Ambiance...[Pv]

Sujet: Ambiance...[Pv] Jeu 13 Sep 2007 - 21:22

Trop tôt ou trop tard pour rechercher l'absolution dans un geste...?

Un prêtre dirait qu'il n'est jamais trop tard pour demander pardon....

Drôle de truc... Quel intérêt d'agir pour soi si tout peut être pardonné? Aucun pour elle... Et puis de toute manière, elle ne cherche pas l'absolution. Elle s'en moque. Elle vit avec ce qu'elle a fait... et elle ne ressent aucun remord. Elle n'a pas eut le choix, c'était elle ou lui... Et qu'on lui pardonne, elle préfère nettement que ce soit lui. Et de toute manière, elle avait bien plus d'une bonne raison pour lui faire subir ce qu'il a subit. Une triste expérience pour certains... Des nouvelles connaissances pour elle. Elle a apprit des choses... Maintenant, elle sait.

La grille grince lorsqu'elle force pour l'ouvrir. Qui a bien pu avoir l'idée de la fermer? A vrai dire, elle s'en moque. Enveloppée dans sa cape noire dont la capuche dissimulait une partie de son visage, elle s'avance sur l'allée centrale. Tiens... A nouveau désert... Personne. A croire que ce cimetière a enfin été abandonné. Tant mieux. Un fin sourire se dessine sur son visage. Elle continue à avancer, regardant de temps en temps les tombes dévastées. Elle ne croit pas à un autre monde... Alors de là à penser que l'absence des mangmorts donne aux cadavres et poussières de cadavres un peu de repos dans leur monde... le fossé est bien trop profond pour qu'elle le franchisse.

Encore quelques mètres. Toujours personne. C'est un miracle qu'elle ne se soit toujours pas heurté à une tombe... En même temps, elle connaît par coeur cet endroit, emblème du mouvement romantique. Qui aurait pu croire qu'elle y va par pur plaisir de se retrouver dans un lieu où personne ne va à moins de vouloir se faire tuer ou voir un mort ou... autre? Enfin, elle arrive là où elle a envie d'être. Pour une fois, elle a décidé de s'arrêter au sommet de la petite colline. La nuit sans lune ne lui permet pas de profiter de la vue... Mais elle profite au moins de l'ambiance.

Invité

R . P _ DE MERDE. JE SUIS DESOLEE. J'ME RATTRAPE AU PROCHAIN.

Derrière une longue et vaste cape. Andreas Pravda se tenait droit comme un « i » devant la tombe de son ex-femme. Ses pensées n’étaient pas pour elle. Mais pour son fils. Il se demandait comment avait-elle pu lui cacher l’existence. Tant de questions, mais aucunes réponses lui seront donné. Une larme de rage coula le long de son visage. Il avait envie d’exploser la tombe. De ruiner encore plus cette femme qui lui avait caché tant de chose. Parce que ce que vous ne savez pas. C’est que ce sont ses propres mains qui ont tuées Helga Brant Pravda. Dans le silence de cette soirée noire, Andreas tourna les talons et accorda à la tombe de son ex-femme un magnifique cracha remplie d’amertume et de haine.

Andreas – « C’est avec de la souffrance, que j’aurai du te faire mourir. Espèce de sale pute ! »

Heath faisait maintenant parti de sa vie, qu’il le veuille ou non. Malgré tout il était obligé de l’accepter. Avec tout son amour, comme toute sa rage. Se laissant traîner dans le cimetière. Pravda se remémorait tout les moments passé avec Heath. Au final, rien n’était perdu. Pravda avait tout gagnée. Le vent soufflait sur Poudlard et Andreas resserra son col. Les mains dans les poches, il marchait pour retourner à son bureau. Sur son chemin, il cru voir Iranoe. S’arrêtant, il sculpta la silhouette et s’aperçut que sa vision n’était pas fausse. Lentement, il s’approcha d’elle. Peut être qu’elle était occupée, qu’elle pleurait. Tant de chose. A quelques centimètres d’elle. Andreas posa sa main sur son épaule.

Andreas – « Iranoe ? »

Sujet: Re: Ambiance...[Pv] Mar 18 Sep 2007 - 17:31

Andreas -Iranoe?

Surprise autant par la voix que par la main qui se pose sur son épaule, elle sursaute avant de se retourner. Le regard argenté se posa immédiatement sur Andreas. Au début aussi glacial que la banquise, il se réchauffe lorsqu'elle le reconnaît. Andreas... Il l'a surpris alors qu'elle était simplement en train de réfléchir, de mettre ses pensées en ordre. Elle lui sourit doucement en murmurant.

Iranoe -Andreas...

Silence. Elle dégage une main des replis de sa cape et effleure sa joue. Elle se remémore la dernière fois qu'elle l'a vu... Le moment avait prit fit quand il avait fait la rencontre de son fils... Elle a eut du mal à y croire... Il a un fils... Au début, elle lui en a voulu parce qu'il ne lui a rien dit. Mais au fil des minutes, elle a réalisé qu'il n'y était pour rien. Visiblement, il n'était au courant de rien... Et comment pouvait elle décemment lui repprocher d'(avoir une vie avant elle.

A nouveau, elle lui sourit et se rapproche de lui.

Iranoe -Tu vas bien? Je ne pensais pas te voir ici... Mais je suis tout de même heureuse que tu sois là.

Invité

Iranoe – « Andreas … »

Affichant un sourire méprisant quelques pars à l’intérieur de lui une petite flamme s’alluma. Parce qu’il était tout de même content de la voir ici. Dans le cas contraire, il aurait tourné les talons pour aller encore et encore détruire la tombe de son ex-femme. Ruiner ce qu’elle était, voilà ce qu’il voulait encore faire. Malgré qu’elle n’était plus de son monde, il fallait savoir qu’Andreas rêvait encore de la frapper, de la voir crier d’arrêter. Obéir. Voilà qui ce qu’il fallait faire avec Andreas. Une face peut en cacher une autre. Avec une certaine joie, il s’approcha d’Iranoe et la serra dans ses bras. Laissant tomber sa tête dans nuque il pouvait humer l’odeur de son parfum. S’imaginant tout ce qu’elle avait bien pu faire pendant sa journée Andreas sentit un légère pointe de jalousie. L’airs frais fouettaient son visage rouge de rage.

Iranoe – « Tu vas bien? Je ne pensais pas te voir ici... Mais je suis tout de même heureuse que tu sois là. »

Bien sur qu’il allait bien. Pour quoi irait-il mal ? Sa rage était-elle aussi forte inscrite sur son visage ? La repoussent lentement, Pravda récupéra la main froide d’Iranoe et la déposa à l’intérieur de sa grande poche. Il fallait protéger sa future femme du froid.

Andreas – « Je vais très bien et toi ? Je ne pensais pas non plus te voir ici. Je suis également ravi d’être en ta compagnie. Nous avons beaucoup à parler. Depuis la dernière fois. Tu t’en souviens ? Mais avant cela, que fais une aussi belle femme toute seule ici ? »

Sujet: Re: Ambiance...[Pv] Mer 19 Sep 2007 - 15:54

A la fois ravie et surprise de le voir, elle se laisse enlacer avec un sourire. Pendant un moment, elle s'est demandé ce que ça allait donner lorsqu'ils allaient se revoir. Visiblement... Tout va bien... Visiblement parce qu'elle sent bien qu'il y a quelque chose qui ne va pas bien chez lui. Etrangement, elle sait qu'elle n'en est pas la cause... Au contraire, elle pense presque qu'elle lui change les idées... Un peu.

