Identité :
• Prénom et nom : Sirinylie Delaguna
• Date de naissance : 1963, 23 juin = 20ans
• Sexe : Féminin
• Année d'étude : terminer depuis deux ans déjà
Physique :
• Cheveux : J’ai les cheveux longs bruns noirs. Ils sont soyeux et vole au grès du vent et des pas de danse précis de mon rythme de mon corps. Ils ont du corps et son toujours part quelques sort. Il se faufile sur mon visage pour le cacher de son imprudence de mes yeux, mes pouvoirs étant à présent trop grand, je me cache moi et ma sœur.
• Yeux / regard : J’ai les yeux en forme de noisette, avec les prunelles couleur feuille morte en octobre. Ils sont habituellement accentués d’un regard noir et sans détour. Avec les années ils prennent beaucoup d’importance pour certains pouvoirs acquis. J’ai des yeux enjôleurs qui démontre un contrôle mes nerfs, pour une patience sans frontière.
• Visage / expression et couleur de peau : J’ai un visage un peu bouffit, mais qui se doit d’être aussi fin et sans ride, pour l’instant. J’ai de petits sourcils habituellement froncés et une bouche retrousser qui à l’air fendu à son milieu.
• Taille : Mes longues et fines jambes, monté sur un bassin d’acier, me donne un air supérieur et hautain. Je mesure un bon 170 centimètres, sur se corps fin et fragile, mais qui cache une dureté de la vie en tant que jeune ancienne fermière.
• Corpulence : Je pourrais passer pour une anorexique, mais mes années dans la dépression de la perte de ma sœur et le rejets de mes parents, je n’ai jamais prit soin de moi, et donné à mon prochain mon devoir d’être une personne à l’écoute.
• Signe particulier : J’ai acquis la non modestie et la fierté par ma chère cousine adorée. J’ai acquis à me servir de mon cerveau, et la légimentie et la moitié de l’occlumentie.
Caractère :
• Qualités : Je suis d’une patience sans limite qui a fait rager plus d’un. Il me faut beaucoup pour me fâcher, mais quand sa touche le bout, c’est le bout. Ont peut voir sa comme un défaut ou une qualités, je trouve plutôt une pointe de caractère différents de tous.
• Défauts : Vantarde par le savoir que je vaux plus que plusieurs personnes, et le savoir pousser par mon besoin d’apprendre. Ma fierté apprît par très chère cousine Sibylle qui cache son secret, mais le dévoile au veinard.
• Ce qu’il aime et ses passions : Elle adore toute les danse, et les pratiques régulièrement. Elle fait souvent certaines potions en cachette dans sa chambre, et les utilise à des fins personnelles, et essaie de nouvelle chose pour découvrir des potions contre le loup dans l’homme loup-garou.
• Ce qu’il déteste et ses phobies : Elle déteste dormir, car elle rêve toujours à la disparition de sa sœur. La peur de perdre une personne chère à ses yeux la hante, mais elle est fière et ne le démontre jamais. Elle déteste tout se qui s’appelle bébite à poils beurk…
• Tic : Elle se gratte l’index et le pouce ensemble, car la propreté est juste avant la saleté.
Histoire :
• Origine / Nationalité / Ascendance (sang) : Ses parents venait du Japon, mais elle naquis sur la terre du Canada, plus précisément au Québec.
• Lieu d'habitation :
o Localisation géographique : Canada, Québec, puis avec les parents de Sibylle, Londres petit manoir.
o Style d'habitation : Anciennement une simple maison de fermier, avec une grange et des terres à provision et à pertes de vue. Puis elle est partit dans une demeure qui ressemblait à un vrai château.
• Enfance et scolarité avant école de magie : Mon enfance fut joyeuse et surtout quand ma petite sœur vint au monde un ans après moi. Elle était très semblable à moi, mais avec certain petit détail plutôt coquet. Elle et moi aimions jouer dans la court et aider maman à faire plein de chose, surtout tirer les pies de vache et sortir un lait luxueux de cette bonne Margueritte (la vache^^). Un jour ou nous commencions l’école, elle en près maternelle et moi en maternelle. Sur une route de poussière et de chariot de bois, dans notre village éloigné. Le soleil planait dans le ciel pour cette merveilleuse journée, ma petite sœur était si anxieuse, qu’elle avait le pisse minute réglé au deux minutes, mais je la mis mieux à l’aise en lui disant que j’allais m’assoire à ses cotés. Un homme apparue et offrit des bonbons, avant que je retienne ma sœur, elle avait devancé, et l’homme lui donna, mais la retint quand elle voulu retourner près de moi. Un autre homme sortit et voulut me tenir. Les deux hommes allèrent dans une direction contraire de l’autre, et j’entendais et voyais ma sœur pleurer et crier mon nom a perte de souffle de ses poumons. Je devint écarlate et mes cheveux prirent la volé quand un souffle les ébouriffa. La colère me montait à la tête et tout se qui pouvait aggraver les choses, ma sœur criât le crie de détresse, l’ultime. L’homme qui me tenait fut ouvert par des centaines d’entailles sur corps. Il me laissa tomber, et je fut souillé de son sang impur et sans intérêts, je couru vers ma sœur, quand elle fut a perte de vue part les pas beaucoup plus grand que les mien, je me prit les cheveux et je tirait fortement. Je voulait seulement pleurer, mais les larmes ne coulaient pas je me promis de poursuivre cet homme, jusqu’à sa mort. Je revenais vers l’homme qui n’avait plus un souffle dans le corps et une marre de sang à ses cotés. Je ne sais pour qu’elle raison, et comment j’ai put, je continuait à erré dans les endroits environnent pour retrouver ma sœur, jusqu’à l’épuisement. Des gens me trouvèrent étendu par terre, et m’avait ramené au près de mes parents. J’entendis la gravité de la sonorité de la voix de l’homme inconnue, et une larme coula de mes yeux de jeune enfant prise entre quatre mur et la fatigue. Se jour la, mes rêves commencèrent, des rêves de la perte de ma sœur et elle m’accusait de ne pas l’avoir retrouvé. Je criait a perte de voix dans mon rêve ma défaillance et la souffrance de na pas avoir été assez forte, qui me vint à plusieurs évanouissement ses cinq prochaines années à être accusées de cette disparition. Mes parents me mirent dehors de la maison, mais je me cachais dans la grange. Quand ma mère mourut deux semaine plus tard, et que j’ai eu sous les yeux la mort de mon père, et que je riait de cette mort, par la haine qu’ils m’aient accusées à tord. Je sortais de la grange, quand je vis une jeune femme et un homme de dos à moi. Une fillette en leur milieu se tourna vers moi, et se dirigea pour me donner la main au bout du tunnel blanc. Elle avait l’air si bonne, et si gentille. Ses parents se présentèrent, et me dire qu’ils étaient mon oncle et ma tante, et qu’ils m’apportaient avec eux. Nous sommes allions à Londres pour l’année qui allait suivre, j’irais à l’école de magie. Mon père avait relaté les coupures de cet homme mystérieux à mon oncle, et il avait prit la décision de me donner comme à sa fille qui avait un an de moins que moi, et avait le même âge que ma petite sœur. Je surveillait de près ma cousine, et elle pu faire de moi une genre d’esclave pour elle ayant un sens de persuasion très développé.
