Allée des embrumes. C'est aussi une source de revenue considérable pour l'Organisation qui peut financer plus de projets avec. Vitaly s'en occupe depuis la prise d'Azkaban, où il fut emprisonné jusque là.
Facultés spéciales répertoriées : Aucune officielement. Officieusement, loup garou, mais ça, on ne le sait pas.
B A G U E T T E
Bois et composition : La baguette de Vitaly est en faite celle de Soleil, la sienne ayant été confisquer par le Ministère lors de son arrestation, laquelle il n'a pas pu récupérer d'ailleurs, mais elle n'en reste pas moins puissante. Elle est en bois de Saule Pleureur d'Ukraine. Elle renferme un cheveu de Vélane que Vitaly a fait remplacer par un cheveu brun de sa femme. Elle est destinée à revenir à Jake Orlov lorsque celui-ci aura onze ans, comme l'aurait voulut Soleil. Son ancienne baguette avait té faîte en Ukraine par Monsieur Zaccahriel Da Diego, et était faîte en bois de saule noire, refermait un crin de licorne et mesurait vingt six centimètre. Vitaly était moins habile avec celle-ci qu'avec celle de Soleil. Longueur : Elle mesure vingt huit centimètre cinq.
F A M I L L E
Famille liée :
Père : Yuri Orlov, décédé depuis plus de dix ans, c'était un ancien espion Mangemort infiltré chez les Aurors. Il fut excécuté quand Vitaly avait seize ans. Il était un Lycanthrope de par son père qui l'était lui aussi par son sang. C'était un homme chaleureux et bon avec sa famille, dur et cruel avec les autres. Versatile comme tous, il fut de l'institut Durmstang et en sortit brillant. C'est un père aimant, si bien qu'il eut subit avant sa mort plusieurs tortures pour sa savoir s'il avait eut une progénitue : un lycanthrope 'a pas le droit, théoriquement, d'avoir des enfants, par le risque de l'héridité. Yuri n'a pas marqué l'esprit de Vitaly autrement que par son courage et son habilité, ainsi que sa puissance. Il a toujours su se maîtriser, même si ses colères étaient noires, il n'a jamais frapper femme ou enfant. Il s'enfermait seul et jeter la clef au loin.
Mère : Rachel Orlov, née Steel, est une femme charmante malgré ses quarante six ans. Vélane de par sa mère, elle n'appartient pourtant pas à la lignée des Mascarade, et est dnc tout à fait indifférente à ce qui se passe à l'intérieur même de leur famille. C'est elle qui garda Jake sous l'ordre de Javis quand Vitaly fut emprisonnait pour le meurtre de plusieurs Aurors et sorciers divers. C'est elle qui l'éduqua pendant deux ans, sans que le petit garçon ne sache qui était sa mère et son père. Elle a retrouvait le sourire il y a peu, à la prise d'Azkaban par les Mangemorts, et ainsi donc de la liberté de son fils. Elle reconnaît en lui les même traits que son père : la colère, la hargne, mais aussi la bravoure et l'ambition. Elle eut fait ses études à Salem, étant plus jeune. C'est une mangemort " à la retraite ".
Femme : Soleil de Mascarade était la femme de Vitaly Orlov jusqu'à sa mort, il y a trois ans, tombant avec la mère et la soeur White. C'était une femme resplendissante, aux boucles fines d'encre, aux yeux pétillants de vie et d'espiéglerie. Jake lui ressemble énormément, et possède même ses yeux. C'était une créature charmante, étant vélane, et ayant un sens de la répartie peu commune. Elle a toujours était fidèle et généreuse envers sa famille, et était profondément amoureuse de son mari. Elle est enterrée près des siens, entre l'allée Steel et White. Sa baguette est revenue à Vitaly, et plus tard sera à Jake.
Fils : Jake Orlov, 3 ans et demi, est un petit bout de loup tout à fait surprenant. Surdoué, il ne montre pour l'instant aucun signe de l'héréditer, et Vitaly espère que ce fardeau ne sera pas le sien. Il est destiné à aller à Durmstang. C'est un enfant touché, le parfait modèle de la famille, un vrai Serpentard qui aime son père plus que tout au monde.
Liens divers : Pour bien plus de facilité, et pour moins de lecture directe sur cette fiche : [x] Non, non, pas de faignantise, mais de la bonté d'âme pour vous, lecture, qui ne voulez sûrement pas lire les 23 personnages auxquels Vitaly est affilié. ^^
I N F O R M A T I O N S P E R S O N N E L L E S
Physique général : Grand, ça on l'aura comprit. En effet, Vitaly a déjà dépasser le mètre quatre vingt , ce qui le rend massif. On le compare souvent à une armoire à glasse, or, Vitaly n'en n'a rien. Au contraire, mince, élancée, c'est un corps souple et finement élancée que l'on découvre sous les couches de vêtement qu'il porte habituelement. Son visage lui donne un air malicieu, son sourire pincé, son nez aquilin, ses pomettes légèrement creusées. Son teint pâle contraste avec ses yeux d'un gris électrique. Le gris métallique rappelle vaguement les yeux d'un loup, et la lueur sauvage qui y règne laisse à penser que cet homme est bien un loup. Mélange sauvage d'excitation et de sournoiserie, on y décèle malgré une touche de maturité et de calme, qui laisse donc penser que l'on ne craint rien de l'animal sauvage qui dort dans l'homme.
Les cheveux de l'Ukrainien sont d'un noir de jais, lisse et impécable, rappelant la fourrure du loup de son blanson, mais aussi les cheveux de son père qui lui même fut un Loup garou, mais lui était enrengistré par le ministère. Il possède une stature puissante, résistante, et surtout des sens plus développés que la normale. Son ouie, sa vue, son odorat, son toucher et son goût dépasse de loin les simples sens de l'humain, mais ses mimiques sont elles aussi plus accentuées. C'est un loup, son corps est donc fait d'un squelette aux os plus solides, à la machoire plus développé, ce qui ne déforme bien évidement par son corps " humain " mais qui s'adapte parfaitement aux nuits de pleines lunes. Sa forme de " lycanthrope " est un gros e grand loup, mesurant bien dans les deux mètres au garot, et peut être trois mètres six du bout du museau au bout de la queue. Son pelage est d'un noir de jais, et ses yeux ne changent pas. Il est alors plus inquiétant.
Qualités : C'est un grand modeste, il ne réponds jamais présent aux éloges que l'on fait de lui, si bien que lros de son année d'Aspics, il refusa de croire que les notes données étaient les siennes. Il ne représente pas l'arrogance dont était capable son père, il prefère sourire timidement et répondre d'une voix amusée. Amusée, oui, car notre petit Loup Garou est un grand joueur. Il fait sans cesse des paris inutiles qui lui ont bien souvent coutait une cicatrice ou une plaie. Il est loyal en amitié comme en amour, si bien que depuis trois ans il n'a jamais pensé à remplacer sa femme. Son fils est pour lui toute sa vie, il le protègerait contre sa propre vie, ce qui prouve bien sa volonté de l'avoir et son amour pour Soleil.
Le louloup est aussi un grand fidel, et il l'est plus particulièrement à Javis qu'il suit depuis qu'il a 11 ans. Javis est son ami de toujours, ce frère qu'il n'a jamais eut et auquel il a promit une chose essentielle qu'il tiendra le moment venu. Il n'a jamais trahie une seule de ces paroles, si bien que souvent il a du faire des choses qu'il n'avait pas envie de faire, pour le " bien des mangemorts ", société à laquel il tient comme à sa deuxième famille. Il est courageux et fougueux, ce qui lui donne cet air de rebel de toujours, à la crainière dans le vent et aux dents blanches... D'ailleurs, elles le sont.
Passions : Sa seule passion est son fils pour qui vit depuis trois ans. C'est son unique attache à la vie avec son serment. Il choille ce petit bout de loup qui un jour deviendra grand, et tout comme son père, il l'espère, deviendra quelqu'un, qu'il soit mangemort ou professeur, Vitaly l'encouragera. Une autre de ces passions est le sang, et même si son besoin naturel n'est pas le même que celui des vampires, on le trouve souvent frustré de ne pouvoir en laper quelques gouttes lors des nuits des pleines lunes.