Elle est surprise quand il la repousse mais elle le laisse faire. Elle se contente de l'observer attentivement.

Andreas -« Je vais très bien et toi ? Je ne pensais pas non plus te voir ici. Je suis également ravi d’être en ta compagnie. Nous avons beaucoup à parler. Depuis la dernière fois. Tu t’en souviens ? Mais avant cela, que fais une aussi belle femme toute seule ici ? »

Hum... Elle se demande comment prendre sa question durant un instant puis lui répond en souriant.

Iranoe .Je vais bien, merci... Je vais même de mieux en mieux...

Elle écarte quelques mèches de son visage avec sa main libre. Il veut parler... Bonne chose ou mauvaise? Elle verra bien. Elle ajoute.

Iranoe -Elle réfléchit, Andreas... J'avais besoin de remettre certaines choses en place... Et puis... J'aime bien écouter la nuit et le cimetière, quand il n'est pas occupé par les batailles est l'endroit rêvé pour cela... Je te montrerais, si tu veux... Quand à parler... Oui, je me souviens de la dernière fois... Mais tu n'es pas obligé de te justifier, tu sais... Je ne t'en veux pas.

Invité

Iranoe – « Je vais bien, merci... Je vais même de mieux en mieux... »

Si elle allait bien, lui aussi allait bien. Très conne cette façon de penser, mais pour l’instant c’était la meilleure qu’il avait trouvé pour se calmer pour cesser de penser à cette pute. A cette… PRAVDA STOP ! Secouant la tête, Andreas laissa tomber sa tête vers l’arrière pour recueillir de l’air frais sur son visage blême.

Iranoe – « Andreas... J'avais besoin de remettre certaines choses en place... Et puis... J'aime bien écouter la nuit et le cimetière, quand il n'est pas occupé par les batailles est l'endroit rêvé pour cela... Je te montrerais, si tu veux... Quand à parler... Oui, je me souviens de la dernière fois... Mais tu n'es pas obligé de te justifier, tu sais... Je ne t'en veux pas. »

C’est à peine si il l’avait la force pour comprendre le sens de ses paroles, c’est à peine si il savait qu’elle était à coté de lui. C’est à peine si … Il arrivait encore à vivre. Toute trace d’énergie avait disparue en lui. Parce que maintenant, Andreas avait une vie devant lui. Il avait un fils. Son destin était tracé. Père célibataire, un enfant à charge.

Andreas – « Très bien. Après tout, tu fais ce que tu veux, nous ne sommes pas marier. Tu n’as pas de compte à me rendre. Ecoute moi Iranoe. Pour Heath, je pense que nous deux, nous allons sortir de ta vie. Je ne peux pas t’imposer mon fils. Je n’en ai pas le droit, tu es jeune encore et tu as le droit d’avoir ta vraie famille. Avec un homme qui te mérite plus que moi. »

La douleur intérieure avait prit place. En temps normal, Pravda se serait mit à lui frapper dessus pour avoir désobéi et être sorti. Mais ce soir, rien n’était comme en temps normal, il était las. Las de sa vie qu’il possédait. Heath allait entrer en septième année et lui resterait derrière son bureau comme un con à jurer sur son épouse morte. Malgré tout cela Andreas restait un homme simple.

Un homme qui ne demandait rien à la vie. Même pas si il pouvait respirer, il le faisait comme même. Sachant qu’Iranoe était la femme de sa vie. Andreas se laissa tomber t’elle un patin dénudée de ses ficelles sur le sol. Frappant ses genoux contre des pierres, il prit sa tête dans ses mains et se mit à hurler de rage. N’est-ce pas un magnifique spectacle ? Un homme qui pleure et hurle sa rage cela n’était-il pas beau ? Ne me dites pas le contraire. A partir d’aujourd’hui, Andreas Pravda se déclare moralement et physiquement MORT.

Sujet: Re: Ambiance...[Pv] Mer 19 Sep 2007 - 20:45

Andreas -« Très bien. Après tout, tu fais ce que tu veux, nous ne sommes pas marier. Tu n’as pas de compte à me rendre. Ecoute moi Iranoe. Pour Heath, je pense que nous deux, nous allons sortir de ta vie. Je ne peux pas t’imposer mon fils. Je n’en ai pas le droit, tu es jeune encore et tu as le droit d’avoir ta vraie famille. Avec un homme qui te mérite plus que moi. »

Le regard auparavant si calme et chaleureux d'Iranoe se mua en un regard purement et simplement glacial. Il n'avait rien comprit et surtout, il ne l'avait pas comprise. Avant même qu'il ne puisse faire un mouvement, elle murmura comme pour elle même.

Iranoe -Parvda, t'es qu'un idiot!

Et elle le pensait. Vraiment. Il fallait être idiot pour ne pas comprendre que si elle était partie c'était pour les laisser seuls avoir une discution qui ne la concernait pas le moins du monde. De là à comprendre qu'elle ne voulait pas de lui... Il y avait un pas qu'elle ne pensait pas qu'il aurait franchit. A la fois surprise et muette par le fait qu'il songe à la quitter parce qu'il venait de retrouver son fils et qu'il pensait qu'elle ne voulait plus de lui, elle ne réagit pas en sentant sa douleur.

Elle ne réagit que lorsqu'elle le vit tomber. Sur le moment, elle ne comprit pas mais elle finit rapidement par faire la lumière sur le problème. Surprise par une telle réaction, elle le laissa hurler une seconde avant de se mettre à genoux devant lui, indifférente aux cailloux qui la blessèrent. D'autorité, elle écarta les mains d'Andreas du visage de celui ci et avec une force insoupçonnée, elle maintint son visage. Elle planta son regard argenté dans celui d'Andreas et dit d'une voix apaisante.

Iranoe -Pravda... tu n'es qu'un idiot. Si je te dis que tu n'as pas à te justifier pour la dernière fois, c'est pas parce que je veux te quitter. C'est parce que j'estime que tu n'as pas de comptes à me rendre, tu saisis?

L'une de ses mains lâcha le visage d'Andreas et essuya ses larmes. Elle sourit tendrement et continua.

Iranoe -Je ne veux pas que tu me quittes sous prétexte que tu ne veux pas m'imposer ton fils, Andreas. Je t'avoue qu'à l'idée d'être la belle mère de quelqu'un qui a quasiment mon âge m'effraye quelque peu... Mais je ne le rejetterais pas sous prétexte qu'il appartient à ton passé... enfin, passé... Bref... Je ne compte pas jouer le rôle de sa mère, je ne m'en sens pas capable pour le moment... Mais je ne veux plus JAMAIS t'entendre dire que tu me quittes pour une raison aussi futile, est ce clair?

Invité

Iranoe – « Pravda... tu n'es qu'un idiot. Si je te dis que tu n'as pas à te justifier pour la dernière fois, ce n’est pas parce que je veux te quitter. C'est parce que j'estime que tu n'as pas de comptes à me rendre, tu saisis? »

Les yeux dans les yeux. Le cœur à bout de force, Pravda pleurait toutes les larmes de son corps. Pourquoi ? Parce qu’il souffrait quelque pars. Qu’il en avait marre de beaucoup de chose et que depuis tout petit il ne savait faire qu’une chose : Souffrir les gens. La laissant attraper son visage, Andreas ressentit un frisson. Les mains froides d’Iranoe étaient posée sur ses joues chaudes d’avoir pleurer et d’avoir une hargne en lui. « Pravda, tu n’es qu’un idiot. » Si seulement il pouvait se le faire entendre dire plus de fois dans sa vie. Tout changerait. Il ne savait s’arrête de pleurer et toutes ses larmes sortaient, les unes à la suite des autres. Son cœur explosait en mille morceaux, ses poumons se rétractèrent et son cerveau tournait à vide.

