Seule (Pv Harkaitz Rocstone)

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Darkness venait de sortir des courts, ils avaient été passionant comme d'habitude, elle aurait voulut continuer d'apprendre mais les professeurs eux aussi avait le droit a un peu de repos, elle était aller déposer ses livres dans le dortoir des serpentards qu'elle aimait plus que tout et avait pris son rat, qui ne l'avait jamais lâcher qu'elle que soit la situation, elle le prit d'abords dans ses bras avant de la laisser grimper sur son épaule et d'aller se détendre avec son carnet de croquis au grand lac noir. Le temps était dégagé, le vent fouettait le visage de la jeune femme, faisant voleter ses longs cheveux couleur d'ébène, ses draides quand a elle ne bougèrent pas, elles étaient couleurs de sa maison, donc verte montrant bien son appartenance a la maison serpentard bien qu'elle ne soit pas vraiment accepter par eux elle était fière d'en faire partit. Elle s'assit, enleva ses news rock ce qui lui prit environ cinq minutes avant de mettre ses pieds nu dans l'eau, bien qu'elle savait que des créatures des profondeurs vivaient là et bien elle ne faisait pas attention car celles ci ne s'approchaient jamais très prêt du bord

*Qu'elle belle vu, romantique, parfait pour les amoureux, déprimant pour les gens seuls et pourtant je ne ressent rien, suis je un bloc de glace a cause de toutes ses années, peut être mais qu'elle importance de toute façon??*

Un doux chant vient perturber ses pensées, des sirènes, elle était bi mais tout de même, elle n'allait pas se faire attirer par n'importe qui, sentant sa tristesse son petit rat vint lui lécher délicatement le visage, elle lui souria et dit sur un ton neutre a la limite de la tristesse

"Ne t'inquiète pas mon beau tout va bien, tu me connait moi et mon caractère"

Elle laissa le petit rat lui lécher la joue pendant qu'elle mettait ses bras derrière elle pour la soutenir dans sa position actuelle, regardant le lac elle réfléchissait a quoi allait ressembler son avenir, elle fut de nouveau sortit de ses pensées mais cette fois pas par le chant mélodieux des sirènes mais par des bruits de pas venant dans sa direction

Et les bruits de pas furent accompagnés de froissement de tissus. Dans l'ordre, robe de sorcier, espadrilles, chaussettes, t-shirt orange et jeans usé se retrouvèrent sur la pelouse terne. on avait beau être en plein mois de décembre, un coup de vent, une silhouette masculine et couleur peau passe et PLOUF, c'est un plongeon marqué par les éclaboussures. Il disparaît sous les eaux noires.

Eh non, il n'était pas flambant nu, il avait eu la décence de garder ses boxer, mais au moins ses jeans resteraient au sec. Et puis, les cours étaient terminés, il pourrait monter se changer sitôt sa trempette terminée. Eh oui, y'avait des tension qui ne s'évacuaient que par l'eau froide, voir glaciale d'un lac au mois de décembre.

Il remonte à la surface, inspire profondémment, puis revient vers la berge en pataugeant. C'est seulement alors qu'il voit une élève assise non loin du bord... dans le regard bleu se lit la surprise et un rien de gêne.

- Oh... euh... salut.

Il patauge un peu, question de délier ses muscles crispé par le froid de l'eau.

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Dark ne vit rien venir en moins de quelques secondes, un homme passa et sauta dans les eaux noirs et glacées du lac; Dark ne réagit pas, ne bougeant pas d'un cil, on était en plein moi de décembre et bien que le ciel soit aussi bleu que l'azur et qu'il ne faisait pas réellement froid on ne se jettait pas dans de l'eau aussi froid sans risquer l'hypautermie ou pire encore, une surcharge au niveau cérébrale puis ensuite une attaque, les sénarios catastrophes entrèrent dans sa tête, bien qu'elle soit habituer a distribuer la mort, elle ne savait pas comment réagir a un suiccide ou a une mort casi naturelle. Elle ne bougea toujours pas toujours bloquer par le stress, elle ne respirait presque plus quand, soudain la tête de l'homme ressortit de l'eau et retourna vers le bord. La jeune fille le regarda de ses yeux bleu gris

*Pitier que ce soit pas un nudiste, pitier...*

Elle alla vers lui, son rat toujours sur l'épaule, s'avançant avec grace et agilité, ses pas ne faisait pas de bruit sur l'herbe, les petits cailloux qui rentraient dans ses pieds ne lui faisaient absolument pas mal même si elle commençait légèrement a saigner. Elle avait eue la trouille de sa vie et tout ce que l'homme lui avait dit en sortant de l'eau était salut de quoi se tirer une balle dans la tête mais bon. Elle s'accroupit devant lui et lui tendit la main pour le sortir de l'eau et elle lui dit sur un ton mi gêner mi inquiète

"Heu... salut, vous allez bien monsieur...??"

- Heu... salut, vous allez bien monsieur...??

Kaitz dévisage la jeune fille, puis jette un oeil à la main tendue et au regard bleu qui le fixe.

- Beaucoup mieux qu'il y a quelques minutes, je vous assure, Miss Kirialis.

Il ignore la main tendue. Il est dans l'eau pour une raison bien précise, il ne va pas en ressortir maintenant. C'est fous que ce ça pouvait changer les idées et changer le mal de place. Ça refroidissait l'esprit et chassait les tensions, de quoi s'ouvrir les yeux. Mais c'que c'était froid ! Pas plus agressif, ça c'était clair. Mais certaines trucs devaient se traiter avec des alternatives chocs. Il continue de patauger dans l'eau, même si ses épaules sont couvertes de chair de poule. Il ne sort de l'eau que lorsqu'il commence à grelotter.

Il se hisse sur la berge, sans trop éclabousser autour de lui, crispé par le froid, dévoilant un boxer gris parsemé de poussins d'un jaune vif. Il fait quelques pas dans l'herbes et joue des épaules pour chasser la chaire de poule. Les muscles roulent sous la peau et il va rassembler ses vêtements.

- Alors, on profite de la belle journée pour prendre l'air ? C'est très bien ça. Vos camarades devraient faire de même. Le corps a besoin de soleil et l'hiver, ça manque.

Il passe sa robe de sorcier directement sur lui, sans remettre ses jeans et son t-shirt. Question de bien mouiller la robe, sans humidifier le jeans et le t-shirt.