Défauts : Vitaly est un loup, un chien, il ne voit que par son instinct grégaire et bestiale. C'est un rustre, violent et colérique, il ne se maîtrise pas tout à fait. Il se lève et gueule fort, parfois même pourrait attaquer, mais tout le monde sait que le chien qui aboie ne mord pas souvent... Mais méfiez vous, il n'en reste pas moins quelqu'un de dangeureux. Il reste convaincut que chaque être est habiter par un côte animal, et que le sien est pls développé, ce qui explique facilement ses impulsions, son goût prononcer pour la viande, et son refus abjecte pour les colliers... Non, pas ceux des chiens, mais un simple collier lui fait dresser les cheveux sur la tête. Il haït se sentir opresser ou regarder, et bien souvent l'on baisse le regard devant le grand homme. Il est souvent médisant et trop prudent, c'est une personne qui n'est pas téméraire, bien que courageuse. Il reste méfiant devant chaque main, et bizarrement, parle souvent comme un rustre aux étrangers. Il ne fait confiance qu'à très peu de personne. C'est un livre fermé à tous. il est taciturne et discret, très renfermé. Peu sont les personnes a avoir su savoir ce qu'il pensait.
C'est un imprévisible, et il surprend, même après des années passaient à ces côtés. Il est incontrolable, et c'est ce qui le rend dangereux. Loup garou, il possède un caractère de chien. Versatile, il change de direction comme il change de chemise et d'humeur. C'est un grand baratineur, et ment plus souvent qu'il ne change d'humeur ! Sa vie n'est qu'un grand mensonge, mais s'il ment, c'est pour le bien de ce qu'il chérit le plus au monde... Il se ment à lui même, pour oublier la douleur, et tout ce qui s'en rapproche. Il a longtemps été affecter par ce que l'on faisait de lui, et ce que l'on disait de lui, si bien qu'au fil des années, il a su comment rendre l'appareil aux gens, et ceci est devenu son plus grand défaut : c'est un tueur né. Il avait ça dans le sang depuis le début, et le jour où il s'est rendu compte de sa force, ce jour-là, il est devenu ce qu'il est aujourd'hui, un loup cruel et sadique. Il est le mal incarné, on le compare à Fenrir, ce dieu loup qui de sa gueule croqua Odin et l'assassina, avant que le Dieu ne renaisse et le punisse, lui qui dévorait les enfants et les envoyait à sa soeur. Malgré ce côté, Vitaly sait se montrait calme, mais ainsi, on le voit souvent comme froid et distant. Son silence a quelque chose de malsaint, comme ses yeux.
Peurs, phobies et autres : La peur, voir même la phobie, de Vitaly est de perdre son enfant. Il en a souvent été un sujet de conservation avec Soleil, de son vivant, et avec Rachel. Il se trouve absolument abominable, et a une sorte d'angoisse qu'un jour, ses crises coutent la vie à son fils. Jake est pour lui sa seule raison de vivre avec le serment fait à Javis, bien que Jake passe avant Ava. Si un jour quelque chose arriver à Jake, ça serait la fin de Vitaly Orlov. Il en a souvent cauchemarder, et ça le reprendrait presque certaines nuits. Il haït que l'on le prenne de haut, ou de trop bas, il n'aime pas la pitié que l'on a pour lui quand l'on apprend la mort de Soleil, il haït que l'on touche à son fils, à Ava ou encore à Javis. C'est une personne qui haït bien des personnes, voir trop.
N O T E S S C O L A I R E S
B U S E S
Astronomie : Effort exceptionnel Arithmancie : Effort exceptionnel Botanique : Effort exceptionnel Défense contre les Forces du Mal : Optimal Histoire de la magie : Piètre Métamorphose : Optimal Potions : Optimal Soins aux Créatures Magiques : Effort exceptionnel Sortilèges : Optimal
A S P I C s
Astronomie : Non reçut car Piètre. Arithmancie : Acceptable Botanique : Acceptable Défense contre les Forces du Mal : Effort exceptionnel Histoire de la magie : Non reçut car Piètre. Métamorphose : Optimal Potions : Optimal Soins aux Créatures Magiques : Acceptable Sortilèges : Optimal
- La Biographie dans un prochain épisode -
Citation :
Question subsidiaire : Comment avez-vous découvert ce forum ? Héhé...
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Invité Invité
Sujet: Re: Vitaly Orlov - Finish - Mer 3 Oct 2007 - 16:36
E N F A N C E
Six juin 1957, Ukraine.
Ses vêtements se changent en poils, ses bras en jambes...
Les pluies torentielles baignaient le pays dans un chaos sans égal, le vent rugissait et le ciel criait à la mort. C'est sous ce ciel décharné, prenant les couleurs les plus vives comme les plus mornes, que Yuri Orlov avait pris vie. Il était né ici, il avait vécut ici, et avait fait tout ce dont était capable un magicien. Après Durmstang, il était partit aux Etats Unis dans l'espoir d'y trouver un métier, mais partout où il allait, personne n'eut jamais comprit sa différence. Son visage était marqué par les échecs de sa vie, une peau trop pâle pour être humaine, ressemblant de loin comme de près à celle d'un cadavre, bouffer par les rides malgré son très jeune âge. Il était parmis tous les êtres sur terre l'un des plus exceptionnel, car il était l'un de ces chasseurs nocturnes qui se transforment en bête pour mieux apprécier leur dîner. Sa femme était une belle femme, la chevelure noir de jais et les yeux bleux comme jamais un ciel d'été n'avait eut. Son sourire était l'un des réconfort dans lequel l'homme aimait se morfondre, et son épaule avait éssuyé plus d'un sanglot. C'était par une nuit pareille qu'elle l'avait rencontrait, à l'orée d'une forêt dans son pays natal, ses terres riches et avides d'eau, et c'est par une nuit pareille qu'elle mettrait au monde l'objet unique de leur amour : un enfant.
Le manoir était secoué de toutes parts par les bourrasques gigantesques du vent qui s'infiltrait partout, et glacer par la même occasion les os du voyageurs. Elle hurle de douleur sous les contractions, l'enfant né, il arrive, et sous les mains expertes des elfes servants, il sort du fruit du pêché d'un amour qui se voudrait éternel. Un cri perce le silence de mort, et par dessus les rugissements violents du vent, on entend l'hurlement aigu et enfantin de l'enfant. Recouvert de sang, enrobé dans un châle blanc, il est donné à son père. Il le regarde, ces yeux bleux gris que tous les enfants ont à la naissance s'ouvre grand comme des billes, et déjà dans la prunelle discrète du nourisson on lit facilement cette lueur qui se retrouvera plus tard, dans les yeux d'un prédateur...
Six juin 1963, Ukraine.
...devenu un loup il conserve encore des vestiges de son ancienne forme...
Le ciel de l'Ukraine était dégagé, et dans un petit jardin derrière le manoir, un enfant jouait tranquilement avec une branche. Il s'imaginait roi, puis chevalier, fier combatant, lutteur, peintre ou artisan, magicien d'état ou encore méchant. Il était devenu vif et agile, son regard était clair, d'un bleu électrique comme celui de sa mère, alors que sa figure rappelait sans cesse à la carrure de son père jeune, quand il n'était pas encore marqué par les années de labeur et d'horreur. Il avait une intelligence peu commune, et une maturité exceptionnelle. Il comprenait que son père était malade, mais ne savait pas exactement pourquoi. Il comprenait qu'il ne pouvait pas sortir dehors, car il était " exeptionnel ", et qu'une personne si exeptionnelle ne peut pas gâcher son temps en dehors du manoir et de son jardin. Il était le fruit de toutes les jalousies, les elfes le considérait comme un fléau, lui qui n'avait ni pitié ni gentilesse. Son sourire était un mélange de sadisme et de malice, il était malin comme le diable, et se défender aussi bien qu'un innoncent. Ce jour-là, Rachel Orlov était occuper à préparer une réception en l'honneur des six ans de son fils unique, et Yuri n'était pas là pour assister, il était encore " malade ".