Andreas – « Je suis un pauvre con, un idiot. Un tout ce que tu veux. Insulte moi Iranoe. Je ne te mérite pas. Je saisis très bien, mais … Je pense qu’il est temps que tu saches des choses sur moi. Je ne peux pas m’engager avec quelqu’un qui ne connais rien de moi. »

Laissant tomber sa tête sur l’épaule d’Iranoe, Pravda laissa couler ses dernières larmes. Voyez vous-même. N’était-ce pas magnifique un homme qui cris sa douleur au monde ? Un homme qui pleure devant une femme ? Sachez qu’Andreas ne fait pas partie des hommes sans cœur et d’on la capacité émotionnel ressemble à celle d’une cuillère à café. Malgré tout ce que Pravda a fait dans sa vie, ses deux femmes qu’il a tué … Son enfant, et Iranoe. Comprenez-le. Il ne sait plus ou donner de la tête. Trop de chose lui tombe dessus en même temps.

Iranoe – « Je ne veux pas que tu me quittes sous prétexte que tu ne veux pas m'imposer ton fils, Andreas. Je t'avoue qu'à l'idée d'être la belle mère de quelqu'un qui a quasiment mon âge m'effraye quelque peu... Mais je ne le rejetterais pas sous prétexte qu'il appartient à ton passé... enfin, passé... Bref... Je ne compte pas jouer le rôle de sa mère, je ne m'en sens pas capable pour le moment... Mais je ne veux plus JAMAIS t'entendre dire que tu me quittes pour une raison aussi futile, est ce clair? »

Avec soif, il avalait une à une les paroles d’Iranoe. Parce qu’elles étaient belles, parce qu’elles le réveillait. Assimilant avec toute cette rage l’amour qu’elle lui donnait, Andreas cessa de pleurer. Esquissant un rapide sourire. Des larmes au sourire. Tout d’abord, il attrapa les mains d’Iranoe et à deux ils se levèrent. Avec cette force d’homme. Pravda la serra contre son cœur. Avec de l’amour dans les yeux, il se mit alors à caresser ses cheveux.

Andreas – « C’était une réaction pathétique. Excuse-moi de ne pas être ce que tu voudrais que je sois. Je ne voulais pas t’imposer Heath et je comprends tout à fait que tu ne le veuilles pas. Mais alors je te demande, une chose… Accepte-le. Ce garçon à beaucoup souffert par ma faute et maintenant je pense qu’il est temps que je lui offre un meilleure avenir. Je sais que ce que tu penses Iranoe. Mais écoute moi. Voudrais-tu construire cet avenir avec moi ? »

Se baissant à la hauteur de sa bouche et toujours d’un geste lent, il caressait ses cheveux. Sa voix était redevenue normale. Calme et posée. Il savait à présent que les pendules de sa vie étaient remises à jour. Et pour faire encore un meilleur point il fit le saut de la mort.

Andreas – « Iranoe … Je t’aime tellement. »

Sujet: Re: Ambiance...[Pv] Jeu 20 Sep 2007 - 18:34

Le voir pleurer lui faisait mal. D'autant plus qu'elle ne savait pas comment faire pour qu'il s'arrête. Ses mains froides sur ses joues chaudes créaient une étrange sensation mais il n'y avait que la douleur d'Andreas qui était importante pour elle sur le moment. Elle voulait qu'il arrête de pleurer. Elle se sentait coupable à chacune de ses larmes. En désespoir de cause, elle le laissa pleurer, se contentant de lui offrir simplement sa présence. Elle lui souriait, rassurante, tandis qu'il lui parlait.

Andreas – « Je suis un pauvre con, un idiot. Un tout ce que tu veux. Insulte moi Iranoe. Je ne te mérite pas. Je saisis très bien, mais … Je pense qu’il est temps que tu saches des choses sur moi. Je ne peux pas m’engager avec quelqu’un qui ne connais rien de moi. »

Elle allait pour lui répondre quelque chose lorsqu'il laissa tomber sa tête sur son épaule. Aussitôt, elle glissa ses doigts dans ses cheveux et les caressa doucement. Elle se pencha suffisamment pour lui glisser à l'oreille.

Iranoe -Je ne t'insulterais pas plus, Andreas. Et cesse de dire que tu ne me mérites pas... Tu te bases sur quoi? Le fait que tu aies des zones d'ombres dans ton passé? Sur le fait que tu viens de retrouver ton fils? Ne dis pas ça... Et si tu tiens à me parler de toi, je t'écouterais...

Elle continuait doucement à jouer avec ses cheveux. Elle espérait vraiment qu'il se calme un peu et elle se demandait pourquoi, comment il pouvait être dans un tel état. Elle ne comprennait pas qu'il puisse être aussi démoralisé... Un instant, elle pensa que c'était parce qu'il avait pensé qu'elle allait le rejetter mais au vu de sa réponse... il aurait du s'arrêter. Elle sourit et recommence à lui parler en lui répétant qu'elle ne comptait pas le quitter à cause de son fils. Question de principe et de logique.
Visiblement ses mots l'ont atteint. Elle le laissa l'aider à se relever, un sourire aux lèvres. Le sourire fut rejoint par un soupire alors qu'il la serrait contre lui. Les yeux à demi fermés, sa tête suivit la caresse de la main d'Andreas dans ses cheveux. Néanmoins, elle l'écoutait.

Andreas -« C’était une réaction pathétique. Excuse-moi de ne pas être ce que tu voudrais que je sois. Je ne voulais pas t’imposer Heath et je comprends tout à fait que tu ne le veuilles pas. Mais alors je te demande, une chose… Accepte-le. Ce garçon à beaucoup souffert par ma faute et maintenant je pense qu’il est temps que je lui offre un meilleure avenir. Je sais que ce que tu penses Iranoe. Mais écoute moi. Voudrais-tu construire cet avenir avec moi ? »

Un instant, le regard argenté brilla de colère. Elle n'appréciait pas ce qu'il lui disait au sujet de ce qu'elle voulait qu'il soit et qu'il n'était pas. Mais la colère fut remplacée par de la surprise lorsqu'il lui demanda si elle voulait construire son avenir avec lui. Elle resta un moment silencieuse puis répondit.

Iranoe -Ecoute moi bien, Andreas. Je t'accepte comme tu es... Comme je m'attends à ce que tu m'acceptes comme je suis. Je te veux comme tu es. Est ce clair? Pour Heath, bien évidemment que je l'accepte. Il fait partie de toi. Je ne me sens pas l'âme d'une mère ni même d'une belle mère mais je peux au moins essayer. Je l'accepte mais je ne te garantie pas de parvenir à quoique ce soit avec lui...

Elle s'arrêta un moment puis reprit.

Iranoe -Pour ce qui est de l'avenir... Si tu as comprit ce que je viens de te dire et que tu m'acceptes comme je suis... Oui, je veux bien.

Elle lui sourit et tandis qu'il se baissait vers elle, elle se surpris à avoir follement envie de l'embrasser. D'ailleurs, c'est ce qu'elle allait faire lorsqu'il lui dit.

Andreas – « Iranoe … Je t’aime tellement. »

Surprise. Irane se figea en plein mouvement. Elle ne s'attendait pas à ce qu'il se déclare. Elle reste immobile un moment, son coeur battant la chamade. Elle finit par sourire, l'embrasser tendrement et par murmurer contre ses lèvres.