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L'homme dont elle ne connaissait pas le nom lui assura qu'il n'avait rien et que sa allait même beaucoup mieux, il ignora la main qu'elle lui tendait, sympathique, pour une fois qu'elle voulait aidée ont la traitait avec indifférence cela lui apprendrait a vouloir s'occupée des affaires d'autruis. Elle se releva et repartit vers ses affaires loin de cet homme a l'esprit certainement déranger. Elle remit ses news rocks adorées et se mit en position du lotus, face au lac son carnet de croquis sur ses genoux, admirant la beauté de l'immensité d'eau qui s'étalait presque a l'infinie. Elle prit son crayon a papier et commença a dessiner, elle n'était pas très douer mais elle aimait tout de même le faire. Elle entendit l'homme sortir de l'eau, l'ouie de la jeune fille était excelente en rasion de son métier qui était basé sur le fait de ne pas se faire attraper et donc d'entendre les ennemis arrivés ce qu'elle faisait a la perfection. Elle ne se tourna vers lui que lorsqu'il lui parla

- Alors, on profite de la belle journée pour prendre l'air ? C'est très bien ça. Vos camarades devraient faire de même. Le corps a besoin de soleil et l'hiver, ça manque.

"Non monsieur je ne profite pas de cette "belle" journée pour prendre l'air, j'en profite juste pour faire une pause dans mes activités puis y retourner qu'avec plus de conviction et...."

Elle ne l'avais pas regarder en détails mais maintenant qu'elle le regardait... elle était térrifier c'était pire que tout ce qu'elle avait déjà vu auparavant, un boxer noir avec des poussins jaunes dessus elle faillit avoir un fout rire mais ce retint de justesse, c'était la chose la plus ridicule qu'elle n'avait jamais vu. Il mit sa robe de sorcier, qui absorba toute l'eau accumulé sur le corps du magiciens. Il ne savait donc pas que les serviettes éxistaient ou qu'il y avait des sort pour en amener une a lui??? vraiment pathétique mais elle ne dit rien et se releva posant son cachier de croquis au sol et s'avança un peu plus prêt de l'homme puis lui dit sur un ton neutre très inhabituel chez les jeunes gens de son âge.

"Monsieur, vous avez l'air de connaître mon nom mais je ne connais pas le votre et je ne sais pas qui vous êtes donc qui êtes vous et que faites vous ici?"

- Non monsieur je ne profite pas de cette "belle" journée pour prendre l'air, j'en profite juste pour faire une pause dans mes activités puis y retourner qu'avec plus de conviction et...
- Ah bon. Y'a une grosse différence, effectivement, dit-il, passablement ironique.

Et elle dévisage, le temps qu'il revêt sa robe de sorcier. À voir son air, il sait que c'est le boxer. Ça fait toujours cet effet. Et alors ? Il esquisse un léger sourire narquois. Kaitz aimait provoquer des réactions, en bien ou en mal, l'important c'était de déranger. Où était l'intérêt alors de se balader avec des boxer gris avec des poussins jaunes dessus ? Simple plaisir.

Elle range ses trucs à dessins et lui fait face.

- Monsieur, vous avez l'air de connaître mon nom mais je ne connais pas le votre et je ne sais pas qui vous êtes donc qui êtes vous et que faites vous ici?

Kaitz hausse un sourcil et la dévisage à son tour. Un rat de bibliothèque, sans doute, concentré dans son imaginaire, ne faisant que peu attention à son environnement. Harakitz Rosctone n'était pourtant pas du genre à passer inaperçu. Il hoche la tête, semble réfléchir un moment, puis se lance dnas une présentation plus que précise.

- Harkaitz Rocstone, , homme, 28 ans, prof à Poudlard depuis septembre 1980. Tout d'abord professeur de DCFM, j'ai ensuite eu le poste de directeur de Poufsouffle l'an dernier, en plus de DCFM et cette année, je donne le cours de Magie Noire et je suis toujours directeur de Poufsouffle. Et je sors tout juste de l'eau du lac parce que l'eau du lac est très thérapeutique. C'est bon pour la peau, un peu moins pour le coeur, mais excellent pour le moral et un merveilleux anti-stress. Si je connais votre nom, Miss Kirialis, c'est parce qu'en tant que professeur et ayant un poste de directeur, je me dois d'être un minimum informé des élèves qui vivent ici. Et je me fait un point d'honneur à pouvoir nommer tout le monde par au minimum leur nom de famille. Lubie d'aristocrate direz-vous. C'est bien possible.

Non, mais c'était quand même étonnant qu'une élève de 4e année ne le reconnaisse pas. Mais bon, chacun ses trucs. Il sourit, comme si tout ceci était parfaitement normal. Il se passe une main dnas les cheveux, question de discipliner un peu ses cheveux plaqués sur sa tête par l'eau.

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- Ah bon. Y'a une grosse différence, effectivement

Le jeune femme le regarda d'un oeil noir, mais ne prit pas en compte sa remarque, pour elle il y avait une grande différence mais il n'était pas dans sa tête, il ne savait pas qu'à cotée de la magie, elle s'entrainait régulièrement au maniement des poignards et que c'est ce qu'elle aurait fait si il n'était pas arriver pour prendre un bain dans l'eau du lac considérer pourtant comme très dangereuse par les professeurs eux même. Mais la elle en doutait maintenant a cause du professeur qui nageait comme si il était dans une piscine qu'elle exemple montrait il aux élèves? En tout cas pas une bonne a l'humble avis de Dark qui avait bien envie de remettre ce prétentieux a sa place mais elle se retint pour la simple et bonne raison qu'elle ne voulait pas s'attirer d'ennuis ni de refaire surgir son dossier dans les problèmes de l'école.

- Harkaitz Rocstone, , homme, 28 ans, prof à Poudlard depuis septembre 1980. Tout d'abord professeur de DCFM, j'ai ensuite eu le poste de directeur de Poufsouffle l'an dernier, en plus de DCFM et cette année, je donne le cours de Magie Noire et je suis toujours directeur de Poufsouffle. Et je sors tout juste de l'eau du lac parce que l'eau du lac est très thérapeutique. C'est bon pour la peau, un peu moins pour le coeur, mais excellent pour le moral et un merveilleux anti-stress. Si je connais votre nom, Miss Kirialis, c'est parce qu'en tant que professeur et ayant un poste de directeur, je me dois d'être un minimum informé des élèves qui vivent ici. Et je me fait un point d'honneur à pouvoir nommer tout le monde par au minimum leur nom de famille. Lubie d'aristocrate direz-vous. C'est bien possible.