- Ô Monsieur Snow ! Que me vaut votre visite ?
La voix de sa mère raisonna, et le petit garçon réagit aussitôt. Il posa sagement la branche sur le sol et courut rejoindre celle qui le mit au monde. Il était heureux, on racontait qu'aujourd'hui, il aurait une " grande surprise "... Il regarda ce grand monsieur ici présent, il le connaissait bien. Les deux adultes ne l'avaient pas vu, mais le garçonnet restait sage et ne parlait pas, il essayait d'entendre ce que racontait les grandes personnes pour mieux retourner ces paroles contre eux, pour mieux comprendre, pour savoir, car il était curieux comme un louveteau, disait son père.
- Madame Orlov, veuillez excuser mon érruption si soudaine, mais vous savez, pour les analyses, nous les avons finis aujourd'hui même. - Rien de bien facheux j'espère ? - He... Je devrais dire que c'est plutôt très fâcheux.
Rachel sembla paralysé, et Vitaly ne comprit pas. Il resta en retrait, regardant la scène, effaré. Pourquoi sa maman était dans un tel état ? Aujourd'hui, c'était son aniversaire à lui, son sixième anniversaire, un jour pourtant béni ? Le docteur Snow se rapprocha de la mère, posant sa main sur l'épaule de la femme assise. Son regard était presque compatissant, doux et chaleureux. Vitaly ne comprenait pas, pourquoi ?
- Votre fils est comme, son père, madame Orlov. Les recherches ont été longtemps repoussé, mais la nouvelle est bien là, il a le même nombre de chromosome, les mêmes, le même ADN... C'est malheureusement la vérité. Un humain normal possède normalement quarante six chromosomes, un lycanthrope en possède autant mais aucun n'est identique à l'autre. Il ressemble d'autant plus au code génétique du loup. Il en va de même pour le sang de Vitaly et de Yuri. Même si ça ne s'est pas encore déclenché, je pense qu'il serait préférable d'annuler la réception de la repousser pour cause médicale. Qui sait si cette nuit sera normale ? - Comment c'est arrivé... J'avais pourtant... Vous m'aviez juré ! - Juré que je chercherais, je ne pouvais pas dire que c'était hériditaire, Rachel ! Les moldus pense à une rage lupine, une folie louvière, mais je suis sûr qu'il en est bien plus loin, bien plus profond que ces insultes aux lycans. Votre fils en est, enfermé le, Rachel, et n'ouvrait jamais la porte, jamais.
Le grand homme se tourna et partit, laissant alors la pauvre mère affalait sur les carrelage, ayant glissée de sa chaise, pleurant toutes les larmes de son corps. Ainsi se résumait sa vie ? A vivre avec deux loups ? Vitaly, attristé de voir sa mère dans un tel état, quitta sa cachette et se posa à genoux devant elle. Elle le repoussa violement, le corps du garçon frappant le vaisselier. Elle se leva et partit en courant, laissant seul le petit garçon. Vitaly n'eut pas comprit. Il resta là, il regarda ses mains, il regarde le sol. Il pleurait, les larmes roulaient sur ses joues... Il était malade, lui aussi ? La porte s'ouvritbrutalement, un grand homme se montra dans l'encadrement. Son père. Il poussa la chaise qui le gênait et prit son enfant dans les bras, le serrant contre lui, pleurant à son tour.
- Je suis désolé Vitaly ! Je suis désolé ! C'est de ma faute ! Ma faute !
Il parlait, il balbutia des excuses, mais Vitaly ne comprenait pas, non, il était trop petit pour comprendre ce qu'il était... Lui qui s'était imaginer un loup, comme son blason, pouvait il penser une seule fois que les fois où il s'était cru loup, il l'avait vraiment été ? Les fois où les chiens couinaient de soumission en le voyant ? Les fois où les chats s'hérissaient quand il passait ? Pouvait il une seule seconde imaginer que les créatures qu'il imaginait, ces grands êtres recouvert de poil et aux crocs aiguisés, ceux dont il avait peur, pouvait il se croire de leur race.
- Papa... Je suis un monstre ?
Sept juillet 1964, Saint Mangouste.
Il a toujours le même poil gris, le même air farouche, les mêmes yeux ardents...
Le bureau du Docteur Snow avait toujours été, dans la mémoire du jeune Vitaly, blanc et bleu. Les couleurs de l'ancienne maison du Docteur apparaissait aussi,un grand blason avec un aigle était accroché à l'entrée, juste au dessus de son bureau marchant tout seul. C'était un ancien de l'ancienne, un homme fort vieux et très sage, environnant bientôt les cent ans. Il souriait, mais ne portait plus qu'un appareil dentaire. Vitaly Orlov était l'un de ses patients préférés, il aurait tant aimer aider ce jeune garçon à la demande de Rachel, mais rien ne semblait faire effet. Le Tue-Loup ne donnait rien sur l'hérédité lycanthrope, juste sur les lycanthropies acquises, et à l'inverse, le Tue-Loup rendait la transformation plus douloureuse et donnait une plus grande rage à la bête une fois la transformation finie. Il était tôt, l'aube avait à peine débuté qu'on sortait Orlov d'une des salles spécialement emmenagé pour ses " crises louvières ". On le traînait de force, ses bras attachaient dans une camisole de force, sa vision cachait par un foulard noir. Seuls ses cris persistaient, malgré le bout de tissu mit dans sa bouche. On le maintenait ainsi pendant quelques secondes, jusqu'à qu'il se calme, sentant la chaleur du soleil sur sa peau. Londres était une belle ville, Saint Mangouste un bel hopital. Une fois calmé, on l'emmenait alors dans le bureau blanc du Docteur Snow, et on le posait sur une chaise, tout fatigué. Le docteur était déjà dans le bureau quand on l'ammena. Il ne bougea pas et leva ses lunettes, pour mieux voir sous le rayon du matin le brun, les yeux entourés de cerne en vue de ses trois dernières nuits.
- Les crises empires de lune en lune. - C'est votre Tue Loup qui me brûle les veines, docteur, ça me fait tellement mal que j'essaye de me ronger les poignets pour que ce produit en parte... - Le Tue Loup est là pour calmer ta douleur, mais je ne pense pas que cela fasse effet. Nous essayrons autre chose la lune prochaine. - Je ne veux pas... Je suis pas un cobaye qu'on maltraite, j'ai pas envie d'être guérit, vous comprenez ? Si je suis comme ça, enfermez moi dans une cage, mais arrêtez...
L'enfant à peine âgé de sept ans sentait ses joues se mouillaient peu à peu. Il avait tellement mal, à l'intérieur, sa respiration lui brûlait les poumons, et chaque bouffé d'air était comme un poison qui lui piquait le coeur. Un couteau dans sa peau n'aurait pas fait tant de mal. Il était ainsi depuis qu'il était petit, mais à cause de leur expérience, il connaissait maintenant la douleur. Il était lycanthrope, alors on le rejeté, mais car s amère ne l'acceptait pas, alors on devait le guérir, même s'il ne le voulait pas. Avait elle seulement penser à ce que ressenter son propre fils quand on lui injectait ce liquide dans les veines ? Quand le Tue Loup venait bouffer son intérieur, le brûlait de l'intérieur. C'était bien plus pire qu'un Endoloris.
- Vitaly, tu sais que ta mère s'inquiète, elle voudrait que tu sois... - Normal. Coupa t-il, tournant la tête comme pour se cachait. Mais je le suis pas. Elle prefère voir Papa et moi souffrirent que d'admettre qu'on est pas comme les autres, qu'on se transforme en monstre, car c'est bien ça que je suis, einh ? Un monstre avec des griffes et des crocs... - Ne dit pas n'importe quoi, ta mère s'inquiète pour toi, jamais elle ne penserait à te faire du mal. - Mais c'est ce qu'elle fait à pas venir me voir, et à me laisser ici. J'ai pas envie d'être guérit, moi, j'ai trop mal, j'suis pas un cobaye, je veux partir, moi... - Le traitement suivant sera mieux, tu verras, ça fera moins mal. - C'est ce que vous avez dit, mais à chaque fois, ça me brûle plus encore.
