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 Misa Smirnoff [Terminé]

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Misa Smirnoff
Elève de sixième année.
Misa Smirnoff


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MessageSujet: Misa Smirnoff [Terminé]   Misa Smirnoff [Terminé] EmptyLun 23 Fév 2009 - 14:23

Misa Smirnoff
« Smirnoff, à consommer avec modération »

Misa Smirnoff [Terminé] 1235387078_n1306774852_132835_7701



[list]&&. # 001. SCENE D'EXPOSITION.

    NOM, PRENOMS : SMIRNOFF, Misa Gwendolyn Alice

    SEXE : Féminin
    ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle
    ETAT CIVIL : Célibataire

    SANG : Sang-Mêlé
    ANNEE D'ETUDE : 6ème
    BAGUETTE : Mesurant exactement 23 centimètres, elle est taillée dans du bois d’aubépine et contient un crin de licorne adulte.

    DATE DE NAISSANCE : 13 Février
    LIEU DE NAISSANCE : Elle est née dans un village irlandais loin de tout.
    LIEU DE RESIDENCE : Londres


&&. # 002. HISTORIQUE FAMILIAL.

    Le père de Misa se nomme Ted Smirnoff. Malgré son nom atypique, lui ayant valu de nombreuses moqueries et lui ayant enlevé toute crédibilité en de nombreuses circonstances (« Votre nom » « Ted, Ted Smirnoff » « Smirnoff ? … vous êtes ivre ? »), ce Moldu persévérant, originaire d’un village irlandais totalement inconnu, a su profiter de son imagination débordante pour écrire des livres, devenir un écrivain notoire et pouvoir s’assurer d’avoir toujours les moyens financiers nécessaires pour vivre sereinement, loin de se soucier des taxes et des impôts. Ted Smirnoff n’avait jamais eu aucune connaissance de la magie avant de rencontrer celle qui fut la mère de ses deux enfants, mais son ouverture d’esprit et son esprit créatif n’eurent aucun mal à concevoir qu’un autre peuple existait réellement.
    Cette femme, qu’il vit pour la première fois après avoir publié son premier livre, lors d’une soirée organisée par sa famille pour fêter cet évènement, était en effet une sorcière issue d’une famille au sang pur, nommée Allison Salander, invitée car elle était très appréciée par un frère de Ted.

    Allison Salander, devenue Allison Smirnoff par mariage, est une femme au fort caractère, n’hésitant pas à ouvrir la bouche à tord et à travers, chose dont Misa a hérité. Elle a fait ses études à Poudlard, dans la maison Gryffondor, et a obtenu son diplôme de justesse. Devenue journaliste par la suite, elle a toujours soutenu avec force le côté du « bien » et s’est détachée de sa famille sorcière car elle ne partageait pas leur conviction. Elle a toujours été instinctivement attirée par le monde moldu, impressionnée par la façon dont ces êtres dépourvus de la moindre parcelle de magie faisaient pour vivre pleinement sans avoir recours à la moindre baguette magique.

    Allison et Ted ont deux filles. L’aînée se nomme Hina Smirnoff, mais elle préfère se faire appeler par le nom de jeune fille de sa mère, abhorrant l’alcool et, par conséquent, délaissant volontiers le patronyme de son père. Âgé de quatre ans de plus que Misa, elle a achevé ses études de sorcellerie avec brio chez les Serdaigle et travaille au ministère, restant neutre aux circonstances. Hina est tout simplement l’opposé de Misa. Alors que Misa est curieuse voire fouineuse, Hina sait rester à sa place. Misa est emportée, Hina est douce. Misa est bouillonnante, Hina ne se départie jamais de son calme. Misa est imprudente, Hina est posée. De plus, Hina est grande et belle, possédant une longue chevelure noire comme l’encre de Chine et des courbes généreuses, sachant attirer le regard de la gente masculine.

    La famille Smirnoff a éclaté dix ans après la naissance de Misa.
    Allison Smirnoff, par sa plume impertinente, était haïe par de nombreux mages noirs. Après avoir résisté courageusement aux menaces, elle craignait que la vie de sa famille ne soit en danger et elle préféré s’enfuir pour vivre cachée, chose que Misa ne lui a jamais pardonné. Pour elle, cet acte n’est que pure lâcheté et elle voit très rarement sa mère, protégée par le sort de Fidelitas appliqué à une sorcière dont personne ne se méfie.
    En revanche, Misa a toujours été fascinée par son père. Cet homme au regard d’un noir d’encre, dont Hina a hérité mais pas elle, capable de créer des personnages à partir d’une page blanche et de faire naître des histoires prodigieuses, suscitait toujours l’admiration en elle, bien incapable d’imaginer des personnages fictifs et se demandant toujours comment il pouvait rester des heures enfermés dans son bureau à écrire.