Iranoe -Moi aussi, Andreas.

Invité

Iranoe – « Je ne t'insulterais pas plus, Andreas. Et cesse de dire que tu ne me mérites pas... Tu te bases sur quoi? Le fait que tu aies des zones d'ombres dans ton passé? Sur le fait que tu viens de retrouver ton fils? Ne dis pas ça... Et si tu tiens à me parler de toi, je t'écouterais... »

Le vent soufflait sur le cimetière et Andreas était deux de tension et trois de pression. Il essayait d’avoir une respiration normale mais toutes les deux seconds il perdait le calme qu’il avait réussi à avoir et recommençait à pleurer. Le vent soufflait sur le cimetière et Andreas cachait son visage dans la veste et les cheveux d’Iranoe.

Andreas – « Je me base sur le faites que j’ai tué mes deux ex-femme. Sur le faite que je me retrouve avec un gosse à charge et sur le faite que j’ai entre mes mains une magnifique jeune femme que j’aime. Voilà sur quoi je me base. Il est rassurant ton homme non ? »

Tic. Tac. BOUM. Fait une bombe, ainsi sont les phrases de Pravda. Sèche, nette, et brèves. Toujours ancré en elle, Pravda savourait ce moment parce qu’il savait que tout avait une fin et vue ce qu’il venait de dire, la fin serait plus rapide qu’il ne le croyait.

Iranoe – « Ecoute moi bien, Andreas. Je t'accepte comme tu es... Comme je m'attends à ce que tu m'acceptes comme je suis. Je te veux comme tu es. Est ce clair? Pour Heath, bien évidemment que je l'accepte. Il fait partie de toi. Je ne me sens pas l'âme d'une mère ni même d'une belle mère mais je peux au moins essayer. Je l'accepte mais je ne te garantie pas de parvenir à quoique ce soit avec lui... »

Andreas – « Merci Iranoe. Mais je pense que nous avons beaucoup de chose à nous dire et … Je ne suis pas certain que tu m’acceptes comme je suis. Dans mon sang, coule un sang de tueur. De mes propres mains, j’ai tué mes deux femmes. J’ai même penser à vouloir tué Heath, mais il était trop petit et je ne savais pas comment camouflé sa disparition alors … J’ai l’ai seulement laissé vivre seul. »

Iranoe – « Pour ce qui est de l'avenir... Si tu as comprit ce que je viens de te dire et que tu m'acceptes comme je suis... Oui, je veux bien. »

Le cœur qui fait « BOUM » et Andreas Pravda qui est heureux. Toujours collé à elle, il laissait ses yeux dans les siens. Parce qu’il aimait ce moment parce qu’il l’aimait elle. Tout simplement. Avec elle, il voulait construire un avenir. Evolué à ses coter, voir grandir Heath avec elle. Tant de chose… Quand Iranoe l’embrassa, un frisson parcouru le corps de Pravda. Il ne savait l’expliquer. C’était la première fois qu’il ressentait cela. Quelque chose de fort se produit en lui. La serrant plus fort contre lui. Andreas laissa vaguer ses lèvres contre les siennes.

Iranoe – « Moi aussi, Andreas. »

Andreas – « Iranoe … Veux-tu. »

Devenir ma femme.

Sujet: Re: Ambiance...[Pv] Ven 21 Sep 2007 - 20:43

Il pleure... Encore. Elle ne sait pas quoi faire pour qu'il s'arrête, pour qu'il se sente suffisamment rassuré pour arrêter de lui même. Elle se contente de le garder contre elle et de tenter plus ou moins bien, de le protéger du froid. La même question tourne et vire dans sa tête... Pourquoi il pleure?

Andreas -« Je me base sur le faites que j’ai tué mes deux ex-femme. Sur le faite que je me retrouve avec un gosse à charge et sur le faite que j’ai entre mes mains une magnifique jeune femme que j’aime. Voilà sur quoi je me base. Il est rassurant ton homme non ? »

Elle reste un instant figée pendant qu'elle intègre ce qu'il vient de lui dire. Ce n'est pas le compliment qui la marque même si à un autre moment, il l'aurait fait rougit plutôt violemment. C'est d'apprendre qu'il a tué ses deux ex femmes... Respire. Ok, elle se doutait déjà qu'il avait été marié... Donc rien de nouveau sous le soleil. Par contre, qu'il les a tué de ses propres mains, ça c'est un scoop... Elle finit néanmoins par déposer une main froide sur sa nuque pour lui caresser les cheveux. Il a tué, elle a tué... Pourquoi en serait elle choquée?

Certes, cela l'effraye un peu pour son avenir avec lui mais elle songe que ce n'est pas le moment de lui poser des questions. Elle le serre un peu plus contre elle tandis qu'il reprend.

Andreas – « Merci Iranoe. Mais je pense que nous avons beaucoup de chose à nous dire et … Je ne suis pas certain que tu m’acceptes comme je suis. Dans mon sang, coule un sang de tueur. De mes propres mains, j’ai tué mes deux femmes. J’ai même penser à vouloir tué Heath, mais il était trop petit et je ne savais pas comment camouflé sa disparition alors … J’ai l’ai seulement laissé vivre seul. »

Iranoe -Andreas... J'ai aussi beaucoup de choses à te dire...

Elle n'en dit pas plus. Il n'est pas temps qu'elle parle d'elle. Pour l'instant, il n'y a que lui qui compte. Lui qui pleure dans ses bras mais qui finit par s'arrêter pour lui demander si elle veut partager son avenir avec lui. Malgré ce qu'elle vient d'apprendre, elle répond oui... Parce qu'elle n'a pas peur et parce qu'après ce qu'elle a vécu, elle n'a même plus peur de la mort. Après qu'il lui ait dit qu'il l'aimait, elle joue un moment avec ses lèvres, parce que ça l'amuse et parce qu'elle en a envie. Et ce faisant, elle flotte sur un petit nuage. Il l'aime, elle l'aime, elle vient juste de lui dire. Par contre, elle revient sur terre quand il répond.

Andreas -Iranoe... Veux tu.

Surprise. Elle recule légèrement histoire de pouvoir le regarder dans les yeux et demanda doucement.

Iranoe -Vouloir quoi Andreas?

Invité

Iranoe – « Andreas... J'ai aussi beaucoup de choses à te dire... »

Parle mon ange. Mon cœur n’écoute que toi. Les battements du cœur de Pravda étaient irréguliers. Ils passaient des normales aux rapides. Sans comprendre toute cette pression qui s’exerçait sur lui. Inspirant encore une fois l’air frais, Andreas prit la main d’Iranoe et la serra dans la sienne. Un sourire. Il aimait tant l’embrasser. Il aimait tant goûter à ses lèvres si douces qu’il en était sur son nuage.

Iranoe – « Vouloir quoi Andreas? »

De battre pendant quelques secondes … Son cœur s’était arrêté. Il ne savait comment lui dire qu’il voulait qu’elle devienne sa femme. Et en temps normal, Andreas n’était pas doué pour ce genre de chose. Très maladroit avec les gens, très froid par moment. Mais ce petit homme était à présent heureux et lui souhaitait changer. Offrir tout son amour à Iranoe et à Heath. Lentement, Andreas se laissa tomber sur le sol. Il était accroupi. Sa main tenait toujours celle d’Iranoe et ses yeux ne fixaient que les siens. Inspirant encore une fois. Andreas se jeta à l’eau.