Deux infermiers vinrent dans les couloirs et levèrent le corps rachétique de l'héritier Orlov. Il était destiné à encore souffrir.. Quelques temps...
Vingt quatre décembre 1964, Saint Mangouste.
...il est toujours l’image de la férocité.
L'enfant restait en fond de la salle blanche, seul. C'était noël ce soir, et il se haïssait d'être comme il était. Le téléphone sonna dans le couloir, mais personne n'était ci pour répondre, tout le monde était avec sa famille, sa chère et si tendre famille, celle qui l'aimait pour ce qu'il était. Dans l'obscurité où il voyait parfaitement, il se rapprocha du bureau. Ce soir n'était pas soir de pleine lune, mais sa mère n'avait pas voulu le voir, car c'était un dîner de famille... Avec les Vanna Syl, les White, les Apology et tous ces gens importants de la famille. Orlov et Mascarade avaient toujours été proche. Dans le noir, il décrocha, et une voix qui li était à peine familière répondit :
- Allo ? - Allo, c'est Vitaly, vous êtes bien à l'hôpital Saint Mangouste. - Vitaly ! Devine qui c'est ? - Maman ? - Ouiii ! Comment vas tu mon chéri ?
La voix était à peine hypocrite, pourtant, derrière le combiné, le petit loup était heureux. Même si sa mère le haïssait pour ce qu'il était, il était heureux de voir que quelqu'un pensait à lui, même si elle ne pensait à lui que pour que son père reste avec elle. Rachel était fragile, même si elle était une Mangemort, fragile... C'était bien le mot. Il aurait fallut voir sa réaction quand le Docteur Snow lui avait apprit pour les remèdes qui ne marchaient pas. Elle était tombée dans les pommes.
- Bien maman, bien. - Tu t'amuses bien ? - Oui, c'est noël. - Tu devrais recevoir tes cadeaux par hibou dès demain ! Tu pourras normalement revenir à la maison dès que le traitement aura pris effet, en février, mon ange ! On a installait tout une cage au sous sol pour tes crises, ça se passera bien, tu verras ! Mais je dois te laisser, on a des personnes à la maison, allez, je t'embrasse fort mon petit loup ! Biiiiiiiipp... Votre correspondant n'est plus en ligne, veuillez raccrocher.
Une cage ? A la maison ? Ca sonnait pour Vitaly comme une heure de gloire, mais aussi de détresse... Le traitement, il n'en voulait pas, ça lui donnait des plaques rouges qui saignaient, et qui le brûlaient, et lors de ses crises, il grattait et mordait tellement que ça devenait des plaies purulantes. Que dirait maman si elle voyait sa peau blanche devenu sale et rouge ? Ses yeux sentirent perlaient des larmes, il n'était pas propre à avoir une mère aussi gentille, non... Il se haïssait pour mieux l'aimer, lui donner cette amour qu'elle lui refusait.
Dernière édition par le Mer 3 Oct 2007 - 19:28, édité 1 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Vitaly Orlov - Finish - Mer 3 Oct 2007 - 16:36
Six juin 1966, Ukraine.
Ovide, les Métamorphoses.
L'Ukraine, le pays de la beauté, de la nature, des créatures slaves et scandinaves, un mélange parfait. Le vent soufflait, malgré ça, il faisait un temps lourd. Le vent était chaud comme l'air. Dans le manoir, on mangeait silencieusement. Le paysage était parfait. Papa mangeait en bout de table, bien habillé, bien coiffé, un visage plus détendu. Maman mangeait de l'autre côté, le visage pomponnait, le sourire large. Et au milieu, Vitaly mangeait tranquilement. Il aimait ce steack saignant et fumant qu'il partageait avec son père, alors que sa mère préférait la salade pour maintenir sa jeunesse. Les choses avaient changées depuis Noël. Maman aimait Vitaly, et Papa s'en occupait, lui apprenait à se maîtriser, et fulminait en silence et à ne plus se mordre. Ils passaient leurs nuits bestiales ensemble, dans la cage du sous sol, et leurs cris ne parvenaient pas aux oreilles de Maman, car ils n'hurlaient pas. Ils se maîtrisaient, ensemble, comme un Papa et son enfant. Vitaly venait d'avoir neuf ans, quand un grand gâteau fut amené par Silence et Perfection, les deux elfes de maison. Ils le posèrent sur la table, juste devant l'enfant aux grands yeux, émerveillés. Un gâteau, rien que pour lui ! Il plongea sa main dedans, s'attendant comme ses premières années à un cadeau à l'intérieur, mais n'en ressortit qu'une lettre abîmée par la pluie, dont l'écriture ne signifiait plus rien. Il tourna un regard étonné vers son père qui souriait tout le temps, et lui fit signe de l'ouvrir.
Le sceau était un château et un P, une chose exclusive, il ne l'avait jamais vu. La lettre n'avait pas été abîmer, au grand soulagement de l'enfant. Une écriture fine, il eut à peine le temps de la lire que ses yeux se remplirent d'une couche opaque et cristaline : un sanglot roula sur sa joue. Jamais il n'avait espéré celà. On l'acceptait enfin, lui, l'enfant qui se nourissait de sang et de chair, qui hurlait et qui se transformait en loup, et en loup plus gros lors des nuits de pleine lune. Il n'aurait jamais tant espéré. Il jeta la lettre sur la table et se jeta dans les bras deson père, renversant la chaise, et comme un instant ressurgissant, il léchant le nez de Yuri Orlov, comme ferait un loup heureux, lui qui lèche le museau parun bonheur absolu. Jamais il n'aurait pensé aller à Poudlard, lui, le rejeton à la fourrure de jais, par un quelconque accord avec la directrice ou le directeur...
Trois juin 1967, Chemin de Traverse.
Le Chemin de Traverse était sous la grande cohue, et le petit loup ne disait rien. Il n'avait pas encore onze ans, mais ça n'aurait su tarder, pourtant il était tout émoustillé à l'annonce de la grande nouvelle. Vitaly suivait de près son père à travers les gens, esquivant leurs hanches et leurs bras balants, lui qui n'avait pas encore dépassait le mètre trente. Trop petit pour son âge, on le disait nain, mais tout le monde remarquait encore dans ses yeux une lueur qui leur était familière : celle des Orlov. Dans deux jours, il aurait onze ans, et dans un petit mois et demi, il intégrerait Poudlard. Quel fabuleux destin auquel il était destiné... Mangemort, comme son père et sa mère.
- Vitaly, tu viens, on va chercher ton familier. - Oui 'Pa !
Un regard de travers dans la rue, le père de Vitaly était reconnu de tous lui qui avait fait quelques temps à Azkaban, lui qui avait été montrer du doigt car il était atteint de cette maladie, de ce fardeau, de ce don ? On arriva rapidement devant l'animalerie d'où sortait de multiples cris. Mais Yuri savait bien ce qui allait arriver. Poussant la porte, un lourd silence ce fit dans la boutique. Aucun animal ne bougeait. Les chiens couinaient, les chats s'hérissaient, les hiboux rentraient leurs grosses têtes rondes dans leurs plumages. Yuri s'avança jusqu'au comptoir où le vieux marchand le regarder avec dédain.
- Que me vaut ta visite, Yuri ? - Un animal, bien sûr. Pour mon fils.
Un coup d'oeil du marchand sur le garçonnet, il se retourne et sors d'un coin poussiéreux une petite cage cadenacé. Il la pose sur le comptoir et regarde Yuri, le visage de marbre, sans aucune expression.
- Ca fera cinquante gallions. - Dix, dix ou rien. - Trente. - J'ai dis dix. - Dix alors. Il murmura. Mangemort.
Une bourse fut posée sur le comptoir et on se retourna. Yuri regarda son fils, sa chair, son sang, lui qui était l'unique objet de la vengeance perfide et violente que préparait l'homme pour le monde entier. Le petit Orlov avançait, et s'il avait eut une queue, elle aurait remuée tellement il était heureux de se promenait avec son père...
- Fin de l'Enfance. Attaque des Années Scolaires. Bip -
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Sujet: Re: Vitaly Orlov - Finish - Mer 3 Oct 2007 - 19:27
I N __ S C H O O L
Premier septembre 1968, Gare puis Poudlard.