    Le contraste Hina-Misa n’a jamais empêché les deux sœurs de s’apprécier, mais leurs différences créèrent parfois de violentes disputes, auxquelles Misa pouvait s’avérer extrêmement brutale et Hina d’une froideur inquiétante. Les deux sœurs restent en bons termes, malgré les reproches que chacune aimerait dire à l’autre.


&&. # 003. L'APPARENCE.

    DESCRIPTION GENERAL : Misa ressemble à une poupée, fragile et délicate, qu’un simple coup de vent semble pouvoir briser. On lui dit également souvent qu’elle ressemble à Alice au Pays des Merveilles, vue par le peuple moldu. Mais il ne faut pas se fier à son air réservé. Misa n’a rien d’une poupée, au contraire : elle n’est ni fragile, ni calme, ni douce. En revanche, elle présente dans son caractère quelques similitudes avec Alice, comme sa trop grande curiosité, son courage excessif, son insouciance ou son envie de vivre dans un monde « merveilleux » où tout n’est que rêve. Oui, Misa aimerait goûter au Pays des Merveilles.

    Misa a toujours été plus petite que ses camarades et étonnamment maigre. Dépourvue de toutes formes féminines, elle n’a presque pas de poitrine, des hanches minuscules et des cuisses à peines plus épaisses que ses chevilles. Cela est plus dû à sa morphologie qu’à un quelconque trouble alimentaire et elle se dépense beaucoup, si bien qu’elle n’accumule pas les calories : en autres, elle pratique de la boxe, chose bien dure à croire. Elle a choisit ce sport pour canaliser son énergie.
    Malgré sa carrure frêle qui la fait davantage ressembler à une fillette qu’à une jeune fille, une grande énergie émane de son chétif corps. Bien que loin d’être gracieuse, belle et agrémentée de courbes généreuses et charnues comme les femmes dont raffolent la plupart des hommes, Misa est mignonne. Juste mignonne.

    Son visage au teint pâle presque maladif, tout en finesse, semble taillé dans de la porcelaine et ne brunit jamais. Les rayons du soleil ne parviennent qu’à l’empourprer. Empreint de rêverie –encore un point commun physique avec une petite fille comme Alice- il lui confère un air innocent, trahi par un petit sourire mutin s’apparentant au rictus moqueur, qui apparaît par intermittence sur sa bouche aux lèvres joliment incurvées, naturellement d’un rose très pâle. Ce visage blême et enfantin est encadré par des cheveux blonds qui tourbillonnent en épaisses anglaises jusqu’à ses épaules, hormis quelques mèches qui retombent en désordre sur son front.

    Ses yeux sont d’un bleu ardent et farouche, au regard curieux et insolent. Souvent maquillés grâce à du khôl noir, ils paraissent transpercer quiconque ils regardent. Ce khôl est le seul maquillage qu’elle met et elle ne coiffe quasiment jamais ses cheveux bouclés. Son regard traduit parfaitement son caractère bouillonnant et d’un courage frôlant souvent l’imprudence totale ; quant à son air rêveur, il trahit son étourderie.


    SIGNE(S) PARTICULIER(S) : Après sa cinquième année à Poudlard, Misa a décidé d’avoir des tatouages. Cet acte, considéré comme puéril ou courageux, au choix –deux adjectifs qui, de tout façon, caractérisent la jeune fille- s’est soldés par une rose, rouge comme le sang, sur la cheville gauche et par un loup tribal traversant ses reins. De plus, ses oreilles sont couvertes de piercings. Elle a également une légèrement cicatrice sur la nuque, souvenir d’un accident ayant eu lieu lors de son enfance.

