Gregory Starfull (SERDAIGLE)

Invité

Identité :

Prénom et nom : Gregory Starfull

Date de naissance : 21.06.65 - 16 ans

Sexe : Masculin

Année d'étude : Cinquième année

Physique :

Cheveux : Gregory a toujours aimé avoir des cheveux qui tombent sur les yeux. On peut considérer cela comme un acte de protection, ou bien seulement un goût stylistique. Quoiqu'il en soit, de longues mèches blondes lui tombent sur le visage, et s'il les ramène quelque fois vers le côté, il aime cette apparence qu'il ressent comme emplie d'un certain mystère.

Yeux / regard : Regard d'azur, bleu comme les océans clairs et les ruisseaux d'eau douce. Ses grands yeux sont perçants, on y lit une intelligence et une sensibilité profonde. Il sait que la vue est un don inestimable, et aime à observer autour de lui, posant son regad calme tantôt sur le ciel tantôt sur le monde. Certaines ont été séduités par ce long jet turquoise, d'autres ont pris peur de cette mise en abîme, de ces deux saphirs trop brillants pour être sincères.

Visage / expression et couleur de peau : Plutôt blanc, Gregory aimerait avoir une peau bronzée, tannée par le soleil. Cependant, comme il passe le plus clair de son temps à étudier ou à peindre, l'astre ne peut vraiment l'atteindre. Son visage de forme ovale, avec tout de même une allure carrée, se finit en un menton banalement droit. Il a un front large, qu'il aime recouvrir de ses cheveux.

Taille : Plutôt grand, il a toujours été quelque peu au-dessus de la moyenne. Bien heureusement pourtant, il n'a jamais été le plus grand de sa classe, jamais surnommé "grande perche" ou autres surnoms ridicules de ce genre. Ainsi préservé des moqueries, il a pu ne pas développer de complexes au niveau de quelques centimètres gagnés.

Corpulence : D'abord maigre, Gregory a fini par se mettre au sport. Doucement, puis avec goût : il aime courir au fil des rues, et plus que tout nager. Quelques muscles se sont donc formés au niveau de ses abdominaux, ce qui souligne brillamment sa fine taille avantageuse.

Signe particulier : Il a de très longues mains, belles et fines.

Caractère :

Qualités : Tout d’abord, Gregory est un garçon foncièrement déterminé. Enfant, il était peu sûr de lui, sans réels objectifs, mais avec le temps il s’est trouvé des repères et des envies, des passions et des rêves. Maintenant prêt à atteindre ses buts, il ressemble de plus en plus à sa sœur sur un point : l’espoir placé dans des songes qu’ils veulent voir devenir réalité. Il a plusieurs devises ou proverbes appréciés, parmi ceux-ci :
« L’espérance […] est la plus grande et la plus difficile victoire qu’un homme puisse remporter sur un homme »
« Il ne faut avoir aucun regret pour le passé, aucun remords pour le présent, et une confiance inébranlable pour l'avenir. »
Aussi, il veut vivre sa vie comme il l’entend, et croire en la réalisation prochaine de ses rêves. Sa détermination lui permet une concrétisation plus prompte de ses songes. Une de ses autres qualités est son intelligence : brillant, il est studieux et prend goût aux études qu’il effectue sous les yeux attentifs de professeurs qualifiés. Cette excellence qui le caractérise fait la fierté de ses parents. Cette qualité lui permet une vive compréhension des cours, mais aussi des dons en langues et autres matières, et une aisance remarquable à l’oral quand il doit s’exprimer devant quelque public que ce soit. Par ailleurs, c’est un garçon en qui l’on peut avoir une confiance parfaite, car il n’est pas mauvaise langue et sait donner des conseils d’une sincérité imperturbable.

Défauts : Gregory n’a jamais été vraiment proche de ses camarades, sinon certains qui lui avaient plu par des qualités exceptionnelles pour des personnes de cet âge-là. Ainsi plutôt distant, il reste d’une méfiance particulière par rapport à ses contemporains, et se tient silencieux en présence de ceux auxquels parfois il aimerait adresser la parole. Non pas par timidé, mais par une défiance étrange, particulière. D’un caractère plus complexe que ne pourrait le laisser supposer son enfance idyllique, il s’est forgé une véritable personnalité, et est devenu quelque peu présomptueux, ayant des exigences extrêmes en ce qui concerne d’éventuelles amitiés. Il ne se lie pas avec ceux qu’il désapprouve ou méprise, bien qu’il leur parle tantôt – avec froideur bien sûr. Quant à ceux qui créent l’estime chez lui, il se sent pris d’émotions étranges qui le laissent muets ; quand enfin il leur adresse la parole, c’est avec beaucoup de retenue. Il n’a encore avoué à personne sa passion pour la peinture : méfiance, distance. Il s’accroche à sa solitude comme à un refuge, qui en fait le plonge dans une mélancolie inhabituelle aux adolescents de cet âge-là. De plus, Gregory est quelque peu lunatique. C’est un de ses défauts les plus denses, et qu’il tente de surmonter sans parvenir à ses fins. D’un instant heureux il passe à une brève période chagrinée avant de sombrer dans une colère sourde. Cela lui vient la plupart du temps les jours suivant des nuits emplies d’insomnie. Pourtant, c’est encore quelque chose qui le maintient à distance des autres adolescents : humeur trop variable pour être considérée comme nette. Sa personne mystérieuse attire peu souvent de la sympathie : la plupart du temps de l’indifférence, parfois un dédain empli d’envie, et quelques-fois seulement une empthie silencieuse.