Le quai de la gare semblait bien loin à Vitaly qui se perdait à comtempler les gens passaient. Où était passer son père et sa mère ? Ils étaient pas si loin que ça, à discuter avec un grand homme. C'était qui ? Un monsieur, comme un autre. Un autre garçon attend sur le quai, seul. Si faut, c'est son père qui discute avec celui de Vitaly. Le petit loup ne dit rien, il est calme, mais tendu. Il est différente des autres, et son père lui a dit de ne jamais rien dire à personne de cette différence. C'est un secret. Yuri revient vers son fils, alors encore tendu, et lui tend une enveloppe. Il ne doit la lire qu'à l'intérieur du train qui siffle. Le garçon de gauche entre, le petit loup aussi. Il s'assoit enface de lui, les yeux bleux électriques percent ceux du brun d'en face.
- Salut. Moi c'est Javis, et toi ?
Pas de réponse. Le petit loup ne sait pas, mais ce gars là, il le sent comme un ami. Un sourire sadique s'arrange sur les lèvres de Vitaly, montrant ces belles dents. Sa main recouverte de plaie est tendue vers ledit Javis, et d'une voix monorcorde, il annonce :
- Vitaly Orlov.
Ils parlent de tout et de rien, de leur pays, de leurs familles, pas de leurs métiers, mais de leurs maisons rêver. Javis suppose Serpentard, mais Vitaly n'en sait rien. Son père était à Durmstang, sa mère à Salem. Il doit être le premier Orlov à venir à Poudlard. Javis lui explique alors chacunes des maisons, plus d'éloges pour la maison du serpent. Vitaly en conclut qu'il sera lui aussi du blason vert et argent, pour son caractère impulsif, et son fond. Après quelques heures, le train arrive à destination. Le paysage est pâle, peu agressif, rien de bien beau ce qui fait regretter à l'enfant son pays natal. Accompagné de Javis, les deux copains de train s'avance jusqu'à la grande salle. Le banquet est en suspent. Le premier à passer est Orlov, plus haut dans l'alphabet que son ami. Il s'avance, pose le choixpeau sur sa tête, n'ayant plus peur des " monstres " de la vie. La voix rauque et vieillie résonne.
- Turbulent, violent, intelligent, vif d'esprit, loyal. Que dire de plus que Serpentard !
Personne n'applaudit, car tout le monde sait pour son père, pour ses origines. Il descend les marches et s'assoit à la table des siens. Plus tard, Javis le rejoindra, lui aussi à Serpentard. Et voilà deux amis lançaient dans une longue aventure... De sept ans et plus, si affinité.
Treize décembre 1968, Poudlard.
- Tes parents viennent te chercher, toi ? - Je vais rester ici, mes parents veulent pas de moi.
La voix est quelque peu amusée, pourtant rien de bien gai. Vitaly s'amuse a jongler dansle dortoir des Serpentards. Ici, tout le monde le connaît. Non pas pour ses disparitions soudaine lors des pleines lunes, ni pour ses dons en métamorphose et en sortilèges, non, juste car il est sûrement l'un des enfants les plus turbulents que l'école n'eut jamais connu. Première semaine de cours, plus de trois colles collectaient. Un fardeau ce gamin. Javis suivait, il faisait des conneries ensemble, et ils mentaient ensemble, ce qui leur valait de rester bien trop longtemps assis après les cours. Ils ne se lâchaient plus depuis la rentrée, c'était comme ça. Ils s'appréciaient mutuelement.
- On fait quoi ? - On raquette les Pouffy ? - La dernière fois, on s'est fait chopé. - Et on a rien eut, non ? - Sept jours de colle, sans oublier les 100 points en moins. - Hmm... Les griffy ? - Ca marche.
Toute leur première année se passa ansi, jusqu'à la dernière seconde. Javis retrouva sa famille, le Louloup aussi. Certes, Vitaly était un enfant violent et colérique, qui gueulait énormément, même en cours, mais on n'eut très rarement l'occasion de voir un si bon sorcier en métamorphose. C'était peut être car Vitaly voulait être " exceptionnel " aux yeux de sa mère qu'il faisait autant d'effort dans les matières qu'elle aimait qu'il était si doué ?
Huit frévrier 1969, Poudlard.
Poudlard dormait à moitié. La nuit était tombée depuis quelques temps, mais deux silhouettes se promenaient encore sous les rayons bienfaisants de la Mère Lune. Presque pleine, celle-ci se montrait douce et affectueuse, traversant de ses bras d'argent l'épais feuillage des arbres. Une silhouette, plus fine que l'autre, courrait à travers la forêt. Elle n'hurlait pas, trop atteler à courrir et respirer. Du fin fond du bois, une deuxième silhouette, plus masculine, riait aux éclats. Puis, une troisième ombre, celle-ci plus bestiale, courrait après la plus fine. Sa gueule béante, baveuse, dont les bouffées d'air chaude donnait un air de démon, courrait à toute allure entre les troncs pour attraper sa proie. La deuxième des silhouettes se rapprocha alors du duo. La gamine était collé à un arbre, la langue du mosntre cherchant en vain la présence d'une fine goutelette de sang, il s'oblige à ne pas la mordre, or c'est tellement délicat, cette peau de pêche rose.
- Hey, tu aurais du nous écouter quand on t'avais dit de nous donner le mot de passe de la tour des Griffy... - C'est Milk ! C'est Milk !
Le loup grogne lourdement. La gamine éclate en sanglot. Le loup recule un peu, laissant ses lourdes pattes retombaient sur le sol. Un clignement d'oeil, le corps alors animal reprend une forme humaine. Les cheveux noir de jais parcourent le visage marquait de sueur. Un sourire sadique. Un petit rire émit, il plonge son regard à la lueur étrange dans les yeux noisettes de la jeune fille, tremblante comme une feuille. Ca sent soudain l'urine. Une grimace détestable, Vitaly se tourne vers son ami, pointant du doigt la Griffondor.
- J'hésite Javis... Je la mange pas. Elle s'est pissée dessus.
Elle fond, se laisse glisser le long de l'arbre. Les deux silhouettes se tournent, et laisse la Griffondor sur le sol, pleurant toutes les larmes de son corps. Ils se dirigent ensemble vers le château, hilare de la blague...
Dix huit mars 1970, Poudlard.
Un jeune homme tourne en rond dans la pièce, agacé. Colle ? Non, le bureau est plus studieux. D'un couloir plus étroit, un homme familier arrive. Docteur Snow. Une dizaine de papier dans les mains, il s'installe sur le bureau et s'assoit, ordonnant sévèrement à Vitaly de le faire aussi. Il tourne les pages nerveusement, sa main tremble de colère. Rachel a annonçait une mauvaise nouvelle, ô combien mauvaise, oui, c'est certains. Les dégradations de l'école, les plaintes, les hurlements la nuit, et les pleines lunes. Un jeune homme qui ne prend plus son traitement, et de surplus un joueur de quidditch vulgaire et violent comme on en voit souvent à Serpentard.
- Mais tu es fou ?! Hurle Snow. - Juste un peu, sur les bords. Réponds, amusé, Vitaly Orlov. - Tu as failli le tuer ! Peste le docteur. - Il ne mérite de vivre que pour baiser mes shoes. - Tu... Tu... - Je n'accepte aucune insulte à ma race. Au-cu-ne.
Le loup regarde le docteur, qui s'emporte. Il jette les papiers à travers la pièce, il se lève, fulmine, rugit, en deviendrait presque inquiétant, mais le loupiot ne bouge pas, reste d'un calme absolue et regarde dans le blanc des yeux celui qui se prenait pour un grand diplômé. Celui-ci s'arrête immidétiatement de gesticuler et reprend peu à peu son calme. Il s'assoit derrière le bureau, sa main tremblant alors de colère et de peur. Que pouvait il faire de plus ? L'empoissoner avec de l'argent en poudre ? Bêtises ! Vitaly passe sa main dans ses cheveux, relevant sa chevelure épaisse et noir de jais pour mieux planter ses saphirs dangereux dans les yeux gris de l'homme. Son père lui avait dit : soit toujours mauvais avec les autres pour mieux être bon avec toi même.