    STYLE VESTIMENTAIRE : Misa aime ce qui est insolent, sans jamais être vulgaire –elle déteste la vulgarité. Elle s’habille souvent en pourpre, écarlate, cramoisi, vermeil et autres nuances de rouges, mélange adroitement chemises classes –et chères- avec des jeans serrés et soigneusement déchirés, ne quitte jamais son blouson de cuir élimé convenant mieux à un motard qu’à une jeune fille, va dans la poussière avec des ballerines de marques, détruit les talons qui ornent ses chaussures, et se rend à des soirées vêtue d’une magnifique robe lui ayant coûté de nombreuses économies et arborant de piercings aux oreilles, des colliers et des bracelets ornés de piques autour du cou et des poignets. En revanche, elle ne s’achète que des habits considérés comme « chers », profitant d’avoir des ressources financières. Elle n’aime pas porter des robes typiquement sorcières, les trouvant affreusement sérieuses et déprimantes.


Dernière édition par Misa Smirnoff le Lun 23 Fév 2009 - 23:37, édité 1 fois
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Misa Smirnoff
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MessageSujet: Re: Misa Smirnoff [Terminé]   Misa Smirnoff [Terminé] EmptyLun 23 Fév 2009 - 23:34

&&. # 004. LES MEMOIRES.

    L' ENFANCE : Misa naquit un treize février, veille de la Saint Valentin, dans un village perdu de l’Irlande. Autour de ce village, tout n’était que plages, falaises, herbe haute et sauvage, immenses plaines… Il y avait peu de voitures, peu de population… Ses parents avaient décidé d’y demeurer tranquillement, vivant tous les deux par leurs plumes, l’un en écrivant des livres, l’autre en écrivant des articles de journaux.

    Dès qu’elle fut capable de tenir sur ses jambes, Misa se mit à explorer les environs, curieuse.
    Elle restait très peu chez elle et allait courir dans les champs, grimpait aux arbres et marchait sur la plage en ignorant le soleil de plomb ou, plus souvent, la pluie qui s’abattait sur elle. Elle aimait particulièrement errer pieds nus sur le sable, sa belle robe déchirée, l’écume lui léchant les mollets et les cheveux ruisselant autour de son visage.

    Elle connut vite par cœur les environs de sa maison. Elle connaissait chaque détail des falaises rongées par les algues noires, elle savait quelle branche d’un arbre était la plus confortable, et elle avait même appris à se glisser discrètement dans le bar du village où elle avait déjà réussi à voler une bouteille d’on ne sait quoi qu’elle avait bu d’un trait, comme du jus d’orange, pour finir par rouler par terre en riant aux éclats. Par chance, elle fut retrouvée par une femme bienveillante qui s’empressa de l’emmener chez elle jusqu’à ce qu’elle ait dessoûlée. La petite Misa en fut vaguement reconnaissante, mais elle se promit de renouveler l’expérience quand la voisine partirait.

    Elle savait se calfeutrer discrètement sous les fenêtres des rares voisins pour les épier et elle avait appris à nager dans les eaux glacées près du village –tout habillée, évidemment. Ses pouvoirs magiques, qui se manifestaient par intermittence, lui permettaient d’être plus résistante et elle aimait s’en servir, même involontairement. Le silence de la nature l’apaisait. Elle pouvait hurler à pleins poumons, personne ne l’entendait.

    Un jour, alors qu’elle était âgée de sept ans et qu'elle était fièrement arrivée au sommet d’une falaise, son attention fut troublée par un animal étrange qui l’observait et son étourderie se solda par une chute magistrale. Sa magie lui permit de ne pas s’écraser contre les rochers et de s’en sortir en un seul morceau, avec pour tout blessure une large écorchure sur la nuque qui devint une mince cicatrice. Elle ne s’effacerait jamais. Mais Misa s’en fichait.

    Il n’y avait pas d’autre enfant dans le village et elle s’était accommodée de la solitude. Sa grande sœur Hina restait calfeutrée chez elle, à lire pour s’instruire et tuer le temps, et Misa était bien souvent seule. Trois fois par semaine, un professeur particulier Moldu venait lui enseigner les mathématiques, l’anglais, la littérature et autres matières scolaires, mais Misa l’écoutait d’une oreille distraite. Elle avait bien du mal à rassembler son attention sur les paroles de cet homme et, souvent, les leçons qu’il lui prodiguait lui donnaient l’impression de traverser son cerveau sans parvenir à l’ébranler.

    Là où elle était, Misa n’avait aucune connaissance des drames qui pouvaient avoir lieu dans le monde magique.