Son discourt sur lui et les propriété de l'eau fit rire intérieurement Dark, il était directeur de poutsouffle? Elle ne l'aurait jamais deviner, sa robe de sorcier ne faisait que faire penser au couleur de cette maison mais rien de plus. Elle le regarda d'un air amusée quand il lui dit qu'il connaissait tout les noms de famille. Elle regarda vers l'horizon tournant un peu la tête sur le coté

"Ce n'est pas un mal de connaitre les noms de famille de chaque personnes présentent dans cet établissement, ni une lubie d'aristocrate mais vous vous trompez sur un point..... Kirialis n'est pas mon nom de famille juste un inventer pour me permettre de venir ici..."

Elle lui souria, une expression entre sadisme et amusement, elle se demandait ce qu'il allait lui dire, ce qu'il allait faire, bien sur elle ne craignait rien car tout était déjà inscrit dans son dossier.

C'était étonnant quand même qu'apèrs plus de deux ans à sans doute se croiser dans les corridors, elle ne sache pas qui il est. C'était plausible de ne pas connaître un élève, il y en avait tant, mais un professeur depuis trois ans, leur ayant enseigné une année DCFM, directeur de surcroit ne pouvait pas passer inaperçu bien longtemps. Elle était peut-être amnésique, pense-t-il avec amertume. Mais non. Une égocentrique qui se souciait peu de ce qui se passe autour d'elle. C'était sa conclusion toute personnelle, mais y'en avait-il d'autre plausible ? Bah, tant pis.

Bon, qu'est-ce qu'elle essayait de faire en lui donnant cette réplique ? En quoi se trompait-il ? Peu importe, nom de famille réel ou nom d'emprunt, sur les listes, c'était écrit Darkness Kirialis, il utilisait donc ces termes. Elle était quand même un minimum déconcertante cette fille.

Il se penche légèrement vers elle, la fixant d'un regard ciel d'été et lui dit, sur un ton de confidence.

- J'utilise toujours Harkaitz Rocstone pour cacher les apparences. Mon vrai nom c'est Harkaitz Y. Rocstone.

Il hoche la tête avec conviction, puis se met en frais de remettre ses jeans, puisqu'il est passablement sec, faisant disparaître le boxer gris à poussin jaune. Il adorait ce boxer.

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- J'utilise toujours Harkaitz Rocstone pour cacher les apparences. Mon vrai nom c'est Harkaitz Y. Rocstone.

Dark éclata de rire et le regarda avecu n air vraiment amusé mais elle pensait que ce professeur était pathétique mais qu'importe, il était tout de même amusant. Elle le vit se rhabiller cachant ainsi le boxer avec les canaris, pour un prof il était vraiment spécial celui là, elle aurait bien aimé l'avoir mais cela était impossible car d'une part elle n'était pas intéresser par la magie noire, enfin si très mais elle préférait s'occuper des créatures fantastiques plutôt que de suivre le cercle vicieux qui la faisait tuer des gens innocents ou non innocents. Elle s'assit par terre ses jambe contre sa poitrine, sa tête mise sur ses genoux regardant le lac puis dit sur un ton plein d'amertume

"Ce n'est pas une lettre ou un prenom qui change quoi que ce soit mais pour certaines personne cette toute petite chose a de l'importance, je ne connais ni mon nom ni mon prénom enfin si Darkness Kirialis mais ce n'est pas celui que mes parents m'ont donner a ma naissance, je ne sais pas qui ils étaient je ne sais pas qui je suis car sans passer on a pas de futur et cela même si on s'obstine a nier l'évidence. Ce nom et ce prénom ne sont la que pour me donner une identité mais elle est fictive c'est deux noms sont mes noms d'assass...."

Elle en avait trop dit beaucoup trop, elle avait presque révéler un secret qu'elle gardait depuis plusieurs années déjà, elle ne l'avais jamais avouer a personne et voila qu'elle le sortait cru au premier professeur amusant qui passait. un vent de panique monta en elle, elle se releva d'un coup et dit rapidement

"mes noms .....d'ascension voila ^^' " *c'est pitoyable il ne me croira jamais*

Darkness éclate de rire à la réponse qu'il donne. Kaitz sourit, c'était le but de relativiser le tout. Il retire pour une seconde fois sa robe de sorcier pour enfiler son t-shirt orange. L'étoffe des robes de sorcier avait la bonne caractéristique d'absorber l'eau à la perfection. Même pas besoin de serviette ! Mais bon, une fois mouillé, ça devenait lourd et inconfortable.

La jeune Serpentard s'assoit, puis fixe le lac, tout en parlant. Il semble à Kaitz qu'elle parle beaucoup plus à elle-même qu'à lui. Lui, il met ses chausettes en sautillant sur place pour garder l'équilibre. S'il s'éfforce de retenir les noms et prénoms, certains détails des dossiers lui étaient inconnus. Pas innacessible certes, mais inconnus, parce que sa tête ne pouvait pas emmagasiner autant d'informations sur les élèves qu'il n'avait pas le loisir ou la tâche de cotoyer. Mais à ses paroles, il est aisé, même flagrant de deviner qu'elle est orpheline et qu'elle a été recuelli par des gens étranges. Darkness... étrange prénom, très sombre pour ne pas faire de mauvais jeux de mots.

Il s'accroupi pour attacher ses lacets d'espadrilles, lorsqu'un mot... ou plutôt un début de mot lui fait lever les yeux. D'ailleurs, ça la fait se lever aussi, d'un bond, trop précipitemment pour que ce soit naturel. Elle se reprend, changeant le mot. C'était trop flagrant. Ses gestes en suspend, Kaitz dévisage la Serpentard par dessous, puisqu'il est accroupi pour lacerses espadrilles. Le regard bleu ciel d'été la toise avec sérieux, puis il secoue la tête et sourit, poussant l'audace jusqu'à émettre un petit rire niais.

- C'est drôle, durant quelques secondes, j'étais persuadé que vous alliez dire que c'était vos noms d'assassins. Je dois avoir de l'eau dans les oreilles, j'entend mal. Vos noms d'ascension est beaucoup plus probable. Même si je n'ai aucune idée de ce que ça signifie.

Il était difficile de savoir si Rocstone était vraiment naïf à ce point ou s'il feignait de l'être. Il termine de nouer ses lacets et se relève, surplombant la Serpentard de toute sa taille.

- Sans passé et sans futur, il ne reste que le présent. Et le présent passe horriblement vite.