Ce qu’il aime et ses passions : Sa passion est la peinture. Il a découvert ce goût assez tard, vers neuf ans et demi, dix ans peut-être. Ne pouvant pas prendre de cours, non pas à cause de problèmes financiers mais par la méfiance agaçante de ses parents, il doit apprendre de lui-même les différentes techniques de cet art. Patient, il a longuement étudié les œuvres des peintres, de différents mouvements, et a lu de nombreux livres ou magazines de critique d’art, qu’il cachait soigneusement sous son matelas après chaque lecture. Peu à peu, il appréhendait le monde houleux de la peinture, frôlait du doigt les tableaux miniatures dans ces livres : amusé d’abord par le style cubiste, il s’était ensuite penché vers le classicisme, en admirant Raphaël et Michel-Ange, puis se plongea enfin dans l’impresionnisme. Les œuvre de Camille Pissarro l’émerveillèrent, et il s’éprit des tableaux de cet artiste, en reproduisant certains pour retrouver cette technique qu’il adulait déjà. Malheureusement seul dans cette quête du perfectionnement, il cherche à atteindre le progrès, le potentiel. Pour le moment, il se plaît à observer les scènes autour de lui, toutes trouvent de l’intérêt à ses yeux. Il distingue deux choses : son regard d’adolescent, et son regard d’artiste. Dans ses périodes de colères ou de chagrins infondés, sa sensibilité semble s’évanouir dans les airs. Mais quand la tranquilité envahit son esprit, alors il est réjoui par tout. Les mouvements précipités des élèves au son de la cloche, les passants dans la rue, les nuances du ciel, et les visages, certains. Le monde est pour lui un vaste terrain qu’il aime explorer dans ses songes. Silencieusement, il imagine toujours les croquis qu’il tirera de ses expériences. Et pour le moment, il rêve du jour où il pourra peindre sans plus s’en cacher.

Ce qu’il déteste et ses phobies : En premier lieu, il entre dans une relation complexe avec ses parents et il déteste cette incompréhension de leur part face aux goûts artistiques de sa sœur et de lui-même. Qu’ils ne veuillent pas saisir l’importance que ça a leurs yeux, et que c’est véritablement ce qu’ils souhaitent faire l’agaçe profondément. De même, les préjugés et stéréotypes – et Dieu seul sait combien il en a rencontré pendant ces quinze ans ! – la plupart du temps le font hausser un sourcil avec soit un soupir d’exaspération soit un silence significatif de son mépris. Il est impitoyable ainsi avec ce qui s’agit des idées reçues, des rumeurs, et là vient ce qu’il déteste aussi : l’hypocrisie. De même que la fausse modestie. Il ne peut pas supporter ces personnes qui mentent autant qu’elles respirent : qui se prétendent pitoyables pour se faire complimenter, et qui se permettent après de critiquer ou lancer des histoires sans fondement sur des personnes qu’elle disent chérir. Ce sont aussi des éléments qui accentuent sa méfiance : comment savoir quand un adolescent est plein d’hypocrisie au premier regard ? S’il lui confiait ses doutes et ses rêves, ne seraient-ils pas répétés tel un écho dans l’internat tout entier ? Comment différencier quelqu’un qui vous veut du bien d’un adolescent perfide et déjà si manipulateur ?
Pour ce qui est d’une phobie, c’est de ne pas retrouver sa grande sœur. Il s’accroche à elle, et voit en son départ la preuve qu’en croyant vraiment à son rêve, on peut tenter de le réaliser. Il suffit de garder espoir. Cependant, ne recevant pas de nouvelles d’elle, il est très inquiet : a-t-elle été enlevée ? Volée ? Est-elle sans le sou ? Reviendra-t-elle le voir ? L’oublie-t-elle ? Il se pose sans cesse des questions sans pouvoir trouver des réponses.