    Elle vécut huit ans ainsi, comme une enfant sauvage, en ayant l’impression qu’elle ne grandirait jamais et ayant l’intime conviction que c’était mieux ainsi. Puis la mère de Misa, la journaliste Allison Salander-Smirnoff, décida de déménager. Dans ce village irlandais, les informations qu’on lui communiquait par hibou mettaient longtemps à lui parvenir et elle craignait d’être licenciée, pour être remplacée par quelqu’un vivant en métropole et, par conséquent, mieux avisé des évènements. Après quelques tergiversations, la famille Smirnoff s’installa donc dans un vaste appartement à Londres, profitant de leurs économies. Pour Misa, ce fut un changement radical.

    Plus de nature à explorer, plus de calme, plus de repère. Mais Misa, n’ayant jamais été une jeune fille du genre à se morfondre et à se lamenter, décida de découvrir ce qu’était la vie dans la capitale de l’Angleterre.

    Elle rencontra d’autres enfants, sans pourtant jamais se lier étroitement d’amitié avec eux. Elle aimait leur raconter son ancienne vie et voir leurs regards se teinter d’admiration et d’envie, elle écoutait attentivement leurs déboires à Londres et elle partageait leurs jeux avec joie, mais la plupart la délaissaient vite, car elle pouvait devenir brutale lorsque la situation lui déplaisait et, surtout, les Moldus étaient effrayés par les pouvoirs magiques qu’elle était incapable de contrôler et qui, parfois, décidaient de se manifester.

    Pour canaliser son énergie, Misa décida de faire de la boxe. Son père lui trouva un club en lui ordonnant de ne pas se servir de sa magie, car ce serait tricher, or il refusait obstinément qu’elle camoufle ses compétences moldues par de la sorcellerie. Après la fuite de sa mère, quand elle avait dix ans, Misa décida de ne jamais abandonner chaque objectif qu’elle se fixait et de toujours persévérer, comme son père qui s’entêtait à passer des heures, des heures et des heures pour trouver l’inspiration.

    L’enfant sauvage resta toujours ancré en elle, mais en grandissant dans cet univers où tout bougeait en permanence, où le « bien » et le « mal » combattaient, où l’horreur succédait au malheur et où son insouciance était souvent mise à l’épreuve, Misa gagna –légèrement- en maturité. Le jour où elle reçut sa lettre d’admission à Poudlard, elle décida qu’elle aussi, lorsqu’elle serait une puissante sorcière, ferait bouger les choses.

    LA SCOLARITE : La première fois que le pied de Misa foula le Poudlard Express, la fillette était excitée et avait hâte de voir Poudlard de ses propres yeux. Sur le quai, son père lui souriait et sa mère était présente, chose très rare, invisible grâce au sort de Fidelitas, sauf aux yeux de sa famille. Misa était si heureuse qu’elle lui avait momentanément pardonné sa fuite et elle lui adressa un sourire rayonnant. Puis le train quitta le quai et la fillette s’installa dans un compartiment isolé, refusant de rester avec sa grande sœur Hina et ses amies.

    Lorsque les premières années virent Poudlard, blottis dans les barques menant au château, des cris de stupeur et d’admiration résonnèrent. Misa, elle, garda la bouche close, mais ses yeux brillaient farouchement. En voyant l’immensité du château et du parc qui l’entourait, Misa se fit intérieurement une promesse solennelle : elle explorerait chaque recoin de Poudlard et en connaîtrait tous les secrets mieux que quiconque. La fillette sauvage qui sommeillait en elle venait d’ouvrir un œil.

    Puis vint le moment de la répartition. « Smirnoff, Misa ! » Elle ignora ostensiblement les ricanements qui suivirent son appel et les commentaires sarcastiques à propos d’un quelconque lien entre elle et la vodka. Plus tard, elle serait même fière d’avoir ce nom alcoolisé qui, selon elle, permettait d’être vite reconnue et offrait même une certaine popularité. Elle posa le Choixpeau sur ses cheveux blonds. Elle était si petite qu’elle fut plongée dans l’obscurité totale et elle écouta attentivement la voix du chapeau qui murmurait à son oreille, le cœur battant à tout rompre. Elle savait déjà pertinemment qu’elle ne serait jamais chez les Serdaigle comme sa sœur.

    Sa première année fut une année qui resta longtemps accompagnée de bons souvenirs. Misa était insouciante et joyeuse. Les cours étaient simples et ne demandaient pas qu’elle s’y consacre énormément, mais elle travaillait tout de même, ayant hâte de pouvoir jeter toutes sortes de sorts à la perfection. Elle visita quelques lieux de Poudlard en cachette et se fit rapidement des amis dans sa maison auxquels elle leur racontait sa vie en Irlande. Elle apprit également comment était la vie chez les élèves issus de familles de mages noirs, et comment était la vie chez les élèves issus de familles de mages blancs.