Oh, Kaitz avait eu un passé, mais pour le futur, c'était moins certain. On lui avait prédit et qu'il ne passerait pas le cap des 30 ans et il avait déjà 28 donc, son présent était tout ce qui comptait.

- Vous avez un nom, Miss Kirialis, même si c'est plutôt une désignation comme vous dites. Quelqu'un vous a nommé. Si ça ne vous plait pas, rin ne vous oblige à le garder. Trouvez votre nom. Je suis Harkaitz Yann Rocstone, mais je préfère Kaitz. C'est beaucoup moins long, mais malheureusement, c'est pas vraiment d'usage dans une relation prof/élève. Je dois donc me contenter de Professeur, monsieur Rocstone, ou monsieur et professeur Rocstone.

Il grimace, montrant que visiblement, tous ces protocoles l'ennuyait, même s'il s'y prêtait de bonne grâce.

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Dark se sentait mal très mal, sa récupération était pitoyable voir débile, sa peau déjà très pâle de nature devint encore plus blanche, faisant presque passer la jeune femme pour un fantôme malade. Il était en train de lacer ses lacets quand il la regarda se relever et la fixer ensuite dans les yeux. Des yeux bleu comme l'azur, elle l'enviait il devait faire tomber toute les filles avec un regard pareil pourtant là, elle en avait plus peur qu'autre chose. Il secoua la tête et souria, ce qui, détendit un peu la jeune femme qui essayait de ne pas se laisser aller à la panique. les paroles du jeune homme lui firent comprendre qu'il n'était pas dupe, son ton lui était impénétrable mais Dark avait pris l'habitude de comprendre rien qu'avec les parles d'une personnes de savoir ce qu'elle ressentait et si elle mentait ou non

"Monsieur... Arrêter de vous fichez de moi, oui j'ai fait une erreur ma première en je sais pas combien de temps mais n'essayer pas de feindre d'être candide alors que vous ne l'êtes pas. Oui je suis une assassin et doublé d'une voleuse maintenant faite ce que vous voulez prévenez la direction, la police, Azkaban pendant que vous y êtes...."

Elle resta debout fixant intensément le professeur, puis maintenant qu'elle était découverte sortit un de ses poignards qu'elle avait fixer solidement dans son dos au moyen de deux lanière de cuir entrecroisées sous ses vêtements et commença a jouer avec, pour elle se n'était qu'un jeu, on lui avait toujours dit ainsi, pour elle la mort n'était qu'une fatalité qu'elle faisait juste avancer un peu. Elle se rassit quoi qu'il est l'intention de faire, elle ne ferait rien.

- Sans passé et sans futur, il ne reste que le présent. Et le présent passe horriblement vite.

"Et pourtant des fois le présent a l'air de passé si lentement, la en moins d'une minute je vous ai révéler ce que je cachais depuis des année enfin sauf a ma famille adoptive qui m'a tout appris. C'est comme si le temps c'était arrêter"

Elle lui souria, un sourire un peu forcé certes mais c'était mieux que rien, il n'aimait pas le protocole pourtant pour elle s'était la seule chose qui valait le coup pour enseigner a des élèves aussi turbulent qu'eux.

"J'aime le prénom que l'on ma donner ainsi que mon nom vu que c'est mon père adoptif qui me la donner mais j'ai juste envie de savoir qui aurait pu être mes vrai parents avant...."

Eh bien, comme c'était étonnant. Elle s'était vendue elle-même comme une amateure. Kaitz aurait soupiré et levé les yeux au ciel si ce n'était pas si terrible comme aveu. Une assassin doublé d'une voleuse à Poudlard, comme si on avait pas assez de Liimatainen et des fureteuses. Il avait beau être le prof de Magie Noire, pourquoi ces trucs là arrivait toujours... il avait la poisse, non, mais vraiment. Sa petite voix interne lui sussure perfidement que c'est exactement ça, il voulait prendre des risques, et bien soit !

Bon, une assassin à Poudlard, c'était pas vraiment impressionnant, y'en avait des tas des assassins potentiels parmi les élèves, sans parler des profs. Mais bon, eux ne sortaient pas un poignard pour jouer innocemment avec. Mais il ne relève pas sur le coup, et la laisse parler. Kaitz n'était pas du genre peureux, au contraire, il était plutôt téméraire.

Il prenait peut-être des risques, mais bon, c'était des risques calculés. Il vient s'assoir surle gazon, à distance respectable et se met aussi à fixer le lac. Elle jouait toujours avec sa dague et parlait des parents qu'elle aurait bien voulu connaître.

- Pour être franc, j'ai toujours mes parents, donc je sias pas vraiemnt ce que ça peut faire... mais bon, pour moi les parents, c'est pas qu'une question de sang... c'est beaucoup plus une question d'éducation. Que ce soit mes parents de sang, si ce sont des cértins, ils seront toujours des crétins.

En fait, cette idée ne lui avait jamais effleuré l'esprit. Ses parents étaient de parfaits aristocrates et de parfaits parents. Il n'avait pas à se plaindre là-dessus.

- Mais bon, si je puis vous donner un conseil, à 'école, utlisez votr baguette plutôt que votre couteau, ce sera moins suspect. À vous balader comme ça avec, vous n'aurez même pas besoin de faire de gaffe pour être découverte. Je ne crois pas que vous êtes stupides, mais ne prenez pas les gens pour des cons. Ranger ça dans votre coffre sous votre lit et ne le resortez plus, parce que si j'ai conscience que vous le portez à nouveau, vous allez non seulement le perdre, mais en plus, vous aurez des tas d'ennuis. Ne tuer personne à l'école et tout ira bien. Pour l'instant, je considère que vous êtes une jeune fille isolée et solitaire qui a besoin d'attention et qui profite du fait qu'un prof vient de sauter dans l'eau glaciale du lac pour inventer n'importe quoi pour attirer un peu de compassion.

Au regard qu'il lui adresse, il sait très bien que c'est nullement le cas, mais il lui donne plutôt une explication "officielle" pour ne pas être dans l'obligation de la dénoncer.