• Scolarité à Poudlard ou autre école de magie (seulement si vous n'entrez pas en première année) : J’ai toujours été à Poudlard, dans la noble maison des plus fières et plus fourbes, se qui veut dire la maison de Salazard Serpentard. Ma première année fut accentuée d’une répartition qui me fit un soleil levant sous les yeux. Mes rêves touchaient la réalité. Je commençais à faire comme plusieurs, et de nombreuses victimes de ma mauvaise humeur du matin. J’ai eu beaucoup de misère à me lever de bonne heure, ayant eu la chance tout l’années d’avant de me réveiller aux heures que je voulais sans aucune réelle restreinte. Mes notes ne furent pas si bonne que sa, mais en deuxième, je changeais les voiles de bord et devint un peu mieux. Je commençait à aimer les potions et allait à la bibliothèque rapporter dans mon dortoirs des livres sur les potions et tout sortes de magie à proliféré à mon développement mentale. À ma troisième, je me déplaçait pour l’arithmencie et l’étude de moldues que je voulait connaître un maximum, pour après mes études aller dans un style de vie côtoyé par des moldues, sinon travailler cote à cote avec eux. Ma quatrième fut remplie d’honneur pour mes excellentes notes et je me sentis prête pour l’année qui suivrait celle-ci et pour mes buses. Encore cette années j’ai obtenu de merveilleuse note, seulement un cour que j’ai échoué, qui était l’études des runes, que j’avais échangé avec l’études des moldues, mais que je reprit en sixième et cette dernières années dont j’eus recours comme bien d’autre jeune gens à des aides pour ne pas tomber sous l’épuisement de toute les matières à étudier.
• Vie après les études : Alors Sirinylie retrouva sa petite sœur dans cette dernière années, elle entreprit à la rapporter avec elle vers un endroit, une maison ou elle allait payé les comptes d’elle-même ne voulant pas que sa sœur ne sorte que pour le temps de ses études dont elle devait maintenant lui payé. Car même si son oncle et sa tante lui avait payé à elle, elle ne voulait dévoilé se heureux événement à quiconque fessant oublier au monde entier le retour de cette jeune fille envolé depuis déjà 13ans. Elle trouva un poste au ministère de la coopérative magique, et s’y plaisait, elle se devait simplement de faire aller le courant dans les deux sens pour que les ministères ne soient pas de mauvais partie ou autre. Bien qu’elle dut être assidue pour les langues, elle se plus d’aller de pays en pays, mais simplement pendant que sa sœur était en sécurité à Poudlard.
• Famille : Ma mère moldue et mon père sorciers mon rejeté de la maison familiale à mes dix ans, et je suis rester erré quelques temps tout près, mais je ne savais pas que ma mère était gravement malade de la grippe espagnol, et mon père à son décès, à mis fin à ses jours dans la grange arrière. Ma petite sœur fut enlevé et je n’ai jamais eu de nouvelle jusqu’à se jour. Ma cousine Sibylle, vint m’aider avec ses parents, elle a dix ans comme ma petite sœur, et je la protège comme si je serais la moitié d’elle. Mes nouveaux parents qui sont mon oncle et ma tante, m’aide énormément à poursuivre dans ma vie, mais pas en me reprochant la disparition de la petite Kalina, comme mes parents biologique.
Baguette :
• Description : 25cm
De bois de saule, symbole de la nuit et des rythmes lunaires.
Un crin de cheveux de bébé sirène à présent bien grande tout comme moi
• Son acquisition : Chez messieurs Ollivander
Autre :
• Si vous entrez en septième année, avez-vous le permis de transplaner ?: oui, (hj-sinon comment le passer?)
• Quel camp: le dark pour mon seul plaisir^^
• Ses rêves et ambitions pour l’avenir : Trouver la façon de terminer mon enseignement en occlumentie, et de venir une mange-mort qui seras réputé, et seras la plus dévoué à son maître. Sinon elle ne dirait pas non à un poste au ministère, elle se décide cette année.
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