- Tu ne devrais pas sortir lors des pleines lunes, on ne sait quel malheur peut arriver. Imagine que tu attaques Javis ? - Ne riez pas avec ça, jamais je ne ferais ça... Et puis, je ne suis pas un de ces bâtards de contaminés, je suis un être presque parfait comme Lycanthrope. Je contrôle tout. Je suis tout. Un être exceptionnel, vous entendez ? Je suis par-fait. Je peux me métamorphoser n'importe quand, je peux mordre qui je veux sans que celle-ci ne soit contaminé. Je suis l'évolution du Lycanthrope, je suis le fils d'un dieu lycan, je suis tout et rien à la fois, une magnifiscience louvieux, vous comprenez ? Je suis Vitaly Orlov, le loup.
Snow regardait le jeune homme. Crise de folie ? De narcissisme ? A ce moment là, Vitaly affichait un sourire sadique, et une étrange lueur brillait dans ses yeux.
Treize avril 1971, Poudlard.
Une année de plus comme de moins, sauf que celle-ci était un peu mieux que les autres. Avec l'attaque d'une Pouffy, Vitaly avait du calmer ses ardeurs de Dieu Loup pour éviter d'en tuer une, et donc d'être exclu, et de perdre son meilleur ami : Javis Taylor. Malgré tout, ils continuaient ensemble leurs bêtises, oubliant alors d'utiliser la différence de Vitaly et de noyer n'importe qui dans les chiottes. C'était un jeu dangeureux, certes, et ô combien de fois avaient ils crus en perdre un ? Plus le temps avancé, plus l'égocentrisme de Vitaly grandissait. Non, il n'était pas prétencieux, mais n'aimait pas que l'on l'insulte, et par une quelconque phrase, il pouvait rentré dans une colère noir et violente.
Il cumula les bonnes notes. Il passa les épreuves pour les BUSES, et eut plutôt de bon résultat. Ses parents furent heureux... Avant le désastre.
Six mai 1972, Poudlard.
Sixième année. Vitaly et Javis flânaient à leurs devoirs, et s'entraîner sur le terrain de Quidditch. Une ombre noire, le directeur de Serpentard, arriva en courant en désastre sur le tapis vert que faisait l'herbe. Il agitait vivement les bras, comme si sa vie en comptait.Vitaly, qui était alors batteur, et Javis, lui aussi dans l'équipe, descendirent. Le professeur était blanc comme la mort, ce qui alerta furieusement Vitaly. Celui-ci recula, les yeux hagards.
- Monsieur Orlov ! Je.. Je.. Je suis désolé ! Tellement désolé ! Votre père est mort !
Il s'arrête, tous ses muscles se contractent. Qu'a t-il fait pour ça ? Qu'a t-il fait au bon dieu pour métier une telle punition ? C'était pour la sale Griffondor ? C'est ça ? Javis le regarde, choqué aussi, mais surtout attendant la réaction de son ami. Le professeur se rapprocha, essaye de poser sa main sur le corps tendu du loup, qui violement le rejette. Il se tourne, court le long du terrain, et il n'y a aucune façon de le rattraper hormis le balet. Il court trop vite, et à la sortie du terrain, il hurle. Il se croit loup, il est loup. De son pelage noir, de ses yeux bleux électriques, on le voit, tous le voit. Il hurle son désespoir, et noit sa souffrance. Il court, atteint la forêt, y pénètre, et s'y perd. Il a mal, tellement mal... Il tombe de si haut, lu qui était aux cieux.
Il s'arrête à un moment, son corps redevenu humain, ses pattes redevenus bras, il se jette contre un arbre, s'y accroche pour ne pas glisser. Il a tellement mal, ses veines le picotent, comment se débrouillait maintenant ? Sur quelle épaule se reposer ? Qui protégera Rachel ? Qui protégera sa famille ? Il mort l'écorce à pleine dent, s'arrache des cris, se mord lui même pour les étouffer. Dans l'obscurité, il a tellement mal. Il s'arrête, se laisse tomber sur le sol, les bras en sang, mordus et décharnés... Mais la peau réaparaîtra bientôt, comme toujours, grâce au sang du feu père... Mal... Tellement mal... Et seul. Un soleil apparaît... Soleil...
Premier septembre 1973, Poudlard.
Une grande femme fait interruption dans le train. Cette année est importante pour le loup qui dort, sa tête appuyer contre la fenêtre, ses yeux bleux électriques cachaient sous ses paupières lourdes. Il n'aime pas tellement laisser sa mère seule... Malgré ses jours singuliers, une femme l'arrache à ses rêves, pour lui en faire découvrir un autre, d'un autre monde. Les lèvres posés sur les siennes, un léger sentiment de bien être qui lui ferait presque oublier qu'il est un loup garou. Elle entre ouvre ses lèvres, murmure des moux doux, digne d'un poète. Il passe sa man derrière sa nuque, la retient, il la veut. Et elle est à lui.
- Soleiiiil...
Murmure qui devient gémissement quand la coquine rapproche de trop près son bassin de celui de Vitaly. Il la repousse un peu, essaye de se contenir, mais la Vélane est gourmande, et même un peu trop. Elle susurre des choses interdites aux oreilles de loup, tendit que celui-ci fait rougir sa partenaire dans des baisers enflammées, laissant sur la peau sucré des cercles carmins, où le sang ayant trop stagné forme des plaques marquant le territoire. Il voudrait la morde, elle qui aime tant ça, mais ça n'est pas tellement le moment.
- Vitaly, arrivez aux dortoirs, on ira... Dans la forêt... - Dès que tu veux... Prin... Cesse...
Bruits de sucions. La porte s'ouvre, grincement. Javis entre. Aussitôt Soleil eut un sursaut surpris et laissa les lèvres de Vitaly tranquille. Un sourcil plus haut, il comprit pourquoi.
- Près pour une nouvelle année les tourteraux ? - He... - Je crois que je vais filer ! A toute Vita !
Soleil s'enfuit, comme un rayon à travers la fenêtre, et emporte avec elle le coeur du loup. Dommage. Il se lève, tapote sa veste à l'ecusson vert et argent. Il en est fier, de ce bout de tissu décharné. Il sort de sa poche un paquet de clope, en tend une à Javis et l'allume. Il discute encore, de ce qu'ils vont faire, plus grand, de ce qu'ils veulent faire aussi, mangemort revient souvent à la mode, peut être un ange déchu aussi. Une heure passa, le train siffla l'arrêt. Il regarde son meilleur ami avant de se lever, et d'un sourire plus qu'approfondit, murmure dans un soupir de plaisir :
- Ca sera une bonne année...
- Fin du scolaire. Attaque de la vie réelle. Biiip -
Dernière édition par le Mar 9 Oct 2007 - 20:44, édité 1 fois
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Sujet: Re: Vitaly Orlov - Finish - Mar 9 Oct 2007 - 1:20
Six juin 1974, Ukraine.
- Il pleut encore. - C'est la beauté de l'Ukraine.
La pluie tombait encore, comme à chacun de ses anniversaires qu'il avait passé ici. Voilà un an qu'il a quitté Poudlard, et voilà qu'il faites sa majorité. Calme, il fixe le dehors. Derrière lui, un grand homme se tient debout, droit, tout aussi calme. Le tonerre sonne l'heure du glas, l'heure du choix. Vitaly Orlov, grnd ebringue fine et élancée se lève. Pour lui, c'est l'heure. La lune est haute dans le ciel, il regarde l'homme en noir et enlève lentement son pull, puis son tee-shirt sans se presser. Malgré son calme, on voit bien à son expression que ses membres se tordent, et le bruit des os craquelants vient aux oreilles de l'observateur. Il n'a jamais vu de loup garou aux airs qu'il prend, à moitié étonné et térrifié. Vitaly est enfin nu, et dans son dos, l'obsvateur voit sa colonne vertébrale bougeait, lentement, craquait et s'allongeait, devant de plus en plus longue, elle pousse pour faire une queue. Peu à peu, sa peau devint fourrure, et un poil fournie et noir y apparaît. Vitaly ne crit plus, il a l'habitude de ce genre de souffrance, lui qui est des sangs purs de ce monde. Sa nuque se tord pour former un collier de poil noil, ses yeux brillents. Il tombe lourdement à quatre pattes
- Un chien ? C'est tout dont tu es capable ?