Invité

Darkness s'attendait a tout sauf a ce qu'il fasse comme si elle n'était qu'une gamine qui avait besoin d'affection mais cela était parfait tout de même au moins il ne la dénoncerai pas, malgré qu'elle se soit trahit, elle ne s'inquiétait nullement de son sort, en faite elle s'en fichait éperdument, on ne changeait pas du jour au lendemain sur un simple coup de tête, même si elle aurait voulut une autre vie, rien mais vraiment rien n'aurait pu lui faire oublier le métier qu'elle avait appris depuis sa plus tendre enfance. Il s'était assis lui aussi mais a une distance respectable d'elle, franchement si elle avait voulut le tuer sa aurait été fait depuis longtemps et puis elle maitrisait très bien le lancer de poignard donc ce n'était pas la distance qui l'aurait sauver de plus elle connaissait par coeur les trois sorts impardonnable mais elle s'était jurer de ne jamais les utiliser. Elle le regarda avec un beau sourire sur les lèvres avant de dire sur un ton joyeux.

"Merci monsieur de me donner ma chance, en revanche vous devez savoir que je ne tu que d'une pour l'argent et a moins qu'un de mes contacts me demande de tuer un élève je ne le ferrai pas.... Monsieur je ne peux pas ranger mes poignards, bien sur que j'utiliserai ma baguette ici mais je ne peux me séparer d'eux, mais ne vous inquiétez pas pour moi sa fait quatre ans que je suis ici et je ne les ai sortit qu'une ou deux fois donc vous n'avez pas a vous en faire pour moi."

Elle rangea dans son dos son poignard a cotée de l'autre, avant de s'approcher du professeur et de se mettre a quelques centimètres de lui, avant de lui faire un calin. Elle ne savait pas trop comment il allait le prendre mais bon ^^.

Si Miss Kirialis sourit, Kaitz ne sourit pas, lui qui est, en temps normal, très généreux sur les sourires. C'est un indice qui aurait sans doute mis la puce à l'oreille de la jeune fille si elle avait le moindrement connu le professeur.

- Merci monsieur de me donner ma chance, en revanche vous devez savoir que je ne tu que d'une pour l'argent et a moins qu'un de mes contacts me demande de tuer un élève je ne le ferrai pas.... Monsieur je ne peux pas ranger mes poignards, bien sur que j'utiliserai ma baguette ici mais je ne peux me séparer d'eux, mais ne vous inquiétez pas pour moi sa fait quatre ans que je suis ici et je ne les ai sortit qu'une ou deux fois donc vous n'avez pas a vous en faire pour moi.

Elle range son poignard, Kaitz hoche la tête. Elle s'approche de lui et lui fait un calin. Il reste stoïque quelques secondes, puis va cherches les poignets de la jeune fille dans son cou. Il la repousse délicatement, puis brusquement, lui fait passer un bras autour de son cou et la fait pivoter. Enserrée dans ses propres bras, le jeune fille se retrouve face contre terre. Kaitz lâche se poignets, mais appuie dans son dos, lui empêchant tout mouvements et à l'endroit où se tient Kaitz, les jambes ne sont d'aucun secours et les poignards sont hors de porté, la baguette elle est peut-être à portée de main, mais impossible de l'utiliser.

- Ah oui, tuer pour l'argent est beaucoup plus noble que pour le plaisir. Mais on va mettre quelques chose au clair tous les deux. Franchement, j'avais jamais remarqué que vous les portiez, mais maintenant que je sais, je serai plus attentif. On ne se balade pas avec des poignards à Poudlard. En fait, c'était pas vraiment un conseil. Vous rangez vos poignards dans le fond d'une malle verrouillée et hors d'atteinte de vos camarades de chambre. Et c'est un ordre. Et ce ne sont pas des paroles en l'air, Miss Kirialis. Vous pouvez être certaine que je vais vérifier, dans les prochains jours, que vous ne les portez plus. Et je vais même surveiller dans les prochains mois et la prochaine année, de manière ponctuelle. Et si je remarque que vous les portez, je vous jure que vous allez les perdre à tout jamais et que votre vie scolaire et privée deviendra un enfer.

Non, mais ! Les élèves pouvaient déjà se balader avec leur baguette, ce qui était déjà relativement dangereux, mais avec des poignards en plus, ça devenait de l'inconscience. Le peut de conscience professionnelle de Kaitz s'en trouve chatouillée et comme les conseils d'un gentil professeur ne semblaient pas marcher, faudrait user de la manière forte. Et ça, c'était qu'un aperçu.

Invité

Darkness n'attendais absolument pas a une telle réaction. Pour une fois qu'elle faisait un câlin elle se retrouvait a terre, complétement bloquer par un professeur fou. Qu'est ce qu'il lui prenait?? Plusieurs solution s'offrait a elle mais elle n'avait absolument pas envie d'y réfléchir pour l'instant sa seule préoccupation était de s'extraire de l'emprise de ce foutu prof. Elle se débattit autant qu'elle le pouvait avant de renoncer a moitié, mais a l'affut de la moindre erreur de son vis a vis.

_Mais vous êtes fou !!!!!!!!!!! Lâchez moi immédiatement !!!!!!!!!!!!! Oui tué pour de l'argent est beaucoup mieux que d'être une criminel a vie qui ne cherche qu'une proie a assassiner moi je veux me refaire une vie c*n**d alors fichez moi la paix.

Dark se débattit vraiment comme une furie mais sans aucun résultat, sa baguette n'était pas loin mais impossible de se souvenir des sort qui pourrait la sortir de cette situation ou même si elle s'en souvenait elle ne pourrait pas l'utiliser convenablement. Elle resta donc contre le sol, mais son petit rat vint l'aider comme il pouvait, il monta jusqu'à la main du professeur et la mordit a pleine dents.....

[ Erf, toutes mes excuses, j'ai pas pu faire plus tôt... unsure

]

- Mais vous êtes fou !!!!!!!!!!! Lâchez moi immédiatement !!!!!!!!!!!!! Oui tué pour de l'argent est beaucoup mieux que d'être une criminel a vie qui ne cherche qu'une proie a assassiner moi je veux me refaire une vie c*n**d alors fichez moi la paix.

Lui fou ? Bah voyons, il s'acharnait seulement à lui démontrer qu'il y avait des endroits où elle devrait suivre les règles, même si elle n'était pas d'accord.

- Tuer pour de l'argent... Aïe !

Sale bête ! Saleté de petit rat... erf, il n'aimait pas les rats, c'était beaucoup plus intelligent qu'on ne le croyait. C'était perfide et mesquin ! Il recule vivement, libérant du coups la jeune demoiselle. Deux pas de recul, il se met hors de porté, du moins hors de porté sans qu'il ne puisse prévenir le moindre coup. Visiblement, Harkaitz Rocstone n'était pas un amateur. Hors de porté de la demoiselle, il se reprend, sans le rat.