Andreas – « Mademoiselle Sayuri Iranoe. En ce soir de pleine lune et dans ce lieu qui vous est si cher. J’ai une demande à vous faire. »

Il s’arrêta quelques instant pour voir si le visage de sa futur femme ne changeait pas. Elle avait toujours posé sur ses lèvres, celui rassura amplement l’homme heureux qu’il était. Toussotant, il reprit son courage.

Andreas – « Voulez-vous devenir ma fiancée ? »

Le mangemort se tu quelques secondes, ses pupilles étaient grandes ouvertes et il ne cessait de tenir sa main. Il la serrait de plus en plus fort. Pour lui prouver qu’il était là. Qu’il avait changé et qu’il comptait encore changer. Affichant un sourire heureux sur ses lèvres, l’homme resta inerte devant-elle.

La question est difficile, la réponse est simple : Oui où non.

Sujet: Re: Ambiance...[Pv] Mar 25 Sep 2007 - 1:04

A quelque part, elle sent que ce qu'il a à lui dire va changer quelque chose sans qu'elle parvienne à deviner quoi. Un instant, elle a encore l'envie de tout lui dire tout ce qui lui pèse sur le coeur depuis quelques temps déjà... même si cela ne le concernait pas directement. Pour l'une des premières fois de sa vie, elle a envie de se confier. Certes, elle parle régulièrement avec Less... Mais la situation est différente à cet instant.

Lorsqu'il lui prend la main pour la serrer, elle lui sourit doucement tandis qu'il commence une question et ne l'achève pas. Elle finit par lui demander, histoire de l'encourager un peu, ce qu'il voulait savoir ou du moins, lui dire. Les prunelles argentées marquent la surprise quand elle le voit se laisser tomber au sol. Un instant, elle s'interroge sur ce qu'il se passe mais elle trouve rapidement une lueur rassurante dans le regard d'Andreas, accroupit à ses pieds.

Andreas -« Mademoiselle Sayuri Iranoe. En ce soir de pleine lune et dans ce lieu qui vous est si cher. J’ai une demande à vous faire. »

[i]Merlin... pourquoi se met il soudain à la vouvoyer. Elle ne comprend pas vraiment ce qui se passe. Les questions tournent et se retournent dans son esprit et une petite voix tente de la convaincre qu'il va lui faire sa demande... Non... C'est impossible... Et pourtant...

Andreas – « Voulez-vous devenir ma fiancée ? »

Son coeur rate un battement... enfin deux... plutôt trois même. Ses lèvres s'ouvrent légèrement sous le coup de la surprise. Il vient de lui demander sa main... Elle n'y croit pas durant un moment qui semble durer une éternité. Néanmoins, elle ne bronche pas, elle garde sa main dans la sienne, son regard plongé dans le sien. A quelque part, elle a envie de faire durer ce moment.... d'un autre côté, résonne à ses oreilles ce qu'il lui a dit quelques instants plutôt.

Il a tué ses deux ex femmes. Sa réflexion se prolonge. Elle hésite à dire oui... ou non. Elle n'a pas envie de lui dire non. Elle tient trop à lui. En même temps, l'idée qu'il ait tué ses deux femmes et qu'il puisse faire la même chose la paralyse un peu... Elle ne craint plus la mort mais ne supporterait pas de souffrir encore. Elle l'observe. Elle observe son sourire heureux.

Iranoe -Oui.

Soudain impressionnée par ce qu'elle vient de dire, elle sourit timidement. Elle pense avoir fait le bon choix. Parce qu'elle en a envie et parce qu'elle l'aime aussi.

Invité

Iranoe – « Oui. »

Toute cette pression sur ses épaules redescendit. Affichant un large sourire Andreas ne pouvait contenir son émotion. D’un bon, il sauta et serrant Iranoe dans ses bras. S’éloignant quelques peu d’elle, il lui prit les deux mains, et tel un gamin de cinq ans il l’a lança dans les airs. Aussi légère qu’une plume sa nouvelle femme. A la fin du jeu, Le mangemort attrapa lentement sa femme par les épaules. Portant ses lèvres fraîches au siennes. Il ferma les yeux. Parce qu’il n’y a rien de plus beau que l’amour. Dans ce baiser, il y mêlait passion à tendresse. Tout a une fin, et le baiser aussi.

Andreas – « Iranoe Sayuri Pravda. Très bientôt tu auras le mariage d’une princesse, je te le promets ma femme. »

De toute sa vie, jamais Pravda n’aurait cru dire cela. Prenons l’exemple d’Helga. Cette femme a eu un mariage de merde. Désolée de l’expression. Mais une petite salle avec trois personnes, des fleures et une simple robe. Vous appelez cela un mariage ? Pravda non. Avec Iranoe il veut viser haut. Visez grand et cher. Parce qu’elle le mérite. Cette petite femme, vaut toujours l’or de l’univers.

Andreas – « Je ne veux pas que tu attrapes froid, prend ma veste. »

Retirant à son lui-même sa veste. Pravda la déposa sagement sur les épaules de sa femme. De plus, il sa serra contre lui. Déposant un baiser sur ses cheveux, l’homme fit vaciller sa tête vers les nuages.

Andreas – « Que voudrais-tu faire ? »

Une simple petite question, parce que maintenant le moteur d’Andreas était Iranoe. Si femme veut aller à gauche, homme irait à gauche. Ainsi de suite. Il ne voulait plus jamais prendre de décision seule, toujours avec elle à présent.

Sujet: Re: Ambiance...[Pv] Mar 25 Sep 2007 - 21:57

Oui... Elle lui a dit oui. Elle n'en revient toujours pas quand elle sent la tension redescendre d'un coup. Elle ne parvient pas à croire que grâce à ce simple mot, elle est fiancé à Andreas. Un instant, elle se demande ce que cela peut bien changer... Rien ou du moins pas grand chose... Elle lui est simplement liée. Elle l'était déjà depuis qu'il a posé ses lèvres sur les siennes pour la première fois, il y a quelques temps déjà. Que tout semble se passer vite, peut être trop, ne la choque pas. Elle ne se pose même pas la question. Par contre, lorsqu'il la lance en l'air, elle ne peut s'empêcher de le maudire même si cela la fait sourire. Elle se laisse serrer contre lui, lui rend son baiser avec une immense tendresse durant lequel elle niche une main glacée sur sa nuque.

Andreas – « Iranoe Sayuri Pravda. Très bientôt tu auras le mariage d’une princesse, je te le promets ma femme. »

Entrendre pour la première fois ce qui sera un jour son nom, lui fait bizarre sur le coup... Mais elle finit par lui sourire, tranquille. Ses doigts jouent un instant avec ses cheveux tandis qu'elle lui demande, taquine.

Iranoe -Avec plein de fleurs, de ptit coeurs roses, une immmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmensse pièce montée, des cheveux etc etc?

Les prunelles pétillent littérallement de malice. Elle se retient un instant puis éclate de rire. Elle le taquine... Bien que ce qu'il vient de lui dire le fait poser des questions... Elle n'a jamais réellement pensé la manière dont elle veut se marier... Un truc simple, un truc kitsh... Plein de possibilités mais aucune idée. Elle chasse ces pensées, il serait vite temps d'y songer... plus tard.

Andreas – « Je ne veux pas que tu attrapes froid, prend ma veste. »

Elle n'a pas le temps de protester qu'il pose lui même sa veste sur ses épaules. Elle sourit avant de pencher la tête pour sentir son odeur tandis qu'il la serre contre lui. Elle soupire en se blottissant au creu de ses bras. Lorsqu'il lui demande ce qu'elle veut faire, elle se fige un peu puis finit par se reculer suffisamment pour qu'elle puisse le regarder.

