Des colines blanches à perte de vue,
Des oiseaux de malheur qui s'envollent avec mon vécue.
Comme une rose ardente,
je me suis consumée pour toi,
Mais cette époque est terminé,
Je suis tombé dans le gouffre de l'éternité.
Une larme qui vaut milles mots,
Un souffle qui me fait vivre milles tourments.
Solitude et détresse,
Les seuls mots qui me définissent.
Je ne suis que vent et tempête
Désolation et destruction.
Je suis comme une créature non-comprise,
Avec un coeur meurtri.
De moi, il ne reste plus qu'un brouillard de larmes,
Et un coeur de marbre.
Ce soir là, sur cette coline d'un blanc argenté,
J'ai cessé d'exister.
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Voilà pour le premier poême, et d'autre suivront. Je sais pertinament que je suis loin d'être la meilleure, mais de faire évacuer parfois fait du bien à l'âme.