Tic : Gregory est la plupart du temps assez expressif, autrement dit il hausse les sourcils plutôt souvent – que ce soit par étonnement, mépris, amusement, etc. – et soupire aussi parfois.

Invité

Histoire :

Origine / Nationalité / Ascendance (sang) : Angleterre - Sang pur.

Lieu d'habitation :

Localisation géographique : Londres.
Style d'habitation : Ravissant duplex.

Enfance et scolarité avant école de magie : Vingt-et-un juin. Sostice d’été.

« C’est un garçon, madame. » Une forme enveloppée dans une longue serviette bleue gesticule, déjà objet de tendresse et de regarsd. Mary L. Starfull, allongée sur le matelas surélevé, respire difficilement, mais observe pourtant avec un sourire celui dont le prénom a été longuement discuté avec Richard. Qui est lui-même à la maison, s’occupant de leur fille aînée, Kimberley. Tandis que l’infirmière berce le petit garçon avec douceur, la jeune femme laisse échapper parmi des larmes de soulagement le prénom du nouveau-né.

« Gregory ! » Un jeune garçon aux cheveux blonds or relevait la tête. Ses grands yeux dévisageaient la professeur, déjà attendrie par son air angélique, qui finalement hocha de la tête sans plus chercher à l’interroger. C’était souvent ce qui se produisait quand on rencontrait le regard de cet enfant, étrangement beau. En effet, son visage semblait avoir été façonné par Aphrodite, dans un souci évident d’esthétique. Un sourire rêveur installé sur son visage en permanence, il écoutait peu en classe, et pourtant exécutait brillamment chacun de ses examens ; les professeurs l’adoraient ou bien l’exécraient. Cette année-ci, la jolie femme qui l’observait en coin était charmée par cet esprit doux et profondément intelligent. Aussi ménageait-elle ses dispositions aux études : elle voulait croire en ce côté artistique qu’elle percevait en lui. Elle ne se doutait pas que lui-même ne l’avait pas décelé ; sinon elle aurait voulu l’aider, lui faire découvrir ces éventuels dons qu’il aurait pu développé. Dans l’ignorance, cependant, elle omit de lui révéler cela. Il passa donc une enfance sans tonalités artistiques ; quelques dessins exécutés à la va-vite, des phrases parfois soignées, des chansons fredonnées aussi, mais jamais un véritable travail, un but.

Gregory était heureux. Tout lui réussissait et il se sentait aimé, choyé. S’il lui avait fallu parler de sa vie, il en aurait fait les meilleures éloges avec une sincérité indiscutable. D’autant plus que sa famille était unie, solidaire. Ses parents, Mary et Richard, le sermonaient parfois, mais trouvaient incroyable qu’il fût si calme, face à cette fille aînée qui au contraire semblait ne jamais s’essoufler, trouver toujours d’éternels regains d’énergie. Il se disputait parfois avec celle-ci, pour des sottises, mais souvent il parvenait à trouver un moyen de retourner à la douce trêve qui lui permettait des rêveries perpétuelles. Ayant peu d’appétit, et étant peu sportif, il était maigre. Son anatomie semblait encore peu développée, et c’est avec le temps qu’il put apprendre à développer son corps, de manière à lui donner une présence, une signification, et des caractéristiques.

15 décembre 1996

« C’est un garçon, madame. » Une forme enveloppée dans une longue serviette bleue gesticule, déjà objet de tendresse et de regarsd. Mary L. Starfull, allongée sur le matelas surélevé, respire difficilement, mais observe pourtant avec un sourire celui dont le prénom a été longuement discuté avec Richard. Qui est lui-même à la maison, s’occupant de leur fille aînée, Kimberley ainsi que de son frère Gregory. Tandis que l’infirmière berce le petit garçon avec douceur, la jeune femme laisse échapper parmi des larmes de soulagement le prénom du nouveau-né.

« Peter ! » Le nouvel arrivé dans la maisonnée eut d’abord du mal à se faire sa place. Il semblait moins fougueux que sa sœur, moins grâcieux que son frère. Il était le dernier de la fratrie, d’abord oublié, mis à côté, sauf par sa mère. Au fil des années, il parvint difficilement à montrer de quoi il était capable, se prenant au contraire d’affection pour les sports en tout genre, exerçant avec plaisir la course et la natation. On lui découvrit des aptitudes particulières et il fut inscrit à certains ateliers ; son corps se développa nettement plus vite que celui-ci de son frère, qui lui en garda d’abord une certaine rancune, avant de finalement le féliciter de bonne grâce.

Gregory était un garçon des plus satisfaits. Estimé, il s’était trouvé des amis, certains inoubliables. Entretenant avec eux des relations emplies de fidélité et d’une rigueur précoce, il apprit très tôt le sens du mot « amitié », sa valeur. Il comprit que donner sa confiance était un geste important mais nécessaire. Ainsi, bien entouré, il fit son parcours scolaire avec brio parmi une famille agréable et enthousiaste. Enfance onirique. Merveilleux.