Iranoe -J'aimerais qu'on parle, Andreas... J'ai des choses à te dire... Si je ne te les dis pas maintenant, je n'aurais pas le courage de le faire plus tard...

Elle baisse les yeux. Elle s'encourage intérieurement. Elle doit lui dire. Il doit savoir. Elle frissonne non pas de froid mais de peur de sa réaction. Sa tête se baisse lentement et elle finit par murmurer d'une voix si basse qu'Andreas est le seul à pouvoir l'entendre.

Iranoe -Tu te souviens, le jour de notre rencontre? Je t'ai dit que je rentrais de voyage... Ce n'était pas vraiment ça... Je ne revenais pas de voyage... J'étais et je suis encore en convalescence, Andreas. Je n'ai pas passé deux ans à travailler pour le Magenmagot dans un autre pays... Je les ai passé.... A nouveau, elle frissonne. Elle regrette d'avoir commencé à lui avouer tout ce qu'il devait savoir sur elle mais elle n'a pas le choix: il faut qu'elle continue un peu plus bas, si c'est encore possible. ... Je les ai passé chez mon père... Dans un cachots de chez mon père, pour être précise...

Invité

Iranoe – « Avec plein de fleurs, de petit coeurs roses, une immense pièce montée, des chevaux etc. etc.? »

Devant la joie et la bonne humeur de sa futur femme. Pravda ne pu s’empêcher d’éclater de rire. Pour une fois, il avait réussi à combler une de ces femmes. Tout le monde change. Andreas comptait lui offrir le mariage dont elle avait toujours rêvée. Dépenser sans compter, lancer le fric par les fenêtres. Il voyait tout en grand. Tout serait grand.

Andreas – « Tu auras le mariage que tu désires Iranoe. Celui que toutes les femmes veulent, tu l’auras. Les fleurs, les pièces montées, les chevaux, les calèches. Tu auras tout. Parce que je veux que tu aies le meilleur du meilleur. Tu le mérites. »

Esquissant un sourire, il déposa un baiser sur son front. – « Je te protégerai toujours » - La tenant fermement dans ses bras. Andreas éclata de rire avec elle. Que du bonheur. Inspirant l’odeur de son parfum, il était projeté dans le futur. Que de magnifiques rêves. Elle et lui. Iranoe recula et contempla Andreas avant de reprendre quoi que ce soit. Lui qui esquissa un soupir, elle qui reprenait.

Iranoe – « J'aimerais qu'on parle, Andreas... J'ai des choses à te dire... Si je ne te les dis pas maintenant, je n'aurais pas le courage de le faire plus tard... »

Sérieux. Inspirant encore une fois l’air frais du cimetière. Pravda s’installa sur un banc non loin d’elle. Une fois posé dessus, il l’invita à s’assoire sur ses genoux. Il ne savait pas à quoi s’attendre. Peut être au pire. Mais si Iranoe comptait se livrer, Dreas devrait le faire lui aussi. Histoire de remettre les pendules à l’heure.

Andreas – « Je t’écoute mon Ange. »

Caressant lentement son dos, Andreas sentait sa respiration haletante. Elle devait probablement stresser. Il fallait qu’elle se calme, c’est vrai que c’est plus facile à dire qu’à faire. Mais avec du courage, on arrive toujours à se concentrer. C’est parti.

Iranoe – « Tu te souviens, le jour de notre rencontre? Je t'ai dit que je rentrais de voyage... Ce n'était pas vraiment ça... Je ne revenais pas de voyage... J'étais et je suis encore en convalescence, Andreas. Je n'ai pas passé deux ans à travailler pour le Magenmagot dans un autre pays... Je les ai passé.... »

Andreas cessa de bouger sa main, son cœur battait la chamade. Ou avait-elle passé ses vacances ? Que c’était-il passé ? Tant de question, la réponse va suivre. Pravda ne voulait pas la brusquer, il respectait son silence. Il respectait son frisson, il la respectait.

Iranoe – « Je les ai passé chez mon père... Dans un cachot de chez mon père, pour être précise... »

Son cœur s’arrêta. Sa main se serra. Comment ? Pourquoi ? Il ne comprenait pas. Son père n’avait pas le droit de lui faire cela. Une ordure ? Sûrement, serrant Iranoe dans ses bras c’était à lui de la rassurer. Il devait se montrer fort, même si l’envie d’exploser le grand Sayuri était présente.

Andreas – « Je vais essayer de ne pas te brusquer. Mais il est normal que je me pose beaucoup de questions. Tout d’abord, merci de t’avoir confiée. Tu ne peux pas savoir à quel point je suis heureux. Ensuite, pourquoi t’avoir enfermée ? Il te frappait ? Il te faisait du mal ? Explique moi. »

Sujet: Re: Ambiance...[Pv] Jeu 27 Sep 2007 - 14:18

Leur éclat de rire... un moment de complicité unique. Elle en profite au maximum et lorsque son rire meurt au fond de sa gorge, ses prunelles pétillent d'un bonheur contenu. Elle est heureuse.... et c'est la première fois depuis .... longtemps, très longtemps.

Andreas – « Tu auras le mariage que tu désires Iranoe. Celui que toutes les femmes veulent, tu l’auras. Les fleurs, les pièces montées, les chevaux, les calèches. Tu auras tout. Parce que je veux que tu aies le meilleur du meilleur. Tu le mérites. »

Il lui dépose un baiser sur son front, elle pose une main sur sa joue, se hausse sur la pointe des pieds pour déposer un baiser sur ses lèvres. Elle ne lui répond que lorsqu'elle n'est plus en équilibre.

Iranoe -Et toi... Tu parles de moi mais que veux tu, toi?

Un sourire et une caresse le long du cou du jeune homme. Quelques instants plus tard, après qu'il lui ait demandé ce qu'elle voulait faire, elle décide de lui parler. Elle n'a pas envie de lui cacher quelque chose. Elle veut qu'il soit sûr de la vouloir avant de sceller son destin au sien. Elle sait qu'elle s'avance vers des instants difficiles mais elle n'a pas le choix. Elle ne peut pas envisager quoique ce soit sans être honnête avec lui. Elle l'entend soupirer. Elle est à deux doigts de rennoncer mais il l'invite à s'asseoir sur ses genoux, ce qu'elle fait sans se faire prier. Elle s'installe en se blottissant contre lui.

Lorsqu'il lui dit qu'il l'écoute, elle lui est reconnaissante. Elle lui fait un sourire avant de prendre son courage à deux mains et de commencer. Elle parle... Ca lui fait du bien. Avec Less, il va être le seul au courant de tout ce qu'elle a vécu pendant les deux ans où elle a disparu. Elle lui est reconnaissante de ne pas la forcer. Elle tente de se dépêcher mais les mots semblent ne pas vouloir sortir aussi facilement. Enfin, elle finit par le dire. Elle sent la réaction d'Andreas plus qu'elle ne la voit. Dans son dos, la main d'Andreas s'est serrée et elle pressent la colère qui va être la sienne. Elle ferme à demi les yeux et profite des derniers instants qu'elle passe à être contre lui.

Andreas – « Je vais essayer de ne pas te brusquer. Mais il est normal que je me pose beaucoup de questions. Tout d’abord, merci de t’avoir confiée. Tu ne peux pas savoir à quel point je suis heureux. Ensuite, pourquoi t’avoir enfermée ? Il te frappait ? Il te faisait du mal ? Explique moi. »

Ses yeux se ferment tandis qu'elle prend une inspiration. Quelques instants plus tard, elle rouvre les yeux et murmure sans le regarder.

Iranoe -Regarde ma main, Andreas.