    La deuxième année fut similaire à la première. Misa déjouait volontiers les règlements par pur plaisir, ayant envie de toujours commettre l’impossible. Elle continuait de travailler sans pourtant se tuer à la tâche. Les devoirs pouvaient bien attendre une semaine ou deux… Elle délaissait souvent la théorie et préférait la pratique. Ses quelques amis et elle profitaient du beau temps pour se promener dans le parc, et Misa leur montrait comment grimper aux arbres sans utiliser la magie. Elle continuait d’être heureuse et son cœur était en paix.

    Mais à sa troisième année, cette enfant qui s’était toujours contentée de la liberté avait grandi. Elle commençait à remarquer à quel point le monde était pourri, à quel point les mages blancs et les mages noirs pouvaient s’avérer pathétiques et à quel point les gens pouvaient se montrer terriblement lâches. Elle commença à ne plus traîner avec ses amis et à rester dans son dortoir à s’entraîner à la boxe en donnant des coups de poings furieux contre son oreiller et à rêver d’un monde merveilleux, où tout ne serait qu’aventures et insouciance, comme lors de sa jeunesse.

    A sa quatrième année, la jeune fille, qui ressemblait toujours physiquement à une gamine de première année à cause de sa taille et de son poids, décida farouchement qu’elle maîtriserait le combat sorcier et le combat moldu. Ses camarades, eux, commençaient à se demander s’ils deviendraient des mages noirs et des mages blancs. La division du monde sorcier exaspérait Misa, qui se demandait pourquoi les sorciers éprouvaient le besoin de se rassembler en meute et étaient incapables de vivre seuls. Elle, elle voulait se battre contre tout le monde. Commettre l’impossible. Cette décision mit fin à son amitié avec ses camarades. Ils ne comprenaient pas qu’elle puisse ainsi se désintéresser de ces batailles qu’elle trouvait ennuyeuses et beaucoup trop répandues.

    Lors de sa cinquième année, Misa était devenue une fille brutale et imprudente, que certains disaient même être dérangée. Insolente, bravant les règlements, elle ne se consacra que partiellement à son travail scolaire. Les BUSEs étaient quelque chose de totalement abstrait pour elle, et elle n’avait pas très envie de se plonger dans des révisions. Elle préférait rêver de liberté et se réfugier dans la forêt interdite pour tester de nouveaux sorts ou pouvoir se déchaîner en boxant contre des arbres, quitte à avoir les jointures des mains en sang. Elle eut tout de même ses BUSEs, grâce à des révisions de dernières minutes et une pratique de la magie bien supérieure à sa pratique théorique. Elle se moquait ouvertement du D en histoire de la magie, préférant se réjouir du O en sortilèges et en défenses contre les forces du mal. Non pas qu’elle aime se défendre des forces du mal, plutôt qu’elle aime la défense. Contre le mal ou le bien, peu lui importe.


&&. # 005. ET DANS LA VIE...

    PSEUDO : Il varie en fonction du temps :p
    PRENOM : Chloé
    ÂGE : 15 ans, 16 en Avril =D

    QUE PENSEZ VOUS DU FORUM ? Le design est très beau, l’intrigue est intéressante et les membres ont l’air très bons en RP.
    COMMENT L'AVEZ VOUS CONNU ? Alors là, je ne sais vraiment plus. Via une publicité, probablement.

    LE MOT DE LA FIN ? Non, je ne suis pas alcoolique. Mais Smirnoff, c’était tentant. Sinon, ça fait depuis un bail que je n'ai pas été inscrite à un forum... mais là je suis motivée.
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Le Choixpeau Magique

Le Choixpeau Magique


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MessageSujet: Re: Misa Smirnoff [Terminé]   Misa Smirnoff [Terminé] EmptyMar 24 Fév 2009 - 0:04

      (...),

    Cela n'a pas été facile pour moi de choisir la maison qui te convient, mais je ne m'y trompe pas. Tu es téméraire et courageuse, mais ta bonne humeur et ta sociabilité prime sur le reste. Tu es loyal et fidèle envers ceux qui te confient leur amitié, ami comme on n'en fait plus... Oui, tu vois où je veux en venir ? POUFSOUFFLE.
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