Un rire moqueur, si seulement il savait. Heureusement que Soleil n'est pas là. Le loup s'étire, sa colonne s'allonge encore, encore et encore, sa fourrure s'épaissait lui donnant un air royal, ses yeux brillent d'une autre lueur. Cette lueur, il la connaît bien, c'est celle qui régit son âme depus son enfance, celle qui lui donnât la force et le courage, Plus gros, bien plus gros encore. Un hurlement unhumain, une sorte de rire transformée, venant d'un autre monde. Vitaly se dresse sur ses pattes, et comme un héros d'un ancien temps, gonfle son abdomen jusqu'à ne plus pouvoir. L'homme tremble devant l'animal, tremble de tout son être. Vitaly Orlov est un loup, un vrai.
Trois décembre 1974, Amsterdam.
La nuit était sombre, Javis et Vitaly regardait le sentir fait par la pluie. Plus loin, le port. La ruelle était plus près du port que le loup ne l'aurait pensé. Tant mieux, les brebris s'y prendraient plus facilement. L'enfer est dans les eaux, tumultueuses, qui se dicipent. Les deux ombres attendent tranquilement. L'un fume sa clope, l'autre parle un peu, de tout et de rien. La ronde de nuit que leur avait imposé Heinrish ne sert décidément à rien... Franchement, c'est les faire travailler pour nada, niet, rien. Vitaly jette un caillou dans l'eau, puis sa clope va le rejoindre, bouffer par les eaux sombres. La houle pousse les vagues contre les coques des bâteaux. Rien à faire d'autre.
- Tu sais, Vitaly, j'y tient à ma soeur... - Je sais, Javis, je sais. - Mais j'ai peur ces temps-ci. - De la perdre.
Il sort une autre clope, la cinquième cul à cul. Intéressant. Ces poumons crient à l'assassin, mais le loup continu de fumer doucement, il respire le tabac qui s'infiltre entre ses lèvres. Il aime tant ça, il adore même ! Ca en serait presque délicieux d'aspirer ce poison. Mais Javis ne semble pas tranquille. Vitaly le fixe, inquiet pour son ami. Il penche la tête, à la façon d'un chiot hagard, et ses yeux bleux électriques percent l'âme du Taylor.
- Ne t'inquiète pas, je serais toujours là pour protéger Ava s'il lui arrivait quelque chose, einh Jav, faut pas s'inquiéter. Ta soeur n'aura jamais rien à craindre. - C'est gentil... Mais... - Tu n'as pas confiance en moi ? - Je sais pas... Tu sais combien j'y tient... Elle et ma femme...
Une taffe de plus, la clope tombe à l'eau. Décidément, elles sont vraiment trop petites ces clopes.
- Je te propre un deal, okay ? Vu que personne n'est là, je te propre un serment inviolable. - Un serment inviolable ? He... Pour quoi faire ? - Tu protèges ma famille, je protèges la tienne quoi qu'il arrive, et s'il nous arrive malheur, l'autre prendra soin des deux familles. - Ca veut dire que... - Soleil veut un enfant, un bébé. Elle a des envies... - Héhé. Profite en, on ne sait pas si ce qui se passera. - Justement, j'aimerais être sûr qu'après mon départ, si je pars, quelqu'un soit là pour eux. - J'ai confiance...
Ainsi se fit le serment. Ainsi.
Treize Février 1975, Poudlard.
Citation :
- Tu sais que c'est pas mon boulot. Quand je suis entré, j'avais une seule condition, tu ne respectes jamais rien. Tu peux pas écouter ce que je dis parfois ? - Vitaly, pour une fois, tu pourrais pas faire une exception ? Je veux dire, cette gamine, elle pourra pas te résister, c'est une gamine... Une simple gamine. - Justement, c'est une gamine, et notre accord stipuler que je touchais pas au gamin. - C'est car t'en veux un que tu refuses ? - Non, c'est car c'est pas moral ! - Tu n'es pas moral, Vitaly Orlov, tu n'es pas moral.
Le son se transmet jusqu'à ses oreilles. Il souffle doucement, aspire ce poison mortel qui coule lentement entre ses lèvres, enivrent ses poumons, descend de sa trachée et la remonté pour être expulser par l'expiration tardive de l'animal. La forêt semble calme, le vent frotte les écorces qui émettent un son doux, émitant les gémissements plaintifs... Drôle de vie. Il jette sa clope, léchant ses lèvres. Le soleil décline doucement, il enlève son T-shirt, puis son pantalon. Ses membres vibrent, les sueurs froides coulent de son front jusqu'à ton torse, et bientôt c'est tout son corps qui est pris de sueur. Il dégouline. Sa peau se tend, ses muscles se contractent, ses coudes craquent quand ses bras se changent en jambes, quand sa peau devient velue et que cette fine couche de vie devient un cuir impénétrable. Ses yeux brillent de fureur, la lune monte, ses rayons baignent le spectacle de sa langueur perfide. Il rugit. L'animal.
Il bondit, abandonnant sa forme humaine pour son allure de loup puissant et sauvage. Il est haut, plus haut qu'un homme levait sur ses pattes antérieures. Sa langue pend, ses yeux sont exhorbités, il cherche, hume l'air et s'en délecte d'avance. Tout n'est qu'un jeu...
- Cherche et détruit moi cette gamine. Elle ne peut exister. Sa mère a refuser de parler, détruit moi sa raison la plus chère de vivre. Elle n'a pas a nous tenir tête ! Inssuportable créature ! Cherche moi là ! Détruit là ! Je veux qu'il n'en reste qu'une purée ! Une charpie ! Tu m'entends ?!
Chercher et détruir. Un bruissement, les corbeaux volent, l'heure est funeste. Le loup s'arrête dans la nuit. Un mouvement, il a dépassé la forêt, le voilà près de Poudlard. Il sourit, les sombrals ne sont plus loin, il entends leurs sabots et voient leurs crins... Les voient que ceux qui ont déjà vu la mort de près. Il grogne lentement, une petite silhouette se détache du château et s'écarte jusqu'à la cabane du garde chasse...
Il est tant au prédateur d'agir. Il recule, ses membres s'exaltent de l'attente fatale, du dernier moment, là où il ne recule plus, où ses crocs deviennent des lames et où il s'amuse avec les viscères de l'ennemi. L'attaque s'approche. Elle sort de la cabane, il saute.
Elle hurle, elle crie, elle s'enfuit.
C'est ça, court, ai peur de moi, de mes crocs, sue tes peurs, suaintes tes angoissent, vomis ton dégoût, sens en toi grandir le dernier instant. N'ai pas peur, petite brebis, tu ne souffriras pas... Jevais t'anéantir, te réduire en fine cotelette que je mangerais, tu disparaitras... Ajamais. Meurs. Cours. Pleurs. Crie surtout, car j'aime ça.
Il y pense, il s'exalte. Il accélère, il détourne un tronc, elle continue a courir puis s'arrête. Il n'est plus là ? Elle se tourne, et la gueule béante de l'animal se ferme sur le crâne de l'enfant. Le bruit est sourd, ses os craquent sous la pression. Elle meurt. Sa cervelle dégouline... Mort. Détruite. Finie.
Mission accomplie.
- The End -
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Sujet: Re: Vitaly Orlov - Finish - Mar 9 Oct 2007 - 8:25
Fini, Sha ?
Seeley Andrews
Nombre de messages : 1574 Age : 37 Maison : Ex - Gryffondor Age du Perso : 23 ans Date d'inscription : 13/01/2007
Sujet: Re: Vitaly Orlov - Finish - Mar 9 Oct 2007 - 17:43
Heinrish Mustang a écrit:
Je lui ai donné mon accord. Faut qu'elle me donne le nom de sa boutique. Vu que c'est moi qui s'occupe du commerce !