Elle attend qu'il pose ses yeux sur sa main et quand elle en est sûre, elle soupire. Lentement, sa main s'illumine... Enfin, s'illumine... Elle luit doucement comme s'il y avait une bougie derrière et que l'on venait de retirer un voile noir. Mais il n'y a pas que cela. Sur la peau blanche, il y a des blessures à peine refermées et des cicartrices qui commencent à peine à disparaître. Elle a ouvert les yeux et ses prunelles grises observent attentivement cette main. Intérieurement, elle s'attend à ce qu'il la rejette mais recommence à parler.

Iranoe -Il m'a enfermé à cause de l'héritage de la famille de ma mère. Je "brille" de cette manière si je n'use pas de mon don sans arrêt. Pour lui, je n'étais qu'un monstre mais un monstre utile puisque j'avais assez de valeur pour qu'il envisage de me "donner" à quelqu'un... Les cicatrices que tu vois... C'est... une partie de ce qu'il m'a fait. Je...

Elle baisse la tête. Au même moment, sa main cesse de luire et les cicatrices disparaissent. Elle laisse retomber sa main et attend... Et attend le jugement d'Andreas.

Invité

Iranoe – « Et toi... Tu parles de moi mais que veux tu, toi? »

Sourire rapide. Sa main était refermée. Il avait une seule envie. Exploser le père d’Iranoe. Pour qui se prenait-il ? Depuis quand on enferme une jeune femme dans un cachot ? Pathétique. Souffle. Respire. Andreas cherchait à se détendre, mais il n’y arrivait pas. Il était blasé d’apprendre ceci. Inspire. L’envie d’une cigarette était présente. Plus tard. Plus Tar[d.

Andreas – « Ce que je veux n’a pas d’important. C’est ce que toi tu veux qui compte pour moi. »

Besoin d’air. Besoin de respirer. Besoin d’avoir tout ce qu’il veut. Esquissant un sourire, Andreas serrait Iranoe contre lui. Parce qu’il avait besoin de la sentir. De sentir sa présence, de sentir qu’il vivait. Tant de chose. Il ne souhaitait pas le presser et il admirait son courage. Iranoe Sayuri – Andreas Pravda. Ils sont tellement différents, mais ils s’assemblent, se complètent. On ne change pas, on met juste les costumes d’autres et voila. On ne cache qu’un instant de sois. Pravda allait changer, qu’elle partie de lui allait-il cacher ? Fermant les yeux, Iranoe inspira. Elle tremblait et Andreas ne cessait de lui caresser le dos pour la rassurer.

Iranoe – « Regarde ma main, Andreas. »

D’un geste lent, il descendit son regard sur sa main. Dans la nuit noire, sa main commençait à briller. Action. Réaction. Pravda ne comprenait pas. Toujours les yeux rivés sur celle-ci, il vit apparaître des cicatrices. Apeuré de voir cela, il l’attrapa et la toucha. Malgré la couleur qu’elle prenait, elle restait la même. Avec des cicatrices, certes. Mais la même. Haussant les sourcils, il attendait qu’elle s’explique.

Iranoe – « Il m'a enfermé à cause de l'héritage de la famille de ma mère. Je "brille" de cette manière si je n'use pas de mon don sans arrêt. Pour lui, je n'étais qu'un monstre mais un monstre utile puisque j'avais assez de valeur pour qu'il envisage de me "donner" à quelqu'un... Les cicatrices que tu vois... C'est... une partie de ce qu'il m'a fait. Je... »

D’accord. Tout s’assembla aussi vite qu’un bonjour. Il comprenait tout à coup pourquoi au début elle avait si peur de lui. Le pourquoi du elle avait peur de l’embrasser. Sans comprendre plus. Andreas la fit pivoter sur le banc et se leva. Se plaçant en face d’elle, il déposa son genou droit sur le sol et inspira. Caressant son visage, il ne savait que lui dire.

Andreas – « Je ne sais que te dire Iranoe. J’aimerai te dire beaucoup de chose, mais je ne trouve pas les mots. Je n’ai qu’une seule envie. Que tu te sentes bien aujourd’hui. Que tu arrêtes de penser à ce qui sais passer. Mais pour l’heure… Tu n’as pas fini ta phrase. Prend ton temps et achève-là. »

Sujet: Re: Ambiance...[Pv] Ven 28 Sep 2007 - 13:01

Elle sent la tension d'Andreas et a l'impression d'en être la seule et unique coupable. Après tout, c'est elle qui est fondamentalement "anormale" même pour ce monde qui ne l'est pas d'après les critères moldus. Elle est tendue, inquiète. Elle a peur qu'il la rejette. Après tout, il a toutes les raisons du monde pour le faire. A quelque part, une petite voix lui dit de lui faire confiance à lui et ses sentiments... Elle le veut. Mais elle n'y arrive pas. Ses réflexes de protection, de manque de confiance en elle et en ce qu'elle vaut sont ancrés si profondément en elle qu'il est parfois dur de s'en détacher. Mais il y a bien une chose dont elle est sûre, c'est qu'elle l'aime.

Andreas – « Ce que je veux n’a pas d’important. C’est ce que toi tu veux qui compte pour moi. »

Je veux que tu m'acceptes comme je suis avec mes défauts et mes peurs. Je veux que tu continues à m'aimer. Je veux... C'est ce qu'elle a envie de lui dire. Elle ferme les yeux et se laisse serrer contre lui, encore et encore. Elle a besoin de le sentir près d'elle, de profiter de sa présence tant qu'il accepte encore de la lui donner. Elle tremble sous ce qu'elle a lui dire, sous ce qui lui pèse tant et sous sa peur de se voir encore rejettée. Il lui caresse le dos pour la rassurer. Elle apprécie et sourit légèrement avant de lui demander de regarder sa main.

Sa main... Cette main qui se met doucement à luire comme si une bougie est présente derrière sa peau. Elle sent Andreas se figer et avoir peur de ce qu'il voit. Les yeux à moitié fermés et luttant contre les larmes qui menacent de rouler le long de ses joues, elle le laisse toucher sa main. Elle décide alors de s'expliquer. Elle n'a plus le choix. Elle lui doit bien ça. D'un coup, les mots défilent, s'écoulent de ses lèvres en un seul bloc... Ce n'est qu'au moment où elle va pour lui dire ce qu'elle a subit qu'elle s'arrête.

Elle se raidit lorsqu'il se lève après l'avoir déposée sur le banc. Elle s'attend à ce qu'il s'en aille et la laisse plantée là. Mais il se place devant elle. Elle n'ose pas lever les yeux vers lui. Elle a honte... Il faut être réaliste. Elle a honte de ce qu'elle est, de ce qu'elle a été forcée de faire... honte de tout. Elle frémit lorsqu'il se met à lui caresser le visage. Elle retient un soupire pendant qu'il lui parle doucement.

Andreas – « Je ne sais que te dire Iranoe. J’aimerai te dire beaucoup de chose, mais je ne trouve pas les mots. Je n’ai qu’une seule envie. Que tu te sentes bien aujourd’hui. Que tu arrêtes de penser à ce qui sais passer. Mais pour l’heure… Tu n’as pas fini ta phrase. Prend ton temps et achève-là. »

Se sentir bien... Oublier ce qu'il s'est passé... Si elle sait qu'elle va y arriver pour la première envie d'Andreas, elle n'est pas sûre d'y arriver pour la seconde. Trop de marques. Elle revoit le moindre détail dans ses cauchemards et dans son miroir quand elle se regarde. Malgré la potion, elle ne cesse d'y penser, de tout revoir. Elle pose l'une de ses mains sur celle d'Andreas qui caresse sa joue. Il faut qu'elle termine sa phrase, il semble savoir ce que cela lui coûte de remettre des mots sur ce qu'elle a vécu mais elle comprend pourquoi il la force à le dire. Elle baisse encore un peu la tête et murmure d'une voix presque inaudible.