- Tuer pour de l'argent c'est criminel ! Vous voulez vous refaire une vie, ben rangez vos poignards très loin de vous durant l'année scolaire, ça fera changement ! Je ne blaguais pas, si je vous reprend avec ça, vous allez le regretter, mais vraiment le regretter.

Il reste sur ses gardes, puis qu'il la provoque tout de même.

Invité

[Pas grave mon grand console

]

Son petit rat mordit le professeur jusqu'au sang et l'effet escompter se produisit, il lâcha Dark et se mit a deux pas environ d'elle. La jeune femme déplia dans un premier temps son bras engourdie par la paralysie puis se releva. Nathanael (c'est le rat ^^) grimpa sur sa jambe puis remonta tout l corps de la jeune fille jusqu'à son épaule. Là elle le prit entre ses doigts, délicatement et fit un bisous sur la charmante petite tête de l'animal. Encore une fois il l'avait sortit d'affaire, elle se demandait ce qu'elle ferait sans lui; sans doute pas grand chose mais qu'importe il était là et c'était l'important.

~°Mon bébé dès qu'on rentre tu auras le droit a une double ration de nourriture et a plein de gros câlins°~

Comme s'il avait entendu ses pensées il se mit a couiner de joie, puis elle le remit sur son épaule et fixa le professeur dans les yeux, son expression qui jusqu'à présent était soit neutre devant lui ou tendre devant son petit rat c'était transformer en colère. Ses yeux d'habitude clair s'étaient assombris. Elle eut, pendant un moment, l'envie d'envoyer un poignard sur le prof puis de lui lancer si nécessaire un des trois sorts impardonnables mais elle se remit en tête qu'elle ne tuait exclusivement pour subvenir a ses besoins.

_Monsieur je pense qu'aucune personne au monde n'est pas criminel, tout le monde a fait des fautes dans sa vie même la plus pure et la plus sympathique des personnes de plus "le mal" n'est qu'une question de point de vue. Ensuite, si là vous aviez été sous contrat je vous aurez tué mais comme vous ne l'êtes pas je vous laisse en vie alors que sa me démange d'en finir avec vous j'espère maintenant que vous voyez la différence entre les deux catégories d'assassin. Vous me menacer? Ne jouez pas a ce petit jeu je vous préviens dans ce domaine je suis la meilleure et généralement je fais ce que je dit donc évitez

[bon c'est sans doute mon dernier post avant trois semaines bisou

on continuera après les vacs, bonne vacances !!!!!!!!!!!!!!!!]

Rocstone éclate de rire, visiblement amusé. Ce n'est pas un faux rire pour se moquer, c'est un rire franchement hilare, comme si elle avait raconté une bonne blague. Non, mais pour qui elle se prenait celle-là ? Il ne savait trop, mais ce qu'il savait, c'est qu'elle se prenait beaucoup trop au sérieux.

- Miss Kirialis, je crois qu'il y a quelques petites choses que vous n'avez pas tout à fait comprit sur le vie, le Mal et surtout, la vie en société. Première chose sur la vie en société, on ne tue pas ses semblables. Que vous soyez d'accord ou non, ça importe peu, c'est une règle qu'a choisit la majorité. Que vous assassiniez pour de l'argent, pour vous faire plaisir ou parce que vous avez péter un plomb, ça ne change rien au fait que ce soit un meurtre. Et même que de tuer froidement pour de l'argent, vous risquez une plus grosse peine à Azkaban si vous vous faites prendre que si vous êtes cinglée. Il hoche gravement la tête. Et ne croyez pas m'impressionner, ni donner l'impression de me donner un traitement de faveur, vous n'êtes pas la seule à vouloir en finir avec moi, dans tous les sens du terme, depuis des années et je suis toujours vivant. Et ce n'est pas tant une menace que fortement conseillé. Il sourit et glisse les maisn dans ses poches de jeans, parfaitement à l'aise. Moi aussi je fais ce que je dis et si je dis que je vais passer du temps particulièrement sur votre cas, il n'y a rien que vous puissiez faire et si vous me tuez parce que je vous embête, vous allez ruinez tout vos beaux principes de droiture qui vous rendent si parfaite selon vos valeurs. Vous ne tuez que sous contrats et je ne crois pas être sous contrat. Il faut suivre ses principes, Miss Kirialis, sinon vous allez vous perdre et sombrer. Et moi, j'ai comme principe que personne ne se balade avec des poignards sur lui. Il retire ses mains de ses poches et compte sur ses doigts. Puisque j'ai aussi comme principe que tout le monde doit faire des choix, je vous en donne un à faire. Soit vous disposez vous-même de vos poignards, soit j'en dispose moi-même ou soit je vous coince plus tard avec vos dits poignard et avec le résultat qui en découlera.

Et il la regarde, sourire sur les lèvres lui indiquant qu'elle n'a pas le choix, c'est à prendre ou à laisser.

Invité

Darkness regardait le professeur d’un œil noir quand celui-ci se mit à rire… Pourtant la situation n’avait absolument rien d’amusent. Elle soupira et écouta le beau discourt de ce prof de pacotille, Comment pouvait il lui faire une leçon de morale alors qu’il ne connaissait absolument rien au monde qui avait crée la jeune femme, qui lui avait donné une minuscule raison de vivre et qui plus est lui faisait gagner sa croûte. Il n’avait pas a le faire et elle fut tenter de le lui rappeler de façon virulente mais elle se retint pour la simple et bonne raison qu’elle n’avait pas envie d’en dire plus. Son petit rat se mit sur son épaule et commença a frotter sa petite tête sur le cou de Dark, ce fut sur ceux-ci qu’elle se focalisa pour se calmer et surtout pour ne pas « péter un câble » a l’encontre du prof de magie noire. A la fin de sa tirade ce dernier la regarda d’un air de dire qu’elle n’avait pas le choix, enfin si elle l’avait car dans la vie ont a toujours le choix même si certaines décisions sont dur a prendre. Elle baissa la tête quelques instant avant de la relever et de regarder droit dans les yeux ce prof prétentieux et de dire sur un ton d’une froideur peut égaler même par les pires mange morts.