Scolarité à Poudlard ou autre école de magie (seulement si vous n'entrez pas en première année) : A onze ans, Gregory est envoyé à Poudlard, où sa soeur est internée depuis trois ans. Elle s'épanouit là-bas avec brio, est très populaire, et lui fait découvrir le château et les alentours gaiement. Le bonheur envahit l'adolescent, qui fait la rencontre de personnes bouleversantes. Des amis, de l'âge de sa soeur. Des professeurs, aussi. Au fur et à mesure, il s'approprie Poudlard, connaît ses couloirs et ses passages secrets, et s'y sent comme chez lui, mieux en fait. Il peint souvent, dans le secret de son lit à baldaquin, mais s'amuse aussi à prendre des clichés, en noir et blanc, de façon moldue. Avec le temps, sa silhouette se fait plus élancée, et son visage plus mature. Il continue à beaucoup travailler, et s'estime heureux des progrès qu'il fait chaque jour en sorcellerie. Cependant, après avoir réussi ses Aspics, sa soeur est partie, pendant ces vacances d'été. Il ne s'en remet pas, et ne sait pas si Poudlard va être pareil pour lui - de toute manière, elle n'aurait plus été là. Mais sa disparition rend l'absence encore plus difficile. Il s'angoisse, et espère que le château lui remontera le moral - ses parents étant dans un état déplorable.

Options choisies (vous devez en choisir deux parmi Divination, Soins aux Créatures Magiques, Magie Noire, Arithmancie et Etude des Moldus, et si vous êtes en 1ère ou 2e année elles ne seront valables que quand vous entrerez en 3e année) : Arithmancie & Magie Noire

Famille : C'est une famille qui a d'abord été unie, puis qui s'est lentement fissurée. Son père, Richard Starfull, a hérité du patrimoine de ses parents à l'âge de vingt-cinq ans, et s'en est en partie servi pour se marier et s'installer avec la femme de sa vie, Mary L. Starfull. Lui est avocat et elle journaliste. Tous deux sont anglais et ont vécu leur jeunesse à Londres ou dans la province. Ils ont eu un premier enfant, Kimberley, une enfant puis adolescente pleine de fougue, déterminée à atteindre ses rêves. Puis vint Gregory, d'un an à peine plus jeune que sa grande soeur. Et enfin Peter, le dernier de la fratrie, avec plus de dix ans d'écart avec son frère, puisqu'il n'a que cinq ans. Une famille plutôt unie, jusqu'à ce que les disputes sur l'avenir de Kimberley commencent, et s'enveniment rapidement : elle décide de partir de la maison, laissant un mot pour ses frères, mais rien pour ses parents. Elle veut être une artiste. Ses parents ne veulent en aucun cas la subventionner pour un métier qu'ils trouvent irrationnels - ils sont très inquiets maintenant qu'elle est partie. Gregory a décidé de la retrouver. Tout en rassurant Peter sans cesse, prétendant que Kimberley est en voyage. Tristesse donc dans la maison. Une certaine tension, aussi. Regrets & Mélancolie.

Baguette :

Description : Baguette d'un noir intense, longue et fine. Plutôt souple, très maniable, et utile principalement pour les métamorphoses et les potions. Elle contient un crin de licorne.

Son acquisition : Acquise chez Ollivanders.

Autre :

Quel camp: Mêlé - neutre.

Ses rêves et ambitions pour l’avenir : Une bonne continuation au niveau des études. Convaincre ses parents que la peinture ne sera pas pour lui un obstacle dans la vie sinon le moyen d'accéder au bonheur. Découvrir enfin quelqu'un de différent, qui le comprendrait, et en qui enfin il aurait confiance. Essayer la cigarette, accessoirement, qui le tente depuis un certain temps. Enfin, retrouver sa grande sœur.

Question subsidiaire :

Comment avez-vous découvert ce forum ? Il y a longtemps, on m'en a parlé sur PM.

Ajout : S'il était possible que ce soit Serdaigle (de préférence) ou Serpentard, ce serait merveilleux. Gryffondor et Poufsouffle ne me conviennent pas vraiment, à mon avis. A vous de voir.

Sujet: Re: Gregory Starfull (SERDAIGLE) Dim 7 Jan 2007 - 22:12

Ta soif d'études et de savoir ainsi que ta rigueur te désigne tout droit vers serdaigle

Félicitation et bon rp!

Don Gregory Starfull 5e ANNÉE A SERDAIGLE SVP.

Invité

Merci ! Tu fais un travail efficace - c'est le moins qu'on puisse dire !

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