Iranoe -Il... m'a tortué et ... violé, Andreas. Je... Il a laissé ses gardes du corps faire... la... même...chose. Je... suis...désolée.

Sous le coup de l'émotion, elle tremble et ferme les yeux en attendant la sentence d'Andreas.

Invité

Iranoe – « Il... m'a torturé et ... violé, Andreas. Je... Il a laissé ses gardes du corps faire... la... même...chose. Je... suis...désolée. »

Tremblement. Andreas la serrait chaque seconde un peu plus fort. Elle semblait perdue, elle ne savait plus quoi lui dire. Sa voix était brisée et son cœur avec par la même occasion. L’homme la laissa tomber sur le coté et il se leva. Accroupit devant-elle, Andreas attrapa ses mains et les serras dans les siennes, son regard ne pouvait quitter le siens. Elle lui avait tout dit.

Andreas – « Ecoute moi ma Chérie. Avec le temps, toutes tes blessures partiront. Elles seront douloureuses, mais dans peu de temps tu pourras te dire que tout ceci appartient au passé. Vie au présent Iranoe. Tu verras la vie sous un autre angle. »

Pravda bascula vers l’avant et embrassa tendrement Iranoe. Une de ses mains vint se poser sur la nuque de la jeune femme. Imprévisible. Silence. Ses lèvres étaient toujours posées sur celle d’Iranoe. Le silence était acceptable est le temps magnifique. Des étoiles pleins le ciel. Pour mettre fin à ce baiser, Andreas mordilla lentement la lèvre de sa conjointe.

Andreas – « Tu veux que l’on fasse quoi mon Ange ? »

Sans trop vouloir la brusquer. Sans trop vouloir la presser. Il mettait juste des questions en place pour avoir des réponses futures. Laissant apparaître un sourire sur ses lèvres, il sortit une cigarette de son paquet et la montra du doigt. Je peux ?!

Sujet: Re: Ambiance...[Pv] Dim 30 Sep 2007 - 20:14

Il tremble. Elle a peur qu'il soit en colère. Elle ferme les yeux forts pour se donner le courage d'entendre ce qu'il va lui répondre. Il ne sera pas le premier à la rejetter. Elle connaît ça mais pour la première fois de sa vie, ça lui fait peur. Elle trésaille tandis qu'il la laisse tomber sur le côté. Pour le coup, elle rouvre les yeux, s'attendant à le voir partir loin d'elle. Mais il s'accroupit devant elle, lui prend les mains et plonge son regard dans le sien.

Andreas – « Ecoute moi ma Chérie. Avec le temps, toutes tes blessures partiront. Elles seront douloureuses, mais dans peu de temps tu pourras te dire que tout ceci appartient au passé. Vie au présent Iranoe. Tu verras la vie sous un autre angle. »

Elle secoue la tête. Elle a du mal à croire ce qu'il lui dit. Elle n'arrive pas à songer que tout ça ne sera bientôt qu'un simple cauchemard, une blessure qu'elle enfermera soigneusement au fond d'elle pour ne plus y penser. Elle va pour lui répondre quand il l'embrasse. Fin de la discution. Elle ne doit plus y penser et le laisser faire, le laisser lui montrer le chemin. Elle frissonne lorsqu'il pose sa main dans sa nuque mais elle lui rend son baiser avec tendresse. Et elle ne peut s'empêcher de sourire lorsqu'il lui mordille la lèvre.

Andreas – « Tu veux que l’on fasse quoi mon Ange ? »

Sourire. Elle n'en sait rien. Elle a envie de profiter du moment sans bouger. Ne rien faire et profiter de l'autre. Mais elle n'a pas l'impression que cette réponse va lui plaire. Alors, elle réfléchit. Quand il lui demande s'il peut fumer, elle hésite un instant avant de lui accorder l'autorisation en ajoutant, taquine.

Iranoe -Oui, mais il est hors de question que tu m'embrasses ensuite...

Elle le taquine. Elle sait pertinemment qu'elle ne pourra par lui dire non s'il s'approche pour l'embrasser. Elle lui tend simplement une perche. Elle fait glisser une main sur sa joue et répond enfin à sa question.

Iranoe -Je ne crois pas que l'on pourrait boire quelque chose à quelque part... J'aimerais bien te dire de venir chez moi... Mais je n'ai pas encore retrouvé de maison et je ne suis pas certaine que celle qui m'héberge en ce moment accepterait que je ramène quelqu'un qu'elle ne connaît pas... Tu connais un endroit où on peut être au chaud et tranquille?

Invité

Iranoe – « Oui, mais il est hors de question que tu m'embrasses ensuite... »

Rire. A son tour, il plongea ses yeux dans les siens. Le calme était revenu. Iranoe lui avait tout dit et lui aussi. Les pendules étaient remis à l’heure. Tout était parfait. Perfectionniste jusqu’aux bouts des ongles. La serrant une dernière fois dans ses bras, il goûta une seconde fois à ses lèvres et la repoussa lentement.

Andreas – « Qu’est-ce que je viens de faire mon Amour ? »

N’est-ce pas un magnifique tableau que nous avons ici ? Dites moi oui, j’en serais ravie. L’homme tenait à présent la main de sa femme. Tout était sombre ici, tout était mort. Aucune marque de présence à par eux. Inspirant l’odeur de son parfum, ils allaient bientôt se quitter ; Andreas avait rendez-vous avec les Mangemorts et Iranoe devait sûrement vaquer à ses occupations.

Iranoe – « Je ne crois pas que l'on pourrait boire quelque chose à quelque part... J'aimerais bien te dire de venir chez moi... Mais je n'ai pas encore retrouvé de maison et je ne suis pas certaine que celle qui m'héberge en ce moment accepterait que je ramène quelqu'un qu'elle ne connaît pas... Tu connais un endroit où on peut être au chaud et tranquille? »

Parce quelle voulait être encore et encore avec lui. Mais que le devoir l’appelait. Depuis quelques minutes sa langue brûlait. Signe d’une réunion à la crypte. Il ne savait comment lui dire qu’il devait partir sans trop l’informer de ses occupations en tant que Mangemorts. Se ravisant à la serrer une toute dernière fois dans ses bras, il remonta sa veste et rabattu son col pour réchauffer son cou.

Andreas – « Pour un endroit chaud, je t’aurais bien dis chez moi. Mais je pense qu’il est encore un peu tôt pour Heath. Petit à petit il recommence à parler. Et avant de te faire rentrer totalement dans notre famille, je préfère ré avoir un climat tranquille. »

Il lui attrape la main et tournent les talons. La guidant jusqu’aux portails du cimetière il s’attendait à la revoir demain. Sans trop se soucier de la réunion, il savait qu’il allait arriver en retard. Et puis quoi ? Tout le monde à une vie non ? Il trouverait bien une excuse plausible. Un câlin, des baises. Une main qui se lâche.

Andreas – « Je t’aime mon Ange. Sois prudente. J’espère que les anges seront dans tes rêves. »

Il la regarda partir. Ses mains à présents dans ses poches, il plaça sur son visage un sourire neutre et une attitude froide. Parce qu’avec ses proches Andreas joue le gentil.

Invité

Je déplace. =)
RP terminé. Merci Nadège.