« Je n’ai jamais comprit la société, ce n’est pas maintenant que cela changera monsieur, a chacun sa vision des choses, pour certaines personne, tuer est leurs raison de vivre, leurs seul moyen de survie en prenant la vie des autres, vous autres qui n’avez jamais connut la faim, jamais connut la véritable douleur de perdre un ami a cause de soi disant représentant de l’ordre et de la paix qui soit dit en passant n’existe que dans le cœur de certaines personnes ne pouvez pas comprendre les gens comme nous car… nous sommes complètement opposés et la différence fait naître le mépris, vous ne me contrediriez pas sur ce point a moins que vous ayez déjà oublier la chasse aux sorcière a Salem… » Elle s’arrêta quelques instant et se mit a rire elle aussi en se souvenant de quelques paroles dites par le professeur puis reprit sur le même ton mais un sourire sadique c’était inscrit sur son visage pâle. « Je suis loin d’être parfaite même selon comme vous dites ‘mes valeurs’ car bizarrement je fais des fois totalement le contraire de ce que mes principes me dictes mais c’est comme cela que l’on reconnaît les gens capable de s’adapter, qui ne couleront jamais a cause d’une stupide loi qu’il s’était imposé, vous monsieur j’ai l’intime conviction que pour rien au monde vous ne désobéiriez a vos soit disante valeur et c’est cela qui vous conduira a votre perte… »

Il lui laissait un choix… En tout cas c’était comme cela qu’il le nommait mais il n’y ressemblait absolument pas finalement il lui disait en résumer, sois tu me donnes tes poignards, soit tu les ranges dans un coffre et tu ne les reprends que quand je t’y autorise ou encore qu’elle les garde mais que si il la reprenait avec eux sur elle et bien elle aurait des ennuis bien plus grave que son intégration parmi les autres élèves malgré tout elle souria de plus belle et dit sur un ton presque victorieux

« Je garderai mes poignards que cela vous plaise ou non et puis réfléchissez un peu même si vous me dénoncer comment pourriez vous confirmez vos dires ? Vous ne savez pas qui j’ai tué, ou je les ai tué et cela vous ne pourrez pas me le faire dire même avec du vérita sérum car je serais incapable de le dire moi-même donc en conclusion je garde mes poignards et même vous vous ne pourrez pas m’en empêcher alors adaptez vous » Dit elle sur un petit ton moqueur.

Kaitz écoute la tirade de Miss Kirialis, attentivement, prenant un soin particulier à tout comprendre ce qu'elle raconte. Il hoche la tête à quelques reprises, ayant l'air de trouver le tout pas si bête. Il n'y a que lorsqu'elle parle des sorcières de Salem qu'il fronce les sourcils. Tout le monde sait que bien peu de sorcières sont mortes, contrairement à ce que croient les moldus. Y'en a même qui sont mortes plusieurs fois sinon.

Kirialis avait des principes étranges, elle avait du talent, mais en usait en futilités. Et bon, elle avait beau être déterminée et probablement douée, elle n'était pas très futée. Rocstone secoue la tête et soupire, pas vraiment impressionné.

- C'est bien d'avoir des convictions, c'est même très bien, mais mettez les à la bonne place. Vous avez encore du chemin à faire, Miss Kirialis, surtout si vous poursuivez dans cette voix. Vous êtes beaucoup trop prétentieuse pour survivre. Il sourit. Un rien de moins de modestie aurait pu vous faire gagner du temps pour trouver une maniàre plus discrète de dissimuler vos joujoux, mais visiblement, ça ne vous a pas effleuré l'esprit. Maintenant, donnez-moi vos poignards, nous gagnerons du temps tous les deux.

Il tend les mains, mais elle ne bouge pas. Il soupire, visiblement agacé.

- Écoutez, Miss Kirialis, vos ennuis, si vous ne me rendez pas ces poignards, ne seront pas tant en lien avec votre vie extérieur, mais plutôt avec votre vie à l'école. Vous ne pouvez pas vous balader avec des poignards dans les couloirs, ni ailleurs sur le terrain. C'est une règle. Tous les professeurs vous le diront et je pense même que votre directrice de maison, aussi adepte du favoritisme qu'elle, dirait probablement la même choseque moi. On ne se balade pas avec des poignards dans l'enceinte de Poudlard. Allez, maintenant, vous me les donnez ou je vais les chercher ?

La main tendue, il la fixe d'un regard ciel d'été, le sourire faussement naïf.

Invité

Dark le regarda, d’un air blasé, elle en avait assez que tous dans cette école voulaient lui imposé leurs lois, leurs principes minables a son avis et leurs pensées tout aussi inintéressantes que pathétique. Mais là cela valait le détour il lui ordonnait de lui remettre ses poignards, c’était totalement hors de question, elle les avaient elle les gardaient et puis on ne donnait pas comme cela des objets d’une valeur sentimental aussi grande cependant elle se rendait bien compte que c’était sois agresser un professeur pour désobéir ou sois lui donner ses armes sans faire d’histoire dans le cas présent elle n’arrivait pas a se décider. Elle ne répondit même pas aux dires de son professeur, elle n’en voyait pas l’utilité.
Au bout d’un petit moment elle se décida enfin a répondre et de façon virulente

« Monsieur je n’est ni envie de vous faire du mal ni de vous donnez mes poignards alors si vous les voulez venez les chercher mais faite attention ce n’est pas parce que vous êtes mon aîné d’une décennie au moins que je vous ferrais des cadeaux »

Dès qu’elle eut terminer elle commença a reculer assez rapidement sans pour autant tourner le dos au professeur car elle n’avait pas plus envie que cela de se retrouver plaquer face contre le sol…

- Monsieur je n’est ni envie de vous faire du mal ni de vous donnez mes poignards alors si vous les voulez venez les chercher mais faite attention ce n’est pas parce que vous êtes mon aîné d’une décennie au moins que je vous ferrais des cadeaux.

Et elle recule pour se mettre hors de porté. Kaitz la dévisage un moment, puis pousse un soupir navré en secouant la tête. Il la dévisage, émet un reniflement agacé et lève la main pour se la passer dans les cheveux.

- Vous avez du culot, Miss Kirialis. Sauf, qu'on est pas dans les rues de Londres, ici.

Harkaitz Rocstone avait voyagé durant presque 10 ans avant de se stabiliser à Poudlard. Il avait apprit des tas de choses, il maîtrisait des tas de choses. Et les duels ne lui étaient pas étrangers. Mais bon, Miss Kirialis n'était pas une duelliste, elle était une élève et lui un professeur. Il l'avait maîtrisé physiquement quelques minutes plus tôt pour lui montrer qu'il n'était pas un amateur, mais visiblement, elle le prenait toujours pour un con.

La main dans ses cheveux s'abaisse brusquement et une baguette, enfin, sa bagette semble sortir de nul part.