Désolé Benji mais les magasins hors HP ne sont pas autorisés ^^
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Sujet: Re: Vitaly Orlov - Finish - Mar 9 Oct 2007 - 18:04
Hm, embêtant. Ca pourrait être une magasin magique, non ? Genre... Je vends des fournitures, dans le même genre des baves de crapaud, écailles de dragon et oeil de cafard, ça marche pas ?
Seeley Andrews
Nombre de messages : 1574 Age : 37 Maison : Ex - Gryffondor Age du Perso : 23 ans Date d'inscription : 13/01/2007
Sujet: Re: Vitaly Orlov - Finish - Mar 9 Oct 2007 - 18:42
Remplir adequat, à la limite si le formulaire a déjà été envoyé pour l'autre magasin alors c'est bon tu peux l'avoir ^^
Invité Invité
Sujet: Re: Vitaly Orlov - Finish - Mar 9 Oct 2007 - 19:15
Matthew M. Malacci a écrit:
Heinrish Mustang a écrit:
Je lui ai donné mon accord. Faut qu'elle me donne le nom de sa boutique. Vu que c'est moi qui s'occupe du commerce !
Désolé Benji mais les magasins hors HP ne sont pas autorisés ^^
1er nouvelle. Sympa de dire à celui qui s'en occupe. J'apprécie. Désolé, Sha. J'en étais persuadé.
Invité Invité
Sujet: Re: Vitaly Orlov - Finish - Mar 9 Oct 2007 - 19:44
Pas grave Ben, moi aussi je pensais vu le magasin d'Hale, mais c'est pas grave, les Trois Balais nous donneront encore plus d'argent ^^ ! Donc je l'ai ou pas ? J'envois le formulaire à qui ? XD Je suis perduuue !
Invité Invité
Sujet: Re: Vitaly Orlov - Finish - Mar 9 Oct 2007 - 19:50
Ha moi !
^^
Enfin, sous Heinrish ! ^^
Invité Invité
Sujet: Re: Vitaly Orlov - Finish - Mar 9 Oct 2007 - 19:54
Bon, je t'envois ça, mais j'ai trouver mieux que les Trois Balais. Lui.
Mouahaha XD Bon, je prépare ça, et je te l'envoie sous Heinrish dès ce soir, si mon frère me prend pas trop la tête XD !
Invité Invité
Sujet: Re: Vitaly Orlov - Finish - Mar 9 Oct 2007 - 20:01
Invité Invité
Sujet: Re: Vitaly Orlov - Finish - Mar 9 Oct 2007 - 20:41
MP envoyé
J'vous fait une copie pour les curieux :
Spoiler:
Nom et prénom : Orlov Vitaly Date de naissance : Le 06.06.1957, en Ukraine. Poste pour lequel vous postulez : Gérant de Barjow et Beurk Motivations : Il fallait bien que Vitaly s'occupe un peu lors de sa sortie d'Azkaban, et Heinrish lui a proposé de raviver l'économie des Mangemorts en tenant le magasin alors sans gérant. Vitaly Orlov, chien fidel qu'il est, a donc acceptait. Je trouve plutôt intéressant de voir mon personnage, Vitaly donc, instable comme il est, tenir ce magasin où évoluera aussi Jake. Autre le fait que Vitaly soit un mangemort, et donc qu'il ne peut être tromper sur la marchandise qu'il vend, j'espère juste que mon louloup puisse avoir ce poste !
Si vous voulez être gérant, un exemple de RP concernant ce métier :
L'hiver était toujours trop calme, personne n'allait ni ne venait dans la boutique, aussi Javis et Vitaly ne faisaient rien. Parfois, ils jouaient aux cartes, où parlaient de la vie, des femmes, un peu trop de femme. Les éloges pleuvaient. Javis sur Elea, Vitaly sur Soleil. Jake était au milieu des deux hommes comme un être surprotégé. Il regardait les adultes, et du haut de ses trois ans, il essayait de comprendre ce qu'était que merveilleuse, beauté, ou tout simplement grâce et sympathie. Que de mots compliqués pour le petit être. C'est par cette journée trop calme que l'allée des embrumes fut secoué. Un homme au chapeau haut de forme poussa la porte, tirant alors l'alarme qui ressemblait plutôt à une harpie furieuse qu'à une sirène en réalité. Il était plutôt vieux, les traits mal tirés, les rides ayant attaqués ses paupières et son sourire niais lui donnait un air de vieu curé pervers. Vitaly regarda Javis et alla porter Jake dans la salle de derrière, spécialement aménagé pour l'enfant qui traînait tout comme Vitaly de jour comme de nuit ici. Quand Vitaly ressortit, le grand homme parlait à Javis d'une anecdote, une chose étrange, mais vu l'air de son ami, ça n'avait rien de bien effrayant. Le loup se ramena d'un pas nonchalant, zieutant deux ou trois fois la petite tête brune qui dépassait des lourds rideaux de velours bordeaux qui encadrait la porte donnant à la salle de derrière. Il regarda l'homme de ses yeux bleux clairs, croisant un peu le fer. Vitaly ne céderait pas, et l'homme céda. Il tira d'une de ses poches une main fine et longue, enlacée dans un gant de cachemire. Un truc classe et vieux, démodé depuis longtemps, laissé pour contre face au gant de cuir noir.
Un léger sourire. Ledit Dimitri regarda la pièce de fond en comble, il semblait un peu comme chez lui, comme ça, les cheveux blancs sur sonvisage basané lui donnant l'air d'un vieillard cherchant des surcreries pour les enfants qu'il recevait le dimanche. Une broche tenait son col fermait, une broche familière. Un tigre à la gueule ouverte tenait les deux pants... Oui, ce tigre. Vitaly eut comme un déclic.
- Vous cherchez mon père, n'est ce pas ? - Votre père ? Yuri Orlov n'est pas là ? C'est celà ? - ... Mon père est malheureusement décédé, monsieur Valkvitch.
Un lueur froide, l'inconnu eut comme un soupire de mécontetement. Ca l'avait énervé. Il retira son gant, et tira de sa poche une lettre au sceau méconnu des deux hommes. Javis restait muet, Vitaly aussi. Ils ne s'avaient pas comment prendre la situation... Dimitri Valkvitch semblait être un homme courageux et plein de bonne fois, mais était-ce réellement bon de parler à un être comme lui en étant des mangemorts ? Etait il un Auror ? Tout celà troubler les deux compères.
- Cette lettre est de Roseline, ma fille... Je pensais que c'était non pas Vitaly mais Yuri qui tenait ce magasin... Enfin, j'aurais du m'en doutait un peu, dire que je croyais qu'il n'avait pas eu d'enfant. Depuis le temps... C'est passé tellement vite. Ah... C'est une commande assez spéciale, c'est pour un élexir tout aussi spéciale. Enfin, j'aimerais que la commande soit donnée le plus rapidement possible. C'est préssé. Vous pouvez passer la donner au Manoir des Valkvitch, à Edinburgh ?
Javis aquiesa, Vitaly resta muet. Il n'aurait jamais pensé entendre parler de son père, ce mangemort tout à fait honorable parmis les siens... Et dire que c'était dans cette boutique miteuse qu'il entendait le nom du feu père. Une fois l'homme au chapeau dehors, Jake courut jusqu'aux deux adultes, s'accrochant à la cuisse de son père, collant sa joue contre, comme pour lui rappeler qu'il n'était plus à Azkaban, plus tout seul. Vitaly se tourna vers Javis, qui dans un sourire réconfortant, comme celui qu'on les amis entre eux, lui dit :
- Il faut trois écailles de Magyar, et compte pas sur moi pour affronter les mastondontes.
Expérience professionnelle RP :
Est mangemort depuis ses 17 ans ? Est-ce une expérience ? A été à Azkaban trois ans ? Une mauvaise expérience.
Expérience professionnelle HRP :
* tousse fort * En économie ? J'ai déjà été une sorte d'apothicaire, mais je vendais des poisons XD ! Mais ce temps est révolu ^^'
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Sujet: Re: Vitaly Orlov - Finish - Mer 10 Oct 2007 - 9:52
Seeley Andrews
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