- Flipendo, prononce-t-il avec un calme déconcertant, presque ennuyé.

Il a 10 secondes pour agir. Il a amplement le temps. Si elle garde les poignards dans son dos, ils doivent être facile d'accès. Et puis, c'est pas la première fois qu'il a à désarmer quelqu'un.

1...

2...

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Il passe derrière elle et inspecte sa robe de sorcier.

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Il trouve les poignards et les dégage avec aisance, repoussant brusquement le rongeur.

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Il repasse à l'avant en examinant les poignards en question.

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- De jolis trucs, vraiment. C'est dommage que vous soyez si têtue.

9...

10...

Il pointe sa baguette sur ls poignards et adresse un clin d'oeil moqueur à la jeune Serpentard.

- Evanesco.

Le poignards se volatilisent. Trop tard pour la moindre intervention de Kirialis, maintenant libre. Moqueur, il souffle sur sa baguette comme l'aurait fait un Cowboy sur son revolver. Tout comme les poignards, la baguette disparaît, mais la méthode est différente.

- Donc notre différent est réglé. Je vous souhaite une bonne journée, Miss Kirialis.

Invité

En un rien de temps Dark se retrouva désarmer, pourtant il n'eut fallut pas longtemps a peine quelques petites secondes même son petit rat n’avait rien pu faire, pourtant au lieu d’être en colère, la jeune femme arborait un petit sourire moqueur, elle regarda le prof faire son petit manège et faire disparaître sa baguette, c’est vrai elle l’avait sous estimer et c’était un peu trop surestimer cependant c’était une bonne leçon bien que la disparition de ses poignards la laisse de marbre, elle s’était battu pour ne pas qu’il les ait mais au final…elle les avaient toujours, peut être pas les même, mais d’autres plus beau mais aussi plus efficaces. Cette fois c’était lui qui l’avait prise pour une débile, qui ne sait pas ce qu’elle fait mais dans une école comme celle-ci, elle avait compris depuis longtemps qu’il ne fallait qu’elle se ballade avec ses vrai poignards de valeur.

« Monsieur être têtue peut être une qualité tout autant qu’un défaut, mais vous avez raison sur un point je suis sans doute un peu trop borné mais vous vous êtes un peu trop crédule et cela ne vaut pas mieux »

Elle s’approcha de lui et dans un élan de provocation lui embrassa la joue puis se recula doucement et lui tourna le dos avant de le regarder en tournant la tête et dit sur un petit ton ironique

« Comme vous l’avez dit monsieur notre différent est réglé, alors bonne journée a vous et faite attention les nuits sans lunes vous pourriez faire …une mauvaise rencontre »

Après ce légère apporter elle s’en alla vers la forêt en espérant que le professeur la laisserait partir sans trop réfléchir a ses paroles

- Monsieur être têtue peut être une qualité tout autant qu’un défaut, mais vous avez raison sur un point je suis sans doute un peu trop borné mais vous vous êtes un peu trop crédule et cela ne vaut pas mieux.

Le prenant par surprise, elle arrive à lui plaquer un baiser sur la joue. D'un geste ferme, mais sans brusquerie, il la remet à sa place, à savoir au bout de ses bras. Non, mais pour qui elle se prenait cette gamine ?

- Comme vous l’avez dit monsieur notre différent est réglé, alors bonne journée a vous et faite attention les nuits sans lunes vous pourriez faire …une mauvaise rencontre.

Et elle s'éloigne, vers la forêt. Était-ce une autre de ses provocations ? Ça commençait à bien faire. Kaitz n'avait aucun problème à laisser croire qu'il était naïf à souhait, ce qui n'était pas totalement faux. La morale de Kaitz était plutôt élastique, il en laissait passer beaucoup, feignant une naïveté pour laisser la chance de se reprendre et il était plus que satisfait si on donnait au moins une crédible impression de repentir. Mais cette gamine lui rappelait non seulement une trop grande crédulité, mais de plus, elle le menaçait ouvertement. Et c'était une menace bien au-delà de la menace professeur/élève qu'il avait pu lui faire quelques minutes plus tôt. Bon, tant pis pour elle.

- J'espère que vous n'avez pas l'intention d'entrer dans la forêt interdite directement sous mes yeux ? Et maintenant que j'y pense. vous avez raison. Je suis beaucoup trop crédule. Si vous voulez bien me suivre, nous allons aller voir Miss Liimatainen tous les deux et vous lui raconterez la jolie histoire que vous m'avez raconté. N'est-ce pas une bonne idée ? Avec un peu de chance, elle sera aussi crédule que moi.

Y'avait toujours des limites à le prendre pour un crétin, n'est-ce pas ?

Invité

Dark soupira, elle l’avait peut être chercher mais ce n’était pas pour autant qu’elle allait se laisser faire, d’un autre cotée, si elle résistait et bien… elle aurait encore plus d’ennuis qu’elle n’en avait déjà. Elle resta donc immobile et ne pipa mot pendant quelques minutes admirant avec délectation la forêt interdite qui se dressait devant elle, ce fût son petit rat qui la ramena a la réalité car ce dernier commençais a lui lécher doucement le cou. La jeune femme sourit a la petite bête sachant que peut être elle ne pourrait plus le revoir… Elle regarda le professeur dans les yeux

« Qui vous dit que j’allais entrer dans cette terrifiante mais non moins magnifique forêt ? Qui vous dit que je n’allais pas m’en détourner ? Personne alors ne m’accuser pas pour cela. En revanche je n’ai vraiment aucune envie d’aller voir cette dame désolé vous irez sans moi monsieur et si vous n’êtes pas d’accord venez donc me chercher »

Darkness se mit a courir tout en formulant un sort pour ne pas qu’il l’immobilise par magie, était elle folle ? Sans doute, mais cela lui rappelait de bon souvenir, elle n’avait jamais été coursé par les policiers mais par ses complices souvent et ça l’amusait follement, le détail qui lui échappait tout de même était que là elle n’était pas dans son élément… Elle était dans une école et que tôt ou tard, il la retrouverait mais elle s’en fichait royalement, elle n’aurait qu’à trouver une jolie histoire, en espérant qu’elle la croirait et puis au pire, elle se ferait renvoyer et pourrait enfin reprendre son travail et préparer l’évasion de son père adoptif ce qui dans une école comme celle-ci était impossible. Elle n’avait aucun chemin précis mais elle se précipita dans la forêt et grimpa dans un arbre, aussi agile qu’un félin…

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